Sahara Occidental : Le plan d'autonomie marocain adoubé par l'ONU, une victoire diplomatique pour Rabat



Ce vendredi 31 octobre, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution qualifiant le plan d'autonomie présenté par le Maroc comme la solution « la plus réalisable » pour le territoire disputé du Sahara occidental. Cette décision est considérée comme une victoire diplomatique significative pour le Maroc dans ce conflit qui dure depuis plus de cinq décennies.
L'initiative a été largement portée par les États-Unis, qui ont soumis la résolution au vote.
L'administration américaine, suivant une impulsion qui aurait été donnée sous Donald Trump, estime que le plan de Rabat pourrait servir de « base » pour de futures négociations visant à résoudre définitivement la question. Selon l'un des articles, le Front Polisario semble également accepter ce plan de souveraineté marocaine. Cette avancée a cependant rencontré une forte opposition de la part de l'Algérie, qui a refusé de participer au vote et, selon certaines informations, aurait tenté de retarder l'échéance. La résolution est ainsi susceptible de tendre les relations entre les deux pays voisins.
Les heures précédant le vote ont été marquées par d'intenses négociations en coulisses à New York.
Si la séance a été officiellement reportée en raison de la crise au Soudan, des sources officieuses indiquent que les discussions achoppaient sur des détails de formulation et que l'Algérie manœuvrait pour freiner une issue qui paraissait « inévitable ». Le vote final du Conseil de sécurité vient donc entériner une nouvelle dynamique diplomatique pour la région.
Articles
38Monde
Voir plus
Aujourd’hui, vendredi 7 novembre, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán sera reçu à la Maison-Blanche par Donald Trump. L’article Viktor Orbán rencontre Trump à la Maison-Blanche, où il espère obtenir une exception aux sanctions énergétiques est apparu en premier sur Le Grand Continent.

Avec son flegme métaphysique baptisé « sisu », les Finlandais font face avec calme et détermination à la Russie. Les autres pays d’Europe devraient s’en inspirer.

Les États-Unis ont de nouveau mené, jeudi 6 novembre, une frappe aérienne en mer des Caraïbes, visant un bateau accusé de narcotrafic. L’annonce a été faite par le ministre de la Guerre, Pete Hegseth, sur X. L’attaque, menée dans les eaux internationales, a fait trois morts, selon Washington. Cette opération s’inscrit dans la campagne militaire lancée par Donald Trump contre les « narcoterroristes » dans la région.

Entre reportage de terrain en Ukraine et opération communication au profit de l’armée française, cette enquête ne manque pas de rappeler notre retard en matière de robotisation des armes. Lucide mais glaçant.







