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Le PointLe Point
Relaxé après ses propos sur LFI, Raphaël Enthoven va « continuer le combat »
l'Opinionl'Opinion
Raphaël Enthoven relaxé après avoir qualifié LFI de parti « passionnément antisémite »
Le MondeLe Monde
Raphaël Enthoven relaxé du délit d’injure après avoir qualifié LFI de « profondément antisémite »
Le FigaroLe Figaro
LFI «passionnément antisémite»: le philosophe Raphaël Enthoven relaxé du délit d’injure
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l'Opinionl'Opinion
Les dessous de la proposition d'Edouard Philippe sur les impôts et les aides aux entreprises
TF1 InfoTF1 Info
"Deal fiscal" proposé par Édouard Philippe : une "très bonne idée à creuser", réagit un PDG sur LCI
l'Opinionl'Opinion
Un « deal fiscal d'une ampleur inédite » : la proposition d'Edouard Philippe aux entreprises pour 2027
TF1 InfoTF1 Info
Edouard Philippe propose un "deal fiscal" aux entreprises, via une baisse des impôts de production de 50 milliards d'euros
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La CroixLa Croix
Musée du Louvre : la présidente sommée de se concentrer sur les travaux de rénovation
Europe 1Europe 1
Cambriolage au Louvre : la Cour des comptes étrille les choix du musée, qui a privilégié l'attractivité à la sécurité
TF1 InfoTF1 Info
Sécurité, œuvres, visiteurs… Que retenir du sévère rapport de la Cour des comptes sur le musée du Louvre ?
Le FigaroLe Figaro
La gestion du Louvre étrillée, lourde amende pour Doctolib, le financement de l’enseignement privé... Les 3 infos à retenir à la mi-journée
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News Image
Jean-Luc Mélenchon, l'homme le plus détesté de France… jusqu’au second tour de la présidentielle ?

Détesté par ses opposants comme jamais, mais toujours incontournable : l’insoumis reste le mieux placé à gauche pour franchir le premier tour de l'élection présidentielle… tout en étant, au second, la garantie la plus sûre d’une victoire du RN. Un paradoxe que ses rivaux à gauche ne parviennent pas à dépasser, faute d’avoir trouvé un candidat capable de le supplanter

Source Logol'Opinion
Le FigaroLe Figaro
Budget 2026: Sébastien Lecornu assure qu’il ne «sera pas le premier ministre qui fera une passation avec Bardella»
Le FigaroLe Figaro
Budget : Darmanin dépeint Bardella comme un «communiste économique» et accuse le RN de «taqiya» dans ce domaine
MesinfosMesinfos
Sébastien Lecornu prévient le Sénat : “Je ne ferai pas de passation avec Bardella”
L'IndépendantL'Indépendant
Budget 2026 : "Je ne serai pas le Premier ministre qui fera une passation avec Jordan Bardella"… Au Sénat, Sébastien Lecornu veut discipliner les élus avant les débats budgétaires
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BFMTVBFMTV
Jeunes filles voilées à l'Assemblée: le député Marc Fesneau (Les Démocrates) à l'initiative de la visite
BFMTVBFMTV
"J'ai honte de cette polémique": Alma Dufour (LFI) réagit à la controverse autour de la présence de jeunes filles voilées à l'Assemblée nationale
BFMTVBFMTV
Jeunes filles voilées à l'Assemblée: "Un spectacle déplorable", pour Julien Odoul (RN)
BFMTVBFMTV
Polémique autour de la présence de jeunes filles voilées à l'Assemblée nationale
coverageCouverture complète
News Image
Budget : les socialistes obtiennent une victoire sur la CSG sur les revenus du capital à l'Assemblée

Paris - Les socialistes ont remporté une victoire mercredi soir dans les débats budgétaires avec l’adoption à l’Assemblée nationale de l’une de leurs propositions phares: une hausse de la CSG sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites. Un premier vote défavorable sur une mesure similaire plus tôt dans la soirée avait révélé des tensions à gauche, mais les socialistes ont finalement réussi à rassembler autour de la mesure. Le groupe du parti à la rose n’a pas censuré le gouvernement de Sébastien Lecornu pour tenter de décrocher des victoires budgétaires, et en premier lieu la suspension de la réforme des retraites. Mais reste la question du financement alors que le gouvernement cherche à réduire le déficit en dessous de 5% du PIB. Or après le rejet la semaine dernière des propositions de la gauche de taxer les hauts patrimoines, dont la taxe Zucman, les socialistes pressaient depuis plusieurs jours l’exécutif de soutenir leurs propositions de nouvelle recette dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Mercredi, c’est donc finalement un amendement de Jérôme Guedj (PS) qui a été adopté, avec le soutien d’une bonne partie du camp gouvernemental, pour faire progresser la Contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus du capital, en escomptant aller chercher en 2026 2,8 milliards d’euros supplémentaires. La mesure monte de 9,2% à 10,6% le taux d’une fraction de la CSG, qui porte notamment sur certains revenus de l’immobilier, d'épargne et de placements (produits de contrats d’assurance vie, dividendes, épargne salariale, plans épargne logement), ou des plus-values immobilières et mobilières (ventes d’actions...). Le PS, qui menace de censure en cas d'échec sur les nouvelles recettes fiscales, a reçu un avis favorable mais particulièrement réservé du gouvernement. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a appelé à voter pour, surtout pour que l’amendement puisse être rediscuté dans la suite de la navette parlementaire, sans approuver ses modalités. «Ce qui a été voté n’est pas une hausse de la fiscalité alors que nous sommes en première lecture. Ce qui a été voté, c’est la possibilité d’en débattre jusqu'à la fin du processus budgétaire», a-t-elle insisté. La mesure a été adoptée par 168 voix contre 140. Les voix de nombreux députés macronistes (de Renaissance et du MoDem) se sont jointes à celles de la gauche. Les députés de la droite (LR et Horizons) ont voté contre, tout comme le Rassemblement national. «Vous ne venez pas de décider de taxer le haut patrimoine, vous avez taxé l’assurance-vie, vous avez taxé les PEL», a regretté le patron des députés LR Laurent Wauquiez. Le député RN Jean-Philippe Tanguy a décrit la mesure comme «le financement des magouilles entre le Parti socialiste et le gouvernement», estimant qu’elle ne protège pas «l'épargne des classes populaires et moyennes». «Magouille de non-censure» Jerôme Guedj a balayé l’argument, son camp soutenant que la mesure concerne essentiellement les dividendes des actionnaires, et qu’avec un PEL dont la moyenne en France est de 25.000 euros, cette hausse représenterait seulement 50 centimes d’euros par mois. La soirée avait pourtant mal commencé pour les socialistes, avec le rejet d’un amendement similaire. Un épisode illustrant les divisions à gauche entre le PS, LFI et les écologistes. Les Insoumis avaient en effet voté contre ce premier amendement, dénonçant une «magouille de non-censure», selon la présidente du groupe Mathilde Panot. Une partie des écologistes s'étaient abstenus. Mme Panot avait alors appelé à voter les amendements suivants pour des taux plus importants, ou sans limite dans le temps. «C’est une politique de la terre brûlée, ils ne veulent pas de recettes, ils ne veulent pas de budget pour la France», avait dénoncé après le premier vote Sandrine Runel (PS), le premier secrétaire Olivier Faure reprochant aux Insoumis de pratiquer le «tout ou rien, et surtout rien». Camille MALPLAT © Agence France-Presse

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TF1 InfoTF1 Info
"Des contenus hallucinants" : un père endeuillé dénonce les dangers de l'algorithme de TikTok
TF1 InfoTF1 Info
Pourquoi la justice enquête sur l'algorithme de TikTok
TF1 InfoTF1 Info
Quel antidote face aux algorithmes des réseaux sociaux ? La réponse de la politologue Chloé Morin sur LCI
TF1 InfoTF1 Info
Face aux algorithmes des réseaux sociaux, "l'antidote, c'est la lecture", selon la politologue Chloé Morin
coverageCouverture complète
l'Opinionl'Opinion
Ariane 6 : décollage réussi pour le nouveau lanceur lourd européen
Le MondeLe Monde
Ariane-6 : décollage réussi du satellite Sentinel-1D pour la surveillance de l’environnement, dans le cadre du programme Copernicus
Les EchosLes Echos
Ariane 6 : la nouvelle fusée européenne monte en puissance dans un ciel orageux
TF1 InfoTF1 Info
Ariane 6 : mise en orbite ce mardi soir du satellite Sentinel-1D du programme européen Copernicus
coverageCouverture complète
Les EchosLes Echos
Aéroports, bases militaires, site nucléaire… La Belgique en état d'alerte après des survols de drone
l'Opinionl'Opinion
Belgique : la recrudescence des survols de drones autour des aéroports inquiète les autorités
Courrier internationalCourrier international
Des drones survolent des aéroports et bases belges : “Les regards se tournent vers la Russie”
Le MarinLe Marin
Les régions allemandes riveraines de la Baltique et de la mer du Nord préparent une défense anti-drones commune
coverageCouverture complète
Europe 1Europe 1
Dans le camp présidentiel, les rumeurs du retour du 49.3 divisent
Le MondeLe Monde
Budget de la Sécu : le gouvernement Lecornu défend les « compromis » et renonce à certaines mesures d’économie pour tenter de faire passer le projet de loi
Les EchosLes Echos
Retraites, année blanche : comment les lignes pourraient encore bouger à l'Assemblée
Les EchosLes Echos
Budget 2026 : Lecornu cajole les députés macronistes échaudés par les concessions aux socialistes
coverageCouverture complète
News Image
L’« open innovation », levier d'efficience pour les établissements de santé ?

L’innovation en santé ne manque ni d’idées ni de technologies, mais elle peine encore à transformer le quotidien des soignants et des patients. Entre la profusion d’offres numériques et la complexité des besoins du terrain, et notamment des Systèmes d’Informations Hospitaliers (SIH), on s’interroge : comment faire émerger des solutions réellement utiles, qui font gagner du temps aux professionnels de santé et améliorent la qualité des soins ? (Re)penser l’innovation : du concept à l’usage L’accumulation de technologies n’est plus suffisante. Il faut une dynamique collective entre usagers, développeurs et organisations de santé. Un nouveau paradigme, celui de l'« open innovation » prend le relais de l’abondance d’innovations avec pour objectif de rapprocher les besoins du terrain et la capacité d’expérimentation des start-ups, tout en garantissant la cohérence et la sécurité par la gouvernance publique. L’enjeu n’est plus de « faire différemment », mais de faire ensemble, dans une logique d’interopérabilité, d’efficience, d’économie et de souveraineté. Une architecture numérique basée sur la fiabilité et l’ouverture

Source Logol'Opinion
Le MondeLe Monde
Durcissement des découverts bancaires : le gouvernement accuse LFI de propager des « fake news » en parlant d’« interdiction »
l'Opinionl'Opinion
Découverts bancaires : le gouvernement dément toute interdiction et accuse LFI de « relayer des fake news »
Europe 1Europe 1
Fake news de LFI sur les découverts bancaires : «Les procédés de ce parti sont honteux», déplore Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement
Money VoxMoney Vox
Découverts bancaires : le gouvernement accuse LFI de propager des « fake news »
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A la veille de la COP, l’UE parvient à un accord avec ses États membres sur ses objectifs climatiques

Bruxelles - Juste avant le coup d’envoi de la COP au Brésil, l’Union européenne a arraché mercredi un compromis sur ses objectifs climatiques en 2035 et 2040, au prix d’une série de concessions pour rallier des États réticents, Italie en tête. Les Vingt-Sept ont évité la catastrophe diplomatique qu’ils redoutaient: l’Europe n’arrivera pas les mains vides à cette COP30 de Belem et pourra y afficher son «leadership» en matière environnementale. Les Européens sont «prêts pour Belem!», s’est aussitôt réjouie la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, tout juste arrivée au Brésil. Sur le papier, l’Union européenne maintient son ambition de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 90% en 2040 par rapport à 1990 - elle en était à moins 37% en 2023. Mais les âpres négociations, tout au long de la nuit à Bruxelles, ont entaillé cet objectif de façade. Afin de convaincre l’Italie de Giorgia Meloni, l’un des États les plus réticents, les Vingt-Sept ont approuvé une souplesse beaucoup plus importante que ce que souhaitait la Commission européenne au départ. Pour baisser les émissions de 90%, les Européens pourront acquérir 5% de crédits carbone internationaux qui financeraient des projets en dehors de l’Europe, un dispositif très critiqué par les organisations environnementales. Et le compromis adopté à la majorité qualifiée ouvre également la porte à 5% supplémentaires de ces crédits lors d’une prochaine révision de cette loi climat. Les ONG irritées Les Vingt-Sept ont en outre soutenu le report d’un an, de 2027 à 2028, de l’extension du marché du carbone au transport routier et au chauffage des bâtiments, une revendication régulière de la Hongrie ou de la Pologne. Mais un coup dur pour les pays les plus engagés en faveur du climat, notamment les Scandinaves. Les États membres ont enfin approuvé une clause de révision, qui permettrait d’ajuster l’objectif 2040 au fil du temps s’il s’avérait trop difficile à atteindre. «Il y a eu une pression italienne forte» et le «texte a été adopté un petit peu dans la douleur», a reconnu la ministre française de la Transition écologique Monique Barbut. La France demeure pour autant «extrêmement satisfaite» des ambitions affichées par l’Europe à la COP. C’est un «résultat excellent» et «pragmatique», avec de la «flexibilité», a affirmé pour sa part le commissaire européen au climat Wopke Hoekstra. Les ONG ont quant à elles critiqué les concessions laissées en route. «Cet accord très attendu est beaucoup plus faible que le laisse croire le chiffre de 90%», a réagi Sven Harmeling, du réseau d’ONG CAN Europe. Mais la pression de la COP était la plus forte, avec l’arrivée de dirigeants du monde entier au Brésil jeudi et vendredi, prélude de la conférence de l’ONU sur le climat le 10 novembre. Dans une Europe qui penche à droite, le bras de fer est tendu sur les questions climatiques, reléguées derrière les enjeux de défense et de compétitivité ces derniers mois. Et les tractations vont se poursuivre au Parlement européen, qui va s’emparer de cette loi climat. - Un leadership «reconnu» - Mercredi, les États ont aussi donné leur feu vert, à l’unanimité, à l’objectif 2035, celui que leur réclamait l’ONU depuis des mois. Ils avaient déjà déminé le terrain au mois de septembre en mettant en avant une fourchette de réduction des émissions comprise entre -66,25% et -72,5% par rapport à 1990. Pour éviter des négociations interminables, ils en sont restés au même objectif mercredi, même si les pays scandinaves, l’Allemagne ou la France espéraient mieux. Cela reste pour autant l’un des objectifs les plus ambitieux de la planète, avec le Royaume-Uni et la Norvège, revendique l’Union européenne. Un diplomate avait prévenu: le compromis «ne sera pas forcément très joli», mais «nous essayons de faire quelque chose de bien» dans le «monde réel et désordonné tel qu’il est». Le leadership de l’Europe en matière climatique est «reconnu» à l’international, a martelé Wopke Hoekstra, avec l’objectif de neutralité climatique de l’UE en 2050. Tandis que Donald Trump a décidé de retirer une nouvelle fois les États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat et boudera la COP au Brésil. Très loin derrière la Chine, l’Union européenne est le quatrième émetteur de gaz à effet de serre dans le monde, après les États-Unis et l’Inde. Adrien DE CALAN © Agence France-Presse

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Les EchosLes Echos
Starbucks va céder le contrôle de sa filiale chinoise
ChallengesChallenges
Un deal à 4 milliards de dollars : Starbucks va céder jusqu’à 60 % de ses activités en Chine à un fonds d’investissement
CNEWSCNEWS
Chine : en difficulté, Starbucks vend pour 4 milliards de dollars le contrôle de sa filiale
BFMTVBFMTV
Alors que ses ventes reculent dans le pays, Starbucks va céder le contrôle de sa filiale chinoise pour 4 milliards de dollars
coverageCouverture complète
News Image
« Dans le grand brouillard parlementaire, la radicalité de Mélenchon et Le Pen fait figure de clarté » – par Adrien Broche

Le directeur des études politiques à l’institut Viavoice analyse comment La France insoumise et le Rassemblement national capitalisent sur la confusion générée par les négociations interminables entre les socialistes et le gouvernement. « Au cœur de la crise de l’intelligibilité politique que l’on traverse, la radicalité devient plus que jamais une clarté », selon lui.

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