Un Afghan de 20 ans écroué pour des liens présumés avec l'État islamique au Khorassan



Un jeune homme de 20 ans, né en Afghanistan, a été mis en examen à Paris et placé en détention provisoire pour des faits liés au terrorisme.
Selon les informations confirmées par le parquet national antiterroriste (PNAT), les chefs d'accusation retenus contre lui sont la "participation à une association de malfaiteurs terroriste criminelle" et le "financement d'entreprise terroriste".
Cette mesure d'incarcération fait suite à son interpellation survenue quelques jours plus tôt.
L'arrestation a été menée le 25 octobre par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) alors que l'individu se trouvait dans un centre de rétention administrative (CRA) de Lyon. La nouvelle de son interpellation a été initialement révélée par le journal Le Parisien.
Suite à son arrestation, il a été transféré à Paris pour être présenté à un juge d'instruction, qui a ordonné son placement en détention. Les enquêteurs soupçonnent cet homme d'être un relais en France pour l'organisation État islamique au Khorassan (EI-K), une branche affiliée à Daesh.
Il est suspecté d'avoir activement participé à la diffusion de propagande pour le groupe terroriste. De plus, selon le PNAT, il aurait également contribué au financement de l'organisation en envoyant des fonds depuis le territoire français.
L'affaire est désormais entre les mains de la justice antiterroriste qui poursuivra les investigations sur ses liens présumés et ses activités de soutien à l'EI-K.
Articles
28Actualité
Voir plus
Sept hommes et une femme, âgés de 25 à 53 ans, comparaissent devant le tribunal correctionnel de Tours, jeudi 6 et vendredi 7 novembre 2025, pour leur implication présumée dans un important réseau de trafic de stupéfiants qui irriguait la région de Loches jusqu’à l’automne 2024.


Le trafic aérien a été brièvement interrompu jeudi soir à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem après la détection d’un drone à proximité. Les vols ont été suspendus durant une demi-heure avant de reprendre normalement. Il s’agit du deuxième incident du genre en Belgique depuis mardi, après plusieurs survols de drones non identifiés qui ont conduit à la fermeture temporaire de l’espace aérien.

Alors que quatre personnes ont été mises en examen, d’autres interpellées pour le cambriolage du Louvre, des internautes partagent des portraits des supposés malfaiteurs. Les photos sont vraies mais anciennes et n'ont rien à voir avec le casse du musée parisien.




