menulogo
Actualités 24
light modedark mode
notifications
Notifications
notifications
Aucune notification non lue.
user
Close

Économie

FollowSuivre
À suivre
Toute l’actualité sur l’économie, la finance, les entreprises, les marchés et les affaires en France et dans le monde.
Clôture de liquidation Clôture de liquidation RS ORGA

VIE JURIDIQUE DES SOCIETES - Dissolutions/Liquidations/Cessations Lecture zen 22/12/2025 RS ORGA RS ORGA, SAS en cours de liquidation au capital de 1 000 €. Siège social : 32 rue de Terre Neuve 76400 FECAMP. 917 552 408 RCS LE HAVRE. Par décision en date du 24/11/25, l’associée unique a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liquidateur Mme Marjorie SAIVES-RIESGO demeurant 32 rue de Terre Neuve 76400 FECAMP et déchargé ce dernier de son mandat, puis a constaté la clôture définitive de la liquidation. Le dépôt des actes sera effectué au greffe du tribunal des activités économiques du Havre. Pour avis, RS ORGA WEB_Légales76_paris_normandiefr 20539474 22/03/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- Clôture de liquidation Clôture de liquidation RS ORGA

Source LogoParis Normandie
France 24France 24
Les manifestations agricoles refluent, hormis dans le Sud-Ouest
20 Minutes20 Minutes
Crise agricole : Moins d’une dizaine de barrages… La mobilisation des agriculteurs en perte de vitesse
Journal de Saône-et-LoireJournal de Saône-et-Loire
Agriculture. Une dizaine de barrages maintenus : les manifestations agricoles refluent, hormis dans le Sud-Ouest
Le Dauphiné LibéréLe Dauphiné Libéré
Agriculture. Une dizaine de barrages maintenus : les manifestations agricoles refluent, hormis dans le Sud-Ouest
News Image
Pourquoi faut-il investir dans l'or même si son cours est au plus haut ?

La hausse continue de la demande en or par les particuliers, alors que son cours bat des records, est-il un signe d’une perte de confiance envers les placements traditionnels ? Est-ce un investissement risqué et faut-il nécessairement être aisé pour se lancer sur ce marché ? Nous avons posé ces questions et d'autres encore à Jean-François Faure, président-fondateur de la plateforme AuCoffre, spécialisée dans ce matériau si précieux.

Source LogoPlanet.fr
News Image
L’Etat fait les poches des contribuables avec un impôt proportionnel, mais excessif

Une nouvelle contribution fiscale, la CDHR a été prélevée d’avance en décembre 2025 sous la menace de sanctions disproportionnées. C’est de l’extorsion. Mais par là même l’Etat institue et valide une flat tax intégrale. Le 15 décembre 2025 au plus tard, les contribuables susceptibles d’être assujettis à la Contribution différentielle sur les hauts revenus, CDHR, […] L’article L’Etat fait les poches des contribuables avec un impôt proportionnel, mais excessif est apparu en premier sur Contrepoints.

Source LogoContrepoints
News Image
Les prélèvements obligatoires sur les entreprises sont cinq fois plus élevés que les aides

Depuis la commission d’enquête sénatoriale sur « l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises et à leurs sous-traitants », le chiffre de 211 milliards d’euros (Md€) d’aides publiques est considéré comme indiscutable. Contrepoints l’a dénoncé : ce chiffre est faux et idiot. L’ancien magistrat à la Cour des comptes et animateur du site internet Fipeco, François Écale, vient […] L’article Les prélèvements obligatoires sur les entreprises sont cinq fois plus élevés que les aides est apparu en premier sur Contrepoints.

Source LogoContrepoints
News Image
En 2025, environ 800 multimillionnaires ont quitté la France et plus de 3 600 se sont établis en Italie

Ceux qui pratiquent la chasse aux riches seront contents des chiffres que révèle le cabinet Henley&Partners sur la migration des multimillionnaires. Sans surprise, beaucoup de Français parmi les plus riches quittent le pays en nombre et le phénomène risque de s’accélérer en 2026 après l’adoption d’un budget qui taxe encore plus les grandes fortunes. Notre […] L’article En 2025, environ 800 multimillionnaires ont quitté la France et plus de 3 600 se sont établis en Italie est apparu en premier sur Contrepoints.

Source LogoContrepoints
Le rush des fêtes au MIN de Rouen : Au Gibier de France, la pépite régionale qui fournit Rungis

Stéphane Allais, gérant d’Au Gibier de France sur le marché d’intérêt national de Rouen, fier de présenter des volailles d’exception. - Photo Stéphanie Péron-Clément Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:07 Lecture zen L’adresse est méconnue des particuliers, son entrée est d’ailleurs discrète : c’est Au Gibier de France, au marché d’intérêt national (MIN) de Rouen. Une vraie pépite à rayonnement plus que régional. On est allé rencontrer son patron, Stéphane Allais, pour qu’il nous explique son métier et surtout comment il gère l’afflux de commandes festives dans cette période où les tables se doivent d’afficher un certain prestige. Premier épisode d’une série sur les artisans du MIN, à l’occasion des fêtes de fin d’année 2025. Consultez l’actualité en vidéo Installés depuis 45 ans au MIN de Rouen, les locaux d’Au Gibier de France ne paient guère de mine : une entrée tout étroite, des couloirs, des ateliers de découpe… Le trésor est pourtant bien là. Les oies label rouge, les pintades chaponnées, les foies gras crus, les saumons fumés sauvages d’Écosse, les faisans, perdreaux, colverts, chevreuils, sangliers, chapons de Bresse, chapons à pattes bleues, les grouses et autres délices exclusivement carnivores. Végétariens, passez votre chemin…De la campagne jusqu’au marché d’intérêt national« On a deux métiers », résume à Paris Normandie Stéphane Allais. « Nous sommes à la fois des grossistes en volailles mais aussi des spécialistes de viandes de chasse, qu’on essaye de sourcer en local. Cela représente 90 % de nos approvisionnements ». Un drôle de métier car Stéphane Allais, avant de reprendre l’entreprise de son père et de son grand-père au MIN, a été éleveur de sangliers à Saint-Pierre-de-Manneville et Boos. Au MIN, les particuliers peuvent aller chercher Au Gibier de France les produits sourcés par le gérant Stéphane Allais. - Photo Stéphanie Péron-Clément À lire aussi Ce domaine de chasse au cœur de l’Eure est un paradis pour chiens et chasseurs « J’aime la chasse. J’ai des contrats avec des sociétés de chasse, l’Office national des forêts. Tout ce qui est abattu en trop par rapport aux besoins d’autoconsommation des chasseurs peut m’intéresser. Je sillonne tous les jours la campagne, dans le département mais aussi dans l’Eure, l’Oise et la Somme, pour récupérer aussi vite que possible ces animaux. Si les chasseurs n’ont pas de frigo, je me déplace aussitôt », raconte, le café du matin à la main, Stéphane Allais. Un café mérité : ses journées commencent le plus souvent à minuit et se terminent dans l’après-midi.Un client a parcouru 400 kilomètres pour chercher ses lièvres« La viande de chasse a la réputation d’être forte en goût, les particuliers en consomment de moins en moins et c’est dommage. On essaye de communiquer autour pour la remettre dans les assiettes. On a ainsi distribué 1200 parts de sanglier cuisiné aux bénéficiaires de Restos du Cœur ». Chaque semaine Au Gibier de France reçoit près de 10 tonnes de viande et le rush des fêtes fait augmenter la cadence d’environ 20 %. - Photo Stéphanie Péron-Clément « Nous avons un des dix ateliers de France dédié à la viande de chasse où, après un contrôle vétérinaire bien sûr, on peut préparer, découper, présenter ces viandes exceptionnelles ». Une vraie pépite régionale que bien des particuliers – qui peuvent commander et venir chercher leur marchandise – nous envient. « J’ai un client qui ne trouvait plus de viande de chasse, il a fait 400 kilomètres pour récupérer ses lièvres. On travaille à façon pour répondre à chaque client selon ses besoins ». À lire aussi Ouverture de la chasse dans l’Eure : le patron des chasseurs fait le point Seulement 6 % de la viande de chasse passe par un atelier comme celui du Gibier de France. « Le reste, c’est de l’autoconsommation et aussi le marché gris », c’est-à-dire des transactions directes, avec ou sans fiscalité mais toujours sans contrôle vétérinaire – entre chasseurs et transformateurs.Les fêtes, c’est 20 % d’activité en plusC’est Au Gibier de France qui, avec d’autres, fournit le marché de Rungis. « Le gibier, pour vous donner une idée, c’est environ 400 à 500 sangliers à l’année, de 5 à 10 000 petits oiseaux. Ce qui est compliqué, c’est que les chasseurs ne chassent pas toujours la même quantité par semaine. Il y a quinze jours, j’ai récupéré 60 sangliers, cette semaine seulement trois. Tout confondu, avec les volailles d’élevage, on reçoit et réexpédie 10 tonnes de marchandise par semaine mais pour les fêtes, on augmente la cadence avec 20 % d’activité en plus », confie Stéphane Allais. À lire aussi Marais Vernier : une tour d’observation en bois pour contempler la faune migratoire Ce lundi 15 décembre 2025, le téléphone de Stéphane Allais commençait de chauffer au rouge avec des commandes incessantes pour les fêtes alors même que les premières dindes commençaient d’être sacrifiées dans les abattoirs, sachant que l’entreprise fournit surtout des restaurants et des professionnels mais que les particuliers y sont les très bienvenus.Bientôt un site de commande pour tous par internetLes fêtes : un moment particulier où Au Gibier de France n’embauche pas d’extras – ils ne sont qu’une dizaine de salariés – mais où les ateliers passent la surmultipliée pour assurer les livraisons. Plumée, vidée, prête à rôtir : cette volaille d’exception est disponible aux simples particuliers qui passent la porte d’Au Gibier de France du MIN de Rouen. - Photo Stéphanie Péron-Clément « En 2026, j’espère pouvoir monter un site de commande sur internet à destination de tous les publics. Nous ne sommes pas en capacité de livrer avec nos propres moyens les clients mais on peut imaginer qu’on passerait par un prestataire pour des livraisons ultra-fraîches », détaille le patron entre deux commandes. Par Benoît MARIN-CURTOUD Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Le rush des fêtes au MIN de Rouen : Au Gibier de France, la pépite régionale qui fournit Rungis Comment les artisans du marché d’intérêt national de Rouen assurent-ils le rush des fêtes ? Exemple avec l’entreprise Au Gibier de France, une pépite régionale qui sait garnir les tables d’exception.

Source LogoParis Normandie
News Image
Pas de budget voté : quelles conséquences pour nos finances ?

Sébastien Lecornu n’est pas encore en vacances. Après l’échec du vote du budget en commission mixte paritaire, il ne reste plus que l’option d’une loi spéciale. Cette mesure, une sorte de rustine, permettra d’éviter le blocage financier et de reconduire l’ancien budget pour un mois, avec tout de même des conséquences. Elle créera des déséquilibres parmi les entreprises et les Français. Selon le ministère de l'Économie, quelque 200 000 ménages verront leurs impôts sur le revenu augmenter.

Source LogoTF1 Info
News Image
Colère des agriculteurs : des chefs étoilés expriment leur soutien à la profession

Alors que la colère a éclaté depuis quelques jours dans le monde agricole : plusieurs grands chefs cuisiniers ont décidé d’apporter leur soutien à la profession. Ce dimanche, malgré les appels gouvernementaux à une « trêve de Noël », des barrages d’agriculteurs ont été maintenus pour protester contre la gestion par le gouvernement de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC).Jacques Marcon, chef triplement étoilé des Maisons Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid (Haute-Loire), raconte ce dimanche sur BFMTV qu’il a rejoint l’un de ces blocages cette semaine au Puy-en-Velay, où il a ainsi manifesté pour « la première fois de sa vie : C’était pour soutenir tous mes copains paysans et éleveurs (…), poursuit le chef cuisinier. Parce qu’il y a une vraie inquiétude par rapport à la DNC et surtout par rapport au Mercosur ».« C’est une osmose entre nous »« On n’écoute pas les paysans, on écoute qu’une seule voix de l’agriculture, celle d’un grand syndicat qui prône le libéralisme. Mais nos viandes, nos betteraves seront toujours plus chères que celles d’Amérique du Sud. On ne pense qu’au prix, alors qu’on devrait penser environnement, santé et souveraineté alimentaire », déplore-t-il sur la chaîne d’informations.Un constat partagé par Glenn Viel, chef trois étoiles de L’Oustau de Baumanière, aux Baux-de-Provence (Bouches-du-Rhône). « Je comprends leur désarroi et leurs doutes. J’ai l’impression qu’ils ne sont pas vraiment entendus, alors que la France a besoin d’eux », affirme-t-il sur BFMTV. Et d’ajouter : « ce sont des travailleurs qui œuvrent du matin au soir, gagnent très peu et sont au service du pays. Il faut remettre l’église au milieu du village et les soutenir. »Le chef cuisinier mondialement connu Marc Veyrat a lui aussi apporter son soutien aux agriculteurs figure emblématique de la gastronomie française et ancien chef triplement étoilé, ne cache pas non plus sa colère. « L’agriculture est le seul fleuron qui nous reste à travers le monde. La gastronomie, c’est la terre, c’est une osmose entre nous. Si on perd nos agriculteurs, nous (les chefs) allons perdre en vitesse », alerte-t-il.

Source LogoLe Parisien
News Image
Taxe foncière : comment et jusqu’à quand est-il possible de la contester ?

Alors que la taxe foncière a largement augmenté en 10 ans, plusieurs critères peuvent permettre d'obtenir une exonération partielle ou totale sur cet impôt. Si vous avez détecté une erreur sur votre avis, une réclamation est toujours possible. Il n'est pas trop tard pour contester votre taxe foncière, y compris celle de l'année dernière. Alors qu'elle fait partie des impôts à payer une fois par an, s'appliquant à l'ensemble des propriétaires d'un bien immobilier, il est possible qu'en fonction de votre situation ou de votre logement, vous en soyez exonérés partiellement ou totalement. Une donnée à prendre en compte, puisqu'en 10 ans, cet impôt a augmenté de 37,3% entre 2014 et 2024. Alors deux conseils : pensez à bien lire attentivement votre avis et renseignez-vous sur la possibilité de bénéficier d'un allègement total ou partiel. Plusieurs critères peuvent entrer en compte, que ce soit sur le bien ou la personne ...

Source LogoCNEWS
News Image
L'usine à gâteaux : 250 bûches à l'heure !

Avec ses 51 points de vente, la pâtisserie La Romainville est l'une des plus grandes enseignes pâtissières de la Métropole. L'usine compte 270 salariés qui travaillent à la chaîne pour produire 900 000 gâteaux chaque année. Pour les fêtes de fin d'année, cette chaîne de pâtisserie met les bouchées doubles. En décembre, son laboratoire doit tenir la cadence avec 250 bûches à l'heure. Christian, avec ses 38 ans de maison, est aux manettes. Il est un as de la crème au beurre.

Source LogoTF1 Info
News Image
«Au début, ça faisait sourire les gens» : comment la vallée du Gier dans la Loire s’est mise à l’huile d’olive

De l’huile d’olive produite dans le Gier (Loire). Il y a dix ans, personne ou presque n’aurait pu l’imaginer. Industrielle, traversée par une autoroute (l’A47), la vallée, longue de 44 km qui relie les départements du Rhône et de la Loire n’avait pas le profil. Aujourd’hui pourtant, ses coteaux verdissent. Au milieu des arbres fruitiers - l’activité agricole principale du secteur - à Saint-Joseph, Genilac et Saint-Paul-en-Jarez, poussent de beaux oliviers. Les arbres ont été plantés au pied du parc naturel régional du Pilat d’un côté et sur les contreforts des monts du Lyonnais de l’autre.Un vrai miracle rendu possible grâce à des passionnés, engagés dans la lutte contre le gaspillage alimentaire, qui ont commencé à récolter les olives dans les jardins des particuliers de plusieurs villages afin de produire de l’huile d’olive. Ils ont ainsi créé un collectif, l’Union des oléiculteurs amateurs et professionnels du pays du Gier. Le bouche-à-oreille et les réseaux sociaux ont fait le reste. La récolte des olives a eu lieu début décembre et a été plutôt satisfaisante : 972 kg d’olives qui ont permis de produire 133 litres, avec un bon ratio de 7,3 kg pour 1 litre. Les olives ont été pressées dans un moulin à Bourg-Saint-Andéol en Ardèche, puis les habitants qui avaient fait don de leur récolte ont reçu leurs bouteilles.

Source LogoLe Parisien
Europe 1Europe 1
Le journal de 8h du 21/12/2025
Europe 1Europe 1
Le journal de 7h du 21/12/2025
EuronewsEuronews
L’info du jour | 21 décembre 2025 - Matin
Europe 1Europe 1
Le journal de 6h du 21/12/2025
News Image
Électricité : avec la fin du dispositif Arenh, vos factures risquent de flamber dès l’année prochaine

La fin d’une époque ! Pendant quinze ans, les tarifs proposés par les fournisseurs d’électricité étaient en partie protégés par un dispositif au patronyme fort singulier : l’Arenh, ou Accès régulé à l’électricité nucléaire historique. Soit une obligation imposée à EDF de revendre au rabais (42 euros le mégawattheure, ou MWh, quand il s’échange aujourd’hui autour de 60, et bien plus à certains moments) entre un quart et un tiers de l’électricité de ses réacteurs nucléaires à tous les fournisseurs.Une belle ristourne, mise en place en 2011 pour gommer l’avantage historique d’EDF, exploitant du parc nucléaire français depuis sa construction à partir des années 1970. De quoi permettre aux fournisseurs, depuis l’ouverture des marchés de l’énergie (en 2007 pour les particuliers), de pouvoir conquérir des parts de marché en proposant à leurs clients, particuliers comme entreprises, des tarifs plus concurrentiels.

Source LogoLe Parisien
News Image
« Pas de budget, pas de guichet » : MaPrimeRénov’suspendue dès le 1er janvier, confirme le ministre du Logement

Mauvaise nouvelle pour les propriétaires qui espéraient rénover leur logement : le guichet du dispositif d’aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov’sera bien suspendu au 1er janvier, le Parlement ayant échoué à trouver un compromis sur le budget, a confirmé ce dimanche 21 décembre le ministre du Logement Vincent Jeanbrun.« Je l’avais dit : pas de budget, pas de guichet », a-t-il déclaré sur France 3. « On espérait pouvoir redémarrer sur les chapeaux de roues en janvier, en ayant bien dimensionné tout le dispositif, mais effectivement avec une loi spéciale, ça ne sera pas possible, donc on ne pourra pas rouvrir le guichet », a-t-il ajouté.Une « rustine » qui bloque les dépenses« En fait la loi spéciale, c’est pas un budget, c’est une espèce de rustine qui permet de ne pas tout bloquer, mais qui en revanche, bloque toute dépense non contractuelle », a expliqué le ministre.« Sans budget, on ne pourra pas décaisser l’argent », a-t-il ajouté. « Donc on ne va pas ouvrir un guichet en disant « déposez vos dossiers et puis on vous dira dans deux mois, dans trois mois si on est capable de les financer ou pas ». Ça n’aurait pas de sens ».Selon les projections de l’Agence nationale de l’habitat (Anah), l’organisme chargé de gérer MaPrimeRénov’, environ 120 000 logements devaient être rénovés en 2026 grâce au dispositif. Cet objectif est désormais compromis par la suspension du guichet.Des suspensions à répétitionCe n’est d’ailleurs pas la première fois que MaPrimeRénov’connaît des interruptions. Le dispositif avait déjà été suspendu plusieurs semaines début 2025, puis partiellement pendant l’été, créant une incertitude permanente pour les ménages engagés dans des projets de rénovation énergétique.En effet, l’année 2025 avait déjà été marquée par une forte réduction budgétaire : l’enveloppe allouée à MaPrimeRénov’était passée de 3,29 milliards d’euros en 2024 à 2,3 milliards en 2025, soit une baisse de près d’un milliard d’euros.Cette diminution avait provoqué l’épuisement rapide des fonds, contraignant l’Anah à suspendre le dispositif dès le mois de juin, avant de le rouvrir partiellement en septembre, uniquement pour les ménages aux revenus très modestes. Les professionnels du bâtiment avaient vivement critiqué ces interruptions successives, alertant sur leurs conséquences pour le secteur de la rénovation.Dans ce contexte, Vincent Jeanbrun a appelé à adopter un budget « le plus rapidement possible ».

Source LogoLe Parisien
News Image
Noël : frénésie dans les coulisses des supermarchés

En ce dernier dimanche avant Noël, tous les magasins sont exceptionnellement ouverts, à commencer par les supermarchés. Les clients en quête de la bonne idée et de la bonne affaire. Une logistique qui ne s'improvise pas vraiment. Dans un entrepôt situé en région parisienne, l'équation est complexe : il faut prévoir suffisamment sans risquer le gaspillage. Au sein de ses 20 000 mètres carrés arrivent chaque nuit 15 000 références de produits frais qui vont garnir vos tables de Noël.

Source LogoTF1 Info
News Image
Souveraineté alimentaire : «Quand vous avez le choix, choisissez un produit français», lance Stéphane Layani, président du Marché International de Rungis

Invité d'Europe 1 Matin Week-end, Stéphane Layani, président du Marché International de Rungis, a encouragé les consommateurs à choisir des produits français pour leurs repas, et notamment pour les fêtes. Un appel à la préférence nationale alors que les agriculteurs se mobilisent contre une signature éventuelle de l'accord UE-Mercosur en janvier prochain.

Source LogoEurope 1
News Image
Colère des agriculteurs : la mobilisation faiblit mais des blocages d’autoroutes persistent dans le Sud-Ouest

La mobilisation agricole se disperse peu à peu en ce premier week-end des vacances de Noël. Alors que les vacanciers ont commencé leurs déplacements hier, samedi 20 décembre, sur des routes encombrées, le nombre de blocages a nettement diminué.Le ministère de l’Intérieur recensait 50 actions en fin de journée samedi, mobilisant 1 619 agriculteurs, contre 93 actions et « moins de 4 000 personnes » vendredi soir. Une baisse significative qui témoigne d’un début de désescalade, même si certains bastions résistent encore, notamment dans le Sud-Ouest.Une trêve de Noël qui s’installe progressivementLa « trêve de Noël » appelée de ses vœux par le gouvernement semble progressivement se mettre en place. Plusieurs barrages ont été levés samedi dans le Sud-Ouest : l’A75 a rouvert au sud du viaduc de Millau à 18h30, l’A89 a été dégagée en Dordogne près de Périgueux, et le tunnel du Lioran dans le Cantal a finalement été libéré. En Haute-Vienne, la préfecture a annoncé « la fin du blocage au nord de Limoges », tandis qu’en Corrèze, la Coordination rurale a levé ses barrages sur l’A20 au niveau de Brive et sur l’A89 à Ussel.Malgré cette désescalade, la Coordination rurale a tenu à préciser dans un communiqué qu’elle « n’appelle pas à la fin des mobilisations sur le terrain ». Son président, Bertrand Venteau, « sera bien présent le 5 janvier pour la prochaine rencontre avec le Premier ministre » afin de « maintenir la pression sur les négociations ». La Confédération paysanne assure de son côté que « l’ensemble des équipes mobilisées sur les terrains est déterminé à rester en action ».L’A64 et l’A63, derniers bastions de la contestationDans le Sud-Ouest, plusieurs axes majeurs restent bloqués ce dimanche. « Des perturbations persistent sur le réseau entre Bayonne et Toulouse vers les Pyrénées. Des difficultés de circulation pourraient perdurer pour le début et/ou une partie des vacances scolaires », indique VINCI Autoroutes sur son site.Ainsi, l’A64 entre Toulouse et Bayonne demeure fermée sur plus de 180 km, de la Haute-Garonne aux Pyrénées-Atlantiques. À Carbonne, les Ultras de l’A64, menés parJérôme Bayle, n’ont pas l’intention de lâcher cette bande de bitume où ils se sont installés depuis une semaine. « On ne va pas se laisser intimider, il faut être là car on a tous une revendication à porter », confiait Vincent Riffet, céréalier à quelques kilomètres de là.Sur l’A63, le barrage à Cestas, près de Bordeaux, se maintient. Fabrice Lagueyt, éleveur de bovins en Gironde et coprésident de la Coordination rurale de Gironde, a déclaré samedi matin à l’AFP que le blocage serait maintenu « pour le moment minimum jusqu’à dimanche soir ». L’autoroute reste ouverte dans le sens Bordeaux-Bayonne avec une courte déviation. En Ariège, le blocage de la N20 à Tarascon-sur-Ariège pour accéder à Andorre perdure, impactant les camions et cars, tandis que les véhicules légers peuvent circuler.Des actions localisées dans d’autres régionsEn dehors du Sud-Ouest, quelques actions ponctuelles se sont déroulées samedi. À Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône, 200 à 250 personnes se sont rassemblées avec 300 brebis et 250 agneaux sur le parking d’un hypermarché, à l’appel de la Confédération paysanne.En Indre-et-Loire, plusieurs barrages subsistaient sur l’A10, notamment à hauteur de Château-Renault et Sainte-Maure-de-Touraine. Dans le Jura, une « action festive » était organisée au rond-point de l’autoroute de Bersaillin, tandis que dans la Vienne, une quarantaine d’éleveurs manifestaient déguisés en vache devant la préfecture de Poitiers.Le dossier de la dermatose toujours en suspensLe point de crispation majeur reste la gestion de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Samedi soir, le Premier ministre Sébastien Lecornu a fait le point sur les vaccinations, indiquant que « près de 50 % du cheptel ariégeois est vacciné », plus de « 70 % dans l’Aude » et « 100 % du cheptel dans les Pyrénées-Orientales ». « Au total, près d’un bovin sur cinq est vacciné dans les dix départements » concernés par la généralisation de la vaccination, a-t-il précisé sur X. Une nouvelle réunion est prévue début janvier entre le gouvernement et les syndicats agricoles.

Source LogoLe Parisien
News Image
« Ce n’était pas pour toutes les bourses » : avec les derniers clients des Galeries Lafayette de Rosny 2

Les Galeries, c’est fini. Le grand magasin de prêt-à-porter, Les Galeries Lafayette de Rosny, son unique magasin en Seine-Saint-Denis, installé dans le centre commercial Westfield Rosny 2 baissera définitivement le rideau le 23 décembre.Mais en ce dernier week-end avant la fermeture, l’enseigne n’est déjà plus vraiment là. Dès l’entrée, le visiteur est accueilli par deux grandes affiches orange sur lesquelles s’étirent onze larges lettres noires : LIQUIDATION. L’enseigne lumineuse « Galeries Lafayette » a déjà été décrochée du fronton.

Source LogoLe Parisien