
Après la Deuxième Guerre mondiale, les Allemands confrontés à la culpabilité des crimes du nazisme avaient une alternative : la rejeter sur quelques dirigeants, ou s’estimer collectivement complices. Pourquoi et comment ont-ils choisi la deuxième option ? Dans une somme ambitieuse qui paraît cette semaine chez Grasset, Frank Trentmann écrit l’histoire d’une sortie des ténèbres. L’article « Sortir des ténèbres ne signifie pas entrer dans la lumière », une conversation avec Frank Trentmann sur l’Allemagne après le nazisme est apparu en premier sur Le Grand Continent.































































































