menulogo
Actualités 24
notifications
Notifications
notifications
Aucune notification non lue.
user
Close

jeudi, novembre 6

www.actualites24.fr
ai

Régions

Couverture de l’actualité locale et des événements marquants dans les différentes régions et villes du pays.
FollowSuivre
UnfollowÀ suivre
News Image
Crécy-en-Ponthieu : La commune veut acheter trois hectares – Un jardin sur le champ de bataille ?

Le maire, Gérard Lheureux, souhaite créer sur le site un jardin « entre Saint-Riquier et Valloires » afin de le mettre en valeur, dans la lignée des statues récemment installées. La mairie est en négociation avec un agriculteur pour acheter des parcelles. La tour en bois Edouard III, six statues installées l’été 2024… et bientôt l’aménagement d’un […]

Source LogoL'Abeille de la Ternoise
Les écoliers de Notre-Dame-de-Bondeville auront bien leur nouvelle école dès le 5 janvier 2026

L’école Colette-Privat, en construction rue de l’Avenir à Notre-Dame-de-Bondeville, est toujours en cours de réalisation. - Photo Paris-Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:11 Lecture zen Il y a toujours un peu d’animation dans les séances du conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville et la séance du 5 novembre 2025 n’a pas dérogé à la règle, faisant d’ailleurs réagir l’opposante Virginie Bottais (Alliance Bondevillaise) qui a estimé « qu’au-delà de la commune on nous prend pour des bouffons. Le conseil municipal devient une pièce de théâtre. On perd en crédibilité et la reprise va être compliquée pour le prochain maire ». Consultez l’actualité en vidéo L’opposant Alain Quibel vote à bulletin secret, comme tout le conseil municipal, pour décider ou non de l’ouverture de l’école qu’il juge précipitée. - Photo Paris Normandie Incessantes passes d’armes entre oppositions et majoritéMais dans le même temps, cette séance a été majeure pour les écoliers de la ville puisqu’il a été voté que les écoles Duteurtre et Hugo allaient fermer en décembre et que les effectifs seront regroupés dès le 5 janvier 2026 dans l’école Colette-Privat toujours en construction et qui constitue le projet phare de la mandature de la maire Myriam Mulot avec la rénovation de la mairie. À lire aussi Reporté à deux reprises, le conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville à nouveau programmé Revenons sur le folklore en premier lieu avec des passes d’armes incessantes entre les oppositions et la maire Myriam Mulot, pour l’instant sous le coup d’une double enquête administrative et pénale pour divers manquements à la probité. Si Virginie Bottais promettait un avenir judiciaire sombre à la maire et à sa municipalité « corrompue », détaillant qu’elle avait encore de quoi déposer plainte, la maire Myriam Mulot a estimé qu’il ne s’agissait que de « la haine » et avait détaillé précédemment qu’elle réservait ses réponses aux enquêteurs. À notre connaissance, elle n’a pas été convoquée. L’opposition a réclamé et obtenu de la maire Myriam Mulot un vote à bulletin secret, espérant des défections au sein de la majorité municipale, ce qui ne s’est pas produit. - Photo Paris Normandie « La dette devra être assumée par les équipes suivantes » && De son côté le groupe Osez le Renouveau d’Alain Quibel a surtout insisté sur le manque de transparence de la mairie au fil des délibérations. « Il manque toujours des documents, des chiffrages, nous ne sommes pas conviés aux manifestations de la commune », a-t-il détaillé à diverses reprises. Il a aussi insisté sur le bilan financier de la municipalité dont les projets « sont financés par les ventes des biens communaux. Les chiffres seront bons le jour des élections mais la dette devra être assumée par les équipes suivantes ». La nouvelle école, rue de l’Avenir, est en novembre 2025, à deux mois de son ouverture, toujours en grand chantier à Notre-Dame-de-Bondeville. - Photo Paris Normandie && Résultat de cette tension permanente : un homme dans le public a adressé un doigt d’honneur à une adjointe, la maire a un temps menacé de poursuivre la séance à huis clos avant qu’elle ne cède, face aux arguments juridiques des oppositions, et qu’elle n’accorde un vote à bulletin secret sur l’ouverture de l’école Colette-Privat face à un public venu en nombre. Les élections ne sont pas loin et tous les avaient en tête. À lire aussi Un nouveau psychodrame marque le conseil municipal de cette ville près de Rouen Une ouverture précipitée ?Reste que la délibération phare de cette séance, qui avait été reportée à deux reprises après une suspension le 5 octobre faute de quorum, a été adoptée à 21 voix contre 8. L’école Colette-Privat ouvrira donc le 5 janvier 2026 et accueillera les élèves de Duteurtre et Hugo. La capacité d’accueil sera de 500 élèves. La nouvelle école, rue de l’Avenir, est au novembre 2025, à deux mois de son ouverture, toujours en grand chantier à Notre-Dame-de-Bondeville. - Photo Paris-Normandie Une ouverture « précipitée » pour Alain Quibel qui aurait préféré une mise en service en septembre 2026, après les élections. Une ouverture annoncée alors que les engins de chantier sont encore à l’œuvre. « L’entreprise s’est engagée sur cette date », a expliqué la maire Myriam Mulot. Restera aussi à obtenir les avis, notamment du SDIS, pour autoriser l’ouverture. && Autre écueil, la démographie scolaire. La création immobilière foisonnante à Notre-Dame-de-Bondeville devrait assurer les effectifs, assume la municipalité, tandis qu’Alain Quibel dénonce un méga-projet surdimensionné en raison d’une « démographie scolaire qui plonge » ainsi qu’un coût (12 M€) trop élevé.Un bâtiment moins énergivore Virginie Bottais, de l’Alliance Bondevillaise, lors du vote à bulletin secret portant sur l’ouverture de l’école Colette-Privat prévue le 5 janvier 2026. - Photo Paris Normandie Pour la majorité en place, cette rationalisation des écoles permettra de disposer d’un bâtiment moins énergivore, avec un environnement agréable tant pour les élèves que les enseignants. Les deux écoles garderont jusqu’en septembre leurs indépendances avant de fusionner à la rentrée. Par Benoît Marin-Curtoud Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Élections municipales Notre-Dame-de-Bondeville (Seine-Maritime) Les écoliers de Notre-Dame-de-Bondeville auront bien leur nouvelle école dès le 5 janvier 2026 C’est voté, avec tout le folklore habituellement rattaché aux séances du conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville : l’école Colette-Privat ouvrira le 5 janvier malgré les protestations des oppositions.

Source LogoParis Normandie
Jusqu’à 4 ans de prison requis contre les incendiaires du domicile des agents pénitentiaires de Liancourt

Les faits ont été commis dans la nuit du 5 au 6 mai 2025. - Archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:27 Lecture zen Le contraste est saisissant entre le box des prévenus et le banc des parties civiles. Si les larmes coulent de part et d’autre, les sanglots de la victime résonnent avec davantage de sincérité. Dans la nuit du 5 au 6 mai 2025, elle a vu sa vie basculer. Au point de ranger son uniforme d’agent pénitentiaire définitivement au placard. Car c’est bien sa profession et celle de son conjoint qui a été visée avec l’incendie de son domicile à Liancourt. À la barre du tribunal correctionnel de Beauvais, ce jeudi 6 novembre 2025, la jeune femme s’avance dignement et déverse tout le mal-être qui la ronge depuis les faits. « On ne peut pas se rendre compte du mal que ça fait. Ça fait six mois que je n’ai pas pu reprendre le travail. Moi et mon conjoint, on n’arrive plus à mettre un pied dans un établissement pénitentiaire », sanglote la surveillante.Le couple d’agents pénitentiaires a dû quitter la régionC’est aussi le cas au sein de leur propre domicile. Dès le lendemain, le couple a quitté les lieux pour s’installer dans une autre région. Avec des questions qui tourmentent leur esprit. Malheureusement pour eux, ces interrogations vont se poursuivre malgré la tenue du procès. Si trois des six prévenus ont reconnu leur implication dans les faits, il ne s’agit en réalité que des petites mains du dossier. En revanche, celui qui est présenté comme la tête du réseau nie tout en bloc. Malgré les éléments à charge. Car l’homme âgé de 29 ans était justement détenu à la prison de Liancourt, dans le même bâtiment où exerçait la surveillante pénitentiaire. Et surtout, c’est la voiture de sa compagne qui a servi à acheminer les incendiaires jusqu’à Bagneux (Hauts-de-Seine) avant que le trio ne s’engouffre dans une Peugeot 508 pour se rendre jusqu’à Liancourt. Élément d’autant plus troublant, c’est le petit frère de la compagne de la prétendue tête du réseau qui a joué les chauffeurs jusqu’à Bagneux. « J’ai été missionné pour déposer les jeunes. On m’a juste dit que c’était pour brûler une voiture. je n’en savais pas plus », indique le jeune homme tout juste âgé de 18 ans.Ses acolytes ne sont guère plus loquaces même s’ils reconnaissent également leur participation. « J’ai été payé pour faire passer un message. J’ai versé l’essence sur le sol et j’ai allumé avec un briquet », admet l’incendiaire. Le tout filmé par son ami « pour apporter une preuve au commanditaire ». Quant au dernier prévenu suspecté d’être le troisième homme et le chauffeur du trio, il a fermement nié toute implication.Une position qui a convaincu le procureur de la République de requérir la plus lourde peine à son encontre avec 4 ans réclamés par le ministère public. Quatre ans, dont un an avec sursis, ont également été requis contre l’incendiaire et son complice en charge de filmer les faits. En revanche, les autres protagonistes qui n’ont pas directement participé à l’incendie ont bénéficié de réquisitions moins importantes.Des peines de deux ans ferme ont été requises contre le commanditaire présumé et le conducteur qui avait acheminé les incendiaires jusqu’à Bagneux, point de départ du convoi. Enfin, le procureur de la République a requis deux ans de prison dont un an avec sursis contre la conjointe de la tête présumée du réseau.La décision du tribunal correctionnel était attendue au cours de la soirée. Par Yoann Roche Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Liancourt (Oise) Beauvais (Oise) Jusqu’à 4 ans de prison requis contre les incendiaires du domicile des agents pénitentiaires de Liancourt Les six prévenus étaient jugés ce jeudi 6 novembre 2025 devant le tribunal correctionnel de Beauvais. Le procureur a requis de lourdes peines. Le délibéré était attendu dans la soirée.

Source LogoParis Normandie
News Image
Dans le pays de Châteaulin, un exploitant a six mois pour se mettre aux normes environnementales (Ouest-France)

Jeudi 06 novembre 2025L’exploitant n’avait pas pris les mesures d’urgence pour faire cesser les écoulements des effluents d’élevage, entre 2021 et 2024, dans un cours d’eau de Quéméneven et Plonévez-Porzay (Finistère). L’affaire avait été plaidée au tribunal de Quimper, le 2 octobre 2025. Après en avoir délibéré, jeudi 6 novembre 2025, l’agriculteur devra réaliser des travaux de mise aux normes pour le printemps 2026. Le jugement sera rendu le 25 juin 2026.

Source LogoMaville
News Image
En une nuit, ils ont agressé un homme et l’ont enfermé dans leur coffre, puis volé deux autres personnes (Ouest-France)

Jeudi 06 novembre 2025En une nuit, le 27 octobre 2023, quatre hommes ont agressé trois personnes pour les voler : ils ont enfermé la première dans leur coffre de voiture, à Quimper (Finistère) ; roué de coups et menacé la deuxième à Quimperlé (Finistère) ; terrorisé et abandonné la dernière sur une aire de repos à Plélan-le-Grand (Ille-et-Vilaine). Deux des prévenus ont été condamnés par le tribunal de Quimper, ce jeudi 6 novembre 2025, à 66 et 48 mois de prison.

Source LogoMaville
News Image
Pays de Châteaulin. L’animatrice périscolaire poursuivie pour agressions sexuelles sur des enfants est relaxée (Ouest-France)

Jeudi 06 novembre 2025Animatrice périscolaire dans l’école publique d’une commune finistérienne, une trentenaire était jugée, jeudi 4 septembre 2025, à Quimper (Finistère), pour agressions sexuelles et violences sur trois écoliers de 4 à 6 ans pendant plus d’un an. Après en avoir délibéré, jeudi 6 novembre, le tribunal a relaxé la prévenue.

Source LogoMaville
À Évreux, les Conviviales de la CCI rapprochent entrepreneurs et services publics

Les échanges ont été enrichissants entre entrepreneurs et services de l’État mercredi 5 novembre 2025 à Évreux. Des entrepreneurs locaux présents en nombre. Le préfet de l’Eure s’adressant aux entrepreneurs locaux. Les entrepreneurs ravis de pouvoir échanger librement. La CCI à Évreux. Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:20 Lecture zen Mercredi 5 novembre 2025, la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de l’Eure organisait, à Évreux, la deuxième édition des Conviviales de la CCI, un rendez-vous conçu pour rapprocher les chefs d’entreprise des services publics. Consultez l’actualité en vidéo Après une première édition en 2024 à Bernay, cette rencontre a de nouveau illustré la volonté des acteurs publics de se rendre accessibles et utiles au monde économique.À l’origine du concept de « guichet unique éphémère », Stéphane Lebas, président du conseil d’administration de l’URSSAF Normandie, salue une initiative « née dans l’Eure-et-Loir » qu’il a souhaité transposer dans le département : « J’avais découvert le dispositif comme chef d’entreprise et j’avais trouvé remarquable ce dialogue entre services publics et monde économique. C’est une façon de casser les barrières, de montrer que nous sommes au service des entrepreneurs, et pas là juste pour les contrôler. » À lire aussi Nouveautés à Évreux : l’ESCCI inaugure un second campus pour la rentrée « L’idée, c’est qu’en un seul lieu, les dirigeants repartent avec des réponses concrètes à leurs questions et surtout avec les bons contacts », complète Delphine Wahl, directrice de la CCI de l’Eure.Des échanges concrets et appréciésUne dizaine de services de l’État étaient présents pour accueillir les entrepreneurs et répondre à leurs interrogations. Les participants ont visiblement apprécié cette proximité. À lire aussi CCI Work, le nouvel espace de travail à Évreux qui permet aux entreprises de louer des bureaux « Lors de la première édition, les chefs d’entreprise étaient restés jusqu’à la fin, curieux, ravis de pouvoir poser toutes leurs questions sans crainte. Ce qu’ils avaient surtout retenu, c’est qu’ils repartaient avec des cartes de visite, des noms, des visages. »Les grandes entreprises ont des services RH, juridiques ou financiers. Pas les petites. »Delphine Wahl, Directrice de la CCIPreuve de l’importance de l’événement : le soutien institutionnel, avec la présence du préfet, du président de l’agglomération et de la directrice de la CCI. Pour le préfet, ces échanges illustrent la coopération nécessaire entre services publics et monde économique, qu’il résume par une métaphore : « Entre les services de l’État et les entreprises, il y a de très beaux neurones, mais il faut maintenant activer les synapses. »Un modèle appelé à se déployer dans tout l’EureAvant la séance d’échanges, chaque service a présenté brièvement ses missions : accompagnement des entreprises en difficulté, formation, propriété intellectuelle ou financement de projets innovants.Pour Delphine Wahl, c’est tout l’esprit de la démarche : « Les grandes entreprises ont des services RH, juridiques ou financiers. Pas les petites. Notre but, c’est de leur faciliter l’accès à l’information et aux bonnes personnes. »Forte de ce succès, l’initiative a désormais vocation à se poursuivre dans d’autres territoires du département. « L’idée, c’est de se rapprocher des intercommunalités, pour que chaque bassin d’emploi puisse en bénéficier », conclut Delphine Wahl. Par Cyrille Souillier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Évreux (Eure) À Évreux, les Conviviales de la CCI rapprochent entrepreneurs et services publics La Chambre de commerce et d’industrie de l’Eure a organisé mercredi 5 novembre 2025 à Évreux la 2e édition des Conviviales, un rendez-vous qui renforce les liens entre entreprises et services publics.

Source LogoParis Normandie
La Réunion : le meurtre d’une adolescente piégée sur les réseaux rejugé devant les assises des mineurs

Deux ans après un crime qui avait bouleversé l’île de La Réunion, la cour d’assises des mineurs de Saint-Denis juge cette semaine le second adolescent impliqué dans le meurtre d’une jeune fille de 15 ans. Attirée dans un guet-apens par des messages échangés sur les réseaux sociaux, elle avait été rouée de coups avant d’être... The post La Réunion : le meurtre d’une adolescente piégée sur les réseaux rejugé devant les assises des mineurs appeared first on Entrevue.

Source LogoEntrevue
Le cœur brisé des proches des naufragés du Mylanoh, incertitude chez Renault... le point actu à 20 h

Les familles des trois naufragés du Mylanoh étaient présentes à l’audience du tribunal maritime du Havre, jeudi 6 novembre 2025. - BORIS MASLARD/Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:57 Lecture zen « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé »Comme prévu, le procès après le naufrage du bateau havrais Mylanoh en 2022 s’est tenu en quelques minutes jeudi 6 novembre 2025. Le tribunal maritime du Havre a acté l’extinction de l’action publique, au regard du décès de l’unique prévenu. Une décision dont les familles se doutaient, mais qui engendre colère et frustration.6 M€ de travaux pour ses copropriétaires au Havre : comment cet épineux dossier a-t-il évolué ?Face à des désordres structurels dans leurs immeubles en béton du centre-ville, classés car situés dans la zone du patrimoine de l’Unesco, des dizaines de copropriétaires havrais vont devoir payer de gros travaux. S’il n’est pas arrêté, leur coût devrait être inférieur aux quelque 6 M€ initialement annoncés. À lire aussi Municipales 2026. À Harfleur, Kevin Crochemore souhaite « rallier la gauche la plus large possible » Football – Ligue 1. Une infirmerie totalement vide : le point sur l’effectif du HACÀ 48 heures de la réception du FC Nantes, pour le compte de la 12e journée de Ligue 1, le HAC, invaincu lors des trois dernières journées, dispose, en ce jeudi 6 novembre 2025, d’un groupe au grand complet.Incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ? Renault Sandouville s’apprêterait à mettre fin au contrat en intérim de quelque 300 personnes fin 2025. Le constructeur doit réduire sa production de véhicules utilitaires. Un CSE se tenait jeudi 6 novembre 2025. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Havre (Seine-Maritime) Sandouville (Seine-Maritime) Le cœur brisé des proches des naufragés du Mylanoh, incertitude chez Renault... le point actu à 20 h « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé » ; incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ?... Le point actu à 20 h. Video

Source LogoParis Normandie
L’Écologiste Marine Tondelier cultive l’union de la gauche à Amiens pour les municipales

Marine Tondelier a notamment fait un stop au marché de l’île aux fruits d’Amiens. - Kevin Devigne Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:07 Lecture zen Amiens devient une ville familière pour Marine Tondelier. La secrétaire nationale des Écologistes s’y est déplacée ce jeudi après-midi, pour la troisième fois cette année, en soutien à ses troupes mobilisées en vue des prochaines municipales, derrière la tête de liste socialiste Frédéric Fauvet. Après un passage dans une ferme de Pont-de-Metz et le marché de « l’île aux fruits », la conseillère régionale des Hauts-de-France a fini par une conférence à l’université. Consultez l’actualité en vidéo À Amiens, une liste commune à gauche doit être arrêtée mi-décembre, mais sans La France Insoumise à ce stade. Avec LFI, « c’est devenu quasi impossible. Les électeurs enverront un message clair au 1er tour, qui forcera à faire l’alliance au 2nd tour », escompte Frédéric Fauvet. « Avec LFI, nous avons davantage de quoi nous rassembler que de nous diviser », complète Esra Ercan, co-cheffe de file écologiste à Amiens.Lille, Beauvais, Arras dans le viseur de la gaucheDans la région, outre Amiens, Marine Tondelier place de l’espoir pour la gauche dans d’autres villes. « Les Écologistes vont gagner à Lille ! », se fait bravache l’élue locale d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), en pensant au candidat Stéphane Baly. Mais aussi « à Beauvais, Roubaix et Tourcoing » voire Arras « où l’on part en reconquête ». À lire aussi Amiens : des retraités en colère érigent un mur de revendications devant le siège du Medef Marine Tondelier est également candidate à une primaire de la gauche pour l’Élysée en 2027, aux modalités annoncées en fin d’année. « Si je ne la gagne pas, je n’aurai pas de mal à me mettre au service (du vainqueur) », assure-t-elle. Y compris François Ruffin (Debout !), un autre candidat à la candidature ? Avec son voisin samarien, « les relations sont bonnes depuis longtemps », rassure-t-elle, convaincue que les réticents à l’idée de primaire – Jean-Luc Mélenchon (LFI) et Raphaël Glucksmann (Place publique) – y viendront. « Ils n’ont pas le choix. D’ailleurs, pourquoi auraient-ils peur d’un choix des électeurs de gauche ? » Par Gael Rivallain Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Municipales Amiens L’Écologiste Marine Tondelier cultive l’union de la gauche à Amiens pour les municipales La secrétaire nationale des Écologistes et venue ce jeudi dans la capitale picarde pour encourager la future liste rassemblée derrière un socialiste. Et défendre l’idée d’une primaire à gauche pour l’Élysée en 2027.

Source LogoParis Normandie
News Image
Vidéosurveillance : quand la mairie paie votre caméra

À quatre mois des municipales, le fléau des cambriolages est l'une des priorités pour de nombreux maires. Ainsi, de plus en plus investissent dans des caméras, d'autres aident carrément les habitants à s'acheter leur propre équipement de vidéosurveillance. Une aide d'une centaine d'euros en moyenne. Pour quelle efficacité ? La commune de Bègles (Gironde) en est convaincue. La mairie finance l'équipement des foyers à hauteur de 100 euros. La plupart des maisons sont déjà surveillées.

Source LogoTF1 Info