Sahara Occidental : la consécration d'une stratégie marocaine face à une Algérie isolée



Le 31 octobre 2025, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté une résolution soutenant le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour le Sahara occidental.
Cette décision est décrite comme l'aboutissement d'un demi-siècle d'efforts politiques et économiques du royaume chérifien pour affirmer sa souveraineté sur ce territoire, consacrant ainsi ce que des analystes qualifient de victoire diplomatique majeure pour Rabat, dont la « patience a payé ». L'annonce de la résolution a été accueillie par des scènes de liesse au Maroc, notamment dans les rues de Rabat. La population a célébré cette reconnaissance internationale de la position marocaine.
Suite à cette décision, le roi a prononcé une prise de parole, et le ministre des Affaires étrangères est revenu en détail sur le processus de négociations. Le Parlement marocain devait également se réunir le 3 novembre pour discuter du sujet et de ses implications pour l'avenir.
En opposition, l'Algérie, qui soutient le Front Polisario, a vu sa position affaiblie.
La délégation algérienne à l'ONU a finalement choisi de ne pas voter la résolution, après avoir, selon un article, failli l'approuver. Alger a par la suite tenté de minimiser la portée du succès marocain. Plusieurs analyses qualifient la diplomatie algérienne de « rigide » et « figée dans le ressentiment », contrastant avec la stratégie marocaine jugée constante et tournée vers l'avenir. Le Front Polisario a, de son côté, contesté l'interprétation que le Maroc a faite du texte de la résolution, qui est perçue comme allant au détriment de l'indépendance des Sahraouis.
Articles
7Monde
Voir plus
Emmanuel Macron a rencontré le président syrien Ahmed al-Chareh, qu’il a appelé à rejoindre la coalition internationale contre l’État Islamique. À quelques jours des commémorations du 13-Novembre, le chef de l’État a souligné que cette coopération serait « aussi une question de sécurité pour les Français », saluant la levée des sanctions de l’Onu contre le dirigeant syrien.

Cet outil, baptisé TFFF, doit permettre de rémunérer les pays qui réalisent des efforts de conservation, grâce aux bénéfices obtenus par des investissements publics et privés dans la transition écologique. Le président brésilien a annoncé sa création jeudi, à l'ouverture du sommet des dirigeants en Amazonie.

Au Brésil, Macron a appelé à l’unité mondiale face à l’urgence climatique. En ouverture du sommet préparatoire à la COP30, il a dénoncé les « prophètes de désordre » et appelé à défendre la science

Selon la motion présentée par des partis de droite jeudi, la dirigeante mexicaine a adopté une attitude hostile envers le Pérou depuis son arrivée au pouvoir.







