Casse du Louvre : l'enquête s'accélère mais le butin de 88 millions d'euros reste insaisissable



L'enquête sur le spectaculaire cambriolage du musée du Louvre a connu des avancées significatives avec l'arrestation de sept suspects au total. Le samedi 1er novembre, plusieurs individus interpellés le mercredi 29 octobre ont été déférés devant des magistrats du tribunal judiciaire de Paris en vue d'une éventuelle mise en examen. Ces interpellations, au nombre de cinq, avaient été annoncées le jeudi précédent par la procureure de Paris, Laure Beccuau.
Elles s'ajoutent à l'arrestation de deux autres hommes le week-end d'avant, qui ont déjà été mis en examen et placés en détention provisoire.
Parmi les cinq nouvelles personnes arrêtées en région parisienne par la Brigade de répression du banditisme (BRB), figure un suspect clé que les enquêteurs surveillaient déjà.
Malgré ces progrès dans l'identification du réseau criminel, le butin du casse reste entièrement introuvable.
Les bijoux volés sont estimés à une valeur de 88 millions d'euros, et leur disparition constitue le principal mystère de l'affaire.
Les deux premiers suspects arrêtés auraient "partiellement reconnu les faits", fournissant des indices aux enquêteurs.
Ce vol d'une audace remarquable a mis en lumière d'importantes failles de sécurité au sein du prestigieux musée parisien.
L'affaire a déclenché un vaste débat sur la protection du patrimoine culturel en France.
Les enquêteurs analysent les lacunes du dispositif de surveillance qui ont permis à un commando, décrit comme professionnel et très organisé, de commettre son méfait. En réponse, une réflexion est en cours pour renforcer les mesures de sécurité, notamment par l'amélioration des technologies, une présence policière accrue et une meilleure formation du personnel, afin de prévenir de futures intrusions.
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Sept hommes et une femme, âgés de 25 à 53 ans, comparaissent devant le tribunal correctionnel de Tours, jeudi 6 et vendredi 7 novembre 2025, pour leur implication présumée dans un important réseau de trafic de stupéfiants qui irriguait la région de Loches jusqu’à l’automne 2024.


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Alors que quatre personnes ont été mises en examen, d’autres interpellées pour le cambriolage du Louvre, des internautes partagent des portraits des supposés malfaiteurs. Les photos sont vraies mais anciennes et n'ont rien à voir avec le casse du musée parisien.










