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« De la petite guirlande au sapin de 15 m » : à Noël, cette entreprise de l’Aube illumine aussi… les beaux quartiers de Paris

Depuis la mi-novembre, et pour quelques semaines encore, c’est le même rituel lorsque la nuit tombe sur la place Vendôme (VIIIe). Alors que le soleil se couche derrière les immeubles historiques, les illuminations de Noël prennent le relais pour guider les passants.Ces décorations saisonnières, comme celles d’autres artères parisiennes, de l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle ou encore d’Andorre-la-Vieille, ont été installées par Festilight, une société basée à Villechétif (Aube) depuis sa fondation en 1997, et une véritable success-story familiale.Son créateur, Didier Maroilley, a en effet passé la main en décembre 2024 à son fils Pierre, désormais président, et à son gendre Mathieu Canu, directeur général. Un an plus tard, la croissance de l’entreprise se poursuit sous leur contrôle au sein de Festigroup, qui comprend aussi les entreprises CityLum (illuminations), Expelec (son et lumière dans l’événementiel) et Pixxaro (affichage numérique dynamique).Pour Pierre Maroilley, prendre le relais de son père est devenu au fil des années une évidence. « Je suis rentré dedans tout petit », se souvient le président de 37 ans. « J’ai toujours été amené à travailler les étés, en commençant par vider les conteneurs et faire ce qu’on appelait les packs de connexions à l’époque… C’était super intéressant ! »Un déclic en 2015Le succès de Festilight ne tombe pas de nulle part. À partir des années 2010, elle enregistre chaque année une croissance à deux chiffres, notamment grâce à « des opportunités de marché incroyables, tant sur les collectivités, notre cœur de métier, que sur la partie centres commerciaux, développée à la suite d’opportunités de croissance externe », se souvient le président.L’une de ces opportunités, c’était le rachat des actifs de la société SLD, en 2015. Un rachat qui a pu donner quelques sueurs froides à Didier Maroilley, mais qui a aussi permis à l’entreprise auboise d’enrichir son ADN. « Ça nous a fait rentrer dans le grand monde des centres commerciaux avec, par la suite, différents appels d’offres gagnés qui nous ont fait travailler dans plus de 70 centres commerciaux entre l’Angleterre, l’Écosse et la France. On a appris de nouveaux métiers », constate Pierre Maroilley.Désormais forte de 87 salariés en CDI à temps plein, et jusqu’à 40 à 60 intérimaires en plus selon les besoins saisonniers, Festilight affiche un chiffre d’affaires annuel d’environ 15 millions d’euros. Mais son activité a bien changé, ces dernières années : alors que l’entreprise était presque exclusivement vendeuse, près d’un tiers de son chiffre d’affaires provient aujourd’hui de la location. Une fois démontées, les décorations louées se retrouvent ainsi dans environ 18 000 m2 d’espaces de stockage de l’agglomération troyenne.Si ces décorations sont bien souvent spécifiques à Noël, le catalogue de l’entreprise ne manque pas de variété : près de 800 références y sont rassemblées. « Ça va de la petite guirlande ou de la lanterne à poser sur votre table jusqu’au sapin de 15 m de haut. On est capable de trouver des solutions à peu près pour tout », précise le président.Pour les collectivités locales, Festilight propose notamment des bulles enchantées, des structures gonflables avec des éléments animés ou statiques, complétées par des parcours à l’intérieur ou l’extérieur des bulles. Le concept a notamment séduit pendant quelques années la ville de Troyes, avant qu’elle ne relance un marché de Noël. « Le but n’est plus de décorer toute la ville, mais bien de se centraliser sur quelques éléments précis et de donner envie aux gens de faire vivre à la fois les commerces et les collectivités, et d’avoir des lieux de réunion pour partager un moment féerique », précise Pierre Maroilley.Un savoir-faire spécifique pour les bâtiments protégésEn parallèle, le groupe dispose d’une « partie développement spécifique. On va répondre à un cahier des charges esthétique et technique de nos clients, qui va permettre de faire des réalisations sur-mesure pour des marques de luxe et de la grande distribution ». C’est par exemple ce qu’elle met en place dans quelques endroits prestigieux de Paris, comme le boulevard Haussmann, mais aussi la place Vendôme depuis plus de 15 ans, avec ses sapins géants et décors plus minimalistes.« Ils nous ont demandé de faire ce qu’ils appellent des LEDs pixels », développe le dirigeant troyen. « On est venu poser chaque élément qui peut être animé unitairement, et on peut mettre les couleurs qu’on veut. En 2022, on avait fait un camion de 30 m de long en néon LED. » Ces projets nécessitent un savoir-faire particulier pour être déployés sur des bâtiments classés et protégés. « On est dans l’obligation de trouver des solutions de fixation sans percer », confirme Pierre Maroilley. « On a donc fait un scan de l’ensemble de la Place Vendôme en 3D et on a adapté chaque pièce pour répondre au cahier des charges du client. »Des entreprises du luxe font également appel au savoir-faire aubois, comme Chanel, ou encore Louis Vuitton (filiale du groupe LVMH, comme « Le Parisien » - « Aujourd’hui en France »).Depuis 2024, Festilight décore aussi l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle, avec là aussi des contraintes bien particulières. « On a réappris encore un nouveau métier, puisque pour aller installer des produits en zone internationale, il y a tout un process à mettre en place avec les différents installateurs et les équipes. »Enfin, il y a bien sûr le marché de la grande distribution. « On est reconnu sur toute la France avec des référencements nationaux sur Galec (E.Leclerc), Système U et Intermarché », se réjouit Pierre Maroilley.Des opportunités hors de Noël… et hors de FranceSi Festilight a de plus en plus de demandes en dehors des fêtes de fin d’année de la part de grandes marques de luxe ou de collectivités, notamment pour des décorations d’été, la période de Noël reste centrale pour l’entreprise. Elle représente encore « entre 60 et 80 % du chiffre d’affaires », précise le patron aubois.Largement présente en France, la société auboise espère aussi conquérir davantage de marchés internationaux. « Aujourd’hui, on travaille beaucoup avec le Royaume-Uni, la Norvège, la Suisse… Et, cette année, on a eu Andorre pour trois ans. Donc, on leur a envoyé un petit train Festilight », sourit Pierre Maroilley.Cantonné à de l’import-export à ses débuts en 1997, Festilight est désormais capable de mener des projets de A à Z sur des décorations et des aménagements de places, tout en répondant à la demande croissante de location matérielle. « Ça nous a amenés à faire évoluer nos produits pour qu’ils soient plus durables dans le temps », explique le patron aubois. Depuis 2022, l’entreprise s’est équipée en imprimantes 3D « qui nous permettent d’être beaucoup plus réactifs et aussi de retravailler dans un cercle de vie plus vertueux tous les déchets de production », souligne-t-il. Des décors peuvent ainsi être conçus à l’aide de plastique recyclé.Des LED de plus en plus économesEn parallèle, Festilight s’est aussi positionné dès 2004 sur le marché des guirlandes et autres éclairages économes en énergie à travers les LED. « Au début, c’était particulier, car les gens n’étaient pas toujours très amènes aux changements », souffle Pierre Maroilley, qui s’appuie sur le travail en recherche et développement de son bureau d’études, et sur les progrès constants sur le plan esthétique et énergétique. « Il y a encore deux ans, on a refait évoluer nos LED en diminuant quasiment d’un tiers la consommation électrique de chaque point lumineux », salue le président.À l’avenir, Festilight entend pérenniser sa rentabilité face à l’incertitude du contexte économique et politique que Pierre Maroilley a notamment ressenti au dernier salon des maires, à Paris. « Que ce soit des petites, moyennes ou grosses collectivités, on sent qu’il y a des réductions de budget », relève-t-il. « La question est de savoir comment on doit arriver à mettre en œuvre des offres commerciales qui répondent à la fois à leurs besoins et qui leur permettent aussi de rester animées et de garder cette belle magie de Noël tous les ans. »Depuis 2022, l’entreprise a réussi à réintégrer sur l’agglomération troyenne une partie de sa production effectuée en Asie ou en Europe de l’Est. Elle souhaite désormais poursuivre ses capacités de fabrication pour des pièces spécifiques, et s’ouvrir de nouveaux marchés autour de la technologie LED.

Source LogoLe Parisien
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David Baverez, spécialiste de la Chine, auteur de «Bienvenue en économie de guerre» chez Novice

Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques... Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous les horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.

Source LogoEurope 1
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Ils veulent "réenchanter l'électricité" en France et voici leur plan

À côté de la programmation pluriannuelle de l’énergie, le gouvernement a promis pour le début de l’année une "stratégie d’électrification des usages". Car la France produit beaucoup d’électricité décarbonée et peu chère, mais sa consommation dépend à 60% des énergies fossiles. Permis de conduire électrique, pompes à chaleur et fiscalité... l'Union française de l’électricité, qui regroupe tous les acteurs de la filière, livre ses pistes pour électrifier la France.

Source LogoTF1 Info
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Blocages des agriculteurs : le point ce lundi dans les Hautes-Pyrénées, le Gers, la Haute-Garonne, les Pyrénées-Atlantiques, les Landes…

Les mobilisations agricoles en cours continuent de perturber fortement la circulation. Autoroutes fermées, déviations obligatoires et axes secondaires impactés : les préfectures font le point et appellent les usagers à la prudence ce lundi dans les Hautes-Pyrénées, le Gers, la Haute-Garonne, les Landes, l'Ariège, les Pyrénées-Atlantiques, l’Aude, le Lot-et-Garonne et les Pyrénées-Orientales.

Source LogoLa Semaine des Pyrénées
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Plus de 4 300 dollars l’once : pourquoi le cours de l’or bat tous les records

Le cours de l’or a atteint lundi 4 383,76 dollars l’once, battant son record d’octobre, les investisseurs anticipant de nouvelles baisses des taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine (Fed) l’an prochain. L’or avait atteint un précédent record en octobre, à 4 381,52 dollars l’once, ce qui représentait une hausse de 67 % depuis le début de l’année.Une série de données publiées la semaine dernière révèle en effet un affaiblissement du marché du travail américain et un ralentissement de l’inflation, incitant la banque centrale à assouplir davantage sa politique monétaire. Dans ce contexte, l’or confirme son statut de valeur refuge privilégiée, profitant pleinement des anticipations de détente monétaire et des incertitudes économiques persistantes.Lorsque les taux d’intérêt baissent, le métal jaune devient mécaniquement plus attractif. Contrairement aux obligations ou aux produits de taux, l’or ne génère pas de rendement, mais il ne souffre pas non plus de la baisse des rémunérations offertes par les actifs financiers classiques. La perspective d’un coût de l’argent plus faible réduit ainsi le « manque à gagner » lié à la détention d’or et encourage les investisseurs à se repositionner sur ce marché.La flambée des cours s’explique également par un climat géopolitique toujours tendu. Les conflits armés, les rivalités commerciales et les incertitudes politiques alimentent une demande accrue pour les actifs jugés les plus sûrs. L’or bénéficie aussi de l’appétit soutenu des banques centrales, notamment dans les pays émergents, qui poursuivent leurs achats afin de diversifier leurs réserves et de réduire leur dépendance au dollar.Inflation et équilibrage des portefeuillesLe repli progressif de l’inflation joue lui aussi un rôle clé. Si la hausse des prix a longtemps soutenu l’or comme protection contre l’érosion du pouvoir d’achat, le ralentissement actuel modifie la nature de la demande. Les investisseurs ne cherchent plus seulement à se couvrir contre l’inflation, mais anticipent désormais une phase de croissance plus molle, voire de ralentissement économique, qui renforcerait encore l’attrait du métal précieux.Sur les marchés financiers, la montée de l’or s’inscrit dans un mouvement plus large de repositionnement des portefeuilles. Les actions restent volatiles, les obligations peinent à offrir une visibilité claire, et le dollar montre des signes de fragilisation face aux attentes de baisse des taux. Dans cet environnement, l’or apparaît comme un point d’ancrage, à la fois instrument de protection et pari sur l’évolution future de la politique monétaire américaine.Reste à savoir si cette envolée peut se prolonger. Une confirmation rapide d’un virage accommodant de la Fed pourrait soutenir durablement les cours. À l’inverse, un regain de vigueur de l’économie américaine ou un rebond de l’inflation pourrait freiner l’élan actuel.

Source LogoLe Parisien
Clôture de liquidation Clôture de liquidation RS ORGA

VIE JURIDIQUE DES SOCIETES - Dissolutions/Liquidations/Cessations Lecture zen 22/12/2025 RS ORGA RS ORGA, SAS en cours de liquidation au capital de 1 000 €. Siège social : 32 rue de Terre Neuve 76400 FECAMP. 917 552 408 RCS LE HAVRE. Par décision en date du 24/11/25, l’associée unique a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liquidateur Mme Marjorie SAIVES-RIESGO demeurant 32 rue de Terre Neuve 76400 FECAMP et déchargé ce dernier de son mandat, puis a constaté la clôture définitive de la liquidation. Le dépôt des actes sera effectué au greffe du tribunal des activités économiques du Havre. Pour avis, RS ORGA WEB_Légales76_paris_normandiefr 20539474 22/03/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- Clôture de liquidation Clôture de liquidation RS ORGA

Source LogoParis Normandie
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Pourquoi faut-il investir dans l'or même si son cours est au plus haut ?

La hausse continue de la demande en or par les particuliers, alors que son cours bat des records, est-il un signe d’une perte de confiance envers les placements traditionnels ? Est-ce un investissement risqué et faut-il nécessairement être aisé pour se lancer sur ce marché ? Nous avons posé ces questions et d'autres encore à Jean-François Faure, président-fondateur de la plateforme AuCoffre, spécialisée dans ce matériau si précieux.

Source LogoPlanet.fr
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Pas de budget voté : quelles conséquences pour nos finances ?

Sébastien Lecornu n’est pas encore en vacances. Après l’échec du vote du budget en commission mixte paritaire, il ne reste plus que l’option d’une loi spéciale. Cette mesure, une sorte de rustine, permettra d’éviter le blocage financier et de reconduire l’ancien budget pour un mois, avec tout de même des conséquences. Elle créera des déséquilibres parmi les entreprises et les Français. Selon le ministère de l'Économie, quelque 200 000 ménages verront leurs impôts sur le revenu augmenter.

Source LogoTF1 Info
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Colère des agriculteurs : des chefs étoilés expriment leur soutien à la profession

Alors que la colère a éclaté depuis quelques jours dans le monde agricole : plusieurs grands chefs cuisiniers ont décidé d’apporter leur soutien à la profession. Ce dimanche, malgré les appels gouvernementaux à une « trêve de Noël », des barrages d’agriculteurs ont été maintenus pour protester contre la gestion par le gouvernement de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC).Jacques Marcon, chef triplement étoilé des Maisons Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid (Haute-Loire), raconte ce dimanche sur BFMTV qu’il a rejoint l’un de ces blocages cette semaine au Puy-en-Velay, où il a ainsi manifesté pour « la première fois de sa vie : C’était pour soutenir tous mes copains paysans et éleveurs (…), poursuit le chef cuisinier. Parce qu’il y a une vraie inquiétude par rapport à la DNC et surtout par rapport au Mercosur ».« C’est une osmose entre nous »« On n’écoute pas les paysans, on écoute qu’une seule voix de l’agriculture, celle d’un grand syndicat qui prône le libéralisme. Mais nos viandes, nos betteraves seront toujours plus chères que celles d’Amérique du Sud. On ne pense qu’au prix, alors qu’on devrait penser environnement, santé et souveraineté alimentaire », déplore-t-il sur la chaîne d’informations.Un constat partagé par Glenn Viel, chef trois étoiles de L’Oustau de Baumanière, aux Baux-de-Provence (Bouches-du-Rhône). « Je comprends leur désarroi et leurs doutes. J’ai l’impression qu’ils ne sont pas vraiment entendus, alors que la France a besoin d’eux », affirme-t-il sur BFMTV. Et d’ajouter : « ce sont des travailleurs qui œuvrent du matin au soir, gagnent très peu et sont au service du pays. Il faut remettre l’église au milieu du village et les soutenir. »Le chef cuisinier mondialement connu Marc Veyrat a lui aussi apporter son soutien aux agriculteurs figure emblématique de la gastronomie française et ancien chef triplement étoilé, ne cache pas non plus sa colère. « L’agriculture est le seul fleuron qui nous reste à travers le monde. La gastronomie, c’est la terre, c’est une osmose entre nous. Si on perd nos agriculteurs, nous (les chefs) allons perdre en vitesse », alerte-t-il.

Source LogoLe Parisien
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L'usine à gâteaux : 250 bûches à l'heure !

Avec ses 51 points de vente, la pâtisserie La Romainville est l'une des plus grandes enseignes pâtissières de la Métropole. L'usine compte 270 salariés qui travaillent à la chaîne pour produire 900 000 gâteaux chaque année. Pour les fêtes de fin d'année, cette chaîne de pâtisserie met les bouchées doubles. En décembre, son laboratoire doit tenir la cadence avec 250 bûches à l'heure. Christian, avec ses 38 ans de maison, est aux manettes. Il est un as de la crème au beurre.

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«Au début, ça faisait sourire les gens» : comment la vallée du Gier dans la Loire s’est mise à l’huile d’olive

De l’huile d’olive produite dans le Gier (Loire). Il y a dix ans, personne ou presque n’aurait pu l’imaginer. Industrielle, traversée par une autoroute (l’A47), la vallée, longue de 44 km qui relie les départements du Rhône et de la Loire n’avait pas le profil. Aujourd’hui pourtant, ses coteaux verdissent. Au milieu des arbres fruitiers - l’activité agricole principale du secteur - à Saint-Joseph, Genilac et Saint-Paul-en-Jarez, poussent de beaux oliviers. Les arbres ont été plantés au pied du parc naturel régional du Pilat d’un côté et sur les contreforts des monts du Lyonnais de l’autre.Un vrai miracle rendu possible grâce à des passionnés, engagés dans la lutte contre le gaspillage alimentaire, qui ont commencé à récolter les olives dans les jardins des particuliers de plusieurs villages afin de produire de l’huile d’olive. Ils ont ainsi créé un collectif, l’Union des oléiculteurs amateurs et professionnels du pays du Gier. Le bouche-à-oreille et les réseaux sociaux ont fait le reste. La récolte des olives a eu lieu début décembre et a été plutôt satisfaisante : 972 kg d’olives qui ont permis de produire 133 litres, avec un bon ratio de 7,3 kg pour 1 litre. Les olives ont été pressées dans un moulin à Bourg-Saint-Andéol en Ardèche, puis les habitants qui avaient fait don de leur récolte ont reçu leurs bouteilles.

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Le journal de 8h du 21/12/2025
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Le journal de 7h du 21/12/2025
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L’info du jour | 21 décembre 2025 - Matin
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Le journal de 6h du 21/12/2025
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Électricité : avec la fin du dispositif Arenh, vos factures risquent de flamber dès l’année prochaine

La fin d’une époque ! Pendant quinze ans, les tarifs proposés par les fournisseurs d’électricité étaient en partie protégés par un dispositif au patronyme fort singulier : l’Arenh, ou Accès régulé à l’électricité nucléaire historique. Soit une obligation imposée à EDF de revendre au rabais (42 euros le mégawattheure, ou MWh, quand il s’échange aujourd’hui autour de 60, et bien plus à certains moments) entre un quart et un tiers de l’électricité de ses réacteurs nucléaires à tous les fournisseurs.Une belle ristourne, mise en place en 2011 pour gommer l’avantage historique d’EDF, exploitant du parc nucléaire français depuis sa construction à partir des années 1970. De quoi permettre aux fournisseurs, depuis l’ouverture des marchés de l’énergie (en 2007 pour les particuliers), de pouvoir conquérir des parts de marché en proposant à leurs clients, particuliers comme entreprises, des tarifs plus concurrentiels.

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Accord UE-Mercosur : Lula en appelle au "courage" des dirigeants européens
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Accord avec le Mercosur : Lula en appelle au "courage politique" des dirigeants de l'UE
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Crise agricole : Lula mise sur une France isolée ne pouvant empêcher l’accord UE-Mercosur
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Mercosur/Europe : un accord gagnant-perdant ? - 20/12
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« Pas de budget, pas de guichet » : MaPrimeRénov’suspendue dès le 1er janvier, confirme le ministre du Logement

Mauvaise nouvelle pour les propriétaires qui espéraient rénover leur logement : le guichet du dispositif d’aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov’sera bien suspendu au 1er janvier, le Parlement ayant échoué à trouver un compromis sur le budget, a confirmé ce dimanche 21 décembre le ministre du Logement Vincent Jeanbrun.« Je l’avais dit : pas de budget, pas de guichet », a-t-il déclaré sur France 3. « On espérait pouvoir redémarrer sur les chapeaux de roues en janvier, en ayant bien dimensionné tout le dispositif, mais effectivement avec une loi spéciale, ça ne sera pas possible, donc on ne pourra pas rouvrir le guichet », a-t-il ajouté.Une « rustine » qui bloque les dépenses« En fait la loi spéciale, c’est pas un budget, c’est une espèce de rustine qui permet de ne pas tout bloquer, mais qui en revanche, bloque toute dépense non contractuelle », a expliqué le ministre.« Sans budget, on ne pourra pas décaisser l’argent », a-t-il ajouté. « Donc on ne va pas ouvrir un guichet en disant « déposez vos dossiers et puis on vous dira dans deux mois, dans trois mois si on est capable de les financer ou pas ». Ça n’aurait pas de sens ».Selon les projections de l’Agence nationale de l’habitat (Anah), l’organisme chargé de gérer MaPrimeRénov’, environ 120 000 logements devaient être rénovés en 2026 grâce au dispositif. Cet objectif est désormais compromis par la suspension du guichet.Des suspensions à répétitionCe n’est d’ailleurs pas la première fois que MaPrimeRénov’connaît des interruptions. Le dispositif avait déjà été suspendu plusieurs semaines début 2025, puis partiellement pendant l’été, créant une incertitude permanente pour les ménages engagés dans des projets de rénovation énergétique.En effet, l’année 2025 avait déjà été marquée par une forte réduction budgétaire : l’enveloppe allouée à MaPrimeRénov’était passée de 3,29 milliards d’euros en 2024 à 2,3 milliards en 2025, soit une baisse de près d’un milliard d’euros.Cette diminution avait provoqué l’épuisement rapide des fonds, contraignant l’Anah à suspendre le dispositif dès le mois de juin, avant de le rouvrir partiellement en septembre, uniquement pour les ménages aux revenus très modestes. Les professionnels du bâtiment avaient vivement critiqué ces interruptions successives, alertant sur leurs conséquences pour le secteur de la rénovation.Dans ce contexte, Vincent Jeanbrun a appelé à adopter un budget « le plus rapidement possible ».

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Noël : frénésie dans les coulisses des supermarchés

En ce dernier dimanche avant Noël, tous les magasins sont exceptionnellement ouverts, à commencer par les supermarchés. Les clients en quête de la bonne idée et de la bonne affaire. Une logistique qui ne s'improvise pas vraiment. Dans un entrepôt situé en région parisienne, l'équation est complexe : il faut prévoir suffisamment sans risquer le gaspillage. Au sein de ses 20 000 mètres carrés arrivent chaque nuit 15 000 références de produits frais qui vont garnir vos tables de Noël.

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Souveraineté alimentaire : «Quand vous avez le choix, choisissez un produit français», lance Stéphane Layani, président du Marché International de Rungis

Invité d'Europe 1 Matin Week-end, Stéphane Layani, président du Marché International de Rungis, a encouragé les consommateurs à choisir des produits français pour leurs repas, et notamment pour les fêtes. Un appel à la préférence nationale alors que les agriculteurs se mobilisent contre une signature éventuelle de l'accord UE-Mercosur en janvier prochain.

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Colère des agriculteurs : la mobilisation faiblit mais des blocages d’autoroutes persistent dans le Sud-Ouest

La mobilisation agricole se disperse peu à peu en ce premier week-end des vacances de Noël. Alors que les vacanciers ont commencé leurs déplacements hier, samedi 20 décembre, sur des routes encombrées, le nombre de blocages a nettement diminué.Le ministère de l’Intérieur recensait 50 actions en fin de journée samedi, mobilisant 1 619 agriculteurs, contre 93 actions et « moins de 4 000 personnes » vendredi soir. Une baisse significative qui témoigne d’un début de désescalade, même si certains bastions résistent encore, notamment dans le Sud-Ouest.Une trêve de Noël qui s’installe progressivementLa « trêve de Noël » appelée de ses vœux par le gouvernement semble progressivement se mettre en place. Plusieurs barrages ont été levés samedi dans le Sud-Ouest : l’A75 a rouvert au sud du viaduc de Millau à 18h30, l’A89 a été dégagée en Dordogne près de Périgueux, et le tunnel du Lioran dans le Cantal a finalement été libéré. En Haute-Vienne, la préfecture a annoncé « la fin du blocage au nord de Limoges », tandis qu’en Corrèze, la Coordination rurale a levé ses barrages sur l’A20 au niveau de Brive et sur l’A89 à Ussel.Malgré cette désescalade, la Coordination rurale a tenu à préciser dans un communiqué qu’elle « n’appelle pas à la fin des mobilisations sur le terrain ». Son président, Bertrand Venteau, « sera bien présent le 5 janvier pour la prochaine rencontre avec le Premier ministre » afin de « maintenir la pression sur les négociations ». La Confédération paysanne assure de son côté que « l’ensemble des équipes mobilisées sur les terrains est déterminé à rester en action ».L’A64 et l’A63, derniers bastions de la contestationDans le Sud-Ouest, plusieurs axes majeurs restent bloqués ce dimanche. « Des perturbations persistent sur le réseau entre Bayonne et Toulouse vers les Pyrénées. Des difficultés de circulation pourraient perdurer pour le début et/ou une partie des vacances scolaires », indique VINCI Autoroutes sur son site.Ainsi, l’A64 entre Toulouse et Bayonne demeure fermée sur plus de 180 km, de la Haute-Garonne aux Pyrénées-Atlantiques. À Carbonne, les Ultras de l’A64, menés parJérôme Bayle, n’ont pas l’intention de lâcher cette bande de bitume où ils se sont installés depuis une semaine. « On ne va pas se laisser intimider, il faut être là car on a tous une revendication à porter », confiait Vincent Riffet, céréalier à quelques kilomètres de là.Sur l’A63, le barrage à Cestas, près de Bordeaux, se maintient. Fabrice Lagueyt, éleveur de bovins en Gironde et coprésident de la Coordination rurale de Gironde, a déclaré samedi matin à l’AFP que le blocage serait maintenu « pour le moment minimum jusqu’à dimanche soir ». L’autoroute reste ouverte dans le sens Bordeaux-Bayonne avec une courte déviation. En Ariège, le blocage de la N20 à Tarascon-sur-Ariège pour accéder à Andorre perdure, impactant les camions et cars, tandis que les véhicules légers peuvent circuler.Des actions localisées dans d’autres régionsEn dehors du Sud-Ouest, quelques actions ponctuelles se sont déroulées samedi. À Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône, 200 à 250 personnes se sont rassemblées avec 300 brebis et 250 agneaux sur le parking d’un hypermarché, à l’appel de la Confédération paysanne.En Indre-et-Loire, plusieurs barrages subsistaient sur l’A10, notamment à hauteur de Château-Renault et Sainte-Maure-de-Touraine. Dans le Jura, une « action festive » était organisée au rond-point de l’autoroute de Bersaillin, tandis que dans la Vienne, une quarantaine d’éleveurs manifestaient déguisés en vache devant la préfecture de Poitiers.Le dossier de la dermatose toujours en suspensLe point de crispation majeur reste la gestion de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Samedi soir, le Premier ministre Sébastien Lecornu a fait le point sur les vaccinations, indiquant que « près de 50 % du cheptel ariégeois est vacciné », plus de « 70 % dans l’Aude » et « 100 % du cheptel dans les Pyrénées-Orientales ». « Au total, près d’un bovin sur cinq est vacciné dans les dix départements » concernés par la généralisation de la vaccination, a-t-il précisé sur X. Une nouvelle réunion est prévue début janvier entre le gouvernement et les syndicats agricoles.

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« Ce n’était pas pour toutes les bourses » : avec les derniers clients des Galeries Lafayette de Rosny 2

Les Galeries, c’est fini. Le grand magasin de prêt-à-porter, Les Galeries Lafayette de Rosny, son unique magasin en Seine-Saint-Denis, installé dans le centre commercial Westfield Rosny 2 baissera définitivement le rideau le 23 décembre.Mais en ce dernier week-end avant la fermeture, l’enseigne n’est déjà plus vraiment là. Dès l’entrée, le visiteur est accueilli par deux grandes affiches orange sur lesquelles s’étirent onze larges lettres noires : LIQUIDATION. L’enseigne lumineuse « Galeries Lafayette » a déjà été décrochée du fronton.

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Quand les réseaux sociaux inspirent les industriels

Du côté des tables de réveillon, les tendances ont été déterminées, il y a déjà plusieurs mois par les services marketing de l'industrie agroalimentaire. C'est un peu à l'image de ce qui se passe dans le secteur de la mode. Les créateurs de bûche et autres galettes des rois s'inspirent de plus en plus des réseaux sociaux. La galette de cookies fait l'objet de toutes les attentions. À l'heure actuelle, une marque a besoin de créer l'événement à travers les réseaux sociaux avec des demandes improbables.

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Bons d'achat : ils allègent la facture de Noël

À quatre jours de Noël, les magasins sont remplis de monde. Et à la caisse, il n'est désormais plus rare de payer avec des bons d'achat. Bien souvent, les entreprises les donnent à leur salarié. C'est un système où les enseignes, elles, aussi sont gagnantes. Si un salarié dépense un chèque-cadeau de 100 euros, il aura coûté en moyenne 106 euros à son entreprise avec la commission. Le commerçant gagne lui 96 euros. Pour ce service, le prestataire reçoit donc en moyenne dix euros au total.

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