Libération d'une Iranienne en France : Un pas vers un échange de prisonniers avec Téhéran ?



Les autorités iraniennes ont annoncé la « libération conditionnelle » de Mahdieh Esfandiari, une de leurs ressortissantes arrêtée en France en février. Le parquet de Paris a par la suite confirmé sa remise en liberté sous contrôle judiciaire. L'étudiante était poursuivie pour « apologie et provocation en ligne au terrorisme » en raison de publications sur ses réseaux sociaux et était détenue à la prison de Fresnes.
Cette libération n'est pas un acte isolé et s'inscrit dans un contexte diplomatique tendu entre la France et l'Iran.
Plusieurs articles suggèrent que le sort de Mahdieh Esfandiari est directement lié à celui des otages français détenus en Iran.
Son nom fait partie d'un échange de prisonniers activement discuté entre les deux pays pour obtenir la libération de Cécile Kohler et Jacques Paris. Le régime iranien s'est félicité de cette libération, qui a été précédée par une manifestation de soutien à Mahdieh Esfandiari devant l'ambassade de France à Téhéran le 21 octobre 2025. La décision de la justice française est ainsi perçue comme une étape potentielle vers la résolution de la situation des ressortissants français retenus par l'Iran.
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