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Art Basel Paris 2025 : Au-delà du Grand Palais, les foires « off » animent la capitale

La semaine de l'art 2025 bat son plein à Paris, avec en son cœur la prestigieuse foire Art Basel au Grand Palais. En parallèle, une myriade de foires « off » attirent collectionneurs et amateurs, proposant des expériences uniques dédiées au design, à la céramique et à l'art moderne.
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L'édition 2025 de la semaine de l'art à Paris s'articule autour de la foire Art Basel, qui se tient jusqu'au 26 octobre au Grand Palais.

Cet événement majeur, qui a attiré des VIP dès son inauguration, présente des œuvres d'artistes de renom tels que Gerhart Richter, Ugo Rondinone et Takashi Murakami, et génère un impact touristique et des ventes record pour la capitale.

Cependant, l'effervescence ne se limite pas au Grand Palais.

Cette année est marquée par un nombre record de dix foires « off » qui profitent de la clientèle internationale pour proposer des sélections spécialisées dans des lieux singuliers.

Parmi celles-ci, trois se distinguent particulièrement.

Design Miami, installée pour la troisième fois dans un hôtel particulier de la rue de l'Université, connaît un grand succès en mariant design vintage et contemporain aux dorures du XVIIIe siècle.

Des galeries comme Patrick Seguin avec Jean Royère ou François Laffanour avec Jean Prouvé y attirent une foule nombreuse.

Une nouveauté cette année est la Ceramic Art Fair, qui se tient à la Maison de l'Amérique Latine jusqu'au 25 octobre.

Cet événement met à l'honneur les arts du feu, allant de la céramique chinoise antique présentée par Christian Deydier aux créations contemporaines épurées de Helle Damkjaer ou aux personnages colorés de Théo Ouaki. Les prix varient, avec des pièces allant de 2000 € à plus de 35 000 €. Enfin, la Moderne Art Fair a déménagé sur la place de la Concorde, offrant un espace plus agréable pour les visiteurs.

Fidèle à son nom, elle se concentre sur l'art d'après-guerre avec des artistes comme Hans Hartung et Bernard Buffet.

Des stands se démarquent, comme celui de la galerie Lélia Mordoch avec une vidéo de Miguel Chevalier ou celui de la Galerie Capazza dédié à l'orfèvre Goudji. Ces événements parallèles, complétés par de nombreuses installations éphémères à travers la ville, confirment le statut de Paris comme capitale de l'art contemporain.

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