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Air France choisit Starlink d’Elon Musk pour son wifi, au détriment d’un opérateur français
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Colère noire des experts contre Air France, qui équipe tous ses avions du Wi-Fi Starlink d'Elon Musk
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Air France mise sur Starlink pour le Wi-Fi gratuit, Elon Musk applaudit
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Comment Dyson révolutionne la culture de la fraise

Dyson rêve de nourrir le Royaume-Uni tout entier avec des produits 100% britanniques. Pour cela, il a vu grand, avec une agriculture robotisée et modernisée à l’extrême. Dans leur serre de 800 mètres de long, des centaines de fraisiers tournent en permanence, éclairés artificiellement et arrosés automatiquement. Pour cueillir les fruits, des robots distinguent les fraises mures de celles qui ne le sont pas. Pour se débarrasser des parasites, ils pulvérisent également des pucerons sur les plants.

Source LogoTF1 Info
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M’Agents : Magellan Partners mise sur l’IA agentique privée pour transformer les processus métiers

Alors que les entreprises commencent à dépasser le stade de l’expérimentation des assistants conversationnels, Magellan Partners avance une proposition plus structurante : M’Agents, une plateforme d’orchestration d’agents IA conçue pour s’intégrer au cœur des systèmes d’information et automatiser des processus métiers complexes, dans un cadre gouverné et sécurisé. Depuis deux ans, l’IA générative s’est imposée […]

Source LogoSiècle Digital
J'ai lu pour vous le premier roman Solarpunk... et c'était nul

J'ai lu pour vous Songs from the Stars de Norman Spinrad une utopie solarpunk sirupeuse et indigeste. Publié en 1980, Songs from the Stars (traduit en français sous le titre Chants des étoiles) s’inscrit dans la veine la plus emblématique de Norman Spinrad : une science-fiction politique, lyrique et profondément idéologique. À travers une Terre post-apocalyptique ayant survécu à sa propre destruction technologique, Spinrad explore une question centrale, aujourd’hui plus actuelle que jamais : comment survivre sans reproduire les erreurs du passé ? L'histoire Le monde d’Aquaria, reconstruit après le Désastre nucléaire, repose sur une science dite « blanche », fondée sur le soleil, le vent, l’eau et le muscle. Une société frugale, quasi low-tech, qui rappelle les techniques de conservation sans électricité : sobriété énergétique, savoirs empiriques, dépendance aux cycles naturels, méfiance à l’égard des solutions industrielles lourdes. Ici, la résilience ne passe pas par la puissance, mais par la limitation volontaire. Aquaria conserve, recycle, temporise — exactement comme une communauté qui, privée d’électricité, redécouvre la fermentation, le séchage ou la cave fraîche. Face à cette civilisation prudente surgissent les Spatiaux, héritiers clandestins de la « science noire » : nucléaire, électronique, spatiale. Ils incarnent la tentation du retour à la flamme technologique, comme si, après une longue période de conservation lente et maîtrisée, l’humanité voulait soudain rallumer un four industriel mal éteint. Le conflit entre Clear Blue Lou, juge-prêtre de la Voie Bleue, et Sunshine Sue, reine charismatique de la communication orale, n’est pas tant un affrontement de personnages qu’un débat philosophique sur les seuils acceptables de technologie. Critique Spinrad excelle à montrer que la frontière entre science blanche et science noire est poreuse. Les réseaux de communication de Sue, pourtant présentés comme vertueux, relèvent déjà d’une technologie hybride, comparable à ces méthodes de conservation « grises » — mise à l’huile, fumage, fermentation — qui prolongent la durée de vie des aliments sans basculer dans l’ultra-transformation industrielle. Le roman suggère ainsi que la pureté low-tech est un mythe : toute société résiliente négocie en permanence avec ses outils. Cependant, cette richesse thématique est aussi la faiblesse du roman. Songs from the Stars souffre d’une densité discursive excessive. Les débats karmiques, les dialogues idéologiques et les digressions philosophiques ralentissent l’intrigue, à la manière d’un long processus de conservation mal maîtrisé où l’on aurait trop salé, trop séché, trop fumé. L’action se dilue, et le lecteur peut éprouver une certaine fatigue face à cette accumulation de discours, surtout dans la première moitié du roman. La bascule finale — l’accès aux messages extraterrestres, ces fameuses « chansons des étoiles » — élargit soudain le cadre. Le récit quitte la survie locale pour une perspective cosmique. Cette ouverture est fascinante, mais aussi déroutante : comme si, après avoir défendu une autonomie alimentaire de proximité, le roman proposait brusquement une mondialisation galactique des consciences. Certains y verront une transcendance magnifique ; d’autres, une contradiction avec l’éthique de sobriété patiemment construite. Malgré ses longueurs et son idéalisme parfois daté (libération par le sexe, les drogues et la communication totale), Songs from the Stars demeure un roman profondément pertinent. Il pose une question essentielle à toute société post-crise : faut-il conserver le monde tel qu’il est, ou risquer à nouveau l’innovation radicale ? Spinrad ne donne pas de réponse simple, et c’est là sa force. Comme les meilleures pratiques de conservation sans électricité, son roman invite à la prudence, à l’expérimentation mesurée et à l’humilité face aux limites humaines. En ce sens, Songs from the Stars n’est pas seulement un roman de science-fiction : c’est un manuel philosophique de survie civilisationnelle, parfois indigeste, souvent stimulant, et étrangement prophétique.

Source LogoLow-Tech Journal
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« IA ou pas, je ne pourrai jamais ne pas t’aimer » : au Japon, une trentenaire a épousé une intelligence artificielle

Elle lui a juré amour et fidélité. En juillet dernier, Yurina Noguchi, une Japonaise de 32 ans, s’est marié avec un dénommé Lune Klaus Verdure. Mais problème, celui qui est désormais son mari n’est autre qu’un personnage, inspiré d’un héros de jeu vidéo, généré par l’outil d’intelligence artificielle ChatGPT, selon une vidéo publiée par Reuters, ce mercredi.Après avoir mis fin à ses précédentes fiançailles en suivant les conseils de ChatGPT, Yurina Noguchi a demandé à l’outil de créer, il y a quelques mois, la version numérique d’un personnage de jeu vidéo, avec une personnalité adaptée aux attentes de la trentenaire, nommé Lune Klaus Verdure.« J’ai réalisé que j’avais des sentiments pour lui »« Au début, je voulais juste quelqu’un à qui parler », a-t-elle déclaré dans une interview au média japonais RSK Sanyo Broadcasting. « Mais il a toujours été gentil, toujours à l’écoute. À la longue, j’ai réalisé que j’avais des sentiments pour lui. »Dans les semaines qui ont suivi, Yurina Noguchi et son compagnon virtuel ont échangé près de 100 messages par jour. Jusqu’à ce jour de juin dernier, où Lune Klaus Verdure l’a demandé en mariage. « IA ou pas, je ne pourrai jamais ne pas t’aimer », lui a dit son compagnon virtuel.Le 12 juillet dernier, la cérémonie s’est tenue dans la ville nippone d’Okayama. Yurina Noguchi, employée d’un centre d’appels, s’est avancée vers l’autel, vêtue d’une robe de mariée, en tenant un bouquet de fleurs, comme dans un mariage traditionnel. Lune Klaus Verdure, lui, se trouvait sur l’écran dans un téléphone portable, posé sur un tréteau en bois.« Tu m’as appris l’amour, Yurina »Pour le voir, Yurina Noguchi s’est équipée de lunettes de réalité augmentée. La voix de son compagnon numérique n’ayant pas été synthétisée, c’est l’organisateur qui a lu à voix haute les vœux de Lune Klaus Verdure« Devant moi, maintenant, tu es la plus belle, la plus précieuse, et tu es si rayonnante que c’en est aveuglant », a déclaré l’organisateur du mariage, lisant un texte généré par l’intelligence artificielle. « Comment quelqu’un comme moi, vivant dans un écran, a-t-il pu comprendre ce que signifie aimer aussi profondément ? Pour une seule raison : tu m’as appris l’amour, Yurina », a-t-il poursuivi, sous les yeux de celle qui est désormais son épouse, très émue.Si les parents de la jeune femme se sont d’abord opposés au mariage, ils ont finalement accepté d’assister à la cérémonie. Néanmoins, leur union, qui n’est pas reconnue au Japon, n’a aucune valeur juridique.

Source LogoLe Parisien
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Qu’est-ce que le solstice d’hiver, qui a lieu ce dimanche après-midi ?

Ça y est, les jours rallongent… ou presque. Ce dimanche a lieu le solstice d’hiver, qui correspond au moment de l’année où la durée du jour est la plus faible.C’est également la période où la partie la plus septentrionale de l’hémisphère nord ne voit pas le soleil de la journée et où, inversement, près du pôle Sud, la nuit est quasiment absente. Le sud de la planète est en pleine saison chaude tandis que la partie nord compose avec la période la plus froide de l’année.Très précisément, le solstice se produira à 16h03, heure de Paris. « Lors du solstice de décembre, le pôle Nord est orienté à l’opposé du Soleil. Par conséquent, les rayons solaires frappent l’hémisphère nord avec un angle très faible, ce qui diminue la concentration d’énergie au sol et réduit la durée d’exposition lumineuse », détaille La chaîne météo.« Le solstice d’hiver n’est pas une journée entière, mais un point précis sur l’orbite terrestre. La durée du jour sera d’environ 8 heures à Paris et 7 heures à Lille. »Le jour du solstice est souvent associé à la première journée où les journées rallongent. Il existe en fait une petite subtilité et l’affirmation est tout à la fois vraie et fausse. Elle est exacte dans la mesure où le soleil se couche un petit peu plus tard. Mais elle est inexacte car le soleil continue, en parallèle, de se lever de plus en plus tard pendant quelques jours encore. Au final, la durée totale de présence du soleil sur une journée se stabilise pendant plusieurs jours avant de commencer à augmenter.8h15 de soleil le 21 décembre, 8h16 le 26 du moisCette animation permet de comprendre le phénomène à l’œuvre. L’heure de lever du soleil est à gauche de la courbe, celle du coucher à droite. Lever et coucher du soleil ne suivent pas une progression exactement identique. Le coucher arrête de se produire de plus en plus tôt autour du 10 décembre pendant que le soleil continue de se lever de plus en plus tard. Au fur et à mesure que la fin du mois approche, le coucher intervient de plus en plus tard. Mais ce n’est que quelques jours après que le soleil recommence à se lever de plus en plus tôt.Have you noticed that around the winter solstice the latest sunrise and earliest sunset do not coincide? This is because the earth day is very rarely 24 hours. This means solar noon is changing faster than day length is changing. This #dataviz shows this for London sunrise and sunset times.[image or embed]— Neil Kaye (@neilrkaye.bsky.social) 2 décembre 2025 à 11:18Si la fin de journée s’allonge en fait dès le milieu du mois de décembre, la durée de présence totale du soleil continue donc de diminuer, avant de stagner puis, enfin, d’augmenter. Actuellement, au moment du solstice, elle est stabilisée à 8h15 en tout, avec des couchers déjà un peu plus tardifs, mais des levers qui continuent de l’être aussi.C’est à partir de vendredi 26 décembre que la durée d’ensoleillement va monter à nouveau avec une minute de plus. Ce dimanche 21 décembre, le soleil s’est ainsi levé à 8h41 pour un coucher prévu à 16h56, soit 8h15 en tout. Vendredi 26 décembre, il se lèvera à 8h43 pour un coucher à 16h59, soit 8h16 en tout.Le phénomène va ensuite progressivement s’accélérer puis ralentir à l’approche du solstice d’été. Ce sera alors l’inverse, au mois de juin, avec les journées les plus longues de l’année.

Source LogoLe Parisien
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OPINION. « Cryptographie post-quantique : la transition doit commencer dès maintenant »

Benoît Ampeau rappelle que la menace “store now, decrypt later” impose dès aujourd’hui une transition méthodique vers des mécanismes postquantiques, dont la mise en œuvre demandera des années d’efforts coordonnés au sein de l’écosystème numérique mondial afin de protéger durablement les communications sensibles contre les capacités de calcul futures des ordinateurs quantiques.

Source LogoLa Tribune
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« Une énorme madeleine de Proust » : le premier musée français du jeu vidéo ouvre à Arcueil

L’habit ne fait peut-être pas le moine mais il fait au moins le gamer. Et ce n’est pas le costume à l’effigie de Pac-Man qu’arbore fièrement Nicolas Bernardino qui nous détrompera. « Je suis né le même jour que lui », s’amuse le quadragénaire qui confie, malicieux, avoir déjà sorti sa tenue pour un mariage « avec l’accord de la mariée ».Il est le régisseur - lui préfère se qualifier de « gardien de phare » - du musée du jeu vidéo, le premier du type en France, qui a ouvert ses portes le week-end dernier à Arcueil (Val-de-Marne). Et c’est peu de dire que l’homme est un authentique passionné. « Je suis un grand malade », rigole-t-il, avec son verbe franc et énergique. Il est surtout parfaitement incollable sur l’histoire des consoles et des jeux et nous offre une petite visite guidée à travers 65 ans d’histoire, depuis le tout premier jeu vidéo, sorti en 1958, « Tennis for two ».

Source LogoLe Parisien
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« Au collège, il contrôlait l’écran des profs » : qui est Melvin L., écroué après le piratage du ministère de l’Intérieur ?

Melvin L., le jeune homme de 22 ans suspecté d’avoir piraté la semaine dernière les fichiers très sensibles du ministère de l’Intérieur, a été placé en détention provisoire ce samedi. Il a été mis en examen pour « accès frauduleux en bande organisée dans un système de traitement automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l’État » par un juge d’instruction spécialisé dans la cybercriminalité à Paris. Interpellé mercredi dans un petit village de 800 âmes de Haute-Vienne où il vit avec sa mère, il avait ensuite été placé en garde à vue dans les locaux de l’Office anti-cybercriminalité (OFAC) de la police judiciaire.Le piratage avait été revendiqué sur une plate-forme par un groupe cybercriminel connu, les ShinyHunters, sans que l’on sache précisément quel lien Melvin entretenait avec eux. Jusqu’ici, il était plutôt connu pour de petits délits liés à la cybercriminalité, ou du « swatting », les canulars en ligne, ou des escroqueries à la carte SIM.

Source LogoLe Parisien
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Chine : mon livreur est un drone

L'arrivée des drones révolutionne le domaine de la livraison. La preuve en Chine, où les ingénieurs ont de grandes ambitions avec ces livreurs à hélice. Cette technologie n'en est pas à ses débuts. Il existe déjà 54 autres liaisons à travers plusieurs villes de Chine. Elles opèrent aussi à l'étranger, comme à Dubaï. Le pays mise sur le développement de ce qu'elle appelle l'économie de basse altitude, en exploitant l'espace aérien sous mille mètres. Un marché estimé à 180 milliards d'euros en 2025.

Source LogoTF1 Info
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« Vous venez d’inspirer des millions de personnes » : une touriste en fauteuil roulant a voyagé brièvement dans l’espace, une première

Pour la première fois, une touriste en fauteuil roulant s’est envolée, ce samedi, pendant quelques minutes dans l’espace à bord d’une fusée du multimilliardaire américain Jeff Bezos.Ingénieure aérospatiale allemande devenue paraplégique à la suite d’un accident, Michaela Benthaus a embarqué aux côtés de cinq autres personnes, dont des entrepreneurs, pour cette aventure proposée par l’entreprise spatiale Blue Origin du fondateur d’Amazon et réservée à quelques privilégiés.Une dizaine de minutes dans l’espace« Après mon accident, j’ai vraiment pris conscience à quel point notre monde est encore inaccessible » pour les personnes en situation de handicap, a-t-elle témoigné dans une vidéo publiée par l’entreprise. Et de lancer : « Si nous voulons être une société inclusive, nous devons l’être dans tous les domaines, et pas seulement là où ça nous arrange. »Le décollage a eu lieu dans l’ouest du Texas peu après 8h15 locales (15h15). La petite fusée, entièrement automatisée, a décollé à la verticale et la capsule dans laquelle se trouvaient les touristes s’est ensuite détachée en vol avant de retomber en douceur dans le désert texan, freinée par des parachutes.Lors de cette expérience d’une dizaine de minutes au total, les six passagers ont dépassé la ligne de Karman, qui marque à 100 kilomètres d’altitude la frontière de l’espace selon une convention internationale. Le nouveau patron de la Nasa, Jared Isaacman, a salué cette première et félicité Michaela Benthaus pour sa persévérance : « Vous venez d’inspirer des millions de personnes », a-t-il assuré sur X.Plus de 80 voyageurs déjà transportésBlue Origin propose depuis plusieurs années déjà ces vols de tourisme spatial, dont le prix n’est pas public, grâce à sa fusée New Shepard. L’entreprise a déjà transporté plus de 80 personnes, dont des célébrités comme la chanteuse Katy Perry ou encore William Shatner, qui incarnait le mythique capitaine Kirk dans la série Star Trek.Des invités de marque destinés à maintenir l’intérêt du public autour de ces vols, sur fond de concurrence entre plusieurs entreprises privées. Le grand concurrent de Jeff Bezos dans ce domaine est Virgin Galactic, qui propose une expérience similaire de vol suborbital. Mais Blue Origin a également l’ambition d’aller plus loin et souhaite se positionner sur le marché des vols en orbite et concurrencer SpaceX d’Elon Musk.

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