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James Cameron : Entre la tragédie de Titanic et la révolution Avatar, le cinéaste se confie

À l'occasion de la sortie de son nouveau film, « Avatar : De feu et de cendres », le réalisateur James Cameron a multiplié les apparitions médiatiques, revenant sur les succès qui ont jalonné sa carrière, sa fortune colossale et sa vision de l'avenir du cinéma.
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Invité sur le plateau de « 20h30 le dimanche » sur France 2 et dans les colonnes du Point, James Cameron a profité de la promotion du troisième volet de sa saga de science-fiction pour se livrer. Cette sortie est un événement cinématographique majeur, poussant même le cinéma Pathé de Caen à investir dans de nouveaux projecteurs pour l'occasion. Le réalisateur est notamment revenu sur le succès financier phénoménal d'« Avatar : la voie de l'eau ». Selon le magazine Forbes, il aurait perçu près de 95 millions de dollars en seulement quinze jours en 2022, grâce au démarrage fulgurant du film qui a dépassé le milliard de dollars de recettes mondiales en deux semaines. Ce triomphe, qui l'a classé parmi les artistes les mieux rémunérés de l'année, était un pari risqué, le film nécessitant d'atteindre environ 2 milliards de dollars pour être rentable, un seuil largement franchi. Cumulant les casquettes de scénariste, réalisateur et coproducteur, Cameron a bénéficié de revenus à plusieurs niveaux, consolidant son statut de cinéaste parmi les plus rentables de l'histoire.

Interrogé par Laurent Delahousse, James Cameron a également partagé sa vision sur l'intelligence artificielle.

S'il estime qu'elle peut être utilisée « de manière positive » pour permettre aux réalisateurs de concrétiser des visions aujourd'hui irréalisables, il alerte sur les dérives possibles d'un usage « à mauvais esprit ».

Il a toutefois précisé au Point qu'« aucun Avatar n’a jamais eu recours à l’IA générative ».

L'entretien sur France 2 a aussi été l'occasion d'aborder le film culte « Titanic ».

Le réalisateur a affirmé ne jamais revoir ses œuvres passées pour les critiquer, les considérant comme des « tranches de temps » révolues.

Face à la question mythique sur la mort de Jack, sa réponse a été sans équivoque : « Jack doit mourir. C'est la loi. C'est ce qu'il y a écrit sur la page 147 ». Il a justifié cette fin tragique par une nécessité dramaturgique, à la manière de « Roméo et Juliette », expliquant que l'attachement indéfectible du public pour les personnages est la raison pour laquelle cette question continue de hanter les esprits, près de trente ans plus tard.

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