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Le président de la Fédération internationale de ski exprime son inquiétude face aux retards des Jeux olympiques de 2026

À environ 50 jours de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'hiver de Milan-Cortina, le président de la Fédération internationale de ski a sonné l'alarme concernant d'importants retards dans la préparation des sites.
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À l'approche des Jeux olympiques d'hiver de 2026 à Milan-Cortina, qui doivent débuter le 6 février, une vive inquiétude émerge quant à l'état de préparation des infrastructures. Johan Eliasch, le président de la Fédération Internationale de ski (FIS), a publiquement tiré la sonnette d'alarme en marge d'une épreuve de Coupe du Monde à Val-d'Isère, déclarant que « tout n'est pas prêt » à seulement 50 jours de l'événement. Le principal point de friction concerne le site de Livigno, désigné pour accueillir les épreuves de snowboard et de ski freestyle. Selon M. Eliasch, ce site fait face à des difficultés critiques liées à un enneigement insuffisant, exacerbé par un système de production de neige artificielle jugé défaillant.

Les travaux pour une retenue collinaire destinée à alimenter les canons à neige n'ont été achevés que fin novembre, retardant d'autant leur mise en service.

Le dirigeant suédois qualifie ces retards d'« inexplicables ».

Johan Eliasch pointe directement la responsabilité du gouvernement italien, l'accusant d'un manque d'investissement financier adéquat.

« Malheureusement, le gouvernement italien n’a pas débloqué de fonds donc les organisateurs ont du mal à joindre les deux bouts », a-t-il affirmé, soulignant que cette situation est d'autant plus regrettable que le pays n'a pas organisé de Jeux d'hiver depuis Turin en 2006. La FIS serait en contact constant avec les organisateurs pour tenter d'accélérer les préparatifs.

Bien qu'il assure que des plans alternatifs (« un plan B, un plan C, un plan D ») sont prévus en cas de besoin, le président de la FIS déplore devoir se retrouver « dans une situation dans laquelle on n’aurait jamais dû se retrouver ».

Une véritable course contre-la-montre est désormais engagée pour que tous les sites soient opérationnels à temps pour le début des compétitions.

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