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Miss France 2026 : Derniers préparatifs et enjeux avant le couronnement à Amiens

L'élection de Miss France 2026, qui se tiendra le 6 décembre 2025, suscite une grande attente alors que trente candidates régionales s'apprêtent à concourir pour la prestigieuse couronne. Entre portraits de favorites, nouvelles règles et regards sur les coulisses, les préparatifs de la 96e édition battent leur plein.
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La 96e élection de Miss France se déroulera le samedi 6 décembre 2025 au Zénith d'Amiens et sera diffusée en direct sur TF1. Trente miss régionales sont en lice pour succéder à Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025.

La cérémonie, présentée pour la 31e fois par Jean-Pierre Foucault, coïncidera exceptionnellement cette année avec la diffusion du Téléthon sur France 2. La lauréate remportera, en plus du titre, un salaire confortable et de nombreux cadeaux.

Le jury, présidé par la comédienne Michèle Bernier, participera à égalité avec le vote du public pour choisir la gagnante. Michèle Bernier, qui avait déjà été membre du jury pour l'élection de Miss France 2017, a exprimé son admiration pour le « culot » des candidates. Pour rester impartial, le jury ne rencontre pas les prétendantes avant le début de la cérémonie. Une présélection a déjà eu lieu pour déterminer les demi-finalistes, réduisant le nombre de concurrentes avant même la soirée en direct.

Parmi les trente candidates, plusieurs se démarquent.

Naomi Torrent, Miss Guadeloupe, est la doyenne de la promotion. Des favorites émergent, comme Lola Lacheré (Miss Nord-Pas-de-Calais), dont les chances sont renforcées par une prédiction de l'intelligence artificielle et le palmarès récent de sa région, et Déborah Adelin Chabal (Miss Roussillon).

La popularité sur les réseaux sociaux est devenue un facteur important ; Miss Tahiti, Hinaupoko Deveze, est la plus suivie sur Instagram.

D'autres candidates partagent des parcours personnels touchants, comme Noémie Baiamonte (Miss Rhône-Alpes), qui a surmonté sa timidité, ou une autre candidate luttant contre une maladie auto-immune.

Le concours continue d'évoluer, avec des règles assouplies concernant l'âge ou le statut marital des candidates.

L'organisation a également prévu un meilleur encadrement pour la future lauréate afin d'éviter les « tempêtes médiatiques ». Alors que l'événement approche, la pression monte pour les jeunes femmes qui, pour certaines, ont dû faire des sacrifices professionnels pour participer à ce rêve.

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