VIE JURIDIQUE DES SOCIETES - Dissolutions/Liquidations/Cessations Lecture zen 22/12/2025 RS ORGA RS ORGA, SAS en cours de liquidation au capital de 1 000 €. Siège social : 32 rue de Terre Neuve 76400 FECAMP. 917 552 408 RCS LE HAVRE. Par décision en date du 24/11/25, l’associée unique a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liquidateur Mme Marjorie SAIVES-RIESGO demeurant 32 rue de Terre Neuve 76400 FECAMP et déchargé ce dernier de son mandat, puis a constaté la clôture définitive de la liquidation. Le dépôt des actes sera effectué au greffe du tribunal des activités économiques du Havre. Pour avis, RS ORGA WEB_Légales76_paris_normandiefr 20539474 22/03/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- Clôture de liquidation Clôture de liquidation RS ORGA
Paris Normandie
Esteban Lepaul et les Rennais sont les futurs adversaires de Chantilly en Coupe de France, après s’être qualifiés devant Les Sables-d’Olonne (N3) ce dimanche 21 décembre (3-0).0 Photo Sébastien Salom-Gomis/AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 22:14 Lecture zen L’US Chantilly n’avait pas été assez gâtée alors que le Père Noël n’est pas encore officiellement passé. Déjà comblé par une qualification historique et inédite en 16es de finale de la Coupe de France après sa victoire, samedi 20 décembre, contre Freyming (3-0), le club cantilien va devoir faire une grosse place au pied de son sapin. Car le cadeau, emballage rouge et noir en provenance de Bretagne, est volumineux. Rien à voir avec les Lorrains de Régional 2 du tour précédent puisque c’est le Stade Rennais, poids lourd de Ligue 1, qui fera face aux Oisiens le week-end du 10 et 11 janvier prochain. Consultez l’actualité en vidéo « C’est une très belle affiche face à un grand club historique qui fait partie du top 5 français », savoure l’entraîneur Yacoub Yassine. Qui se réjouit de s’opposer à son homologue rennais, Habib Beye, croisé lorsque ce dernier officiait au Red Star. « J’ai eu la chance d’échanger assez longuement avec lui sur plein de choses il y a deux ans lors d’un entraînement. C’est un grand passionné et une belle histoire de se retrouver pour s’affronter », confie le technicien. Excitation aussi du côté de son président, Anthony Brice : « Quand on fait un parcours en Coupe de France, c’est ce qu’on attend, jouer le haut du panier. Rennes en fait clairement partie ».Dans quel stade ?Un impressionnant défi sportif qui vient fructifier les efforts accomplis par tous au club, selon son dirigeant. « On travaille beaucoup pour se structurer, pour monter en niveau sur tous les plans et c’est récompensé ce soir par ce tirage », se félicite-t-il. Notamment pour les supporters, en particulier pour ceux qui ont fait le long aller-retour afin de soutenir leurs protégés et partager avec eux la fête en Moselle. « C’est génial. J’avais dit à ceux qui ont fait les 10 heures de car que l’affiche des 16es, je les inviterais à venir avec grand plaisir », avoue Anthony Brice.Il pense maintenant à celle de cette rencontre de gala. « Je pensais ne plus être stressé jusqu’au 8 ou 9 janvier (rires). Stresser, ce n’est pas le bon mot, réfléchit le président. L’appréhension, plutôt. C’est particulier de recevoir une Ligue 1. Je ne savais pas ce que ça me ferait, mais là, c’est bon, je ressens déjà les choses. »Reste à savoir où le match se déroulera, évoquant les stades de Chambly, qui reçoit ce même week-end en championnat, et plus sûrement de Beauvais alors que le désormais habituel repaire des Cantiliens en National 2, au stade municipal de Senlis, est sans doute trop exigu. « Je vais discuter un petit peu à droite, à gauche, pour savoir ce qu’il en est », indique Anthony Brice. Une considération qui ne changeait pas l’état d’esprit de Yacoub Yassine : « J’espère qu’on aura beaucoup de monde dans l’Oise pour nous soutenir afin de faire un gros match et essayer d’être à la hauteur ». Par Benjamin Radeau Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : US Chantilly Coupe de France Chantilly (Oise) Football (Coupe de France) – « Le haut du panier » : l’US Chantilly ravie et excitée du défi du Stade Rennais L’entraîneur et le président du club cantilien, qualifié pour la première fois de son histoire en 16es de finale de la Coupe de France, se réjouissent de recevoir et d’affronter la formation bretonne de Ligue 1.
La victime pourrait avoir surpris un ou plusieurs braconniers dans son bois. Mis en ligne le 21/12/2025 à 22:08 Lecture zen Consultez l’actualité en vidéo Le drame s’est produit ce dimanche 21 décembre, à la mi-journée, entre 11 heures et 14 heures. Un Samarien de 45 ans ne répondait pas aux appels de sa famille, et la situation était devenue inquiétante. Selon nos informations, l’homme, qui est chasseur, avait ses habitudes dont celle de se rendre dans son bois situé à Domart-en-Ponthieu. Et selon nos informations, c’est à cet endroit, au lieu-dit la Grableuse, un bois à l’écart de toute habitation, que les gendarmes ont fait la macabre découverte. Le chasseur a été retrouvé sans vie, touché par au moins un tir d’arme à feu.Il aurait pu avoir surpris un ou des braconniers. L’information selon laquelle il les aurait vus sur des caméras nous a été démentie.La piste de l’homicide serait privilégiée. Toujours selon nos informations, aucun suspect n’aurait pour l’instant été identifié et interpellé. Parmi la piste étudiée, celle d’un ou plusieurs braconniers surpris par la victime sur son terrain. Dans le milieu de la chasse samarienne, c’est en tout cas la rumeur de cette piste qui circule. L’information selon laquelle le quadragénaire aurait vu des inconnus sur son terrain via des caméras et se serait rendu immédiatement sur place nous a été démenti par nos sources.Le maire de la commune est «sous le choc»Si de nombreuses zones d’ombre pèsent encore sur ce drame, le décès a provoqué une vive émotion chez les chasseurs. Car la victime, qui réside à Bellancourt près d’Abbeville, « était quelqu’un de très connu dans le milieu », nous fait savoir un chasseur. À Domart-en-Ponthieu, l’émotion est vive. Le maire, Nicolas Maréchal, n’a pas souhaité s’exprimer sur le drame, mais il indique être « sous le choc » : « Cette affaire fait des dégâts dans la commune. Je n’ai pas les mots pour qualifier cet acte. Quel que soit le problème, on ne tue pas les gens. C’est incompréhensible ». À lire aussi https://www.courrier-picard.fr/id684043/article/2025-12-21/un-jeune-de-18-ans-meurt-dans-un-accident-pres-dabbeville-les-2-passagers-en Par Gautier Lecardonnel Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Picardie Domart-en-Ponthieu (Somme) Un chasseur de 45 ans aurait été victime d’un meurtre dans la Somme Le drame s’est produit ce dimanche 21 décembre à Domart-en-Ponthieu. Le corps de la victime, 45 ans, a été retrouvé dans un bois. Une enquête a été ouverte.
Cepon et les Amiénois ont mené de trois buts à Gap et se sont pourtant inclinés. Photo Kevin Devigne Mis en ligne le 21/12/2025 à 22:06 Lecture zen Une avance de trois buts en hockey n’est pas une garantie. Surtout pour les Amiénois, déjà punis en novembre par Chamonix aux tirs au but après avoir mené 3-0. Le scénario s’est reproduit pour eux ce dimanche à Gap où leur avance de trois longueurs en fin de premier tiers a fondu comme neige au soleil dans la troisième période ! Consultez l’actualité en vidéo Pourtant, tout avait bien commencé : précis, solides et solidaires, ils concrétisaient leur bonne entame par Beauchamp avant que Bergeron puis Svanenbergs, sur un beau travail de Richards, ne creusent l’écart en moins de 15 minutes. Un départ idéal qui semblait même leur permettre de gérer dans la deuxième période. Disputée sans grand rythme, celle-ci voyait certes Gap bénéficier de plus de chances mais il n’y avait pas encore le feu sur le but de Kozun. Sauf que ce faux rythme se payait peut-être dans ce qui devait être le dernier acte.« Après plus de dix heures de bus pour descendre à Gap, je craignais plus les premières minutes que la dernière période, concédait leur coach Kevin Bergin. Surtout que nous n’avions pas eu de séance d’entraînement le matin. »Zachary Lavigne est arrivé à AmiensMais c’est finalement cette fin de match qui allait coûter cher à son équipe. Les Gothiques tuaient deux infériorités numériques mais craquaient une première fois peu après. Après les quelques minutes d’interruption suite au lancer de peluches provoqué par ce but, ils ne parvenaient pas complètement à se remettre d’aplomb : Langlais en profitait pour recoller à 3-2 et l’intensité montait d’un cran pour les derniers instants. Et quand Gap égalisait, c’est une prolongation presque inimaginable un quart d’heure plus tôt qui se profilait. Surfant sur leur remontada, les Rapaces forçaient la décision, non sans que Beauchamp ne se soit fait stopper d’une manière discutable peu avant…« On a fait des erreurs mentales qui se paient cash, retenait Bergin. On doit être plus attentifs sur des replis ou des placements dans notre zone défensive. C’est très frustrant car on avait progressé dans ce secteur et on a été en contrôle pendant 45 minutes. »À méditer avant la venue dès ce mardi de Bordeaux. Peut-être avec l’attaquant Zachary Lavigne, enfin arrivé du Canada ce week-end.GAP 4AMIENS 3Après prolongationTiers-temps : 0-3, 0-0, 3-0, 1-0.BUTS – Gap : 44’32 Pulkkinen (Gagnon, Matus), 45’28 Langlais (Matus, Mikrogiannakis), 52’56 Santerno (Murnieks, Mikrogiannakis), 62’00 Raabe (Gagnon, Matus) ; Amiens : 2’20 Beauchamp (Matima, Roussel), 8’02 Bergeron (Svanenbergs, Richards), 14’50 Svanenbergs (Richards).PÉNALITÉS – Gap : 4’ (2x2) ; Amiens : 10’ (5x2). Par R.N. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Gothiques Amiens Amiens Gap (Hautes-Alpes) Hockey sur glace (Ligue Magnus) : Amiens gâche son avance à Gap et perd en prolongation Malgré une solide avance de trois buts en fin de première période, les Gothiques d’Amiens ont laissé filer la victoire en étant rejoints dans le dernier quart d’heure puis punis en prolongation (4-3).
Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:57 Lecture zen Le dessin d’Alex de ce lundi Lundi 22 décembre
Les Dragons de Rouen et Tomas Simonsen, auteur d’un doublé, ont inscrit 5 buts le jour où le club célébrait ses… 55 ans - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:52 Lecture zen Les Spartiates ont tout tenté. Tout essayé pour gâcher la fête. Infliger aux Dragons de Rouen, le soir de la célébration des 55 ans du club, qui, pour l’occasion, avait invité de glorieux anciens (Desrosiers, Fournier, Tardif père…), leur sixième défaite de la saison. En vain. Cette équipe-là a la peau dure. Le caractère et les ressources pour se relever de beaucoup de choses. Y compris d’un début de match où, comme ce dimanche 21 décembre 2025, les choses ne tournent pas, mais alors pas du tout, dans son sens.Cueillis à froid par Emil Tavernier, le petit frère de l’Angevin Sammy, qui, d’entrée de jeu, trompait Carruth, masqué (0-1, 1’09), les Jaune et Noir ont, ensuite, et malgré une réelle domination (12 tirs cadrés à 5 lors des vingt premières minutes), pas mal galéré pour remettre les pendules à l’heure. Retrouver, au tableau d’affichage, un score de parité. La faute à un réel manque d’efficacité dans le dernier geste. Nesa (3e), Yeo (3e), Colomban (7e), Gresock (8e) et Lampérier (12e) à cinq contre cinq, Simonsen en supériorité numérique (5e), ont ainsi tour à tour buté sur Kasik, le dernier rempart phocéen.Simonsen débloque le compteur rouennais…Des Phocéens qui, à l’inverse, étaient, eux, en pleine réussite, doublant la mise en power-play. Sur leur troisième tir cadré de la soirée. Joubert, opportuniste, profitait d’un rebond laissé par Carruth sur le tir de Stromberg pour, en deux temps, battre le gardien américain du Rouen Hockey Élite (0-2, 13’22). Dur pour les Normands. Ceux-ci n’avaient heureusement pas vraiment le temps de douter puisque, sur l’action suivante, Simonsen, après une première tentative de Lafrance, trouvait – enfin – le chemin des filets (1-2, 14’00). Mérité. Pour l’attaquant rouennais, pas verni ces derniers temps, autant que pour des Jaune et Noir qui, quatre jours après leur belle qualification pour les demi-finales de la Coupe de France à Angers (0-1), ont une nouvelle fois affiché, dimanche, un état d’esprit irréprochable.Il le fallait pour se sortir du piège marseillais et recoller au score. Ce que les hommes de Carl Mallette sont finalement parvenus à faire peu après le début deuxième tiers. Bouramman était alors le plus prompt pour reprendre un palet traînant aux abords de la cage des Spartiates après un premier arrêt de Kasik sur Perret (2-2, 24’26). Dans la foulée, Gresock (25e) puis Regush, un peu trop gourmand dans son face-à-face avec le dernier rempart azuréen (30e), n’étaient pas loin de donner l’avantage aux Normands. … Rech met un point final à la (belle) soirée des Jaune et NoirIl fallait attendre quelques minutes de plus et un power-play pour voir Rech, avec l’aide involontaire du portier des Spartiates, le faire avec malice (3-2, 32’01). Restait alors au RHE, pour s’offrir une fin de match plus tranquille qu’à Angers, à faire le break. Ni Lampérier (34e, 41e) ni Phelan (36e), frustrés par Kasik, n’y parvenaient. Pas plus que Simonsen qui, lui, trouvait le poteau (34e). Ce n’est qu’à l’orée des dix dernières minutes, après que Bouvet (35e), Dair (36e), Welsh (45e) ou encore Ruusu (49e) aient fait briller Carruth, que les Dragons se mettaient enfin à l’abri. Grâce à Simonsen. L’international tricolore, bien servi par Rech, glissait la rondelle entre les jambières de Kasik (4-2, 49’25). Passeur sur l’action, le meilleur pointeur rouennais se muait ensuite en buteur pour mettre, en double supériorité numérique, un point final à ce qui restera comme une belle soirée (5-2, 59’24). Une soirée qui, compte tenu de la défaite de Grenoble à Bordeaux (3-1), a vu les Dragons reprendre, seuls, la tête du championnat.À Rouen, Rouen bat Marseille 5-2 (1-2, 1-0, 2-0).Arbitres : MM. Rauline, Baudry, Cady et Yssembourg. Spectateurs : 3279.Buts pour Rouen : 14’00 Simonsen (ass. Lafrance et Yeo), 24’26 Bouramman (ass. Perret et Roy), 32’01 Rech (ass. Roy et Bouramman, sup. num.), 49’25 Simonsen (ass. Rech et Schmitt), 59’24 Rech (ass : Regush et Yeo, double sup. num.) ; pour Marseille : 1’09 E. Tavernier (ass. Colotti et Dufek), 13’22 Joubert (ass. Stromberg et Lavoie, sup. num.)Pénalités contre Rouen : 4 minutes.Pénalités contre Marseille : 19 minutes dont 5 contre Bourgeois (projection contre la bande). Par Matthias ROGIER Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Dragons de Rouen Hockey sur glace – Ligue Magnus : vainqueurs de Marseille, les Dragons de Rouen à nouveau seuls leaders La victoire des Dragons de Rouen face à Marseille (5-2), combinée au revers de Grenoble à Bordeaux (3-1), a permis, dimanche 21 décembre 2025, aux Jaune et Noir de reprendre seuls la tête du championnat.
Sorti à la pause, Godson Kyeremeh est passé totalement à côté de son sujet - Photo Boris Maslard Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:35 Lecture zen Les années passent et l’histoire bégaie. Oui, entre le HAC et la Coupe de France, c’est une relation sans cesse rythmée par les flops plus incroyables les uns que les autres. Consultez l’actualité en vidéo Un an après avoir baissé pavillon à Saint-Brieuc (0-1), alors en National 2, c’est au Stade Océane que le Havre AC est cette fois tombé. Devant Amiens, pensionnaire de Ligue 2, acteur de la seule course au maintien.Une élimination qui ne souffre aucune contestation, tant les Ciel et Marine ont exposé une envie proche du néant en première période. Ces quarante-cinq premières minutes durant lesquelles le mal était fait. Collectivement pitoyables, individuellement fantomatiques, les hommes de Didier Digard se faisaient ainsi surprendre une première fois par Hamache, seul pour ajuster Argney (11e). Puis une seconde fois, d’un coup franc direct parfaitement botté par Kaïboué (30e).« Ce sont des choses qu’on réglera entre nous » Le remaniement du « onze » et les premières titularisations d’Argney, de Gomis, de Mosengo et de Quetant suffisaient-elles à expliquer l’échec ? En conférence de presse d’avant-match, Didier Digard avait pourtant assuré qu’il s’appuierait sur la meilleure équipe possible, sachant l’absence de dix de ses joueurs (1). La première mi-temps autorisait à s’interroger sur ses choix. « Il y a beaucoup d’enseignements à tirer, disait-il en préambule. On touche nos limites. C’est très bien de venir toquer pour vouloir jouer, mais quand tu joues, il faut être bon. C’était le bon match pour montrer beaucoup de choses, à beaucoup de monde. Et je ne vise pas que les jeunes. Ce sont des choses qu’on réglera entre nous. Cet état d’esprit ne me convient pas, ne me ressemble pas. Quand ton temps de jeu est plus important que le bien de l’équipe, c’est qu’on ne va pas dans le même sens. Mais comme toujours, c’est de ma faute. » À lire aussi Football – HAC : Paul Argney, des hauts, des bas, et la Coupe pour sortir du bois Il serait en effet sévère de pointer du doigt les seuls « gamins », même si deux d’entre eux, Gomis et Mosengo, ont été invités dès la pause à passer le relais, comme durent le faire également Kyeremeh, aux choix parfois lunaires, et Delaine. Quatre changements dès la 46e minute, voilà qui venait en écho du discours de l’entraîneur havrais durant le quart d’heure de break. Message distillé sur le thème du respect. « Peut-être que la Coupe de France les intéresse moins… Mais avec moi, c’est une terrible erreur de penser qu’il y a des matches qui ne sont pas intéressants. Des joueurs se trompent d’objectif. Quand tu joues chez toi, que des gens se déplacent, tu dois comprendre que c’est important, que ça fait partie de ton travail. C’est juste respecter tous ceux avec qui tu travailles. »Dix-neuf frappes, deux cadréesL’entrée en jeu à la 46e minute du quatuor Koffi-Lloris-Ebonog-Kechta réconciliait quelque peu Digard avec son équipe. Enfin le HAC proposait des choses cohérentes. Avec toujours ce même obstacle infranchissable, matérialisé, tout simplement, par la ligne de but adverse. Celle derrière laquelle aucun ballon n’a roulé. Une inefficacité offensive qui dure désormais depuis 450 minutes. À lire aussi Football – Coupe de France. Une très longue liste d’absents : le point sur l’effectif du HAC Et pourtant, les Havrais ont frappé dix-neuf fois face à Amiens. Mais seules deux tentatives ont pris le chemin du cadre, alors que Soumaré (58e) et Kechta (58e et 73e) eurent deux occasions en or de redonner vie à un mince espoir. « On est allés au bout des choses, les mecs ont essayé, mais à la fin, on perd. Maintenant, j’ai juste hâte à janvier, car chacun va devoir assumer, se regarder en face. Si certains jugent qu’ils méritent mieux, ça tombe bien, il y a un mercato. Ils verront si quelqu’un veut d’eux. »(1) : Diaw, Mpasi, Doucouré et Samatta, Seko, Zouaoui, Touré, Khadra, Zagadou et Youte.Au Havre, Amiens bat le HAC 2 à 0 (2-0)Arbitre : M. Valnet. Spectateurs : 9 718. Buts pour Amiens : Hamache (11e), Kaïboué (30e). Avertissements au HAC : Gomis (28e) ; à Amiens : Ikia Dimi (31e). HAC : Argney – Nego, Sangante (cap), Gomis (Lloris, 46e), Delaine (Koffi, 46e)– Mosengo (Ebonog, 46e), Namli (Obougou, 78e), Ndiaye – Kyeremeh (Kechta, 46e), Quetant, Soumaré. Entraîneur : Didier Digard. AMIENS : Sauvage – Chabane, Bakayoko, Kaïboué (cap), Louis - Hamache (Traoré, 85e), NDuquidi, I. Fofana, Aïssa (Abdelkrim, 53e) – Leautey (Kandil, 67e), Ikia Dimi (Rafii, 67e). Entraîneur : Omar Daf. Par Benoit DONCKELE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : HAC Football – HAC : « Quand ton temps de jeu est plus important que le bien de l’équipe », déplore Digard Ce dimanche 21 décembre 2025 au Stade Océane, le HAC a déposé un nouveau couac sur une pile de flops déjà très haute en Coupe de France, éliminé par Amiens (0-2) en 32es de finale. Digard a laissé filtrer une colère froide.
Léon adore qu’Océane l’éclabousse ! - Photo Paris Normandie Les chiens étaient heureux comme des poissons dans l’eau ! - Photo Paris Normandie Gare aux éclaboussures quand les chiens sortent du bassin ! - Photo Paris Normandie Tous les participants auront droit à de belles photos en souvenir de cette journée. - Photo Paris Normandie C’est parti pour un beau plongeon. - Photo Paris Normandie On prend la pose pour la photo souvenir. - Photo Paris Normandie Un autre cadre pour jouer à la baballe ! - Photo Paris Normandie Ça vaut bien une grosse léchouille ! - Photo Paris Normandie Quand ils ont dominé leur appréhension, les chiens ne se font pas prier pour entrer dans l’eau. - Photo Paris Normandie Le coach canin Thierry Perron n’était pas le dernier à s’amuser ! - Photo Paris Normandie Il semble heureux comme un roi. - Photo Paris Normandie On a amené ses joujoux pour s’amuser dans le petit bassin. - Photo Paris Normandie Un merveilleux moment de complicité entre les chiens et leurs maîtres. - Photo Paris Normandie Ne bougeons plus ! Le petit oiseau va sortir ! - Photo Paris Normandie Il ne faut pas avoir peur de se faire éclabousser ! - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:21 Lecture zen C’est devenu une tradition incontournable pour la piscine du Haut-Phare au Neubourg ! Pour la troisième année consécutive, l’établissement a profité de la dernière journée d’ouverture avant la vidange et le grand ménage hivernal pour mettre son petit bassin à la disposition des chiens et de leurs maîtres, ce dimanche 21 décembre 2025 ! À lire aussi Qui veut profiter du bain de Noël avec son chien dans la piscine du Neubourg ? « Les 80 créneaux disponibles sont partis en quelques heures ! souligne Sonia Roussel, l’hôtesse d’accueil, chargée de l’animation qui a lancé cette journée « pattes à plouf » en décembre 2023. La plupart des participants viennent pour la première fois. Ils sont principalement originaires de l’Eure et des départements limitrophes ».La peur laisse vite place au plaisirL’organisation, désormais bien huilée, ne laisse rien au hasard. La clinique vétérinaire du Roumois s’assurait de la bonne santé des toutous et le coach canin Thierry Perron qui encadre bénévolement cette animation aux côtés du personnel de la piscine s’était déplacé auparavant, pour mettre tout le monde « dans le bain ». À lire aussi Escalade pour tous : un premier colloque normand sur le sport inclusif organisé dans l’Eure « C’est un moment qui peut être anxiogène pour les chiens, explique-t-il. Les maîtres doivent l’aborder avec confiance pour leur apprendre à ne pas avoir peur. Passé le premier contact, Cela devient vite un plaisir quand ils s’y habituent. En trois années, je n’ai jamais vu un chien refuser d’entrer dans l’eau ! »Un photographe qui n’hésite pas à se mouillerLes toutous et leurs maîtres disposaient d’une demi-heure pour s’amuser à leur guise dans le petit bassin. Chacun pouvait aborder ce moment récréatif à sa manière pour jouer à la baballe, s’éclabousser ou faire d’inoubliables câlins. Le tout sous les yeux du photographe Benjamin Jovelin, qui n’a pas hésité à se mouiller pour offrir des souvenirs uniques à tous les participants !Gérard accompagnait sa fille Hélène de Sotteville-lès-Rouen et son labrador chocolat Oliver. « Il était un peu hésitant au début, confie-t-il. Mais il s’est vite familiarisé avec cet élément inconnu pour lui. C’était un très beau moment ! » À lire aussi Vélos électriques, transport à la demande... Le virage des mobilités douces dans le pays du Neubourg Pas de souci pour Léon, un berger australien d’un an qui adore la baignade ! « C’est une vraie loutre ! plaisante sa maîtresse Océane, venue du Vaudreuil. Mais habituellement, c’est dans l’Eure qu’il plonge. Je pense qu’il a apprécié ce bain de Noël autant que moi. C’était vraiment super ! » Par Jean-Paul Adam Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Neubourg (Eure) Au Neubourg, un bain de Noël avant l’heure pour les chiens et leurs maîtres Dimanche 21 décembre 2025, la piscine du Haut-Phare au Neubourg a mis, pour la troisième année consécutive, son petit bassin à la disposition des chiens et de leurs maîtres, avant la vidange hivernale. Video
Omar Daf, entraîneur de l’Amiens SC. - CPIPQR Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:15 Lecture zen Omar Daf (entraîneur de l’Amiens SC) : « Contre une équipe supérieure techniquement, il fallait rivaliser dans d’autres domaines. On a été conquérant et solide en première mi-temps. Cela a été plus dur ensuite, car Le Havre a fait les changements qu’il fallait. Après ses 10 mois d’absence, j’ai fait entrer en jeu Nordine Kandil pour le récompenser de tous ses efforts, même s’il n’était pas encore prêt. Je suis fier des joueurs, mais il ne faut pas s’enflammer. Cette victoire ne doit pas masquer nos manques. Les garçons ont beaucoup travaillé et on est récompensé sur nos deux derniers matches. Mais il nous faut absolument des renforts en défense et en attaque pour aller chercher notre maintien. Maintenant, si on joue à la Licorne dans cette ambiance-là, c’est une force supplémentaire. Un grand merci à nos supporters. »Christophe Duprez (président délégué de l’Amiens SC) : « Je dédie déjà cette victoire à Christian Ricaux, notre supporter décédé sur la route alors qu’il allait prendre le bus pour aller encourager notre équipe au Mans au début du mois. Les joueurs sont bluffants et capables de tout. Il ne faut pas oublier le championnat avec un match important dès le 3 janvier contre Nancy, comme je l’ai expliqué aux joueurs. Mais je leur ai aussi dit de savourer. C’est un beau cadeau de Noël pour les fêtes de fin d’année. On a souffert mais on a su tenir. On n’a pas beaucoup de moments comme ça, alors profitons-en ! »Alexis Sauvage (gardien de l’Amiens SC) : « Un exploit ça se crée, et c’est ce qu’on a réussi à faire. Je n’ai pas subi beaucoup de frappes cadrées mais il y a eu énormément de centres assez chauds. À noter aussi le sauvetage de Siaka (Bakayoko à la 38e) qui compte comme un but. Tout le monde a fait le travail, à l’image de la semaine d’entraînement où personne n’avait la tête aux vacances. On a retrouvé notre force du début de saison et même des deux années précédentes. » Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens SC Coupe de France Football (Coupe de France) – Les réactions après Le Havre – Amiens SC : « Cette victoire ne doit pas masquer nos manques », tempère Omar Daf Satisfait de la prestation et de la qualification de ses joueurs au Havre, l’entraîneur de l’Amiens SC Omar Daf n’était pas non plus euphorique et avait un message à faire passer à sa direction avant la mini-trêve.
Les Amiénois ont longuement célébré leur qualification en 16es de finale avec leurs supporters venus en nombre au Havre. Photo Kevin Devigne - CPIPQR Leautey, passeur décisif pour Hamache sur le premier but, et ses partenaires ont fait preuve de réalisme. Photo Kevin Devigne - CPIPQR Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:14 Lecture zen Il y a parfois des signaux qui présagent une belle soirée. À plus d’une heure du coup d’envoi, les gardiens Alexis Sauvage et Lou Alexandre ont fait leur entrée sur la pelouse du stade Océane, acclamés par les plus de 400 bruyants supporters amiénois.Chacun vêtu d’un poncho blanc fourni par le club, le parcage picard avait ainsi plutôt fière allure et des airs de kop du Real Madrid ! Même à domicile, on n’avait encore jamais vu un tel enthousiasme cette saison. L’Amiens SC a plutôt bien rendu cette ferveur en allant chercher une qualification pour les 16es de finale, sur le terrain du Havre, 15e de Ligue 1. Pour trouver trace d’une victoire amiénoise contre une formation de L1 en Coupe de France, il fallait remonter à l’édition 2002-2003 !Une équipe de Régional 1 au prochain tourAu prochain tour, changement de décor avec un déplacement en région parisienne contre l’un des deux derniers Petit Poucet encore en lice, Montreuil (R1). En attendant, Omar Daf et ses joueurs ont donc réalisé un petit exploit, même si en face les Havrais ont fait preuve d’une incroyable maladresse offensive, expliquant aussi pourquoi ils sont la pire attaque de l’élite.Marquer n’a en revanche pas été un problème pour les Amiénois, qui ont fait preuve d’un réalisme glaçant en première mi-temps en marquant sur leurs deux seuls tirs. Hamache et Leautey ont dans un premier temps superbement combiné et le premier a ainsi conclu d’une reprise du droit. Le deuxième but a été l’œuvre de Kaïboue sur un coup franc direct tiré côté ouvert. « Ici, ça me chambrait beaucoup, car j’en marque à l’entraînement, mais pas en match. Là, ils ne pourront plus rien dire », en plaisantait le défenseur.En seconde mi-temps, l’ASC n’est quasiment pas sorti de son campSur cette action, le jeune gardien havrais, Arney, titulaire pour la première fois en professionnel, n’a pas été très inspiré. De quoi rappeler qu’il y avait énormément d’absents des deux côtés entre les internationaux à la Coupe d’Afrique des nations et les blessés. Mais l’ASC a mieux géré cette donnée, sachant qu’Omar Daf avait aligné, en tant que meneur de jeu, un U19, Oscar Aissat, seulement deux apparitions en Coupe de France à son actif.En première mi-temps, lui et ses partenaires ont donc joué sans complexes contre un adversaire à côté de ses pompes et qui a galvaudé une énorme occasion de revenir. Servi idéalement, Quetant s’est sans doute vu marquer en armant un plat du pied, mais c’était sans compter le retour de Bakayoko qui lui a enlevé le ballon au dernier moment (38e), célébrant cette action comme un but. Cela augurait aussi une suite plus difficile et cela s’est confirmé en seconde mi-temps.L’ASC n’est jamais quasiment sorti de son camp contre une formation havraise revenue avec des meilleures intentions, après avoir vraisemblablement été secouée dans les vestiaires. Au point que son coach Didier Digard avait procédé à quatre changements à la mi-temps, une rareté à ce niveau.Heureusement pour les Amiénois, le score n’a pas changé en raison, donc, de la maladresse des Normands qui ont arrosé tout autour de la cage d’Alexis Sauvage, lequel n’a eu au total sur la rencontre que deux véritables arrêts à effectuer. Après sa victoire à Pau la semaine dernière (1-2), avec les deux mêmes buteurs, l’ASC finit ainsi l’année sur une note positive et part en vacances l’esprit un peu plus léger…LE HAVRE (L1) – AMIENS SC (L2) : 0-2Mi-temps : 0-2.Spectateurs : 9 718. Arbitre : M. Valnet.BUTS – Hamache (11e), Kaïboue (30e).AVERTISSEMENTS – Le Havre : Gomis (28e) ; Amiens SC : Ikia Dimi (32e).LE HAVRE : Argney – Nego, Sangante (c), Gomis (Lloris 46e), Delaine (Koffi 46e) – Ndiaye, Mosengo (Ebonog 46e), Namli (Obougou 78e) – Kyeremeh (Kechta 46e), Quetant, Soumaré.AMIENS SC : Sauvage (c) – Chabane, Bakayoko, Kaïboue, Louis – Ndquidi, Fofana – Leautey (Kandil 69e), Aissat (Abdelkrim 53e), Hamache (Traoré 85e) – Ikia Dimi (Rafii 69e). Par De notre envoyé spécial Florian Decloquement Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens SC Coupe de France Football (Coupe de France) : vainqueur au Havre, l’Amiens SC avait gardé le meilleur pour la fin En plein marasme ces derniers temps, l’Amiens SC a terminé l’année en trombe en obtenant une qualification inattendue pour les 16es de finale sur le terrain du Havre. Comme lors du succès à Pau la semaine dernière, Hamache et Kaïboue ont montré la voie.
Les Dieppois ont offert une belle résistance face à l’US Orléans - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:13 Lecture zen Si la Coupe de France s’est occupée de braquer quelques uns de ses projecteurs au-dessus du FC Dieppe, la magie qui l’accompagne bien souvent ne s’invitera donc pas au stade Jean-Dasnias de la saison.À leur échelle, les Normands sont pourtant allés loin dans la compétition, mais leur élimination en 32e de finale sur la pelouse d’Orléans ce dimanche 21 décembre 2025 a anéanti tout espoir de pouvoir jouer au moins une fois à domicile dans cette compétition qui fait rêver les petits et les grands.« Le score ne reflète pas la physionomie du match »Le score est lourd (3-0) et il pourrait laisser penser que les hommes de Djilalli Bekkar n’ont pas existé face au pensionnaire de National. La réalité est tout autre. Patrick Coquelet, le président dieppois, a finalement bien résumé la situation au moment où il a pris la parole dans le vestiaire dans la foulée du coup de sifflet final : « le maître-mot ce soir, c’est l’efficacité ». Le chef d’entreprise, accompagné d’une partie du comité directeur, a aussi loué l’exemplarité affichée par les joueurs sur le terrain. Tout comme Hervé Della Maggiore, le coach de l’USO, qui a reconnu la qualité affichée par les Harengs. « Le score ne reflète pas la physionomie du match, c’est sévère pour eux. Je voudrais féliciter le travail de l’entraîneur de Dieppe car ils ont vraiment proposé des choses intéressantes. » À lire aussi « Ce serait un beau cadeau de Noël » : près de 400 supporteurs dieppois à Orléans pour la Coupe de France À l’heure de refaire le match, il est évidemment impossible de ne pas débuter par ces secondes qui ont précédé la mi-temps. Accroché par un défenseur sur un corner, Amrane a obtenu un penalty qu’il a voulu lui-même transformer. Sa tentative a été repoussée par le gardien local mais l’attaquant a obtenu une seconde chance, l’arbitre ayant décidé de le faire retirer. Alors Amrane a choisi l’autre côté. Pour le même résultat (45e+2).Une première période de qualitéCe sont donc les joueurs d’Orléans qui ont rejoint le vestiaire avec l’avantage, grâce à un beau but de Morel, qui a frappé à l’entrée de la surface et trompé Lefebvre avec l’aide de la transversale (1-0, 27e). Cette ouverture du score avait des airs de cadeau tombé du ciel pour les Loirétains, qui ont vu le danger de près auparavant. Sur une frappe trop croisée de Mbengue par exemple (2e), ou des tentatives d’Athéba (8e, 16e, 26e). Et même après, lorsque Far (42e) puis S. Diaby (44e) ont obligé Faham à la parade. À lire aussi « C’est historique… » Quand Dieppe affrontait Marseille en 8e de finale de la Coupe de France Après la pause, les Harengs ont eu un peu plus de mal à se montrer dangereux, car l’adversaire se projetait moins. Sur un penalty concédé par Borja, El Khoumisti leur a mis un coup derrière la tête (2-0, 80e). Avant que l’ex-Havrais P. I. Ba ne se charge, de la tête, de mettre fin au suspens (3-0, 86e). Pour les Orléanais, la soirée n’était pas totalement finie puisqu’il leur fallait suivre le tirage au sort des 16es de finale. En battant Dieppe, ils se sont donné le droit d’affronter Monaco (Ligue 1) au tour suivant !À Orléans, US Orléans (N) bat FC Dieppe (N2) 3 à 0 (1-0)Arbitre : M. Leonard.Spectateurs : 2 630.Buts pour Orléans : Morel (27e), El Khoumisti (80e, s.p.), P. I. Ba (86e).Avertissements à Orléans : Luyambula (45e), P.I. Ba (45e+2) ; à Dieppe : S. Diaby (30e).US ORLEANS : Faham – Mouton, Baudry (Obissa, 88e), Giraudon, Luyambula – Sanchez (Berthier, 63e), Morel (Diako, 81e), Khous (cap.) – P. I. Ba, El Khoumisti (Bozkurt 81e), Lallias (M. Sylla, 81e).Entraîneur : Hervé Della Maggiore.FC DIEPPE : Lefebvre – B. Mendes, Bentayou (cap.), S. Faye – S. Diaby, Beuvain (Jacqueray, 85e), Antunes, Mbengue (Jérôme, 68e) – Amrane (Doner, 85e), Far (Sertoglu, 76e), Atheba (Borja, 68e).Entraîneur : Djilalli Bekkar. Par Victorien LENUD Football – Coupe de France : éliminé, le FC Dieppe ne méritait pas une telle sortie à Orléans Longtemps séduisant, le FC Dieppe s’est pourtant lourdement incliné sur la pelouse de l’US Orléans (3-0) ce dimanche 21 décembre 2025 lors de son 32e de finale de Coupe de France. Un score trompeur tant les Normands ont inquiété le pensionnaire de National. Video
Stéphane Allais, gérant d’Au Gibier de France sur le marché d’intérêt national de Rouen, fier de présenter des volailles d’exception. - Photo Stéphanie Péron-Clément Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:07 Lecture zen L’adresse est méconnue des particuliers, son entrée est d’ailleurs discrète : c’est Au Gibier de France, au marché d’intérêt national (MIN) de Rouen. Une vraie pépite à rayonnement plus que régional. On est allé rencontrer son patron, Stéphane Allais, pour qu’il nous explique son métier et surtout comment il gère l’afflux de commandes festives dans cette période où les tables se doivent d’afficher un certain prestige. Premier épisode d’une série sur les artisans du MIN, à l’occasion des fêtes de fin d’année 2025. Consultez l’actualité en vidéo Installés depuis 45 ans au MIN de Rouen, les locaux d’Au Gibier de France ne paient guère de mine : une entrée tout étroite, des couloirs, des ateliers de découpe… Le trésor est pourtant bien là. Les oies label rouge, les pintades chaponnées, les foies gras crus, les saumons fumés sauvages d’Écosse, les faisans, perdreaux, colverts, chevreuils, sangliers, chapons de Bresse, chapons à pattes bleues, les grouses et autres délices exclusivement carnivores. Végétariens, passez votre chemin…De la campagne jusqu’au marché d’intérêt national« On a deux métiers », résume à Paris Normandie Stéphane Allais. « Nous sommes à la fois des grossistes en volailles mais aussi des spécialistes de viandes de chasse, qu’on essaye de sourcer en local. Cela représente 90 % de nos approvisionnements ». Un drôle de métier car Stéphane Allais, avant de reprendre l’entreprise de son père et de son grand-père au MIN, a été éleveur de sangliers à Saint-Pierre-de-Manneville et Boos. Au MIN, les particuliers peuvent aller chercher Au Gibier de France les produits sourcés par le gérant Stéphane Allais. - Photo Stéphanie Péron-Clément À lire aussi Ce domaine de chasse au cœur de l’Eure est un paradis pour chiens et chasseurs « J’aime la chasse. J’ai des contrats avec des sociétés de chasse, l’Office national des forêts. Tout ce qui est abattu en trop par rapport aux besoins d’autoconsommation des chasseurs peut m’intéresser. Je sillonne tous les jours la campagne, dans le département mais aussi dans l’Eure, l’Oise et la Somme, pour récupérer aussi vite que possible ces animaux. Si les chasseurs n’ont pas de frigo, je me déplace aussitôt », raconte, le café du matin à la main, Stéphane Allais. Un café mérité : ses journées commencent le plus souvent à minuit et se terminent dans l’après-midi.Un client a parcouru 400 kilomètres pour chercher ses lièvres« La viande de chasse a la réputation d’être forte en goût, les particuliers en consomment de moins en moins et c’est dommage. On essaye de communiquer autour pour la remettre dans les assiettes. On a ainsi distribué 1200 parts de sanglier cuisiné aux bénéficiaires de Restos du Cœur ». Chaque semaine Au Gibier de France reçoit près de 10 tonnes de viande et le rush des fêtes fait augmenter la cadence d’environ 20 %. - Photo Stéphanie Péron-Clément « Nous avons un des dix ateliers de France dédié à la viande de chasse où, après un contrôle vétérinaire bien sûr, on peut préparer, découper, présenter ces viandes exceptionnelles ». Une vraie pépite régionale que bien des particuliers – qui peuvent commander et venir chercher leur marchandise – nous envient. « J’ai un client qui ne trouvait plus de viande de chasse, il a fait 400 kilomètres pour récupérer ses lièvres. On travaille à façon pour répondre à chaque client selon ses besoins ». À lire aussi Ouverture de la chasse dans l’Eure : le patron des chasseurs fait le point Seulement 6 % de la viande de chasse passe par un atelier comme celui du Gibier de France. « Le reste, c’est de l’autoconsommation et aussi le marché gris », c’est-à-dire des transactions directes, avec ou sans fiscalité mais toujours sans contrôle vétérinaire – entre chasseurs et transformateurs.Les fêtes, c’est 20 % d’activité en plusC’est Au Gibier de France qui, avec d’autres, fournit le marché de Rungis. « Le gibier, pour vous donner une idée, c’est environ 400 à 500 sangliers à l’année, de 5 à 10 000 petits oiseaux. Ce qui est compliqué, c’est que les chasseurs ne chassent pas toujours la même quantité par semaine. Il y a quinze jours, j’ai récupéré 60 sangliers, cette semaine seulement trois. Tout confondu, avec les volailles d’élevage, on reçoit et réexpédie 10 tonnes de marchandise par semaine mais pour les fêtes, on augmente la cadence avec 20 % d’activité en plus », confie Stéphane Allais. À lire aussi Marais Vernier : une tour d’observation en bois pour contempler la faune migratoire Ce lundi 15 décembre 2025, le téléphone de Stéphane Allais commençait de chauffer au rouge avec des commandes incessantes pour les fêtes alors même que les premières dindes commençaient d’être sacrifiées dans les abattoirs, sachant que l’entreprise fournit surtout des restaurants et des professionnels mais que les particuliers y sont les très bienvenus.Bientôt un site de commande pour tous par internetLes fêtes : un moment particulier où Au Gibier de France n’embauche pas d’extras – ils ne sont qu’une dizaine de salariés – mais où les ateliers passent la surmultipliée pour assurer les livraisons. Plumée, vidée, prête à rôtir : cette volaille d’exception est disponible aux simples particuliers qui passent la porte d’Au Gibier de France du MIN de Rouen. - Photo Stéphanie Péron-Clément « En 2026, j’espère pouvoir monter un site de commande sur internet à destination de tous les publics. Nous ne sommes pas en capacité de livrer avec nos propres moyens les clients mais on peut imaginer qu’on passerait par un prestataire pour des livraisons ultra-fraîches », détaille le patron entre deux commandes. Par Benoît MARIN-CURTOUD Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Le rush des fêtes au MIN de Rouen : Au Gibier de France, la pépite régionale qui fournit Rungis Comment les artisans du marché d’intérêt national de Rouen assurent-ils le rush des fêtes ? Exemple avec l’entreprise Au Gibier de France, une pépite régionale qui sait garnir les tables d’exception.
Le père Noël a déambulé dans les rues d’Homblières. Mis en ligne le 21/12/2025 à 21:00 Lecture zen Dimanche 21 décembre, à partir de 17 heures, la traditionnelle parade de Noël organisée par l’association Mon Village au Quotidien a une nouvelle fois enchanté les petits et les grands, pendant près de deux heures, dans les rues d’Homblières. Minnie et Mickey ont enchanté les plus jeunes. Six heures ont été nécessaires pour préparer le char du père Noël. La parade a rassemblé du monde dans les rues d’Homblières. Le père Noël a déambulé dans les rues d’Homblières. Le père Noël a pris la pose ! Minnie et Mickey ont enchanté les plus jeunes. Pour que la magie opère, les bénévoles de l’association n’ont pas compté leurs heures. Pas moins de six heures ont été nécessaires pour préparer le char tracteur du père Noël, l’enfant du pays Guy Lefèvre. Un investissement salué par le public, venu nombreux assister au défilé illuminé.Tout au long du parcours, Minnie et Mickey ont dansé, posé et échangé quelques instants privilégiés avec les enfants, ravis de cette rencontre. Pour réchauffer les spectateurs, des boissons chaudes, des mandarines et du chocolat ont également été distribués.Une ambiance chaleureuse et convivialeFred Moreau, bénévole et habitant du village, se réjouit de cette initiative : « Cet événement est chaleureux et convivial, ça fait du bien ! » Parmi les participants, Mathis Dufour, 13 ans, venu d’Origny-Sainte-Benoite et vêtu d’un costume de lutin, affichait un large sourire. « Nous avons appris avec mes parents qu’une parade avait lieu ce jour à Homblières dans L’Aisne nouvelle. Je suis passionné par les fêtes traditionnelles, dont Noël particulièrement, et suis donc venu avec ma famille », témoigne-t-il.Resté aux côtés du Père Noël presque tout au long du parcours, le jeune passionné pourrait bien revenir l’an prochain, cette fois en tant que lutin officiel, pour son plus grand bonheur. Par M.M. (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Homblières (Aisne) La féerie de Noël a opéré dans les rues d’Homblières La magie de Noël était au rendez-vous ce dimanche 21 décembre à Homblières. Grâce à l’engagement des bénévoles de l’association Mon Village au Quotidien, la parade de Noël a une nouvelle fois rassemblé les habitants autour d’un moment festif et intergénérationnel. Photo
L’ancien sprinteur d’Amiens Maxime Grousset (26 ans) a remporté le 50 m nage libre vendredi 19 décembre, le 200 m nage libre samedi 20 décembre et le 100 m nage libre dimanche 21 décembre. Photo Fred Haslin - CPIPQR Mis en ligne le 21/12/2025 à 20:40 Lecture zen La victoire de Maxime Grousset (CS Clichy 92) sur le 100 m nage libre messieurs, en 48’‘09, devant les licenciés au CN Marseille Youssef Ramadan (deuxième en 48’‘79) et Cédric Gabali (troisième en 49’‘14), est venue conclure en beauté la troisième et ultime journée du meeting des Hortillons, dimanche 21 décembre à Amiens, à la piscine du Coliseum. Le double champion du monde des 50 et 100 m papillon, l’été dernier à Singapour, et sextuple médaillé aux récents Championnats d’Europe en petit bassin de Lublin (Pologne) a été la star incontestée de cette compétition organisée par son ancien club, l’Amiens Métropole Natation, au milieu d’autres internationaux comme ses camarades de l’INSEP Yohann Ndoye-Brouard (Dauphins d’Annecy), l’ex-Amiénois Mewen Tomac (EN Caen) et Roman Fuchs (Amiens MN). Juste avant, l’Amiénoise Jeanne Lechevalier, qui symbolise la relève, s’était classée deuxième de la finale du 100 m nage libre dames, en 56’’29, derrière Emmy Preiter (SN Metz), première en 55’‘56. Consultez l’actualité en vidéo « Nous avions un plateau très relevé, avec des nageurs olympiques et des délégations étrangères telles l’Irlande et la Norvège, se félicitait le président du club amiénois, Romuald Allais. Le public a également répondu présent. Ce meeting a une renommée et ça fait plaisir. Il est important pour nous, ne serait-ce que parce qu’il permet à nos nageurs d’évoluer à domicile. Nous montrons à travers lui qu’Amiens est une place forte de la natation française. »Il a en outre lancé la saison en grand bassin, qui démarrera réellement en janvier. De retour des Championnats de France juniors en petit bassin, où elle a trusté les podiums, l’Amiénoise Jeanne Lechevalier a terminé deuxième du 100 m nage libre, dimanche 21 décembre, après avoir remporté le 100 m dos vendredi 19 décembre et le 50 m dos samedi 20 décembre. Elle s’est également classée cinquième du 50 m nage libre vendredi 19 décembre. Photo Fred Haslin - CPIPQR Licencié au club d’Amiens mais s’entraînant à l’INSEP, Roman Fuchs, ici au départ de la finale du 100 m nage libre, dimanche 21 décembre, faisait partie des internationaux français présents au meeting des Hortillons. Photo Fred Haslin - CPIPQR La Beauvaisienne des Dauphins du TOEC (Toulouse), Tabatha Avetand, a gagné le 200 m papillon, dimanche 21 décembre. Photo Fred Haslin - CPIPQR « Ce meeting a une renommée et ça fait plaisir », s’est félicité le président du club d’Amiens Métropole Natation, Romuald Allais. Photo Fred Haslin - CPI LES PRINCIPAUX RÉSULTATSDimanche 21 décembre - Finales ADAMES1 500 m nage libre1. Clémence Coccordano (Lille MN) : 16’49’‘81200 m dos1. Lou-Anne Guiton (Béthune) : 2’11’‘102. Bertille Cousson (CN Marseille) : 2’12’‘923. Lucine Allart (Amiens MN) : 2’21’‘03100 m brasse1. Chloé Lombardo (SN Metz) : 1’12’‘41200 m papillon1. Tabatha Avetand (Dauphins Toulouse OEC) : 2’16’‘94100 m nage libre1. Emmy Preiter (SN Metz) : 55’‘562. Jeanne Lechevalier (Amiens MN) : 56’‘296. Clélia Gaudet (Amiens MN) : 59’‘547. Prune Amir-Tahmasseb (Amiens MN) : 59’‘99MESSIEURS800 m nage libre1. Simon Barbieux (Vikings de Rouen) : 8’17’‘452. Thomas Le Pape (Amiens MN) : 8’22’‘70200 m dos1. Jules André (CN Marseille) : 2’01’‘572. Hugo Duvauchelle (Amiens MN) : 2’05’’036. Jean Ducastel (SC Abbevillois) : 2’09’‘37100 m brasse1. Jérémie Delbois (Olympic Nice Natation) : 1’00’‘75200 m papillon1. Marin Debril (C. Paul-Bert Rennes) : 2’05’‘00100 m nage libre1. Maxime Grousset (CS Clichy 92) : 48’‘098. Roman Fuchs (Amiens MN) : 50’‘76 Par Kristell Michel Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Natation Natation (meeting des Hortillons, 50 m) : le spectacle était au rendez-vous Le meeting des Hortillons, qui s’est terminé dimanche 21 décembre par la victoire de Maxime Grousset en finale du 100 m nage libre messieurs, a tenu toutes ses promesses à la piscine du Coliseum, à Amiens.
Yvan Ikia Dimi et ses coéquipiers de l’Amiens SC, après avoir éliminé Le Havre, affronteront Montreuil (Régional 1) en 16e de finale. Photo Kevin Devigne - CPIPQR Mis en ligne le 21/12/2025 à 20:30 Lecture zen Encore un gros cadeau de Noël avant l’heure pour l’US Chantilly. Après s’être offert le premier 16e de finale de son histoire après sa victoire samedi 20 décembre en Moselle contre Freyming, équipe de Régional 2 (3-0), le club cantillien vivra ce moment unique face au Stade Rennais, équipe de haut de classement en Ligue 1. Les Cantilliens auront le privilège de recevoir les Bretons, entraînés par Habib Beye, pour relever ce sacré défi. Consultez l’actualité en vidéo L’Amiens SC, après son coup fumant sur la pelouse du Havre, pensionnaire de Ligue 1 (0-2), fera son retour à ce stade de la compétition, pour la première fois depuis 2022, face à Montreuil. La formation francilienne est l’un des trois pensionnaires toujours en course de Régional 1, le plus faible niveau encore représenté dans le tableau. À lire aussi Foot : Kylian Mbappé et Cristiano Ronaldo partagent un record, savez-vous lequel ? Les matches auront lieu les 9, 10 et 11 janvier. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : US Chantilly Amiens SC National 2 Coupe de France Amiens (Somme) Chantilly (Oise) Football (Coupe de France) : Rennes pour Chantilly, l’Amiens SC ira à Montreuil Pour le premier 16e de finale de son histoire, l’US Chantilly (National 2) a hérité d’un gros morceau avec la réception du Stade Rennais (Ligue 1). De son côté, l’Amiens SC (Ligue 2) se déplacera sur le terrain de Montreuil (Régional 1), l’un des Petits Poucets encore en lice.
Vendredi 19 décembre 2025, au bal de Navarre, je fais (presque) ce que je veux derrière mon masque. - Photo Paris Normandie L’ambiance se réchauffe peu à peu. - Photo Paris Normandie La borne à selfie a du succès. - Photo Paris Normandie Les stars de la soirée. - Photo Paris Normandie Un DJ à l’écoute des désirs de son public. - Photo Paris Normandie Une battle endiablée entre Célestin et Rouné. - Photo Paris Normandie Une équipe d’enfer. De g. à d. Mariamou, Fred, Fanny, Mina, Tatiana, Émilie. - Photo Paris Normandie Une soirée… mais des règles. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 20:20 Lecture zen « Moi, je veux une Parisienne, Parisienne, qui traverse au feu vert, qui s’en fout d’la tour Eiffel… » Il est à peine 19 h et, dans la grande salle de la Maison de quartier de Navarre, à Évreux, une trentaine d’ados chantent à tue-tête, bras levés, portés par la voix de Gims. Costumes sombres, robes de soirée, baskets parfois brillantes sous les spots : vendredi 19 décembre 2025, les jeunes du quartier vivent un moment rien qu’à eux. Consultez l’actualité en vidéo À lire aussi Costumes, robes de soirée... Un bal chic à l’américaine organisé à Navarre, à Évreux lls regardent beaucoup de séries américaines, avec des bals de promo. »Bienvenue au premier Bal de Navarre. Organisé par le centre social de Navarre, ce bal chic « à l’américaine » est une première. À l’origine de l’événement, Mina Aderdour, coordinatrice du pôle jeunesse. L’idée lui est venue en observant les références culturelles des jeunes qu’elle accompagne au quotidien. « Ils regardent beaucoup de séries américaines, avec des bals de promo, comme la série La Chronique des Bridgerton sur Netflix. Je leur ai proposé l’idée d’un bal, et tout de suite ils ont dit oui », raconte-t-elle avec enthousiasme. Trois mois plus tard, le projet est concrétisé. « J’ai lancé l’organisation juste avant les vacances d’octobre, et aujourd’hui on compte 43 inscrits », précise-t-elle.Ce soir-là, aucun parent dans la salle, mais des chaperons de confiance avec les cinq salariées de l’association, épaulées par Fred Marco, directeur du centre social. Et un règlement signé en amont… Mais très vite, une évidence s’impose. « On n’a même pas besoin de leur rappeler les règles », sourit une encadrante. L’ambiance est détendue et respectueuse.« Je danse depuis que je suis petit »Aux platines, un DJ professionnel enchaîne les titres d’une playlist très « Skyrock ». La piste est animée quand, soudain, un cercle improvisé se forme : Célestin et Rouné, 11 et 12 ans, s’affrontent dans une battle de danse sous les encouragements et les téléphones brandis. « Je danse depuis que je suis petit », confie Célestin, qui avoue s’est initié sur Michael Jackson.Les animations s’enchaînent ensuite, dont le jeu des épingles, variante du « Ni oui ni non », qui fait fureur. Rires, stratégies et petits pièges rythment la soirée, remportée par Tidiane, tandis que la borne à selfie fait le plein : seuls ou en groupe, les jeunes posent sur un tapis rouge, rejouant les marches de Cannes dans des poses improvisées. À lire aussi Réunion de quartier à Évreux : « Les Usines de Navarre, on pourrait en faire une série Netflix » À 22 h 30, après avoir vu Tonita et Tenolia être élus reine et roi du bal, la musique s’éteint. Les jeunes repartent, le sourire aux lèvres et les téléphones pleins de souvenirs de leur premier bal. Au vu du succès, parions que le Bal de Navarre vient de s’installer au calendrier du quartier. Par Cyrille Souillier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Mon quartier ma parole Évreux (Eure) Cette série culte sur Netflix a inspiré les ados à Évreux en quête de bal de promo version US Organisé vendredi 19 décembre 2025, le premier Bal de Navarre a réuni une trentaine de jeunes ados du quartier. Costumes sombres et robes de soirée étaient de mise pour cet événement musical et dansant. Sans les parents !
Anthony « Cat » Barber a livré son meilleur match depuis son arrivée à Saint-Quentin, apportant vitesse et impact dans un collectif en difficulté. - SQBB LOuis Dans la grisaille alsacienne, Anthony « Cat » Barber a incarné l’une des rares éclaircies saint-quentinoises, montrant enfin les qualités attendues de lui. - SQBB Louis Mis en ligne le 21/12/2025 à 20:12 Lecture zen Avec les 19 points de Neftali Difuidi et la première mi-temps aboutie de Nick Johnson, Anthony Cat Barber a sans doute incarné l’une des rares éclaircies de ce dimanche après-midi alsacien. L’arrière américain a livré son match le plus abouti depuis son arrivée à Saint-Quentin. À lire aussi Basket-ball (Betclic Élite) : à Strasbourg, Saint-Quentin confirme que le mal est profond Sans flamboyer ni renverser la rencontre, il a néanmoins affiché des signes encourageants : 12 points, 2 passes décisives, et surtout une implication bien différente.Barber a enfin pris ses responsabilités. Il a mis de la vitesse dans le jeu, provoqué, joué juste – exactement ce que le staff attendait de lui depuis le début de la saison. Une prestation imparfaite, certes, mais suffisamment consistante pour lui redonner confiance. Et, peut-être, en insuffler un peu à une équipe qui en manque cruellement.Des responsabilités enfin assuméesQuelques jours plus tôt, Éric Bartecheky avait dressé un constat sans détour, évoquant publiquement l’absence d’un véritable poste 2 dans son effectif. Une sortie qui n’a pas fait l’unanimité en interne, mais qui semble avoir trouvé un écho sur le parquet.Recruté par Philippe Da Silva, qui n’a guère eu le temps que d’apprendre son prénom avant de quitter le navire, il a ensuite débuté sous les ordres de Pedro Nuno Monteiro et doit désormais apprendre à échanger avec Bartecheky. Arrivé blessé du Mexique, traînant une douleur persistante à la cheville, Barber a déjà montré qu’il savait jouer avec la douleur. Peu expansif, peu démonstratif, il a néanmoins prouvé qu’il était capable d’encaisser et de répondre présent.Reste désormais à franchir une étape supplémentaire : gagner pleinement la confiance du staff. L’Américain n’a pas terminé la rencontre, alors qu’il aurait peut-être mérité de rester sur le parquet. « Cat a été bon dans le troisième quart-temps, souligne Bartecheky. Il doit continuer ainsi. On a besoin de lui. Il sait se montrer rapide et véloce. »Il aurait sans doute mérité de jouer plusDans ce marasme collectif, cette prestation demeure une lueur fragile mais nécessaire. Elle n’efface ni les manques structurels ni les failles profondes d’un groupe toujours en quête d’identité. Mais elle rappelle qu’il existe encore des leviers à activer. Anthony Cat Barber n’a pas changé le cours du match, ni celui de la saison. Il a simplement esquissé ce que Saint-Quentin attend de lui : de la vitesse, de l’impact, du courage. À lui désormais de confirmer, de s’inscrire dans la durée et de transformer cet éclair en continuité. Car à ce stade, le SQBB n’a plus le luxe d’attendre. Par Anthony OTTOU Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : SQBB Basket-ball (Betclic Élite) : Anthony Cat Barber, une éclaircie dans la grisaille alsacienne Dans un contexte collectif toujours aussi préoccupant, Anthony Cat Barber a offert l’une des rares notes positives du déplacement à Strasbourg. Sans renverser le match, l’arrière américain a livré sa prestation la plus aboutie depuis son arrivée au SQBB.
Nick Johnson a tenté de maintenir le SQBB à flot avec 18 points à la pause, mais une nouvelle fois trop esseulé pour inverser le cours du match. - SQBB- Louis Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:56 Lecture zen On pourra toujours changer les visages sur le banc, déplacer les responsabilités, empiler les explications. À un moment pourtant, la vérité finit par s’imposer. Ce qui manque à cette équipe ne s’apprend pas. Ce n’est ni un système, ni une consigne, ni un discours d’avant-match. C’est ce lien invisible qui circule dans les veines, qui soude les joueurs dans l’effort et dans l’adversité. Le cœur, tout simplement. À lire aussi Basket-ball (Betclic Élite) : le SQBB coule à Strasbourg et concède une 10e défaite « On change des choses, mais rien ne change. Pour bouger… ça bouge mais le résultat reste le même, confie Lucas Boucaud en fin de rencontre. On veut peut-être griller les étapes. Tant qu’on ne jouera pas en équipe, on n’arrivera à rien. »On se bat, je pense que les choses changent. On ne va pas baisser les bras.Comment ne pas être d’accord avec lui ? Comment, lorsque l’on n’a remporté que deux matches sur douze et que l’urgence s’impose à chaque sortie, peut-on arriver à Strasbourg et, dès les premières secondes, accepter de subir ? Accepter que l’adversaire dicte le tempo, joue libéré, prenne des tirs sans pression, attaque la raquette sans la moindre résistance. « On joue sans intensité dès le début du match, reconnaît Éric Bartecheky. Nous avions ciblé Joseph et Brown, et ce sont justement eux qui brillent d’entrée. Je suis déçu. Tant qu’on ne prendra pas la mesure dans ce domaine, on n’avancera pas. » Honorés par leur sélection au All-Star Game, Nelly Joseph et Gabe Brown ont immédiatement trouvé leurs repères. Brown a allumé la mèche avec ses premières banderilles, avant que son complice ne s’installe dans la peinture, souverain, presque sans opposition. Dix points d’une facilité déconcertante, rappel brutal de ce qu’incarne un poste 5 de très haut niveau en Betclic Élite. Dans leur sillage, la SIG a pris le large, déjà maîtresse du jeu à l’issue du premier quart-temps (27-17).Comme d’habitude, Johnson face au reste du mondeSecoués, les Axonais n’ont jamais réellement réagi. Ou si peu. Quelques sursauts d’orgueil, souvent individuels, parfois dictés par la frustration : un regard sombre au moment de rejoindre le banc, une crispation après deux possessions sans toucher le ballon. Rien qui ne fasse avancer un collectif visiblement rongé par le doute.En face, Strasbourg a déroulé. Mike Davis a poursuivi son récital, pendant que William Pfister et Jean-Baptiste Maille, moins clinquants mais essentiels, rappelaient une évidence trop souvent oubliée : une équipe se construit aussi avec des porteurs d’eau. Nick Johnson a bien tenté de maintenir Saint-Quentin à flot, inscrivant 18 points, mais à la pause, le SQBB n’en comptait que 36. Comme trop souvent, son meneur s’est épuisé. Et comme trop souvent, Saint-Quentin a laissé son adversaire jouer à sa guise (51-36, 20e).On aura beau changer les systèmes, tenter toutes les défenses possibles : tant qu’on jouera sans envie, sans motivation, sans confiance les uns envers les autres, on n’ira nulle part.Eric BartechekyAprès la pause, le SQBB a montré un visage plus combatif. Insuffisant toutefois pour faire vaciller un adversaire bien plus en adéquation avec son basket. Moins en vue au retour des vestiaires, Nick Johnson a vu Neftali Difuidi inscrire 12 de ses 19 points en seconde période, tandis que Cat Barber a offert quelques séquences inspirantes.« On a été plus combatifs après la pause, explique Bartecheky. Mais on aura beau changer les systèmes, tenter toutes les défenses possibles : tant qu’on jouera sans envie, sans motivation, sans confiance les uns envers les autres, on n’ira nulle part. »Revenu un instant à huit longueurs (32e), porté par un passage musclé de Barber, Saint-Quentin est aussitôt retombé dans ses travers : deux errances défensives, une incapacité à sécuriser le rebond, et Strasbourg a puni. Un tir primé de Ndoye, puis des lancers de Joseph, ont définitivement scellé le sort de la rencontre.Strasbourg en équipe, Saint-Quentin en survieÀ défaut d’une troisième victoire, la soixantaine de supporters saint-quentinois ayant fait le déplacement a au moins vu une équipe capable de se relever, sans sombrer. Certains, pourtant, ont refusé d’applaudir. Un silence lourd, presque plus éloquent que les chants qui auront duré 40 minutes, face à une réalité difficile à accepter : cette saison se jouera sur des détails, avec peu de certitudes et encore moins de marge. À lire aussi Basket-Ball (Betclic Élite) : Pedro Nuno Monteiro absent à Strasbourg, un avenir incertain au SQBB La tâche reste immense pour éviter que 2025 ne s’achève en eau de boudin. « On n’a même pas 48 heures pour préparer Bourg, rappelle Éric Bartecheky, la tête basse mais déjà tourné vers la suite. Si on met la même intensité qu’en première mi-temps, le résultat sera le même. J’ose espérer qu’on sera capables de jouer 40 minutes. Cette équipe en est capable. J’en suis persuadé. » Par Anthony OTTOU Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : SQBB Basket-ball (Betclic Élite) : à Strasbourg, Saint-Quentin confirme que le mal est profond Dominé dès les premières minutes à Strasbourg, le SQBB a une nouvelle fois affiché ses fragilités, tant collectives que mentales. Malgré un sursaut après la pause, Saint-Quentin s’est incliné sans jamais réellement faire douter une SIG mieux armée (84-72), confirmant que le malaise dépasse le simple cadre du jeu.
Aurélie devant sa boutique Aurélie devant sa boutique très fleurie Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:51 Lecture zen C’est après quelques travaux de rafraîchissement, mais surtout après de longues lourdeurs administratives qu’Aurélie Cantrel, la salariée d’» Eddy Fleurs » a repris ce commerce ouvert par Eddy Dumesnil. Consultez l’actualité en vidéo « J’adore mon métier. À l’âge de 14 ans, j’ai souhaité faire un stage découverte chez un fleuriste et j’ai toujours aidé ma mère à faire ses jardinières. J’adore la décoration et le contact client mais je suis avant tout fleuriste. Je ne me voyais pas lâcher ma clientèle que j’apprécie beaucoup et qui m’a soutenue pendant cette fermeture. J’ai démarré en tant qu’apprentie à la création du magasin et j’y ai été salariée pendant vingt ans. Pour moi c’était le sens de reprendre la boutique avec mon mari et mes enfants. C’est un projet de vie. « explique la jeune femme. À lire aussi Un jeune de 18 ans meurt dans un accident près d’Abbeville, les deux passagers en urgence absolue Un nouveau nom pour une nouvelle aventure« Eddy Fleurs » devient « Elle dit « Fleurs » : « C’est dans la continuité pour ne pas perturber la clientèle et un hommage à Eddy », conclut la fleuriste.page Fb : Elle dit « Fleurs » Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Abbeville (Somme) Abbeville : le quartier de Rouvroy a retrouvé son magasin de fleurs Fermé en septembre 2025 suite au départ en retraite de son ancien propriétaire et créateur, le magasin de fleurs de la Chaussée de Rouvroy situé juste à côté de la petite église Saint Jean-Baptiste a rouvert ses portes ce samedi 13 décembre 2025.
Les pompiers de Moislains et Péronne ont pris en charge le pilote du deux-roues - (Photo Vincent Fouquet) Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:48 Lecture zen La chaussée était très humide. C’est peut-être ce qui a provoqué un accident dimanche 21 décembre peu après 18 heures. Un homme de 61 ans, au guidon de son scooter, venait de sortir de Templeux-la-Fosse sur la D184. Juste avant d’arriver au carrefour avec la D181 (axe Péronne – Guyencourt-Saulcourt), il a glissé et perdu le contrôle de son cyclomoteur avant de chuter, heureusement à faible allure. Les pompiers de Moislains et Péronne ont pris en charge le pilote du deux-roues - (Photo Vincent Fouquet) Les pompiers de Moislains et Péronne sont intervenus pour prendre en charge le sexagénaire, légèrement blessé, et le transporter vers l’hôpital de Péronne. Les gendarmes de la brigade de Péronne ont procédé aux constatations et coupé la route pour sécuriser l’intervention. Et permettre l’évacuation du deux-roues par le dépanneur d’Assevillers. La circulation a été rétablie normalement vers 19 h 15. Consultez l’actualité en vidéo Par Vincent FOUQUET Un cyclomotoriste blessé à Templeux-la-Fosse Un homme de 61 ans a glissé sur une chaussée humide et il a perdu le contrôle de son scooter avant de chuter dimanche 21 décembre vers 18 heures. Légèrement blessé, il a été transféré à l’hôpital par les pompiers.
Les Jingles belles ont séduit les spectateurs qui n’ont pas hésité à user de leur téléphone pour quelques photos. Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:46 Lecture zen Parmi les œuvres du musée de Blérancourt, le trio composé de trois Franco-américaines a enchanté le musée de Blérancourt. Pour la deuxième année consécutive, les Jingles belles ont donné un concert de chants de Noël venus d’outre-Atlantique. Consultez l’actualité en vidéo Un concert organisé gratuitement qui a attiré environ 80 personnes, soit une salle comble. « C’est un public essentiellement local », constate-t-on au sein des équipes du musée. À lire aussi Viry-Noureuil : un concert de Noël empreint de magie et de partage Le musée proposera deux animations, à destination des enfants à partir de 6 ans, pendant les vacances. Ils pourront être sensibilisés à l’art avec la découverte de deux œuvres, qui reflètent l’esprit de Noël et celui du musée Franco-américain, et participer à la fabrication de décorations de Noël et cartes pop-up. Le premier a lieu ce lundi 22 décembre, à 15 h 30, un second atelier aura lieu le lundi 29 décembre à la même heure. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Blérancourt (Aisne) Jingle belles, un trio charmant pour un Noël aux airs américains à Blérancourt Le musée de Blérancourt accueillait ce dimanche un concert de Noël, mettant en avant le lien franco-américain, cher à l’établissement. Un concert qui a trouvé son public.
AFP/DIMITAR DILKOFF Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:45 Lecture zen Selon Amélie de Montchalin, la « loi spéciale » actuellement préparée par le gouvernement pour éviter le blocage total ne représente qu’un « service minimum ».La ministre des Comptes publics a indiqué sur BFMTV que la future loi de finances intégrerait « quelques hausses d’impôts ». Ce projet devra tout de même être discuté avec les différents partis politiques. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, recevra lundi les principales formations pour lancer cette concertation.Un compromis nécessaire pour avancerDès dimanche, des rencontres ont déjà débuté avec les chefs des groupes parlementaires Renaissance et Horizons, Gabriel Attal et Paul Christophe. L’objectif est de commencer à bâtir un compromis, condition indispensable pour sortir de la crise.« On va dire à chaque acteur politique que pour qu’il y ait un budget, il faut qu’il y ait un compromis, pas un compromis du blabla », a insisté Amélie de Montchalin, invitant chacun à prendre la situation au sérieux.La ministre a également souligné qu’« on ne peut pas dire aux gens que ça va être une année en parenthèses, une année en pause » car des sujets essentiels, tels que le logement, la défense, la lutte contre le narcotrafic ou encore l’agriculture, nécessitent des décisions et des moyens. À lire aussi « Les gens sont moroses, cela se ressent dans les achats de Noël » : ambiance à Compiègne, dans le centre-ville Amélie de Montchalin a mis en garde : « Si nous ne faisons pas ça (...) les Français vont zapper, ils vont passer sur une autre chaîne, la chaîne des extrêmes », a-t-elle averti, pressant les acteurs politiques de trouver une solution rapidement. Par AFP Budget 2026 : la France doit impérativement trouver un compromis avant fin janvier, alerte Amélie de Montchalin Faute d’avoir adopté la loi de finances pour 2026, la France se retrouve dans l’impasse. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a rappelé ce dimanche l’urgence de voter un « vrai budget » d’ici la fin janvier.
La septuagénaire a été transportée en urgence à l’hôpital. Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:35 Lecture zen Un accident de la circulation est survenu ce dimanche 21 décembre 2025, aux alentours de 17 heures, à Chauny. Une voiture a violemment terminé sa course contre le portail d’une entreprise, précise L’Union. Le véhicule était conduit par une femme de 73 ans. À lire aussi Explosion d’une maison dans l’Aisne : l’origine du sinistre reste inconnue Une enquête a été ouverte afin de faire la lumière sur les circonstances de cette perte de contrôle. D’après les gendarmes intervenus sur place, l’automobiliste aurait pu être victime d’un malaise alors qu’elle se trouvait au volant.Prise en charge par les sapeurs-pompiers de Chauny, la septuagénaire a dû être réanimée avant d’être transportée en urgence à l’hôpital. Par H.M. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Chauny (Aisne) Chauny : une automobiliste de 73 ans hospitalisée après un accident de la route Une dame de 73 ans a perdu le contrôle de son véhicule ce dimanche 21 décembre 2025 à Chauny. Elle a été transportée à l’hôpital.
« 8,2 secondes », Maxime Chattam, Albin Michel, 400 pages, 22,90€ Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:35 Lecture zen Accompagnée de son chien, Constance vient d’arriver dans le chalet familial isolé, près du lac Skaneateles, à la frontière canadienne. Dans ses bagages : un pistolet. Car à l’approche du premier anniversaire de la mort de son mari et de son fils, coincée entre résignation et acceptation, un choix s’offre à cette scénariste : vivre ou mourir. « Après des semaines et des semaines d’errance, elle était venue ici pour cela. Pour faire le tri dans ce qu’elle était prête à affronter ». Policière à New York, May se retrouve, elle, au cœur de l’enquête menée pour identifier et arrêter un tueur en série baptisé Grand Méchant Loup en raison des nombreuses morsures qu’il inflige à ses victimes. Huit en 5 ans. Jusqu’à présent… Ces deux femmes ne se connaissent pas et ne se rencontreront jamais. Pourtant, leur destin est irrémédiablement lié. À lire aussi Jean-Christophe Grangé enquête sur sa propre histoire dans « Je suis né du Diable » 8, 2 secondes, c’est le temps qu’il faut pour tomber amoureux lors d’un baiser. C’est aussi le temps qu’il faut à l’âme pour quitter un corps Et c’est le titre choisi par Maxime Chattam pour son dernier thriller. Le lecteur y suit en parallèle deux histoires de femmes confrontées à des choix décisifs. Deux histoires qui finissent par se rejoindre dans un final tragique. Un thriller au suspens hitchcockien, mâtiné d’une pointe de surnaturel et d’horreur, dont Maxime Chattam a le secret.« 8,2 secondes », Maxime Chattam, Albin Michel, 400 pages, 22,90€ Par Sylvie Molines Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Livre LIVRE. « 8,2 secondes » de Maxime Chattam : le temps qu’il faut pour aimer ou mourir Deux femmes qui ne se connaissent pas. Deux histoires. Et pourtant elles sont liées par le destin.
Comme la saison passée, le HAC quitte la Coupe de France quatre-vingt-dix minutes seulement après son entrée en lice - Photo Boris Maslard Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:26 Lecture zen L’histoire se répète. Comme la saison passée, c’est au stade des 32es de finale que l’aventure s’arrête. Quatre-vingt-dix minutes seulement après l’entrée en lice. Et cette fois, c’est à domicile que les Ciel et Marine ont sombré. Battus par des Amiénois, quatorzièmes de Ligue 2, réalistes, efficaces. Il n’a en effet fallu aux Picards que deux moments chauds en première période pour ouvrir le score, puis faire le break. À lire aussi Football – Coupe de France. Du neuf à tous les étages : le « onze » du HAC dévoilé Deux occasions, deux buts concédés Par Hamache tout d’abord, seul dans la surface pour ajuster Argney (11e), puis Kaïboué, d’un coup franc direct et parfait (30e). Remanié et hors sujet, le « onze » havrais offrait un spectacle pitoyable. Les quatre changements effectués au coup d’envoi de la seconde période donnaient certes un coup de fouet à l’ensemble, enfin le HAC pressait, mais pour la cinquième fois à la suite, aucun des Havrais n’allait parvenir à trouver le chemin de filets adverses. Inquiétant. Au Havre, Amiens bat le HAC 2 à 0 (2-0)Arbitre : M. Valnet. Spectateurs : 9 718 Buts pour AMIENS : Hamache (11e), Kaïboué (30e) Avertissements au HAC : Gomis (28e) ; à AMIENS : Ikia Dimi (31e) HAC : Argney – Nego, Sangante (cap), Gomis (Lloris, 46e), Delaine (Koffi, 46e)– Mosengo (Ebonog, 46e), Namli (Obougou, 78e), Ndiaye – Kyeremeh (Kechta, 46e), Quetant, Soumaré Entraîneur : Didier Digard AMIENS : Sauvage – Chabane, Bakayoko, Kaïboué (cap), Louis - Hamache (Traoré, 85e), NDuquidi, I. Fofana, Aïssa (Abdelkrim, 53e) – Leautey (Kandil, 67e), Ikia Dimi (Rafii, 67e) Entraîneur : Omar Daf Par Benoit DONCKELE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : HAC Football – Coupe de France : pitoyable en première période, le HAC subit la loi d’Amiens Trop longtemps hors sujet, le HAC a déjà fait ses adieux à l’édition 2025-26 de la Coupe de France, ce dimanche 21 décembre 2025 au Stade Océane. C’est Amiens (L2) qui a donné la leçon (2-0).
Le manque d’éclairage sur le parking est problématique Suite à un acte de vandalisme, le parking n’est plus éclairé Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:19 Lecture zen Lors du conseil communautaire du jeudi 18 décembre 2025, la cession à l’euro symbolique, au bénéfice du Département de l’Eure, d’une parcelle correspondant au parking du collège de Mesnil-en-Ouche, dans le cadre d’une convention tripartite signée lors de la construction du campus éducatif, a été l’occasion pour Françoise Preyre, maire-déléguée de Beaumesnil, d’attirer l’attention de ses collègues sur un problème d’éclairage rencontré depuis deux mois, suite au vandalisme des branchements reliés aux points lumineux. Consultez l’actualité en vidéo « Situation périlleuse » À lire aussi Dans cette commune de l’Eure, un pôle santé et des logements seniors vont voir le jour Le parking étant du ressort de la commune, la réparation des dégâts est à sa charge, et n’a pas encore été menée à bien. « En attendant, les enfants traversent cette parcelle au milieu des cars scolaires ; une situation d’autant plus périlleuse à cette période de l’année, où il fait encore nuit à l’arrivée des élèves, et où la nuit est souvent déjà tombée à leur départ », appuie Jean-Jacques Prévost, maire-délégué d’Ajou. Absent lors de la réunion, Jean-Louis Madelon, maire de Mesnil-en-Ouche, ne manquera pas de régulariser la situation. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Mesnil-en-Ouche (Eure) Dans cette commune de l’Eure, le parking du collège n’est toujours pas éclairé Suite à un acte de vandalisme, le parking du campus éducatif de Mesnil-en-Ouche n’est pas éclairé depuis deux mois. Une situation qui pose problème pour la sécurité des usagers.
À la 7e minute du 32e de finale de la Coupe de France entre Vendée Fontenay et le PSG ce samedi, BeIN Sports a interrompu les commentaires pour diffuser un message de Sylvie Godard, la maman de Christophe Gleizes. Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:37 Lecture zen Avant-match. Un journaliste sportif part avec son carnet, persuadé de jouer « à l’extérieur » mais selon les règles. Christophe Gleizes, collaborateur de So Press, travaille en Algérie autour d’un club. Échauffement, contacts, interviews. Puis le match bascule : contrôle, détention, et au tableau d’affichage une peine qui claque : sept ans de prison. Consultez l’actualité en vidéo Erreur ? Peut-être, pour laisser la place au doute, au cas où VAR il y ait… Mais en tout état de cause, cela ne doit pas suffire à transformer une enquête en faute grave. Faute, justement : confondre informer et nuire, siffler l’intention au lieu de juger les faits.Arrêt de jeu. Ce week-end, en plein match de Coupe de France, un message enregistré de sa mère a été diffusé sur les écrans : appel à l’humanité, rappel qu’un fils attend derrière des murs. Tir cadré : le football pousse la balle en corner pour remettre l’affaire dans la surface médiatique. À lire aussi Basket-ball (Betclic Élite) : le SQBB coule à Strasbourg et concède une 10e défaite Coup de sifflet final. « Tu n’es pas seul » : c’est beau, et c’est juste. Mais ce serait insuffisant si le stade se contentait d’applaudir. Car quand on enferme un journaliste pour son travail, ce n’est pas un joueur qu’on met sur le banc : c’est le public qu’on prive du match, de la vérité, du droit de savoir. Et ça, aucun corner médiatique ne doit le faire oublier. Par Xavier SWARTVAGHER « Tu n’es pas seul » : le message diffusé pendant Fontenay-PSG relance le match pour Christophe Gleizes En plein match de Coupe de France ce week-end, un message enregistré de la mère de Christophe Gleizes a été diffusé sur les écrans de télévision. Condamné à sept ans de prison en Algérie, le journaliste sportif est devenu, malgré lui, le symbole d’un match plus large : celui du droit d’informer.
Sébastien Lecornu parviendra-t-il à sortir de l’impasse budgétaire dans laquelle est plongé le pays ? - AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:36 Lecture zen Difficile de savoir si Sébastien Lecornu sera sensible aux sirènes des Républicains qui lui réclament de revenir sur sa promesse de ne pas utiliser le 49.3, cette disposition tant controversée qui permet pourtant de faire passer un texte sans vote. Difficile aussi de savoir si le Premier ministre, dans ses songes enfantins, aurait pu adresser au vieux monsieur à barbe blanche et costume rouge une lettre lui demandant de lui apporter un budget pour Noël !Le locataire de Matignon se retrouve aujourd’hui dans une situation inextricable, ou presque. Et il devra sans doute user de toute sa ruse de vieux loup de la politique – malgré son jeune âge – pour faire adopter ce qui paraît aujourd’hui impossible, en l’occurrence la loi de finances sur laquelle sénateurs et députés, réunis vendredi en Commission mixte paritaire, ne sont pas parvenus à se mettre d’accord. Du coup, le texte retombe dans les mains du gouvernement qui va probablement sortir de sa poche la carte de la loi spéciale. Elle permettra ainsi à la France d’éviter l’équivalent du « shutdown » américain, à savoir l’impossibilité de lever l’impôt et de payer les fonctionnaires.C’est donc à marche forcée que le Premier ministre a commencé à réunir les responsables politiques pour tenter de trouver le trou de souris qui fera émerger une solution. Laquelle, au fond, ne sera qu’une demi-solution. Déjà utilisée l’an dernier après la chute du gouvernement Barnier renversé par une motion de censure, la loi spéciale n’est en effet qu’une sorte de pis-aller sur le court terme pour régler les affaires courantes.À un moment donné, il faudra pourtant que la France soit dotée d’un budget lisible et compréhensible par l’ensemble des Français. D’autant plus qu’il s’agit du dernier exercice du genre en année pleine avant l’élection présidentielle. Autant dire que les enjeux sont financiers, politiques. Mais aussi capitaux pour le quotidien des Français. Ce qui ne devrait pas échapper aux faiseurs de loi. Par Stéphane SIRET Édito. Y aura-t-il un budget de la France pour Noël ? La France n’a toujours pas son budget pour l’année prochaine ! Sébastien Lecornu pourrait avoir recours à une loi spéciale, une solution certes, mais seulement à court terme pour les Français.
Une fois torréfiés, les vers de farine se mangent en apéritif, en salade ou même en dessert. - Philippe Dufresne Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:32 Lecture zen De loin, on dirait des fibres végétales, comme certaines céréales du petit déjeuner. En y regardant de plus près, on distingue la tête, les pattes et le corps à anneaux. Tout de suite, la question d’en ingérer est moins évidente… Et pourtant, Pithou Plong assure que la sensation n’est pas désagréable, à condition que ces vers de farine, morts, aient été torréfiés. Consultez l’actualité en vidéo Manger des insectes ? L’idée fait dresser les cheveux sur la tête, et pourtant dans de nombreux pays, ils font partie des habitudes alimentaires et sont même garants d’un apport important en protéines. « Autant qu’un steak haché de bœuf à poids égal », précise Pithou Plong. À lire aussi https://www.courrier-picard.fr/id647795/article/2025-07-23/alimentation-fruits-et-legumes-et-oeufs-au-frigo-ou-pas-fait-le-point Ce commercial, domicilié à Saint-Arnoult, entre Rives-en-Seine et Lillebonne, a lui même consommé des insectes étant enfant. « Je suis né à Phnom Penh, la capitale du Cambodge. En Asie, on mange des mygales, des sauterelles ou autres. En fait des insectes qui se trouvent facilement. Les araignées se préparent en beignets par exemple », se souvient-il.En Europe, il y a un mur avec les insectes. Ça reste tabou.Pithou Plong, Amateur d’insectesDans les années 70, sa famille a quitté l’Asie pour s’installer en Normandie. Devenu commercial, Pithou Plong avait conservé l’habitude de consommer des insectes, mais parallèlement l’idée de produire des insectes à destination alimentaire faisait son chemin. En 2014, profitant d’une reconversion professionnelle, il a créé Crispy’s en Caux, une ferme où il élevait des vers de farine. Les vers de farine sont un élevage particulièrement simple à organiser. - Philippe Dufresne « Je les élevais de A à Z, dans des tiroirs en laboratoire. En fonction du degré d’évolution souhaité, vers ou nymphes, je les abattais en les congelant. Ensuite, on pouvait les décongeler pour les torréfier au four, c’est très simple. Il y avait une clientèle qui les appréciait », note le quinquagénaire.Une vingtaine de kilos par moisIl cite même un restaurant de la région de Versailles qui en incorporait à son foie gras, en entrée. Pithou Plong a ainsi fourni des magasins bio, des épiceries exotiques et des particuliers. Une vingtaine de kilos de vers était vendue chaque mois. Le marché restait cependant difficile. « En Asie, tout le monde en mange. En Europe, il y a un mur avec les insectes. Ça reste tabou. Mais il y avait de bonnes raisons d’y croire. Les choses évoluent », estime-t-il. Passée l’appréhension, on peut se laisser tenter. - Philippe Dufresne L’élevage de vers de farine multiplie les avantages. Pour commencer, il suffit d’en acheter en animalerie ou en magasin de pêche et de lancer la reproduction. Le vers devient nymphe, puis scarabée. Après quelques cycles de ponte, il faut réguler la population en commençant l’abattage des vers et donc commencer la vente ou la consommation. Il suffit de peu de place, qui doit cependant être aux normes. L’élevage dépendait de la chambre consulaire d’agriculture. Enfin, pour l’alimentation, les vers dévorent du substrat de son, des légumes et ont besoin d’humidité.Toujours gourmand d’insectesL’aventure a pris fin en 2017. Un tracteur tondeuse a mis le feu au bâtiment du laboratoire. Mais le gastronome n’a pas cessé de consommer des insectes pour autant. Il lui reste encore quelques kilos au congélateur : « J’en sors pour des repas de famille. Il y en aura sans doute pour le réveillon cette année encore », dit-il. Tendant une assiette de vers destinés à être torréfiés, Pithou Plong précise qu’on peut en mettre sur des canapés ou en chips à l’apéritif. À table ! Par Philippe Dufresne Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Saint-Arnoult (Seine-Maritime) Rives-en-Seine (Seine-Maritime) Lillebonne (Seine-Maritime) Noël : Osez des insectes pour le repas de réveillon ! Ils croustillent sous la dent, apportent une dose d’exotisme, ne dénaturent pas les plats et apportent des protéines. Comme Pithou Plong, osez les insectes au réveillon.
Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:25 Lecture zen Selon le parquet du Havre, « samedi 20 décembre 2025, un peu avant 21h30, les effectifs de police étaient requis suite au déclenchement d’une alarme anti-intrusion puis de détecteurs de fumées au sein de la salle de jeux de l’école maternelle Mont Le Comte au Havre, dans le quartier de Caucriauville ».La magistrate poursuit : « (…) Les investigations à l’intérieur du bâtiment n’ont pu débuter que dans la matinée, compte tenu de la nécessité d’assurer la sécurisation de l’intervention des effectifs ». Tout en précisant qu’« aucune victime n’est à déplorer et aucune tension particulière préexistante ne peut permettre d’orienter les investigations. Un seul départ de feu a été identifié dans le cadre de ces premières constatations ».Le parquet du Havre conclut : « Une expertise incendie sera diligentée dans les prochains jours et les investigations vont se poursuivre. Compte tenu du déclenchement de l’alarme anti-intrusion, une enquête a été ouverte confiée au commissariat du Havre du chef de destructions volontaires par incendie. Les investigations complémentaires vont permettre de confirmer ou d’infirmer la piste de l’incendie volontaire ». Une enquête ouverte pour « destructions volontaires par incendie »
Ludovic Leffet et ses coéquipiers de Longueau ont été à deux doigts de faire tomber le leader Laval pour la première fois cette saison. Photo Kevin Devigne - CPIPQR Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:20 Lecture zen Pour Longueau, avant-dernier (13e) et premier relégable, neuf défaites au compteur avant cette 12e journée, battre Laval, leader invaincu, même dans sa salle Georges-Pellerin, aurait été un authentique exploit. Un miracle de Noël anticipé que les Longacoissiens ont été tout proches de réaliser puisqu’ils n’ont cédé qu’en prolongation (82-84), ce samedi 20 décembre, malgré un effectif une nouvelle fois très amoindri (blessures de Niakaté à la cheville et de Touenti au doigt, absence de dernière minute de Bah, indisponibilité pour raisons personnelles de Crane). Consultez l’actualité en vidéo Après un début de match équilibré, la « Green Team » a créé un premier écart dans le deuxième quart avant d’être presque rejointe à la mi-temps (36-34). Suite à la pause, c’était au tour des visiteurs de s’échapper et de faire la course en tête jusqu’à un panier de Leffet dans la dernière minute (78-76). Le meneur a ensuite eu le tir pour l’emporter, en vain, avant un temps supplémentaire où l’expérience et le collectif plus huilé des Lavallois ont prévalu.Première à domicile pour Haddad« L’équipe s’est bien battue », a salué le président, Serge Tristram, qui a souligné la « belle prestation » au poste 3 de Joackim Haddad pour sa première prestation à domicile avec sa nouvelle formation, rejointe début décembre. « C’est quelqu’un de très complet, très altruiste, qui fluidifie le jeu et qui permet à l’équipe de trouver un collectif », commente-t-il à propos du Franco-Tunisien de 26 ans, arrivé en remplacement de Lucas Pilla, qui a quitté le club sans jamais avoir réussi à s’y épanouir depuis son recrutement cet été. À lire aussi Volley-ball (Élite masculine) : l’Amiens MVB termine 2025 en s’imposant enfin à domicile Même si cette haute lutte s’est achevée par un nouveau revers qui n’arrange pas la situation de l’Esclams au classement, c’est sur cette bonne impression laissée durant cette dernière rencontre de l’année civile que les hommes de Christophe Horn devront se reposer pour arracher leur maintien en 2026 alors que la neuvième place n’est qu’à deux points. « Ça doit servir de référence à concrétiser face à des moins bien classés », espère le dirigeant. Et ce dès la reprise après la trêve, à Wasquehal, concurrent direct en bas de tableau (12e).LONGUEAU – LAVAL : 82-84 (a.p.)Quart-temps : 18-18, 18-16, 18-25, 24-19, 4-6 Par Benjamin Radeau Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Basket Longueau (Somme) Basket-ball (Nationale 2 masculine) : Longueau est passé si près d’un énorme coup face au leader invaincu Les Longacoissiens n’ont cédé qu’en prolongation (82-84), ce samedi 20 décembre à Pellerin, contre l’invincible Laval, pour leur dernier match de l’année. Une performance sur laquelle la « Green Team » devra malgré tout s’appuyer pour aller chercher son maintien en 2026.
Les lutteurs sottevillais ont décroché leur troisième titre de champion de France consécutif. Une véritable hégémonie. Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:19 Lecture zen La tension était à son comble, la pression sur ses épaules maximale. En entrant sur le tapis, pour le dernier combat de la soirée, Rakhim Magamadov n’avait pas vraiment d’autre option de la victoire. La victoire d’Islam Abbasov quelques instants plus tôt avait mis Sotteville dans de bonnes dispositions (6-5) mais la marge était trop étroite. Une défaite de l’ancien champion du monde U20 et le titre filait à Sarreguemines, pour un point avérage plus favorable. Heureusement, le Sottevillais tenu son rang et décroché sa deuxième victoire de la soirée (7-5), après avoir permis à sa formation de prendre les commandes de la partie en première mi-temps (3-2). « Mon équipe avait besoin de moi pour la finale et j’ai répondu présent », sourit le jeune homme de 22 ans, qui, blessé n’avait participé ni aux matches de poule, ni à la demi-finale.Les quelque 500 spectateurs de la salle Jean-Adret ont néanmoins beaucoup tremblé lorsque le Normand a fait appel au médecin en cours de combat en se tenant le bras, grimaçant de douleur. « Je me suis refait mal à mon ancienne blessure et un peu au coude aussi. Heureusement, j’ai vu qu’il ne restait qu’une minute, alors j’ai serré les dents et ça a fini par le faire, je suis vraiment content. »« J’étais fatigué, j’avais mal aux jambes… »Rakhim Magamadov pourra donc regagner l’INSEP avec le sentiment du devoir accompli. Islam Abbasov, le renfort étranger de l’équipe, peut également être fier de lui. En effet, l’Azéri est l’autre homme clé du succès normand puisque lui aussi a remporté ses deux combats samedi soir. Alors que les hostilités avaient mal commencé pour les protégés du président Delamare avec la défaite express de Gigi Davidovi lors du premier combat de la soirée, c’est lui qui a lancé véritablement le Stade en remportant le deuxième combat, faisant monter la température dans les gradins. Cela ne s’est pas fait sans mal, mais l’ancien de Schiltigheim a su aller au bout de lui-même. « J’étais fatigué, j’avais mal aux jambes mais je me suis tellement bien intégré dans l’équipe, cela m’a motivé à tenir. En plus, l’ambiance était exceptionnelle, je ne pouvais pas lâcher. » À lire aussi Lutte – Division 1 : à Sotteville, les finales se fêtent en famille ! Ainsi, le Stade Sottevillais a tenu son rang. Devant son public, pour les premières finales de l’histoire de la D1, il a donc décroché son troisième titre de champion de France par équipes consécutif, le cinquième total, au terme d’une soirée qui a tenu toutes ses promesses. « Sarreguemines, c’est un peu notre ennemi juré, mais dans le bon sens du terme, révèle l’entraîneur normand Maxime François. C’est toujours des belles bagarres quand ils viennent ici et à chaque fois, les spectateurs se régalent. En plus, cette fois, le finish va dans notre sens… » Et même si les frères Nakaev se sont tous les deux inclinés, au même titre que Loïc Samen, la formation sottevillaise a montré qu’elle pouvait exister à ce niveau-là. Elle continue d’apprendre. « Avant, on nous disait souvent qu’on avait que des renforts, mais on voit qu’il y a de plus en plus de lutteurs sottevillais dans l’équipe, apprécie le coach seinomarin. Malheureusement, ce soir, il y a eu des défaites, mais cela ne change rien pour la suite. » D’ici là, les Normands vont pouvoir savourer. Par Arthur LANUSSE Lutte – D1 : Rakhim Magamadov offre un nouveau titre à Sotteville-lès-Rouen Vainqueur de ses deux combats, dont le dernier de la soirée, décisif pour le titre, Rakhim Magamadov a fait pencher la balance du côté normand lors des finales du championnat de France par équipes de lutte, samedi 20 décembre 2025.
Le corps de la femme disparue à Étretat dimanche 14 décembre 2025, a été découvert en mer dans l’après-midi du dimanche 21 décembre 2025. - AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:12 Lecture zen L’information a été publiée sur Facebook par Clémentine Cabridain, la fille de Lydie Dec, portée disparu à Étretat dimanche 14 décembre 2025 : « Ma maman a été retrouvée, sans vie, à Étretat, ce dimanche 21 (décembre, ndlr) après-midi ». Tout en ajoutant : « Merci du fond du cœur pour vos partages, mots de soutien et même aides, ma famille et moi sommes extrêmement touchés ». Contactée, la procureure de la République du Havre, Soizic Guillaume, confirme « la découverte du corps en mer à proximité d’Etretat », en indiquant que « l’enquête se poursuit en recherche des causes de la mort ». Consultez l’actualité en vidéo Disparue le 14 décembre 2025Cette Vendéenne de 56 ans était de passage à Étretat, au cours du week-end du 13 et 14 décembre 2025. Elle a été portée disparue à compter du dimanche 14 décembre 2025. Le 19 décembre 2025, sa fille s’était confiée à Paris Normandie confiant qu’« aucune piste n’est écartée. Ce peut être un suicide, une disparition volontaire, un accident, une mauvaise rencontre ». À lire aussi Disparition inquiétante dans l’Eure : un homme de 58 ans recherché par la gendarmerie Par Suzelle GAUBE Disparition de Lydie Dec à Étretat : son corps sans vie découvert en mer Le corps de la femme disparue à Étretat dimanche 14 décembre 2025, a été découvert en mer dans l’après-midi du dimanche 21 décembre 2025.
Mademoiselle Hauts-de-France 2025 était présente au marché de Noël de Beautor. Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:05 Lecture zen La salle polyvalente de Beautor a accueilli, vendredi 19 et samedi 20 décembre 2025, le traditionnel marché de Noël de la commune. Organisé par la municipalité et le CCAS, cet événement a réuni plus d’exposants que l’année précédente. Bijoux artisanaux, décorations festives, produits gourmands locaux, objets en bois ou tissus, charcuterie : les stands proposaient une variété d’idées cadeaux pour les fêtes. À lire aussi Carte : retrouvez les marchés de Noël 2025 dans l’Aisne Malgré cette offre élargie, plusieurs vendeurs ont constaté une fréquentation en baisse par rapport à 2024. « Il y a eu du monde par moments, mais globalement moins de passage », confie l’un d’eux. Les conditions météorologiques ont peut-être découragé certains visiteurs, tout comme la concurrence d’autres marchés dans les communes voisines.Mademoiselle Hauts-de-France en invitée d’honneurUn temps fort a toutefois marqué ce week-end : la présence de Luna Diot, Mademoiselle Hauts-de-France 2025 qui participera à l’élection nationale en 2026. Pure Beautoroise, la jeune femme a tenu à être présente sur cet événement local. Elle a déambulé parmi les stands, pris des photos avec les visiteurs et échangé avec les exposants. « C’était important pour moi de venir soutenir le marché de ma commune », a-t-elle déclaré. Sa venue a apporté une touche de convivialité et attiré quelques curieux supplémentaires. Vin chaud, crêpes et animations pour enfants ont complété l’ambiance. Même si l’affluence n’a pas été au rendez-vous, les organisateurs gardent le sourire et espèrent un retour en force du public l’hiver prochain. Par L.L. (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Beautor (Aisne) Plus d’exposants, mais moins de visiteurs au marché de Noël de Beautor Vendredi 19 et samedi 20 décembre 2025, la salle polyvalente de Beautor a accueilli son marché de Noël. L’événement a compté plus d’exposants que l’an dernier, mais les vendeurs ont regretté une baisse de fréquentation.
L’entreprise Normov, située à Longroy, le long de la RD49 (axe Eu-Blangy), appartient au groupe Diverre. Elle a été placée en liquidation judiciaire et a fermé ses portes le 12 décembre 2025. - (Photo Karine Néel) Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:04 Lecture zen À une semaine de Noël, c’est un nouveau coup dur pour la vallée de la Bresle. Deux usines, qui comptaient au total 22 salariés, ont fermé définitivement leurs portes vendredi 12 décembre 2025.Ces deux PME dépendaient du groupe Diverre, basé à Dargoire, dans la Loire, et placé en redressement judiciaire en juillet dernier. Le 27 novembre, le tribunal de commerce de Saint-Étienne a prolongé la procédure pour les trois entreprises implantées dans cette région Auvergne-Rhône-Alpes, mais annoncé la liquidation des deux sites du nord, avec poursuite de l’activité pendant quinze jours. Les premières lettres de licenciement sont arrivées dès le samedi 13 décembre.Deux repreneurs potentiels retoquésIl s’agit de Normov, à Longroy, et de BMV, à Bouttencourt, toutes deux spécialisées dans la fabrication de moules pour des verreries et des cristalleries. L’entreprise Normov, anciennement Moulin, était classée entreprise du patrimoine vivant. Cette moulerie travaillait notamment pour de grandes cristalleries. L’entreprise Normov, située à Longroy, le long de la RD49 (axe Eu-Blangy), avait été reprise par le groupe Diverre en 2016, après une première liquidation judiciaire. À lire aussi Naufrage au large de Dieppe : une subvention pour les marins « On l’a très mal pris, confie un salarié de Normov. Pour ma part, j’étais convaincu qu’on allait continuer, car on avait du travail ! D’ailleurs, à la fin, on était limite à faire des heures supplémentaires. Quand on a appris la fermeture, ç’a été la douche froide. » D’autant que, rappelle le maire de Longroy, Jean-Pierre Troley, deux repreneurs potentiels s’étaient fait connaître, et s’étaient même déplacés à Saint-Étienne pour présenter leurs offres. « L’un d’eux avait un projet intéressant (avec réunion des deux entités à Longroy, NDLR), mais il n’a pas été retenu, il a été à peine écouté. »On a été sacrifiés pour sauver les autres.Un salarié de NormovPour un proche du dossier, le jugement aurait été différent si l’affaire avait été étudiée par le tribunal de Dieppe. Ce salarié licencié abonde et pousse la critique. Il dénonce la mauvaise gestion du groupe et le manque d’investissements, et il affirme : « On a été sacrifiés pour sauver les autres. » Il pointe également les conditions de départ : « Nous n’avons plus de mutuelle, nos salaires de novembre ont été payés en partie le 9 ou 10 décembre, et nous devions avoir le reste, par les AGS, aujourd’hui (mardi 16 décembre, NDLR). »« Pillage de salariés »Pascal Bandelier, patron de Diverre, qui avait repris Normov en 2016 (après une première liquidation) et BMV en 2018, se défend. Son groupe a obtenu un délai supplémentaire mais n’est pas tiré d’affaire, insiste-t-il. Il déplore aussi la fermeture des sites normando-picards. Mais estime que les offres n’étaient pas à la hauteur : « La première émanait d’un concurrent, et relevait plus de la prédation, elle a été refusée. La seconde était plus intéressante, venait d’un industriel du Vimeu plutôt motivé, mais » elle aurait été modifiée avec un effectif revu à la baisse et moins d’argent injecté. « Cette offre a été jugée insuffisante. Et il aurait fallu mieux défendre le projet auprès du tribunal, qui, du coup, a décidé la liquidation. »Pour le dirigeant, cette issue fatale serait en partie due à une activité verrière peu florissante mais aussi au contexte local avec une « forte concurrence » entre les mouleries de la vallée, et même le « pillage de salariés » : « Moi, je ne suis pas d’ici, ils en ont profité. » Il évoque aussi ses problèmes de trésorerie : « Je me suis retrouvé à cours de liquidités, je ne pouvais plus remettre de l’argent ». Il remercie cependant les clients « qui ne nous ont pas laissés tomber ».« Un savoir-faire unique »En tout cas, tous craignent la perte de compétences. Normov, anciennement Moulin, fondée il y a plus de 70 ans, était classée Entreprise du patrimoine vivant. « Nous travaillons pour de grandes cristalleries, comme Baccarat, Saint-Louis, Lalique. J’ai des collègues qui ont plus de 30 ans d’ancienneté, qui ont acquis au fil du temps une grande expérience, un savoir-faire unique dans ce domaine. »Un point positif cependant : tous estiment que la majorité des salariés devrait retrouver rapidement du travail, en moulerie ou en verrerie. Quant au matériel, il sera mis aux enchères en février 2026. Le bâtiment, lui, reste propriété du groupe. Par Xavier Togni Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Longroy (Seine-Maritime) Bouttencourt (Somme) Fermeture d’usines : 22 emplois supprimés dans la vallée de la Bresle juste avant Noël Avant Noël, la vallée de la Bresle encaisse un choc social brutal. Pourquoi deux PME spécialisées dans la moulerie verrière ont-elles cessé toute activité à Longroy et Bouttencourt ?
Sonia Leman (à droite) avec Sihem Ghars, fondatrice du collectif Incesticide le 10 décembre 2025, à l’Assemblée nationale (Paris). Photo DR Sonia Leman (de dos) a rencontré Sihem Ghars, fondatrice du collectif Incesticide le 10 décembre 2025, à l’Assemblée nationale (Paris). Photo DR Le député guadeloupéen Christian Baptiste a réuni le 10 décembre 2025, les militants anti-inceste. Photo DR Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:03 Lecture zen Le 16 décembre 2025, une proposition de résolution visant à la création d’une commission d’enquête « sur le traitement judiciaire des violences sexuelles incestueuses parentales commises contre les enfants et la situation des parents protecteurs, notamment des mères protectrices » a été présentée en Conférence des présidents de l’Assemblée nationale.Selon nos confrères de LCP (la chaîne parlementaire), « cette proposition de résolution devrait être soumise aux députés au cours de la semaine du 19 janvier 2026. » L’initiative a été portée par le député guadeloupéen Christian Baptiste. Ce dernier a invité, avec l’appui du collectif Incesticide, le 10 décembre dernier, une Picarde à l’assemblée nationale : Sonia Leman. Consultez l’actualité en vidéo Le collectif Allez les tricoteuses mobiliséesCette habitante de Pinchefalise (Boismont) est membre active du collectif national Allez Les tricoteuses. Elle s’est engagée dans le militantisme après que ses deux petits-enfants ont été victimes de faits d’inceste commis par leur père et beau-père. Le 10 décembre, elle confie avoir pu échanger avec « des parents protecteurs, le collectif Incesticide, des avocats et des victimes ». À lire aussi Un jeune de 18 ans meurt dans un accident près d’Abbeville, les deux passagers en urgence absolue La mamie militante va poursuivre ses actions avec les Tricoteuses de France en 2026.Le 119 est le numéro national d’appel de l’enfance en danger. Par Alexandra Mauviel Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Abbeville Boismont (Somme) Inceste : Sonia Leman, militante de la baie de Somme, reçue à l’Assemblée Nationale Sonia Leman, membre du collectif Allez les tricoteuses et habitante de Pinchefalise, a été invitée à l’Assemblée nationale par le député guadeloupéen Christian Baptiste.
Le bâtiment est situé sur la D 6015 non loin de l’église de Gainneville. - Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:01 Lecture zen Pour Gainneville c’est un enjeu patrimonial, c’est aussi devenu un enjeu politique. Trois mois avant les élections municipales, le devenir de l’ancienne mairie école cristallise l’opposition entre Martial Galopin, maire sortant et candidat à sa réélection, et Joséphine Landormi, conseillère municipale d’opposition décidée à lui ravir la mairie. Consultez l’actualité en vidéo Cette dernière a lancé une pétition en ligne, mi-novembre 2025, pour demander à la municipalité de renoncer à la démolition programmée de ce bâtiment construit avant 1870. « Ce patrimoine il faut le conserver, assène l’élue. De nombreux habitants du village ont fréquenté l’école, qui a également hébergé des associations… Ce bâtiment n’a pas été entretenu comme il aurait dû l’être, et par simplicité le maire préfère le vendre au plus offrant et le faire détruire. » Pour Joséphine Landormi, conseillère municipale à Gainneville et tête de liste aux prochaines élections municipales, la sauvegarde de l’ancienne mairie école est une question de volonté politique. - Romain Huynh/Paris Normandie « Je n’endosserai pas l’inaction et l’incompétence de mes prédécesseurs. »Martial Galopin, Maire de GainnevilleUn discours qui ne passe pas, du côté de l’actuelle majorité municipale. Martial Galopin, premier magistrat de Gainneville depuis 2020, ne manque pas de rappeler que sa concurrente pour le prochain scrutin a été adjointe à l’urbanisme, de 2014 à 2020. « C’est facile de critiquer, rétorque-t-il. J’ai envie de demander : vous étiez au pouvoir, que n’avez-vous pas agi ? Je prends la responsabilité des années de mon mandat, mais je n’endosserai pas l’inaction et l’incompétence de mes prédécesseurs. » Et le maire de lister les dommages dans le bâtiment qui empêchent, d’après lui, toute réhabilitation. « Il y a du plomb, de l’amiante, des insectes, du salpêtre, de la mérule… on ne peut pas remettre en état, sauf à engager des sommes qui ne sont pas dans les moyens de la commune. On parle de plusieurs millions d’euros. » On retrouve la première mairie sur les cartes postales anciennes - Archive Paris Normandie S’il y a un sujet sur lequel les deux parties s’entendent, c’est l’attachement des Gainnevillais à leur ancienne mairie école. « Humainement parlant, il y a un attachement à ce bâtiment, affirme Martial Galopin. Et quand on peut sauver un bâtiment, on le fait. Je me souviens bien du moment où j’ai dû prendre cette décision, c’est un crève-cœur. Mais à un moment, la raison doit prendre le pas. »Des changements, quoi qu’il en soitPour son opposante, les moyens financiers qu’il faudrait déployer pour sauver le bâtiment sont surtout une question de volonté politique. « Quand on a la volonté de sauver le patrimoine, on peut mobiliser des fonds de concours par exemple, soutient-elle. Dans toutes les communes c’est un sujet. » Alors, Joséphine Landormi propose, avec sa liste « Ensemble pour Gainneville », un « appel à projet qui permettrait que la population donne une seconde vie au bâtiment. La priorité étant de conserver la façade. »Un projet irréaliste pour le maire actuel. Ce dernier vise aujourd’hui à trouver un aménageur « qui propose un projet qui ne nuira pas aux riverains. Espace de coworking, pépinière d’entreprises… pas d’activité commerciale, en tout cas, car on cherche à développer la centralité commerciale dans le centre-ville. Il s’agit donc de ne pas créer de concurrence. Quoi qu’il en soit, il faudra démolir ou faire démolir, si possible en conservant le fronton de l’ancienne mairie. » À lire aussi Ce qu’ont fait les écoliers d’Étretat sur le terrain de golf de la commune… Quelle que soit l’issue du scrutin de mars 2026, il y aura du changement à cet emplacement stratégique, non loin de l’entrée de Gainneville, sur la D6015. En attendant, les débats promettent d’être vifs entre les forces en présence, autour de la question du patrimoine communal. Par Romain Huynh Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Gainneville (Seine-Maritime) Près du Havre, la démolition programmée d’une ancienne mairie fait débat L’ancienne mairie école de Gainneville, dans un état de dégradation très avancé, fait l’objet d’un projet de démolition par l’actuelle municipalité. Joséphine Landormi, conseillère municipale d’opposition et candidate à la mairie, s’y oppose. Le point sur les arguments des deux parties.
Lors de ce point d’avancement, il a été confirmé qu’il y aura bien deux allers-retours par jour en TGV entre Amiens et Roissy. Mais on ne sait pas encore vers quelle(s) grande(s) destination(s). Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:30 Lecture zen Le projet de barreau ferroviaire Picardie-Roissy poursuit sa route… lentement. Réunis ce vendredi 19 décembre en préfecture de la Somme, les élus ont confirmé une nouvelle échéance pour la mise en service de la liaison entre Amiens et l’aéroport de Roissy : le 10 décembre 2028, affirme le Courrier Picard. Un report d’un an supplémentaire pour un chantier déjà marqué par de nombreux retards.Selon SNCF Réseau, ce nouveau décalage est lié à l’installation du système de signalisation européen ERTMS sur le tronçon en construction dans le Val-d’Oise, destiné à relier l’axe Amiens–Creil–Paris à la LGV Nord. À terme, cette infrastructure doit permettre aux voyageurs picards d’accéder directement au réseau TGV via la gare de Roissy. À lire aussi Caumont : un marché de Noël chaleureux et artisanal Autre confirmation : deux allers-retours quotidiens en TGV entre Amiens et Roissy sont bien prévus, conformément au protocole de 2017, sans que les destinations finales ne soient encore arrêtées. Les élus locaux plaident notamment pour une liaison vers le sud, via Lyon et Marseille.Concernant les TER, le futur cadencement n’est pas encore défini. Il dépendra de l’attribution, en 2026, de la délégation de service public des lignes radiales parisiennes. La Région vise toutefois un total de 28 trains par jour, TGV compris. À lire aussi Roupy : Les Rotors de l’Aisne prennent leur envol Estimé désormais à 600 millions d’euros, le barreau Picardie-Roissy reste présenté comme un levier majeur de développement économique et d’attractivité pour le territoire. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Hauts-de-France Amiens Picardie Xavier Bertrand Train : le barreau Picardie–Roissy ne verra pas le jour avant décembre 2028 Le chantier du barreau ferroviaire du Val-d’Oise ne sera pas achevé avant fin 2028. Un nouveau décalage d’un an, causé par des contraintes techniques de signalisation, retarde l’ouverture de la liaison vers Roissy.
Plusieurs véhicules de pompiers ont été mobilisés à l’Espace Coty au Havre, dimanche 21 décembre 2025 dans l’après-midi. - Photo Romain Huynh/Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:29 Lecture zen De nombreux véhicules de pompiers étaient devant l’espace Coty au Havre, dimanche 21 décembre 2025, en milieu d’après-midi. Alors que de nombreux Havrais étaient dans l’établissement pour faire leurs courses, une vingtaine de pompiers sont intervenus vers 15h55, au niveau du « travellor », selon Lucille Martinez, la directrice de l’Espace Coty que Paris Normandie a contacté. Le travellor est comme un escalator, mais il est muni d’un tapis et non de marches. Consultez l’actualité en vidéo Un « départ de feu sur un transformateur électrique d’un escalier mécanique » Une vingtaine de pompiers sont intervenus au niveau d’un « travellor » à l’Espace Coty au Havre, dimanche 21 décembre 2025, dans l’après-midi. - Photo Arnaud Rouxel/Paris Normandie De nombreux pompiers ont été mobilisés à l’Espace Coty au Havre, dimanche 21 décembre 2025. - Photo Arnaud Rouxel/Paris Normandie Selon le service départemental d’incendie et de secours de Seine-Maritime, ils ont été appelés pour un « dégagement de fumée au niveau d’un escalator. Le service de sécurité a percuté un extincteur. » Une fois arrivés sur les lieux, ils ont constaté un « départ de feu sur un transformateur électrique d’un escalier mécanique reliant le niveau -2 au -1. L’extinction par le personnel de sécurité au moyen d’un extincteur. » À lire aussi Incendie dans une école au Havre : une enquête ouverte pour destructions volontaires par incendie Pas d’évacuation du publicLes pompiers ont réalisé des « reconnaissances et la sécurisation de la zone d’intervention ». Ils ont également procédé à de la « détection liée au dégagement de fumée ». La situation n’aura « pas nécessité l’évacuation du public », poursuit le Sdis.Contactée, la directrice de l’Espace Coty indique qu’une « courroie du travellor a émis de la fumée » et que « par sécurité », ils ont « contacté les pompiers ». Par Suzelle GAUBE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Havre (Seine-Maritime) Pourquoi de nombreux pompiers sont intervenus à l’espace Coty au Havre ? Une vingtaine de pompiers sont intervenus à l’espace Coty au Havre, dimanche 21 décembre 2025 dans l’après-midi. Que s’est-il passé ?
Le père Noël prêt à distribuer cadeaux et colis. Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:22 Lecture zen Dimanche 21 décembre, la commune de Mennessis a célébré Noël avec sa traditionnelle distribution de cadeaux et de colis. Dès le matin, les élus et bénévoles s’étaient affairés dans la salle des fêtes pour trier et charger cadeaux, friandises et colis dans la calèche du père Noël, prête à parcourir le village. Les enfants attendaient impatiemment la distribution de cadeaux. Préparation dans la salle des fêtes. La calèche chargée de nombreux cadeaux et colis. Les enfants attendaient impatiemment la distribution de cadeaux. Le père Noël encourage les chevaux ? C’est parti pour la distribution de surprises. En route vers les rues du village. À partir de 9 heures, le convoi s’est mis en route pour livrer 53 colis aux anciens et 76 cadeaux aux enfants. La cloche a résonné dans les rues endormies, rythmant une distribution parfaitement orchestrée sur trois heures pour limiter l’attente devant les maisons.Un moment de partage apprécié de tousLes enfants trépignaient d’impatience derrière les portes, tandis que les familles savouraient ce moment convivial. Rue après rue, le maire Antoine De Abreu, vêtu pour l’occasion du costume du père Noël, et Annie Floquet, première adjointe, ont pris place dans la calèche. Le reste des élus et le personnel communal ont assuré la sécurité et la bonne organisation de la distribution. À lire aussi Mennessis : le Père Noël en calèche à la rencontre des habitants Les nouveaux habitants ont particulièrement apprécié cette immersion dans la vie du village. « Cela fait un an que nous avons emménagé à Mennessis. La commune est dynamique et propose de nombreuses animations pertinentes, nous sommes ravis », a témoigné une maman venue assister au départ du convoi.Cette année encore, les compliments ont afflué pour récompenser les efforts des élus, des employés communaux et des bénévoles, qui ont permis à la magie de Noël de toucher toutes les maisons du village. Par V.S. (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Mennessis (Aisne) Le père Noël envahit les rues de Mennessis, chargé de cadeaux La traditionnelle distribution de cadeaux pour les enfants et de colis pour les aînés a une nouvelle fois rassemblé petits et grands dans les rues de Mennessis ce dimanche 21 décembre 2025. Photo
Lors d’une visite de chantier au sein de la nef de l’église, à Romilly-la-Puthenaye. Depuis l’incendie qui a ravagé l’édifice en avril 2021, charpente, couverture et mobilier sont partis en fumée. - Photo Paris Normandie Vue de l’un des pignons de la nef - Photo Paris Normandie L’édifice ceint de son échafaudage Layher, véritable dentelle de métal, monté par Normandie Échafaudage. - Photo Paris Normandie Vue du toit de la sacristie accolée au cœur de l’église. - Photo Paris Normandie Les rampants des pignons ont été retravaillés. - Photo Paris Normandie L’intérieur d’une maçonnerie, consolidée par un mortier de chaux armé de silex. - Photo Paris Normandie Bertrand Renaudon, Jean-Bernard Juin et Hervé Maurey, lors d’une récente visite de chantier. - Photo Paris Normandie Frédérique Petit, architecte du patrimoine en charge du chantier en pleine discussion. - Photo Paris Normandie Plusieurs prestataires accompagnés du maire, Jean-Bernard Juin. - Photo Paris Normandie Jean-Bernard Juin, le maire de Romilly-la-Puthenaye. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:17 Lecture zen Depuis cet été, l’église de Romilly-la-Puthenaye, dévastée par un incendie en 2021, est en cours de restauration. Pour raisons contractuelles, l’agenda du chantier obéit à un rythme très soutenu. À lire aussi EN IMAGES. Après l’incendie de son église, Romilly-la-Puthenaye pense déjà à sa restauration La réfection de l’église Saint-Pierre a débuté et tout doit être bouclé en juin 2026 : une gageure, vu l’étendue des dégâts suite au désastre d’avril 2021, quand les flammes ravagèrent l’édifice. Seules les pierres ont survécu. Charpente, couverture, mobilier, tout est parti en fumée. En plus de la consternation pour les 330 habitants du village, ce fut une longue bataille administrative pour le maire Jean-Bernard Juin et ses élus avant de commencer la restauration, ce juillet. « Des réunions à foison pour monter le dossier, ce qu’il nous a fallu de patience ! » explique l’édile.Groupama ne voulait rien entendre mais nous avons obtenu un délai d’un an. »Hervé Maurey, Sénateur de l’EureFrédérique Petit, l’architecte du patrimoine en charge du projet à 3 M d’€, témoigne : « nous avons fait un très long travail de curage en amont afin de régler les questions d’archéologie et d’éviter les cavités souterraines ». Et l’assureur de s’impatienter en exigeant la fin du chantier en juin 2025. Face à cette perspective intenable, l’intervention d’Hervé Maurey et l’accompagnement du sous-préfet ont été salutaires : « Groupama ne voulait rien entendre mais nous avons obtenu un délai d’un an » explique le sénateur, une échéance difficile à tenir mais jouable. Bertrand Renaudon, secrétaire général de la sous-préfecture, ajoute « nous aidons la mairie dans les arcanes administratifs pour qu’elle gagne en temps ».Cavités dans les mursVaisseau de pierre du XVIe siècle, ouvert aux quatre vents sous son échafaudage, l’église voit ses maçonneries rajeunir, premier avancement de ce chantier de 400 m². « Certains murs comportent des cavités : nous les comblons au mortier de chaux. Le même liant sert en « coulis » pour traiter les manques des parements », détaille Valentin Huberdeau, de Normandie Rénovation. Beaucoup de blocs ont été remplacés, leurs nervures ou embrasures tracées, des corniches ou colonnettes sculptées ou reprises, des baies gothiques restaurées sur pied, etc. « Nous connaissons un souci avec des pignons légèrement désaxés entre eux », précise Frédérique Petit, « sans oublier des interventions hasardeuses datées du XIXe siècle qui compliquent la tâche ». À lire aussi Deux ans après l’incendie, il restaure le coq de l’église de Romilly-la-Puthenaye Reste la charpente, prévue métallique pour des raisons de coût et de rapidité, et la couverture : la nef et le cœur recevront des tuiles, la sacristie et le clocher, de 25 m de haut, des ardoises. Quant aux futurs vitraux – 15 000 € le châssis, ils sont hors budget. Jean-Bernard Juin tablait sur une souscription à la Fondation du patrimoine à hauteur de 100 000 €, « mais nous n’en avons pas récupéré la moitié », avoue-t-il. Un programme bien chargé, donc, d’ici à juin 2026. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Journées du patrimoine Romilly-la-Puthenaye (Eure) Eure : pourquoi la restauration de cette église incendiée doit être achevée en juin 2026 Il y a quatre ans, l’église de Romilly-la-Puthenaye était ravagée par un incendie. La réfection de l’église Saint-Pierre a débuté et tout doit être bouclé pour juin 2026. Un calendrier serré pour un chantier mené au pas de course. Video
Entre 200 et 300 raveurs se sont rassemblés sur l’Ile Lacroix, dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 décembre 2025. - Stéphanie Peron Clément Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:08 Lecture zen Malgré un arrêté pris par la préfecture de Seine-Maritime, vendredi 19 décembre 2025 portant sur : « l’interdiction de rassemblement festif à caractère musical de type teknival, rave ou free-party », une rave party a été organisée dans Rouen.Les fêtards sont partis vers 11hDimanche 21 décembre, peu après minuit, les premiers raveurs ont été repérés sur l’Ile Lacroix. « L’IGPN a mis en place un dispositif autour du site et entamé le dialogue avec les raveurs. Le dialogue a été bon. Les raveurs sont partis vers 11h du matin », confirme la préfecture. À lire aussi À Oissel, le chantier de modernisation de la gare, reporté de plusieurs années Entre deux cents et trois cents personnes s’étaient rassemblés au cœur de Rouen afin de danser sur de la musique techno. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Entre 200 et 300 raveurs sur l’Ile Lacroix, à Rouen, cette nuit Une rave party a eu lieu cette nuit, sur l’Ile Lacroix, malgré un arrêté préfectoral interdisant ce type de rassemblement. Les fêtards ont quitté les lieux dans la matinée.
Le père Noël est arrivé par la mer… - Photo Mathis Helie … mené par deux chiens de la SNSM - Photo Mathis Helie Il avait hâte de prendre des photos - Photo Mathis Helie Tous les enfants se sont prêtés au jeu de la photo - Photo Mathis Helie Les adolescents aussi - Photo Mathis Helie Et même les plus grands - Photo Mathis Helie Avant son arrivée, le concert des Brailleurs de Tubes Populaires a eu lieu - Photo Mathis Helie Certains spectateurs ont eu la chance de chanter - Photo Mathis Helie Avant de partir rejoindre le Père Noël - Photo Mathis Helie Après les photos, le Père Noël est reparti préparer les cadeaux - Photo Mathis Helie Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:02 Lecture zen Dimanche 21 décembre 2025, le Père Noël est arrivé au Tréport par la mer, accompagné des bénévoles de la station SNSM et l’association des anciens pompiers de la commune. Consultez l’actualité en vidéo Sous les yeux émerveillés des enfantsLe tout sous les yeux émerveillés de la cinquantaine d’enfants présents sur place. Chacun a eu le droit à ses photos et à ses bonbons pour les plus gourmands, y compris les adultes. À lire aussi Abbeville : les Pères Noël sont descendus de leur moto Le mauvais temps a quelque peu gâché la fête. Principalement la déambulation prévue à 14h30 depuis le Forum, finalement annulée. À la place, le concert des Brailleurs de Tubes Populaires a eu lieu sur la terrasse du restaurant La Marine, située sur le quai François 1er. De quoi réchauffer les cœurs et les corps de la trentaine de courageux venus braver la pluie avant les fêtes de fin d’année. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Tréport (Seine-Maritime) Au Tréport, le Père Noël arrive par la mer et émerveille petits et grands malgré la pluie Dimanche 21 décembre 2025, le Père Noël a fait une arrivée remarquée au Tréport en débarquant par la mer, accompagné des bénévoles de la SNSM et de l’association des anciens pompiers.
L’État a demandé la fermeture du pont de Moimont fin 2024. - Photo Benjamin Merieau Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:00 Lecture zen Nicole a eu bien du mal à retrouver ses anciens réflexes. Cette habitante des Forges, un hameau situé à un kilomètre du centre de Milly-sur-Thérain, avait pris l’habitude, comme ses voisins, de faire le détour par Herchies pour gagner le cœur de la commune, depuis la fermeture du pont, en mauvais état, fin 2023. Ce vendredi matin 19 décembre, la retraitée a pris de nouveau la déviation, alors que le pont, refait, a rouvert depuis deux jours. « J’ai pris tout droit, s’amuse-t-elle. Ça fait quand même moins de route avec la voiture puisque quand le pont était fermé, ça faisait 5 km aller, 5 km retour. Là, on n’a même plus deux kilomètres. »Une rénovation à 400 000€« La reconnaissance est unanime avec cette réouverture, les habitants des Forges ou de la commune d’Herchies devaient faire un détour de cinq kilomètres pour se rendre à la boulangerie ou bien à l’école. C’est un beau cadeau de Noël », juge le maire Christophe de L’Hamaide. Un cadeau à 400 000 €, qu’il a fallu financer et faire financer. « 60 % ont été pris en charge par le programme national des ponts de l’État, et le Département a participé à hauteur de 20 %, chiffre le maire. Ce qui nous a laissés 85 000€ à financer. » Le pont des Forges a pu rouvrir ce mercredi 17 décembre après plus de deux ans de fermeture. - Photo Benjamin Merieau Les travaux sont la conséquence d’une grande opération d’audit des ponts voulue par l’État et menée par le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema), qui avait révélé qu’un ouvrage sur cinq en France se trouve en mauvais état, un chiffre qui grimpe à un sur trois dans les Hauts-de-France.Douze ponts à Mily-sur-ThérainÀ Milly-sur-Thérain, avec douze ponts et de nombreux cours d’eau, difficile de ne pas être concerné. « Nous avons le Thérain, le Petit Thérain, le ru de la Pâture », liste le maire. Si bien que l’État a demandé la fermeture du pont de Moimont, un autre hameau de la commune. « Il a été déclaré très dangereux et le préfet m’a contacté pour le faire fermer », confirme Christophe de l’Hamaide. Reste désormais à réunir les financements pour une rénovation qui devrait s’annoncer coûteuse.À moins que les riverains ne s’habituent trop au calme avec la fermeture de cette route menant vers Saint-Omer-en-Chaussée et la très passante départementale 901. « On est beaucoup plus tranquilles depuis la fermeture du pont, assure ce riverain. Moi, je préférerais que ça reste comme ça ! Les voitures descendaient par ici pour éviter les radars et les gens de Formerie ou Crillon passaient par là. À force, ils nous ont bousillé le pont. Mais cette fermeture, pourvu que ça dure ! » Par Benjamin Merieau Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Milly-sur-Thérain (Oise) Milly-sur-Thérain, la commune aux 12 ponts, n’en a pas fini avec la rénovation de ses ouvrages d’art Si le pont des Forges a pu enfin rouvrir mercredi 17 décembre après plus de deux ans de fermeture et des travaux, celui de Moimont devra attendre. Une situation symptomatique de l’état des ouvrages d’art sur le territoire.
Didier Davenne, vice-président de l’association Moulin cœur de patrimoine (à gauche), en compagnie de Marie Delattre, épouse de Bernard Delattre, ancien maire de Pozières décédé, et Yves Potard, président Digger Cote 160 (à droite). - Photo Lilou Boulanger La plaque envoyée par les Australiens a été encadrée dans de l’eucalyptus utilisé en Australie. La plaque a ensuite été bénie par Monseigneur Le Stang, évêque d’Amiens - Photo Lilou Boulanger Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:59 Lecture zen La messe qui s’est tenue à Pozières, ce dimanche 21 décembre 2025, a été l’occasion de témoigner d’un profond hommage pour Bernard Delattre, l’ancien maire du village décédé, il y a tout juste un an.Cet ancien édile est à l’origine de la création du mémorial des animaux morts pendant la Première Guerre mondiale. Monument qui se trouve sur la D929 à la sortie du village, en direction de Bapaume. « À l’époque, il n’y avait pas ou très peu de mémoriaux pour les animaux. Alors, quand les Australiens ont demandé à Bernard Delattre pour occuper un espace sur le terrain du parc du Moulin pour le créer et le financer, il a tout de suite accepté », raconte Didier Davenne, vice-président de l’association Moulin cœur de patrimoine.Une plaque commémorative envoyéeEn effet, les Australiens et le village de Pozières entretiennent des liens étroits depuis de nombreuses années. En cause ? La Première Guerre mondiale qui a ravagé les troupes dans le territoire. Au total, 23 000 Diggers (surnom désignant les soldats néo-zélandais et australiens) sont tombés dans le village lors de la Bataille de la Somme en 1916, en six semaines. « Les Australiens entretiennent énormément la mémoire de guerre et des soldats tombés ici. Ils ont aidé Pozières à reconstruire l’église par exemple », poursuit Yves Potard, président de l’association Digger Cote 160.Dernièrement, les différentes associations qui s’occupent des lieux ont décidé de retirer la statue de Saint-François d’Assise, saint patron des animaux, du mémorial pour laisser la place aux animaux et non aux humains ou à la religion. « Comme un héritage pour Bernard Delattre, on a mis la statue en l’église », poursuit Didier Davenne. Consultez l’actualité en vidéo Cet été, les Australiens, à travers l’association Awamo (Australian War Animal Memorial Organisation), ont décidé d’aller plus loin. Ils ont envoyé une plaque commémorative en bronze à l’effigie du saint patron des animaux et en hommage à Bernard Delattre, avec qui ils entretenaient des liens réguliers.Un hommage discretMoulin cœur de patrimoine et Digger Cote 160 ont décidé d’encadrer la plaque avec du bois. « L’essence utilisée est australienne, c’est de l’eucalyptus. Ça a été fabriqué par Rémi et Cyril des Ateliers des Boisseliers dans la manufacture du Coquelicot de Florian Lefèvre. »Et pour que la plaque puisse être installée dans l’église, il a fallu qu’elle soit bénie. « On a demandé à Monseigneur Le Stang (l’évêque d’Amiens) de le faire, quand il est venu à Albert, le 23 novembre dernier. » À lire aussi Pozières : l’hommage aux animaux morts « dans le même flot absurde » de la guerre Ce dimanche 21 décembre, un an après la disparition de l’ancien maire, c’est un hommage discret mais important aux yeux des associations et de sa femme, qui lui a été rendu au terme de la messe. Lorsque les Australiens reviendront à Pozières, ils pourront retrouver leur offrande qui trône dans l’église près de l’autel. Par Lilou Boulanger Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Pozières (Somme) Un hommage à Bernard Delattre, l’ancien maire décédé de Pozières envoyé par les Australiens Une plaque commémorative de Saint-François d’Assise a été envoyée par les Australiens en hommage à Bernard Delattre, l’ancien maire de Pozières, décédé. Elle a été installée dans l’église dimanche 21 décembre.
Sabine, la présidente de l'association (à gauche) accompagnée de Francine, une bénévole, admirent le stand de scrapbooking Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:57 Lecture zen La huitième édition du marché de Noël organisée par l’association Les Amis de la Vieille Église de Caumont (AVEC) a tenu une nouvelle fois ses promesses, ce week-end, avec la venue de quinze exposants issus de l’artisanat local.« Tous les fruits sont issus de mon jardin »Durant deux jours, les nombreux visiteurs se sont laissés tenter par les produits et réalisations faits main, étalés dans le chœur illuminé de la vieille église. Des cartes de vœux, des boîtes à stylos ou des albums photos réalisés avec la technique du scrapbooking, des confections en tissu, des bijoux, des santons ou encore des crèches composées d’éléments naturels envahissaient les étals. Marie-Christine était fière de proposer ses spécialités, dont le vin de fraise. « Tous les fruits sont issus de mon jardin, comme pour les cerises à l’eau-de-vie, la crème de marron, le vin de noix ou le vinaigre de ciboulette », a-t-elle confié.La dégustation du miel du rucher de Sébastien Dalher, de Villequier-Aumont, a également séduit de nombreux flâneurs. La vente de champagne de Jean-Christophe Legendre, de Dormans, était elle aussi de circonstance pour les fêtes. Les bénévoles avaient mis des cases en vente avec une bouteille de champagne pour lot et composé des potées de jacinthes, une fleur symbole d’espoir.À court terme, les bénévoles travaillent sur le projet d’un loto en février ou mars.Dans cette ambiance féérique de Noël, la tradition a été perpétuée grâce à l’interprétation de douze chants de Noël, dont Petit papa Noël ou Douce nuit, par quinze choristes de la chorale A Cappella de Chauny. Seul bémol : l’annulation du lâcher de lanternes en raison des conditions pluvieuses et venteuses. « Il aura lieu lors d’une autre manifestation », a assuré la présidente, Sabine Ledoux. À court terme, les bénévoles travaillent sur le projet d’un loto en février ou mars, en partenariat avec l’association Tous en forme, ainsi que sur la reconduction de la foire aux livres en avril. Par C.G (CLP) Caumont : un marché de Noël chaleureux et artisanal La huitième édition du marché de Noël organisée dans la vieille église de Caumont a rassemblé de nombreux visiteurs autour de l’artisanat local, des traditions et de la convivialité.
La concentration des Dieppois à une heure du coup d’envoi de leur 32e de finale de Coupe de France à Orléans - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:51 Lecture zen Après avoir disputé ses quatre 32e de finale de l’ère moderne à Dieppe (Metz, Nantes, Angers, Laval), le FCD tentera cette fois-ci de faire déjouer les pronostics à l’extérieur, sur la pelouse de l’US Orléans (3e de National) ce dimanche 21 décembre 2025. Consultez l’actualité en vidéo Mais les Harengs pourront compter sur de nombreux supporters, qui ont pris place dans l’un des angles du stade de la Source.Leny Jérôme remplaçantAlors que les locaux aligneront quasiment leur équipe type (Giraudon, El Khoumisti, Khous, Sanchez titulaires), découvrez le onze de départ dieppois : À lire aussi Football – Coupe de France : le FC Dieppe veut continuer à écrire son histoire à Orléans FC DIEPPE : Lefebvre – B. Mendes, Bentayou (cap.), S. Faye – S. Diaby, Beuvain, Antunes, Mbengue – Far, Amrane, Atheba. Par Victorien LENUD Football – Coupe de France : le onze de départ du FC Dieppe dévoilé, les supporters en place Découvrez le onze de départ du FC Dieppe qui affronte Orléans ce dimanche 21 décembre 2025 en 32e de finale de Coupe de France au Stade de la Source (17h30).
Les lampadaires que l’on peut encore voir dans Aumale, et qui posent aujourd’hui de multiples problèmes. Leur remplacement a été acté. La Bibliothèque portera le nom de l’ancien maire, Pierre-Marie Duhamel. Les arbres abattus au captage d’eau vont être remplacés. Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:51 Lecture zen C’est un projet qui a quelques années, mais pour l’instant rien a été fait pour moderniser l’éclairage de la commune qui pose problème, en particulier par sa vétusté.Dans certaines zones de la commune, l’éclairage est limite et des dysfonctionnements sont observés, en particulier, quand les lanternes éclairent en plein jour. Après un diagnostic et des consultations auprès du SDE (Syndicat de l’Énergie 76), je vous demande de voter pour un passage à la technologie LED ». François Sellier, maire d’Aumale, a exposé brièvement les limites d’un l’éclairage actuel insuffisant alors que de nombreuses plus petites communes aux alentours ont oublié depuis longtemps les ampoules à incandescence, plus énergivores et moins efficaces. À lire aussi Le sapin de Noël planté sur la place centrale d’Aumale fait le buzz… Il a donc été voté et décidé, lors du dernier conseil municipal de l’année, de remplacer lampadaires et armoires sur trois années. En 2026, la partie haute de la commune (quartier Sainte-Marguerite, et de la rue Pasteur jusqu’au collège Saint-Joseph) sera concernée. En 2027 et 2028 verront la suite et fin de ce « relampage ».Un reste à charge de 160 000€ environ pour la communePour la première tranche, le SDE finance les travaux à hauteur de 224 891,50 € sur un total de 384 529 €, le reste à charge pour la commune étant de 159 637, 50 €. Consultez l’actualité en vidéo Autre sujet : pour remplacer les arbres abattus pour des raisons de sécurité, en particulier à la station de pompage le long de la D 1 029, des arbres seront réimplantés mais ce ne seront pas des peupliers, leur pousse étant trop rapide.Le maire a également mis au vote, à la suite d’une consultation, le nom proposé pour la bibliothèque municipale. À l’unanimité, celle-ci deviendra « Bibliothèque Pierre-Marie Duhamel », du nom du maire de la commune entre 1989 et 2008, décédé il y a juste un an. « Cela lui revenait un peu car il a été l’instigateur de cet équipement. Situé dans le bâtiment de l’ancienne Caisse d’Épargne, sa création remonte à 25 ans », a souligné le maire. Une cérémonie permettra d’officialiser prochainement cette nouvelle appellation. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Aumale (Seine-Maritime) Aumale va enfin passer à l’éclairage LED Lors du dernier conseil municipal de l’année, mardi dernier, une délibération a été votée afin que la commune soit dotée d’un éclairage plus conforme à ce que l’on peut attendre actuellement.
Le président de la République a dévoilé la construction du futur porte-avions qui remplacera le Charles de Gaulle dès 2038. - AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:47 Lecture zen Emmanuel Macron a donné dimanche le coup d’envoi de la construction du futur porte-avions français destiné à remplacer le Charles de Gaulle et qui doit entrer en service en 2038.« Conformément aux deux dernières lois de programmation militaire, et après un examen complet et minutieux, j’ai décidé de doter la France d’un nouveau porte-avions », a annoncé le chef de l’État français lors du Noël avec les troupes à Abou Dhabi.« La décision de lancer en réalisation ce très grand programme a été prise cette semaine », a-t-il précisé, actant donc sa mise en œuvre.L’annonce du lancement officiel de la construction était très attendue malgré l’impasse budgétaire dans laquelle se trouve le gouvernement, alors que le mur d’investissements nécessaires et l’évolution des menaces mettent le projet sous pression. À lire aussi Retour du service national : que reste-t-il de l’armée en Normandie ? Ce lancement va permettre de passer tous les contrats nécessaires à la réalisation du projet, relève-t-on à l’Élysée.« Je serai le garant de cet engagement » envers les 800 fournisseurs chargés du projet, a ainsi souligné Emmanuel Macron, en précisant qu’il se rendrait sur le chantier de construction en février.« Puissance de notre nation »« Ce nouveau porte-avions sera l’illustration de la puissance de notre nation, puissance de l’industrie, de la technique, puissance au service de la liberté sur les mers et dans les remous du temps », a-t-il martelé.Lui aussi à propulsion nucléaire, le nouveau porte-avions sera beaucoup plus massif que l’actuel. Il fera près de 80.000 tonnes pour environ 310 mètres de long, contre 42.000 tonnes pour 261 mètres pour le Charles de Gaulle. Avec un équipage de 2.000 marins, il pourra embarquer 30 avions de combat.Le risque d’un « choc dans trois, quatre ans » face à la Russie évoqué par les armées fait craindre que les budgets ne filent vers des priorités plus pressantes.De récents propos du chef d’état-major des armées, le général Fabien Mandon, jugeant qu’on « ne peut pas se contenter de reproduire un outil qui a été conçu à la moitié du siècle dernier », semblent mettre aussi en question le concept du porte-avions. À lire aussi Emmanuel Macron aux Émirats pour fêter Noël avec les troupes françaises Le général a notamment souligné le « besoin de permanence à la mer » du bâtiment et sa capacité d’emport de « drones de tous types ».Un seul bâtiment, en l’occurrence le Charles de Gaulle, est disponible 65 % du temps, selon la Marine. Un décalage de la construction et donc de l’entrée en service de son successeur laisserait la Marine sans porte-avions.Une étude menée à l’occasion du prochain arrêt technique majeur du Charles de Gaulle permettra de dire en 2029 si le bâtiment peut être prolongé de quelques années au-delà de 2038, en fonction de l’état de ses chaufferies nucléaires et de sa structure. Par AFP Emmanuel Macron annonce la construction du futur porte-avions, remplaçant du Charles de Gaulle Le président de la République a dévoilé, dimanche 21 décembre 2025 la construction du futur porte-avions qui remplacera le Charles de Gaulle dès 2038.
Très tôt, Jean Malandin a témoigné d’une véritable passion pour l’orgue. - DR Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:44 Lecture zen C’est une figure de la culture normande qui vient de décéder. La Ville de Montivilliers a, en effet, annoncé le 20 décembre 2025, la disparition de Jean Malandin. Cet organiste de renom, titulaire des orgues de Montivilliers, avait 75 ans. Consultez l’actualité en vidéo Jean Malandin est né à Fécamp, le 6 août 1950. Très tôt, il témoigne d’un véritable goût pour la musique. Il est particulièrement doué dans les interprétations aux claviers. On peut même parler de précocité puisqu’il commence le piano à l’âge de 8 ans, puis l’orgue à 12 ans. À lire aussi À Rouen, pourquoi le temple Saint-Éloi est-il recouvert d’échafaudages ? Adolescent, il reçoit diplôme et premiers prix qui l’amèneront rapidement à œuvrer comme organiste à Fécamp, ainsi qu’à la Basilique du Sacré-Cœur de Rouen. Jean Malandin sera titulaire des Grandes Orgues de l’église Saint-Sever, organiste également au Havre à Notre-Dame de Bonsecours. Il est, finalement, nommé sur concours titulaire des orgues historiques de l’église abbatiale de Montivilliers en 2006.Jean Malandin avait commencé le piano à 8 ans puis l’orgue à 12 ans.Parallèlement à sa carrière professionnelle de médecin et à son impressionnant parcours d’organiste, Jean Malandin a également œuvré dans la grande famille des chorales. On lui doit la création et la direction de la chorale de la MJC de Fécamp. Il était lui-même choriste pour la MJC de Rouen. Il a aussi assuré la direction de la chorale universitaire de Rouen et de l’ensemble vocal « A Cœur joie » de Bihorel. Jean Malandin avait assuré la direction de la chorale universitaire de Rouen. - DR Les orgues du MarchéIl aura aussi accompagné à l’orgue l’ensemble Contrechant, la Chorale Saint-Philibert de Montivilliers ou encore la chorale Entasis du Havre et le chœur de Saint Rémy de Dieppe.Très attaché à la cité des Abbesses, Jean Malandin fut le créateur et la cheville ouvrière des concerts estivaux « Les orgues du Marché ». Il partageait sa passion des orgues lors des Journées européennes du patrimoine. Par Philippe Dufresne Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Montivilliers (Seine-Maritime) Rouen (Seine-Maritime) Dieppe Jean Malandin, titulaire des orgues de l’Abbatiale de Montivilliers, est décédé Figure notable de la culture en Normandie, Jean Malandin est décédé à l’âge de 75 ans.
Daren Mosengo signera sa première titularisation Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:41 Lecture zen Entre départ pour la Coupe d’Afrique des Nations (Diaw, Mpasi, Doucouré et Samatta), blessés (Touré, Khadra, Zagadou et Youte) et mise au repos (Seko et Zouaoui), il était écrit que le « onze » de départ serait inédit. Consultez l’actualité en vidéo Avec bien évidemment du neuf à tous les étages. Devant un Paul Argney pour la première fois titularisé avec les pros, Georges Gomis (18 ans) prendra ainsi position dans l’axe d’une défense qui verra Loïc Nego, Thomas Delaine et Arouna Sangante débuter la rencontre.Quetant plus qu’ObougouUn cran plus haut, aux côtés de Rassoul Ndiaye et de Younes Namli, c’est Daren Mosengo (19 ans), apparu quelques minutes cette saison face à Monaco (1re j., 1-3), qui signera sa première titularisation. Enfin sur le front de l’attaque, ligne à trois têtes, Kenny Quetant (19 ans), vu en fin de match lors du récent déplacement à Lyon (16e j., 0-1), fera équipe avec Godson Kyeremeh et Issa Soumaré. À lire aussi Football – HAC : Paul Argney, des hauts, des bas, et la Coupe pour sortir du bois Quant au banc, deux nouveaux s’y installeront, à savoir Yanis Monkolot, défenseur de 16 ans, et Adams Diabaté, milieu de terrain de 20 ans arrivé l’été dernier de Thionville Lusitanos (N2). Les jeunes Noam Obougou (19 ans) et Enzon Koffi (19 ans) seront eux aussi susceptibles d’entrer en jeu.La compo : Argney – Nego, Sangante (cap), Gomis, Delaine – Ndiaye, Mosengo, Namli – Kyeremeh, Quetant, Soumaré Par Benoit DONCKELE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : HAC Football – Coupe de France. Du neuf à tous les étages : le « onze » du HAC dévoilé H-1 avant le coup d’envoi du 32e de finale de Coupe de France opposant le HAC à Amiens (L2), ce dimanche 21 décembre 2025 au Stade Océane. Quel « onze » Didier Digard a-t-il imaginé ?
Le motard, qui allait devenir père pour la seconde fois, a trouvé la mort au guidon de sa moto sur une route rendue dangereuse par des branches. - Photo d’illustration : Paris Normandie. Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:32 Lecture zen À la barre de la chambre des appels correctionnels de Rouen, ce fonctionnaire de la Ville du Havre fait une nouvelle fois part de sa tristesse aux parties civiles assises sur le banc. Pour autant, le propriétaire de ce bois bordant la route où, le 2 juillet 2021, à Rogerville, un presque quadragénaire a perdu la vie au guidon de sa moto, le redit : « Je ne suis pas responsable de sa mort. »Le prévenu, petite cinquantaine, avait acheté ce terrain plusieurs années plus tôt avec l’espoir de le lotir. L’affaire tombe à l’eau. « Je n’y ai jamais mis les pieds et je ne l’ai pas entretenu, c’est exact », admet-il. Mais pour sa défense, le propriétaire rappelle que jamais la mairie ne l’a enjoint à élaguer les branches qui dépassent sur cette route sinueuse et réputée glissante.Longue lianeA fortiori cette longue liane dans laquelle le motard s’est trouvé pris avant de perdre le contrôle de sa Ducati et de décéder en fin de journée. La victime allait être père pour la seconde fois. Hasard des douloureuses circonstances, la mairie lui avait proposé de racheter son emprise trois jours avant le drame.L’élagage aurait été abordé, voire sous-entendu dans la conversation. Le propriétaire ne s’en souvient pas : « En aucun cas, la mairie m’a dit que la route était dangereuse à cause de mes branches. »La maire de Rogerville a, elle, été définitivement condamnée à six mois de prison avec sursis en février 2025. Car, selon les magistrats du tribunal correctionnel havrais, sa responsabilité était également engagée dans cet accident.« Cette mort-là aurait pu être évitée »« Nul n’est censé ignorer la loi », tance pour sa part l’avocat général à l’adresse du prévenu. Tancrède Scherf requiert la même peine (pour homicide involontaire) délivrée fin 2023 : six mois de prison avec sursis simple. Le ministère public le concède : le propriétaire n’a pas tué le motard. Mais sa négligence, oui. « Sa faute est caractérisée », conclut le magistrat.« Cette mort-là aurait pu être évitée », affirme Me Aurélie Simon-Barruer. Au nom d’une partie civile, elle demande à la cour de confirmer la première sentence. Me Mirya Le Petit, également pour la famille du défunt, ne cache pas s’étonner de la position du propriétaire : « Comment peut-on dire : “parce que je ne m’occupe pas de mon bois et qu’on ne me l’a pas demandé, je ne suis pas responsable” ? »Ce qu’on lui reproche relève d’une amende. »Me Guillaume Routel, avocat du propriétaireC’est là que son avocat sort une carte maîtresse et inattendue : le Code de la voirie routière. Juridique, technique et tonique, Me Guillaume Routel fait la démonstration de l’innocence de son client dans le volet pénal.« Pas un délit pour homicide involontaire »« Ce que qu’on lui reproche relève d’une amende mais sûrement pas d’un délit pour homicide involontaire. Il n’y a pas de faute caractérisée !, avance le jour de la seconde audience, fin octobre 2025, le conseil havrais. Comment lui reprocher que ne pas avoir élagué son bois allât provoquer un décès puisqu’il n’en avait pas conscience ? »Me Routel balaie le manquement au devoir de sécurité, la funeste impéritie et l’incurie au long cours ; plaide la relaxe. Il l’obtient le lundi 15 décembre 2025 après que la cour se soit accordée deux mois avant de rendre son arrêt. Par Guillaume LEJEUNE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Rogerville (Seine-Maritime) Le Havre (Seine-Maritime) Rouen (Seine-Maritime) Motard tué à Rogerville : le propriétaire du bois relaxé Justice. Condamné une première fois pour avoir involontairement provoqué le décès d’un jeune père de famille, ce prévenu a pu compter sur son avocat devant la cour d’appel rouennaise, mi-décembre.
AFP/MARINE NATIONALE Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:31 Lecture zen Cette déclaration a été faite lors de la traditionnelle célébration de Noël avec les troupes françaises, à Abou Dhabi.« Conformément aux deux dernières lois de programmation militaire, et après un examen complet et minutieux, j’ai décidé de doter la France d’un nouveau porte-avions », a déclaré le président de la République. Macron a précisé que « la décision de lancer en réalisation ce très grand programme a été prise cette semaine », entérinant ainsi le début du projet malgré un contexte de fortes contraintes budgétaires.Un porte-avions plus imposant et à propulsion nucléaireSelon l’Élysée, le lancement de ce programme va permettre de passer les contrats nécessaires avec les quelque 800 fournisseurs impliqués dans le projet. Emmanuel Macron a promis qu’il serait « le garant de cet engagement » et a annoncé sa visite sur le chantier de construction dès février.Le futur bâtiment, lui aussi à propulsion nucléaire, sera sensiblement plus imposant que le Charles De Gaulle. Il atteindra près de 80.000 tonnes et mesurera environ 310 mètres, contre 42.000 tonnes et 261 mètres pour son prédécesseur. Doté d’un équipage de 2 000 marins, il pourra accueillir jusqu’à 30 avions de chasse.Le Charles De Gaulle disponible 65 % du tempsLe projet reste surveillé de près par la hiérarchie militaire, alors que des investissements massifs et de nouvelles priorités sont à l’étude face aux menaces qui évoluent, notamment celles venant de Russie. Le chef d’état-major des armées, Fabien Mandon, considère qu’« on ne peut pas se contenter de reproduire un outil conçu à la moitié du siècle dernier ». Il souligne également « le besoin de permanence à la mer » et la nécessité pour le futur bâtiment de pouvoir embarquer « des drones de tous types ».Aujourd’hui, la Marine nationale ne dispose de son unique porte-avions, le Charles De Gaulle, que 65 % du temps. Un retard dans la construction du nouveau bâtiment risquerait de laisser la flotte sans porte-avions en service, un scénario envisagé par la Marine.En vue de cette échéance, une étude aura lieu lors du prochain arrêt technique majeur du Charles De Gaulle, afin de déterminer d’ici 2029 si sa durée de vie pourra être prolongée au-delà de 2038, en fonction de l’état de ses chaufferies nucléaires et de sa structure globale. Par AFP Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : France palais de l’Élysée Russie Charles de Gaulle Emmanuel Macron « La France aura un nouveau porte-avions » : Emmanuel Macron lance la construction du successeur du Charles De Gaulle Emmanuel Macron a annoncé dimanche le lancement de la construction du futur porte-avions français, destiné à remplacer le Charles De Gaulle à l’horizon 2038.
Alexis Sauvage, deuxième gardien de l’ASC, sera titulaire au Havre. Photo Kevin Devigne Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:30 Lecture zen Même s’il n’y a qu’une division d’écart, une qualification de l’Amiens SC (Ligue 2) sur le terrain du Havre (Ligue 1), dimanche 21 décembre, serait un petit exploit. À lire aussi Amiens SC : 400 supporters amiénois, Leautey présent… Le point avant le match de Coupe de France au Havre Les Amiénois restent sur huit défaites de suite en Coupe de France contre les équipes de L1. Il faut remonter à l’édition 2002-2003 pour voir une victoire, en l’occurrence contre Montpellier (5-3 après prolongations), en 32es de finale.Coup d’envoi de cette rencontre à 17 h 30.Si le direct ne s’affiche pas correctement, cliquez ici. Football (Coupe de France) : suivez en direct Le Havre - Amiens SC L’Amiens SC clôture son année 2025 par un 32e de finale de Coupe de France au Havre. Coup d’envoi à 17 h 30.
Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:28 Lecture zen À la table du réveillon, Julien Lorphelin conseille « le caviar osciètre français, la truffe melanosporum pour les Saint-Jacques ». Côté accompagnement, « légumes anciens de Bretagne, okra, rutabaga, navet pour le gibier, filet de bœuf, ou du poisson. » Pour le fromage, le plateau sera bien fourni : « Morbier AOP 100 jours, Comté de 24 mois d’affinage, Brie ou Gouda fermier à la truffe, Neufchâtel, Croseta de chèvre, Crémeux du Mont Saint-Michel… » Et en dessert : « La clémentine Paradisio d’Italie, alchimie entre mandarine et orange. On ne parle plus d’un fruit mais d’un dessert. » Enfin, le primeur donne quelques idées de cadeaux : « La tendance cette année est de mélanger les fruits secs avec des guimauves et du chocolat. Il y a aussi les pâtes de fruits fabriquées dans le sud de la France, les calissons, les nougats de Montélimar à l’orange et au citron, les marrons glacés de Collobrières. » Des idées pour les fêtes
Le SQBB défie Strasbourg sur son parquet pour lancer une semaine décisive en Betclic Elite. Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:27 Lecture zen Le SQBB lance une séquence intense de trois rencontres en six jours par un déplacement délicat à Strasbourg, ce dimanche 21 décembre 2025 (16 h 30). Face à une SIG Strasbourg solide, profonde et bien rodée, les Saint-Quentinois devront hausser leur niveau d’engagement pour espérer revenir avec un résultat. À lire aussi Basket-ball (Betclic Élite) : de Saint-Quentin à Strasbourg, William Pfister continue de briller dans l’ombre Comme le SQBB, la SIG a entamé un nouveau cycle cet été. Le club alsacien a confié son banc à Jānis Gailītis, entraîneur letton de 40 ans encore discret en France, mais remarqué après une saison exceptionnelle avec le Mitteldeutscher BC en Allemagne. Basket-ball (Betclic Élite) : Strasbourg reçoit le SQBB, match à suivre en direct Le SQBB se déplace sur le parquet de Strasbourg ce dimanche 21 décembre à 16 h 30. Une affiche relevée à suivre en live commenté sur notre site.
Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:17 Lecture zen Appelée à faire valoir son droit au contradictoire, la conseillère régionale mise en cause, Chanez Herbanne, ex-directrice administrative et financière de l’association, conteste la valeur «juridiquement opposable» de l’étude en question. « Capcession France n’est pas une autorité publique de contrôle habilitée par les autorités de l’Etat (...). Un véritable contrôle suppose indépendance, méthodologie portée à la connaissance de toutes les personnes concernées et respect du contradictoire. Aucun de ces critères n’a été respecté. Cette étude n’a donc aucune valeur juridiquement opposable». Pour le reste, l’élue précise que «la gestion d’une association s’exerce dans un cadre collectif et ne peut incomber à une seule personne. Sinon à quoi serviraient les autres membres ? Dans cette affaire, c’est moi qui ai saisi a justice et porté plainte. N’inversons pas les rôles et cessons de fabriquer des polémiques à l’approche des municipales de 2026. Ces méthodes sont vraiment regrettables». Suite à la tentative de conciliation infructueuse entre les parties, une audience aura lieu en avril prochain. «Cessons de fabriquer des polémiques»
Boulogne-sur-mer, le 23 novembre 2021. Illustration naissance, bébé, nouveau né. PHOTO JOHAN BEN AZZOUZ LA VOIX DU NORD - VDNPQR Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:17 Lecture zen AdrianaLa petite Adriana est la septième d’une belle fratrie qui fait le bonheur des parents Deborah et Steven Martins de Carvalho, un sympathique couple de ROUVROY. Elle est née le 10 décembre à 08 h 23, pour un poids de 3, 378 kg. Comme dans toutes les grandes familles, elle sera chouchoutée et protégée par ses frères et sœurs, Camille 10 ans, Léana 8 ans, Raphaël 7 ans, Fabio 5 ans, Livio 4 ans et Éléonore 1 an et demi. Adriana est née le 10 septembre. À lire aussi Les bébés nés entre le 12 et le 14 décembre dans le Pays Chaunois Issac Issac est né le 13 décembre. Camille et Christopher, originaires de RIBEMONT, viennent d’accueillir avec joie leur cinquième enfant. Issac a vu le jour le 13 décembre à 16 h 02 et affichait 3, 180 kg sur la balance. Ethan 9 ans, Erwan 6 ans, Estéban 3 ans et Elie, bientôt 2 ans, l’attendaient avec impatience.Mya Mya est née le 17 décembre. La petite commune de CHEVENNES, dans l’arrondissement de Vervins, compte une habitante de plus en la personne de Mya. La petite fille est née le 17 décembre et elle pesait 3, 116 kg. Sa grande sœur Louane, 10 ans, pouponne déjà sous le regard attendri de leurs parents, Johan Grandin et Laure Etourneau.Sora Sora est né le 17 décembre. Un prénom très doux, d’origine japonaise, pour ce petit garçon. Sora est né le 17 décembre à 4 h 16. Il affichait sur la balance 3, 700 kg. Un premier enfant pour Natacha Janlin et Luciano Viera, un jeune couple de SAINT-QUENTIN. À lire aussi Les bébés nés à Saint-Quentin entre le 28 novembre et le 3 décembre Célestine Célestine est née le 16 décembre. Une quatrième fille qui fait la fierté de Mélanie et Anthony Montulet, de MONTESCOURT-LIZEROLLES. Célestine est née le 16 décembre à 23 h 23 avec un poids de 3, 540 kg. Nul doute que Léona, 16 ans, Maliyah, 9 ans et Louane 4 ans, vont bien s’en occuper. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Saint-Quentin (Aisne) Les bébés nés entre le 10 et le 17 décembre à Saint-Quentin Adriana, Issac, Mya, Sora et Célestine sont nés entre le 10 et le 17 décembre 2025 à la maternité de Saint-Quentin. On vous les présente !
« Sous l’œil des voisins », Christian White, Albin Michel, 352 pages, 22,90€ Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:08 Lecture zen Tracie, une adolescente de 17 ans, disparaît de sa chambre. Pour les policiers, la thèse de la fugue est privilégiée, d’autant plus que ses parents sont en pleine séparation. Pas de signe d’intrusion, d’agression ou de lutte dans la maison. Mais la mère de la jeune fille n’y croit pas : celle-ci lui avait confié justement la veille au soir avoir la sensation d’être suivie et observée dans la rue. Plus qu’une fugue, il s’agit pour elle d’un enlèvement : sous l’oreiller de Tracie, sa mère a découvert une chaîne accompagnée d’un pendentif représentant un pentagramme, cette étoile à cinq branches enfermée dans un cercle, prisée des satanistes. « Les assassins et les kidnappeurs font parfois ça, vous savez. Ils laissent un objet derrière eux. Ça les excite. »Et la suite semble lui donner raison : trois semaines plus tard, Tracie n’a toujours pas donné signe de vie. Dans cette banlieue paisible australienne de Camp Hill, l’affaire commence à inquiéter le voisinage. Notamment Tom, professeur de littérature au lycée, qui avait eu la jeune fille comme élève. Décidé à mener sa propre enquête, il est rapidement confronté à des rumeurs de rituels sataniques. Un jeune du voisinage, qui possède tatoué sur le bras un pentagramme, devient un suspect tout désigné. Jusqu’au dérapage… À lire aussi LIVRE. Le Prix du Quai des Orfèvres 2026 pour « Brûlez tout » de Christophe Molmy Christian White nous immerge dans le quotidien d’une petite communauté qui cache bien des secrets sous son apparente tranquillité. Mensonges, non-dits, malentendus… entre voisins, on s’observe et on se soupçonne. Et certains présentent bien des zones d’ombre sous leur bienveillante implication… Un thriller domestique efficace où l’angoisse monte par petites touches au fil des pages.« Sous l’œil des voisins », Christian White, Albin Michel, 352 pages, 22,90€ Par Sylvie Molines Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Livre LIVRE. « Sous l’œil des voisins » de Christian White : une paisible banlieue gagnée par la paranoïa La disparition d’une adolescente plonge peu à peu une petite communauté australienne prétendument sans histoires dans la suspicion et la violence.
Un incendie a ravagé une salle de motricité, au sein de l’école Mont Le Comte au Havre, samedi 20 décembre 2025 au soir. - Suzelle Gaube/Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:02 Lecture zen Après l’incendie survenu à l’école Mont Le Comte, à Caucriauville au Havre, samedi 20 décembre 2025 au soir, la procureure de la République du Havre, Soizic Guillaume, a diffusé un communiqué, dimanche 21 décembre dans l’après-midi. « Le samedi 20 décembre 2025, un peu avant 21h30, les effectifs de police étaient requis suite au déclenchement d’une alarme anti-intrusion puis de détecteurs de fumées au sein de la salle de jeux de l’école maternelle Mont Le Comte au Havre, dans le quartier de Caucriauville ». Consultez l’actualité en vidéo « Aucune tension particulière préexistante »La magistrate poursuit : « L’incendie a été maîtrisé et les investigations à l’intérieur du bâtiment n’ont pu débuter que dans la matinée, compte tenu de la nécessité d’assurer la sécurisation de l’intervention des effectifs ». Tout en précisant qu’« aucune victime n’est à déplorer et aucune tension particulière préexistante ne peut permettre d’orienter les investigations. Un seul départ de feu a été identifié dans le cadre de ces premières constatations ». À lire aussi La salle de motricité d’une école maternelle détruite par le feu : « un choc » pour les parents et le personnel Une expertise incendie bientôt diligentéeLe parquet du Havre conclut : « Une expertise incendie sera diligentée dans les prochains jours et les investigations vont se poursuivre. Compte tenu du déclenchement de l’alarme anti-intrusion, une enquête a été ouverte confiée au commissariat du Havre du chef de destructions volontaires par incendie. Les investigations complémentaires vont permettre de confirmer ou d’infirmer la piste de l’incendie volontaire ». Par Suzelle GAUBE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Havre (Seine-Maritime) Incendie dans une école au Havre : une enquête ouverte pour destructions volontaires par incendie Au lendemain de l’incendie qui a ravagé une partie d’une école maternelle au Havre, dans la soirée du samedi 20 décembre 2025, le parquet du Havre informe qu’une enquête ouverte pour « destructions volontaires par incendie »
Le chœur de l’église est désormais illuminé. La remise du corps du Christ à la Sainte Vierge. Vendredi Saint Un ange porteur de lumière récemment restauré. Des statues rénovées. Des statues rénovées. Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:01 Lecture zen On peut encore découvrir l’avancement des travaux menés par l’Association de sauvegarde et la municipalité, avec la participation très active de quelques bénévoles dans l’église. Depuis cet été, les trois cloches peuvent de nouveau sonner de concert. Deux cordes ont été remises à celles qui en manquaient.L’accès au clocher a permis de découvrir des statues cassées ou avec des membres en moins dans quelques recoins. Thierry Bouvet, un des membres actifs de l’Association de sauvegarde s’est renseigné sur ce qui pouvait être fait et s’est découvert des talents de restaurateur.Le chœur est désormais éclairéLes visiteurs peuvent découvrir dans le chœur de l’église une représentation de la sainte Vierge à qui on remet le corps de Jésus le soir du Vendredi Saint, mais aussi un ange porteur de lumière, des statues de Saint Antoine de Padoue de Sainte Rita ainsi que des personnages de la crèche, restaurés. Consultez l’actualité en vidéo Le chœur est désormais éclairé grâce à 5 projecteurs muraux. Un généreux donateur a offert un nouveau Chemin de Croix, réalisé par le Père André-Marie de Croixrault. Il sera prochainement installé mais est déjà visible. Une crèche est également installée.L’église Saint-Denis sera ouverte le jour de Noël et encore les dimanches, 28 décembre et 4 janvier de 16 à 17 heures. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Senarpont (Somme) Des rénovations et une crèche à découvrir dans l’église de Senarpont L’édifice religieux, dont la statuaire était en piteux état, a fait l’objet d’une mobilisation de bénévoles attentifs, qui ont su rendre leur éclat à certains recoins. L’église sera ouverte encore deux dimanches et jeudi 25 décembre.
Des croquettes et des jouets ont notamment été collectés. Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:01 Lecture zen Ce samedi 20 décembre, les bénévoles de l’association Spectacle et loisirs du Faubourg-de-Hem ont amené au refuge d’animaux situé route d’Allonville, la récolte de dons organisée à l’occasion des fêtes. « Nous avons collecté 525 kilos de croquettes, des jouets, des couvertures et 330 euros » se réjouit le président de l’association Yves Devauchelle (accroupi sur notre photo). À noter que la collecte solidaire de bouchons en plastique au profit de personnes en situation de handicap se poursuit. Contact au 06 25 92 27 15. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens Les animaux du refuge d’Amiens gâtés pour Noël L’association Spectacle et loisirs du Faubourg-de-Hem ont récolté des dons pour le refuge d’animaux de la SPPA situé route d’Allonville.
Marcel Racine a été décoré de la médaille de la Légion d’honneur vendredi 19 décembre 2025. Mis en ligne le 21/12/2025 à 16:00 Lecture zen Vendredi 19 décembre 2025 a été remis, en mairie de Saint-Étienne-du-Rouvray, la Légion d'honneur à Marcel Racine, ancien soldat et survivant d'une embuscade lors de la guerre d'Algérie. Consultez l’actualité en vidéo Né le 5 octobre 1935 à Hautot-Saint-Sulpice en Seine-Maritime, le jeune Marcel, d’abord boulanger puis ouvrier dans la métallurgie, signe son engagement au service militaire avec son frère jumeau Claude. « Afin de ne pas être séparés, nous avons signé nos papiers pour nous retrouver au même endroit, c’était notre condition. » C’est ainsi qu’ils partent en 1956 pour l’Algérie pour effectuer leur service militaire, alors âgés de 20 ans. À lire aussi À Oissel, le chantier de modernisation de la gare, reporté de plusieurs années EmbuscadeMalheureusement, lors d’une patrouille à Bossuet, en Oranie, les six compagnons de route de Marcel, dont son frère Claude, meurent sous le feu d’une attaque. Marcel, seul rescapé, s’en sort avec une balle à l’abdomen. « Lors de cette embuscade, j’ai eu l’instinct de survie de tomber à plat ventre et de feindre la mort. » Il a finalement été retrouvé par une patrouille française, partie à la recherche du petite groupe, de nuit.L'armée française le libère de son service militaire à Soissons en mai 1958. Marcel Racine aura passé 32 mois de service sous les drapeaux et a donc reçu la Légion d'honneur pour tout son parcours de combattant. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) Près de Rouen. La légion d'honneur remise à Marcel Racine, ancien combattant de la guerre d'Algérie Marcel Racine a été décoré de la Légion d’honneur à Saint-Étienne-du-Rouvray. Il a été le seul rescapé d’une embuscade lors de la guerre d’Algérie, au cours de laquelle il a perdu son frère jumeau.
Les démarches auprès des experts risquent d’être longues et fastidieuses. - Camille Tyrou Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:59 Lecture zen L’origine de l’explosion d’une maison située rue des Vignes à Sermoise, vendredi 19 décembre, n’est toujours pas connue.Un expert judiciaire a été désigné par le parquet de Soissons, explique L’Union. Il devra rendre un avis technique pour éclairer les circonstances de ce drame, qui a coûté la vie à Philippe P., un sexagénaire retrouvé sous les décombres de sa maison. À lire aussi Aisne : « C’était une véritable scène de guerre » après l’explosion mortelle d’une maison à Sermoise D’après le capitaine des pompiers Laurent Lignier, qui supervisait les opérations de secours, « une seule bouteille de gaz intacte a été retrouvée » sur les lieux. « Elle n’est donc pas à l’origine de l’explosion ».La septuagénaire est sortie d’affaireL’expert judiciaire établira ensuite un rapport présentant ses conclusions sur le sinistre. Ce n’est qu’à l’issue de cette étape que la gendarmerie prendra le relais pour conduire l’enquête et déterminer les causes et les circonstances de l’explosion.La deuxième victime de l’explosion, la compagne de Philippe P., est sortie du centre hospitalier de Soissons. La septuagénaire « s’en sort avec une entorse à la cheville. Je le répète, c’est une miraculée. Mais elle subit un violent traumatisme », a indiqué Patrick Dufour, le maire de Sermoise. Par L’Aisne nouvelle Explosion d’une maison dans l’Aisne : l’origine du sinistre reste inconnue Un expert judiciaire a été nommé par le parquet de Soissons pour éclaircir les circonstances de l’explosion d’un pavillon à Sermoise, qui a coûté la vie à un sexagénaire, vendredi 19 décembre 2025. Video
Une série au service de Nordine Sio, le pointu de l’Amiens MVB, a permis aux siens de remporter la première manche face à Hyères. Photo Kevin Devigne - CPIPQR Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:57 Lecture zen Les supporters de l’Amiens MVB ont dû attendre un demi-championnat mais ceux présents au Coliseum, ce samedi 20 décembre, ont fini par assister à la première victoire à domicile cette saison de leurs protégés. Ces derniers se sont offerts ainsi qu’au public un joli cadeau de Noël avant l’heure en prenant le meilleur sur Hyères-Pierrefeu-La Londe, équipe du top 5, à l’issue d’une bataille en cinq sets. Consultez l’actualité en vidéo Qui avait pourtant mal commencé pour les Samariens. « Dès le début, il y avait de la frustration. On n’était pas dedans, C’était un petit peu le théâtre sur le terrain », décrit leur entraîneur, Ali Nouaour. Menés 23-19 dans la première manche, ses hommes ont été sauvés par une série de services flottants du pointu Nordine Sio alors que ses engagements smashés travaillés durant la semaine étaient inefficaces.Mais cela n’a pas suffi à lancer les locaux. « À la pause, je les ai prévenus qu’on allait se prendre 3-1 si on continuait comme ça », confie le coach. La réaction s’est concrétisée dans le quatrième acte, survolé 25-11. De quoi parfaitement lancer les Picards dans ce tiebreak gagnant, là encore une première à la maison cette saison. « J’ai eu peur qu’on retombe dans nos travers puisqu’Hyères est revenu à un point alors qu’on menait 12-8 », narre le technicien. À lire aussi Volley-ball (Nationale 2 masculine) : Beauvais réalise un sacré coup à Épinal Mais Mizingou a déstabilisé la réception varoise au service afin de conclure. Avec désormais trois victoires et une défaite au tiebreak sur les quatre derniers matchs d’Élite ainsi qu’une qualification en 8e de finale de la Coupe de France fédérale, Amiens prolonge sa bonne lancée enclenchée après les huit défaites inaugurales. « On savait que cette équipe avait du potentiel. Elle est en train de le démontrer. Quand on travaille ensemble, on arrive à faire de belles choses », pointe Ali Nouaour.AMIENS MVB – HYERES-PIERREFEU-LA LONDE : 3-2Sets : 25-23, 19-25, 22-25, 25-11, 15-11AMIENS MVB : Ilouoni, Sio, Abboub, Tizit, Boissinot, Philippe, Corosine, Villaume, Hamidou, Hachemi (c), Mizingou, Corabieru Par Benjamin Radeau Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens MVB Volley Amiens (Somme) Volley-ball (Élite masculine) : l’Amiens MVB termine 2025 en s’imposant enfin à domicile Les Amiénois se sont offert leur premier succès au Coliseum cette saison en venant à bout en cinq sets de Hyères-Pierrefeu-La Londe, formation du top 5, ce samedi 20 novembre. Les Aigles poursuivent leur bonne dynamique des dernières semaines avant la trêve.
Comme chaque semaine sur le site de « L’Aisne nouvelle », découvrez des pensionnaires à adopter des associations Saint-Quentin Félins et Adopte une vie. - Stéphanie Peron Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:49 Lecture zen Chaque semaine depuis des années, L’Aisne nouvelle relaie des annonces de différentes associations animales du secteur.Voici neuf chats qui attendent impatiemment une nouvelle famille pour la vie.Si vous souhaitez plus d’information, vous pouvez contacter :L’association Adopte une vie : asso.adopteunevie@gmail.com.L’association Saint-Quentin Félins : 38, rue Claude-Chappe à Saint-Quentin, sqfelins@yahoo.fr, www.sqfelins.fr ; 07 49 70 30 80.Nevada Nevada. Nevada, une minette d’environ 1 an, douce et très sociable. Affectueuse et proche de l’humain, elle recherche une famille bienveillante disposant d’un jardin, indispensable à son équilibre et à son épanouissement. asso.adopteunevie@gmail.comTango et Grincheux Tango et Grincheux. En double adoption, Tango et Grincheux. Deux adorables compagnons, très complices, qui ont tissé un lien fort et inséparable. Ils recherchent une famille prête à les accueillir ensemble pour poursuivre leur belle histoire. asso.adopteunevie@gmail.comNougatine Nougatine. Nougatine, petite minette de 6 mois, est douce et pleine de charme. Curieuse et très sociable, elle recherche une famille bienveillante prête à lui offrir un foyer. asso.adopteunevie@gmail.comOpium Opium. Le chat parfait. En tout point de vue. Câlin, adorable et joueur. Viable à Saint Quentin. asso.adopteunevie@gmail.comOcarina Ocarina. Ocarina, est une jeune minette de 8 mois. Très attachante, elle saura créer un lien unique avec ceux qui prendront le temps de la découvrir. Une compagne douce et sensible, prête à offrir tout son amour. asso.adopteunevie@gmail.comPaillette Paillette. Paillette agréable minette de 10 mois, très gentille et visible à Saint-Quentin. sqfelins@yahoo.fr, www.sqfelins.fr, 07 49 70 30 80.Bandoras Bandoras. Bandoras, mâle de 4 ans très gentil et visible à Saint-Quentin. sqfelins@yahoo.fr, www.sqfelins.fr, 07 49 70 30 80.Domino Domino. Domino, chat de plus de 10 ans et visible à Saint-Quentin. sqfelins@yahoo.fr, www.sqfelins.fr, 07 49 70 30 80.Miele Miele. Miele est une minette d’un an, très douce et gentille visible à Saint-Quentin. sqfelins@yahoo.fr, www.sqfelins.fr, 07 49 70 30 80. Les chats de la semaine à adopter dans le Saint-Quentinois Comme chaque semaine sur le site de « L’Aisne nouvelle », découvrez des pensionnaires à adopter des associations Saint-Quentin Félins et Adopte une vie.
Moins d’accidents mais plus de mortels sur les routes de l’Oise - Archives SDIS60 Jean Marie Caillaud préfet de l’Oise Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:48 Lecture zen Lors de son point presse, mardi 16 décembre, à la Préfecture de l’Oise à Beauvais, le préfet Jean-Marie Caillaud, arrivé en poste il y a un an et un mois, a fait un premier bilan sur le Plan d’action pour la sécurité au quotidien pour l’année 2025.Un bilan « encourageant » selon le représentant de l’État soulignant la mobilisation accrue des forces de sécurité sur la voie publique : « + 10 % par rapport à 2024. Cela se traduit par des résultats concrets. Nous notons sur la même période une baisse de 5,4 % des cambriolages et de 19,8 % des vols avec violence », se félicite Jean-Marie Caillaud même si, reconnaît-il, « le sentiment d’insécurité est toujours fort chez nos concitoyens confrontés aux incivilités du quotidien ».372 645€ d’avoirs criminels ont été saisis et 6,85kg de cocaïne sur les huit premiers mois de l’année 2025. Le nombre de personnes mises en cause pour trafic de stupéfiants a augmenté de 12,9 %.Jean-Marie Caillaud, préfet de l’OiseLes indicateurs sont également en baisse concernant la violence conjugale. « Cela signifie deux choses : premièrement, la parole se libère de plus en plus, et deuxièmement, les plaintes sont mieux prises en compte et les actes sanctionnés. »Sur la lutte contre les stupéfiants et le narcotrafic, la grande priorité de l’État, de grandes opérations ont été menées, notamment avec les Villes Sécurité Renforcée (VSR) à Creil, Méru, Compiègne et Noyon. « 372 645€ d’avoirs criminels ont été saisis et 6,85kg de cocaïne sur les 8 premiers mois de l’année 2025. Le nombre de personnes mises en cause pour trafic de stupéfiants a augmenté de 12,9 % et deux points de deal ont été démantelés en juin à Méru et Pont-Sainte-Maxence. Récemment nous avons fait une saisie de 220 kilos de cannabis à Creil. Ces bons chiffres montrent que nous dérangeons le trafic », déclare le préfet, notant l’arrivée de nouvelles drogues sur le territoire, comme l’efanil (drogue de synthèse) ou le crack. À lire aussi Dans l’Oise, une cinquantaine de radars bâchés, au moins deux dégradés, l’État va porter plainte L’angle mort de cette politique de sécurité reste la sécurité routière. « Si les accidents corporels sont en baisse de 7 %, le nombre d’accidents mortels reste préoccupant représentant +19 % entre 2024 et 2025. Nous sommes début décembre à 38 tués sur les routes contre 35 en 2024. Cela démontre un vrai problème d’insécurité routière », déplore M. Caillaud. Selon les chiffres de la préfecture, la moitié des cas d’accidents mortels est liée au trio alcool-stupéfiant-vitesse. Par Ludovic Lascombe Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Beauvais (Oise) Méru (Oise) Creil (Oise) Compiègne Sécurité publique dans l’Oise : le satisfecit du préfet, mais encore trop de tués sur la route Pour l’État, le bilan du plan d’action pour la sécurité du quotidien est « encourageant ». Mais l’insécurité routière reste préoccupante.
Sébastien Sireau, assistant de conservation du patrimoine à la CCNS a matérialisé au sol la surface du futur espace d’accueil du Prieuré. - Delphine Cattoux Au prieuré de Moreaucourt, les visiteurs sont actuellement accueillis en plein air. L’espace qui va être construit apportera un confort non négligeable. - Delphine Cattoux Le prieuré est situé sur la D112, qui relie Flixecourt à l’Etoile. Il comptabilise 1600 visiteurs sur sa saison 2025. Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:41 Lecture zen Phase 1 (2026) : création de l’espace d’accueil.Phase 2 (2027-2029) : travaux de préservation de vestiges et travail sur l’accès du site aux PMR.Phase 3 (2030 – 2032) : 2e tranche de préservation de vestiges et création d’une salle d’exposition permanente, avec nouveau parcours de visite.Le prieuré de Moreaucourt, basé à la sortie de Flixecourt en direction de l’Étoile, va faire l’objet d’un projet global de réhabilitation en trois phases, qui dureront jusqu’en 2032.Mercredi 17 décembre 2025, les élus communautaires de Nièvre et Somme (CCNS) ont voté à l’unanimité la première phase de ce plan, qui consistera en l’installation à l’entrée du prieuré, d’un espace d’accueil du public.Le futur bâtiment a été imaginé après une étude menée par l’architecte du patrimoine Pascal Brassard, et le phasage a été dressé après une visite sur place de la Direction des Affaires culturelles, « la première en plus de 20 ans », précisait Sébastien Sireau, assistant de conservation de patrimoine. Elle interviendra au moment de la préservation des vestiges, qui ne pourra pas débuter avant 2027, faute de financements.L’emplacement du futur espace d’accueil est d’ores et déjà matérialisé au sol par un ruban qu’a déployé M. Sireau, devant le mur nord du prieuré, donnant sur la D 112, axe Flixecourt-L’Etoile. « Il s’agira d’un bâtiment de type modulaire d’une surface de 30m², avec un bardage en bois. Il sera conçu aussi comme une Maison du projet, dans l’optique des travaux de préservation futurs », expliquait le conservateur.Faciliter l’itinérance en Nièvre et SommeTout sera pensé autour pour faciliter l’accès des visiteurs, avec places de parking, aménagement d’une place pour personnes à mobilité réduite (PMR), qui disposeront de WC, et des arceaux pour vélos. « Cet espace devra faciliter l’itinérance en Nièvre et Somme, étant donné qu’il sera à moins de 5 km de la véloroute ». Consultez l’actualité en vidéo D’ailleurs, l’espace sera conçu comme un point d’appui de la Maison du tourisme de Picquigny pour l’information touristique.« Les objectifs seront aussi d’améliorer l’accueil des visiteurs (1 600 cette année) qui sont actuellement accueillis en plein air ; d’améliorer la visibilité du prieuré et d’augmenter l’amplitude d’ouverture, actuellement de 54 jours par an. L’espace sera réservé à la présentation du site, avec panneaux et supports audiovisuels », entrevoit Sébastien Sireau.D’un coût total de 88 675€ HT, le plan de financement prévoit 40 % de financement de l’État (35 470€), 26 602€ de la Région et la même somme restant à la charge de la CCNS.Adopté à l’unanimité mercredi soir, le permis de construire de l’espace pourrait être délivré au printemps 2026, pour une ouverture en avril 2027. Par Delphine Cattoux Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Flixecourt (Somme) Un espace d’accueil va être créé au prieuré de Moreaucourt Le prieuré de Moreaucourt a le potentiel pour faire venir davantage de visiteurs. Mercredi 17 décembre 2025, les élus communautaires ont adopté un projet de construction d’espace d’accueil, qui fait cruellement défaut sur place. Des travaux de préservation suivront.
Transhumance samedi 20 décembre 2025 Transhumance samedi 20 décembre 2025 Transhumance samedi 20 décembre 2025 Transhumance samedi 20 décembre 2025 Transhumance samedi 20 décembre 2025 Transhumance samedi 20 décembre 2025 Transhumance samedi 20 décembre 2025 Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:34 Lecture zen La bergère Laure Poupart et le Président de l’A O P « Agneaux Près-salés de la Baie de Somme » Roland Moitrel qui font troupeau commun ont ramené leurs 500 brebis sur le point d’agneler dans leurs bergeries respectives. Consultez l’actualité en vidéo Les brebis ont quitté la Baie de Somme la première quinzaine de novembre pour aller paître dans les champs en arrière littoral le temps que la gestation arrive à quelques jours de son terme. Elles sont séparées de leurs agneaux au fur et à mesure des ventes pour la boucherie.Le moment de l’agnelageFin juillet les béliers sont incorporés au troupeau. La gestation d’une brebis varie entre 144 et 151 jours. Aujourd’hui il y a donc urgence à mettre les brebis à l’abri de la bergerie pour sécuriser les naissances et veiller au bon déroulement des agnelages. « L’agnelage est le moment le plus critique dans la vie d’un mouton, ça ne se passe pas toujours bien, il faut être présent presque 24h sur 24 », précise Roland Moitrel. À lire aussi Ce qu’il faut retenir du conseil municipal d’Abbeville Pour regagner les bergeries le troupeau est parti de Drancourt pour traverser Saint-Valery-sur-Somme en passant par le centre-ville, empruntant la Rue de la Ferté puis les Quai Amiral Courbet et Jeanne d’Arc au grand étonnement des touristes croisés, pour être parqués dans un enclos sur la plage afin de séparer les 2 troupeaux.Cette transhumance est un rituel que de nombreuses personnes prennent plaisir à suivre et éventuellement viennent encadrer le troupeau. Par De notre correspondant François Lenne Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Baie de Somme Saint-Valery-sur-Somme (Somme) Baie de Somme : les brebis retournent à la bergerie pour l’agnelage Ce samedi 20 décembre 2025 le dernier troupeau de brebis de l’A O P « Agneaux Prés-salés de la Baie de Somme » regagnait ses bergeries.
Traoré a débloqué la situation en faveur de Chantilly et ouvert la voie vers un 16e de finale inédit pour le club. Photo archives Dominique Touchart Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:32 Lecture zen Demain il y aura une nouvelle ligne sur Wikipédia ! »C’est en ces termes que le président de l’US Chantilly, Anthony Brice, s’est adressé à ses joueurs quelques minutes, samedi soir, après leur qualification pour le premier 16e de finale de Coupe de France du club fondé en 1902. Consultez l’actualité en vidéo Une victoire acquise dans la douleur malgré le score flatteur (3-0) à Saint-Avold face à Freyming (R2). Entre la liesse partagée avec les supporters dès la fin du match, et celle, plus intime du vestiaire, Anthony Brice a peut-être aussi fini par lâcher un « bonus » aux joueurs, avant que son entraîneur Yacoub Yassine ne leur annonce une reprise d’entraînement le 2 janvier, soit quelques jours supplémentaires d’une coupure bien méritée.« Honnêtement, à la 60e minute, je n’imaginais pas ça, rembobine Anthony Brice en référence aux difficultés cantiliennes à faire la différence pendant la première heure de jeu. Au début du match, j’espérais ça mais plus vite, histoire que mon cœur arrête de faire des soubresauts. Finalement, dès le premier but, j’ai senti que ça allait dérouler. Et ça a déroulé ! »En grande partie grâce à des réajustements tactiques en seconde période et aux entrées de joueurs frais, tel Céréné Traoré, auteur du premier but (67e) quelques instants après être sorti du banc : « Cela nous a fait du bien, notait Yassine. On a voulu jouer plus sur la largeur en deuxième mi-temps pour jouer des deux contre un sur les côtés. Une fois notre premier but inscrit, Freyming est parti plus à l’abordage et a laissé des espaces. »Traoré a ressenti un plaisir de « ouf »Une ouverture du score, un peu contre le cours du jeu à ce moment, qui aura donc été capitale. L’histoire ne dit pas si Céréné Traoré figurera sur Wikipédia mais le petit attaquant cantilien restera longtemps comme celui qui a ouvert le chemin vers les 16es de finale.« Cela me fait peut-être marquer des points pour la suite de la saison et avoir plus de temps de jeu, souriait-il. C’est une belle émotion, un beau souvenir qui me restera. J’ai ressenti un plaisir de ‘’ouf’’ ! J’ai pensé à ma famille qui regardait le match à la télé et aux supporters venus nous encourager après 5 heures de route le matin ! » À lire aussi Hockey sur glace (Ligue Magnus) : les Gothiques d’Amiens prêts à enchaîner à Gap Nul doute que le retour a paru moins long, pour les joueurs comme pour leurs supporters rentrés au stade des Bourgognes vers 1 heure du matin.LE CHIFFRE : 83 000Grâce à cette qualification pour les 16es de finale de la Coupe de France, l’US Chantilly est assurée de toucher 83 000€. C’est en effet la prime versée par la Fédération française de football à tous les clubs qui atteignent ce stade de la compétition. Elle augmentera de 50 000€, soit 133 000€, pour ceux qui se qualifieront en 8es de finale.LE PARCOURS DE CHANTILLY4e tour, Montreuil-sur-Mer (R2) – CHANTILLY : 0-45e tour, Laon (R1) – CHANTILLY : 1-26e tour, Grande-Synthe (R1) – CHANTILLY : 1-27e tour, Prémontré-Saint-Gobain (R3) – CHANTILLY : 0-38e tour, Cormontreuil (R1) – CHANTILLY : 1-232es de finale, Freyming (R2) – CHANTILLY : 0-3 Par Raphael Nappey (avec B.R.) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Coupe de France US Chantilly Football (Coupe de France) : Chantilly savoure son moment historique Qualifiés samedi 20 décembre en Lorraine (3-0) contre Freyming (R2) pour les 16es de finale de Coupe de France, les Cantiliens n’étaient jamais allés aussi loin depuis la création du club en 1902.
L’ancienne prison du Havre a aujourd’hui disparu, laissant sa place à de nouveaux équipements publics. - Archives PN Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:29 Lecture zen Si l’ancienne maison d’arrêt de Caen a vocation à accueillir des logements, toutes n’ont pas le même destin. En 2010, la maison d’arrêt du Havre, située en plein centre-ville dans le quartier Danton, a fermé ses portes. Les détenus ont alors été transférés dans un nouvel établissement construit à une quinzaine de kilomètres de la ville, sur les territoires des communes de Saint-Aubin-Routot et Gainneville.Un nouveau souffleDe cette prison édifiée en 1860 sur un terrain de 8900 m² et qui présentait la particularité d’avoir des dortoirs – appelés « les communs » - et des cellules, il ne reste plus rien aujourd’hui. La Ville a choisi de la raser et de la remplacer par des équipements publics, en particulier un jardin et le Pôle Simone-Veil, qui allie culture, sport et loisirs. Sur 4400 m², cet équipement abrite une maison de quartier, un point d’information jeunesse, un relais lecture, un espace multimédia, des portes informatiques en accès libre. De quoi donner un nouveau souffle à un quartier aujourd’hui prisé. Ce qu’est devenue l’ancienne prison du Havre
À l’approche du 25 décembre 2025, le thermomètre pourrait rester bien en dessous de zéro. - Stock Adobe Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:19 Lecture zen Vous espérez un Noël blanc en Normandie ? Pas pour cette année selon les annonces de Météo France ! Pour se consoler, allumez la télévision et laissez-vous emporter par ces téléfilms sucrés au parfum de chocolat chaud, où les flocons tombent toujours le 24 et le 25. Mais qu’en est-il vraiment pour la première semaine des vacances scolaires ?La semaine commence sous un ciel assez couvert sur la Seine-Maritime et l’Eure. Lundi 22 décembre, les températures matinales resteront fraîches : 9 ºC à Rouen, Le Havre et Évreux, et jusqu’à 10 ºC à Dieppe. L’après-midi verra peu de changement, les nuages restent dominants et les températures resteront similaires. À lire aussi Avec Juste 1 sourire, le basketteur Jason Ricketts Mahinmi offre des cadeaux aux enfants défavorisés Un voile nuageux persistera dans la matinée du mardi 23 décembre sur toute la région. Le thermomètre affichera de 5 à 10 ºC au Havre, de 3 à 9 ºC à Neufchâtel-en-Bray et à Bernay. Du brouillard est attendu côté Aumale. En revanche, le ciel se dégagera progressivement sur le littoral et les terres dans l’après-midi.Soleil pour la livraison du père NoëlÀ partir de mercredi 24 décembre, la fraîcheur devient marquée : les températures chuteront, avec 2 ºC à Eu, 3 ºC à Yvetot et Louviers. Malgré le froid, le soleil domine la journée, offrant la possibilité au père Noël de livrer ses cadeaux dans de très bonnes conditions. Jeudi reste dans la même veine : ciel dégagé et températures basses mais stables, similaires à celles de la veille.La météo restera claire et froide pour le vendredi 26 décembre. Le matin, le mercure descendra jusqu’à 0 ºC dans le sud de l’Eure et en Seine-Maritime, tandis que le littoral profitera de températures légèrement positives, autour de 2 ºC à Dieppe et au Havre. L’après-midi, un léger réchauffement se fera sentir : 3 ºC à Louviers et 4 ºC à Rouen. À lire aussi Futurs parents, mordue de paillettes ou votre papa, cinq idées de cadeaux de Noël made in Rouen Le week-end s’annonce lumineux mais frais. Samedi, le grand soleil dominera et les températures remonteront légèrement dans l’après-midi : de 1 à 8 ºC à Fécamp, 1 à 6 ºC à Rouen et de -1 à 5 ºC à Bernay. Dimanche matin restera ensoleillé, avec 5 ºC à Fécamp, 2 ºC à Yvetot, Vernon et Louviers, et 4 ºC au Havre. Dans l’après-midi, la pluie pourrait faire son apparition sur le littoral de la Seine-Maritime, avec 7 ºC à Fécamp et Dieppe.Noël blanc : une possibilité rareMais certains persistent : il sera possible d’avoir de la neige à Noël. Quelques modèles européens, notamment Météo des Villes évoquent des flocons jusqu’en plaine le 25 décembre, du bassin parisien à la Normandie. Un phénomène rare, presque inédit depuis 15 ans. À lire aussi Nos idées de cadeaux de Noël pour les gens qu’on déteste, même s’ils ne méritent pas grand-chose Tout repose sur le phénomène météorologique de la goutte froide, une poche d’air très froid en altitude, mais son positionnement reste incertain et évolutif. Même si le froid est annoncé, l’humidité sera déterminante : sans pluie, pas de neige. Pour l’instant, les scénarios neigeux restent minoritaires, mais leur simple apparition attire déjà l’attention.Conclusion : un Noël très froid en Normandie est très probable. Un Noël blanc ? Pas tout à fait impossible. Bonne semaine et joyeuses fêtes ! Pluies, soleil ou risque de neige : à quelle météo s’attendre en Normandie pour les vacances de Noël ? À l’approche du 25 décembre 2025, le thermomètre pourrait rester bien en dessous de zéro. Entre prévisions encourageantes et prudence des météorologues, le point sur ce que réserve vraiment le temps pour les fêtes
Petits et grands ont assisté à la reconstitution de la crèche vivante dans le parc Lhermitte, portée par des bénévoles costumés et commentée par la maire Sophie Boutroy. Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:15 Lecture zen La belle tradition catholique de la naissance de Jésus a été respectée et magnifiquement célébrée ce samedi dans le parc Lhermitte de Coucy-le-Château, à l’occasion de la reconstitution de la crèche vivante de la Nativité.Rien n’avait été oublié : le petit Jésus était présent – il se prénomme Théa et n’a que quelques semaines – entouré de ses parents, des anges et des trois rois mages, Melchior, Gaspard et Balthazar.Une reconstitution fidèle et chargée d’émotionCette belle manifestation était commentée par Sophie Boutroy, maire de la commune, qui a rappelé avec beaucoup d’émotion l’épisode de la naissance de Jésus ainsi que le chemin parcouru par les rois mages, guidés par l’étoile de Bethléem. Grâce aux costumes prêtés par l’association AMVCC, les parents de l’enfant divin, les anges, les rois mages ainsi que Sophie Boutroy ont apporté une touche particulièrement appréciée à cette reconstitution. À lire aussi Viry-Noureuil : un concert de Noël empreint de magie et de partage Des visiteurs, comme Josiane et Serge, venus de Reims, ont confié : « Nous avons habité à Coucy de nombreuses années. Aujourd’hui installés à Reims, nous ne voulons surtout pas manquer cet événement qui nous rappelle tant de souvenirs. » Un superbe feu d’artifice, accompagné de la musique Alleluia, est venu clore cette belle rétrospective. Par R.F (CLP) Coucy-le-Château : la Nativité mise à l’honneur lors d’une crèche vivante Ce samedi, le parc Lhermitte de Coucy-le-Château-Auffrique a accueilli une émouvante reconstitution de la crèche vivante, perpétuant avec fidélité et ferveur la tradition de la Nativité.
La galerie Duchamp d’Yvetot a accueilli environ 10 000 visiteurs en 2025. - PN Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:13 Lecture zen « Notre objectif est de décentraliser la culture et d’amener de nouvelles compétences grâce à nos partenaires à Yvetot. » Voici les mots, d’Alexandre Mare, directeur de la galerie Duchamp lors du conseil municipal d’Yvetot, mercredi 17 décembre 2025. Le directeur a dressé le bilan des quatre dernières années à l’occasion de la fin de la Convention Pluriannuelle d’Objectifs (CPO) 2022-2025 entre la ville d’Yvetot et la galerie. Consultez l’actualité en vidéo On observe une augmentation de plus de 88 %.Alexandre Mare, Directeur de la galerie DuchampCette année, la galerie a accueilli 10 809 visiteurs contre 5 793 en 2022 : « On observe une augmentation de plus de 88 % on est vraiment fier du chemin parcouru », ajoute le directeur. En quatre ans, la galerie comptabilise 37 494 visiteurs. C’est notamment l’exposition de David Lynch qui a permis d’attirer les touristes. Sur la période estivale, une augmentation de 30 % est observée sur la fréquentation. « Mais notre public reste majoritairement Yvetotais avec environ 75 % de nos visites », poursuit le directeur de la galerie. À lire aussi « Derniers jours d’exposition » : à Yvetot, l’expo Lynch booste la diffusion culturelle de proximité 65 artistesSeize personnes travaillent tout au long de l’année au sein de la galerie pour organiser au mieux les programmations. En trois ans et demi, la galerie Duchamp a accueilli 21 expositions, plus de 65 artistes dont 16 en résidence. « On a de la chance de pouvoir travailler avec des partenaires institutionnels importants comme le Centre Pompidou ou le musée d’Orsay de Paris », ajoute Alexandre Mare. Un des grands objectifs pour le directeur de la galerie est la transmission notamment avec de nombreuses visites de groupes scolaires. Douze cours d’arts plastiques ont également été organisés pour petits et grands tout au long de l’année.Galerie Duchamp, 7 rue Percée à Yvetot. Horaires : le mercredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Du jeudi au dimanche de 14 h à 18 h. Renseignements par téléphone au 02 35 96 36 90 et par mail à galerie.duchamp@yvetot.fr. Par Bonnie Renault Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Yvetot (Seine-Maritime) Yvetot : un bilan de l’année 2025 positif pour la galerie Duchamp Lors du conseil municipal d’Yvetot du 17 décembre 2025, le directeur de la galerie Duchamp, Alexandre Mare a dressé un bilan positif de l’année écoulée.
Le père Noël est venu rencontrer les judokas. Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:12 Lecture zen La venue de père Noël pour les enfants du baby-judo, de 3 à 6 ans, était l’occasion de faire un point avec le président Loïc Marsal sur cette association créée en 2009. À lire aussi À Montescourt-Lizerolles, une matinée pour permettre aux femmes d’apprendre les techniques de défense Les cours de danse proposés à l’origine sont toujours bien présents, mais Mély Mélo s’est diversifiée avec des sections judo, zumba, gym d’entretien, « et cette saison du circuit training, qui fait encore plus travailler le cardio que le step nous proposions auparavant », indique-t-il. Elle est ainsi devenue la plus importante association de la commune, drainant dans son sillage plus de 200 licenciés dont la moitié sont des enfants. « Parmi l’ensemble des licenciés, nous comptons près d’un tiers d’habitants de Montescourt », poursuit-il.Une offre danse très complèteL’association est aussi très impliquée dans la vie de la commune en participant ou proposant des animations à l’occasion d’Octobre rose ou du Téléthon. Son spectacle de danse en juin est l’événement de l’année dans la commune.À noter que l’offre de danse s’étend des cours d’éveil pour les plus jeunes à l’initiation au modern jazz, street jazz et K-pop. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Montescourt-Lizerolles (Aisne) Montescourt-Lizerolles : plus de 200 licenciés pour l’association Mély Mélo Fondée en 2009, l’association rassemble aujourd’hui plus de 200 licenciés et s’affirme comme un acteur incontournable et dynamique de la vie associative locale.
Claire Marais-Beuil est contestée en interne. Elle affirme qu’elle choisira le mandat de maire à celui de députée si elle est élue. Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:10 Lecture zen « Ce n’est pas la personne qu’il fallait mettre ». La fédération du Rassemblement national aussi a ses frondeurs ! Cinq bénévoles du bureau directeur (Philippe Falaise, Nanou Nenette Anzel, Isabelle Lescalle, Sébastien Michel et Michel Streiff) ont en effet démissionné comme l’ont révélé nos confrères de Oise Hebdo, pour protester contre le choix, par la commission nationale d’investiture, de Claire Marais-Beuil, comme candidate aux élections municipales 2026 à la mairie de Beauvais. « Il y avait deux autres candidats, dont un qui n’a pas été entendu », confirme de son côté agacée Isabelle Lescalle, également démissionnaire, et pourtant assistante parlementaire de Philippe Ballard, figure de premier plan du Rassemblement national, député de la deuxième circonscription de l’Oise.L’ombre de Sébastien ChenuSi Isabelle Lescalle, « rémunérée » par Philippe Ballard insiste-t-elle, préfère rester sur la « réserve », d’autres démissionnaires comme Philippe Falaise se lâchent. À ses yeux, le parti est « un parti comme les autres dans l’Oise » où règnerait le « copinage. Claire Marais-Beuil est très proche de Sébastien Chenu, qui pèse énormément au sein du Rassemblement national. Et elle lui doit son investiture alors que franchement au sein du parti, elle est très discutée. Claire Marais-Beuil va se vautrer et tant mieux ». Nous avons tenté de joindre Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national, il n’avait pas répondu à nos sollicitations à l’heure où nous écrivions ces lignes. Pas plus qu’Alexandre Sabatou, délégué départemental du parti.Claire Marais-Beuil, députée de la première circonscription de l’Oise, de son côté, affiche une certaine sérénité : « Pour la plupart ce sont des anciens, et tant mieux s’ils partent. Ça va faire du bien ». S’agissant des deux autres candidats, « l’un n’habitait pas Beauvais et le deuxième n’a pas déposé de dossier à la CNI. Certains n’ont jamais fait de politique et veulent déjà arriver tout en haut, c’est comme ça. Quant au trésorier, il m’en veut car j’avais émis des réserves le concernant ». Philippe Falaise, ex-gérant du Mymos, une discothèque à Bresles, avait été condamné en 2005 à dix mois de prison dont six avec sursis dans une affaire de trafic de voitures volées. Par Matthieu Herault Municipales 2026 : la fédération RN en crise de nerfs contre Claire Marais-Beuil, « elle va se vautrer et tant mieux » Le choix de Claire Marais-Beuil comme candidate RN pour les municipales à Beauvais a provoqué la démission de cinq membres du bureau qui dénoncent le « copinage » d’un parti « malheureusement comme les autres dans l’Oise ».
Christo Popov soulève le trophée des BWF World Tour Finals, une première pour un joueur français (Photo by Jade Gao / AFP) - AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:10 Lecture zen Christo Popov a écrit une nouvelle page du badminton français en remportant dimanche les World Tour Finals de badminton en Chine, équivalent des Masters de tennis, une première pour un joueur tricolore. Le joueur de 23 ans, 8e au classement mondial, a réalisé un double exploit puisqu’il s’est offert le n°1 mondial Shi Yu Qi sur ses terres, en deux manches (21-19, 21-9). Consultez l’actualité en vidéo La veille, il était déjà devenu le premier Français à atteindre la finale de cette dernière compétition de la saison, réunissant les meilleurs joueurs de l’année et à laquelle il participait également pour la première fois. « Si on m’avait dit la semaine dernière avant de partir que j’allais gagner, cela m’aurait paru improbable », a-t-il déclaré pour la Fédération française de badminton.A Hangzhou, il a réalisé un parcours parfait, avec 100% de victoires dont des succès contre le Danois Anders Antonsen et le Thaïlandais Kunlavut Vitidsarn, respectivement troisième et deuxième mondiaux. Il ne lui manquait plus que le N.1. « Jour après jour c’était compliqué, il fallait beaucoup d’énergie mentale et physique. Je suis content d’avoir pu concrétiser cela, en Chine en plus, qui est un peu l’un des pays du badminton », a-t-il encore apprécié.Le plus beau titre de sa jeune carrièreEt les sept places d’écart au classement du circuit «BWF», le circuit international de badminton, ne se sont pas vraiment vues, tant le natif de Sofia, en Bulgarie, a su imposer son jeu devant le Chinois pourtant redoutable cette année, sacré champion du monde à Paris l’été dernier. Mais après avoir tenu le coup pour s’offrir la première manche, Popov a définitivement fait flancher son adversaire du jour en prenant le large pour aller s’offrir l’un des plus beaux titres de sa carrière, à 23 ans.Petit frère d’un autre Français prometteur, Toma Junior, Christo Popov est depuis plusieurs années considéré comme un grand espoir de sa discipline, au même titre qu’Alex Lanier, avec qui il occupe le top 10 mondial. Le badiste de Fos-sur-Mer n’était pas le seul représentant tricolore cette semaine dans l’Empire du milieu puisque Delphine Delrue et Thom Gicquel étaient également en lice en double mixte. La pensionnaire du BC Chambly s’est arrêtée en phases de poules au côté de son coéquipier, avec un bilan d’une victoire et deux défaites. Par AFP Badminton : exploit de Christo Popov, premier vainqueur français des World Tour Finals Le joueur de 23 ans a écrit une nouvelle page d’histoire du badminton français en remportant ce dimanche l’équivalent des Masters de tennis, une première pour un badiste tricolore. Il a battu chez lui en finale le n°1 mondial Shi Yu Qi (21-19, 21-9).
Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:09 Lecture zen Des passagers ont rapporté avoir vu des flammes émanant d’une aile de l’appareil.Le vol AF7562 a changé de cap vers l’aéroport de Lyon après seulement 37 minutes de vol. Selon Air France, cette décision a été prise en raison d’un « problème technique » et en se fondant sur le principe de précaution. Ces informations confirment celles diffusées par le journal Corse Matin.La compagnie précise qu’il s’est agi d’un « pompage moteur », un phénomène causé par la formation de bouchons d’air dans le moteur, qui provoque des vibrations fortes et pousse l’équipage à éteindre le moteur.Air France assure que ce type d’incident est bien connu dans l’aviation et que les équipages sont entraînés pour y faire face. Plusieurs passagers, interrogés par RTL, évoquent d’intenses secousses et affirment avoir vu une « aile en flammes ».Ce genre d’incident est extrêmement rare compte tenu du nombre de vols opérésUn expert aéronautique« D’un coup, l’avion a chuté », raconte Christelle, une voyageuse. « Les boutons, tout s’allumait, tout clignotait. Un monsieur a même pris ses enfants dans les bras pensant que l’avion allait s’écraser. »Un spécialiste du secteur explique que la décision de détourner l’avion a été prise au moment où les vibrations ont commencé. Une fois le moteur arrêté, les vibrations ont cessé et l’avion a pu atterrir à Lyon.Selon cet expert, même si « voler sur un seul moteur n’est pas une situation normale », cela reste un cas étudié et géré dans l’aérien. L’atterrissage a eu lieu sans incident sur un seul moteur.Aucune alarme incendie n’a retentiL’expert ajoute que, contrairement aux impressions, ni l’aile ni le moteur n’étaient en feu, et aucune alarme incendie n’a retenti. Il n’écarte pas toutefois la possibilité que de petites flammes aient été visibles brièvement à la sortie du moteur, phénomène courant lors de ce type d’incident.L’Airbus A320 du vol était doté de deux moteurs CFM56, produits par la coentreprise CFM (Safran/GE), « parmi les moteurs les plus fiables au monde », selon le même connaisseur. Ce genre d’incident est « extrêmement rare compte tenu du nombre de vols opérés ». À lire aussi Ajaccio : la police tue un homme de 26 ans menaçant et armé d’un couteau L’équipage a posé l’avion à Lyon à 18h25, heure locale. Les voyageurs ont embarqué sur un nouvel appareil à 22h39 pour Bastia, avant d’être conduits en bus vers Ajaccio, leur destination initiale, avec une arrivée en Corse le 21 décembre 2025 à 3h du matin.Air France a exprimé ses regrets aux passagers pour le désagrément occasionné et a souligné que la sécurité reste sa priorité absolue. Par AFP Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Ajaccio (Corse-du-Sud) « D’un coup, l’avion a chuté » : pourquoi le vol Air France Paris-Ajaccio a été contraint d’atterrir à Lyon samedi Un avion d’Air France, assurant la liaison entre Paris-Orly et Ajaccio, a été contraint de se dérouter vers Lyon samedi, à la suite d’une panne moteur, selon un communiqué de la compagnie ce dimanche.
Les chorales Chrysalide et Musico Chœur de Travecy, dirigées par Christine Depierre, ont offert un superbe concert de Noël, accompagnées au piano par le maire Jean Farez. Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:04 Lecture zen À l’approche des fêtes de Noël, la commune de Viry-Noureuil n’a pas manqué de célébrer la magie des chants de la Nativité. Grâce à la chorale Chrysalide, dirigée par sa cheffe de chœur Christine Depierre, et à Musico Chœur de Travecy, un magnifique concert a été offert ce samedi dans la salle polyvalente de la commune, devant un public nombreux et enthousiaste. À lire aussi Abbecourt : la tradition des colis de Noël perpétuée auprès des seniors Les spectateurs ont pris un réel plaisir à reprendre en chœur des classiques tels que Noël blanc, Petit Papa Noël ou encore Il est né le…, portés par l’énergie et le talent de Christine Depierre, particulièrement inspirée. À souligner également la présence de Jean Farez, maire de Viry-Noureuil, qui a accompagné les chorales au piano durant toute la représentation.Une nouvelle fois, la municipalité de Viry-Noureuil a su offrir un beau moment de partage et de joie à ses habitants. Viry-Noureuil : un concert de Noël empreint de magie et de partage À l’approche des fêtes, la salle polyvalente de Viry-Noureuil a résonné des plus beaux chants de Noël, portés par les chorales Chrysalide et Musico Chœur de Travecy, devant un public nombreux.
L’équipe de la médiathèque de Gournay-en-Bray a installé son accueil dans le hall de l’Atelier. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:53 Lecture zen Les usagers de la médiathèque Michel Bussi de Gournay-en-Bray ont pu noter ces dernières semaines un changement à l’entrée de l’Atelier. L’accueil se trouve maintenant dans le hall du centre culturel et associatif. Cette nouvelle organisation fait partie des mesures proposées par le nouveau contrat territoire lecture (CTL), qui vient d’être signé mardi 16 décembre 2025 entre la commune, l’État et le Département, pour 2026-2028. Parmi les nouveautés mises en place dans le cadre du renouvellement du contrat territoire lecture à la médiathèque de Gournay-en-Bray, un fonds « facile à lire » bien identifié. - Photo Paris Normandie L’équipe de la médiathèque de Gournay-en-Bray a installé son accueil dans le hall de l’Atelier. - Photo Paris Normandie « On s’est agrandi, car mine de rien, on a plus que doublé la fréquentation depuis 2022, on a besoin de trouver plus d’espace, explique Juliette Dupart, coordinatrice du dispositif. L’objectif est aussi de faire un accueil commun avec l’Atelier, on attire ainsi ceux qui viennent pour les activités associatives, notamment les parents qui attendent leurs enfants. » À lire aussi Un premier livre et un premier prix pour Elina Ebreuil, jeune autrice de Gournay-en-Bray Essaimer sur tout le territoireCe réaménagement fait partie de premier axe du contrat, « nouveaux services, nouveaux usages », qui comprend aussi le développement d’un fonds « facile à lire » bien identifié et la création d’un espace dédié aux jeux de société, pour répondre aux demandes du public.Le deuxième axe est de développer la lecture publique avec les partenaires locaux de la médiathèque : les ciné-débats, les ateliers avec les écoles et les PEP 76, la nuit de la lecture, la semaine de la petite enfance, les petits champions de la lecture… Des animations qui ont déjà attiré le public les années précédentes et que l’équipe de Gournay souhaite faire perdurer. « Ces actions ont permis de créer du lien et d’attirer de nouvelles personnes. On va répondre à d’autres appels à projet pour créer une dynamique. On souhaite aussi travailler avec les autres bibliothèques du territoire, pour commencer à créer un réseau, que ce soit pour prêter des livres, échanger sur nos projets… » Car même si le CTL est signé à l’échelle communale, l’objectif est de s’appuyer sur le succès du premier contrat pour essaimer sur tout le territoire de la communauté de communes des 4 Rivières. À lire aussi Instant carte réunit les passionnés de jeux de cartes à Gournay-en-Bray Ateliers d’écriture et bibliothérapieUne démarche indispensable pour mener à bien le 3e axe : « (re)donner le goût de la lecture : un levier pour la santé mentale des jeunes ». « On aimerait réaliser un observatoire de la pratique de la lecture chez les 0-15 ans, sur tout le territoire, donc là on va avoir besoin des autres structures. » Des ateliers d’écriture à destination des jeunes vont aussi être programmés dès le printemps tandis que la médiathèque veut proposer de la bibliothérapie pour lutter contre le mal-être des enfants et des adolescents. À lire aussi Dans le pays de Bray, ce pôle culturel va bientôt fêter son premier anniversaire « Répandre la culture de la lecture à Gournay et sur le territoire » Les partenaires du contrat territoire lecture s’accordent sur l’importance de développer la pratique de la lecture, notamment en milieu rural. « Ce contrat est un engagement fort pour répandre la culture de la lecture à Gournay et sur tout le territoire, apprécie le maire Eric Picard. L’attention est portée sur un public élargi, mais particulièrement sur la jeunesse, à qui il faut donner l’appétit de la lecture. » Pour Benoit Roger, directeur académique, « un élève qui lit pour le plaisir va développer des capacités pour mieux comprendre les textes, les énoncés et donc toutes les disciplines ». La sous-préfète Audrey Baconnais-Rosez va plus loin : « L’apprentissage de la lecture, c’est un guichet vers l’information, l’emploi, les démarches administratives. » Par Anne BOUCHET Partenaires, jeunesse et santé mentale : les priorités du contrat territoire lecture à Gournay-en-Bray La commune de Gournay-en-Bray vient de renouveler son contrat territoire lecture, avec l’État et le Département. Trois nouveaux axes ont été choisis pour les trois prochaines années : nouveaux usages, tous acteurs de la lecture, la santé mentale des jeunes.
Corinne Bécourt au centre, avec une partie de ses colistiers ou sympathisants. Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:51 Lecture zen C’est une autre vie que va entamer Corinne Bécourt. À lire aussi Municipales : avec de la volonté mais en ordre dispersé, la gauche tentera de bousculer la majorité à Saint-Quentin À partir du 1er janvier 2026, la fonctionnaire territoriale de la ville de Saint-Quentin sera officiellement en retraite. Et pourra donc candidater et siéger si elle est élue, au conseil municipal. « C’est vraiment tout à fait justifié que ce soit Corinne, vu son engagement dans la ville, et vu ses années d’engagement sur le terrain, à militer tout le temps, qui mène la liste, et qui puisse représenter le Parti communiste au conseil municipal aux prochaines élections, quoi qu’il arrive », a justifié Aurélien Jan, l’un des deux conseillers municipaux communistes à Saint-Quentin.Si elle a toujours pris une part prépondérante dans les combats de sa section dans les différentes élections, c’est la première fois cependant qu’elle va mener la liste communiste à une élection municipale. Pas de quoi l’effrayer, bien au contraire. Plus que jamais même, sa candidature est légitime selon elle. « J’ose affirmer que face à cette situation d’extrême menace pour nos vies, pour le monde, ensemble, nous résistons, dit-elle. Et que le sens de notre candidature est le plus possible de résister là où il se trouve, à Saint-Quentin, dans les quartiers, les entreprises, les institutions. »C’est ce rôle de porte-parole des combats pour « refuser la détresse, les destructions de tous les jours, refuser la collaboration des institutions dont la municipalité actuelle, refuser les dépotoirs de la colère téléguidée par le grand capital mondial » que Corinne Bécourt veut endosser.« Nous ne sommes pas des politiciens »La tête de liste communiste résume son opposition par « trois phrases qui vont nous ressembler : pas d’argent pour la guerre, pas un homme, pas un centime. Pas d’argent pour la dictature de l’Union européenne, pas de chantage à l’écologie dévoyée. Refus absolu que Saint-Quentin soit le relais de cette politique pour des intérêts politiciens. »Les politiciens justement. Ce sont eux dont Corinne Bécourt veut se démarquer. « Nous n’allons pas vers les électeurs par opportunisme mais en homme, en femme, profondément convaincus que nous devons défendre une autre conception de la société », affirme-t-elle.Le programme détaillé, ainsi que l’ordre des colistiers seront présentés dans les semaines à venir. Par Gregory BEUSCART Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Municipales Aisne Saint-Quentin (Aisne) Pour la première fois, Corinne Bécourt emmènera les Communistes aux municipales à Saint-Quentin La dirigeante de la section saint-quentinoise, qui sera en retraite le 1er janvier de la fonction territoriale, pourra conduire une liste de lutte contre les politiques actuelles menées tant au niveau national que local.
Le FC Dieppe et les Blue Herrings ont organisé un déplacement des supporteurs et licenciés à Orléans pour le 32e de finale de la Coupe de France : 380 personnes à bord de six bus sont parties du stade Jean Dasnias dimanche 21 décembre 2025. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:38 Lecture zen Il y avait foule ce dimanche 21 décembre 2025 en fin de matinée au stade Jean Dasnias de Dieppe. Le club de football et le kop ont organisé un déplacement à Orléans pour le match de 32e de finale de la Coupe de France. 380 personnes se sont inscrites (dont 170 jeunes joueurs de 6 à 20 ans) et remplissent six bus (trois pour les supporteurs, trois pour les licenciés et éducateurs). Supporters de la première heure, Thierry, Bertrand, Philippe, Michel et Mimi n’auraient pas raté ce déplacement à Orléans pour soutenir le FC Dieppe en Coupe de France. - Photo Paris Normandie À lire aussi Football – Coupe de France : le FC Dieppe veut continuer à écrire son histoire à Orléans « On savait que les supporteurs répondraient présents, assure Aurélien Pesquet, président des Blue Herrings. On a proposé un tarif abordable, grâce au soutien financier du club. L’objectif est de passer un bon moment et montrer notre soutien aux joueurs. On va faire beaucoup de bruit ! On a des chances de gagner, on y va pour ça en tout cas. » Les membres des Blue herrings, les Ultras, chargent leur matériel avant le départ pour Orléans. - Photo Paris Normandie « À Orléans, ils vont nous voir arriver ! »« Au début, du côté du club, on pensait remplir un bus… ajoute Cédric Rimbert, du staff du FCD. À Orléans, ils vont nous voir arriver ! C’est important ce moment, on met beaucoup de liens avec l’équipe première, il n’y a pas de barrière avec le reste du club et les supporteurs. C’est notamment grâce au coach qui est très ouvert, très proche, ça donne le ton, ça implique tout le monde. Ici, c’est plus qu’un club, c’est toute la ville. » && Pour cette expédition vers Orléans, on est venus entre amis, en famille. Jonathan, membre des Blue Herrings et habitué des déplacements, a profité de l’occasion pour venir avec ses deux fils, Joachim et Erwann, licenciés au FCD. « On aime bien encourager les joueurs et chanter avec les supporters, on est déjà bien entraînés », confient les deux garçons. « C’est très important de soutenir l’équipe et le club », complète leur père. Jonathan, membre des Blue Herrings et habitué des déplacements, a profité de l’occasion pour venir avec ses deux fils, Joachim et Erwann, licenciés du club. - Photo Paris Normandie À lire aussi « C’est historique… » Quand Dieppe affrontait Marseille en 8e de finale de la Coupe de France « On soutient nos joueurs et ils nous le rendent bien »Pour Zia et Shona, toutes les deux membres du pôle féminin, ce déplacement est une première. « On est passionnées par le football, donc on est très impatientes d’assister à ce match, de partager ce moment avec tout le monde. » « Si on passe, ça sera génial », commente David, le père de Shona, qui est pourtant un fan depuis « seulement » trois ans. Zia et Shona, membres du pôle féminin du FCD, participent à leur premier déplacement, avec David, le père de Shona. - Photo Paris Normandie Emmy et Noellys assistent à tous les matches, entre copines. - Photo Paris Normandie À lire aussi On passe à table avec Patrick Coquelet : « La Coupe de France au menu, c’est ce que je préfère » La bonne ambiance, c’est ce qui revient dans la bouche de toutes les personnes présentes ce dimanche midi au stade et prêtes à encourager leur équipe jusqu’à Orléans. « C’est rare pour un club de N2 », explique Sébastien. Thierry, Bertrand, Philippe, Michel et Mimi sont, eux, des supporters de la première heure, abonnés depuis 50 ans pour certains et de quasiment tous les déplacements. « Il y a toujours eu une ambiance familiale en tribune, pas de débordements. On se fait même des amis. On soutient nos joueurs et ils nous le rendent bien. Le plus beau cadeau qu’ils pourraient nous faire pour Noël, ce serait de gagner ! »32e de finale entre Orléans et Dieppe à partir de 17 h 30, à suivre sur beIN Sports 1 (multiplex), beIN Sports 8 (match). Retransmission de la rencontre au Novick’s Stadium à Dieppe. Par Anne BOUCHET Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Dieppe « Ce serait un beau cadeau de Noël » : près de 400 supporteurs dieppois à Orléans pour la Coupe de France Six cars bien remplis sont partis de Dieppe dimanche 21 décembre 2025 à midi pour rejoindre Orléans. Les près de 400 supporteurs et licenciés du FCD vont soutenir les Harengs qui espèrent se qualifier pour le 16e de finale de la Coupe de France de football. Video
Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:36 Lecture zen Plus de 150 personnes ont été secourues au cours de la journée du samedi 20 décembre 2025 en tentant de traverser la Manche, dans des conditions encore difficiles. Le Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) du cap Gris-Nez dans le Pas-de-Calais a mobilisé plusieurs navires, vedettes et moyens aériens pour porter assistance aux embarcations en difficulté.Les autorités ont été mobilisées dès le début de matinée samedi alors qu’un bateau surchargé venait de quitter le secteur de Malo-les-Bains près de Dunkerque (Nord). Après plusieurs heures de surveillance, neuf migrants sont pris en charge tandis que l’embarcation poursuit son chemin en direction de l’Angleterre. « Compte tenu de la fragilité structurelle des embarcations systématiquement surchargées, le choix est fait de ne pas contraindre les migrants à embarquer sur les moyens de sauvetage de l’État, pour éviter de mettre en péril leur vie en cas de naufrage », souligne la préfecture dans son bilan d’intervention.«Difficile été comme hiver»Dans la soirée du 20 décembre, une nouvelle embarcation fait l’objet d’un sauvetage : 61 personnes ont été récupérées et débarquées à Calais pour être prises en charge par les services de secours. Les autres occupants ont été secourus par les autorités britanniques. À lire aussi «Un symbole» : des agriculteurs manifestent devant la villa de Macron au Touquet Et dans la nuit du 20 au 21 décembre, une panne moteur contraint un bateau de migrants à demander rapidement l’assistance des moyens de secours pour sauver 81 occupants, débarqués en fin de nuit à Calais. Au total, dix-huit traversées de la Manche ont été tentées vers l’Angleterre dans un secteur, rappelle la préfecture, « difficile été comme hiver en particulier pour des embarcations précaires et surchargées ». Par G. CA. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Angleterre Calais (Pas-de-Calais) Dunkerque (Nord) Dix-huit embarcations ont tenté la traversée de la Manche le 20 décembre, plus de 150 personnes secourues La préfecture maritime de la Manche et de la Mer du Nord a mobilisé d’importants moyens de secours samedi 20 décembre à suite de départs de migrants à destination de l’Angleterre.
Les élèves ont déposé leurs lettres au père Noël. Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:32 Lecture zen Les élèves des écoles ont vécu une dernière journée de classe avant les vacances particulièrement riche en émotions. À cette occasion, la municipalité avait installé une boîte aux lettres spéciale dans la cour de l’école, permettant aux enfants de déposer leurs messages à destination du père Noël. À lire aussi Carte : retrouvez les marchés de Noël 2025 dans l’Aisne Moment très attendu, le père Noël est venu en personne relever le courrier, accompagné d’un bonhomme de neige, pour le plus grand bonheur des élèves. Il n’est pas parti les mains vides, puisqu’il a également distribué des bonbons aux enfants.Dans le même esprit, la commune a installé une splendide crèche dans l’église. La journée s’est conclue avec le traditionnel marché de Noël organisé par l’association des parents d’élèves Les Amis de l’École. Très fréquenté, l’événement a une nouvelle fois rassemblé de nombreux habitants. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Grugies (Aisne) Grugies : la magie de Noël s’invite à l’école Pour marquer la dernière journée de classe avant les vacances scolaires, la commune a organisé plusieurs animations autour de Noël à destination des élèves et de leurs familles. Le père Noël est notamment venu relever son courrier.
L’ancienne maison d’arrêt, lieu chargé d’histoire, est mise en vente par les services de l’État. - Services de l’État L’ancienne maison d’arrêt, lieu chargé d’histoire, est mise en vente par les services de l’État. - Services de l’État L’ancienne maison d’arrêt, lieu chargé d’histoire, est mise en vente par les services de l’État. - Services de l’État L’ancienne maison d’arrêt, lieu chargé d’histoire, est mise en vente par les services de l’État. - Services de l’État L’ancienne maison d’arrêt, lieu chargé d’histoire, est mise en vente par les services de l’État. - Services de l’État L’ancienne maison d’arrêt, lieu chargé d’histoire, est mise en vente par les services de l’État. - Services de l’État Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:32 Lecture zen Un ensemble immobilier en forme de croix latine construit à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. Articulé autour d’une vaste rotonde centrale, il comprend une grande galerie de 40 mètres de longueur pour 15 mètres de largeur, soit environ 600 m² sur quatre niveaux. S’y ajoute une plus petite galerie de 32 mètres de longueur pour 15 mètres de largeur elle aussi : environ 480 m² sur quatre niveaux, dont un en sous-sol. Idem pour ce qui est appelé « le nouveau quartier » : là aussi, 480 m² sur quatre niveaux avec l’un d’eux en sous-sol. Comptez encore 550 m² pour la zone des parloirs, du greffe et des bureaux de l’administration. Mais aussi un bâtiment secondaire édifié durant la Seconde Guerre mondiale. Et encore deux galeries en sous-sol et des greniers pour tous les bâtiments, ainsi qu’un parking extérieur. Au total, une surface utile de plus de 8800 m², le tout sur un terrain de 18300 m². À lire aussi Tribunal, prison… Six mois après la visite de Gérald Darmanin, que reste-t-il de ses annonces à Rouen et Dieppe ? Des logements en prioritéCe bien – immense, rarissime, insolite et exceptionnel – est mis en vente depuis quelques jours par l’État, propriétaire du site depuis « des temps immémoriaux ». Il s’agit de l’ancienne maison d’arrêt de Caen, située au cœur de l’agglomération, 10 rue du Général-Duparge, près de la route de Bayeux. Si le prix de ce bien n’est pas indiqué, on sait néanmoins qu’il sera vendu par appel d’offres.Des visites sont organisées jusqu’au 27 mars 2026 et la date limite de réception des offres est fixée au 10 avril, 12 h. L’objectif de cette cession est d’aménager des logements – un minimum de 93, dont une partie en logements sociaux –, tout en conservant une partie de la mémoire des lieux, devenus libres depuis le transfert des détenus à la maison d’arrêt construite à Ifs, dans la banlieue caennaise, et mise en service depuis décembre 2023.Un massacre au sein de la prisonCe bâtiment mis en vente a une histoire importante qu’il importe de conserver. Avec son architecture typique du milieu carcéral de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, il a accueilli certains des plus grands criminels, comme Patrick Henry ou Francis Evrard. Surtout, cette maison d’arrêt fut marquée par la Seconde Guerre mondiale.Le 6 juin 1944, tandis que les troupes alliées débarquaient à quelques kilomètres de là, la Gestapo et ses auxiliaires français, connus sous le nom de « la bande à Hervé », y tuèrent 73 prisonniers, principalement des Résistants arrêtés au cours des mois précédents. Les nazis voulaient ainsi empêcher que ces Résistants normands soient libérés par les Alliés.Les victimes de cette horreur, dont le plus jeune, Colbert Marie, apprenti boucher n’avait que 17 ans, furent enterrées dans les courettes intérieures de la prison. Quelques jours plus tard, le 30 juin 1944, les corps seront déplacés juste avant la Libération de Caen par les Canadiens (9 juillet 1944). Depuis, ces corps n’ont jamais été retrouvés malgré de longues années de recherches. Des commémorations ont lieu chaque année à la mémoire de ces prisonniers exécutés.Un autre fait historique est rappelé par une stèle installée sur le chemin de ronde près du quartier jadis réservé aux femmes. Le drame est survenu durant la Seconde Guerre mondiale lui aussi : dans la nuit du 24 au 25 juillet 1944, vingt-quatre agents de l’établissement et leurs familles moururent durant un bombardement. À lire aussi Dans le rétro. À Dieppe, l’histoire tourmentée de la caserne du 39e régiment d’infanterie Faire vive la mémoire et transmettreAu regard de ces événements, on comprend donc l’exigence que l’État formule dans le cahier des charges de la cession de la maison d’arrêt. « Une attention toute particulière sera à apporter à la préservation de l’aspect mémoriel du site, y est-il indiqué. Il est donc souligné l’importance de conserver la mémoire a minima des courettes situées au sud et des plaques commémoratives dans l’objectif de créer un espace mémoriel (au sud de l’édifice, où ont été fusillés, puis enterrés provisoirement, la majorité des résistants tués le 6 juin 1944). De même, la portion du mur d’enceinte située à l’arrière de ces courettes devra être conservée dans la totalité de sa hauteur. Une attention particulière sera ainsi portée aux projets qui présenteront une forte valorisation de ces éléments (exemple : création d’un mémorial, jardin du souvenir, lieu de souvenir et de recueillement). » Dans ces conditions de cession, l’État précise que ces lieux de mémoire devront rester ouverts au public, par devoir de mémoire et de transmission aux nouvelles générations. Plus de 8000 m² de surface utile, vaste terrain clos : l’ancienne prison de Caen mise en vente par l’État L’ancienne maison d’arrêt située au cœur de l’agglomération caennaise vient d’être mise en vente par les services de l’État. Objectif : réhabiliter ces lieux chargés d’histoire pour en faire des logements.
Le président Régis Aubard et les membres de l’association lors de l’assemblée générale. Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:22 Lecture zen L’association Les Rotors de l’Aisne dresse un premier bilan très encourageant. Ce samedi, l’aérodrome de Roupy a accueilli l’assemblée générale de la jeune association Les Rotors de l’Aisne, présidée par Régis Aubard. Créée en janvier 2025, l’association compte déjà 15 membres, tous passionnés par les aéronefs à voilure tournante, notamment les hélicoptères et les autogires. À lire aussi Marle : fin de l’aventure pour le marché mensuel Cette première assemblée générale a permis de faire le point sur les débuts de la structure, marqués par une dynamique positive et de nombreux projets. L’association a notamment annoncé son affiliation à la Fédération Française d’Hélicoptère (FFH), prévue pour janvier 2026, une étape importante pour sa reconnaissance et son développement.Une jeune association déjà bien structuréeLes Rotors de l’Aisne bénéficient également d’une subvention de la Région Hauts-de-France, un soutien financier précieux qui permettra de consolider les actions menées et d’envisager l’avenir avec ambition. Le président a souligné la nécessité de développer des partenariats locaux et régionaux afin de pérenniser les activités et d’élargir le rayonnement de l’association.L’assemblée générale est également revenue sur le premier rassemblement organisé par l’association, qui s’est tenu les 6 et 7 septembre 2025 à l’aérodrome de Roupy. Une véritable première pour les bénévoles, qui a nécessité beaucoup de travail et d’engagement en amont. Le bilan s’est toutefois révélé très positif, avec près de 3 000 visiteurs accueillis dans des conditions optimales. La sécurité, priorité absolue de l’association, a été parfaitement assurée, tant pour le public que pour les pilotes. Des machines venues de Belgique et de la région parisienne ont également fait le déplacement, témoignant de l’attractivité de l’événement.Des événements d’ampleur pour 2026« L’année 2026 sera marquée par un événement unique et majeur dans les Hauts-de-France. Un grand rassemblement exceptionnel est en effet prévu les 18 et 19 juillet sur l’ancienne base aérienne de Clastres, avec la participation attendue d’environ 70 machines », informe le président Régis Aubard.Au programme : animations, stands et baptêmes de l’air, pour le plus grand plaisir du public. Les organisateurs espèrent un vif succès pour ce rendez-vous d’envergure. Par P.B (CLP) Roupy : Les Rotors de l’Aisne prennent leur envol Réunie à l’Aérodrome de Roupy, la jeune association Les Rotors de l’Aisne a dressé un premier bilan très encourageant. Créée en janvier 2025, elle affiche déjà une dynamique solide, portée par la passion des hélicoptères et autogires, des soutiens institutionnels et des projets d’envergure.
Bertrand et Valérie d’Estrées-Mons ont anticipé leurs achats alimentaires pour le réveillon de Noël. - (Photo Kévin Devigne) Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:21 Lecture zen C’est la dernière ligne droite avant le réveillon de Noël. L’affluence dans les hypermarchés n’était pas vraiment une surprise ce week-end, d’autant que beaucoup étaient ouverts dimanche toute la journée. Les consommateurs sont-ils moins dépensiers avec l’inflation ? Des éléments de réponses au fil des rencontres. Bertrand et Valérie d’Estrées-Mons ont anticipé leurs achats alimentaires pour le réveillon de Noël. Ils sont plus sereins dans la dernière ligne droite. - (Photo Kévin Devigne) « On ne mange plus tout à fait comme avant, aussi parce qu’aujourd’hui certains produits, comme le saumon et le foie gras, sont vendus toute l’année. Globalement, c’est excessivement cher. Malgré tout, on se fait plaisir à table », affirme Bertrand, en guise de mise en bouche. L’homme est sorti le premier de l’hypermarché au nord de Péronne. Son épouse Valérie qui s’occupe des menus, est sur ses talons. « Tout est prêt dans le congélateur, énonce-t-elle dans un grand sourire. J’ai acheté le saumon en avance, ainsi que les noix de Saint-Jacques quand elles étaient à six euros et non à quarante euros comme aujourd’hui… »Des spécialité d’ailleursOriginaire du Nord, le couple d’Estrées-Mons achète aussi dans son département d’origine, une spécialité de Valenciennes, la Lucullus, un foie gras retravaillé avec de la langue, mets adoré par toute la famille. « Je suis attentive aux promotions quelques semaines avant Noël. Au réveillon, c’est trois entrées, puis salade, fromage et bûche pâtissière. La viande, c’est seulement le lendemain midi, du veau cette année avec des pommes de terre et des champignons », confirme Valérie, offrant ainsi des suggestions à ceux qui seraient à court d’idées culinaires.« Noël, c’est sacré pour bien manger mais aussi pour faire plaisir aux enfants et petits-enfants », insiste le couple heureux des toutes prochaines retrouvailles familiales.L’anticipation semble le maître-mot pour beaucoup de clients rencontrés samedi à Péronne. Ingrid et Eddy d’Heudicourt achètent leur viande en direct chez un producteur local du Nord. - (Photo Kévin Devigne) Eddy d’Heudicourt présente un article alimentaire acheté spécialement pour le réveillon de Noël, un moment où il est toujours bon de se faire plaisir en famille. - (Photo Kévin Devigne) Eddy et Ingrid, d’Heudicourt, sortent avec un chariot qui laisse apparaître quelques articles pour les fêtes, des bûches glacées notamment. « Oui il faut se faire plaisir, mais en fait on a beaucoup acheté avant. Toutes nos viandes sont achetées en direct chez un producteur local à Wambaix dans le Nord voisin. C’est local, meilleur et pas plus cher qu’en supermarché », garantit Eddy, artisan de métier. Ce sera chapon au menu de Noël pour la sympathique famille.Pas de homard cette année et moins de foie gras Sylvie et Eric ont chargé leur voiture d’articles alimentaires, samedi à Péronne. Ils n’ont pas oublié l’incontournable foie gras. - (Photo Kévin Devigne) « Soulagée d’avoir fini les courses. Tout est cher dans les rayons… », soupire Sylvie, au sortir du second hypermarché de Péronne, tandis que son mari, Eric, range les sacs bien remplis dans le coffre de la voiture. « Cette année, je n’ai pas pris de homard, il est trois à quatre fois plus cher que l’an dernier et j’ai acheté moins de foie gras qui a pris au moins dix euros de plus », précise Sylvie.Le couple de jeunes sexagénaires domiciliés à Combles promet quand même de se faire plaisir, selon la formule consacrée et magique. « Je prépare moi-même les coquilles Saint-Jacques et c’est bien meilleur, assure Eric, quant à la Saint-Sylvestre on mangera de la truite plutôt que du saumon et c’est aussi bon ». Le contenu d’un chariot de courses alimentaires effectuées samedi 20 décembre à Péronne, à quelques jours du réveillon de Noël. - (Photo Kévin Devigne) Bonnet de mère Noël sur la tête, Véronique de Péronne confirme faire aussi « très attention aux prix ». « Ma dinde et mon chapon sont déjà dans le congélateur », sourit-elle. Pour Estelle et Antoine, « les fêtes de fin d’année, c’est tout de même et d’abord pour se faire plaisir ». Bien sûr. - (Photo Kévin Devigne) « On sait que le chariot sera plus rempli que d’habitude pendant les fêtes et qu’il coûtera inévitablement plus cher », confirment, philosophes, Antoine et Estelle, 27 ans tous les deux. « Les fêtes de fin d’année, c’est tout de même et d’abord pour se faire plaisir et nous avons la chance de travailler tous les deux. » Joyeuses agapes à tous. À lire aussi « Les gens sont moroses, cela se ressent dans les achats de Noël » : ambiance à Compiègne, dans le centre-ville Par Nicolas Totet Picardie : rush dans les commerces, avant de se faire plaisir à table pour Noël À quelques jours du réveillon de Noël, c’est le rush pour les courses alimentaires. Les consommateurs se réfrènent-ils ? Ambiance à la sortie de deux hypermarchés à Péronne.
A la mi-décembre, une vingtaine de jeunes ont investi le foyer. Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:16 Lecture zen Début décembre, Maignelay-Montigny a accueilli les premiers résidents au sein du foyer de la rue François-Mitterand, qui doit héberger à terme une cinquantaine de jeunes étrangers isolés. Dirigés dans cette commune du Plateau picard par le conseil départemental, en vertu de sa responsabilité vis-à-vis de l’aide sociale à l’enfance (ASE), ces jeunes sont pris en charge par l’association Coallia. Consultez l’actualité en vidéo Le 21 novembre dernier, une manifestation avait rassemblé les opposants à leur installation, parmi lesquels figurait Norbert Depresles, habitant de la commune mais aussi responsable du parti Reconquête dans la première circonscription de l’Oise. Le 16 décembre, il annonçait avoir saisi la Chambre régionale des comptes des Hauts-de-France. « Je l’ai saisie afin de demander un examen de l’utilisation des fonds publics consacrés au dispositif de prise en charge des mineurs non accompagnés, indique-t-il. Ma démarche intervient dans le contexte précis de l’implantation d’un foyer MNA (Mineurs non accompagnés, ndlr) sur la commune, qui a été décidée sans consultation préalable de la population. »« Le compte-rendu de la première réunion du comité de suivi, publié par la mairie de Maignelay-Montigny, indique que certaines personnes prises en charge comme mineures sont en réalité majeures, certaines étant connues comme âgées de 21 ans, poursuit Norbert Depresles. Le dispositif MNA repose juridiquement sur un critère fondamental : la minorité. Le maintien de personnes reconnues majeures dans ce cadre soulève donc des questions de conformité budgétaire, de finalité des crédits publics et de bonne administration. Ma saisine ne vise aucune personne individuellement, ne constitue aucune accusation, et a pour seul objectif de garantir le respect strict du droit, la sincérité de la dépense publique et la protection effective des mineurs. »La loi Taquet impose de garantir la continuité de leur parcours au-delà de leurs 18 ans lorsque leur situation administrative est régulariséeDépartement de l’OiseSollicité par le Courrier picard, le conseil départemental souhaite apporter en réponse « plusieurs éléments factuels et juridiques afin d’éclairer le public et de corriger certaines affirmations inexactes. » La collectivité dit agir dans le respect du droit : « La prise en charge des MNA s’inscrit dans un cadre légal précis, fixé notamment par la loi du 7 février 2022 relative à la protection des enfants, dite loi Taquet. Cette loi impose aux Départements d’assurer la protection et l’accompagnement des jeunes reconnus mineurs, mais également de garantir la continuité de leur parcours au-delà de leurs 18 ans lorsque leur situation administrative est régularisée. Ainsi, un jeune peut continuer à être accompagné après sa majorité, dès lors qu’il bénéficie de documents administratifs valides. Il ne s’agit ni d’un choix politique ni d’un contournement du droit, mais de l’application stricte de la loi. »À ce jour, les jeunes accueillis au sein du foyer de Maignelay-Montigny sont âgés de 15 à 17 ans (lire encadré). « Ils sont pleinement engagés dans un projet de vie et d’intégration, comprenant un parcours scolaire, de formation ou d’insertion professionnelle. Contrairement à ce qui est avancé, il ne s’agit pas de personnes reconnues majeures hébergées indûment au titre du dispositif MNA », poursuit le Département. Des majeurs pourraient toutefois demeurer de manière transitoire au sein du foyer. « La loi Taquet oblige à proposer, lorsque les conditions sont réunies, un ‘‘Contrat Jeune Majeur’‘ aux jeunes de l’ASE, qu’ils soient MNA ou non, et aux anciens MNA à condition que leur situation administrative soit régularisée. Cet accompagnement vise à sécuriser leur insertion et à prévenir toute rupture de parcours. Après 18 ans, l’objectif est clairement de les orienter vers des structures adaptées à un plus grand niveau d’autonomie, conformément aux orientations nationales et départementales. » Une vingtaine de résidents à la mi-décembre Au 16 décembre, 23 jeunes âgés de 15 à 17 ans, dont quatre filles, sont hébergés au sein du foyer. Maire de la commune, Denis Flour est le président du comité de suivi qui a été constitué autour de la gestion de ce foyer. Il est formé de représentants de l’État (sous-préfecture), du Département, de Coallia, du collectif d’opposition et de la municipalité. Cette dernière a communiqué à l’issue de la seconde réunion de ce comité censé faire le point mois après mois.« Quinze jeunes sont scolarisés soit au collège, soit au lycée, un peu partout dans l’Oise. Ils sont accompagnés par des éducateurs vers les transports en commun qui les emmènent vers le lieu d’apprentissage », apprend-on. Sitôt leur installation achevée, ces jeunes, « qui ont fui leur pays d’origine pour des questions de survie », pourraient bénéficier d’un accompagnement par la Mission locale et favoriser leur intégration via les associations sportives des environs. Par Maxime Piquet Des majeurs parmi les mineurs non accompagnés ? La Chambre régionale des comptes saisie Habitant de la commune et représentant du parti Reconquête, Norbert Depresles annonce avoir saisi la Chambre régionale des comptes. Il avance que le critère de minorité des jeunes accueillis au sein du foyer n’est pas respecté. Le Département, de son côté, invoque le droit.
Le père Noël était confortablement installé dans le bus pour attendre les enfants Le bus du père Noël Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:05 Lecture zen Depuis maintenant quatre ans, l’association Voyages Créations et Loisirs organise le passage du père Noël… En bus. Lequel a été spécialement décoré à cet effet samedi 20 décembre. Ce qui a permis au Père Noël, confortablement installé, de sillonner, outre Hombleux, Bacquencourt, Grécourt et terminer son périple à Canisy. Les enfants trépignaient d’impatience de rencontrer le Père Noël. Et dès que le bus est arrivé en klaxonnant, ils se précipitaient à l’intérieur pour prendre une photo avec lui mais aussi recevoir des friandises et déguster un chocolat chaud. « Le bus du père Noël connaît toujours un vif succès. À chaque fois ce n’est pas moins de soixante-dix enfants qui viennent rencontrer la star en cette période de fêtes », se félicite Fabrice Frison, président de l’association VCL. Le Père Noël n’avait pas manqué son bus à Hombleux Comme depuis plusieurs années, l’association Voyages Créations et Loisirs avait organisé une déambulation en bus du Père Noël dans les rues d’Hombleux, Canisy, Bacquencourt et Grécourt, samedi 20 décembre. Un périple qui a rencontré un gros succès.
Emmanuel Macron a entamé dimanche matin une visite aux Émirats arabes unis pour célébrer Noël avec les forces françaises qui y sont déployées. - AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:02 Lecture zen Emmanuel Macron a entamé dimanche matin une visite aux Émirats arabes unis pour célébrer Noël avec les forces françaises qui y sont déployées et vanter son partenariat avec ce pays du Golfe, dont Paris espère plus de coopération dans sa lutte contre le narcotrafic.Le président français est arrivé en fin de matinée (en heure locale) à Abou Dhabi, ont constaté des journalistes de l’AFP. Il a visité le flambant neuf musée national Zayed, accueilli tout en sourire et poignée de main par le président émirati, cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyane, et son prince héritier. À lire aussi Rodéos urbains, rave-party : Laurent Nuñez annonce un projet de loi pour durcir les sanctions Il doit s’entretenir avec Mohammed ben Zayed Al Nahyane afin d’évoquer « le renforcement du partenariat stratégique » entre leurs pays, selon la présidence française, qui souligne leur coopération « en matière de sécurité et de défense ». La France travaille avec les Émirats sur le plan militaire, plus de 900 soldats français y étant déployés sur trois bases.C’est devant eux qu’Emmanuel Macron doit s’exprimer dimanche après-midi, avant de partager une volaille aux morilles et une bûche de Noël préparées par les chefs cuisiniers de l’Élysée.Selon la tradition, le président français célèbre les fêtes de fin d’année auprès des troupes déployées à l’étranger. Les Émirats ont été choisis cette fois car « la région cristallise un ensemble de crises », a précisé l’Élysée cette semaine.D’autres crises, plus lointaines, restent au premier plan. Le Kremlin a fait savoir dans la nuit que Vladimir Poutine, dont le pays occupe des régions de l’Ukraine depuis bientôt quatre ans, était prêt à parler à Emmanuel Macron, répondant à des déclarations en ce sens du président français.Dimanche, l’Élysée a jugé cela « bienvenu » et dit que ses équipes aviseraient « dans les prochains jours sur la meilleure manière de procéder ». Tout en notant prudemment que tout se ferait « en toute transparence » avec Kiev et les Européens et afin d’aboutir à la paix.« Guerre » du narcoLa France coopère avec les Émirats sur un éventail de domaines allant de l’intelligence artificielle à la culture, en passant bien sûr par le commerce. Le pays pétrolier est son premier client en termes d’exportations au Proche et Moyen Orient, selon la présidence française. À lire aussi Polémique « sales connes » : Brigitte Macron se dit « désolée » si elle a « blessé les femmes victimes » Paris veut désormais s’assurer de l’appui des Émirats dans la « guerre » déclarée par le gouvernement français au narcotrafic.D’importants narcotrafiquants y auraient trouvé refuge, notamment à Dubaï, et se sont parfois constitué des patrimoines immobiliers imposants.La délégation française comprend d’ailleurs, en plus du ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot et de la ministre des Armées Catherine Vautrin, le ministre de la Justice Gérald Darmanin, qui avait déjà réclamé en novembre aux Émirats arabes unis l’extradition d’une quinzaine de narcotrafiquants présumés recherchés par la France.Le sujet du narcotrafic est omniprésent en France depuis l’assassinat en novembre de Mehdi Kessaci, le frère d’un militant engagé contre le narcotrafic, abattu en plein jour à Marseille.Mardi, à Marseille, Emmanuel Macron a dit vouloir rechercher la coopération des pays où se trouvent certaines « têtes de réseau », afin de « pouvoir saisir leurs biens » et obtenir leur arrestation.HouthisCertains des soldats français déployés aux Émirats contribuent à la lutte contre le narcotrafic.Sur l’imposante frégate « La Provence », des militaires de la marine tentent de repérer et d’intercepter des bateaux transportant de la drogue. Ils se trouvent à proximité de l’océan Indien, où se trouvent des routes importantes.En 2025, « plus d’une vingtaine de tonnes de drogue » ont déjà été saisies par la marine française dans la zone, une valeur marchande de plusieurs centaines de millions d’euros, selon le commandant de frégate Pascal Forissier. À lire aussi Agriculteurs en colère : vers une mobilisation encore plus massive en janvier ? Autant de stupéfiants sortis du marché. Mais, reconnaît le militaire, les saisies ne représentent « qu’une petite partie » de toute la drogue en circulation.Les militaires français participent aussi aux opérations Aspides, qui protègent les bateaux contre les frappes des rebelles houthis en mer Rouge, et Chammal, au sein de la coalition contre le groupe État islamique.D’après la présidence française, la présence des troupes aux Émirats illustre la volonté de la France de conserver une capacité « d’action autonome dans un contexte international tendu ».Lundi, Emmanuel Macron devrait être aux premières loges pour observer les moyens militaires français dans la zone au cours d’une démonstration organisée pour conclure sa visite.Il reprendra ensuite l’avion pour Paris, où l’attend l’épineux dossier du budget de l’État. Faute d’accord entre députés et sénateurs sur la question, un conseil des ministres doit se tenir lundi soir pour tenter de sortir enfin du blocage. Par AFP Emmanuel Macron aux Émirats pour fêter Noël avec les troupes françaises Emmanuel Macron a entamé dimanche 21 décembre 2025 une visite aux Émirats arabes unis pour célébrer Noël avec les forces françaises qui y sont déployées.
Et de 3 pour Nicolas Macaret, le roi de Vervins. Podium féminin du 12, 5 km. Podium masculin du 12,5 km. Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:02 Lecture zen Dans une nuée de lampes frontales transformant les coureurs en lucioles, 820 participants ont pris le départ à 19 h 30 précises, place Sohier, sous l’arche gonflable, dans une ambiance aussi festive que contagieuse. La capacité maximale a été atteinte côté peloton, avec 500 traileurs engagés sur les deux parcours proposés : 12,5 km et 8,6 km.Cette édition 2025, record en termes de participation, a tenu toutes ses promesses. Sur des terrains rendus délicats par une météo humide — mais sans pluie — les coureurs ont dû redoubler de vigilance sur des portions boueuses et glissantes. Rues pavées, sentiers, passages forestiers sublimés par des éclairages, lieux insolites de la ville : le tracé urbain et nature a mis les jambes à rude épreuve. À lire aussi Basket-ball (Betclic Élite) : une défaite qui fait mal et confirme les inquiétudes autour du SQBB Et au bout de l’effort, le même roi. Natif d’Hirson, âgé de 44 ans, Nicolas Macaret s’est une nouvelle fois imposé sur l’épreuve reine, au terme d’une course disputée jusqu’aux derniers kilomètres. Sourire aux lèvres après l’arrivée, il savourait : « Je suis toujours ravi de courir ici à Vervins. Il y a une super ambiance et une organisation au top. Cette année, ça a bataillé très fort jusqu’au bout, personne n’a lâché. »---------------------------Classements 12km (12500m)1. 4172 MACARET Nicolas (1) M 00:48:47 [00:48:46] 15.3 3:54 2. 4418 MERESSE Fabien (2) M XTER MORMAL NATURA 00:49:28 [00:49:26] 3. 4260 CRÉPIN Félicien (3) M Neutre 00:50:25 [00:50:24] 4. 4304 FASQUEL Damien (4) M Fourmies triathlon 00:50:44 [00:50:43] 5. 4311 FLEURY Thibault (5) M ATHLETIC CLUB BUCY LES 00:51:19 [00:51:18] et les 3 premières féminines 48. 4290 DIVRY Mégane (1) F CSCV HIRSON 01:03:44 [01:03:41] 49. 4259 COUTANT Hélène (2) F [EAC]-S/L UNION CAUDRY 01:03:44 [01:03:41] 61. 4329 GERAY Chloé (3) F 01:06:11 [01:06:07] Par Gilles Baclet (CLP) Athlétisme (Hors stade) : Nicolas Macaret signe un triplé dans la magie des frontales à Vervins Il est décidément imbattable. Licencié au club Rethel Courir, Nicolas Macaret a remporté, samedi soir, la 8ᵉ édition du Trail nocturne des remparts, signant ainsi un triplé historique après ses succès en 2022 et 2023.
La structure ouverte fin 2018 accueille cinq médecins, mais pour un équivalent de 2,06 temps pleins. Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:52 Lecture zen Le devenir du centre de santé, où des médecins sont salariés par le Pays noyonnais depuis son ouverture fin 2018, s’invite déjà dans la campagne des élections municipales de mars 2026. Un vif débat a opposé, lors du conseil communautaire du 17 décembre, l’ancien président de la communauté de communes, Patrick Deguise, à l’un des vice-présidents actuels, le gériatre Didier Payen. Ce dernier faisait un check-up de la structure de la rue de Paris, dont le projet de déménagement rue des Deux-Bornes a avorté : en 2025, elle a accueilli 2 154 patients ayant déclaré comme médecin principal l’un de ses praticiens, contre près de 3 000 en 2020.Un médecin vacataire de plus en 2026 ?« La baisse du nombre d’heures de consultations s’explique par le nombre d’heures de présence des médecins. Le centre de santé en compte actuellement cinq, dont quatre vacataires, pour un équivalent de 2,06 temps plein, précise Didier Payen. Mais nous avons été sollicités par un autre médecin, intéressé pour venir en vacataire avant l’été prochain ». Ce bilan partiel est loin de satisfaire Patrick Deguise : « En 2020, il y avait un total de 3,2 équivalents temps plein. Le centre de santé est aujourd’hui pratiquement mort : son activité est déficitaire, alors qu’elle était excédentaire au début ».Les habitants de plus de 75 ans représentent 51 % des patients de la structure intercommunale, selon le Pays noyonnais. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Noyon (Oise) Noyon : les médecins salariés du centre de santé s’occupent de 2 154 patients, une fréquentation en baisse Un vif débat oppose l’actuelle et l’ancienne majorités à propos du devenir de la structure ouverte voilà sept ans.
Le ministre de l’Intérieur s’est notamment appuyé sur le travail de son prédécesseur, Bruno Retailleau, chef des LR, pour élaborer ce projet de loi sur « la sécurité du quotidien ». - AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:43 Lecture zen Le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a annoncé préparer un projet de loi sur la sécurité du quotidien « avec des sanctions renforcées » pour les auteurs de rodéos urbains, dans une interview au Journal du dimanche.« Nous préparons un projet de loi, avec des sanctions renforcées, contre les mortiers, contre les rodéos urbains, avec suspension immédiate du permis de conduire et saisie du véhicule, et contre les rave-parties, qui pourrissent la vie de nos concitoyens », a-t-il détaillé.« Poursuites systématiques » pour les refus d’obtempérer« J’ai aussi repris un certain nombre de mesures sur lesquelles mon prédécesseur a travaillé » dans ce projet de loi sur la sécurité du quotidien, l’une de ses priorités, a souligné le ministre.Concernant les refus d’obtempérer, « j’ai demandé que les poursuites soient systématiquement envisagées », a assuré Laurent Nuñez.« Par ailleurs, un texte de loi passera devant le Parlement en février afin de donner plus de prérogatives aux policiers municipaux, les premiers acteurs de la sécurité du quotidien », a-t-il ajouté.Un « Beauvau des polices municipales » avait été lancé en avril 2024 après les émeutes en réaction à la mort d’un adolescent de 17 ans, Nahel Merzouk, tué par un policier en juin 2023 dans les Hauts-de-Seine.Pour les festivités du 31 décembre, le ministre a rappelé avoir « donné des instructions extrêmement claires à ce sujet : tolérance zéro pour les violences urbaines ».Laurent Nuñez a également donné comme « instruction de multiplier les contrôles de certains commerces ou épiceries » qui vendent des mortiers d’artifice « malgré l’interdiction ». À lire aussi Marchés de Noël : Laurent Nuñez demande aux préfets de « renforcer les dispositifs de sécurité » « En coopération avec la douane, les contrôles vont se multiplier aux frontières, afin de limiter l’arrivée de produits commandés sur internet, en provenance de Pologne ou de République tchèque », a-t-il poursuivi.Certains mortiers sont utilisés « contre les policiers », ce qui « n’est pas tolérable », a-t-il dit.« Les parties communes de nombreux immeubles » seront inspectées en amont du 31 décembre « afin de saisir de potentiels projectiles, des mortiers d’artifice notamment », a prévenu le ministre. Par AFP Rodéos urbains, rave-party : Laurent Nuñez annonce un projet de loi pour durcir les sanctions Le ministre de l’Intérieur s’est notamment appuyé sur le travail de son prédécesseur, Bruno Retailleau, chef des LR, pour élaborer ce projet de loi sur « la sécurité du quotidien ».
Le quad s’est retourné et son pilote alcoolisé a été blessé - (Photo d’illsutration) Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:26 Lecture zen Les pompiers sont intervenus à Chaulnes, dans la matinée du dimanche 21 décembre pour porter secours à un pilote de quad qui venait de perdre le contrôle de son engin et de se retourner, peu avant 9 h 40, alors qu’il circulait rue Lhomond, près de la mairie.Légèrement blessé, l’homme de 35 ans a été évacué vers l’hôpital d’Amiens tandis que les gendarmes de la communauté de brigades de Chaulnes-Rosières-Nesle procédaient aux constatations et mesuraient son alcoolémie qui s’est avérée positive. Ils ont ouvert une enquête. Par Vincent Fouquet Un pilote de quad alcoolisé blessé à Chaulnes Un accident s’est produit dimanche 21 décembre en matinée à Chaulnes : le pilote alcoolisé d’un quad a été légèrement blessé après avoir perdu le contrôle de son 4 roues, qui s’est retourné.
Cette Westfield XI, âgée de 40 ans, a attiré tous les regards ce dimanche. - Nicolas Tournant Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:23 Lecture zen L’Amicale rétro passion d’Amiens a organisé, dimanche 21 décembre, son dernier rassemblement de l’année au parc de la Hotoie. Le rendez-vous a rassemblé des propriétaires de voitures qui ne manquent aucun rassemblement mais aussi de nouveaux collectionneurs comme cet habitant de Péronne, dans l’est du département, qui a amené un véhicule très rare, en l’occurrence, une Westfield XI. Rappelons que c’est en 1982 que Christopher Kenneth Smith, pilote de Jaguar D-Type et de Lotus de compétition depuis les années 60, entreprend de fabriquer pour son usage personnel, dans le garage de sa maison de Westfield House, une réplique de la Lotus XI. Il fonde Westfield Sportcars en 1983, produit 87 exemplaires de sa Westfield XI dès 1984, et en assemble jusqu’en 1986 pour un total de 138 exemplaires. Le président de l’Amicale rétro passion d’Amiens, Claude Marion, s’est montré très enthousiaste. Il a, d’ores et déjà, annoncé le renouvellement des réunions informelles programmées chaque troisième dimanche du mois en 2026. Par De notre correspondant Nicolas Tournant Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens Une rare Westfield XI au rassemblement de voitures anciennes à Amiens L’amicale rétro passion d’Amiens a organisé, dimanche 21 décembre, son dernier rassemblement de l’année avec la présence d’un véhicule très rare, une Westfield XI âgée de 40 ans.
Pierre Carlu et les Beauvaisiens ont été les premiers à faire chuter Épinal, jusqu’à présent invaincu. Photo archives Eric Crémois Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:20 Lecture zen C’est une énorme performance qu’a réalisée, juste avant la trêve, le Beauvais OUC. En déplacement dans les Vosges, les Beauvaisiens ont infligé au leader jusque-là invaincu, sa première défaite en s’imposant largement 3-0. Cette sixième victoire (pour trois défaites) permet ainsi aux Boucistes de conclure 2025 sur la troisième marche du podium de leur poule à deux points des Spinaliens et cinq de Harnes (b), le nouveau leader qui compte cependant un match de plus. Consultez l’actualité en vidéo « Cela relance totalement le championnat, savourait l’entraîneur Michel Hunault. Les gars ont réalisé une très belle performance de surcroît largement méritée. Ils sont enfin récompensés de leur travail sur le plan des résultats avec cette rencontre probablement référence. »Un premier set gagné 38-36 !Malgré plusieurs erreurs, le BOUC a conquis de haute volée la première manche acharnée (36-38). Ce qui a peut-être posé les jalons de leur succès puisqu’ils ont livré une copie parfaite dans les deux sets suivants, au contraire de Vosgiens peu habitués jusqu’à présent à se faire mener. À lire aussi Football (Coupe de France) : les supporters de Chantilly ont répondu présent pour l’histoire « La clé a été notre service, observait le coach beauvaisien. Dans le premier set, on a commis beaucoup trop de fautes dans ce domaine. On a alors rectifié le tir. L’objectif était de prendre notre adversaire à la gorge, d’être agressif. Épinal n’a rien vu venir et n’a pas compris ce qui lui arrivait. Notre adversaire a commencé à s’énerver et paniquer. Contrairement à nous, où même dans les moments difficiles, on a su rester soudé. »Place maintenant à la trêve jusqu’au 10 janvier et la reprise de la compétition par la réception de Reims à la salle Coubertin de Reims. ÉPINAL – BEAUVAIS 0-3 Les sets : 36-38, 17-25, 21-25. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Volley Beauvais (Oise) Volley-ball (Nationale 2) : Beauvais réalise un sacré coup à Épinal En déplacement à Épinal, samedi 20 décembre, les Beauvaisiens ont totalement croqué le leader (0-3) et lui ont infligé sa première défaite de la saison.
Chantal Arvin-Berod, la maire de Bézu-la-Forêt, présente l’église sauvée. - Photo Paris Normandie Les peintures murales pourraient être refaites. - Photo Paris Normandie La couverture et la charpente de l’église Saint-Martin ont été réhabilitées. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:13 Lecture zen Elle date du XIVe siècle et est nichée presque au fond de la jolie vallée de la Lévrière. L’église Saint-Martin se dresse à nouveau avec sa couverture et sa charpente réhabilitées. À lire aussi Dans l’Eure, le chœur de cette église fermé pour sécurité, les offices maintenus Elle a fière allure dans ce paysage harmonieux, constitué de collines, de près et de sous-bois. Lors d’une première rénovation, en 1997, des peintures murales consacrées à la Passion du Christ et au massacre des Innocents ont été découvertes. L’église possède aussi un vitrail magnifique représentant les donateurs avec leurs armes : Jean de Cacqueray et Jeanne de Bouju, inhumés dans la chapelle. Ce patrimoine exceptionnel a valu à l’église de Bézu-la-Forêt l’inscription aux Monuments historiques en juin 2003.L’humidité en cause« En 2020, nous avons constaté que la charpente de la nef penchait dangereusement, et que l’humidité dégradait les maçonneries, ainsi que les peintures », explique Chantal Arvin-Berod, maire de Bézu-la-Forêt. « Le conseil municipal a alors décidé d’entamer les travaux de réfection importants. Nous avons déposé les dossiers pour obtenir des subventions pour un budget évalué à 1,2 M€. »La municipalité a obtenu l’aide de l’État, la DRAC, le département, la région pour boucler le budget, « d’autant que nous avons l’aide de la Fondation du patrimoine, qui a lancé une souscription, qui s’élève aujourd’hui à 16 500 €. La Fondation abondera en fonction des donations. » Et l’édile de poursuivre : « La tranche de travaux a débuté en novembre 2024, avec la restauration de la charpente et de la couverture et une mise en œuvre de l’assainissement autour de l’édifice. Nous avons terminé fin novembre 2025. »Les entreprises ont été sollicitées, dont Cruard Charpente pour… la charpente. « Cette entreprise est intervenue pour la réhabilitation de Notre-Dame de Paris » , glisse Chantal Arvin-Berod. « Reste encore l’électricité à installer, poursuit l’élue. « Nous pourrons dès l’année prochaine permettre la célébration de cinq messes en toute sécurité. Nous sommes fiers d’avoir sauvé ce patrimoine » dit-elle, saluant au passage l’action des donateurs et des bénévoles qui ont nettoyé toute l’église, donnant un sacré « coup de main. » À lire aussi Un joyau du patrimoine retrouve ses couleurs dans cette commune de l’Eure Ce patrimoine est donc préservé, restera après à soigner les peintures murales. Un nouveau chantier en perspective ?infos : souscription info@fondation-patrimoine.org Cette église de l’Eure est « sauvée » et pourra bientôt accueillir des messes L’église Saint-Martin de Bézu-la-Forêt a fait l’objet d’importants travaux de réhabilitation. Après la charpente et la couverture, il reste l’électricité à installer et les peintures murales à préserver. Video
Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:03 Lecture zen Les agriculteurs aident les gendarmes Mardi 16 décembre, des agriculteurs sont venus déclencher un feu de la colère sur le rond-point « Bonduelle » à Estrées-Mons. Une manifestation qui s’est déroulée dans le calme et le respect, en présence des gendarmes venus sécuriser les lieux. Les militaires ont voulu installer pour la première fois une de leurs deux tours télescopiques éclairantes, pour montrer encore plus de visibilité. Mais le petit groupe électrogène destiné à alimenter cette tour lumineuse en électricité s’est borné à ne pas démarrer, malgré de longues tentatives. Plusieurs agriculteurs sont venus pour apporter leur aide et ils n’ont pas réussi non plus à démarrer l’engin récalcitrant. Habiles mécaniciens et rodés à ce genre de panne mécanique, ils ont démonté certaines petites parties du groupe électrogène pour identifier le problème. Et après de longues minutes, ils ont trouvé le souci, qui était difficilement identifiable, et réglé le problème. Ce qui a permis aux gendarmes d’éclairer le rond-point de manière à le rendre totalement sécurisé pour les piétons compte tenu de la circulation.Des entreprises propres… ça existe ? !Lors du dernier conseil communautaire de l’Est de la Somme, lundi 15 décembre, la potentielle implantation de FertigHy à Languevoisin-Quiquery a de nouveau fait débat. Les passions se déchaînent autour de ce projet, entre d’un côté les élus qui le soutiennent et de l’autre, ceux qui y sont radicalement opposés. Le ton est monté. « Vous n’avez qu’à nous faire venir des entreprises propres » a lancé la maire de la commune directement impactée, Christine Zurich. Une pique qui montre bien la crainte que ressent l’édile. Mais allez en trouver une entreprise propre avec 0 % d’impact sur l’environnement et la santé ! Les échos du front de l’est : moteur encrassé et entreprise propre
Une fois le marché de Noël et les vitrines animées du Havre faites, voici d’autres idées pour cette semaine. - Paris Normandie Trois contes pour les plus jeunes en attendant Noël à l’Hôtel Dubocage de Bléville - Pixabay Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:02 Lecture zen « Noël au bord de l’eau » à l'Hôtel Dubocage de Bléville Embarquez pour les trésors de l'océan et aventures des fonds des mers ! Trois contes merveilleux seront récités dans le cadre de l'exposition « Petites voiles », visible à l'Hôtel Dubocage de Bléville (1 rue Jérôme Bellarmato au Havre) jusqu'au 28 février. De belles histoires pour patienter, bien au chaud dans les salles du musée, jusqu'à Noël.Lundi 22 décembre à 11 h. Durée : 35 mn. En famille, pour les 5-8 ans. Gratuit, réservation obligatoire via billetterie-musees-lehavre.frAtelier « Noël DIY - Le Portrait foufou » Venez apprendre à dessiner un chouette portrait avec vos enfants chez Calice & Mandibule - Pixabay Vous ne savez pas dessiner ? Peu importe ! Venez apprendre en vous amusant avec Fanny et offrez un portrait unique - et un peu fou - à vos proches. S'amuser avec les couleurs, découvrir la magie de l'aquarelle, des pastels ou encore du collage... 2 heures durant, petits et grands découvriront comment créer un portrait réaliste tout en laissant s'exprimer leur créativité. Matériel fourni (portrait à apporter le jour J ou à faire imprimer en amont par le restaurant). Mardi 23 décembre, de 10h à 12h, chez Calice & Mandibule (16 rue de Paris). À partir de 7 ans. Tarif de 28 € (solo) ou 45 (duo parent-enfant - de 6 à 12 ans). Réservations : www.calice-mandibule.frSpectacle de marionnettes « Allez Zouuu ! » L’association La Vie est un jeu, qui fabrique des marionnettes en papier, vient jouer son spectacle au Hangar Zéro - La Vie est un jeu Rendez-vous avec l'association La Vie est un jeu pour un spectacle plein de poésie, d’énergie et d’aventures. Cette expérience interactive de marionnettes, adaptée aux enfants comme aux parents, se joue à travers des animaux philosophes et surtout très drôles. Un moment magique et plein de surprises à partager en famille à la veille du Réveillon !Mardi 23 décembre à 14h et 16h, au Hangar Zéro (37 quai de la Saône). Durée : 45 mn. À partir de 6 ans. Réservation obligatoire au 06 67 35 82 60. Tarif unique de 8€ Atelier « Pain d’Épices à l’Orange Confite » Un cours de cuisine à partager avec ses enfants au lendemain de Noël avec Ophélie Pâtisse - Freepik Venez réaliser un pain d'épices moelleux, avec orange confite maison et parfumé au miel d'un apiculteur de Normandie, dans l'atelier d'Ophélie Pâtisse, 69 rue Président Wilson. Apprenez toutes les astuces pour confectionner en famille un pain d'épices moelleux et délicatement épicé. Les participants repartiront avec leur réalisation, pour prolonger à la maison le goût des fêtes.Vendredi 26 décembre de 10 h à 13 h Tarif adulte de 35 € et enfant de 32 €. Forfait famille de 50 € (28 € par adulte supplémentaire). Réservation sur jimdofree.comVisite naturaliste des falaises à Étretat Partez à la découverte de la faune, la flore et du minéral des falaises d’Étretat ! - Pixabay Après plusieurs jours de victuailles, quoi de mieux que de prendre l'air ? C'est ce que vous propose cette balade naturaliste à faire en famille. Partez à la découverte de l’histoire des falaises, de l’origine de la craie et du silex, de la formation des arches et aiguilles… Traversez le tunnel dans la falaise, observez les oiseaux et apprenez à reconnaître les plantes du bord de mer lors de cette sortie ludique et revigorante de 3 km.Dimanche 28 décembre de 10h à 12h. Prévoir jumelles, bonnes chaussures et tenue vestimentaire adaptée à la météo. À partir de 6 ans. Tarif adulte de 30 € et enfant de 15 € (6 à 12 ans). Réservation par mail (cyriaque@natterra.fr), téléphone (06 82 77 87 55) ou sur www.natterra.fr/reserver-et-offrir/https: Le Havre. Quelles activités faire en famille la première semaine des vacances de Noël ? Pas facile de faire patienter les plus jeunes jusqu’à l’arrivée du Père Noël… et de conserver la magie une fois le réveillon passé ! C’est pourquoi nous avons choisi pour vous cinq activités à faire en famille, avant et après le jour J.
Mis en ligne le 21/12/2025 à 13:01 Lecture zen Ceux qui avaient moins de 20 ans dans les années 2000 sont sûrement passés à côté de La vie secrète des jeunes. Cette série de strips parus dans l’hebdomadaire satirique Charlie hebdo est signée d’un auteur de BD encore méconnu au nom exotique… un certain Riad Sattouf !Deux fois lauréat du Fauve d’or du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême, l’auteur de L’Arabe du futur, Les cahiers d’Esther et Pascal Brutal, a pendant dix ans, de 2004 à 2014 croqué la vie de nos contemporains dans des situations de la vie quotidienne. La vie secrète des jeunes - Les livres du futur À la terrasse d’un bar, dans le métro ou le wagon d’un TGV, dans une librairie ou une salle de concert, dans la rue, Riad Sattouf a œuvré grâce à un certain anonymat (qui ne serait plus possible aujourd’hui) en observant les travers de cette faune humaine, caractéristique de ce début du XXIe siècle, dans nos sociétés occidentales.Souvent absurdes, ces saynètes n’épargnent personne, la « caillera » de cité, le gosse de riche dans le 6e arrondissement de Paris, la « meuf » faussement libre gravitant dans les événements culturels, les familles de bobos moralisatrices, la maman solo dépassée, le couple d’amoureux exhibitionniste, le « céfran » converti à l’islam devenu rigoriste…Tel un anthropologue explorant la face cachée de ses semblables, Riad Sattouf sait faire preuve d’une observation fine et d’un humour détaché, qui sera sa marque de fabrique notamment dans les Cahiers d’Esther. Au-delà du comique de certaines situations, loin d’être toujours drôles, ce sont surtout le désespoir et la solitude des individus – la fameuse « foule sentimentale » chantée par Alain Souchon – qui remontent à la surface. La vie secrète des jeunes - Les Livres du Futur On retrouve tous les thèmes des maux de nos sociétés : crise des banlieues, racisme, sexisme, crise identitaire et djihadisme, inégalités sociales, performance au travail, bouleversements technologiques, début de l’invasion du téléphone portable dans nos vies…Avec son dessin caricatural et en noir et blanc, Riad Sattouf souligne les expressions et émotions des personnages en mettant en avant l’absurdité des situations et des dialogues. Son découpage classique sous forme de gaufrier en huit cases apporte une dynamique au récit restituant ces instantanés de vie avec une chute souvent improbable.Initialement éditée par l’Association, La vie secrète vient de s’offrir une nouvelle jeunesse avec cette première intégrale – éditée chez Les livres du futur, maison d’édition de Ryad Sattouf – couvrant la période 2004-2009 avant la publication de deux autres volumes. L’album de 274 pages est découpé année par année pour rappeler le contexte historique et sociétal avec des repères chronologiques. Il contient en marge des pages des observations de l’auteur évoquant ses souvenirs sur chacune des histoires racontées (avec plus ou moins de liberté).Un très bel album graphique à mettre sous le sapin de Noël pour faire rire (noir) sur notre époque… formidable !La vie secrète des jeunes choses vues et entendues 2004-2009 intégrale tome 1 Les livres du futur 27,90 euros Par Ludovic Lascombe La vie secrète des jeunes, autopsie de la jeunesse française des années 2000 Les livres du futur ressort l’intégrale « La vie secrète des jeunes » de Ryad Sattouf paru de 2004 à 2009. Une bonne idée de cadeau à mettre sous le sapin de Noël.
