Le Marathon : Dépassement de soi et quête de performance à tout âge



L'athlète lorrain Félix Bour a récemment illustré cette lutte intense lors du marathon de Valence.
Malgré une forme qu'il sentait décliner et après avoir frôlé l'abandon au 23e kilomètre, il a puisé dans ses ressources mentales pour non seulement terminer la course, mais aussi pour battre son record personnel avec un temps de 2h06’41. Cette performance, qu'il décrit comme étant « toujours à la limite de l’explosion », lui a permis de se classer dans le Top 8 de l'épreuve et de signer la meilleure performance française de l'année sur la distance. La quête de performance n'a pas d'âge, comme le prouve Yves Tabarant.
À 76 ans, cet ancien octuple champion du monde de triathlon longue distance continue de courir à haute intensité.
Sa motivation, dit-il, réside dans « l’effort et la performance ». Il a récemment battu le record de France du marathon dans sa catégorie d'âge lors de l'épreuve de Saint-Sébastien, démontrant une longévité et une détermination exceptionnelles.
Si le marathon est souvent perçu comme un sport individuel, il peut également se vivre à deux.
La pratique en binôme peut transformer l'expérience de la course, créant un lien privilégié qui peut considérablement améliorer la performance. Selon un des articles, trouver le bon partenaire demande de la patience et de la chance, mais cette relation n'a pas de prix. Pour ces duos, le temps semble « glisser » lorsqu'ils courent ensemble, illustrant une dimension sociale et solidaire de la course à pied qui contraste avec l'effort solitaire.









