La doctrine Trump en Amérique latine : entre sanctions, menaces militaires et soutien politique



La politique étrangère américaine sous la présidence de Donald Trump en Amérique latine se caractérise par une approche interventionniste, comme en témoignent les récentes actions concernant la Colombie, le Venezuela et l'Argentine. En Colombie, le président Gustavo Petro et ses proches subissent les conséquences directes des sanctions américaines.
Le chef de l'État a été placé sur la liste Clinton du département du Trésor des États-Unis, qui cible les personnes et entités liées à l'argent du trafic de drogue.
Selon son avocat, ces restrictions financières sont si contraignantes qu'elles empêchent même le président Petro de percevoir son salaire.
Un autre article mentionne un rassemblement de soutien en sa faveur à Bogota, mais ne fournit pas de détails supplémentaires.
Concernant le Venezuela, les informations sur une éventuelle intervention militaire américaine sont contradictoires.
Selon des informations de la presse américaine rapportées le 1er novembre, l'administration Trump envisagerait de frapper directement des bases militaires vénézuéliennes que Washington accuse d'être impliquées dans le trafic de stupéfiants. Cependant, un article daté du 31 octobre, dont le contenu se limite à une légende de photo du président à bord d'Air Force One, indique dans son titre que Donald Trump n'envisagerait pas de telles frappes.
Parallèlement, l'administration Trump affiche un soutien sans équivoque à certains alliés régionaux.
En Argentine, le président d'extrême droite Javier Milei a bénéficié du soutien « ouvert et total » de Donald Trump. Le parti de M. Milei, La liberté avance, a ainsi remporté les élections législatives partielles du 26 octobre. Ce soutien s'est également matérialisé par une aide financière passée, Trump ayant déjà renfloué la Banque centrale argentine à plusieurs reprises, et par la promesse d'une aide massive pouvant atteindre 40 milliards de dollars en cas de victoire de Milei.
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