Effondrement de la Torre dei Conti : un chantier de rénovation vire au drame au cœur de Rome



Lundi en fin de matinée, une partie de la Torre dei Conti, une tour historique de Rome datant du début du XIIIe siècle, s'est effondrée. L'incident s'est produit alors que le monument, situé dans un quartier touristique près du Forum romain et du Colisée, faisait l'objet de travaux de rénovation financés par des fonds de l'Union européenne. L'effondrement d'une portion de la façade a projeté des gravats dans la rue et soulevé une colonne de poussière. La situation a été aggravée par un second effondrement partiel survenu environ deux heures plus tard, compliquant l'intervention des secours.
Plusieurs ouvriers se trouvaient sur le chantier au moment du drame.
Les services d'urgence ont pu évacuer trois d'entre eux, dont un a été hospitalisé dans un état critique. Un quatrième ouvrier est cependant resté piégé sous les décombres et était porté disparu.
Un témoignage a été recueilli auprès d'un autre travailleur, Ottaviano, âgé de 67 ans, qui a réussi à s'échapper par un balcon, décrivant la situation comme n'étant « pas sûre ». Une importante opération de secours a été immédiatement déployée, les pompiers utilisant des échelles pour accéder aux fenêtres de la tour et un drone pour inspecter l'intérieur de la structure endommagée. La cause exacte de l'effondrement n'a pas été mentionnée.
Articles
38Monde
Voir plus
Un tribunal américain a accordé 10 millions de dollars de dommages et intérêts à Abby Zwerner, une enseignante blessée par balle par un élève de six ans dans une école primaire de Virginie en 2023. Elle accusait la direction de l’établissement d’avoir ignoré plusieurs avertissements signalant que l’enfant portait une arme à feu. L’élève n’a pas été poursuivi, mais sa mère a été condamnée à près de quatre ans de prison.

La Cour suprême des États-Unis, à majorité conservatrice, a validé la décision de l’administration Trump d’interdire les passeports mentionnant un genre « X » ou différent du sexe de naissance.

La Cour suprême des États-Unis a accordé jeudi une victoire à l'administration Trump en autorisant la suppression des passeports ne correspondant pas au genre de naissance. L'influente organisation de défense des droits civiques ACLU accuse les juges "d'alimenter le feu qu'attise l'administration Trump contre les personnes transgenres et leurs droits constitutionnels".

Le président américain Donald Trump a affirmé jeudi 6 novembre qu'il allait "devoir préparer un plan B" dans le cas où la Cour suprême invaliderait une part importante des droits de douane qu'il a mis en place.




