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Mercato PSG : Francfort très intéressé par le Titi Mathis Jangeal
Le Paris Saint Germain ajuste ses priorités pour le mercato hivernal
À l'approche de la fenêtre des transferts de janvier, le Paris Saint-Germain revoit ses plans de recrutement, avec des changements notables dans ses secteurs prioritaires suite à la décision d'un de ses défenseurs.
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Le plan initial du Paris Saint-Germain pour le mercato hivernal a été modifié par la décision du défenseur Lucas Beraldo. Malgré un temps de jeu limité et l'intérêt de plusieurs clubs, l'international brésilien a exprimé son souhait de rester dans la capitale, mettant ainsi fin à la recherche d'un nouveau défenseur central par le club.
Cette situation a conduit la direction parisienne à redéfinir ses priorités.
Le club se concentre désormais sur le renforcement d'un milieu défensif et d'un ailier.
Plusieurs pistes sont étudiées, notamment celle menant à l'international arménien Eduard Spertsyan, qui brille au FK Krasnodar avec 8 buts et 12 passes décisives en 18 matchs.
Son club l'évalue à environ 25 millions d'euros.
Le milieu de terrain suisse du SC Fribourg, Johan Manzambi, est également ciblé, pour un montant similaire.
En parallèle, le PSG continue de suivre des dossiers offensifs de longue date, bien que complexes. L'intérêt pour Maghnes Akliouche de l'AS Monaco est toujours d'actualité, mais le prix demandé par le club monégasque, environ 60 millions d'euros, reste un frein majeur.
La situation de l'attaquant du Real Madrid, Rodrygo, en manque de temps de jeu, est également surveillée. Cependant, ce dossier est compliqué par le coût du transfert et la forte concurrence de clubs de Premier League. Enfin, le club doit gérer l'avenir de ses jeunes talents. Le milieu de 17 ans, Mathis Jangeal, dont le contrat aspirant se termine en juin 2026, a reçu une offre de contrat professionnel de la part du PSG.
Néanmoins, il est fortement courtisé par l'Eintracht Francfort, qui a déjà présenté son projet, ainsi que par d'autres clubs anglais, ce qui rend son avenir incertain.
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Il y a trois ans jour pour jour, le formidable Lusail Stadium à Doha avait été le théâtre de la tristesse infinie de Kylian Mbappé et de l’équipe de France en finale de la Coupe du monde face à l’Argentine. Ce jeudi, ce bijou architectural a accueilli, en ce jour de fête nationale du Qatar, un nouveau match renversant, au scénario fou et haletant qui a profité au Maroc face à la Jordanie en finale de la Coupe arabe (2-3).Devant 84 517 personnes, les hommes de Tarik Sektioui ont remporté pour la deuxième fois de leur histoire cette compétition après avoir livré une performance remarquable qui porte le sceau de l’abnégation et de la résilience. À trois jours du début de « sa » CAN organisée à domicile, le Maroc continue d’asseoir sa domination.Une inspiration géniale de TannaneÀ défaut de rester autant dans la légende que la finale du Mondial 2022, cette rencontre aura joliment fait la promotion de la Coupe arabe et aura offert des images qui feront certainement le tour de la planète grâce, tout d’abord, au but exceptionnel inscrit par Oussama Tannane (4e). Une inspiration géniale, précise de près de 55 m de l’ancien joueur de Saint-Étienne venue lober le malheureux gardien jordanien Abulaila qui s’est fracassé ensuite contre l’un de ses poteaux.Sous une pluie battante ayant obligé une bonne partie des spectateurs à se munir de poncho de fortune pour se protéger des fortes averses tombées sur Doha, le public jordanien a été douché une deuxième fois. Le reste du stade, lui, était sidéré et se prenait la tête entre les mains de stupéfaction. Plus précis techniquement et plus dominateurs, les Lions de l’Atlas ont continué à poser leur patte sur cette rencontre et ont bien cru prendre le large avant la mi-temps. Mais ni El Barkaoui (12e), ni Tannane (41e), n’ont permis au Maroc de faire le break.Un manque d’efficacité et de réalisme dont a su profiter la Jordanie dès le retour des vestiaires. Plus incisifs, les hommes de Jamal Sellami ont tout d’abord égalisé grâce à un but de la tête de l’incontournable Ali Owan (48e). Le match était relancé par le 5e but de la compétition de l’attaquant et les chants des supporters jordaniens ont redoublé d’intensité à chaque incursion de leurs protégés, tandis que des sifflets intenses ont accompagné celles du Maroc.Abderrazzak Hamed Allah, le héros inattenduL’ambiance est alors devenue furieuse dans les tribunes où avait pris place l’Émir du Qatar, après avoir manqué la veille la Coupe intercontinentale remportée par le PSG face à Flamengo, et cette finale est devenue irrationnelle, irrespirable. Revigorés, les Nashama ont fait honneur à leurs formidables fans en se montrant bien plus dangereux. Ces efforts ont fini par être récompensés avec un pénalty transformé à la 65e minute par le meilleur buteur de la compétition Ali Owan, encore lui. Le Maroc y a encore cru et a finalement trouvé les ressources pour égaliser et arracher une prolongation grâce à un but de l’entrant Abderrazzak Hamed Allah, accordé après l’intervention de la VAR (88e).Les deux équipes ont continué à se livrer un formidable mano à mano dans le temps additionnel, Owan ayant même la balle de match (90e + 7), mais dans un remake de l’échec de Randal Kolo Muani devant Emiliano Martinez, sa frappe a été miraculeusement détournée par le gardien. La Jordanie a poussé, vu un but refusé pour une très légère main d’Abutaha dès la 7e seconde de la prolongation, et ses espoirs ont fini par définitivement s’envoler.La prolongation a tourné à l’avantage des hommes de Tarik Sektioui grâce à son superbub Hamed Allah. L’attaquant d’Al-Shabab a volé la vedette à Owan et enfilé le costume de héros inattendu en inscrivant un doublé plein d’opportunisme (100e) qui mettait le virage des fans marocains en transe. À un mois, jour pour jour, de la finale de la CAN, le Maroc a vécu un premier moment d’allégresse et espère en revire très prochainement.
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