Plan pour Gaza : les États-Unis cherchent l'appui de l'ONU pour une force internationale



Les États-Unis ont officiellement présenté à leurs partenaires et aux membres du Conseil de sécurité de l'ONU un projet de résolution visant à entériner le plan de paix du président Donald Trump pour Gaza. Les négociations se poursuivent à tous les niveaux pour faire adopter cette initiative qui représente une étape cruciale dans la gestion de l'après-guerre dans l'enclave.
Le projet américain a été partagé avec les dix membres élus du Conseil de sécurité.
Selon un responsable américain, des discussions impliquent également des acteurs régionaux clés tels que l'Égypte, le Qatar, l'Arabie saoudite, la Turquie et les Émirats arabes unis, ce qui est interprété par Washington comme un « soutien régional clair » à son initiative. Cette démarche diplomatique vise à construire un consensus large autour du plan en 20 points, dont la première phase, comprenant un cessez-le-feu et la libération d'otages, aurait déjà été partiellement mise en œuvre.
Au cœur de la résolution se trouve la proposition de créer une Force internationale de stabilisation (FIS) à Gaza, ainsi qu'un organe de gouvernance transitoire pour une durée de deux ans. Le mandat de cette force internationale serait d'« utiliser toutes les mesures nécessaires », une formulation diplomatique qui autorise le recours à la force pour garantir la sécurité et l'application du plan. Pour être adoptée, la résolution doit recueillir au moins neuf voix favorables au Conseil de sécurité, sans aucun veto de la part des cinq membres permanents (États-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni).
Les articles ne précisent pas si Moscou et Pékin, souvent en désaccord avec Washington sur ce dossier, ont déjà reçu le projet de texte, laissant planer une incertitude sur l'issue du vote.
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