Explosion au Mexique : la piste accidentelle d'un transformateur défectueux se précise après un bilan tragique de 23 morts



Un drame a frappé le nord du Mexique le samedi 1er novembre, lorsqu'une explosion a secoué un supermarché de la chaîne Waldo's à Hermosillo, capitale de l'État de Sonora.
Le bilan humain est lourd, les autorités locales faisant état d'au moins 23 personnes décédées, parmi lesquelles figurent des mineurs.
Une dizaine de personnes ont également été blessées, les bilans variant entre 11 et 12 blessés selon les sources. Le gouverneur de l'État, Alfonso Durazo, a confirmé ces chiffres et a ordonné l'ouverture d'une "enquête approfondie et transparente afin d'établir les causes de l'accident et de déterminer les responsabilités".
La piste d'un accident est privilégiée par les enquêteurs. Selon le parquet de Sonora, l'hypothèse de travail principale est que l'explosion a été provoquée par un transformateur électrique défectueux situé à l'intérieur même du magasin. Les autorités ont précisé que la plupart des victimes sont mortes par inhalation de gaz toxiques. L'accès au site reste cependant conditionné à l'intervention des pompiers, qui continuent de déblayer les décombres et de s'assurer de la stabilité de la structure. Ce n'est qu'après leur autorisation que les experts pourront pénétrer dans le bâtiment pour déterminer avec précision les causes de l'incendie. D'après les médias mexicains, la tragédie a été aggravée par le fait que de nombreux clients, après la déflagration initiale, ont cherché refuge plus profondément dans le magasin, se retrouvant ainsi piégés par les flammes. L'explosion, survenue vers 14 heures, a entraîné la fermeture des commerces voisins par mesure de précaution. En signe de deuil, les célébrations du Jour des morts prévues dans la ville ont été annulées. La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a exprimé ses condoléances "aux familles et aux proches des personnes décédées" sur les réseaux sociaux.
Articles
10Monde
Voir plus
En septembre 2022, un incroyable mouvement de contestation sociale apparaît en Iran, mettant le statut des femmes au cœur des revendications. Quelle est sa nature ? ′′′ Il est exceptionnel, mais ce n’est pas le premier. Il se distingue par sa durée : près de cinq mois. Du fait de la dimension massive et sévère de la répression en Iran, les soulèvements ne peuvent pas s’installer longtemps. C’est pourquoi d’autres formes de contestation, qui ne passent pas par des manifestations, se sont développées. Par exemple, la campagne « Un million de signatures », dans les années 2000, demandait l’égalité des droits, avec comme figures Shirin Ebadi et Narges Mohammadi, qui […]Lire la suite : « Le mouvement “Femme, Vie, Liberté” va plus loin que le voile ; il appelle à la chute du régime islamique »

The Swiss-based trading house, which had offered to buy the Russian oil giant's international assets, called the accusation "fundamentally misinformed."

En déplacement à Belém avant le début de la COP30 , Emmanuel Macron a dénoncé les «prophètes de désordre» qui sèment le doute sur l’urgence climatique. Il a appelé à «choisir la science face à l’idéologie» et à accélérer la sortie des énergies fossiles. Des mots forts de la part du président Français. Emmanuel Macron a fustigé jeudi à Belém, en Amazonie brésilienne, les «prophètes de désordre» qui «sèment le doute quant à l'urgence climatique», et a appelé les dirigeants du monde à choisir le «multilatéralisme face au repli sur soi» et «la science face à l'idéologie». «Alors que s'ouvre la COP30», a déclaré le président français, «nous devons donc convoquer à nouveau l'esprit qui a présidé à l'adoption de l'accord de Paris» conclu il y a dix ans mais dont se retirent les États-Unis de Donald Trump, grands absents de la conférence annuelle de l'ONU sur le climat. «A ...

Dans le cadre de la COP30 qui se déroulera du 10 au 21 novembre à Belém, au Brésil, Emmanuel Macron était à Salvador de Bahia pour une rencontre avec le président brésilien Lula notamment.





