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Dérapage en coulisses : la destitution de Miss Provence et Miss Aquitaine secoue le concours Miss France

Une vidéo privée aux propos injurieux, tournée en coulisses de l'élection de Miss France 2026, a entraîné une sanction inédite : la destitution de Miss Provence et Miss Aquitaine.
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L'élection de Miss France 2026, qui a vu le sacre d'Hinaupoko Devèze le 6 décembre 2025, a été marquée par une vive polémique. Une vidéo, initialement privée mais qui a fuité sur les réseaux sociaux, montre Miss Aquitaine 2025, Aïnhoa Lahitete, et Miss Provence 2025, Julie Zitouni, critiquer les douze demi-finalistes après leur propre élimination. Dans la séquence, Miss Aquitaine exprime son incompréhension face au choix du top 12, avant que Miss Provence ne qualifie les candidates sélectionnées de « grosses putes ». Face au tollé provoqué par la diffusion de ces images, les comités régionaux Miss Aquitaine et Miss Provence, soutenus par la société Miss France, ont réagi fermement. Le mardi 9 décembre 2025, ils ont annoncé par un communiqué officiel la destitution des deux jeunes femmes de leurs titres régionaux.

Cette décision, qualifiée de « lourde de conséquences mais nécessaire », constitue une sanction sans précédent dans l'histoire du concours pour de tels propos. Les comités ont estimé que cette attitude était en « totale contradiction avec les valeurs » de respect et de responsabilité prônées par l'organisation.

Malgré des excuses publiques présentées par les deux miss, la sanction a été maintenue.

Julie Zitouni a tenté de justifier ses propos en affirmant que le terme employé était « familier » et signifiait « les veinardes », une explication qui n'a pas suffi à apaiser la situation. Les comités ont pris acte des excuses mais ont jugé que « la gravité des propos » rendait impossible le maintien de leurs titres.

La nouvelle Miss France, Hinaupoko Devèze, a appelé à « passer à autre chose » et a condamné le cyberharcèlement subi par les deux jeunes femmes.

Suite à ces destitutions, leurs premières dauphines, Solène Videau pour l'Aquitaine et Manon Job pour la Provence, devraient récupérer les écharpes.

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