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Éric Ducournau (Laboratoires Pierre Fabre) : "Aujourd’hui, les salariés détiennent 9,9 % du capital du groupe"

Le plan d’actionnariat salarié du groupe pharmaceutique fête ses 20 ans. Déployé dans 14 pays, il s’adresse à tous les collaborateurs, ce qui lui permet d’être davantage adopté que les dispositifs similaires au sein des entreprises du SFB 120, où seuls 2 % des collaborateurs sont actionnaires. Retour sur ce dispositif avec Éric Ducournau, directeur général des Laboratoires Pierre Fabre.

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Sandrine Dorbes : “Le salaire devient un indicateur de justice organisationnelle et un engagement de responsabilité sociale”

La France doit transposer, d’ici à juin 2026, la directive européenne sur la transparence des salaires, qui contraint les entreprises à divulguer leurs politiques de rémunération. Dans son ouvrage Transparence des salaires. Guide de survie à l’usage des dirigeants (Éditions de l’Oxymore, novembre 2025), Sandrine Dorbes, experte en stratégie de rémunération et créatrice du cabinet “How Much”, décrypte les enjeux de cette directive.

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Chronique. Et si l’influence des dirigeants dans notre société passait par le "Quiet leadership" ?

Chaque mot de dirigeant peut enflammer les réseaux ou les marchés, qu’il s’agisse des annonces de Donald Trump sur les droits de douane ou du débat français autour de la taxe Zucman, le bruit est devenu la norme. Sur les réseaux sociaux, dans les médias, dans les entreprises, tout le monde parle, commente, réagit. Être visible, partout, tout le temps, est devenu une injonction. Et pourtant, une autre voie existe. Plus discrète, plus exigeante, mais tout aussi puissante : celle du "Quiet leadership".

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Facturation électronique : le grand tournant du marché comptable

La réforme de la facturation électronique rebat les cartes pour les cabinets d’expertise comptable. En bouleversant les flux et les rôles, elle transforme la profession en profondeur autour d’un enjeu stratégique : celui de la maîtrise des données et de la relation client. Annoncée comme l’un des grands chantiers administratifs de la décennie, la réforme de la facturation électronique entrera en vigueur à partir de 2026 pour les grandes entreprises et ETI, avant une généralisation complète en 2027. Au cœur du dispositif : les Plateformes Agréées, chargées d’assurer la transmission sécurisée des factures via le Portail Public de Facturation. Elles sont déjà plus d’une centaine immatriculées "sous réserve". Un effet d’aubaine pour les nouveaux acteurs Aux côtés des éditeurs historiques se sont engouffrées des fintechs comme Tiime, Pennylane ou Indy, portées par la promesse d’une gestion fluide et peu coûteuse. Leur irruption challenge et densifie un marché de l’édition de solutions de gestion qui en avait sans doute besoin, mais le rend aussi moins lisible alors même que les cabinets comme les entreprises manquent de repères et de temps avant l’application de la réforme. Surtout, pour se faire une place, il faut faire du bruit. Et certaines pratiques commerciales offensives sont très mal perçues par les experts-comptables. Ainsi, à l’automne 2025, plusieurs cabinets ont dénoncé sur LinkedIn les démarches jugées insistantes de la société Tiime, accusée d’avoir démarché directement les clients de cabinets partenaires après résiliation. L’entreprise a reconnu des "contacts mal perçus" et annoncé la fin des appels sortants. L’épisode a laissé des traces : il illustre la frontière toujours plus poreuse entre accompagnement et captation de clientèle. Face au risque de voir des potentiels partenaires technologiques d’aujourd’hui devenir, à terme, leurs concurrents directs, certains experts comptables appellent désormais les plateformes à formaliser leur engagement en attestant, par des chartes, du non-usage des données à des fins commerciales, "afin de rassurer cabinets et groupements". Réagissant au cas Tiime, la présidente d’un cabinet d’expertise comptable alertait sur les « dérives qu'il va y avoir quand les cabinets et les sociétés auront choisi et acté leur plateforme agréée et que la facture électronique sera mise en place. C’est un vrai sujet pour nos instances et pour les experts-comptables ! » La confiance comme avantage compétitif Derrière ces "dérives", se pose la question du partage de la valeur entre le cabinet, l’éditeur de la plateforme agréée et le client final, l’entreprise. Longtemps, les experts-comptables ont prescrit les outils à leurs clients, choisissant les logiciels les plus adaptés à leurs besoins. Désormais, certaines fintechs et néobanques, en devenant Plateformes Agréées, accéderont directement aux flux de facturation et à la donnée client. Demain, pourraient-elles être en position de recommander, voire de "labelliser", des cabinets compatibles avec leur écosystème ? Car le cœur de la réforme ne réside pas seulement dans la numérisation des factures, mais dans la circulation des données. Chaque facture devient un actif, alimentant des outils de suivi, de financement ou de pilotage. Les plateformes, qui traitent et hébergent ces flux, captent une part croissante de cette valeur via leurs modèles d’abonnement ou de services financiers intégrés. Les experts-comptables, eux, restent responsables du traitement fiscal et juridique, sans toujours bénéficier du même levier économique. En théorie, ces plateformes n’ont qu’un rôle technique. En pratique, une fois agréés, ces opérateurs pourraient utiliser l’accès réglementé aux flux de factures pour prospecter. D’où un impératif de transparence : qui accède à la donnée, à quelles fins ? Un questionnement nouveau pour cette profession, habituée à l’ouverture et à la transparence sans risque de perte de marché. Le risque est de voir la technologie concentrer la valeur là où elle ne devrait être qu’un outil au service du conseil. Une inquiétude que résume une autre experte-comptable : "la technologie doit rapprocher les acteurs du chiffre, pas creuser la méfiance". Car si le choix du logiciel est « primordial parmi tous les acteurs du marché pour garantir notre indépendance (NDLR : celle des experts-comptables) » c’est que tous les éditeurs n’agissent pas ainsi.   Les entreprises assujetties, elles, s’interrogent avant tout sur leur capacité à absorber la réforme. Les freins sont nombreux : compréhension du cadre, formation, intégration technique, coûts associés... Seuls 26% des dirigeants de TPE-PME (cœur de cible des fintechs et dernières à entrer dans la réforme) se disent prêts pour la facturation électronique. En aidant leurs clients à choisir leurs partenaires et à interpréter la donnée, les cabinets prolongent leur rôle historique d’accompagnateurs, au-delà de la technique. Autrement dit, l’expert-comptable reste ce tiers de confiance entre l’entreprise, l’administration et les outils numériques. Un rôle que la réforme ne bouleverse pas, mais renforce à l’heure où choisir la bonne plateforme devient un enjeu stratégique

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Philippe Piron (GE Vernova) : "La politique énergétique européenne repose sur un équilibre entre transition énergétique, sécurité et compétitivité"

En 2024, General Electric était scindée en trois sociétés afin que chacune puisse se recentrer sur son cœur de métier. GE Vernova est celle spécialisée dans l’énergie. Philippe Piron, le président de la branche Electrification Systems, qui représente 8 milliards de dollars de chiffre d’affaires, revient sur les grands défis de la transition énergétique.

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Fiche de paie : le grand casse-tête?

À l’occasion des 80 ans de la Sécurité sociale, le Club Landoy a publié le 30 septembre dernier avec Viavoice l’étude inédite “La fiche de paie, miroir social – Le grand flou du brut au net”. Réalisée auprès de 1 000 salariés, elle vise à évaluer leur compréhension de leur fiche de paie et donc de notre modèle social. -- Alors que la réforme des retraites a été suspendue et que le déficit galopant de l’Assurance maladie est au cœur des débats, le Club Landoy s’est penché sur la compréhension que les 20 millions de salariés français ont de leur fiche de paie, devenu un document-fleuve de 40 à 50 lignes, contre seulement cinq en 1945. La fiche de paie, livre de chevet (incompris) des Français La fiche de paie représente le “mensuel le plus lu des Français” selon Maxime Sbaihi, économiste et directeur stratégique du Club Landoy, puisqu’elle est consultée chaque mois, dès réception, par 74 % des actifs salariés. Maxime Sbaihi précise : “Plus le salarié est âgé, plus il travaille dans une grande entreprise, qui plus est dans le secteur privé, et plus il consulte sa fiche de paie.” À l’inverse, les jeunes de 18 à 24 ans sont ceux qui consultent le moins souvent leur fiche de paie : ils sont 63 % à la lire chaque mois. Lecteurs assidus ou non, les travailleurs français parcourent leur fiche de paie de façon particulièrement rapide : 83 % des salariés ne lisent que la seule ligne du salaire net ‒ soit le montant versé sur le compte bancaire ‒, loin devant le salaire brut (6 %), le montant de l’impôt prélevé à la source (5 %) ou les RTT et congés payés (3 %). 83 % des salariés ne lisent qu’une seule ligne, celle du salaire net ‒ soit le montant versé sur le compte bancaire Le grand flou des cotisations sociales Si 63 % des sondés se disent attachés au système de protection sociale actuel, “la logique, les mécanismes et les circuits de financement du modèle social sont largement méconnus”, constate Maxime Sbaihi. Seuls 13 % des salariés déclarent ainsi comprendre toutes les cotisations inscrites sur leur fiche de paie, tandis que 66 % n’en comprennent que quelques-unes. L’ordre de grandeur des cotisations n’est pas non plus clair pour la plupart des salariés, explique le directeur du Club Landoy : “Nous avons interrogé les sondés sur le classement des grandes familles de cotisations, et seuls 37 % d’entre eux placent correctement les retraites en première place. Ils ne sont que 19 % à citer la maladie en deuxième place et 19 % à mentionner les cotisations chômage en troisième place.” Enfin, seuls 41 % des salariés interrogés savent à quoi sert la Contribution sociale généralisée (CSG), prélevée sur leur salaire et affectée principalement au financement de la protection sociale. Il s’agit pourtant de la plus importante de toutes les contributions, dont une partie est consacrée au remboursement de la dette publique. Autre fait surprenant, 68 % des sondés pensent avoir accès à l’Assurance maladie grâce à leurs cotisations, démontrant ainsi leur méconnaissance du caractère universel de ce droit. Enfin, en plein débat sur la réforme des retraites, seuls 52 % des salariés ont conscience que leurs propres cotisations ne financent pas leur future pension de retraite, mais celle des retraités actuels. Maxime Sbaihi insiste sur l’importance de la pédagogie, dans un contexte où la pyramide des âges s’est inversée. “Il faut absolument travailler sur la compréhension du système de retraite par les Français – beaucoup d’entre eux réfléchissant à tort par capitalisation et non par répartition – pour accompagner les réformes.” Seuls 17 % des sondés choisissent, parmi quatre définitions du salaire brut proposées, celle qui est exacte  Le salaire brut souvent mal interprété L’enquête du Club Landoy illustre combien les salariés comprennent mal la différence entre les cotisations salariales et patronales ‒ et donc entre leur salaire net et leur salaire brut. Cette distinction n’est pas claire pour 45 % des sondés, tandis que 48 % d’entre eux estiment que les cotisations patronales, qui sont inscrites sur leur fiche de paie, ne font pas partie de leur salaire. Par ailleurs, seuls 17 % des sondés choisissent, parmi quatre définitions du salaire brut proposées, celle qui est exacte : “Ce que l’employeur doit au salarié après avoir payé les cotisations patronales.” Alors que la question du financement de la protection sociale anime le débat public, seule une minorité tient compte de son poids sur le monde du travail. Et ce alors même que les cotisations patronales financent actuellement près de 40 % de notre modèle de protection sociale. À lire : Antoine Foucher : "Une baisse de 10 points des cotisations salariales en 5 ans, c’est 100 milliards rendus aux travailleurs" Maxime Sbaihi abonde en ce sens : “La mauvaise lecture du salaire brut invisibilise les cotisations patronales et salariales et éclipse notamment le co-financement des droits sociaux du salarié par son employeur.” Or, ce flou “fausse les négociations salariales basées sur le seul salaire brut et biaise la perception du salarié sur son coût total pour l’employeur”, explique le rapport de l’enquête. Ainsi, seuls 50 % des salariés ont conscience de percevoir sur leur compte en banque la moitié de ce qu’ils coûtent à l’employeur. Pour remédier à ce manque de culture économique et financière des français, le Club Landoy organisera à la Communale de Saint-Ouen l’événement “T’as vu ton net ?”, le 20 novembre prochain. Au-delà de ces incompréhensions, c’est bien le coût du travail et, par ricochet, le pouvoir d’achat des Français qui restent au cœur des préoccupations, alors que la différence entre salaires brut et net ne cesse de se creuser au fil des années. En pleine quête d’un accord politique pour boucler le budget de 2026, Sébastien Lecornu a, le 29 septembre dernier, exprimé aux responsables du “socle commun” sa volonté de proposer une diminution d’impôts “notamment en faveur du travail”. Le Premier ministre a dit envisager une baisse de la CSG, réclamée par le Parti socialiste. Caroline de Senneville

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Défense européenne : les capitaux privés en ligne de mire

Bpifrance lançait en juillet un cadre pour faciliter les émissions d’obligations destinées au financement des entreprises de la défense européenne. BPCE a signé la première opération d’envergure. D’autres outils vont bientôt être présentés, comme des produits réservés aux particuliers. De quoi couvrir les besoins français pour participer à l’effort de guerre de 800 milliards prévu par la Commission européenne ?

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L’apport-cession : un mécanisme stratégique à ajuster avec précision

Plébiscité par de nombreux dirigeants d’entreprise au moment de céder leur société, le mécanisme de l’apport-cession permet de différer l’imposition sur la plus-value tout en réorientant les liquidités vers l’économie réelle. Néanmoins, malgré cette souplesse, le dispositif reste complexe et très encadré. Sophie de Carné-Carnavalet et Jérôme Assouline, associés chez Sekri Valentin Zerrouk, partagent les bonnes pratiques liées à l’outil.

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Tribune. Chères autoroutes

Héritage de décennies de politique d’infrastructure, le modèle autoroutier cristallise débats et attentes autour de la qualité du service, du financement des mobilités et des rôles respectifs du public et du privé. Alors que l’avenir de ce réseau d’exception se joue, il importe d’interroger nos priorités collectives et d’ouvrir la voie à une gestion renouvelée et performante estime dans cette tribune Hubert du Mesnil, président de l’Institut de gestion déléguée.

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Caroline Mathieu (FBN) : "Pour certains dirigeants, transmettre revient à disparaître"

Enjeu national pour l’économie du territoire, la transmission d’entreprise familiale peine encore à être anticipée par leur dirigeant. En cause, l’isolement et la fiscalité, pour ne citer que quelques-uns des obstacles rencontrés. Caroline Mathieu, directrice générale du FBN France, revient sur les défis liés à cette étape de vie, plaidant pour une approche inclusive et collective.

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L'Union des marchés de capitaux européens : mythe ou réalité ?

Lancé en 2014, le projet d’Union des marchés de capitaux redevient une préoccupation majeure pour les dirigeants européens depuis les différentes tensions géopolitiques et le désinvestissement américain. L’ambition est claire : doter l’Union européenne d’un marché de financement capable de rivaliser avec celui outre-Atlantique. Si le chantier reste inachevé et soulève encore de nombreuses interrogations, plusieurs propositions pourraient se concrétiser à moyen terme.

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Thibault Renouf (Partoo) : "Diriger à deux permet de ne pas se sentir seul lorsqu’on prend des décisions"

Créée il y a onze ans, Partoo, start-up SaaS de 350 collaborateurs qui permet aux réseaux de points de vente (Carrefour, Toyota, Leroy Merlin, etc.) d’améliorer leur visibilité en ligne et leur relation client, est codirigée depuis 2019 par son fondateur ainsi que par Thibault Renouf. Celui-ci, également auteur de Start to scale, revient pour Décideurs sur leur tandem.

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Béatrice Cossa-Dumurgier (Revolut) : "Revolut a choisi la France pour son attractivité, son réservoir de talents et son cadre réglementaire"

Béatrice Cossa-Dumurgier est directrice générale pour l’Europe de l’Ouest chez Revolut depuis mai 2025. Alors que la fintech, fondée à Londres en 2015 a choisi Paris comme quartier général de cette zone géographique, sa dirigeante revient sur les réussites et les ambitions d’une banque en pleine expansion qui n’en finit plus de séduire de nouveaux utilisateurs.

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Prévenir le racisme : pourquoi le dialogue social reste silencieux ?

Alors que les enjeux d’égalité femme-homme et de gestion des handicaps en entreprise ont pris une place centrale dans les négociations collectives, la question des discriminations ethnoraciales peine à gagner du terrain. C’est ce que démontre l’enquête menée par la docteure en sociologie Manon Torres, publiée en juillet dernier par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares).

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Commerce parallèle des cigarettes : le député Frédéric Valletoux veut frapper fort

Le député de Seine-et-Marne, Frédéric Valletoux, veut frapper fort contre le commerce parallèle de tabac en empêchant, au niveau européen, les industriels de sur-approvisionner les pays à faible fiscalité, comme le Luxembourg. L’ancien maire de Fontainebleau presse pour la mise en œuvre du Protocole de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), un texte international de référence dont l’application est attendue depuis une dizaine d’années.

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Jonathan Bensaïd (Bensaïd Avocats) : "Une réglementation trop stricte peut asphyxier un marché"

L’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation visant l’importation de biens culturels au sein de l’Union européenne afin de lutter contre le trafic illicite fait débat. Jonathan Bensaïd, avocat associé chez Bensaïd Avocats, et Edouard de Lamaze, président du Conseil des maisons de vente (CMV), font le point sur l’impact de ce règlement sur le marché de l’art.

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France SCPI : votre expert pour choisir la meilleure SCPI dans laquelle investir

L’investissement Pierre Papier, autrement dit quand vous placez votre argent dans une SCPI, séduit de plus en plus de Français. Accessible à tous financièrement, avec une rentabilité intéressante et stable, des risques modérés, une absence de gestion locative… Les avantages sont nombreux, mais pour en profiter, il est important d’investir avec une plateforme spécialisée et compétente, comme c'est le cas avec France SCPI.

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