« Résurrection » de Bi Gan : L'hommage onirique au cinéma qui a conquis la critique



Le nouveau film du réalisateur chinois Bi Gan, intitulé « Résurrection », arrive dans les salles françaises ce mercredi 10 décembre.
Le long-métrage est précédé d'une réputation flatteuse, ayant été distingué par le Prix spécial du jury lors de la dernière édition du Festival de Cannes.
Outre cette reconnaissance critique, le film a également rencontré un immense succès public sur ses terres natales, en Chine.
Les articles décrivent « Résurrection » comme une œuvre ambitieuse et un hommage passionné au septième art. Le film est présenté comme une odyssée visuelle d'une « saisissante beauté » qui retrace à la fois le XXe siècle et l'histoire du cinéma. Au cœur du récit se trouve un personnage singulier, le « Rêvoleur », qui s'efforce de continuer à rêver dans un monde qui l'interdit. Cette trame narrative sert de prétexte à une célébration des « rêveurs qui se perdent dans les volutes » du cinéma, qualifié par la critique d'« évangile » et d'« art total ».
Bi Gan, le réalisateur, est unanimement salué comme un « jeune prodige » et un « magicien » du cinéma.
Son travail est qualifié de « tourbillon créatif vertigineux » et de « lame de fond ». La critique souligne le caractère exceptionnel et audacieux du film, le présentant comme « le plus dément de l’année ». Par son exploration de la nuit et du rêve, « Résurrection » s'impose comme une expérience cinématographique unique et un coup de cœur pour la presse spécialisée, qui y voit un voyage éblouissant à ne pas manquer.














