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La Lettre des Juristes d'Affaires

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Huit cabinets sur l’offre de Banijay valorisant Tipico 4,6 Mds€

Big is décidément beautiful dans le M&A… même si l’on pouvait en douter depuis quelques mois. Mais après L’Oréal, une semaine plus tôt, c’est au tour de Banijay Group de s’engager dans ce qui sera la plus grosse acquisition de son histoire. à la mi-2026, le groupe de divertissement créé par Stéphane Courbit entend en effet doubler la taille de son activité paris sportifs et jeux – dénommée Banijay Gaming –, en y logeant son confrère allemand Tipico. à cette fin, il a conclu un accord avec les fondateurs de ce dernier et avec CVC, leur actionnaire majoritaire depuis avril 2016, dans le but d’unir le germanique valorisé 4,6 Mds€ au fleuron qu’il possède déjà dans ce domaine : Betclic, lui-même valorisé 4,8 Mds€ dans le cadre de ce méga-deal. à la suite de quoi il détiendra 65 % du nouvel ensemble constitué au closing, avant d’y grimper à 72 % grâce à des options d’achat convenues avec ses nouveaux coactionnaires. D’ores et déjà, les futurs partenaires annoncent compter sur environ 100 M€ de synergies annuelles à venir à moyen terme de leur union, entièrement garantie par un montage financier d’environ 3 Mds€ – incluant le refinancement de la dette existante de Tipico. L’entité qu’ils constituent de concert affiche un chiffre d’affaires 2024 pro forma de 3 Mds€, pour un Ebitda ajusté de 854 M€. Des agrégats financiers à mettre en perspective de ceux de Banijay Group post-transaction : 6,4 Mds€ de revenus et 1,4 Md€ d’Ebitda.

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6e Grenelle du droit : époque de changements ou changement d’époque ?

Lundi 27 octobre 2025 a eu lieu la 6e édition du Grenelle du droit, qui rassemblait, dans les locaux de l’université Paris I, les représentants de l’écosystème juridique français. Ce rendez-vous, organisé par l’Association française des juristes d’entreprise (AFJE), a été une nouvelle fois l’occasion d’inciter la communauté des juristes à œuvrer de concert. Morceaux choisis.

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La médiation, pour créer un cadre de confiance entre les parties prenantes

Dans le cadre de la semaine de la médiation, la cour d’appel de Paris a accueilli, le 13 octobre 2025, un intéressant colloque sur le devoir de vigilance et la médiation. Divers intervenants se sont succédé au pupitre afin d’expliquer l’intérêt de la médiation comme outil d’élaboration du plan de vigilance et comme moyen de résolution des conflits liés au devoir de vigilance à l’ère post-judiciaire. Synthèse.

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Deux cabinets sur les trois rachats concomitants de Reunimer

Pour la deuxième acquisition signée depuis qu’il compte Hivest Capital Partners à son capital, Reunimer intègre trois entités dans son dispositif : Pêcheries des Hauts-de-France, Norsea et Stargel Seafoods. En absorbant ces trois entreprises implantées à Boulogne-sur-mer, le spécialiste réunionnais des produits de la mer ajoute le mareyage et le négoce à ses activités, tout en s’ancrant dans le premier hub halieutique européen. De quoi créer un pont avec sa zone géographique d’origine.

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Deux cabinets sur le LBO de Brifer

Expert de l’installation et la maintenance de terminaux ferroviaires embranchés, Brifer s’engage dans un MBO majoritaire en embarquant Siparex et Bpifrance. Grâce à cette opération où la famille fondatrice opère un peu plus son retrait, en parallèle de la montée au capital du dirigeant et de plusieurs cadres, il dispose d’une gouvernance renforcée pour continuer de se développer et envisager ses premières acquisitions. L’an passé, son chiffre d’affaires s’est établi à plus de 21 M€ - pour 75 collaborateurs.

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Deux cabinets sur le financement de Shippingbo

Pour son troisième investissement en France, Main Capital Partners a sélectionné Shippingbo, une scale-up toulousaine qui édite un logiciel SaaS permettant l’optimisation de la logistique des opérateurs de e-commerce. à l’issue d’un processus d’enchères, la société de gestion prend la suite de l’Irdi et de GSO Capital, entrés en 2022 pour accompagner ce prestataire dans une précédente phase de croissance. Elle souhaite lui permettre d’accélérer son développement, tout en accentuant son avance technologique et s’imposer comme la référence du marché, y compris à l’international.

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Trois cabinets sur l’entrée de Bpifrance dans Hublo

Après s’être engagé dans un LBO en compagnie de Five Arrows, juste avant l’été, Hublo complète son actionnariat en ouvrant son capital à Bpifrance. Créé en 2016, le développeur de solutions numériques conçues pour simplifier la gestion des ressources humaines dans le secteur de la santé matérialise de la sorte le renforcement de son ancrage auprès du service public. Accompagnant déjà plus de 5 600 établissements en France et en Europe et plus de 1,2 million de professionnels de santé, la plateforme RH vise plus de 30 M€ de revenus annuels récurrents. Ayant déjà conduit plusieurs acquisitions cette année, elle affiche un taux de croissance annuel de 40 %.

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Deux cabinets sur le financement de Groupe Starter

Trois ans après avoir pris une participation au capital de Groupe Starter, Irdi Capital Investissement lui réitère son soutien dans le cadre d’une recomposition de capital permettant au président de renforcer sa participation et à plusieurs cadres d’y entrer – tandis que le dirigeant historique poursuit son désengagement. L’investisseur aura donc apprécié les performances de ce spécialiste des treuils créé au début des années 1970 et de ses trois entités (Starter, Argevinc et Equipmen) : un taux de croissance annuel moyen de 17 %, accompagné d’une diversification sur des marchés porteurs et des investissements significatifs pour assurer la croissance future.

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Six cabinets sur l’accord conclu entre Airbus, Thales et Leonardo

Trois groupes cotés distincts mais une volonté commune : constituer un géant européen dans le domaine du spatial. En signant un protocole d’accord dans l’optique de regrouper leurs activités dédiées (hors lanceurs), Airbus, Thales et Leonardo ambitionnent de donner naissance à une nouvelle mégastructure totalisant près de 25 000 employés en Europe, quelque 6,5 Mds€ de chiffre d’affaires pro forma et un carnet de commandes représentant plus de trois années de revenus. Mais pour mettre en orbite un projet d’une telle envergure, il convient de porter le regard vers l’année 2027 – car il faut en particulier obtenir les différentes autorisations réglementaires, y compris en matière de concurrence à l’échelle européenne. L’enjeu est de taille pour cette société qui doit être basée à Toulouse et qui sera détenue à 35 % par Airbus et à 32,5 % par chacun de ses partenaires : outre les questions de souveraineté et de capacité à faire face à la concurrence internationale (notamment au vu des parts de marché conquises par Starlink), les trois industriels entendent de la sorte doper leur capacité d’innovation et répondre aux exigences croissantes de leurs clients. Tout en bénéficiant de plusieurs centaines de millions d’euros de synergies sur le résultat d’exploitation, cinq ans après la finalisation de ce rapprochement.

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Darrois Villey Maillot Brochier s’adjoint une sixième associée

Le chemin de la parité entre associés est encore relativement long, mais chaque entrée de femme dans le partnership mérite les honneurs. Darrois Villey Maillot Brochier annonce la cooptation d’Isabelle Touré-Farah à compter du 1er janvier 2026. Elle devient la sixième femme associée de la maison. Une heureuse nouvelle pour le cabinet qui a récemment été marqué par la disparition du regretté Didier Théophile.

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Trois cabinets sur l’accord Gifi / Grand Frais

Dans le courant de l’année 2026, le distributeur de produits alimentaires Grand Frais prévoit de reprendre entre 25 et 30 magasins appartenant au discounteur Gifi, soucieux de mener à son terme la restructuration financière amorcée il y a plusieurs mois. A la tête d’un réseau de plus de 300 points de vente, l’acquéreur s’est aussi engagé à accueillir le personnel actif dans les emplacements concernés, dont le nombre était estimé à environ 300 par Les Echos.

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Quatre cabinets sur le LBO de Cyrus avec PAI Partners

Et si les méga-LBO signaient aussi leur retour dans l’Hexagone ? D’aucuns s’y plairaient à le croire en observant que l’offre de PAI Partners retenue à l’issue d’un processus d’enchères valorise le gestionnaire patrimonial Cyrus environ 1,2 Md€. Il faudra cependant patienter jusqu’au deuxième trimestre 2026 pour voir la finalisation des négociations exclusives officialisées ce 22 octobre, devant aboutir au désinvestissement de Bridgepoint – détenteur de 20 % des titres aux côtés des fondateurs et du management, depuis 2020. Ayant déjà porté de 4 à plus de 20 Md€ le montant de ses encours sous gestion, au cours du quinquennat écoulé, Cyrus entend participer avec son nouvel actionnaire majoritaire à une nouvelle phase de consolidation du marché, y compris à l’international. à ce stade, il rassemble plus de 500 collaborateurs dans 25 bureaux, en France et à l’étranger.

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Trois cabinets sur une vente de Cellnex

Pour 391 M€, la filiale tricolore de Cellnex a scellé un accord pour transférer à Vauban Infra Fibre (VIF) 99,99 % de Towerlink France – l’entité qui opère une centaine de centres de données dans l’Hexagone. Après avoir cédé ses activités en Autriche et en Irlande, pour plus de 1,77 Md€, et opéré un refinancement, le groupe espagnol coté poursuit son recentrage sur son activité d’infrastructures télécoms.

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Six cabinets sur le LBO de Magellan Partners

Avec l’appui de Capza depuis 2021, Magellan Partners a conduit douze acquisitions et enregistré une croissance annuelle supérieure à 25 %. Toujours contrôlée par son management, l’ETI dédiée au conseil et aux technologies en transformation augmentée s’appuie désormais sur ICG afin de poursuivre son plan stratégique 2030 et de financer le récent rachat de MeTS à Worldline. Une fois celui-ci achevé, elle affichera 900 M€ de chiffre d’affaires.

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Sept cabinets sur l’accord à 4 Mds€ entre Kering et L’Oréal

Voilà de quoi redonner des couleurs au M&A tricolore : un dossier à 4 Mds€ officialisé le 19 octobre par les géants du luxe et de la cosmétique Kering et L’Oréal, annonçant le transfert des activités beauté de l’ex-PPR au premier semestre 2026. Ce « partenariat stratégique de long terme » inclut la vente du parfumeur Creed – repris en 2023 à Blackstone pour 3,5 Mds€ – mais aussi le droit de conclure un accord de licence exclusif de 50 ans des produits parfum et beauté de Gucci – une fois expirée la licence accordée à Coty – et un accord de licence similaire pour les produits Bottega Veneta et Balenciaga, dès la conclusion de la transaction. Dernier volet : la création d’une co-entreprise à 50/50 pour explorer des opportunités stratégiques communes. Somme toute, de quoi permettre à Kering de réduire son endettement et à L’Oréal de signer sa plus grosse acquisition.

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Peut-on enrichir la Justice sans appauvrir le droit ?

Instaurée à titre expérimental depuis le 1er janvier 2025, la contribution à la justice économique (CJE), payable par les entreprises lors de la saisine des 12 tribunaux des affaires économiques (TAE) est une mesure issue des États généraux de la Justice. Instaurée pour participer au financement du service public de la justice, lutter contre les recours abusifs et dilatoires et dans le but de responsabiliser les parties et favoriser les règlements amiables des différends, vise-t-elle toutefois juste ? Le point de vue d’Hortense de Roux, associée en contentieux au sein du cabinet Ashurst.

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