ANNONCES MARCHES PUBLICS - Marchés publics de travaux Lecture zen 7/11/2025 REGIE DIEPPOISE DES ACTIVITES PORTUAIRES Avis rectificatif du 03/11/25 REGIE DIEPPOISE DES ACTIVITES PORTUAIRES M. Laurent DAMAMME - Directeur Général 1 quai du Tonkin CS40213 76201 DIEPPE Tél : 02 32 14 47 17 mèl : marchespublics@regieportdedieppe.fr web : https://www.portdedieppe.fr/ Référence : 2025-TX-0017 Objet : Travaux de remplacement du système froid de la Halle à Marée de Dieppe Remise des offres : au lieu de : 12/11/25 à 14h00 au plus tard. lire : 14/11/25 à 09h00 au plus tard. Pour retrouver cet avis intégral, allez sur https://www.marches-publics.info Date d'envoi à la publication : le 03/11/2025 WEB_Légales76_paris_normandiefr 20459641 5/02/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- Travaux de remplacement du système froid de la Halle à Marée de Dieppe
Paris Normandie
VIE JURIDIQUE DES SOCIETES - Créations/Constitutions Lecture zen 7/11/2025 CABINET « JURISTES – CONSEILS – SABLIERE » Société d’Avocats inscrite au Barreau de l’Eure 425, Rue Clément Ader – Bât. C - 27000 EVREUX - Tél : 02.32.33.42.56 STAR & CO Avis de constitution Suivant acte sous seing privé signé électroniquement en date du 5 Novembre 2025 il a été constitué une Société par Actions Simplifiée unipersonnelle, ayant les caractéristiques sui-vantes : Dénomination : « STAR & CO ». Objet : Achat, vente, négoce et distribution de cartes de collection et produits dérivés ; estimation, expertise et dépôt-vente de cartes de collection ; organisation d’événements et tournois liés aux jeux de cartes, petite restauration et salon de thé. Siège : Fixé à ROUEN (76000 – Seine Maritime), 31, Boulevard des Belges. Durée : 99 ans à compter de son immatriculation au RCS de Rouen, au greffe duquel les statuts seront déposés. Capital : 5.000 €uros, constitué uniquement au moyen d’apports en numéraire. Président : Monsieur David DEUMER, demeurant SAINT-MARTIN-LA-CAMPAGNE (27930 – Eure), 13, Rue de la Mairie. Exercice du droit de vote : Sous réserve des dispositions légales, chaque membre de l'assemblée dispose d'autant de voix qu'il possède ou représente d'actions. Admission aux Assemblées : Tout associé peut participer aux décisions collectives sur justification de son identité et de l’inscription en compte de ses actions au jour de la décision collective. Agrément : Sauf exceptions légales, les cessions d’actions au profit d’associés ou de tiers sont soumises à l’agrément de l’Assemblée Générale Extraordinaire des associés. Pour Avis Le Président STAR & CO SASU WEB_Légales76_paris_normandiefr 20470022 5/02/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- STAR & CO SASU - CONSTITUTION
VIE JURIDIQUE DES SOCIETES - Dissolutions/Liquidations/Cessations Lecture zen 7/11/2025 ECO CONCEPT BATIMENT SARL au capital de 8 000 € Siège social : 163 Route de Saint Martin 76840 HENOUVILLE RCS ROUEN 511890550 Par décision Assemblée Générale Extraordinaire du 27/09/2025, il a été décidé la dissolution anticipée de la société et sa mise en liquidation amiable à compter du 27/09/2025, il a été nommé liquidateur(s) M. Michaël LEPREVOST demeurant au 163 route de saint martin 76840 HENOUVILLE et fixé le siège de liquidation où les documents de la liquidation seront notifiés chez le liquidateur. Mention en sera faite au RCS de ROUEN. ECO CONCEPT BATIMENT SARL WEB_Légales76_paris_normandiefr 20470836 5/02/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- ECO CONCEPT BATIMENT SARL - DISSOLUTION
VIE JURIDIQUE DES SOCIETES - Modifications/Fusions/Absorptions Lecture zen 7/11/2025 STERNA Société par actions simplifiée au capital de 37.000 Euros Siège social : GRAND COURONNE (76530) 2 Avenue de Caen 501 562 797 RCS ROUEN SIRET 501 562 797 00017 Aux termes des décisions de l'associé unique du 24 septembre 2025, l’associé unique prend acte de l’expiration du mandat du commissaire aux comptes titulaire, le CABINET D’AUDIT LEBORGNE, et le mandat du commissaire aux comptes suppléant, la SARL COMEXPERTS, et décide de ne pas procéder à leur renouvellement, la société n’étant plus dans l’obligation de désigner un commissaire aux comptes., et non pas : L’associé unique prend acte de l’expiration du mandat du commissaire aux comptes titulaire, le CABINET D’AUDIT LEBORGNE, et décide de ne pas procéder à leur renouvellement, la société n’étant plus dans l’obligation de désigner un commissaire aux comptes. STERNA WEB_Légales76_paris_normandiefr 20471405 5/02/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- STERNA CHANGEMENT DE COMMISSAIRE AUX COMPTES
VIE JURIDIQUE DES SOCIETES - Divers (créances, convocations, publication des comptes...) Lecture zen 7/11/2025 LE TOM'JO Dénomination : LE TOM'JO. Forme : SAS. Capital social : 500 euros. Siège social : 37 LE BOURG, 76790 LES LOGES. 853116408 RCS du Havre. PERTE DE LA MOITIÉ DU CAPITAL SOCIAL Aux termes de l'AGE en date du 22 octobre 2025, l'associé unique a décidé malgré la perte de plus de la moitié du capital social, qu'il n'y avait pas lieu de prononcer la dissolution de la société. LE TOM'JO SAS - PERTE DE LA MOITIÉ DU CAPITAL SOCIAL WEB_Légales76_paris_normandiefr 20471812 5/02/2026 22752-cible_principale-teaser_manchette- LE TOM'JO SAS - PERTE DE LA MOITIÉ DU CAPITAL SOCIAL

En juin 2025, l’association a réalisé de nouveaux tests sur l’eau de pluie et l’eau de la Seine. - Photo Facebook/Cancers, la vérité pour nos enfants Mis en ligne le 6/11/2025 à 22:22 Lecture zen Les analyses sont terminées. Les résultats ont été partagés sur les réseaux sociaux de Cancers, la vérité pour nos enfants, jeudi 6 novembre 2025. Consultez l’actualité en vidéo Quelques mois plus tôt, en juin, des prélèvements avaient été effectués par des membres de l’association euroise afin de rechercher la présence de métaux lourds, de polluants, de composés pharmaceutiques et de pesticides.Des métaux lourds retrouvés dans l’eau de pluieLes résultats sont sans équivoque : « On retrouve des métaux lourds même dans les eaux de pluie surtout à Pont-de-l’Arche », indique la publication Facebook de l’association. « Même si les taux restent en dessous des limites, il faut continuer à surveiller. » && L’association, créée par des parents d’enfants atteints de cancers pédiatriques à Pont-de-l’Arche et Igoville, explique que « si ces métaux se retrouvent dans l’eau de pluie, ils peuvent provenir de l’air ». « Donc c’est ce que nous respirons au quotidien… » À lire aussi Cancers pédiatriques dans l’Eure : une association poursuit les investigations de son côté Pour rappel, en mars 2022, des parents avaient réalisé des prélèvements de cheveux sur des enfants. Du plomb et des terres rares avaient été trouvés dans les mèches de cheveux des onze enfants habitant Pont-de-l’Arche et Igoville. En 2024, les premières analyses de l’eau de consommation et de l’eau de pluie avaient été effectuées. Les résultats n’avaient révélé aucun dépassement des seuils, ni pour les pesticides, ni pour les métaux lourds.Pour mener ces analyses, l’association fait appel à « un laboratoire labellisé », avait précisé la présidente Charlène Bachelet, après la publication du bilan de l’étude sur les cancers pédiatriques constatés à Pont-de-l’Arche et Igoville par Santé publique France fin septembre. À lire aussi Cluster de cancers pédiatriques dans l’Eure : la surveillance renforcée levée Dans ce dernier, il est écrit que « la surveillance renforcée sur ce secteur est désormais levée, au profit de la surveillance nationale assurée par le RNCE (Registre national des cancers de l’enfant) pour l’ensemble du territoire métropolitain ». Par Agathe Caudron Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Pont-de-l’Arche (Eure) Igoville (Eure) Cancers pédiatriques : des métaux lourds retrouvés dans l’eau de pluie de Pont-de-l’Arche L’association Cancers, la vérité pour nos enfants a publié jeudi 6 novembre 2025 les résultats des analyses de l’eau de Pont-de-l’Arche, révélant la présence de métaux lourds.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:41 Lecture zen Le dessin d’Alex
Baptiste Hulin et Thomas Rouxel se sont imposés en 12 jours, 5 heures, 24 minutes et 30 secondes. - Photo Jean-Marie Liot / Alea Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:52 Lecture zen La course aura été disputée jusqu’au bout chez les Ocean Fifty mais, à la fin, c’est le voilier Viabilis de Baptiste Hulin et Thomas Rouxel qui l’emporte. Ce jeudi 6 novembre 2025, à 15 h 54 (20 h 54 en métropole), les deux skippers ont été les premiers à franchir la ligne d’arrivée en baie de Fort-de-France. Il leur a fallu 12 jours, 5 heures, 24 minutes et 30 secondes pour rallier Le Havre à la Martinique. À lire aussi VIDEO. Revivez la victoire de Franck Cammas et Tom Laperche sur la Transat Café L’Or Du suspense jusqu’au boutLe dénouement de la course a été incertain jusqu’au bout puisque deux de leurs concurrents sont arrivés dans la même demi-heure. À moins de 50 milles de l’arrivée, seuls dix milles séparaient trois candidats à la victoire finale. Finalement, à la deuxième place, l’Ocean Fifty Wewise de Pierre Quiroga et Gaston Morvan est arrivé avec seulement 18 minutes de retard tandis que Luke Berry et Antoine Joubert (Le Rire Médecin – Lamotte) s’emparent de la dernière marche du podium à 28 minutes de Baptiste Hulin et Thomas Rouxel. Des écarts faméliques après plus de douze jours de course. Par Clément Lesage Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Transat Café L'Or 2025 Transat Café L’Or : Viabilis sacré chez les Ocean Fifty, le podium se tient en moins de 30 minutes ! Le suspense aura duré jusqu’au bout chez les Ocean Fifty. Alors que la victoire finale se jouait entre trois bateaux, c’est le Viabilis de Baptiste Hulin et Thomas Rouxel qui s’impose sur la Transat Café L’Or, jeudi 6 novembre 2025.
Le duo de vidéaste lebel et le goff vont prendre leur quartier au Clos des Fées de Paluel. - lebel et le goff Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:09 Lecture zen Du 31 octobre au 30 novembre 2025, les artistes Sophie Lebel et Jérôme Le Goff exposent leurs vidéos au Clos des Fées. Ces deux diplômés des beaux-arts ont leur propre carrière, mais lorsqu’ils travaillent conjointement, ils deviennent le duo lebel et le goff (sans majuscule, nous précise-t-on du côté des artistes). Leur moyen d’expression favori ? La vidéo : « On en a tourné une bonne centaine depuis que l’on travaille ensemble, explique Sophie Lebel. En ce qui concerne nos vidéos, on est plutôt de la vieille école. Si elles sont disponibles en ligne sur Viméo, on garde un vrai attachement au principe de l’exposition physique. »Le rire est souvent la première réaction du public, surtout quand les gens sont réunis pour regarder les vidéos.Sophie Lebel, Artiste, membre de lebel et le goffRedécouvrir en s’amusant un lieu où un objetMais alors, à quoi ça ressemble une vidéo de lebel et le goff ? Tout d’abord, elle prend pour thème un lieu où un objet de notre quotidien, d’une vieille tante Quechua à un lotissement abandonné en passant par les locaux d’une entreprise yvetotaise, un pneu abandonné sur une plage, l’Aéroclub cauchois de Saint-Valery-en-Caux… Comme le résume Jérôme Le Goff : « on peut découvrir un lieu ou un objet qui tout d’un coup nous parle et nous dit : ah, et ce que vous pouvez faire quelque chose d’un peu différent avec ce que je suis ? » Jérôme Le Goff est membre du duo d’artistes vidéastes lebel et le goff. - PND Sophie Lebel est membre du duo d’artistes vidéastes lebel et le goff. - PND Sophie Lebel et Jérôme Le Goff collaborent autour du médium vidéo depuis 1997. - PND Et pour trouver cette petite différence, les artistes planifient, font des croquis, vont voir les occupants des lieux où les habitués des objets… Avant d’enfiler des costumes et leurs regards burlesques pour produire des vidéos allant de trois à dix minutes, en complet décalage avec l’habituel.Entre rire et introspectionSans surprise, le résultat fait rire. « C’est souvent la première réaction du public, surtout quand les gens sont réunis pour regarder les vidéos » précise Sophie Lebel, qui assume n’avoir aucune honte du ridicule. Pour ces artistes, « qui se comportent tout à fait normalement dans la vie de tous les jours », ce décalage est surtout une bonne manière d’éclaircir notre perception, « de prendre les choses aux pieds de la lettre pour montrer les rapports que nous entretenons avec elles » comme le résume Jérôme Le Goff. À lire aussi Yvetot : l’artiste Marc-Antoine Garnier joue avec notre regard à la galerie Duchamp Les visiteurs du Clos des Fées pourront découvrir ces vidéos à loisir. Dix-sept d’entre elles, qui n’ont pas encore été dévoilés au public, ont d’ailleurs été tournées dans les environs du site. De quoi découvrir des paysages bien connus sous un nouveau jour ! En plus des vidéos, seront également présentés des objets et des costumes utilisés par le duo ainsi que des photos de tournage.Exposition en accès libre. Entrée gratuite. Clos des Fées de Paluel. Par Robin Rioult Au clos des Fées de Paluel, les vidéos drôles et décalées de lebel et legoff sont exposées Le duo d’artistes lebel et le goff expose au Clos des Fées. Les visiteurs pourront découvrir dix-sept vidéos inédites, tournées dans le secteur, mêlant humour, poésie et regard décalé sur le quotidien. Video
L’école Colette-Privat, en construction rue de l’Avenir à Notre-Dame-de-Bondeville, est toujours en cours de réalisation. - Photo Paris-Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:11 Lecture zen Il y a toujours un peu d’animation dans les séances du conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville et la séance du 5 novembre 2025 n’a pas dérogé à la règle, faisant d’ailleurs réagir l’opposante Virginie Bottais (Alliance Bondevillaise) qui a estimé « qu’au-delà de la commune on nous prend pour des bouffons. Le conseil municipal devient une pièce de théâtre. On perd en crédibilité et la reprise va être compliquée pour le prochain maire ». Consultez l’actualité en vidéo L’opposant Alain Quibel vote à bulletin secret, comme tout le conseil municipal, pour décider ou non de l’ouverture de l’école qu’il juge précipitée. - Photo Paris Normandie Incessantes passes d’armes entre oppositions et majoritéMais dans le même temps, cette séance a été majeure pour les écoliers de la ville puisqu’il a été voté que les écoles Duteurtre et Hugo allaient fermer en décembre et que les effectifs seront regroupés dès le 5 janvier 2026 dans l’école Colette-Privat toujours en construction et qui constitue le projet phare de la mandature de la maire Myriam Mulot avec la rénovation de la mairie. À lire aussi Reporté à deux reprises, le conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville à nouveau programmé Revenons sur le folklore en premier lieu avec des passes d’armes incessantes entre les oppositions et la maire Myriam Mulot, pour l’instant sous le coup d’une double enquête administrative et pénale pour divers manquements à la probité. Si Virginie Bottais promettait un avenir judiciaire sombre à la maire et à sa municipalité « corrompue », détaillant qu’elle avait encore de quoi déposer plainte, la maire Myriam Mulot a estimé qu’il ne s’agissait que de « la haine » et avait détaillé précédemment qu’elle réservait ses réponses aux enquêteurs. À notre connaissance, elle n’a pas été convoquée. L’opposition a réclamé et obtenu de la maire Myriam Mulot un vote à bulletin secret, espérant des défections au sein de la majorité municipale, ce qui ne s’est pas produit. - Photo Paris Normandie « La dette devra être assumée par les équipes suivantes » && De son côté le groupe Osez le Renouveau d’Alain Quibel a surtout insisté sur le manque de transparence de la mairie au fil des délibérations. « Il manque toujours des documents, des chiffrages, nous ne sommes pas conviés aux manifestations de la commune », a-t-il détaillé à diverses reprises. Il a aussi insisté sur le bilan financier de la municipalité dont les projets « sont financés par les ventes des biens communaux. Les chiffres seront bons le jour des élections mais la dette devra être assumée par les équipes suivantes ». La nouvelle école, rue de l’Avenir, est en novembre 2025, à deux mois de son ouverture, toujours en grand chantier à Notre-Dame-de-Bondeville. - Photo Paris Normandie && Résultat de cette tension permanente : un homme dans le public a adressé un doigt d’honneur à une adjointe, la maire a un temps menacé de poursuivre la séance à huis clos avant qu’elle ne cède, face aux arguments juridiques des oppositions, et qu’elle n’accorde un vote à bulletin secret sur l’ouverture de l’école Colette-Privat face à un public venu en nombre. Les élections ne sont pas loin et tous les avaient en tête. À lire aussi Un nouveau psychodrame marque le conseil municipal de cette ville près de Rouen Une ouverture précipitée ?Reste que la délibération phare de cette séance, qui avait été reportée à deux reprises après une suspension le 5 octobre faute de quorum, a été adoptée à 21 voix contre 8. L’école Colette-Privat ouvrira donc le 5 janvier 2026 et accueillera les élèves de Duteurtre et Hugo. La capacité d’accueil sera de 500 élèves. La nouvelle école, rue de l’Avenir, est au novembre 2025, à deux mois de son ouverture, toujours en grand chantier à Notre-Dame-de-Bondeville. - Photo Paris-Normandie Une ouverture « précipitée » pour Alain Quibel qui aurait préféré une mise en service en septembre 2026, après les élections. Une ouverture annoncée alors que les engins de chantier sont encore à l’œuvre. « L’entreprise s’est engagée sur cette date », a expliqué la maire Myriam Mulot. Restera aussi à obtenir les avis, notamment du SDIS, pour autoriser l’ouverture. && Autre écueil, la démographie scolaire. La création immobilière foisonnante à Notre-Dame-de-Bondeville devrait assurer les effectifs, assume la municipalité, tandis qu’Alain Quibel dénonce un méga-projet surdimensionné en raison d’une « démographie scolaire qui plonge » ainsi qu’un coût (12 M€) trop élevé.Un bâtiment moins énergivore Virginie Bottais, de l’Alliance Bondevillaise, lors du vote à bulletin secret portant sur l’ouverture de l’école Colette-Privat prévue le 5 janvier 2026. - Photo Paris Normandie Pour la majorité en place, cette rationalisation des écoles permettra de disposer d’un bâtiment moins énergivore, avec un environnement agréable tant pour les élèves que les enseignants. Les deux écoles garderont jusqu’en septembre leurs indépendances avant de fusionner à la rentrée. Par Benoît Marin-Curtoud Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Élections municipales Notre-Dame-de-Bondeville (Seine-Maritime) Les écoliers de Notre-Dame-de-Bondeville auront bien leur nouvelle école dès le 5 janvier 2026 C’est voté, avec tout le folklore habituellement rattaché aux séances du conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville : l’école Colette-Privat ouvrira le 5 janvier malgré les protestations des oppositions.
Beauvais veut s’accrocher à l’état d’esprit affiché au quotidien pour remonter la pente d’un point de vue sportif. Photo Eric Crémois Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:13 Lecture zen Après avoir cédé de peu devant le leader Thionville (1-2), l’AS Beauvais-Oise se mesure à son dauphin, Bourges, vendredi en match avancé. L’enchaînement ne pouvait pas être plus difficile alors que la zone rouge a commencé sérieusement à se rapprocher. En attendant que la victoire d’Épinal à Colmar soit entérinée par la Fédération, l’AS Beauvais-Oise est virtuellement première non-relégable, en treizième position, et a donc besoin d’engranger. D’autant que la menace d’un retrait de points par la DNCG, dont la date du nouveau rendez-vous n’a pas encore été fixée, va inévitablement planer. Consultez l’actualité en vidéo Quatre matches sans victoire en championnatÀ l’image du dernier match, le staff veut s’accrocher à l’état d’esprit affiché au quotidien. Dans le même temps, les salaires de septembre doivent être normalement versés d’ici cette fin de semaine. « Le comportement des joueurs est admirable et ils continuent de s’entraîner (ndlr : hormis Mendy et Ouarti), souligne le coach Jérôme Brocard. Il faut qu’on reste concentrés et qu’on continue à travailler, même si je sais que ce n’est pas simple. » Et ce, afin de gommer ces imperfections expliquant pourquoi l’ASBO reste sur quatre matches sans victoire en championnat. « En corrigeant ces détails, comme sur les coups de pied arrêtés, on sent que ça peut le faire, veut croire Jérôme Brocard. On part confiant et pas défaitiste. » La tâche s’annonce tout de même corsée contre un adversaire ayant gagné ses quatre matches à domicile. « Cette équipe mérite sa place de deuxième, note le coach beauvaisien. Dans le même temps, jusque-là, personne ne nous a dominés de la tête et des épaules. » BOURGES – BEAUVAISVendredi 7 novembre à Bourges, 19 h 30 au stade Jacques Rimbault. Par Florian Decloquement Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : AS Beauvais National 2 Football (National 2) : « Le comportement des joueurs est admirable », souligne Jérôme Brocard avant Bourges - Beauvais Après le leader Thionville, l’AS Beauvais-Oise s’attaque au dauphin, Bourges, vendredi 7 novembre. Alors que les joueurs attendent encore leur salaire de septembre, versé normalement en cette fin de semaine, le coach Jérôme Brocard met en avant leur état d’esprit.
Les prédictions de Manita Carrington publiées, dans la presse, étaient attendues avec impatience chaque année, en janvier. - Photo Jean-Paul Adam Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:21 Lecture zen Elle aurait pu souffler cent bougies cette année. Née le 13 février 1925 en Tchécoslovaquie, d’une mère autrichienne et d’un père turc, Manita Carrington a marqué de son empreinte la ville de Louviers où elle a passé l’essentiel de sa vie. Mariée au mage Carrington le 16 janvier 1951 par Marcel Malherbe, maire de Louviers, cette grande dame du cirque a foulé les plus grands chapiteaux en qualité de danseuse, de magicienne puis de voyante. uri Arrivée en France dès l’âge de 18 mois avec son père médecin, Manita se prénommait encore Victoria quand elle a intégré le Cirque d’Hiver de la famille Bouglione sous l’Occupation en 1942, pour devenir danseuse de ballet sous le pseudonyme de Line. C’est là que le célèbre mage Carrington l’a repérée et invitée à devenir sa partenaire. Manita Carrington est décédée vendredi 29 avril 2016 à son domicile de Louviers. - Photo Jean-Paul Adam Manita Carrington a eu son premier « flash » de voyance dès l’âge de 15 ans. La Sainte Vierge lui est apparue peu de temps après. - Photo collection privée Le mariage du Manita avec le mage Carrington a été célébré à Louviers le 16 janvier 1951, en présence de plusieurs représentants de la famille Bouglione. - Photo collection privée La troupe Carrington ne passait pas inaperçue, quand elle se déplaçait de ville en ville. - Photo collection privée Pierre Mendès France au Challenge Carrington, avec le mage Carrington, Manita et leur fils James. - Photo collection privée Manita Carrington a fait ses débuts avec le grand clown Achille Zavatta. Sa fille Lydia, qu’elle gardait quand elle était bébé, lui rendait visite, chaque fois que son cirque passait par Louviers. - Photo Jean-Paul Adam Son mari a tiré sur elle à deux reprises !Ensemble, ils ont sillonné la France pendant une trentaine d’années, pour présenter des spectacles alliant magie et voyance. Quand elle ne se produisait pas dans la célèbre émission télévisée La Piste aux étoiles ou sous les chapiteaux les plus renommés, la famille Carrington partait en tournée de ville en ville avec sa propre caravane. À lire aussi Cette ville de l’Eure a été la capitale de la France pendant six semaines, mais peu le savent ! « Notre programme comportait deux parties, raconte Manita dans le livre Manita la femme au cerveau étrange, que lui a consacré Olivier Aubert en 2004. Nous présentions d’abord les numéros de magie en tenue hindoue, puis le numéro de tir à la carabine et, en fin de première partie, le numéro de voyance. Pendant l’entracte, je vendais mes horoscopes. La seconde partie était principalement réservée aux numéros de grande illusion. » À lire aussi C’est dans l’Eure que le premier chapiteau de cirque au monde a été assemblé À l’époque, le mage Carrington tirait, de dos, sur les cibles présentées par Manita. Il visait à l’aide d’un petit miroir de poche. « Il ne m’a blessée qu’à deux reprises, confiait Manita. Une première fois, la balle est allée se loger dans mon chignon en m’effleurant le cuir chevelu. La seconde, j’avais un fume-cigarette que je tenais entre les lèvres. La balle a frappé le fume-cigarette, ce qui m’a cassé les dents et éclaté les lèvres. » Sur scène, le mage Carrington visait Manita avec sa carabine, de dos, avec un miroir de poche. - Photo collection privée En 1960, elle avait empoché 25 millions d’anciens francs après avoir prédit les numéros gagnants. »À l’heure du déjeuner, Manita Carrington animait la parade avec son numéro de la femme radar, pour inciter le public à assister à la représentation du soir. Au volant de sa voiture sono, elle conduisait les yeux bandés tandis que son mari haranguait la foule. Un numéro qu’elle a souvent présenté à Louviers, y compris avec le capitaine de gendarmerie et le commissaire de police comme passagers ! À lire aussi La légende du chêne près d’Évreux : l’arbre géant qui aurait englouti des bûcherons Les dons de voyance de Manita ont bénéficié d’une publicité extraordinaire en 1960, quand elle a fait la une du Journal du Dimanche, après avoir empoché les 25 millions d’anciens francs mis en jeu par le Crédit Foncier, après avoir prédit les numéros gagnants à son mari. Ce moment de gloire lui a ouvert les portes de l’Olympia en 1961, en première partie de l’auteur-compositeur-interprète François Deguelt !Vingt-cinq ans de prédictions dans la presseAprès le décès du mage Carrington en 1971, Manita a repris quelques numéros de magie avec Monique pour partenaire, mais elle s’est surtout consacrée au cabinet de voyance qu’elle tenait rue Saint-Germain, à Louviers. C’est là qu’un jeune journaliste est venu frapper à sa porte en 1981, pour recueillir ses prédictions pour l’année à venir. À lire aussi Cette eau minérale de l’Eure pouvait soigner l’arthrite et le diabète Ce journaliste n’était autre que moi. Je venais de prendre mon poste à Louviers. Le succès a été tel que j’ai renouvelé ce rendez-vous annuel sans interruption, jusqu’au décès de Manita, le vendredi 29 avril 2016, avec une audience de plus en plus large au fil des années, et des journaux de plus en plus nombreux à reprendre cette chronique. Manita Carrington autour du gâteau d’anniversaire de ses 91 ans, en compagnie de Jean-Paul Adam qui a recueilli ses prédictions pendant plus de vingt-cinq ans. - Photo Jean-Paul Adam Manita et moi sommes devenus amis. Elle m’a fait l’honneur de m’inviter à ses 90 ans fêtés au Pré Saint-Germain, puis à ses 91 ans célébrés en plus petit comité à Quatremare, où elle repose désormais avec son mari, dans une chapelle du cimetière. Par Jean-Paul Adam Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Il était une fois dans l'Eure Louviers (Eure) Cette voyante et magicienne de l’Eure avait des dons extraordinaires et une vie incroyable Danseuse, magicienne puis voyante, Manita Carrington a marqué de son empreinte la ville de Louviers où elle a passé l’essentiel de sa vie. Qui était vraiment cette artiste hors du commun ? C’est ce que l’on vous raconte cette semaine dans notre série intitulée « Il était une fois dans l’Eure », sur l’histoire et le patrimoine méconnus de l’Eure.
Les faits ont été commis dans la nuit du 5 au 6 mai 2025. - Archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:27 Lecture zen Le contraste est saisissant entre le box des prévenus et le banc des parties civiles. Si les larmes coulent de part et d’autre, les sanglots de la victime résonnent avec davantage de sincérité. Dans la nuit du 5 au 6 mai 2025, elle a vu sa vie basculer. Au point de ranger son uniforme d’agent pénitentiaire définitivement au placard. Car c’est bien sa profession et celle de son conjoint qui a été visée avec l’incendie de son domicile à Liancourt. À la barre du tribunal correctionnel de Beauvais, ce jeudi 6 novembre 2025, la jeune femme s’avance dignement et déverse tout le mal-être qui la ronge depuis les faits. « On ne peut pas se rendre compte du mal que ça fait. Ça fait six mois que je n’ai pas pu reprendre le travail. Moi et mon conjoint, on n’arrive plus à mettre un pied dans un établissement pénitentiaire », sanglote la surveillante.Le couple d’agents pénitentiaires a dû quitter la régionC’est aussi le cas au sein de leur propre domicile. Dès le lendemain, le couple a quitté les lieux pour s’installer dans une autre région. Avec des questions qui tourmentent leur esprit. Malheureusement pour eux, ces interrogations vont se poursuivre malgré la tenue du procès. Si trois des six prévenus ont reconnu leur implication dans les faits, il ne s’agit en réalité que des petites mains du dossier. En revanche, celui qui est présenté comme la tête du réseau nie tout en bloc. Malgré les éléments à charge. Car l’homme âgé de 29 ans était justement détenu à la prison de Liancourt, dans le même bâtiment où exerçait la surveillante pénitentiaire. Et surtout, c’est la voiture de sa compagne qui a servi à acheminer les incendiaires jusqu’à Bagneux (Hauts-de-Seine) avant que le trio ne s’engouffre dans une Peugeot 508 pour se rendre jusqu’à Liancourt. Élément d’autant plus troublant, c’est le petit frère de la compagne de la prétendue tête du réseau qui a joué les chauffeurs jusqu’à Bagneux. « J’ai été missionné pour déposer les jeunes. On m’a juste dit que c’était pour brûler une voiture. je n’en savais pas plus », indique le jeune homme tout juste âgé de 18 ans.Ses acolytes ne sont guère plus loquaces même s’ils reconnaissent également leur participation. « J’ai été payé pour faire passer un message. J’ai versé l’essence sur le sol et j’ai allumé avec un briquet », admet l’incendiaire. Le tout filmé par son ami « pour apporter une preuve au commanditaire ». Quant au dernier prévenu suspecté d’être le troisième homme et le chauffeur du trio, il a fermement nié toute implication.Une position qui a convaincu le procureur de la République de requérir la plus lourde peine à son encontre avec 4 ans réclamés par le ministère public. Quatre ans, dont un an avec sursis, ont également été requis contre l’incendiaire et son complice en charge de filmer les faits. En revanche, les autres protagonistes qui n’ont pas directement participé à l’incendie ont bénéficié de réquisitions moins importantes.Des peines de deux ans ferme ont été requises contre le commanditaire présumé et le conducteur qui avait acheminé les incendiaires jusqu’à Bagneux, point de départ du convoi. Enfin, le procureur de la République a requis deux ans de prison dont un an avec sursis contre la conjointe de la tête présumée du réseau.La décision du tribunal correctionnel était attendue au cours de la soirée. Par Yoann Roche Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Liancourt (Oise) Beauvais (Oise) Jusqu’à 4 ans de prison requis contre les incendiaires du domicile des agents pénitentiaires de Liancourt Les six prévenus étaient jugés ce jeudi 6 novembre 2025 devant le tribunal correctionnel de Beauvais. Le procureur a requis de lourdes peines. Le délibéré était attendu dans la soirée.
À 20 ans, Victoire Dupuis est prête à porter son titre de Miss Normandie sur la plus haute marche du podium de Miss France. - photo Paris Normandie/ ANTHONY QUINDROIT Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:32 Lecture zen Le programme est minuté. Dans quelques jours, Victoire Dupuis posera sa valise en Martinique avec vingt-neuf autres jeunes femmes, ceintes, comme la Rouennaise, d’une écharpe de Miss régionale. À 20 ans, Victoire Dupuis est prête à porter son titre de Miss Normandie sur la plus haute marche du podium de Miss France. - photo Paris Normandie/ ANTHONY QUINDROIT À lire aussi Pour sa première sortie officielle, Miss Normandie rencontre ses fans au Carrefour de Tourville-la-Rivière Victoire, c’est notre Miss Normandie 2025. La jeune femme de 20 ans à la chevelure blonde flamboyante a conquis le titre à Caen en juin dernier. Depuis, la Rouennaise étudiante à l’Iscom (école de communication et de publicité) a enchaîné coaching, cours de catwalk pour marcher tel un mannequin, et préparation au test de culture générale en vue de l’élection de Miss France.« J’avais cette petite voix dans la tête qui me disait « Pourquoi pas toi ? » »« Je ne fais que courir partout depuis juin, j’adore ! », sourit franchement Victoire Dupuis, en ce 3 novembre 2025. La journée est intense avec un dernier passage chez quelques soutiens des débuts, un échange avec des étudiants caennais et une soirée d’au revoir avec le comité régional qui l’accompagne depuis la première minute de son sacre régional.Sa « to-do list » est remplie. Mais Victoire en redemande, consciente de vivre une expérience unique. Et dont elle rêvait, gamine, devant la télévision : « Je regardais Miss France tous les ans en famille. Et j’avais cette petite voix dans la tête qui me disait ‘‘Pourquoi pas toi ?’‘. » En quelques semaines, Victoire Dupuis a appris à maîtriser les codes des entretiens et des shootings. - photo Paris Normandie / SOLVEIG GOSSENT Les poncifs sur l’élection, un peu éculés il faut l’admettre, Victoire les connaît par cœur. « Mais être Miss France, ce n’est pas sourire, être belle et se taire. C’est représenter la France, avec des causes à défendre. » La sienne, c’est la santé mentale. Pas parce qu’elle est directement concernée mais parce qu’elle veut contribuer « à lever ce tabou. Notamment auprès des adolescents. »« Pourquoi pas un temps plein pour Miss France ? »À lire aussi :Interview. La Miss France Amandine Petit se confie sur ses projets avant sa venue au Havre et à RouenPour elle, l’histoire qu’elle raconte semble plutôt sans nuage. Une famille qui la soutient dans son projet, « même si je me suis inscrite sans en parler à personne au début », assure-t-elle, des amis sur qui elle peut compter. Et l’envie de croquer l’aventure à pleines dents… « Malgré son jeune âge, de par ses études, elle a une aisance pour communiquer et s’adapter à toutes les situations, évoque une représentante du comité régional. Au-delà de la beauté, elle a une personnalité de gagnante. » Après Amandine Petit, Victoire Dupuis sera-t-elle la nouvelle Miss France venue de Normandie ? - photo Paris Normandie/ ANTHONY QUINDROIT En cinq mois, Victoire est devenue experte en shooting, attentive aux moindres détails. Sur les événements publics, son aisance s’est affirmée : « Elle est solaire, déterminée, agréable », continue la voix du comité. La Miss, elle, prend plaisir à aller rencontrer la foule, un peu surprise au début « de voir des personnes pleurer d’émotion parce qu’elle me croisait… » L’effet Miss continue de faire rêver. À commencer par Victoire. Si elle se voit bien animatrice plus tard, elle se verrait bien sacrée Miss France 2026 le samedi 6 décembre 2025 à Amiens. Quitte à mettre son cursus entre parenthèses : « Je suis déjà à temps partiel pour Miss Normandie. Pourquoi pas un temps plein pour Miss France ? », s’amuse-t-elle… Sept Miss… Depuis la création du concours en 1920, sept Miss Normandie ont été sacrées Miss France : Monique Negler, Miss France 1958, Jeanne Beck pour l’année 1967, Isabelle Benard pour 1981, Martine Robine en 1984, Cindy Fabre en 2005, Malika Ménard en 2010 et Amandine Petit en 2021. Victoire Dupuis sera-t-elle la Miss France 2026 ? Pour cela, il lui faudra atteindre le top 15, puis recueillir un maximum de votes des téléspectateurs le 6 décembre 2025. Par Anthony Quindroit (avec Solveig Gossent) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Caen (Calvados) Seine-Maritime Normandie « Une personnalité de gagnante » : Victoire Dupuis, la Rouennaise Miss Normandie, future Miss France ? Alors qu’elle va décoller pour la Martinique, dernière étape de préparation avant le grand soir de l’élection de Miss France 2026, rencontre avec Victoire Dupuis, Miss Normandie, déterminée à faire rayonner la région en décembre prochain… Video
Quentin G. condamné à 4 ans de prison ferme pour un cambriolage violent. - PND Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:44 Lecture zen Déjà détenu à la maison d’arrêt d’Évreux, le prévenu Quentin G. s’est retrouvé devant le tribunal correctionnel de Rouen le 5 novembre 2025 pour vol aggravé avec violence et pour avoir ligoté un couple à l’aide de scotch. Consultez l’actualité en vidéo « Un cambriolage qui a mal tourné »Un peu avant 9 h du matin, le 28 septembre 2023, un couple de Mont-Saint-Aignan se prépare à aller travailler. L’épouse ouvre la porte-fenêtre pour laisser sortir son chien, trois hommes en profitent pour entrer dans la propriété. Gazée à la bombe lacrymogène, elle est contrainte de rester immobile. Le mari subit le même sort, il était aux toilettes et s’est retrouvé nu devant ses agresseurs, forcé à se mettre à genoux. Avant de partir, les cambrioleurs ligotent le couple à l’aide de scotch et partent avec la voiture.« À la base on partait pour un vol par effraction. On ne pensait pas qu’il y aurait du monde dans la maison. Mes deux camarades ont vu le chien sortir, ils ont paniqué et ils sont rentrés. Je ne pouvais pas partir, j’étais obligé de les suivre. Je m’en veux. J’ai essayé de canaliser les choses mais ça a mal tourné », explique le prévenu.L’avocate partie civile souligne les traumatismes psychologiques : « Est-ce que vous vous rendez compte du traumatisme que cela engendre ? Ma cliente ne pourra jamais revivre normalement. Et imaginez comme ça peut être humiliant pour son mari de se retrouver nu à genoux devant sa femme sans pouvoir rien faire. » À lire aussi Agression d’une serveuse au Buffalo Grill de Saint-Étienne-du-Rouvray : c’était son ex-compagnon Pas la première condamnationCe n’est pas la première fois que Quentin G. est condamné pour vol aggravé. Après avoir retrouvé une vie stable, il a replongé : « Oui c’est vrai que j’avais réussi à revenir dans le droit chemin. Ça n’allait pas bien dans ma vie, je n’ai pas réfléchi et j’ai quitté mon travail pour me refoutre dans mes conneries. » Un autre prévenu est présent dans la salle du tribunal mercredi 5 novembre pour « recel de bien provenant de vol aggravé ». Il a été prouvé lors de l’enquête que les deux hommes avaient un lien et qu’ils se sont fréquentés quelques jours après le cambriolage.Le procureur de la République a demandé à relaxer ce dernier pour le recel d’un téléphone qui appartenait au couple. Quant à Quentin G. il a requis six ans de prison, dont trois de sursis probatoire, ainsi qu’une indemnisation de la victime et une interdiction de se rendre à Mont-Saint-Aignan.Quentin G., qui n’a pas dénoncé ses complices, est condamné à quatre ans de prison ferme, d’interdiction de port ou de détention d’armes pendant 10 ans et d’interdiction de se rendre sur le territoire de la Seine-Maritime. Le second prévenu écope de 8 mois de prison avec sursis et va devoir restituer le téléphone volé. Les deux condamnés devront rembourser solidairement le couple. Par Léna Féron Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Mont-Saint-Aignan. Un homme condamné à 4 ans de prison pour avoir ligoté un couple lors d’un cambriolage Un homme a été condamné le 5 novembre 2025 à Rouen à 4 ans de prison ferme pour vol aggravé. Le couple qui réside à Mont-Saint-Aignan avait fini ligoté avec du scotch.
Mehdi Izegouine, l’entraîneur du Pays du Valois. Photo Florent Pervillé Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:48 Lecture zen Les incidents survenus le 20 septembre dernier entre Le Pays du Valois et le Gazélec Ajaccio ont enfin trouvé leur épilogue à l’issue du passage devant la commission de discipline de la Fédération française de football. Le verdict a débouché sur une sanction d’un match à huis clos et une amende de 500 euros à l’encontre du club corse. « Une décision très clémente », juge le président valoisien Denis Moreau. Alors que les joueurs et le staff picards avaient dénoncé des insultes racistes, la commission n’a pas retenu ces incidents, faute de témoignages concordants de la part des officiels présents ce jour-là. « Mais dans le doute », selon Moreau, une sanction a tout de même été prononcée à l’égard du Gazélec. Consultez l’actualité en vidéo Un joueur du Gazélec suspendu huit matchesLe Pays du Valois se réserve le droit de faire appel mais ne devrait pas en arriver là. Au niveau des sanctions individuelles, le milieu valoisien Omaré Gassama, suspendu à titre conservatoire depuis cette rencontre houleuse, va enfin pouvoir rejouer, dès samedi contre Vimy. Du côté d’Ajaccio, le premier expulsé, dans le même cas de figure que Gassama, a écopé d’une rencontre supplémentaire de suspension. Un de ses coéquipiers, qui ne figurait pas parmi les expulsés ce jour-là, a été plus lourdement sanctionné avec huit matches de suspension au total. Comme attendu par Le Pays du Valois, il n’y a eu aucune pénalité sur le plan sportif. Par F.D. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Foot amateur Football (National 3) : les sanctions après la rencontre houleuse entre Le Pays du Valois et le Gazélec Ajaccio sont connues Les incidents survenus le 20 septembre dernier entre Le Pays du Valois et le Gazélec Ajaccio ont enfin trouvé leur épilogue à l’issue du passage devant la commission de discipline, jeudi 6 novembre.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:04 Lecture zen « Deux nouveaux foyers d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) ont été confirmés par le laboratoire de l’environnement et de l’alimentation de la Vendée », à Saint-Mathurin et Saint-Fulgent, dans deux élevages de canards de Barbarie, selon la préfecture.« En moins de trois semaines, cinq foyers, deux dans des basses-cours à Marans et à Vix, et trois dans des élevages, ont été confirmés en Vendée et dans sa proche bordure », d’après la préfecture, qui précise que cela représente un total de « 62.800 canards mâles de Barbarie » pour les trois élevages.Des canards vaccinés mais âgésDes zones de protection et de surveillance sont mises en place autour des foyers de Saint-Mathurin et Saint-Fulgent.Les foyers détectés dans le département concernent des canards vaccinés mais âgés, avec une seconde injection qui date de plusieurs semaines, selon la préfecture.Depuis le 22 octobre, la France est placée en risque élevé d’IAHP, le plus haut échelon qui entraîne notamment le confinement de volailles. Par AFP Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : grippe aviaire Vendée France Vendée : deux nouveaux foyers de grippe aviaire détectés dans des élevages de canards Deux nouveaux foyers de grippe aviaire hautement pathogène ont été détectés dans des élevages de canards en Vendée, a annoncé jeudi la préfecture.
Simon Pontdemé et les Camblysiens n’ont plus gagné à domicile depuis la première journée. Photo Éric Crémois Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:09 Lecture zen Le FC Chambly vit un début de saison 2025-2026 alarmant, qui rappelle à bien des égards celui de l’an passé… et même celui de la saison 2017-2018. Après neuf journées, les Camblysiens n’ont engrangé que sept petits points, avec une seule victoire acquise dès la première journée face à Thionville (1-0), à onze contre neuf. Depuis, le FCCO s’enlise dans la zone rouge et pointe aujourd’hui à l’avant-dernière place du groupe B de National 2 (15e). Consultez l’actualité en vidéo Simon Pontdemé résume l’urgence du moment : « On n’a aucune marge. La moindre erreur, on la paie cash. » Lucide, le capitaine camblysien en a évidemment connu d’autres, mais la situation actuelle invite l’intéressé à sonner l’alarme, car le FCCO n’a plus le luxe d’attendre que les choses se mettent naturellement en place. Or, le gardien admet que le collectif n’a pas encore trouvé ses automatismes. « Dans ce que le coach veut mettre en place, on a du retard. L’an dernier, on manquait de réussite. Cette année, on manque de liant. Il y a beaucoup de nouveaux joueurs, ça prend du temps… mais on n’a pas le temps », souffle-t-il. À lire aussi Football (National 2) : enfin du solide défensivement à Chantilly « Il faut bien considérer qu’on est dans une situation critique, mais ça reste du football. Si on veut bien jouer, il faut avoir une bonne énergie et ne pas être tétanisé par l’enjeu », souligne de son côté l’entraîneur Stéphane Masala. Lequel sera privé d’Antoine Valerio, blessé à Saint-Pryvé-Saint-Hilaire, et de Maxime da Veiga, qui « devrait disputer ses premières minutes en réserve », mais récupère Willian Vouama.Un tournant face à ÉpinalCe n’est donc pas la première fois que Chambly débute dans la difficulté. En 2017-2018 déjà, le club ne comptait que six points après neuf journées (1 victoire, 3 nuls, 5 défaites) et occupait la 15e place du National… avant de finir 12e. La saison dernière, le FCCO avait pourtant pris onze unités sur le terrain à ce stade (mais avait été pénalisé de trois points pour un budget prévisionnel incomplet à l’automne 2024), avant de finalement terminer à une honorable troisième place le printemps dernier. Autrement dit, le club de l’Oise a déjà prouvé qu’il savait se relever. Mais les contextes étaient bien différents selon Stéphane Masala. « Cette année, on s’est rapidement retrouvés dans un contexte pessimiste. Le fait d’être dans la zone rouge, ça crée une tension qui crée des blessures, sur des joueurs majeurs en plus. »Face à Épinal, ce vendredi 7 novembre, qui reste sur trois défaites de rang depuis sa victoire sur tapis vert contre Colmar, Chambly a pourtant une occasion idéale de redémarrer. Une victoire « même moche, à l’arraché sur un penalty en fin de match », ironise Simon Pontdemé, permettrait de respirer un peu et surtout de se rassurer avant le 7e tour de la Coupe de France à Steenvoorde (R1), samedi 15 novembre (18 heures). Et, qui sait, de lancer enfin cette dynamique salvatrice avant que l’hiver n’installe définitivement le doute.CHAMBLY – ÉPINALVendredi 7 novembre à Chambly, 20 heures au stade Walter-Luzi. Par Victor Demarcy Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : FC Chambly Chambly (Oise) Football (National 2) : dans l’urgence, Chambly n’a déjà plus le choix À Chambly, si la vérité du cœur de l’automne n’est pas toujours celle du printemps, encore faut-il lancer la remontée avant que l’hiver ne s’installe. Face à Épinal, ce vendredi 7 novembre, les Camblysiens doivent repartir de l’avant alors que la situation est jugée alarmante au sein du collectif.
Les échanges ont été enrichissants entre entrepreneurs et services de l’État mercredi 5 novembre 2025 à Évreux. Des entrepreneurs locaux présents en nombre. Le préfet de l’Eure s’adressant aux entrepreneurs locaux. Les entrepreneurs ravis de pouvoir échanger librement. La CCI à Évreux. Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:20 Lecture zen Mercredi 5 novembre 2025, la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de l’Eure organisait, à Évreux, la deuxième édition des Conviviales de la CCI, un rendez-vous conçu pour rapprocher les chefs d’entreprise des services publics. Consultez l’actualité en vidéo Après une première édition en 2024 à Bernay, cette rencontre a de nouveau illustré la volonté des acteurs publics de se rendre accessibles et utiles au monde économique.À l’origine du concept de « guichet unique éphémère », Stéphane Lebas, président du conseil d’administration de l’URSSAF Normandie, salue une initiative « née dans l’Eure-et-Loir » qu’il a souhaité transposer dans le département : « J’avais découvert le dispositif comme chef d’entreprise et j’avais trouvé remarquable ce dialogue entre services publics et monde économique. C’est une façon de casser les barrières, de montrer que nous sommes au service des entrepreneurs, et pas là juste pour les contrôler. » À lire aussi Nouveautés à Évreux : l’ESCCI inaugure un second campus pour la rentrée « L’idée, c’est qu’en un seul lieu, les dirigeants repartent avec des réponses concrètes à leurs questions et surtout avec les bons contacts », complète Delphine Wahl, directrice de la CCI de l’Eure.Des échanges concrets et appréciésUne dizaine de services de l’État étaient présents pour accueillir les entrepreneurs et répondre à leurs interrogations. Les participants ont visiblement apprécié cette proximité. À lire aussi CCI Work, le nouvel espace de travail à Évreux qui permet aux entreprises de louer des bureaux « Lors de la première édition, les chefs d’entreprise étaient restés jusqu’à la fin, curieux, ravis de pouvoir poser toutes leurs questions sans crainte. Ce qu’ils avaient surtout retenu, c’est qu’ils repartaient avec des cartes de visite, des noms, des visages. »Les grandes entreprises ont des services RH, juridiques ou financiers. Pas les petites. »Delphine Wahl, Directrice de la CCIPreuve de l’importance de l’événement : le soutien institutionnel, avec la présence du préfet, du président de l’agglomération et de la directrice de la CCI. Pour le préfet, ces échanges illustrent la coopération nécessaire entre services publics et monde économique, qu’il résume par une métaphore : « Entre les services de l’État et les entreprises, il y a de très beaux neurones, mais il faut maintenant activer les synapses. »Un modèle appelé à se déployer dans tout l’EureAvant la séance d’échanges, chaque service a présenté brièvement ses missions : accompagnement des entreprises en difficulté, formation, propriété intellectuelle ou financement de projets innovants.Pour Delphine Wahl, c’est tout l’esprit de la démarche : « Les grandes entreprises ont des services RH, juridiques ou financiers. Pas les petites. Notre but, c’est de leur faciliter l’accès à l’information et aux bonnes personnes. »Forte de ce succès, l’initiative a désormais vocation à se poursuivre dans d’autres territoires du département. « L’idée, c’est de se rapprocher des intercommunalités, pour que chaque bassin d’emploi puisse en bénéficier », conclut Delphine Wahl. Par Cyrille Souillier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Évreux (Eure) À Évreux, les Conviviales de la CCI rapprochent entrepreneurs et services publics La Chambre de commerce et d’industrie de l’Eure a organisé mercredi 5 novembre 2025 à Évreux la 2e édition des Conviviales, un rendez-vous qui renforce les liens entre entreprises et services publics.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:30 Lecture zen L’événement incontournable du week-end pour les innombrables fans des Fab Four, c’est le tout premier Beatle Day organisé dans la commune de Pissy-Pôville, au nord de Rouen, samedi 8 novembre 2025 : une journée entière consacrée aux quatre de Liverpool avec conférence et concert. À l’affiche, notamment : les locaux de The Beatles Artifact et The Flaming Shakers, venus d’Espagne, considérés comme l’un des meilleurs tribute au monde.Défis pour tous les âgesDimanche 9 novembre 2025, dans le cadre du Movember, le mois de sensibilisation aux problèmes de santé masculins, Freddy Paillard, coach du club de karaté de Saint-Marcel, organise à Gaillon « Run for movember » , grand événement sportif, caritatif, mais aussi festif et familial. À raison de 5€ minimum par personne, des défis seront proposés pour tous les âges et tous les niveaux au stade Jean-Rives.Coup d’envoi des harengadesAvant Lieurey, Dieppe ou Fécamp, Le Tréport donne le coup d’envoi du cycle normand des harengades ce week-end. Samedi 8 et dimanche 9 novembre 2025, l’odeur du poisson grillé va s’emparer de la ville, mais aussi l’ambiance festive, faite d’animations gratuites (concerts, marché artisanal…). Par Thomas DUBOIS Beatles, « Run for movember », harengade : le « Fil Good » de votre week-end en Normandie Chaque semaine, retrouvez la sélection loisirs-culture de Paris Normandie pour le week-end à venir. Au programme du samedi 8 et dimanche 9 novembre : une journée entière consacrée aux Fab Four à Pissy-Pôville, du sport caritatif à Gaillon et le lancement de la saison des foires au hareng au Tréport. Video
La baisse démographique questionne à l’heure de trouver ses pistes d’économies en France. Le débat est ouvert à l’Assemblée nationale sur le nombre d’enseignants à conserver dans l’Éducation nationale. - Stéphanie Clément Peron Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:35 Lecture zen Le contexte budgétaire français oblige à être réaliste devant la dette publique. Pour autant tout n’est pas mathématique. La possible suppression de 4 000 à 8 000 postes d’enseignants relève d’un choix fondamentalement politique. Les chiffres ? Un million d’élèves en moins entre 2019 et 2029, et un peu plus de 850 000 enseignants, public et privé confondus.La baisse démographique est historique. Comment l’Éducation nationale doit-elle s’adapter ? À l’Assemblée nationale, à l’heure des débats budgétaires, les parlementaires y voient tous une opportunité. Mais pas la même. Aïe ! Les uns se disent que l’État doit revoir le nombre d’enseignants à la baisse pour le mettre en adéquation avec le nombre d’élèves. Depuis 2021 déjà, le nombre d’enseignants diminue. Faut-il aller plus loin et tailler dans les effectifs ? Consultez l’actualité en vidéo À lire aussi « Il n’y a pas de petit harcèlement » : le ministre de l’Éducation nationale mobilisé au collège de Barentin Deux visions politiques de gérer les effectifs de l’Éducation nationaleOui pour ceux qui veulent réaliser des économies. Tout de suite. Selon une étude de l’Institut des politiques publiques, parue le 30 juin 2025, corréler la baisse du nombre de postes d’enseignants à la baisse démographique permettrait d’économiser 3,4 milliards d’euros par an. De quoi faire sérieusement réfléchir.Les parlementaires qui se servent autrement de leur calculatrice pensent que c’est une fausse bonne idée. Ils y voient une autre opportunité : relever le niveau scolaire des Français et assurer l’avenir des générations futures. Classement PISA après classement PISA, la France reste en milieu de tableau. Que dire de l’apprentissage des langues étrangères ! À lire aussi Un « deal fiscal » : Édouard Philippe propose une baisse massive des impôts de production aux entreprises Édouard Geffray, le nouveau ministre de l’Éducation nationale, veut adopter une voie médiane. Supprimer des postes mais moitié moins que l’exigerait la baisse démographique. Diminuer le nombre d’élèves par classe permet de mieux les accompagner, donc de faciliter les apprentissages. La société de demain se construit aujourd’hui. Le calcul est plus subtil qu’il n’y paraît. Les prises de position politique le sont aussi. Par Audrey Rohrbach-Minette Édito. Corréler la suppression du nombre d’enseignants à la baisse démographique, un calcul à court terme ? Députés et sénateurs ne sont pas alignés sur l’effectif nécessaire dans l’Éducation nationale alors qu’une baisse démographique s’installe durablement.
Les sapeurs-pompiers mènent d’intenses recherches ce jeudi soir à Jumièges. Une barque a chaviré sur le lac : un adolescent a été pris en charge, un homme de 58 ans a disparu. - PND Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:48 Lecture zen Un important dispositif de secours a été déployé jeudi 6 novembre 2025, en fin de journée, sur le lac de Jumièges, après le chavirement d’une barque. L’alerte a été donnée à 18 heures.29 pompiers mobilisésSelon les premiers éléments, l’embarcation transportait deux personnes. Un adolescent de 15 ans a réussi à regagner la rive par ses propres moyens avant d’être pris en charge par les sapeurs-pompiers. L’autre occupant, un homme de 58 ans, est porté disparu. À lire aussi Pourquoi le bac de Jumièges est à l’arrêt pendant toute cette semaine Les recherches sont toujours en cours en début de soirée. Vingt-neuf sapeurs-pompiers sont mobilisés, appuyés par une quinzaine d’engins, dont des équipes de sauveteurs aquatiques et de plongeurs, ainsi qu’un hélicoptère Dragon 76. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Jumièges (Seine-Maritime) Lac de Jumièges : un adolescent sauvé, un homme de 58 ans porté disparu L’alerte a été donnée vers 18 h jeudi 6 novembre 2025 : une barque a chaviré sur le lac de Jumièges avec deux personnes à bord. Si un jeune homme a pu être secouru, un homme est porté disparu.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:51 Lecture zen Selon une étude conjointe des services statistiques du ministère de la Justice et de l’Éducation nationale publiée ce jeudi 6 novembre, le nombre de signalements de harcèlement scolaire a explosé depuis 2022 et la loi créant le délit de harcèlement scolaire. Leur nombre est passé de 530 en 2022, à 3 500 en 2023, pour atteindre 6 100 en 2024, soit une explosion record de 1052 % des signalements en deux ans. « Cette progression s’apparente plus à la fois à une prise de conscience accrue et à une judiciarisation plus importante des faits de harcèlement scolaire qu’à une réelle augmentation du phénomène sur la période », commentent les auteurs de l’étude. Par F.J. Le nombre de signalements a explosé depuis 2022
Annonciade, élève de 4e du collège Jean-Moulin d’Albert, est une des 14 ambassadrices de l’établissement contre le harcèlement scolaire. - Photo : Fabrice Julien Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:52 Lecture zen Ce jeudi 6 novembre était consacré à la Journée nationale contre le harcèlement scolaire.Ce phénomène toucherait 5 à 10 % des élèves de l’académie d’Amiens.Deux ans après la loi créant le délit de harcèlement scolaire, le nombre de signalements a grimpé en flèche.Ne reste pas dans l’ombre ! Nous sommes 14 ambassadeurs, nous sommes là pour toi. » Les yeux rivés sur le mur d’expression installé dans le hall de l’établissement, Annonciade, élève de 4e du collège Jean-Moulin d’Albert, écrit ces quelques mots à l’intention de ses camarades, qui sont aussi de potentielles victimes. « Je déteste la violence et l’injustice, pour moi c’était évidemment de m’investir dans ce projet et d’aller vers les autres. » Depuis deux ans, cette jeune fille de 14 ans est une des 14 « ambassadeurs » de l’établissement, volontaires au sein du dispositif « Phare », mis en place en 2021 pour lutter contre le fléau du harcèlement scolaire.Le harcèlement ne devrait pas exister, c’est pitoyableCamille, Ambassadrice « harcèlement scolaire »Postés comme de véritables sentinelles, ces collégiens préalablement formés à cette problématique ont un rôle d’information, d’écoute et parfois d’alerte pour signaler d’éventuels cas de harcèlement auprès de la hiérarchie de leur établissement. « Le harcèlement ne devrait pas exister, c’est pitoyable et c’est important d’aider nos camarades qui subissent ces moqueries », raconte Camille, 14 ans, ambassadrice depuis trois ans et très investie dans sa mission. À lire aussi Harcèlement scolaire dans l’Oise : « Avec les réseaux sociaux, c’est difficile à gérer » Au collège Jean-Moulin, la lutte contre le harcèlement scolaire est inscrite dans le logiciel de cet établissement de 388 élèves où la moitié des 30 enseignants a déjà reçu une formation spécifique. Des efforts payants selon le principal de l’établissement Arnaud Vitté. « Les drames sont toujours insupportables mais il y a eu ces dernières années une vraie prise de conscience. Grâce aux formations des personnels mais aussi à l’implication des ambassadeurs, la position de témoin a évolué, et les victimes osent davantage parler. »Pour parler, les élèves qui n’oseraient pas se tourner vers les personnels éducatifs ont la possibilité de joindre une cellule dédiée sur le plan national, mais également un numéro d’écoute mis en place par l’académie d’Amiens. Six personnels y sont affectés à plein temps. « Nous recevons de nombreux appels, mais la plupart concernent davantage des situations de vie scolaire compliquée et de mal-être que du harcèlement », nuance Grégory Michel, conseiller technique auprès du rectorat en charge du harcèlement.Est-ce à dire que le problème du harcèlement scolaire est en train de se résorber ? Pas vraiment, si l’on en croit les chiffres révélés ce jeudi 6 novembre par les ministères de la Justice et de l’Éducation nationale deux ans après la loi créant le délit de harcèlement scolaire. Si les sanctions sont en recul au sein de l’école, le nombre de signalements auprès de la Justice a bondi de plus de 1 000 % en deux ans. Cela ne signifie pas pour autant que le nombre de faits de harcèlement augmente dans cette proportion, mais davantage que la parole se libère, ce qui est naturellement une bonne chose. Les ambassadeurs du collège Jean-Moulin et de l’ensemble des établissements de l’académie d’Amiens n’y sont certainement pas étrangers.La plateforme nationale d’écoute et de suivi sur les violences numériques faites aux jeunes, et notamment le harcèlement, est joignable chaque jour de 9 à 23 heures au numéro national 3018 (gratuit, anonyme et confidentiel). L’académie d’Amiens a également mis en place une cellule d’écoute : 03 22 82 39 81 Par Fabrice Julien Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Albert (Somme) Qui sont ces élèves « ambassadeurs » qui luttent contre le harcèlement scolaire ? De 5 à 10 % des élèves de l’académie d’Amiens sont victimes de harcèlement scolaire. L’Éducation nationale met en place des actions pour lutter contre ce fléau. Exemple au collège Jean-Moulin d’Albert dans la Somme, où les « ambassadeurs » jouent un rôle crucial. Video
Les familles des trois naufragés du Mylanoh étaient présentes à l’audience du tribunal maritime du Havre, jeudi 6 novembre 2025. - BORIS MASLARD/Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:57 Lecture zen « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé »Comme prévu, le procès après le naufrage du bateau havrais Mylanoh en 2022 s’est tenu en quelques minutes jeudi 6 novembre 2025. Le tribunal maritime du Havre a acté l’extinction de l’action publique, au regard du décès de l’unique prévenu. Une décision dont les familles se doutaient, mais qui engendre colère et frustration.6 M€ de travaux pour ses copropriétaires au Havre : comment cet épineux dossier a-t-il évolué ?Face à des désordres structurels dans leurs immeubles en béton du centre-ville, classés car situés dans la zone du patrimoine de l’Unesco, des dizaines de copropriétaires havrais vont devoir payer de gros travaux. S’il n’est pas arrêté, leur coût devrait être inférieur aux quelque 6 M€ initialement annoncés. À lire aussi Municipales 2026. À Harfleur, Kevin Crochemore souhaite « rallier la gauche la plus large possible » Football – Ligue 1. Une infirmerie totalement vide : le point sur l’effectif du HACÀ 48 heures de la réception du FC Nantes, pour le compte de la 12e journée de Ligue 1, le HAC, invaincu lors des trois dernières journées, dispose, en ce jeudi 6 novembre 2025, d’un groupe au grand complet.Incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ? Renault Sandouville s’apprêterait à mettre fin au contrat en intérim de quelque 300 personnes fin 2025. Le constructeur doit réduire sa production de véhicules utilitaires. Un CSE se tenait jeudi 6 novembre 2025. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Havre (Seine-Maritime) Sandouville (Seine-Maritime) Le cœur brisé des proches des naufragés du Mylanoh, incertitude chez Renault... le point actu à 20 h « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé » ; incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ?... Le point actu à 20 h. Video
Patrice Lefèvre (au centre) a lancé le club en 2021. Il est entouré de deux bénévoles qui pourraient prendre des places prépondérantes dans l’association. Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:58 Lecture zen Dans la salle dédiée au sport de l’espace Drouot, les boxeurs du club le Soleil levant commencent leur entraînement. Des entraînements qui ont lieu tous les mardis, jeudis, samedis pour les amateurs et mercredi pour la section éducative. ♬ Le club a été fondé en 2021 par Patrice Lefèvre. Si le président et les bénévoles qui l’accompagnent, sont pleins d’enthousiasme, ils se sentent délaissés par leur mairie. Un sentiment d’abandon concernant l’aspect financier, mais aussi l’accompagnement administratif. Un sentiment que le président a partagé dans une vidéo sur les réseaux sociaux où il appelle aussi au soutien via une cagnotte en ligne.Je sais conseiller un boxeur pour qu’il s’améliore. J’ai l’œil pour ça. Mais je ne suis pas doué pour l’administratif,Patrice Lefèvre, président du club Le Soleil levant. À lire aussi Découvrez différentes disciplines pour atteindre le bien-être lors de ce salon à Chauny Côté finance, Patrice Lefèvre liste : « Nous avons eu la subvention de 500 euros pour l’ouverture et une de 800 euros la première année. Puis une subvention exceptionnelle de 3 000 euros pour l’achat du ring qui nous a coûté 3 800 euros, que j’ai avancés de ma poche. » Un soutien qu’il note, mais qu’il aurait aimé voir renouvelé : « Ne serait-ce que pour nous aider à financer l’affiliation à la fédération et un local pour stocker notre matériel. » Matériel actuellement dans un garage financé par le président.La mairie a besoin d’y voir plus clairIl reconnaît : « Je sais conseiller un boxeur pour qu’il s’améliore. J’ai l’œil pour ça. Mais je ne suis pas doué pour l’administratif. Mais je ne sais pas pourquoi nos demandes n’ont pas été acceptées. Je n’ai pas eu de réponse. » Il explique attendre depuis plusieurs mois l’installation de potence pour les sacs de frappe. « On n’a pas le droit de le faire nous-mêmes. J’ai redemandé en août et on m’a dit que ce serait fait en septembre. » Mais depuis toujours pas de potence.Nous avons proposé un rendez-vous avec le président et son trésorier. Nous attendons son retourBenoit Péon, adjoint au maire délégué aux associations.À travers les cours du club, il met aussi en avant une action sociale auprès de jeunes (une cinquantaine de membres au total) en plus de la participation à la vie locale. « Nous sommes présents à chaque manifestation de la ville : défilé de la Saint-Firmin, journée des associations,. pour lesquelles nous sommes sollicités. » À lire aussi Tergnier/La Fère : le commandant de police installé officiellement dans ses fonctions Un investissement que reconnaît l’adjoint aux associations Benoit Péon. « Nous avons plusieurs échanges avec le club. Mais nous attendons toujours certaines informations. Pour certaines choses, on s’attend. On ne connaît toujours pas tous les membres du bureau et il faut que les échanges soient faits dans les règles, mais il n’y a pas de raison qu’il y ait de malentendu. » Il qualifie cette association de réussite. « Nous avons proposé un rendez-vous avec le président et son trésorier. Nous attendons son retour », conclut-il. Par George LUCAS Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : La Fère (Aisne) Ouvert en 2021, le club de boxe de La Fère cherche du soutien aussi auprès de la mairie Le club du Soleil levant à La Fère donne des cours de boxe aux jeunes et moins jeunes de la cité de l’Artilleur. Son président recherche des soutiens financiers pour poursuivre son combat avec quelques griefs envers la mairie.
Marine Tondelier a notamment fait un stop au marché de l’île aux fruits d’Amiens. - Kevin Devigne Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:07 Lecture zen Amiens devient une ville familière pour Marine Tondelier. La secrétaire nationale des Écologistes s’y est déplacée ce jeudi après-midi, pour la troisième fois cette année, en soutien à ses troupes mobilisées en vue des prochaines municipales, derrière la tête de liste socialiste Frédéric Fauvet. Après un passage dans une ferme de Pont-de-Metz et le marché de « l’île aux fruits », la conseillère régionale des Hauts-de-France a fini par une conférence à l’université. Consultez l’actualité en vidéo À Amiens, une liste commune à gauche doit être arrêtée mi-décembre, mais sans La France Insoumise à ce stade. Avec LFI, « c’est devenu quasi impossible. Les électeurs enverront un message clair au 1er tour, qui forcera à faire l’alliance au 2nd tour », escompte Frédéric Fauvet. « Avec LFI, nous avons davantage de quoi nous rassembler que de nous diviser », complète Esra Ercan, co-cheffe de file écologiste à Amiens.Lille, Beauvais, Arras dans le viseur de la gaucheDans la région, outre Amiens, Marine Tondelier place de l’espoir pour la gauche dans d’autres villes. « Les Écologistes vont gagner à Lille ! », se fait bravache l’élue locale d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), en pensant au candidat Stéphane Baly. Mais aussi « à Beauvais, Roubaix et Tourcoing » voire Arras « où l’on part en reconquête ». À lire aussi Amiens : des retraités en colère érigent un mur de revendications devant le siège du Medef Marine Tondelier est également candidate à une primaire de la gauche pour l’Élysée en 2027, aux modalités annoncées en fin d’année. « Si je ne la gagne pas, je n’aurai pas de mal à me mettre au service (du vainqueur) », assure-t-elle. Y compris François Ruffin (Debout !), un autre candidat à la candidature ? Avec son voisin samarien, « les relations sont bonnes depuis longtemps », rassure-t-elle, convaincue que les réticents à l’idée de primaire – Jean-Luc Mélenchon (LFI) et Raphaël Glucksmann (Place publique) – y viendront. « Ils n’ont pas le choix. D’ailleurs, pourquoi auraient-ils peur d’un choix des électeurs de gauche ? » Par Gael Rivallain Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Municipales Amiens L’Écologiste Marine Tondelier cultive l’union de la gauche à Amiens pour les municipales La secrétaire nationale des Écologistes et venue ce jeudi dans la capitale picarde pour encourager la future liste rassemblée derrière un socialiste. Et défendre l’idée d’une primaire à gauche pour l’Élysée en 2027.
Des représentants de la Lettonie sont venus à Gisors chercher l’inspiration. - Photo Oriol Pérez/Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:19 Lecture zen Les mardi 4 et mercredi 5 novembre 2025, la Ville de Gisors a accueilli une délégation lettone venue découvrir le fonctionnement de la restauration collective locale. Objectif : s’inspirer de la politique d’approvisionnement en circuits courts mise en place depuis plusieurs années. Des représentants de la Lettonie sont venus à Gisors chercher l’inspiration. - Photo Oriol Pérez/Paris Normandie À Gisors, les circuits courts ne sont pas un effet de mode mais une véritable politique publique. Chaque jour, plus de 800 repas sont servis dans les cantines scolaires de la commune, en grande partie préparés à partir de produits locaux. À lire aussi À La Vache à Lunettes à Gisors, les bières sont servies en circuit très court « Le but, c’est de partager notre expérience sur l’approvisionnement des cantines, explique Emmanuel Hyest, agriculteur et maire adjoint chargé de l’urbanisme, de l’environnement et de l’assainissement. Nous répondons à la loi EGAlim depuis plusieurs années en travaillant avec des producteurs de notre territoire. »Comme la Lettonie souhaite développer les circuits courts, ils ont voulu venir voir concrètement comment nous faisons. »Emmanuel Hyest, Agriculteur et maire adjoint chargé de l’urbanisme, de l’environnement et de l’assainissementPour favoriser cette dynamique, la mairie de Gisors a choisi de découper son marché public en 17 lots, permettant aux exploitants locaux de répondre plus facilement aux appels d’offres.Partager l’expérience françaiseUne méthode simple, mais efficace, qui attire désormais l’attention du ministère de l’Agriculture letton. « J’ai rencontré le ministre de l’Agriculture en Lettonie en juin dernier, raconte Emmanuel Hyest. Je lui ai expliqué que nous avions déjà un peu d’expérience dans ce domaine. Comme la Lettonie souhaite développer les circuits courts, ils ont voulu venir voir concrètement comment nous faisons. » À lire aussi Les résidents d’un Ehpad de l’Eure se déplacent désormais en triporteur Cette rencontre, organisée en lien avec l’attaché agricole de l’ambassade, illustre la volonté de coopération entre pays européens autour de modèles agricoles plus durables et solidaires.Quand j’étais en Lettonie, un agriculteur m’a dit que leur priorité, un jour, serait peut-être de défendre leurs terres avec des armes. »Emmanuel Hyest, Agriculteur et maire adjoint chargé de l’Urbanisme, de l’Environnement et de l’AssainissementMais pour l’élu, cette démarche dépasse largement la seule question alimentaire. « Avec la guerre en Ukraine, il est essentiel que la France entretienne des relations fortes avec d’autres pays de l’Union européenne, souligne-t-il. Quand j’étais en Lettonie, un agriculteur m’a dit que leur priorité, un jour, serait peut-être de défendre leurs terres avec des armes. Quand on a la chance de vivre dans un pays en paix, accompagner un partenaire européen vers un meilleur fonctionnement de la société, c’est important. »Deux jours d’échanges et de visitesLa délégation lettone, composée de quatre conseillers du ministère de l’Agriculture, d’un attaché d’ambassade et d’un traducteur, a été accueillie à la mairie de Gisors mardi matin. Une réunion de travail a présenté la mise en œuvre de la loi EGAlim et les retours d’expérience de la collectivité. À lire aussi À Gisors, deux lycéens créent une filiale jeunesse du don du sang et ont des ambitions nationales La journée de mardi a terminé par une visite de la cantine centrale. Mercredi, la découverte du territoire du Vexin normand était au programme, avec la Ferme du Thil à Thil-en-Vexin, le Verger d’Angèle à Bézu-Saint-Éloi et la Cidrerie du Mont-Viné à Vesly. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Gisors (Eure) Gisors a accueilli une délégation lettone pour découvrir les circuits courts scolaires Mardi 4 et mercredi 5 novembre 2025, la Ville de Gisors a reçu une délégation lettone pour partager son expérience de la restauration collective et des circuits courts. Video
AFP Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:25 Lecture zen Le suspect, qui « déclarait s’être tourné vers le catholicisme dans un premier temps, puis s’être converti récemment à l’islam, seul et à l’aide des réseaux sociaux », a cherché à « attenter à la vie de sept personnes en moins de 30 minutes », a souligné devant la presse Arnaud Laraize.Cinq personnes, âgées de 22 à 69 ans, ont été blessées au final, dont deux grièvement qui sont toujours hospitalisées, leur situation médicale restant « particulièrement préoccupante » selon le magistrat.Présenté au juge d’instruction vendredi matinAu terme de sa garde à vue vendredi matin, le mis en cause sera présenté à un juge d’instruction en vue de sa mise en examen pour tentatives d’assassinats, a ajouté le procureur de la République.L’homme a prononcé Allah Akbar « à de très nombreuses reprises » lors de son interpellation, alors qu’il tentait de prendre la fuite dans un champ après avoir incendié son véhicule, à l’intérieur duquel une bonbonne de gaz et une lame de couteau de 35 centimètres ont été retrouvées par les enquêteurs.Devant les enquêteurs, ce trentenaire célibataire et sans enfants a dit « avoir souhaité mourir en s’immolant », sans réussir à faire exploser la voiture qui appartenait à son père.« Des bruits bizarres dans sa tête »« Dans sa dernière audition, il déclarait entendre des bruits bizarres dans sa tête depuis quelque temps et faisait part de sa volonté d’être interné », a relaté Arnaud Laraize, précisant qu’une expertise psychiatrique réalisée durant la garde à vue avait retenu une altération du discernement au moment des faits. À lire aussi Le croque-mort roule sous stupéfiants, son passager ivre : les gendarmes confisquent le corbillard Décrit comme polytoxicomane et sous l’emprise de cannabis lors de son périple criminel, il a tenu devant les enquêteurs des propos « qui manquent de cohérence, marqués de troubles de la personnalité ».En l’absence de liens établis avec des organisations terroristes ou des personnes connues des services de renseignement spécialisés, ou de consultation de propagande jihadiste, le parquet national antiterroriste ne s’est pas saisi du dossier. Par AFP Île d’Oléron : l’auteur des attaques en voiture évoque des « ordres d’Allah » mais la piste jihadiste écartée L’homme de 35 ans qui a renversé plusieurs personnes mercredi avec sa voiture sur l’île d’Oléron a déclaré « avoir suivi les ordres d’Allah » lui demandant de faire « un sacrifice », a déclaré jeudi le procureur de La Rochelle, tout en écartant toute dimension « jihadiste ».
Patricia Faroux, malvoyante, et Jimmy Morand, aveugle, ont participé, comme d’autres personnes porteuses de leur handicap, à la réalisation des maquettes tactiles. - Nicolas Le Jean/ Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:29 Lecture zen Sur la maquette en bois, les mains de Patricia Faroux, malvoyante, et de Jimmy Morand, aveugle, furètent, s’arrêtent, palpent, et repartent encore à la découverte de la structure. « On a bien bossé ! », s’enthousiasme Patricia. Consultez l’actualité en vidéo Celle-ci, Jimmy, et d’autres personnes malvoyantes ou aveugles, ont en effet pris une part active à la réalisation de quatre maquettes tactiles du Volcan, scène nationale du Havre : elles ont facilité la traduction des courbes et volumes architecturaux en reliefs, textures, écriture en braille et couleurs contrastées. Deux maquettes, réalisées par fraisage sur bois, représentent l’ensemble du site du Volcan (l’Espace Oscar-Niemeyer) et sa position dans la ville. Deux autres réalisations, fabriquées en plastique par impression 3D, permettent de comprendre, sous forme de modules emboîtables, la structure interne de la scène nationale, via la matérialisation des espaces dévolus aux artistes, au public, à la technique et à la circulation.« Ces maquettes sont représentatives de notre vision de l’accessibilité qui est axée avant tout sur l’inclusion. »Camille Barnaud, Directrice du VolcanLes ouvrages, dévoilés jeudi 6 novembre 2025, illustrent l’engagement depuis dix ans du Volcan, en partenariat avec Harmonie Mutuelle, dans une culture accessible à tous(1). « Ces maquettes sont représentatives de notre vision commune de l’accessibilité, qui est axée avant tout sur l’inclusion. C’est-à-dire le partage et la cohabitation dans la société en général, et pour la culture en particulier, de toutes et tous en situation de handicap ou non », pose Camille Barnaud, directrice du Volcan. Maxence Le Balsch et Zineb Jiaouman, en deuxième année de BTS au lycée Jules-Siegfried, présentent une des deux maquettes de la structure interne du Volcan. - Nicolas Le Jean/Paris Normandie « Ce projet contribue à rendre visible le handicap invisible. Nous espérons, par ces maquettes, en faire prendre conscience, et susciter la curiosité de toutes les générations », exprime pour sa part Frédérique Vallée, directrice d’Harmonie Mutuelle Normandie.Bien qu’elles visent principalement à permettre aux personnes aveugles et malvoyantes de se repérer dans l’espace complexe du Volcan, les maquettes s’adressent à l’ensemble des visiteurs - notamment les enfants, offrant une appréhension du bâtiment par la manipulation et le toucher. Une des deux maquettes extérieures sera en effet laissée en usage libre dans le hall du Volcan. Les maquettes extérieures, elles, nécessitent une médiation et seront utilisées dans le cadre d’ateliers, au Volcan ou ailleurs.Des lycéens à la réalisationLes réalisations sont le fruit d’un travail amorcé voici près de deux ans. Outre les personnes malvoyantes ou aveugles, il a impliqué l’architecte et plasticien Dorian Guérin, et deux enseignants et leurs classes de BTS et bac pro(2) du lycée Jules-Siegfried. À lire aussi Déambulation au Havre : une voile rouge met en valuer l’architecture du centre-ville reconstruit Ce sont les élèves, guidés par leurs profs, qui ont produit les maquettes. À la clé pour eux, une montée en compétences industrielles et gestion de projet, et un « travail porteur de sens, avec le message d’inclusion et d’acceptation de l’autre », soulignent les enseignants.(1) Ce partenariat a déjà permis de développer au Volcan des initiatives : spectacles en audiodescription, visites tactiles, représentations en langue des signes française (LSF)... (2) Martin Duboc et ses BTS Conception des processus de réalisation de produits, et Jérémie Flament et ses bac pro Modélisation et prototypage 3D. Par Nicolas Le Jean Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Havre (Seine-Maritime) Au Havre, Oscar-Niemeyer se touche désormais du bout des doigts C’est innovant, cela se touche, et c’est pour tout le monde, même si les réalisations visent principalement aveugles et malvoyants. Au Havre, des maquettes tactiles de l’Espace Niemeyer et du Volcan ont été dévoilées, jeudi 6 novembre 2025.
Dieudonné (ici lors d’un spectacle donné à Évreux en 2019) est à nouveau interdit de représentation en Seine-Maritime et dans l’Eure. - archives Paris Normandie / VINCENT LE GALLOIS Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:34 Lecture zen Les préfectures de la Seine-Maritime et de l’Eure ont pris, jeudi 6 novembre 2025chacune un arrêté préfectoral afin d’interdire l’organisation d’un spectacle de Dieudonné M’Bala M’Bala annoncé, sur son site officiel, dans le secteur de Rouen vendredi 7 novembre 2025. Les services de l’État estiment que « les expressions et spectacles de l’auteur reprennent de façon récurrente des propos faisant l’apologie du terrorisme, ou dépréciant ou tournant en dérision les attentats commis à Paris le 13 novembre 2015 » sont susceptibles de susciter un « trouble à l’ordre public ». À lire aussi Le préfet interdit Dieudonné de spectacle dans la région rouennaise vendredi Une interdiction similaire avait été prise en mars dernier. Contacté par Paris Normandie, Dieudonné réagit.Votre représentation est interdite en Seine-Maritime et dans l’Eure. Surpris ?Dieudonné M’Bala M’Bala : « On devrait aller devant le tribunal administratif pour un référé liberté. Mais il y a une instruction du ministre de l’Intérieur pour que les préfets interdisent mes spectacles. Si c’est interdit ici, nous irons dans un autre département. Et puis il y aura le Conseil d’État, la Cour européenne… Puis, sinon, je reviendrai en Seine-Maritime avec mon exposition. de peinture. Je change d’activité. »Arrêtez-vous la scène ?« J’ai 60 ans, pas encore l’âge de la retraite. Mais si je suis interdit de manière générale par le gouvernement… Je suis sous bracelet électronique depuis un an et demi [Dieudonné a été condamné à de multiples reprises notamment pour des propos jugés antisémites mais aussi pour abus de biens sociaux et fraude fiscale, NDLR]. Je me suis mis à la peinture. J’ai eu une centaine d’arrêtés préfectoraux contre moi, j’ai utilisé cette censure comme matière première pour de l’art pictural. J’appelle ça de l’« art administratif ». Je vais exposer à Paris les 12, 13 et 14 décembre prochains. Et, a priori, rien ne m’interdit d’exposer ailleurs. » À lire aussi « Je croyais faire mon travail d’humoriste… » : l’interview de Dieudonné avant son spectacle près de Rouen « Nous respecterons les arrêtés s’ils sont confirmés »Et quand les préfets évoquent le risque de trouble à l’ordre public et des propos limites sur les attentats du 13 novembre, qu’est-ce que vous répondez ?« Qu’ils parlent d’un spectacle, Vendredi 13, que je jouais l’année dernière, qui n’est pas celui que je veux jouer ce 7 novembre. Que je n’ai été ni poursuivi ni condamné pour ce spectacle, donc qu’ils se basent sur des impressions, des sensations… Nous respecterons les arrêtés s’ils sont confirmés. Peut-être que je ferais alors cette représentation en live sur internet. » Par Propos recueillis par Anthony Quindroit Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Évreux Seine-Maritime Eure Normandie Spectacle interdit en Seine-Maritime et dans l’Eure : Dieudonné réagit auprès de « Paris Normandie » Alors que son spectacle est, sans grande surprise, sous le coup d’une nouvelle interdiction, Dieudonné M’Bala M’Bala annonce qu’il portera l’affaire devant le tribunal administratif. Et évoque la suite…
Avec 17.7 points par match en moyenne, Tray Croft est le meilleur marqueur d’Élite 2 après les neuf premières journées de championnat. - Photo Martin Liser Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:45 Lecture zen Bloqué par un problème de visa aux États-Unis, il est arrivé sur le tard. Et pourtant, Tray Croft s’est déjà imposé comme un des leaders offensifs du Rouen Métropole Basket. Les chiffres parlent pour lui. Capable de scorer 18 points en une mi-temps face à l’Alliance Sport Alsace, le nouveau meneur américain du RMB affiche des moyennes de 17.7 points – ce qui fait de lui le meilleur marqueur d’Élite 2 –, 2.8 rebonds et 3.8 passes par match. « Tout le monde m’a vraiment très bien accueilli. Au bout de deux jours, c’était comme si je connaissais tout le monde », assure le meneur de 27 ans. « Il comprend très bien le jeu et ce n’est pas quelqu’un qui est centré sur lui, ajoute son entraîneur Sylvain Delorme. Quand il est arrivé, il a immédiatement regardé comment ses coéquipiers jouaient pour voir comment il pouvait aider l’équipe. » Consultez l’actualité en vidéo Passé par les premières divisions géorgienne (Rustavin 2022-2023) et serbe (SPD Radnicki, 2023-2024) mais contraint de rentrer au pays l’an dernier pour des raisons personnelles, le numéro 5 du RMB sortait en plus d’une saison sans jouer. Une année durant laquelle, il n’avait qu’une idée en tête : traverser l’Atlantique à nouveau. « Depuis mon premier séjour en Europe, j’ai toujours eu envie de revenir et la France était en tête de ma liste, révèle celui qui a toutes les caractéristiques pour prendre la succession d’Akaemji Williams dans le cœur des supporters du Kindarena. Dès que j’ai eu l’offre de Rouen, je l’ai acceptée. »« Petit, lorsque j’étais en colère ou triste… »L’attente commençait à être longue pour le garçon qui s’est toujours appuyé sur la balle orange pour faire face à la vie. « J’ai fait du foot US mais je me suis vite rendu compte que le basket me correspondait. Petit, lorsque j’étais en colère ou triste, il suffisait que je trouve un terrain et cela me rendait heureux. » Mais contrairement à beaucoup de ses compatriotes, le natif d’Anniston (Alabama) ne rêve pas de NBA. Plutôt d’Euroligue. « C’est vraiment dur de s’imposer en NBA, il y a trop d’aléas. Je ne pense pas que cela soit fait pour moi… » À lire aussi Basket – Élite 2 : Gavin Kensmil apporte de la dureté dans la raquette du RMB Une excellente nouvelle pour le basket français. Et pour le RMB qui n’aurait sans doute pas pu attirer un joueur de ce calibre sans sa saison blanche. Forcément, le garçon va avoir besoin d’un peu de temps pour retrouver véritablement le rythme. Débarqué sur les bords de Seine quelques jours avant de défier le STB en Coupe de France, une petite semaine avant le début du championnat, il devrait logiquement continuer à monter en puissance au fil des semaines. « C’est ce qu’on espère en tout cas, sourit Sylvain Delorme. J’ai l’impression de me répéter mais c’est vrai que notre préparation a été tronquée. Ce n’est pas pour sortir le parapluie mais on a vraiment eu peu de temps pour travailler tous ensemble. » Heureusement, la saison est longue. L’occasion pour Tray Croft d’épater encore plus la galerie.Poitiers – Rouen MB, vendredi 7 novembre 2025 à 20 h Par Arthur LANUSSE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : RMB Basket – Élite 2 : meilleur marqueur du championnat, Tray Croft est le nouvel artificier du RMB Meilleur marqueur d’Élite 2, alors qu’il n’a pas disputé le moindre match amical avant de débuter le championnat, Tray Croft, le nouveau meneur du Rouen Métropole Basket, pourrait rapidement devenir le chouchou du public normand.
Arriverez-vous à apercevoir des aurores boréales dans le ciel normand ? - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:50 Lecture zen Vous avez raté la « super lune » du castor hier soir ? Les cieux vous offrent une magnifique séance de rattrapage. Dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7 novembre 2025, des aurores boréales pourraient être visibles dans le ciel de France, donc de Normandie. À lire aussi Vol du Louvre : des pompiers le parodient pour leur calendrier et font des centaines de milliers de vues C’est ce que pensent et annoncent les experts de la National Oceanic et Atmospheric Administration (NOAA) en plaçant la terre sous veille de tempête géomagnétique forte (de niveau 3).Loin de toute pollution lumineuse« Seul le bord des éjections nous touchera. Néanmoins, on s’attend à ce que des aurores soient visibles jusqu’en Europe centrale si l’orientation magnétique est favorable », publie le Centre Opérationnel de Météorologie de l’Espace des Alpes sur son compte X (ex-Twitter).C’est donc entre 22h et 2h du matin qu’il faudra, loin de toute pollution lumineuse, observer le ciel et le scruter vers le nord. Le tout à l’œil nu, évidemment sous un ciel dégagé.Pour autant, ce n’est pas gagné. Selon les prévisions de Météo France, la nuit devrait être marquée par des passages nuageux. Par Christophe FREBOU Des aurores boréales inattendues ce soir dans le ciel de Normandie ? Selon un groupe d’experts, à la faveur d’une forte tempête solaire, le ciel de France, notamment de Normandie pourrait être illuminé d’aurores boréales dans la nuit du jeudi 6 novembre 2025.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:52 Lecture zen Dimanche 9 novembre 2025, le nouveau livre jeunesse de Julie Dubois-Dumont et sa fille Anne-Louise Dumont (14 ans) fera sa première sortie. Et ce, à l’occasion du Salon du livre de Mers-les-Bains. Il s’agit du second tome de la saga Pauline et Arthur, les clés du temps.Après la mission Apollo 11 (Pauline et Arthur, les clés du temps, livre 1 – 1969 : premiers pas sur la lune), mère et fille ont décidé d’emmener leurs petits héros – des jumeaux – à la rencontre de Gustave Eiffel, qui a conçu la célèbre Tour Eiffel en 1889. « Anne-Louise a choisi le thème, car elle est fan de Paris, relate Julie Dubois-Dumont. Nous avons écrit l’histoire à quatre mains. »Comme à chaque fois, les autrices de Cayeux-sur-Mer proposent de mettre en avant un événement historique « positif et joyeux » dans cette collection. À Mers-les-Bains, le public pourra dévorer cette nouvelle histoire. Et aussi découvrir une mini-exposition (avec un quiz) autour du tome 1 et la mission Apollo 11.Pauline et Arthur – Les clés du temps – 1889 : Inauguration de la tour Eiffel, de Julie Dubois-Dumont. Ed. A contresens. Dès 7 ans. 12 euros. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Mers-les-Bains (Somme) Roman jeunesse : Pauline et Arthur débarquent
Franck Camas et Tom Laperche ont remporté la 17e Transat Café L’Or chez les Ultim. - Photo Jean-Marie Liot/Alea Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:53 Lecture zen Trois détonations successives viennent troubler le calme de la baie de Fort-de-France. Quatre siècles et demi plus tôt, la Martinique défendait ses côtes contre l’envahisseur néerlandais à coups de boulets de canon tirés depuis le Fort Saint-Louis. Ce mercredi 5 novembre 2025, ce sont des salves symboliques, tirées à blanc cette fois, qui ont salué l’arrivée triomphale de Franck Camas et Tom Laperche. Sous ce tonnerre d’applaudissements et de poudre, le duo a remporté la 17e édition de la Transat Café L’Or, chez les Ultim. Consultez l’actualité en vidéo Leur arrivée s’est jouée dans la douceur nocturne antillaise. Il était 22 h 13 à Fort-de-France (3 h 13 à Paris) lorsque les deux skippers de SVR-Lazartigue ont franchi la ligne d’arrivée, concluant la plus mythique des courses en double qu’ils auront menée presque de bout en bout. Un cinquième sacre pour Franck Camas. Un premier triomphe pour Tom Laperche.« C’est un énorme soulagement. C’est un vrai stress d’être en tête pendant dix jours, apprécie le bizut, les traits tirés. Quand on est devant, on a envie que ça se finisse vite. Quand on est derrière, on espère que ça dure encore, parce qu’il y a toujours une chance de doubler. On n’a pas gagné par la vitesse pure, mais par notre manière de naviguer. Et ça, c’est encore plus beau. » À lire aussi Transat Café L’Or : victime d’une avarie durant la nuit, le Havrais Thimoté Polet perd gros « C’était la guerre »À bord de leur Ultim, les deux hommes ont mis 10 jours, 13 heures, 3 minutes et 58 secondes pour rallier Le Havre à Fort-de-France. Leur moyenne sur l’orthodromie, la route la plus directe, s’établit à 21,34 nœuds. Mais en réalité, le trimaran a parcouru 6 490,10 milles à une vitesse moyenne impressionnante de 25,65 nœuds. « Les conditions ont été dures dès la première nuit, explique Franck Camas. On était bord à bord avec Banque Populaire, à se demander s’il fallait prendre un deuxième ris ou non… C’était déjà la guerre. Ensuite, ça n’a jamais arrêté. Le long du Portugal, on a eu des éclairs incroyables, des rafales dans tous les sens, et des zones très instables. Avec des bateaux aussi rapides, le moindre arrêt, casse technique ou mauvais choix météo, coûte très cher. La tension météo a été permanente. » À lire aussi Voile : entre engouement et incertitude, la Transat Café L’Or arrive à bon port en Martinique « C’étaient eux les meilleurs »Un peu plus de quatre heures plus tard, à 2 h 40, Thomas Coville et Benjamin Schwartz ont à leur tour franchi la ligne d’arrivée. À bord de Sodebo Ultim 3, les deux marins ont salué la performance remarquable de leurs rivaux tout en exprimant leur fierté du parcours accompli. « Un grand bravo à Tom et Franck. Ils ont fait une course parfaite. Sur cette Transat, c’étaient eux les meilleurs, applaudi, beau joueur, Thomas Coville. C’est un vrai privilège d’affronter des marins de ce niveau. De notre côté, on s’est bien battus mais la différence s’est faite très tôt. Dès la sortie de Manche, ils ont pris un petit avantage, ce qui leur a permis d’aborder la dorsale les premiers et d’en sortir aussi un peu devant. Malgré tout, on s’est battus jusqu’au bout, en exploitant au maximum notre potentiel de vitesse. On termine à quatre heures d’eux, ce n’est pas si loin. Jusqu’au bout, on leur a mis la pression. C’était une course magnifique. » Par Clément Lesage Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Transat Café L'Or 2025 Voile : « La course parfaite », comment Franck Camas et Tom Laperche ont dominé la Transat Café L’Or Après 10 jours de bataille sur l’Atlantique, Franck Camas et Tom Laperche ont remporté la 17ᵉ Transat Café L’Or Ultim chez les Ultim. À quelques heures derrière eux, Thomas Coville et Benjamin Schwartz saluent une course où vitesse, stratégie et endurance ont fait la différence.
Les Lions ont déjà encaissé 65 points en infériorité numérique depuis le début de la saison. Un problème qu’il va falloir régler. - Photo Stéphanie Péron Clément Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:54 Lecture zen Cela fait clairement partie des points noirs de ce début de saison. Indisciplinés au possible, les Rouennais évoluent trop souvent en infériorité numérique puisqu’ils ont écopé de pas moins de 14 cartons jaunes depuis le début du championnat. Alors certes, ils sont parvenus à l’emporter à Rennes grâce à une dernière pénalité de Javaux en fin de match (10-12), alors qu’ils avaient pris deux biscottes dans les dix dernières minutes, mais, à l’arrivée, le compte n’y est pas. D’ailleurs, c’est en grande partie à cause de sa séquence à 13 contre 15 que le RNR s’est incliné face à Bourgoin (19-27)…9 essais, 65 points encaissés Et ce n’est pas la première fois que les Lions paient cher leur indiscipline. Déjà, lors de la première journée, Suresnes avait profité du carton jaune de Mathieu Bonnot pour prendre l’avantage en première période (défaite 13-17) tandis qu’à Bourg-en-Bresse, c’est juste après la sortie de Tienie Burger que les locaux ont inscrit leur premier essai (18-18). À Narbonne, cela a coûté encore plus cher puisque les Audois ont sanctionné l’indiscipline de Vota avec deux essais transformés et une pénalité (défaite 30-16). Enfin, Albi, Nice, Périgueux et même Rennes, ont tous franchi la ligne seinomarine alors que les Normands évoluaient à 14. Si bien que, depuis le début du championnat, le Rouen Normandie Rugby a déjà encaissé 9 essais et 2 pénalités pour un total de 65 points, en infériorité numérique… On pourrait donc penser que le RNR gère plutôt mal ces situations. « Pour moi, c’est trop bien évidemment, mais le rugby est un sport difficile. C’est déjà suffisamment compliqué de gagner des matches à 15 contre 15. Il faut respecter les équipes en face, c’est normal de prendre des essais si on est un de moins, répond Yannick Nyanga. Le souci, c’est surtout de s’être retrouvé dans cette position. » À lire aussi Vidéo. Rugby – Nationale : le RNR battu par Bourgoin, « un sentiment de honte » pour Nicolas Nieto Un problème structurel Le problème serait sans doute plus facile à régler, à identifier, s’il était seulement le fait de certains joueurs ou si ces cartons étaient dus à des difficultés dans un secteur du jeu en particulier. Ce n’est pas le cas. Bien au contraire, puisque sur les 14 cartons, 7 ont été pris par des avants, les 7 autres par les arrières (charnière et trois-quarts). « Le problème est collectif, structurel. Cela prend du temps de changer les mentalités, avance Nyanga. Sans trahir de secret, on a déjà écarté des joueurs car ils n’étaient pas assez disciplinés, mais ceux qui les ont remplacés ne l’ont pas été beaucoup plus. »« Je pense que c’est une question de concentration, ajoute le pilier expérimenté Soso Bekoshvili. On ne peut pas vraiment travailler ça, c’est à chaque joueur, individuellement, de s’accrocher et de rester vigilant. » Le staff a d’ailleurs donné des consignes en ce sens. Aux Lions maintenant de se mettre au diapason. Sans quoi le Rouen Normandie Rugby devra continuer à se battre contre des vents contraires.Un risque de suspension En étant autant sanctionnés, les Rouennais s’exposent forcément. En effet, le règlement stipule qu’au bout de trois cartons jaunes, le joueur doit purger un match de suspension. Ainsi, ils sont trois au RNR à être déjà sous la menace puisque Mathieu Bonnot a été pris par la patrouille face à Suresnes et face à Albi, tandis qu’Apisalome Vota a dû laisser ses coéquipiers à 14 à Narbonne et à Périgueux. Enfin, Nicolas Nieto, lui, a été puni à Rennes et face à Bourgoin. Trois joueurs qui seront donc sur le fil du rasoir jusqu’à la fin de la saison. Ou jusqu’à leur suspension… À lire aussi Vidéo. Rugby – RNR : Bly prêt à reprendre du service, Bastardie et Kessler en sélection Massy – Rouen, vendredi 7 novembre 2025 au stade Ladoumègue à 19 heuresArbitre : M. Bouzac.Le XV probable du RNR : 15. Chayla – 14. Lequeffrinec, 13. Dachary, 12. Vota, 11. Nieto ou Bly – 10. Javaux, 9. Campeggia – 7. N’Diaye, 8. Fofana, 6. Ruaud – 5. Witty, 4. Astle – 3. Bekoshvili, 2. Bonnot, 1. Pion.Remplaçants : 16. Poisson ou Khakubia, 17. Lemaire, 18. Phillips, 19. Mingant ou Mukanda, 20. Cassonnet, 21. Péhau, 22. Bly ou Nieto, 23. Diallo.Entraîneurs : Romain Sola et Yannick Nyanga. Par Arthur LANUSSE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : RNR Rugby – Nationale : trop indiscipliné, le RNR rit jaune et cela doit cesser Avec quatorze cartons jaunes concédés en neuf journées, le Rouen Normandie Rugby fait partie des équipes les plus indisciplinées de Nationale. D’autant qu’il a déjà encaissé 9 essais en infériorité numérique depuis le début de la saison. Des chiffres bien trop importants.
Sur le plateau de « Y’a pas faute ! », jeudi 6 novembre 2025. Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:59 Lecture zen Le ton est monté d’entrée : après le revers face à Nanterre, le Grand Débat pose la question qui fâche – le SQBB va-t-il droit dans le mur ? Retour sur un match nerveux, marqué par le come-back de Julien Mahé à Pierre-Ratte, et sur un vestiaire secoué par la conférence de Philippe Da Silva.Cartons distribués : jaune pour Éric Jonneau (alerte réelle mais marge de redressement), vert pour Ludovic Quillet et Anthony Ottou (pas de fatalisme, le promu peut rallumer la dynamique). Tout cela à la veille d’une séquence corsée : Monaco dimanche, Mulhouse en Coupe de France mardi, puis Nancy le 15 novembre.VAR : Mahé prend la Belgique, Traoré file en G-LeagueLa rubrique VAR reste sur les parquets. Premier sujet : Julien Mahé nommé sélectionneur des Belgian Lions ; évolution jugée logique au regard de son travail à Saint-Quentin. Deuxième focus : Nolan Traoré bascule en G-League avec l’organisation des Brooklyn Nets. Passage d’apprentissage pour accélérer temps de jeu et densité physique, ou vrai point d’interrogation sur son rôle immédiat ?Le plateau compare avec d’autres trajectoires de « Frenchies » partis tôt, et s’accorde : le couloir G-League peut être un tremplin, à condition d’y briller vite.Prolong’ : Charleville – OSQ au sommet, et le débat du « carton blanc »Changement de ballon en Prolongation : Charleville – OSQ s’annonce comme un choc de National 3. Saint-Quentin (2e) défie le leadercoaché par Guillaume Richard, ancien de la maison. Anthony Ottou déroule les clés : solidité, sérénité et impact qu’un résultat fort aurait sur l’ambition de montée.Le final ouvre un duel de société sportive : le « carton blanc » destiné aux bancs. Principe : comportement déplacé du staff = 10 minutes d’exclusion pour le capitaine. Éric applaudit (responsabiliser les bancs, protéger le jeu), Ludo alerte (pédagogie, effets de bord). Anthony, en arbitre, rappelle l’objectif : apaiser et sécuriser les rencontres.Entre-temps, le récréatif qui pique : Le Banc s’échauffe. Première victoire de la saison pour Éric.Un numéro dense, très basket mais pas que, où le local compte : du SQBB sous pression à l’OSQ ambitieux, en passant par l’évolution des règles. Regardez l’émission complète ci-dessous et dites-nous… votre couleur de carton pour le SQBB ! Par Xavier SWARTVAGHER Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Y'a pas faute SQBB Saint-Quentin (Aisne) « Y’a pas faute ! » du 6 novembre : SQBB en danger, Charleville – OSQ et révolution du carton blanc Débat tendu sur l’état du SQBB après Nanterre, actu basket (Mahé sélectionneur, Traoré en G-League) et prolong’ foot : Charleville – OSQ puis duel sur le futur carton blanc. Video
L’exposition « De la baie à l’océan, l’odyssée du Nautilus en briques LEGO®» a été créée à la demande et pour le centre culturel départemental de l’abbaye de Saint-Riquier par Histoire en Briques. - Histoire en Briques Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:02 Lecture zen Une fois n’est pas coutume : le capitaine Nemo ouvre grand les portes de son Nautilus au public. À bord de son célèbre sous-marin, le héros de Jules Verne est le guide d’une odyssée exceptionnelle dans les profondeurs de la baie de Somme et des océans avec des escales pleines d’aventures aux côtés de grands navigateurs comme La Pérouse, de la barrière de corail jusqu’à la banquise, de la baie de Vigo jusqu’à la mystérieuse Atlantide. Un voyage tout en LEGO® imaginé et conçu par Histoire en Briques et le Centre culturel départemental de l’abbaye de Saint-Riquier, près d’Abbeville. Et un hommage original à l’auteur de 20 000 lieues sous les mers pour le 120e anniversaire de sa disparition.Pourquoi choisir le LEGO®? Pour amuser la galerie ? Certainement pas. « Le LEGO® est un moyen d’expression comme la glace du sculpteur ou la gouache du peintre », souligne Sevan Cankaya, directeur technique d’Épicure Studio créateur de la marque Histoire en Briques.Il séduit toutes les générations, les enfants et les adultes qui se rappellent avoir été enfants. D’ailleurs ce sont de grands enfants qui président aux destinées d’Histoire en Briques. Avec eux, les célèbres briques ludiques racontent sérieusement la vie de Napoléon, les Fables de la Fontaine ou encore la conquête spatiale, cette dernière à voir actuellement à Saint-Quentin, dans l’Aisne. Autant de thèmes au catalogue de cette entreprise parisienne qui connaît parfaitement l’abbaye de Saint-Riquier pour avoir déjà réalisé sa maquette. À lire aussi Briques après briques, les Mystères de l’univers se dévoilent en Lego® à Saint-Quentin Cette fois, l’histoire est différente. L’exposition De la baie à l’océan, l’odyssée du Nautilus en briques LEGO® a été créée à la demande et pour le centre culturel. « En cette année anniversaire, nous voulions rappeler que Jules Verne, ce n’est pas seulement Amiens. Il est aussi un amoureux de la baie de Somme et du Crotoy où il a écrit 20 000 lieues sous les mers, explique Bénédicte Rochet, chargée de projet expositions et arts visuels au Département. Nous voulions aussi aborder de façon ludique les océans et leur biodiversité. »Deux années de travail ont été nécessaires à Histoire en Briques pour mener à bien cette aventure. Dans ses bâtiments de Croissy-sur-Seine, dans les Yvelines, parmi des millions de briques, ses équipes ont conçu les maquettes et les ont assemblées. À Saint-Riquier, depuis lundi, d’autres équipes s’affairent pour les installer dans leur environnement, dresser les décors, mettre en place les textes explicatifs, régler les ambiances sonores, monter les espaces de jeux accessibles à la fin du parcours.L’exposition ouvrira ses portes ce samedi 8 novembre. Le capitaine Nemo et son Nautilus sont prêts pour l’embarquement des visiteurs.Saint-Riquier (80). Centre culturel départemental de l’abbaye. Du samedi 8 novembre 2025 au samedi 16 mai 2026 ; du lundi au vendredi de 9 à 12 h et de 14 à 17 h, samedi de 10 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30 ; fermé les 25 décembre et 1er janvier. Entrée : 6 et 4€ (donne accès au site et à l’exposition sur la céramique d’art de Montières). abbaye-saint-riquier.fr. Par Claudine Marillot Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Jules-Verne Saint-Riquier (Somme) Le Crotoy (Somme) 400 000 briques sous les mers, de Jules Verne aux abysses, une expo à voir en famille à Saint-Riquier Le centre culturel départemental de l’abbaye de Saint-Riquier propose un voyage en briques LEGO® à la découverte des océans, de leurs richesses et de leurs mystères jusqu’au 17 mai 2026. Video
Une carte postale pour le centenaire a été éditée. Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:02 Lecture zen Domart-sur-la-Luce célèbre le centenaire de ses bâtiments communaux. Un événement d’histoire, qui invite les habitants et visiteurs à redécouvrir le riche patrimoine de ce village de la Somme à l’est d’Amiens. Certes, avec quelques mois de retard, la salle des fêtes accueillera deux journées de festivités gratuites mêlant histoire, mémoire et convivialité, samedi 8 et dimanche 9 novembre 2025. Consultez l’actualité en vidéo Conférences, exposition et musiqueAu programme de ce week-end mémorable, des conférences exploreront différentes facettes de l’histoire locale. Baptiste Vimereux, jeune étudiant en histoire passionné par son village, partagera ses recherches sur l’église et guidera les visiteurs à travers son patrimoine architectural. Les thématiques abordées incluront notamment la guerre de 1914-1918 et la reconstruction qui a suivi, offrant un éclairage précieux sur la résilience de la commune.Une exposition présentera des documents d’archives et photographies anciennes, véritables fenêtres ouvertes sur le passé. Une animation musicale viendra également rythmer le week-end, avec le lâcher de pigeons voyageurs Les horaires d’ouverture, de 10 à 18 heures chaque jour, permettront au plus grand nombre de profiter de ces festivités.Des habitants enracinés à Domart-sur-la-LucePour François Pillon, élu municipal et enfant du pays, cette célébration résonne d’une façon toute particulière, même si la carte postale éditée pour l’occasion est datée de 2024. Le septuagénaire se souvient avec émotion du cinquantenaire, alors qu’il avait 21 ans. « Toute ma famille est née ici, à Domart-sur-la-Luce, depuis 300 ans », confie-t-il avec fierté. L’église de Domart de nos jours. L’église de Domart il y a cent ans. Cette profondeur d’enracinement témoigne de l’attachement des Domédardiens et des Domédardiennes à leur commune. « Saint-Médard est notre patron. D’ailleurs, l’église se nomme ainsi », rappelle le conseiller municipal, évoquant cette identité locale forgée au fil des siècles.L’histoire de Domart porte les stigmates de la Grande Guerre. Aujourd’hui, seules trois maisons ont résisté à l’assaut ayant eu lieu lors de la Première Guerre mondiale. Tout le reste du village avait été détruit, un constat qui donne toute sa dimension aux bâtiments reconstruits il y a cent ans. Pour immortaliser cet anniversaire, une carte postale à tirage limité sera éditée, représentant la mairie et l’église telles qu’elles apparaissaient il y a un siècle, témoignage précieux de la renaissance du village.Amateurs d’histoire et de patrimoine, curieux de découvrir les racines profondes de ce village picard, rendez-vous samedi 8 et dimanche 9 novembre à Domart-sur-la-Luce pour ce centenaire qui s’annonce passionnant.De 10 heures à 18 heures samedi 8 et dimanche 9 novembre 2025. Par Dany Ramette Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Domart-sur-la-Luce (Somme) Domart-sur-la-Luce célèbre le centenaire de ses bâtiments communaux par un week-end de fête Samedi 8 et dimanche 9 novembre 2025, la commune de Domart-sur-la-Luce, à l’est d’Amiens, fête le centenaire de ses bâtiments. L’occasion de revenir sur l’histoire du village grâce à divers événements.
Le Parc-Expo de Rouen réunit le Salon Gourmand, les Beerdays et le Salon du Mariage et de la Fête. - Paris-Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:07 Lecture zen Le Parc Expo de Rouen met à l’honneur la nourriture, le terroir, la bière mais aussi le mariage et la fête du 7 au 9 novembre 2025. Trois salons se réunissent durant ce week-end : le Salon Gourmand, accompagné des Beerdays et le Salon du mariage et de la Fête. De nombreuses dégustations et animations y sont proposées pour les grands comme pour les petits. Consultez l’actualité en vidéo De la nouveauté et de l’animationLe Salon Gourmand annonce 20 nouveaux exposants, ce qui représente en tout 230 stands. Les trois thèmes principaux du salon sont Vins et Terroirs, Chocolats et Plaisirs Sucrés et les Beerdays qui sont en complément du Salon Gourmand. Des animations culinaires seront menées par des chefs renommés, tel que la cheffe norvégienne Liliana Haaland qui fait partie du réseau du réseau Unesco « Ville créative » dans le domaine de la gastronomie. Les enfants eux, pourront décorer des boîtes apéritives ou participer à des jeux de dégustation à l’aveugle. Les Beerdays accueillent 40 exposants et proposent un atelier de biérologie avec Florent Brischoux, qui transmet sa passion pour la bière. Il apprend notamment le foodparing, pour associer au mieux notre bière avec notre plat.Weeding cake géantLe Salon du Mariage et de la Fête présente tous les ans de nouveaux exposants, cette année ils sont une vingtaine parmi les 92 stands. Des défilés se dérouleront pendant tout le week-end avec le coiffage et maquillage des mannequins en direct. Pour les 20 ans du Salon, les organisateurs ont prévu un wedding cake géant d’environ 1m de haut, suivit d’une dégustation.Le Salon Gourmand et Beerdays sont ouverts de 10 h à 20 h les 7 et 8 novembre 2025 et de 10h à 19h le 9 novembre 2025. Le Salon du Mariage et de la Fête est ouvert le 7 novembre 2025 de 17 h à 22 h le 8 novembre 2025 de 10h à 20h et le 9 novembre 2025 de 10h à 18h. Les 3 salons sont à 8 € et gratuits pour les moins de 12 ans, ils se trouvent au Parc-Expo de Rouen au 46 avenue des Canadiens au Grand-Quevilly. Salon gourmand et Beerdays en voisins Par Sylvain Auffret Parallèlement au salon du mariage, dans un hall mitoyen du parc des expositions, se tient le salon gourmand. Au programme jusqu’à ce dimanche 10 novembre 2024, 250 exposants qui proposent des produits en lien avec trois thèmes : vins et terroirs, chocolat et plaisirs sucrés et la bière. Cette dernière est au centre de la cinquième édition des Beerdays, mais l’entrée est commune aux deux salons. Des ateliers, des animations thématiques, des dégustations et des concerts sont prévus. Les salons ouvrent leurs portes comme d’habitude à 9 h, mais ferment à 18h en ce dernier jour. Tarif plein : 8 euros, tarif réduit sur justificatif : 7 euros, gratuit pour les moins de 12 ans. Par Léna Féron Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Suivez nous en Normandie Rouen (Seine-Maritime) Le Salon Gourmand, Beerdays et le Salon du Mariage et de la Fête réunis au Parc-Expo de Rouen Trois salons sont présents au Parc-Expo de Rouen du 7 au 9 novembre 2025. Le Salon Gourmand, le Beerdays et le Salon du Mariage et de la Fête proposent chacun des animations et dégustations.
Yvan Ouedraogo est apte à reprendre la compétition. Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:08 Lecture zen On avait laissé Yvan Ouedraogo totalement sonné au Kindarena, le mardi 28 octobre dernier. Serviette sur la tête, larmes aux yeux, le pivot de 2,06 m était même raccompagné au vestiaire après avoir reçu involontairement un coup de coude de Gavin Kensmil dans la tempe. « Je ne le trouvais plus, se remémore-t-il. Tout tournait autour de moi, la salle était soudainement devenue sombre. » Consultez l’actualité en vidéo Dix jours plus tard, le pivot va beaucoup mieux. Aucune séquelle n’est à déplorer. Il a pu reprendre l’entraînement en début de semaine. S’il espérait se rendre à Blois samedi dernier pour encourager ses coéquipiers, le staff médical a préféré qu’il reste à Évreux pour se reposer. « C’était un match à demi-teinte, dit-il lui qui a suivi la rencontre sur LNB TV. On a eu de très bons passages comme on a subi des runs où on n’a pas existé. Il faut qu’on arrive à limiter ses blackout (trous noirs). On savait qu’en face de nous, il y avait une grosse équipe. Ce genre de match doit être une leçon. » À lire aussi Basket – Élite 2 : volontaire, l’ALM Évreux a fini par sombrer à Blois Deux masses salariales aux antipodes D’autant qu’une nouvelle grosse équipe se présente sur la route de l’ALM Évreux, ce vendredi 7 novembre, la Chorale de Roanne en l’occurrence. En effet, avec 1,4 million d’euros, les Ligériens conservent la plus grosse masse salariale d’Élite 2. Soit trois fois plus que celle de l’ALM, bon dernière de ce classement. Sans oublier un budget de 4,3 millions d’euros, le sixième plus important de la division. Bref, la Chorale n’ambitionne rien d’autre qu’un retour dans l’élite. Mais elle vient de perdre deux matchs de suite dont le derby contre Vichy après avoir compté 14 points d’avance. « Ils vont venir chez nous avec le couteau entre les dents, commente Marc Namura. On connaît l’histoire. C’est comme d’habitude, on veut se refaire la cerise face à Évreux. À nous de proposer une adversité féroce et dense face à un effectif de 12 joueurs… » À lire aussi Basket – N2 : Le Borloch, le meneur de jeu du CS Gravenchon, a dépassé la barre des 3000 points Retrouvailles avec Levarity Parmi eux, un certain Aaron Levarity. Meilleur rebondeur de Pro B l’an passé (9,8 de moyenne par match), parmi les meilleures évaluations du championnat (17,3), le Bahaméen a été l’un des principaux artisans du maintien de l’ALM Évreux la saison passée. Arrivé à la rescousse du club normand début avril, Yvan Ouedraogo avait lui aussi grandement contribué à cette réussite (11,2 points et 7 rebonds en 6 rencontres) en jouant au côté de Levarity. Si le natif de Nassau est parti monnayer ses talents chez un gros poisson, le Bordelais, lui, a fait le choix de la stabilité pour réaliser une saison pleine. Le voilà prêt à défier son ex-coéquipier. « Ça ne sera pas facile car Aaron a un moteur incroyable, en sourit l’ancien international français chez les jeunes. C’est presque impossible de le museler mais il va falloir matcher son énergie pour le limiter. » Par Alexandre Sanson Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : ALM Evreux Basket – Élite 2 : Yvan Ouedraogo de retour au combat avec Évreux contre Roanne Blessé en fin de match à Rouen, absent à Blois, Yvan Ouedraogo est apte à reprendre la compétition. L’ALM Évreux aura besoin de lui pour tenter de mettre fin à sa mauvaise série de quatre défaites de suite, ce vendredi 7 novembre 2025, contre la Chorale de Roanne.
Julien Gourc’hant souhaitait ouvrir un espace ludique à Conches-en-Ouche, où il était possible de faire du lancer de haches. - Photo d’archives Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:18 Lecture zen Julien Gourc’hant est « très déçu ». Le projet d’espace familial ludique qu’il portait à Conches-en-Ouche depuis le début de l’année 2025 est tombé à l’eau. Le Skàli ne verra pas le jour… L’endroit aurait dû réunir plusieurs activités dont le lancer de haches et de couteaux, mais aussi un bar 100 % sans alcool. À lire aussi Lancer de haches et de couteaux… dans l’Eure, une cagnotte ouverte pour un projet hachement bien ! 15 banques sollicitéesSon « rêve » a viré au cauchemar lorsqu’il a compris qu’aucune banque ne l’aiderait à financer son projet. Il avait besoin de 22 000€. « J’ai rencontré une quinzaine de banques, à Conches-en-Ouche, à Évreux… Mais aucune n’a voulu me prêter de l’argent », regrette le quadragénaire. Pire, Julien Gourc’hant n’a jamais eu aucune explication quant aux raisons de ces refus. « Ça m’aurait peut-être aidé à revoir le projet », soupire Julien, accompagné dans ses démarches par un comptable, qui lui a établi le business plan et démontré, chiffres à l’appui, que ce genre d’activité cartonne ailleurs, comme à Caen, où Julien a d’ailleurs découvert le lancer de haches. À lire aussi Mettez-en plein les yeux : le plus grand parcours lumineux d’Europe arrive dans l’Eure Julien Gourc’hant avait pourtant réussi à obtenir le soutien du réseau Initiative Eure. « On m’avait dit que ce serait eux les plus difficile à convaincre, mais ça s’est bien passé. Ils ont trouvé que c’était un projet novateur. » L’association lui avait consenti, en mai 2025, un prêt d’honneur de 5 000€ pour « la création d’un bar à activité ludique viking ». && Courant août 2025, Julien Gourc’hant s’est rendu à l’évidence : il n’obtiendrait jamais la somme nécessaire. Il a donc jeté l’éponge, alors même qu’il avait trouvé le local idéal, qu’il avait commencé à recruter, que les premiers éléments de décor étaient créés, et qu’il avait collecté près d’un millier d’euros grâce à sa cagnotte en ligne. À lire aussi Festival Samhain à Bernay : découvrez nos plus belles photos du festival « J’ai tout arrêté, résume le Conchois. Je suis déçu, parce que j’y croyais. J’avais même laissé tomber la boutique que je tenais à Conches pour ça. » Le Conchois se consacre désormais à son autre activité : la forge. Par Catherine Rol Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Conches-en-Ouche (Eure) Évreux (Eure) Caen (Calvados) Eure : les banques coupent court au projet de lancer de haches et de couteaux Le projet d’espace familial ludique où il aurait été possible de pratiquer le lancer de haches à Conches-en-Ouche est tombé à l’eau. Aucune des banques sollicitées n’a voulu suivre… Video
Un père de famille a été alerté par l’attitude du septuagénaire, qui se focalisait sur les petites filles. (Photo d’illustration) - CPIPQR Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:20 Lecture zen Le 11 mai 2024, un père de famille alerte les gendarmes : un vieux monsieur multiplie les photos sur une plage d’Ault, et pas vraiment des plans larges. Non, il semble se focaliser sur les petites filles dénudées. L’homme remet sans problème son téléphone aux forces de l’ordre sur lequel se trouvent en effet des clichés de très jeunes enfants. On procède à une perquisition chez lui. Dans son ordinateur, il y a une centaine de photos de petites filles nues, dont 35 en gros plan sur leurs fesses ou leurs sexes.Ce jeudi, Dominique, 75 ans, comparaît pour fixation d’image pédopornographique. Sauf que la lecture du dossier, malgré les apparences, dément toute attirance sexuelle pour les mineurs. Jamais il n’a consulté de sites spécialisés et illégaux. Jamais les personnes qui le côtoient n’ont décelé de traits pervers.Une triste histoireDominique raconte d’une voix fluette une triste histoire : « J’ai été victime de violences quotidiennes de la part de ma mère pendant toute mon enfance. Elle avait été violée, elle voulait une fille, pas un garçon. Elle m’a élevée en fille, j’ai toujours été une fille dans ma tête. Un jour, sur cette même plage, je devais avoir sept ans, j’ai retiré mon maillot de bain pour me changer. Elle m’a battu et m’a traité de « fille dégénérée » » D’où, selon lui, cet attrait pour des photos qu’il qualifie « d’art éphémère » car il les détruit « au bout de deux jours ». Il justifie : « Ma mère m’a dégoûté totalement de toute sexualité. Je retourne au même endroit, dans les mêmes conditions, car j’ai besoin de récupérer des scènes de vie qui m’ont été volées par ma mère. Des photos de vraies petites filles car moi j’étais une fausse petite fille ».« On est face à une crise identitaire, plaide son avocate Me Maureen Pupin. D’accord c’est malsain mais ce n’est pas de la pédopornographie. Il y a zéro plaisir sexuel dans ce dossier. » Le tribunal requalifie en effet l’infraction et condamne Dominique à six mois de prison avec sursis, liés à l’obligation de poursuivre les consultations chez un psychologue. Par Tony Poulain Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Picardie Ault : il photographiait les petites filles nues sur la plage Ce jeudi 6 novembre 2025, le tribunal a condamné un septuagénaire pour atteinte à l’intimité. Une affaire plus complexe qu’il n’y paraît…
Les travaux de l’école du quartier Intercampus sont décalés à début janvier 2026. (Hortus Perspectives) Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:25 Lecture zen C’est un dossier qui a suscité beaucoup de débats lors du conseil municipal mardi soir : le budget supplémentaire. « Ce n’est pas un nouveau budget mais un ajustement du budget primitif qui va nous permettre d’aligner nos prévisions sur la réalité, sans modifier notre stratégie financière ni nos priorités », réaffirme le maire Hubert de Jenlis (divers centre) qui avait à justifier la baisse de 4,3 millions d’euros de crédits de paiement pour le financement de certains projets. « Ils ne sont pas annulés mais juste décalés en 2026 pour tenir compte du calendrier de travaux. » À lire aussi Le budget supplémentaire au menu du conseil municipal d’Amiens Parmi ces projets : la relocalisation de la crèche Chapeau de Violettes et de la halte-garderie Les Bout’Chou dans les anciens locaux de l’école maternelle Au bord de l’eau, au pied de la résidence Beauvillé. Annoncée en 2017, elle doit permettre aux enfants, qui ne bénéficient pas d’extérieur en centre-ville, de rejoindre un site bordé d’espaces verts. Mais huit ans après, les travaux n’ont toujours pas commencé. « Le retard est lié au fait qu’il nous fallait acquérir un escalier auprès de la copropriété. Nous attendions pour cela la nomination d’un expert par le tribunal administratif pour la réalisation d’un référé préventif. Il s’agit simplement d’un décalage », assure Hubert de Jenlis qui annonce un démarrage des travaux imminent et un chantier de 14 mois.Ces projets reportés, ce ne sont pas des ajustements de calendrier mais des retards, des enfants qui attendent une nouvelle écoleJulia Bellina, élue du groupe Amiens au coeurPour l’opposition communiste, il était temps d’avancer sur le sujet. « Parce qu’en attendant, les enfants subissent les grandes vagues de chaleur l’été, et des familles n’ont toujours pas de solution de garde en crèche à Amiens », déplore ainsi l’élue Zoé Desbureaux.Gros retard aussi sur la construction du nouveau groupe scolaire du quartier de la ZAC Intercampus, rue Thérèse-Papillon. Les travaux auraient dû commencer en septembre 2024 pour une ouverture en septembre 2026. « Il y a eu un petit retard au démarrage sur des marchés. Les travaux prévus début novembre sont décalés à début janvier 2026 pour 18 mois », annonce le maire d’Amiens.« Ces décalages, on ne les fait pas par plaisir »Au sud-est d’Amiens, le nouveau site du centre social CAPS aurait, lui, dû ouvrir en mai 2026. Là aussi, l’ouverture est décalée de quelques mois, après un marché d’appel d’offres infructueux. Les travaux doivent démarrer la semaine prochaine et durer 12 mois. Pour ce qui est de la rénovation du parc Saint-Pierre, plusieurs lots (les toilettes publiques, les terrains de sport et les petites passerelles) ont été reportés sur 2026, le temps de finaliser les marchés. À lire aussi Amiens : 2025, l’année des gros chantiers « À vouloir toujours communiquer sur des investissements records, on prend le risque de ne pas réussir à tout mener de front et de ne pas tenir toutes ses promesses, a taclé Zoé Desbureaux (PC). Comme à la Zac Intercampus où la majorité des logements est déjà livrée et habitée mais sans équipement pour accueillir les enfants… ». Dans le groupe Amiens au cœur, on appelle à appeler les choses par leur nom : « Ces projets reportés, ce ne sont pas des ajustements de calendrier mais des retards, des familles qui attendent des places en crèche et des enfants qui attendent une nouvelle école », rectifie l’élue Julia Bellina (sans étiquette).« Un chiffre parle de lui-même, c’est le compte administratif et les 44,9 millions d’euros d’investissements faits ! Certes, on espérait en faire un peu plus, mais on est aussi confrontés à la dure réalité des marchés publics qui peuvent être infructueux. Ces décalages, on ne les fait jamais par plaisir, mais il y a des contraintes et des règles à respecter », a répondu Hubert de Jenlis. Par Térézinha Dias Amiens : des retards à l’allumage sur plusieurs chantiers très attendus C’est le cas de la nouvelle école à Intercampus ou de la crèche Au bord de l’eau annoncée depuis 2017. Les travaux n’ont toujours pas commencé. « Nous sommes aussi confrontés à la dure réalité des marchés publics », justifie la Ville.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:25 Lecture zen Dans ce numéro de « Par ici les sorties », nous vous emmenons :au Retro game festival de Beauvais, dans l’Oise.au Salon du livre de Mers-les-Bains, dans la Sommeau Salon vintage du Compiégnois, à Margny-les-Compiègne, dans l’Oiseon vous donne Rendez-vous avec l’histoire mondiale sur les sites de la Bataille de la Somme.et avec le cirque Arlette Gruss, notre coup de cœur.Bon week-end ! Par Laetitia Deprez « Par ici les sorties », cirque, salons, histoire : la sélection des 8 et 9 novembre 2025 Comme chaque semaine, retrouvez chaque jeudi des idées de sorties choisies pour vous. Video
Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:27 Lecture zen Transitions économiques, sociales, environnementales et technologiques : ce sont aussi ces changements qu’explorera le même week-end des 5 et 6 décembre, et au même endroit, avec un angle plus divers, le festival Normandurable, dédié à la découverte « de métiers et formations de demain ou en évolution ». La Région Normandie, la communauté urbaine du Havre et l’association Pluies de juillet en sont les principaux organisateurs. « Un évènement en connexion avec les activités essentielles du bassin havrais », souligne Jean-Baptiste Gastinne. Avec des dizaines d’exposants, des conférences, démonstrations de métiers, rencontres avec des acteurs de l’économie, films… Là aussi les chercheurs d’emploi, lycéens et étudiants sont attendus. « Nous voulons leur faire toucher du doigt les mutations de notre système économique », expose Hubert Dejean de la Batie, vice-président de la Région chargé de la transition environnementale. « Les métiers changent, demandent de nouvelles compétences. Les jeunes cherchent des entreprises qui font des efforts » en matière écologique, insiste-t-il.Le programme sur lenormandurable.comPour faciliter la venue des lycéens et étudiants au Carré des Docks, des bus feront des allers-retours depuis onze villes normandes. Inscriptions sur https://www.destination-metier.fr/articles/normandurable-transport-des-lyceens-et-etudiants Le premier festival Normandurable
Les Innocents se sont reformés en 2019. - Photo d’archives Aisne nouvelle Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:29 Lecture zen Vous avez raté la mise en vente des places pour les concerts complets des Innocents des 7 et 8 novembre à Beauvais et Frocourt ? Pas de problème, une troisième date a été ajoutée par l’Asca ce dimanche 9 novembre à 18 heures à l’Auditorium Rostropovitch.Une bonne occasion de venir apprécier un groupe important de la pop française., à l’origine d’Un Autre Finistère et de Colore. Le groupe de J.P. Nataf et Jean-Christophe Urbain s’est séparé après avoir connu le succès à la fin des années 80 et dans les années 90. Il s’est reformé il y a une dizaine d’années, et son dernier disque, 6 1/2, est paru en 2019.En première partie, il ne faudra pas rater les Oisiens de Square. Il s’agit du projet d’Olivier Delamarre, alias Pedro, chargé de mission culture à la Ville de Beauvais, et dont les chansons évoquent Daniel Darc ou Alain Bashung.Les Innocents et Square, vendredi 7 novembre à 19 heures au théâtre des Poissons de Frocourt (complet) et samedi 8 (complet) et dimanche 9 novembre à l’auditorium Rostropovitch de Beauvais. Tarifs : 11 à 17€ en prévente, 14 à 20€ sur place. Billets disponibles sur www.asca-asso.com Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Beauvais (Oise) Frocourt (Oise) Il reste encore des places pour le troisième concert des Innocents dans le Beauvaisis Le groupe auteur de « Colore » et d’« Un Autre Finistère » se produit à trois reprises dans le Beauvaisis entre les 7 et 9 novembre. La dernière date n’affiche pas complet.
Loïc Nego disputera samedi, face au FC Nantes, son 70e match en faveur du HAC. Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:29 Lecture zen Le défenseur havrais, formé et révélé au FC Nantes, plante le décor du rendez-vous fixé samedi 8 novembre 2025, au Stade Océane (19 heures). Match qui coïncidera avec sa soixante-dixième apparition sous le maillot du HAC, celui qu’il défend depuis l’été 2023. Entretien. Consultez l’actualité en vidéo Ce point pioché à Toulouse (0-0), lors d’un match entaché du geste ambigu d’Aron Dönnum, avez-vous pu le savourer à sa juste valeur ?« Ce n’est pas ce point, mais la semaine entière que nous avons savourée (NDLR : il ne parlera pas du geste). Elle a vraiment été très bonne. Elle aurait même pu être encore plus belle, car nous étions tout près de l’emporter à Toulouse. On savait que cette séquence serait importante. Et on y a mis de la constance. »S’il vous fallait comparer le HAC d’aujourd’hui et celui de l’automne 2024, quelles différences mettriez-vous en exergue ?« Défensivement, on a réellement gagné en régularité. Je ne vais pas m’arrêter au nombre de buts encaissés (16 contre 23 la saison passée après 11 journées), je veux aussi parler du nombre d’occasions concédées. Après, offensivement, je pense qu’on est aussi un peu plus efficaces, même si à Toulouse, Issa (Soumaré) manque ses deux occasions. Mais ça fait partie du jeu et on ne lui en veut pas. Globalement, c’est donc mieux que la saison passée, effectivement. » À lire aussi Football – HAC. Geste équivoque à l’encontre d’Ebonog : Dönnum ne s’en tirera pas comme ça ! « Le coach, il doit bien se gratter la tête »Restons sur la solidité de l’équipe. La semaine à trois matches s’est soldée par autant de clean sheets, alors que la composition de la défense n’a jamais été la même. Ça aussi c’est parlant, non ?« C’est la preuve que tout le monde s’implique. À l’entraînement, il y a une réelle émulation entre les anciens, les nouveaux et les jeunes qui montent dans le groupe. Ça se ressent le week-end. Et si vous demandez au coach si c’est facile de faire un « onze » chaque week-end, je pense qu’il vous dira non. Il doit bien se gratter la tête, et c’est tant mieux. Tout le monde mérite de jouer. Maintenant, la question est de savoir si on arrivera tous à maintenir ce rythme jusqu’à la fin. »Et pourquoi pas l’élever un peu plus encore ? Ne sentez-vous pas, au sein du vestiaire, comme une envie de regarder droit devant, plutôt que de surveiller ce qu’il se passe derrière ?« On a pris conscience des choses. Lorsqu’on respecte les consignes, qu’on fait ce qu’on nous demande, ça marche. Alors pourquoi ne pas effectivement regarder un peu plus haut. Là, je ne sais pas si on inspire de la crainte, mais je pense qu’on est un peu plus respectés. »Ce respect, sans doute les Nantais auront-ils la volonté, dans le jeu bien sûr, de le contester, de l’ignorer. Comment imaginez-vous ce duel à venir, annoncé chaud, sachant que le FC Nantes s’est incliné lors des deux dernières journées ?« Peut-on parler d’un Nantes malade ? Je ne sais pas. Cette équipe a des forces, elle peut marquer à tout moment. Maintenant, nous aussi on a des atouts à leur opposer. » À lire aussi Football – HAC : « Si ça en reste là, le foot, ce sera sans moi », lâche Didier Digard Rassoul Ndiaye avec le SénégalPeut-être le milieu de terrain du HAC est-il en droit de rêver à une participation à la Coupe d’Afrique des Nations. Alors que le coup d’envoi de ce tournoi continental, organisé au Maroc, sera donné le 21 décembre prochain, Rassoul Ndiaye vient en effet d’être appelé, tout comme Mory Diaw, par le sélectionneur du Sénégal (Pape Thiaw). Présent qu’il est sur une liste de 27 joueurs convoqués pour un match amical face au Brésil, le 15 novembre à l’Emirates Stadium, là où se produit habituellement Arsenal. À noter que Ndiaye a déjà rejoint les Lions de la Teranga à deux reprises et compte une sélection. Par Benoit DONCKELE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : HAC Football – Ligue 1 : « On est un peu plus respectés », estime Loïc Nego, défenseur du HAC Latéral droit du HAC et international hongrois, l’expérimenté Loïc Nego (34 ans) s’est présenté ce jeudi 6 novembre 2025 en conférence de presse d’avant-match. Accompagné d’un message aussi réaliste qu’ambitieux.
Deux étudiants en médecin ont été sanctionnés. - Archives Stéphanie PÉRON CLÉMENT/PN Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:30 Lecture zen Le 18 juillet dernier, la section disciplinaire du conseil académique de l’Université de Rouen a prononcé l’exclusion pour une durée de trois ans de tout établissement supérieur d’enseignement, à l’encontre de Maxime*, étudiant en troisième année d’études de médecine. Le 18 septembre, un autre étudiant, Romain*, en cinquième année de médecine était sanctionné par le président de l’Université de Rouen d’une interdiction totale d’accès aux locaux universitaires. Consultez l’actualité en vidéo Ces deux sanctions, sans lien entre elles, concernent des étudiants suspectés d’avoir adopté un comportement pénal répréhensible. Elles ont été contestées par les intéressés par des requêtes en référé suspension devant le tribunal administratif de Rouen le 13 octobre. À lire aussi Tentative de suicide d’un étudiant à l’université de Rouen : « Je ne souhaite pas suspendre le professeur » Soirée festive en montagnePour Maxime, il s’agit de faits d’agressions sexuelles à l’encontre d’une étudiante pour lesquels l’Université de Rouen a effectué un signalement au procureur de la République de Rouen, sur le fondement de l’article 40 du code de procédure pénale. L’une de ces agressions se serait produite au cours d’une soirée festive lors d’un séjour étudiant en montagne où, dans un contexte « d’alcoolisation massive », Maxime aurait réalisé des attouchements sur une étudiante. « Il est conscient de ses problèmes d’alcool », a reconnu au cours de l’audience Me Oukid, avocat de Maxime. Ce dernier nie les faits qui lui sont reprochés. Son avocat a insisté sur le fait que les poursuites judiciaires se basent sur des témoignages indirects et que la victime n’a jamais porté plainte. De son côté, pour l’Université, Me Nesselrode a souligné « des faits d’agressions sexuelles suffisamment établis ». Le tribunal, estimant qu’il n’existe aucun doute sérieux quant à la légalité de la décision de l’Université, a rejeté la requête de l’étudiant.Plainte déposéeConcernant Romain, il lui est reproché d’avoir capté et utilisé sans leur consentement des photos et vidéos intimes d’étudiantes en médecine. Trois d’entre elles ont été entendues par le doyen de la faculté de sciences qui s’en est ensuite rapporté au président de l’Université. Une mesure conservatoire a été prise à l’encontre de l’étudiant : une interdiction d’accéder aux locaux, en attente des résultats judiciaires (une plainte ayant été déposée par l’une des victimes présumées). « On lui a brutalement notifié cette décision sans qu’il présente des observations, il n’y a pas eu de procédure contradictoire », a estimé Me Coquerel, l’avocat de Romain.C’est un étudiant qui inquiète, il détient des photos qui pourraient détruire les victimes.Me Nesselrode, Avocat de l’Université de RouenL’étudiant conteste cette sanction qui d’après son avocat est basée « sur des faits particulièrement évasifs » et qui pourrait « l’empêcher de passer ses examens en contrôle continu ». « C’est un étudiant qui inquiète, il détient des photos qui pourraient détruire les victimes », a insisté Me Nesselrode, conseil de l’Université. L’Université préfère qu’il suive les cours à distance. » À lire aussi Victime d’une agression sexuelle à la fac de Rouen, elle se bat pour passer ses examens à distance Le tribunal administratif de Rouen a rejeté la requête de Romain. « Il n’est pas sérieusement contesté que l’interdiction de pénétrer dans le domaine universitaire ne provoque pas une rupture brutale des enseignements dès lors que les cours peuvent se poursuivre à distance et que les services de l’établissement public ne s’opposeront pas à consentir des aménagements à la mesure de police en cause afin de permettre l’accomplissement de certaines démarches, participer à certains cours et autoriser la présence aux épreuves d’examen », est-il écrit dans la décision. Le tribunal devra se prononcer ultérieurement sur le fond de ces dossiers.*Les prénoms ont été modifiés. Par Jérémy CHATET Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Rouen (Seine-Maritime) Agressions sexuelles, détention d’images intimes… Deux étudiants exclus par l’Université de Rouen En juillet et septembre 2025, l’Université de Rouen a sanctionné deux étudiants, l’un d’une exclusion de trois ans, l’autre d’une interdiction d’accès à la fac, pour des faits pénalement répréhensibles.
Les groupes Les 3 fromages, Mirabelle et Celkilt font la Tournée du cœur 2025 qui passe à Forges-les-Eaux - Photos Mathieu Ezan (les 3 Fromages) et Eva Quillec (Mirabelle) Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:30 Lecture zen Après une première saison réussie en 2024 à travers la France, la Tournée du Cœur revient en 2025 et passe en Normandie, à l’Espace de Forges-les-Eaux le samedi 8 novembre. Le principe : trois groupes vont se succéder sur scène et les bénéfices du concert sont reversés aux Restos du Cœur.Au programme un plateau rock accessible, festif et intergénérationnel : Celkilt, les 3 fromages et Mirabelle. Rencontre avec Eric Brison, chanteur, guitariste du groupe les 3 fromages, et co-organisateur de la Tournée du cœur. Les 3 fromages proposent un rock humour - Photo Mathieu Ezan Celkilt et son rock celtique Mirabelle et son heavy-pop punk - Photo Eva Quillec À lire aussi Espace de Forges : les spectacles (pas encore complets) à ne pas manquer ! « Nous donnons de notre personne car chaque geste compte »Comment est née cette initiative de la Tournée du cœur ?« Nous voulions joindre l’utile à l’agréable. Nous les intermittents du spectacle et groupes indépendants, qui ne pouvons faire partie du spectacle iconique des Enfoirés, avons décidé de nous unir et de monter ce projet. Pour cela, nous avons créé un partenariat avec les Restos du cœur en leur donnant un coup de main sur le plan local, avec une tournée en parallèle avec des groupes indépendants qui tournent à l’année partout en France. D’ailleurs lors de la soirée à Forges, des bénévoles de l’antenne normande seront présents comme dans tous les départements où nous passerons. Récolter et sensibiliser les gens sont nos seules motivations, nous voulons leur faire profiter de notre énergie. Il y a une notion de partage, d’entraide. Nous donnons de notre personne car chaque geste compte. »Les groupes ont changé depuis l’an dernier et la première tournée, comment sont-ils choisis ?« Notre volonté est de rester sur le côté rock. En 2024, nous avions des groupes avec un rock plus dur ; pour 2025, nous avons choisi un rock plus doux et humoristique. Celkilt avec son rock celtique, les 3 fromages avec un rock humour et Mirabelle, un jeune groupe émergeant avec du heavy-pop punk. Ces soirées seront exclusives car le concert de la veille ne ressemblera pas à celui du lendemain et cela tout le long de ces 14 dates. On se mélange, on se complète, on ne garde pas le même ordre et surtout on s’amuse. » À lire aussi À Petit-Caux près de Dieppe, ils réservent le bus à la demande pour faire la tournée des bars ! « Une tournée intense »Cette tournée se met donc au défi de faire mieux que l’an passé ?« Exactement. L’idée est de réfléchir à toujours faire mieux. Nous avons des messages d’artistes qui nous contactent et qui ont envie de jouer le jeu. C’est-à-dire être payé au minimum pour en donner le plus possible aux Restos, en plus des entrées des concerts. On ne se donne pas de limites et plus l’on fera de villes, plus on sensibilisera le public. On peut rêver aussi qu’un jour des grands groupes connus et reconnus souhaitent nous rejoindre… C’est une tournée intense qui se passe sur deux semaines pour 14 dates, on monte dans un bus et on vit ensemble sur ces deux semaines. Alors on donne tout ce que l’on a. Si vous voulez vivre une soirée exceptionnelle et unique, venez faire la fête pour la bonne cause. »La Tournée du cœur, avec Celkilt, 3 fromages et Mirabelle, à l’Espace de Forges samedi 8 novembre 2025, à 20h. Tarif : 25 euros. Informations et réservations au 02 32 89 80 80. Par Ingrid Cordier La Tournée du cœur à Forges-les-Eaux : « Venez faire la fête pour la bonne cause » La Tournée du cœur, une série de concerts au profit des Restos du Cœur, reprend la route pour une 2e saison. Et elle s’arrête le 8 novembre 2025 à Forges-les-Eaux. Trois groupes seront sur scène, pour la fête et la bonne cause.
La cuisine centrale de Verberie fournit les repas aux cantines de Béthisy-Saint-Pierre, Saint-Sauveur et Saint-Vaast-de-Longmont. Le Meux et Armancourt les rejoindront ensuite. Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:38 Lecture zen Après Béthisy-Saint-Pierre en janvier 2025, la cuisine centrale de Verberie produit depuis cette rentrée de novembre les repas du midi pour les enfants de Saint-Sauveur et de Saint-Vaast-de-Longmont. Une volonté commune de proposer aux écoliers une cuisine faite maison avec des produits de saison, locaux et/ou bio. « Bravo à notre belle équipe en cuisine, menée par son chef Bastien Malicet, pour la production de 650 repas par jour, se réjouit Cécile Davidovics, maire. L’objectif est atteint. » Consultez l’actualité en vidéo Néanmoins, si tout le monde est satisfait de voir les enfants manger mieux, cela a un coût, notamment pour la livraison des repas. À Saint-Sauveur, les élus en ont débattu en réunions de conseil municipal les mardi 7 et mercredi 29 octobre. Le projet avait été approuvé à l’unanimité pour améliorer la qualité de la restauration dans les écoles et le centre aéré et une convention signée avec la mairie de Verberie. « Il restait juste à signer une convention avec la mairie de Béthisy-Saint-Pierre pour la livraison des repas à partir du 2 novembre, mais cela a été laborieux, soupire Claude Lebon, maire de Saint-Sauveur. Nous avons eu les documents tardivement. » Pour effectuer ces livraisons à Béthisy-Saint-Pierre, Saint-Sauveur et Saint-Vaast-de-Longmont, la commune de Béthisy-Saint-Pierre a acheté un véhicule et, avec l’aide du fonds européen LEADER qui a octroyé une subvention de 80 %, il ne lui est resté que 8 000 euros à charge.Un surcoût de 24 centimes par repasLe coût de livraison (16,44 euros par jour, 16,05 le mercredi car pas de livraison à Saint-Vaast) a été réparti ainsi : 57 % pour Béthisy, 31 % pour Saint-Sauveur et 12 % pour Saint-Vaast-de-Longmont. Quant au coût du repas, il revient à 4,10 euros par jour et par élève, auxquels s’ajoute 1,60 euro pour les frais d’encadrement : « Le surcoût de 24 centimes est plus que ce que l’on pensait : la fourchette haute identifiée par l’expert mandaté par l’Agglomération de la région de Compiègne (ARC) était de 15 centimes, précise Claude Lebon. Cela représente 3 000 euros pour la commune, soit 50 euros par enfant et par an. Nous espérons une bonne nouvelle en 2026, puisque Le Meux en septembre, puis Armancourt rejoindront le projet, ce qui devrait faire baisser le coût de revient du repas. » Saint-Vaast-de-Longmont a rejoint le projet en cette rentrée de novembre. Pour limiter le surcoût pour les parents, la Maison pour tous de Verberie, qui est en charge de l’accueil de loisirs, achète le pain sur ses fonds propres, soit 12 centimes par jour et par enfant. « Nous entamons la première phase d’expérimentation jusqu’en décembre, dans la limite de 80 repas par jour pour Saint-Sauveur », ajoute le maire de Saint-Sauveur. À lire aussi La cantine de Royallieu inaugure le fait maison à Compiègne En ce qui concerne la commune de Saint-Vaast-de-Longmont, la modification de la convention cuisine centrale de Verberie a été débattue lors du conseil municipal du vendredi 3 octobre : « Le nombre de repas a été surestimé dans la convention d’origine. Le nombre de repas à servir à la cantine sera plutôt de 5 760 repas par année scolaire au lieu de 6 480. La convention avec la cuisine centrale de Verberie sera donc modifiée en ce sens. » Par notre correspondante Mireille Cardot Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Saint-Sauveur (Oise) Béthisy-Saint-Pierre (Oise) Béthisy-Saint-Martin (Oise) Saint-Vaast-de-Longmont (Oise) Le Meux (Oise) Verberie (Oise) Deux nouvelles communes du Compiégnois rejoignent la restauration scolaire en circuit court Si la qualité des repas proposés par la cuisine centrale de Verberie satisfait, la question du surcoût se pose pour les communes, notamment pour la livraison.
Les meilleurs candidats poursuivent l'aventure dans le jeu après une première soirée locale. Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:51 Lecture zen Ce vendredi 7 novembre aura lieu la demi-finale du jeu Champions pour le Pays de Somme. Une soirée organisée par la Communauté de communes du Pays du Coquelicot et la municipalité de Bouzincourt. Les joueurs vont en découdre autour de questions basées, notamment, sur la culture générale et la connaissance du patrimoine régional, à la salle communale. La finale à Friville début décembreLes deux premières équipes se qualifieront pour la grande finale départementale du jeu, qui est prévue le dimanche 7 décembre, à Friville-Escarbotin. Alors, quelles équipes parmi Aubigny, Corbie, Ham, Roye et Warloy-Baillon parviendront à tirer leur épingle du jeu ? Réponse ce vendredi 7 novembre. Mais avant cela, en première partie de soirée, la finale du secteur Est du jeu Graines de champions se jouera avec la participation de sept écoles élémentaires. Pour assister à la soirée, rendez-vous à la salle communale de Bouzincourt, vendredi 7 novembre. Entrée libre. Demi-finale à Bouzincourt : les champions pour le Pays de Somme en lice ce vendredi 7 novembre Les meilleures équipes s’affrontent ce vendredi 7 novembre à Bouzincourt pour une place en finale du jeu Champions pour le pays de Somme. Les équipes d’Aubigny, Corbie, Ham, Roye et Warloy-Baillon s’affronteront autour de questions de culture générale et de patrimoine régional.
Le collectif Les Arts partagés organise la cinquième édition de son salon exposition Les Arts en fêtes à la salle du Château de Valognes. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:52 Lecture zen Les 15 et 16 novembre 2025, la salle du Château de Valognes accueillera la cinquième édition du salon Les Arts en fêtes, orchestré par le collectif Les Arts partagés. Cette édition réunira 34 artistes, renouvelés aux deux tiers par rapport à l’an dernier, dans un espace volontairement limité pour favoriser la qualité et la proximité avec le public, précise La Presse de la Manche.Un salon artistique et festifLes visiteurs découvriront dix disciplines artistiques différentes : photographes, peintres, pastellistes, dessinateurs, auteurs, céramistes, sculpteurs, créateurs de bijoux, mugs personnalisés et objets de décoration. Chaque artiste disposera d’un espace aménagé en mini-galerie ou atelier, décoré aux couleurs des fêtes, pour présenter ses créations et échanger avec le public.En 2024, plus de 1 500 visiteurs étaient venus admirer les œuvres et trouver des idées de cadeaux de Noël. Cette année, le collectif, composé de dix membres, espère accueillir encore plus de passionnés d’art et d’artisanat. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Cherbourg-en-Cotentin (Manche) Manche : Le salon « Les Art en fêtes » de Valognes revient pour une cinquième édition Le collectif Les Arts partagés organise la cinquième édition de son salon exposition Les Arts en fêtes à la salle du Château de Valognes. Plus de 30 artistes y présenteront leurs créations artisanales et artistiques.
Une intrusion a été signalée sur un chantier d’abattage d’arbres à Longueil-Annel. - Photo d’illustration Kevin Devigne Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:53 Lecture zen Des militants sur le chantier du canal Seine-Nord. Dans la matinée de ce jeudi 6 novembre, les gendarmes de Compiègne ont été avisés de la présence de plusieurs personnes à Longueil-Annel où ont lieu des travaux d’abattage d’arbres, dans le cadre du chantier de construction du futur canal à grand gabarit. Consultez l’actualité en vidéo Plusieurs militaires du Peloton de surveillance et d’intervention (PSIG) de Compiègne ont été dépêchés sur place. À leur arrivée, ne restaient plus que les deux ouvriers qui avaient donné l’alerte. Les gendarmes sont restés sur le chantier pendant toute la journée, afin d’éviter de nouvelles tentatives d’intrusion et de perturbations et d’écarter tout risque d’accident pour les personnes.En janvier 2025, des ‘‘écureuils’‘ avaient manifesté en se perchant dans des arbres situés à proximité du siège de la Société du canal Seine-Nord Europe, cours Guynemer à Compiègne. Ils avaient été délogés par les forces de l’ordre et deux d’entre eux ont comparu dans le courant de l’année devant le tribunal de la Cité impériale, pour outrage, d’une part, et organisation d’une manifestation illégale, d’autre part. Le premier a été relaxé et la procédure à l’encontre du second a été annulée. Le 12 octobre, une manifestation organisée à Thourotte a rassemblé près de 2 000 personnes. Par O.M. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Longueil-Annel (Oise) Compiègne (Oise) Le chantier du canal Seine-Nord perturbé à Longueil-Annel Les gendarmes de Compiègne ont dû intervenir après que la présence de militants leur avait été signalée ce jeudi 6 novembre. À leur arrivée, il n’y avait plus personne.
Etienne Delarue était très investi dans la vie de la commune. - Photo d’archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:55 Lecture zen C’est une profonde tristesse qui touche aujourd’hui Bacqueville-en-Caux. Figure connue et estimée de la commune, l’ancien maire Étienne Delarue s’est éteint à l’âge de 84 ans. Sa disparition laisse un grand vide dans le cœur des habitants, tant il aura marqué la vie locale par son engagement et sa bienveillance. Né à Saint-Martin-le-Vivier, représentant de commerce retraité et père de trois enfants, il avait à cœur de faire de son village une commune accueillante et dynamique. Consultez l’actualité en vidéo Etienne Delarue était très investi dans la vie de la commune. - Photo d’archives Élu maire en 2001, après avoir été conseiller puis adjoint aux côtés de Gérard Savoye, il a conduit la commune durant quatre mandats, avec le souci constant de l’intérêt collectif. « C’était un homme très investi, un grand cœur, très humain, à l’écoute aussi bien des élus que de ses concitoyens, confie avec émotion Aline Morel, qui a siégé à ses côtés pendant trois mandats. Il a toujours veillé à une gestion saine de la commune. » À lire aussi Un service spécialisé de l’hôpital de Dieppe accueille pour la première fois une interne Très attaché à la jeunesse, il s’est battu pour améliorer le cadre de vie des enfants, notamment en soutenant le transfert de la garderie Animômes dans des locaux neufs derrière le groupe scolaire. Il a aussi œuvré pour attirer de nouvelles familles, à travers la création de logements comme les résidences La Croix Mangea-là et Jean Poulain.Un dernier hommage, vendrediAffaibli par la maladie, Étienne Delarue avait dû quitter ses fonctions en 2024 et résidait depuis septembre dernier à l’Ehpad d’Arques-la-Bataille. Le conseil municipal entend poursuivre les projets qu’il a initiés, notamment la réhabilitation de la mairie et la restructuration du centre-bourg, deux dossiers qui lui tenaient à cœur. Ses obsèques seront célébrées le vendredi 14 novembre à 10 h, en l’église Saint-Pierre de Bacqueville-en-Caux, où un hommage lui sera rendu par le maire actuel, Jean-Marie Adam, entouré de nombreux élus et habitants. Par Sylvie Macquet Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Bacqueville-en-Caux (Seine-Maritime) Bacqueville-en-Caux perd son ancien maire, une figure estimée et engagée Figure connue et estimée de la commune, l’ancien maire Étienne Delarue s’est éteint à l’âge de 84 ans. Sa disparition laisse un grand vide dans le cœur des habitants.
Une fanfare ouvre traditionnellement la foire Saint-Martin de Domart-en-Ponthieu, à 11 heures précises. - Photo d’archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:00 Lecture zen Elle a traditionnellement lieu le premier dimanche de novembre. La foire de la Saint-Martin se déroulera le dimanche 9 novembre 2025, de 6 à 18 heures, dans le centre-bourg de Domart-en-Ponthieu, dans les rues Gaston-Morin et René-Demarest. « L’origine de cette foire remonte à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Initialement, il s’agissait d’une vente de bestiaux », explique Nicolas Maréchal, maire, également président de l’association des Amis des anciens, organisatrice de la manifestation. L’inauguration est programmée à 11 heures, avec une fanfare. Consultez l’actualité en vidéo Dès 6 heures, les chineurs pourront arpenter la réderie à la recherche de la bonne affaire. Une foire commerciale sera mise en place, avec des vendeurs professionnels. Au total, une centaine d’exposants sera présente. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’à ce samedi 8 novembre 2025. À lire aussi Les chemins de randonnée ont la cote en Nièvre et Somme Un repas tripes-frites à la salle des fêtes« Du matériel agricole et des véhicules de collection seront présentés au public », complète l’édile. Les attractions foraines seront de la partie, notamment des auto-tamponneuses. Enfin, qui dit foire de la Saint-Martin dit « repas tripes-frites ou rôti à la salle des fêtes, à partir de 12 heures », conclut Nicolas Maréchal. Le tarif se monte à 12 euros. Une buvette est également prévue.Renseignements et inscriptions pour les exposants au 03 22 54 01 37, à l’adresse mairie@domartenponthieu.fr. Tarifs (paiement à la réservation) : 1,50 euros le mètre pour les particuliers et 3 euros le mètre pour les professionnels. Pour le repas, tél. 07 49 28 70 43. Par Alexandre Genest Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Domart-en-Ponthieu (Somme) La foire de la Saint-Martin revient à Domart-en-Ponthieu Fête ancestrale, la Saint-Martin aura lieu dimanche 9 novembre 2025, de 6 à 18 heures dans le centre-bourg de Domart-en-Ponthieu. Organisée par l’association des Amis des anciens, elle comprendra une foire commerciale, une réderie et des attractions foraines.
Aucune manifestation a été organisée pour l’occasion - Photo d’archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:01 Lecture zen Pas de présence dans les rues, mais leurs revendications sont bien là. À l’occasion du jeudi 6 novembre, et de la journée d’action intersyndicale des retraitées, le collectif retraités CGT Vimeu-Bresle s’est réuni à Friville-Escarbotin. À lire aussi Amiens : des retraités en colère érigent un mur de revendications devant le siège du Medef Pas de manifestationContrairement à Amiens, Laon ou Beauvais, aucune manifestation était organisée : « un choix volontaire de notre part, car il est de plus en plus compliqué pour les retraités de se déplacer sur le territoire », explique l’un des animateurs de la réunion. Avant d’ajouter : « notre volonté était quand même de se réunir pour nous faire entendre parce que l’un de nos seuls moyens d’action, c’est d’être une force organisée ».Parce que les retraités « au cœur des débats à l’Assemblée Nationale, et que le gouvernement et le patronat prennent pour cible » ont bien des revendications. Comme l’abrogation de la réforme des retraites de 2023 et le retour à la retraite à 60 ans, car « cela ne doit pas être l’antichambre de la mort. Plus on part tard, moins on vit longtemps ». Ou encore la revalorisation de toutes les pensions de retraite de 10 %.Face à ce constat et à la montée du fascisme et du Rassemblement National, tous s’accordent : « on ressent de la colère pour nous, et de l’inquiétude pour nos enfants ». Leur seul moyen d’action selon eux ? « Les urnes », répondent-ils en chœur. Prochaine échéance : le 15 mars 2026, avec le premier tour des élections municipales. Par Mathis Helie Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Friville-Escarbotin (Somme) Mobilisation des retraités : dans le Vimeu, pas de manifestation mais des revendications Le collectif retraités CGT Vimeu-Bresle a choisi de ne pas organiser de manifestation à l’occasion du jeudi 6 novembre 2025, et de la journée d’action intersyndicale des retraitées. Les revendications sont toutefois bien présentes.
La production devrait baisser de 620 à 450 véhicules par jour. - Archives Karine Leroy/Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:02 Lecture zen Ce ne sont pas des pions ! » Le délégué syndical Central Adjoint FO Renault SAS, Fabien Gloaguen, ne décolère pas. Il a été informé que la direction de Renault Sandouville envisage de mettre fin au contrat de quelque 300 intérimaires fin 2025. Une réunion extraordinaire du comité social et économique s’est tenue jeudi 6 novembre 2025. Consultez l’actualité en vidéo Une décision d’autant plus incompréhensible pour le syndicaliste que ces salariés ont intégré l’entreprise à partir de septembre 2025 pour accompagner une montée en cadence de la production due à une reprise des commandes.« Ce sont plus que des intérimaires, ce sont des collègues de travail »Fabien Gloaguen, Délégué syndical Central Adjoint FO Renault SASLa direction de Renault avait en effet annoncé aux organisations syndicales, lors d’un CSE extraordinaire le 16 juillet 2025, sa volonté de remonter à pleine cadence, de manière temporaire, d’octobre à décembre 2025. Une décision qui intervenait alors même que l’usine avait dû revoir à la baisse sa production à la fin du premier trimestre 2025. Trois cents intérimaires avaient perdu leur emploi au printemps… 300 intérimaires qui avaient donc été rappelés, et qui risquent donc d’être remerciés, comme le prévoyait la direction. « Ce sont 300 familles impactées. Ce sont plus que des intérimaires, ce sont des collègues de travail », regrette Fabien Gloaguen. « Ils font partie de Renault, il y a une solidarité ! »« L’humain ne compte plus »Mais pour quelles raisons l’usine, qui produit l’utilitaire Trafic, donne-t-elle l’impression de jouer au yoyo ? Selon le délégué syndical Central Adjoint FO Renault SAS, il faut chercher la réponse du côté de l’Union européenne (lire par ailleurs). « L’Union européenne contraint Renault à faire baisser sa production », s’insurge Fabien Gloaguen. C’est un paradoxe alors que l’entreprise devrait jouer son rôle social. L’humain ne compte plus… Il ne faut pas mettre la pression sur les intérimaires. Ce sont des personnes dévouées. » À lire aussi Tereos annonce une réduction de la durée des contrats avec les planteurs de betteraves Une décision d’autant plus difficile à faire passer que la demande était de nouveau au rendez-vous et que cette fin des contrats d’intérim correspond à la période des fêtes de fin d’année. « Cela ne va faire qu’empirer la mauvaise nouvelle de devoir quitter Renault », regrette le délégué syndical Central Adjoint FO Renault SAS.« Avoir de la visibilité »Pour le secrétaire général CGT Renault Sandouville, Nicolas Guermonprez, joint par Paris Normandie, il n’est « pas question de mettre de la sinistrose… En tant que représentant du personnel, je n’ai aucun chiffre. Nous attendons d’avoir le document factuel… je suis un élu responsable, j’attends le document », suite au CSE. La CGT, qui a prévu de communiquer via sa page Facebook, demande à la direction de Renault Sandouville « d’avoir de la visibilité, de la franchise, de la clarté. » Par Karine LEROY Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Économie Le Havre (Seine-Maritime) Sandouville (Seine-Maritime) Incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ? Renault Sandouville s’apprêterait à mettre fin au contrat en intérim de quelque 300 personnes fin 2025. Le constructeur doit réduire sa production de véhicules utilitaires. Un CSE se tenait jeudi 6 novembre 2025.
La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:03 Lecture zen Une grève, à l’appel du syndicat majoritaire CFDT, s’est tenue à l’usine Mousline de Rosières-en-Santerre, fabricant de purée déshydratée (140 salariés sur site, 174 au total avec le siège à Paris), jeudi 6 novembre. « Les personnels grondent depuis six mois, on a attendu, mais là nous avons considéré que c’était le bon moment pour dire stop », indiquent les représentants du syndicat. Le dernier mouvement de grève remonte à des dizaines d’années, pensent les plus anciens. Une quinzaine de salariés de l’équipe du matin ont débrayé de 10 à 13 heures, avant le relais l’après-midi d’autres collègues. Ce mouvement social « glissant sur la journée » a eu pour effet l’arrêt de deux lignes de production sur sept et deux sur quatre au conditionnement en matinée. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Le délégué syndical CFDT Alexis Dacquin liste les motifs de colère : la participation aux bénéfices réduite à zéro contre une prime de 1 500 € par le passé, des négociations salariales, en février, aboutissant à des augmentations « ridicules par rapport à l’inflation », des congés payés et des périodes de fermetures imposés. La politique du mail est mal supportéeDans un tract, les grévistes dénoncent « un dialogue social inexistant avec la direction » ainsi qu’un décalage entre les discours et la réalité. L’usine a été rachetée fin 2022 à Nestlé par le fonds d’investissement français FnB Private Equity. Les annonces positives des derniers mois tarderaient à se concrétiser. « Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit, notre production annuelle est à 15 000-16 000 tonnes et pas 20 000. Et la nouvelle ligne prévue il y a deux ans n’est toujours pas là », invoquent les grévistes. Enfin, et c’est un ressort du mouvement social, « il y a un problème de communication avec les ressources humaines qui ne pratiquent que la politique du mail à distance. Nous attendons, et vite, une nouvelle forme de dialogue », espère Alexis Dacquin. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet La communication de l’entreprise Mousline a été jointe par téléphone jeudi à la mi-journée, sans succès. Par Nicolas Totet Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline Des salariés de SGA Mousline à Rosières-en-Santerre étaient en grève ce jeudi 6 novembre. Un mouvement social, très rare, qui dit forcément quelque chose.
La décision du tribunal de commerce d’Amiens n’impacte pas les 27 salariés ni le fonds de commerce racheté par AB Texel de Péronne. Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:06 Lecture zen Le 23 octobre dernier, le tribunal de commerce d’Amiens a prononcé la liquidation judiciaire simplifiée des transports Delavenne basés à Péronne, rue de la Vallée. Une formalité administrative qui intervient près d’un an après la cession de l’activité, selon nos confrères du Courrier Picard. « J’avais alors vendu mon fonds de commerce à l’entreprise AB Texel, qui n’est pas concernée par la décision du tribunal d’Amiens, le 4 décembre 2024. Tout le personnel (27 salariés), le matériel et les contrats avaient été repris et depuis un an, j’ai clôturé et liquidé tous les comptes après avoir vendu le fonds de commerce. On a juste fait une liquidation simplifiée », précise le patron, Nicolas Delavenne.Pas de poste suppriméL’entreprise achemine des produits industriels (parfums, alcools, objets électroniques) et agro-alimentaires dans toute une zone du nord de la France s’étalant de l’Île-de-France à la Belgique, et de l’embouchure de la Seine au Havre à la Champagne-Ardenne. La liquidation judiciaire du tribunal de commerce d’Amiens ne génère pas de chômage : les activités transports se sont poursuivies, aucun des 27 postes de chauffeurs poids lourds n’a été supprimé. À lire aussi Comment sont organisés les convois exceptionnels XXL qui transitent par les routes du Laonnois ? Le groupe Delavenne poursuit ses activités logistiques. Entreprise familiale créée en 1987, ayant repris les transports Lefèbvre, le groupe Delavenne était initialement spécialisé dans le transport bâché avant d’élargir son activité dans la logistique en 1997. Par Vincent FOUQUET Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Péronne (Somme) À Péronne, les transports Delavenne ont été liquidés et rachetés par un groupe néerlandais Le 23 octobre 2025, le tribunal de commerce d’Amiens a confirmé la liquidation judiciaire de la filiale transports du groupe Delavenne. Une décision qui n’impacte pas les emplois puisque le fonds de commerce avait déjà été revendu.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:08 Lecture zen Pour le président du STB féminin, Romuald Galmard, cette soirée commune symbolise concrètement les liens tissés entre les deux sections depuis la fusion : « Au-delà du simple fait de partager la salle, ça demande une vraie organisation, une logistique, des coûts… Ça prouve qu’il existe un lien fort entre Rudy et moi, comme entre nos deux structures. L’an passé, la mise en avant des filles aux Docks avait très bien fonctionné. C’est une vraie plus-value en termes de com’. »« Arriver dans cette ambiance-là ne peut que nous aider »Le dirigeant souligne toutefois les contraintes d’un tel rendez-vous : « Nous avons la chance d’avoir huit joueuses sous contrat pro, mais certains clubs n’en ont que cinq ou six. Ils sont obligés de compter sur des jeunes, qui ont souvent un job ou une formation à côté, ce qui rend difficile un déplacement le vendredi. Trouver un adversaire disponible, c’est aussi un défi. »Enfin, il espère que l’excellente dynamique de la section masculine pourra déteindre sur ses joueuses : « Les garçons sont dans un vrai élan positif. Arriver dans cette ambiance-là, avec le public et toutes les bonnes ondes de cette salle, ne peut que nous aider. On sort d’une série compliquée. Il faut juste que la mayonnaise prenne. Si elle pouvait prendre dès vendredi, ce serait un beau symbole. » Romuald Galmard : « L’élan positif des garçons ne peut que nous aider »
L’exposition est visible aux heures d’ouverture de la médiathèque, du mardi au samedi. Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:19 Lecture zen « Je voulais mettre à l’honneur un genre musical. Mon choix s’est porté sur le jazz car cela n’avait jamais été fait », explique Franciane Daumont, la directrice de la médiathèque de Chauny.Trois rendez-vous sont prévus : une exposition intitulée « Polar Jazz, un siècle de liaisons dangereuses » (visible jusqu’à la fin du mois), un conte musical (le 15) et une animation « théâtre et concert » (le 22).« La quintessence d’un genre »Concernant l’exposition, « elle retrace en quelques panneaux la quintessence d’un genre avec ses personnages, ses œuvres, ses codes et ses rites ». À lire aussi À Chauny, le théâtre comme média pour aborder la transition vers la retraite Les usagers de la médiathèque peuvent donc (re)découvrir le jazz à travers la littérature policière et les polars au cinéma. Par L.Q. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Chauny (Aisne) Spectacle : trois rendez-vous autour du jazz à la médiathèque de Chauny Le jazz est à l’honneur à la médiathèque, en ce mois de novembre. En plus d’une exposition visible jusqu’au 30 novembre, un conte musical et une animation « théâtre et concert » sont également prévus.
Les hommes du feu n’ont pas manqué d’humour. - Photo d’archives Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:20 Lecture zen Pour certains, c’est un drame national. Pour d’autres, c’est l’occasion d’une plaisanterie car il vaut, peut-être, mieux en rire. Consultez l’actualité en vidéo C’est ce qu’ont choisi de faire des sapeurs-pompiers pour assurer, il est temps, la promotion de leur calendrier 2026, avant de faire du porte à porte pour tenter de le vendre.Sur le thème musical de la Panthère rose, deux pompiers d’Indre-et-Loire montent à la grande échelle, forcent la fenêtre d’un immeuble, utilisent une disqueuse pour couper le verrou d’une vitrine d’exposition et en dérober le trésor. : leur fameux calendrier.« Pieds Nickelés » à trottinetteVous l’aurez compris, tout cela ressemble de près, mais surtout de loin, au cambriolage du Louvre survenu le 19 octobre 2025. À lire aussi Pourquoi mourir coûte encore plus cher en Normandie que dans les autres régions françaises ? Les voleurs sont des « Pieds Nickelés » et laissent tomber leur calendrier. Une référence à la couronne de l’impératrice Eugénie retrouvée endommagée sur les lieux du cambriolage ?À défaut de deux roues à grosses cylindrées, c’est sur une trottinette électrique qu’ils repartent. À deux, c’est dangereux, mais on ne leur en veut pas tant c’est drôle.Et cela marche ! Plus de 300 000 vues en une semaine selon nos confrères de Ouest-France. Par Christophe FREBOU Vol du Louvre : des pompiers le parodient pour leur calendrier et font des centaines de milliers de vues L’échelle, la disqueuse, la fenêtre et le butin… rien ne manque. Des hommes du feu ont choisi de parodier le cambriolage de la salle Apollon pour assurer la promotion de leur calendrier 2026. Alors, peut-on rire de tout ?
Le parquet national antiterroriste « a décidé de ne pas retenir sa compétence » dans le dossier concernant l’automobiliste qui a renversé des piétons et cyclistes mercredi 5 novembre 2025 sur l’île d’Oléron. - AFP Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:20 Lecture zen Le parquet national antiterroriste (PNAT) ne s’est pas saisi du périple criminel mené mercredi 5 novembre 2025 sur l’île d’Oléron par un marginal trentenaire, dont le profil interroge, entre possible auto-radicalisation islamiste et questions sur son état psychiatrique.Âgé de 35 ans et connu pour des problèmes d’alcool, le mis en cause a renversé délibérément cinq piétons ou cyclistes mercredi matin, avant de crier « Allah Akbar » (Dieu est le plus grand) lors de son interpellation par les gendarmes.Deux victimes grièvement blessées« Le parquet national antiterroriste a décidé de ne pas retenir sa compétence. Le parquet de La Rochelle continue en conséquence à diriger les investigations en cours menées par la Section de recherches de Poitiers et la DZPN (direction zonale de la police nationale, NDLR) de Bordeaux », précise dans un communiqué le procureur de la République, Arnaud Laraize, qui tiendra une conférence de presse à 18 heures. À lire aussi Un conducteur percute plusieurs piétons sur l’île d’Oléron : dix blessés, dont quatre en urgence absolue Deux des victimes ont été grièvement blessées : une femme de 22 ans, collaboratrice du député du Rassemblement national de Charente-Maritime Pascal Markowsky, et un cycliste âgé de 69 ans.Leur pronostic vital n’était « plus engagé » jeudi, a déclaré le ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, au micro de France Inter, mais ils restent hospitalisés avec des « blessures extrêmement graves ».La jeune femme a subi une première intervention et doit être opérée à nouveau, a précisé à l’AFP Pascal Markowsky. « Ses parents ont pu la voir, elle leur a parlé. Maintenant, il faut attendre encore 48 heures avant de pouvoir faire un point vraiment précis », a-t-il dit.Deux des cinq blessés ont pu quitter l’hôpital, a par ailleurs déclaré à l’AFP une source proche de l’enquête, confirmant une information de la chaîne BFMTV.Peu loquaceLe suspect vivait de manière isolée dans un mobile home à Saint-Pierre d’Oléron. Pêcheur et fils de pêcheur, il a aussi effectué des petits boulots, de serveur dans un bar notamment, selon des témoignages recueillis sur cette île touristique qui compte environ 20.000 habitants permanents. À lire aussi « Si on avait pu éviter de jouer ce 13 novembre » : Deschamps regrette la date du match face à l’Ukraine Il était connu pour des délits de droit commun mais pas surveillé par les services de renseignement pour une éventuelle radicalisation, selon le ministre.Après avoir mis le feu à son véhicule, le trentenaire a crié « Allah Akbar » et résisté à son interpellation, les gendarmes devant utiliser un pistolet à impulsion électrique pour le neutraliser.Il est resté peu loquace lors de ses premières heures de garde à vue, a déclaré jeudi à l’AFP une source proche de l’enquête, qui fait état d’« interrogations sur son état psychiatrique ».Les enquêteurs cherchent à comprendre ses motivations, au travers notamment d’une expertise psychiatrique menée mercredi, de perquisitions et de l’étude de la téléphonie.« Il y a des références religieuses chez lui assez claires, assez explicites », a relevé le ministre de l’Intérieur, « reste à savoir si ça a été déterminant ou pas dans le passage à l’acte et quelle a été la motivation de l’individu ».« Ça fait un mois qu’il a mis le nez là-dedans, semble-t-il en toute autonomie », a souligné la source proche de l’enquête. Par AFP Attaque sur l’île d’Oléron : pas de saisine antiterroriste, le profil du suspect scruté Le parquet national antiterroriste « a décidé de ne pas retenir sa compétence » dans le dossier concernant l’automobiliste qui a renversé des piétons et cyclistes mercredi 5 novembre 2025 sur l’île d’Oléron.
Treize familles de gens du voyage sédentarisés à Chartres dénoncent des conditions de vie « insalubres » sur le terrain derrière le stade Jean-Gallet, où elles sont installées depuis plus de vingt ans. - Photo d’illustration RNP Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:21 Lecture zen Derrière le stade Jean-Gallet et l’ancienne base aérienne, treize familles de gens du voyage vivent depuis plus de deux décennies sur un terrain d’accueil, soit une quarantaine de personnes. Selon Gina Duvaux, porte-parole du collectif, la situation est devenue invivable, entre déchets, toilettes provisoires, trous dans la chaussée et présence de rats. « Cela devait durer 18 mois au départ et on est toujours là », déplore-t-elle, dénonçant le retard des projets de relogement et le manque d’équipements en dur dans les colonnes de l’Écho républicain.Insalubrité et promessesÉlisabeth Fromont, vice-présidente de l’agglomération en charge de l’accueil des gens du voyage, rappelle que plusieurs propositions ont été faites depuis 20 ans et qu’un projet d’équipements en dur est prévu dans le prolongement de l’aire d’accueil du rond-point des Propylées. Les travaux doivent débuter en 2026 pour une durée estimée à 18 mois, retardés notamment par un contentieux lié à l’aménagement du plateau nord-est de Chartres.En attendant, la collectivité assure un entretien ponctuel du site, comprenant le nettoyage et la maintenance des toilettes provisoires. Des dispositions supplémentaires seront prises pour l’enlèvement des détritus et l’amélioration de l’hygiène Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Chartres (Eure-et-Loir) Chartres : des conditions de vie difficiles pour les gens du voyage derrière le stade Jean-Gallet Treize familles de gens du voyage sédentarisés à Chartres dénoncent des conditions de vie « insalubres » sur le terrain derrière le stade Jean-Gallet, où elles sont installées depuis plus de vingt ans.
La compagnie Topaze jouera ce samedi à Caumont puis le 22 novembre à Saint-Gobain. - Facebook Cie Topaze Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:22 Lecture zen Voir une pièce de théâtre de qualité sans rien payer, c’est possible grâce à la communauté d’agglomération Chauny-Tergnier-La Fère et son opération Théâtre à la campagne qui s’inscrit dans la lignée de Cantons chante (concerts gratuits l’été). L’objectif recherché est de favoriser l’accès à la culture y compris dans les zones rurales. Consultez l’actualité en vidéo La 5e édition de ce rendez-vous fait escale ce samedi 8 novembre 2025 à Caumont, au parc de la villette. L’Agglo a signé pour la première une convention avec la compagnie théâtrale Topaze, basée à Tergnier, pour deux représentations ; la seconde aura lieu samedi 22 novembre à Saint-Gobain.« Tous les publics à partir de 8 ans »Les comédiens amateurs joueront La Souricière, une pièce écrite par la célèbre Agatha Christie. « Il s’agit d’une fantaisie policière où l’on retrouve certes un manoir, des cadavres, un suspense qui monte, mais aussi des personnages hauts en couleur voire parfois totalement extravagants, qui s’entrechoquent allégrement… » À lire aussi À Chauny, le théâtre comme média pour aborder la transition vers la retraite La suite de cette pièce « qui s’adresse à tous les publics à partir de 8 ans » est à (re)découvrir ce samedi, à partir de 20 heures. Et c’est donc gratuit ! Par L.Q. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Caumont (Aisne) Spectacle : une pièce de théâtre à voir gratuitement à Caumont La 5e édition de Théâtre à la campagne, organisée par la communauté d’agglomération, fait escale à Caumont ce samedi 8 novembre 2025. La compagnie Topaze, de Tergnier, jouera « La Souricière ».
Après plusieurs mois d’échanges, la commune et RTE ont finalement trouvé un terrain d’entente. - Photo Coline Poiret-Mellier Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:24 Lecture zen À La Frénaye, la page semble enfin se tourner pour le projet de lotissement situé à l’entrée de la ville. Compromis à cause de deux pylônes électriques situés sur le site, il va finalement pouvoir voir le jour : « Nous avons réussi à obtenir la faisabilité du lotissement et la mise aux normes des pylônes, au prix de deux réunions de négociation avec RTE », se félicite Christophe Tétrel, maire de la commune de 2 100 habitants. Consultez l’actualité en vidéo Un projet longtemps bloqué par deux pylônesL’affaire avait éclaté au printemps 2025. Après trois ans de travail sur un projet de 44 logements (douze en accession à la propriété et trente-deux logements sociaux), la mairie apprend, à la toute fin de l’instruction du permis d’aménager, que la construction est interdite autour de deux pylônes électriques implantés sur le terrain communal, à cause d’un arrêté datant de 2001. À lire aussi Près de Lillebonne, le projet de 44 logements mis à mal par deux pylônes électriques Selon le Réseau de transport d’électricité (RTE), la réglementation interdit tout bâti dans un rayon de 150 mètres autour de ces structures. Une découverte tardive qui avait mis le maire « en colère » et remis en question plusieurs années d’investissement.Un accord trouvé avec RTEAprès plusieurs mois d’échanges, la commune et RTE ont finalement trouvé un terrain d’entente. Une convention d’étude, signée la semaine dernière, prévoit le remplacement des deux pylônes existants par des pylônes non conducteurs, afin d’éliminer les risques liés à la foudre. Après avoir été stoppé net par la présence de deux pylônes électriques jugés dangereux, le projet de 44 logements à La Frénaye repart. - Photo d’archives Selon le Réseau de transport d’électricité (RTE), la réglementation interdit tout bâti dans un rayon de 150 mètres autour de ces structures. - Photo d’archives « Il faut trouver une solution de délestage conséquent avant d’intervenir », explique le maire car les deux lignes concernées alimentent la zone industrielle de Port-Jérôme. RTE doit revenir vers la commune dans les six prochains mois pour fixer un calendrier précis, avec un objectif de mise aux normes d’ici deux à trois ans.Le projet se fera tel qu’il était prévu, sans participation de la commune. Christophe Tétrel, Maire de La FrenayeBonne surprise pour les finances communales : la participation financière initialement demandée à La Frénaye pour la mise aux normes ne sera finalement pas nécessaire : « Le projet se fera tel qu’il était prévu, sans participation de la commune », se réjouit Christophe Tétrel. À lire aussi Près de Lillebonne, l’expérience de l’orchestre à l’école est un apprentissage pour toute la vie Le permis d’aménager reste valable jusqu’en 2028, et une promesse de vente de quatre ans a été signée avec le promoteur Alteame et le bailleur social Logéal. « Notre objectif est d’entamer les travaux d’ici 2028. Pour cela, il faut que le risque soit effacé et que les pylônes soient remplacés », précise le maire.Pour l’élu, ce lotissement est bien plus qu’un projet immobilier : « C’est une question de richesse fiscale, de vitalité scolaire et de développement des commerces », insiste-t-il.La Frénaye, déjà contrainte par la loi ZAN (Zéro artificialisation nette), a vu disparaître un hectare et demi de foncier constructible ces dernières années. « Heureusement, nous avons encore des terrains privés et communaux à urbaniser », note-t-il. Par Coline Poiret-Mellier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : La Frénaye (Seine-Maritime) À La Frénaye, le projet de 44 logements relancé après des mois d’incertitude Après avoir été stoppé net par la présence de deux pylônes électriques jugés dangereux, le projet de 44 logements à La Frénaye repart. Une convention signée avec RTE prévoit la mise aux normes de ces pylônes d’ici deux à trois ans.
Après huit années de procédures, le Conseil d’État a rejeté les derniers pourvois déposés contre le projet Centrakor à Falaise (Calvados). - Photo d’illustration Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:25 Lecture zen Le long feuilleton judiciaire du projet Centrakor à Falaise vient de s’achever. Le Conseil d’État a rejeté, les 14 octobre et 4 novembre 2025, les deux pourvois déposés par Patrick Machard, dirigeant des enseignes Sport 2000 et Bricomarché, contre l’arrêt rendu en février dernier par la Cour administrative de Nantes, précise le média Les Nouvelles de Falaise.Le feu vert définitif pour le magasin CentrakorCes décisions confirment la légalité du permis de construire délivré en juin 2023 par le maire Hervé Maunoury, autorisant la création du magasin dans la zone commerciale Expansia. « Je regrette le temps perdu dans ce dossier, mais il faut désormais faire de cette implantation une chance pour Falaise et sa zone de chalandise », souligne le maire.La Communauté de communes du Pays de Falaise salue également la fin du contentieux. « Tous les recours sont terminés ! Après huit années d’efforts, le projet peut enfin aboutir », se réjouit Clara Dewaële, vice-présidente chargée du développement économique. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Caen (Calvados) Falaise : le Conseil d’État valide définitivement le projet Centrakor Après huit années de procédures, le Conseil d’État a rejeté les derniers pourvois déposés contre le projet Centrakor à Falaise (Calvados). L’enseigne d’équipement et de décoration peut désormais s’implanter dans la zone Expansia.
Le maire, Philippe Marteau, brigue un deuxième mandat à Bertaucourt-Epourdon. Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:28 Lecture zen Le maire actuel, Philippe Marteau, a annoncé officiellement sa candidature pour un deuxième mandat, après avoir été élu une première fois en 2020.Il souhaite inscrire sa démarche dans la continuité de son premier mandat. « Je veux achever les projets entamés, renforcer le lien avec les habitants et continuer à servir l’intérêt général », a-t-il déclaré. « Ma motivation reste intacte : être utile à la commune et à tous ses habitants, dans un esprit de proximité, de dialogue et d’écoute. »Une démarche dans la continuité de son premier mandatLe maire revendique également une vision du rôle municipal comme celui d’un médiateur de terrain, proche des réalités quotidiennes de chacun. À lire aussi Spectacle : une pièce de théâtre à voir gratuitement à Caumont « J’entends poursuivre l’action de l’équipe municipale sans augmentation des impôts, tout en maintenant une bonne santé financière pour la commune, être dans la continuité du travail accompli et le voir aboutir. Une sécurité renforcée avec la finalisation actuelle d’un système de vidéosurveillance dans la commune et dans le hameau de Missancourt, l’installation de ralentisseurs pour sécuriser les rues du village, et le maintien de l’école maternelle avec la poursuite d’une offre périscolaire de qualité, afin de garantir des effectifs suffisants », annonce-t-il. Par Thierry Hanniet (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Municipales Aisne Philippe Marteau se représente à la mairie de Bertaucourt-Epourdon pour un deuxième mandat Le maire Philippe Marteau brigue un second mandat. Il souhaite poursuivre les projets engagés depuis 2020, dans un esprit de continuité, de proximité et sans hausse des impôts.
Les retraités rouennais manifestent pour dénoncer l’acharnement du gouvernement sur le Budget 2026. - Paris-Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:29 Lecture zen Jeudi 6 novembre 2025, les retraités, ainsi que les associations et les syndicats, étaient appelés à se mobiliser pour lutter contre les projets du budget 2026 et de la Sécurité Sociale qui laissent, selon eux « un grand sentiment d’incertitude ». À Rouen, environ 200 personnes se sont réunies place du Théâtre des Arts, avant de se déplacer vers la préfecture de Rouen pour déposer des pétitions. Consultez l’actualité en vidéo « Un acharnement »Les retraités dénoncent principalement les projets de loi de finance et de budget de la Sécurité sociale. Parmi les mesures contestées, l’abattement fiscal de 10 % qui va passer à un forfait unique de 2000€ et le doublement des franchises médicales. « Je suis retraité depuis le 1er janvier 2025, j’avais placé toutes mes économies dans mon assurance vie et maintenant on va être taxés dessus. Il faut qu’on arrête de se faire taxer comme ça », explique Jérôme Andrieu, un retraité venu manifester. « Quand on voit que le budget veut encore voter des projets qui ne taxent pas que les retraités mais aussi les plus pauvres, on ne peut pas s’en sortir ».« Je suis ici aujourd’hui car je n’ai pas envie de finir dans la misère (...) Il n’y a pas que des retraités milliardaires. »Ida, Retraité depuis 10 ansCes retraités ressentent un «acharnement constant» de la part du gouvernement : « Je suis ici aujourd’hui car je n’ai pas envie de finir dans la misère, il faut qu’ils comprennent qu’il n’y a pas que des retraités milliardaires », raconte Ida, retraitée depuis 10 ans. Une mobilisation qui est allée de la place du Théâtre des Arts à la préfecture de Rouen. - Paris-Normandie Les récentes déclarations du Premier ministre Sébastien Lecornu – se disant prêt à renoncer au gel des pensions – n’ont pas eu l’air de calmer le jeu : « Les conditions de vie des retraités ne sont pas respectées. Pendant des années les retraites et les pensions avaient été bloquées, elles ont été rattrapées il y a peu », se révolte Annick, retraitée depuis 6 ans. « On peut voir une accumulation des réformes avec l’abattement de 10 %, avec le gel de revalorisation, les mesures budgétaires qui menacent les retraités les plus précaires. C’est inacceptable : de l’argent il y en a ailleurs. » À lire aussi Évreux : les retraités de l’Eure se mobilisent pour plus de justice sociale Par Léna Féron Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) « Pas que des milliardaires » : à Rouen, les retraités dénoncent un « acharnement » du gouvernement Environ 200 retraités rouennais sont descendus dans les rues, jeudi 6 novembre 2025, pour manifester contre les projets de budget 2026 et de la Sécurité Sociale. Ils dénoncent un « acharnement » de la part du gouvernement.
Les gérants ont témoigné d’une ambiance «délétère» suite à cet abus de confiance. Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:37 Lecture zen En juillet 2023, Cédric, 36 ans, venait de passer chef de rang après avoir exercé comme pizzaïolo au restaurant Del Arte, à Abbeville. Cette promotion lui donnait accès à la caisse. Hélas… Dans ce restaurant, les clients réguliers bénéficiaient de remises. L’abus de confiance commis par l’employé est aussi simple que la recette de la margherita : il faisait payer le prix fort mais facturait la remis qu’il glissait dans sa poche en liquide. Le pot au rose a été découvert quand des clients se sont étonnés de ne plus avoir de ristourne. Les patrons ont alors croisé leurs relevés de caisse et leurs caméras de surveillance pour confondre leur salarié indélicat. Dans un premier temps, il a avoué, puis devant les prud’hommes a nié, avant d’avouer de nouveau, devant le tribunal, à l’audience de ce jeudi. Il explique avoir ainsi acheté divers objets technologiques – « Il s’en vantait », ont témoigné ses collègues – et surtout avoir cédé à son goût pour les paris sportifs. Consultez l’actualité en vidéo Discussion sur le préjudiceSes patrons estiment qu’entre juillet 23 et janvier 24, il a détourné 8858 euros. « Je suis étonné… », commente Cédric, qui estime plutôt ses ponctions autour de « 200 euros par semaine » (ce qui ferait 5200 sur la période de prévention). Ce calcul déplaît au parquet comme à la partie civile. Me Elisabeth Noublanche, en défense, croit utile de préciser : « Il n’est pas déplacé de vouloir se défendre. Jamais ». Le gérant de la pizzeria parle de « viol de confiance », de « climat délétère » et de « suspicions » au sein du personnel avant que le coupable ne fût démasqué. Son conseil Me Arnaud Godreuil rend compte d’une « trahison de l’intérieur » et d’un « préjudice d’image pour l’entreprise ».Cédric H. est condamné à six mois de prison avec sursis. Il devra régler à ses victimes 8858 euros de préjudice matériel, 1000 pour le préjudice d’image et 1513 de frais de défense. Par Tony Poulain Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Picardie Abbeville : le pizzaïolo piquait dans la caisse Ce jeudi 6 novembre 2025, le tribunal d’Amiens a condamné un ex-salarié de Del Arte, à Abbeville. En 2023, il avait détourné les remises faites aux clients fidèles.
Il faudra y mettre le prix... - D.R. Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:55 Lecture zen Sous son allure familière, la Lightweight GT, première « réinterprétation » de la légendaire Jag par Eagle, ne partageait déjà plus grand-chose avec la Type E d’époque, si ce n’est sa philosophie. Avec la GTR, Eagle a fait évoluer sa propre vision. Chaque panneau d’aluminium a été redessiné, le pare-brise est encore plus incliné, le toit abaissé, la silhouette générale est donc encore plus musclée. De son côté, le moteur six cylindres en ligne de 4,7 litres, conçu par Eagle selon le concept du bloc Jaguar XK d’origine, a lui aussi été retouché. À coups de bielles en titane, de triple carburateurs Weber, de volant moteur allégé et d’autres interventions, il développe désormais plus de 420 ch, soit un gain de 40 ch. Bête de course et de luxe Parallèlement, la GTR est plus légère que la GT. Grâce, entre autres, à des freins carbone-céramique, un échappement en titane et une boîte en magnésium, elle accuse 975 kg à la pesée, soit une perte de 40 kilos. Sachant que la GT pouvait abattre le 0-100 en à peine 5 secondes, on imagine que la GTR est plus véloce encore. Enfin, l’habitacle est un savant mélange d’authenticité sportive et de confort. On y trouve des baquets en aluminium revêtus d’Alcantara noir, des harnais quatre points, des interrupteurs en nacre, mais aussi la climatisation, un pare-brise chauffant et un discret support magnétique pour smartphone. Le prix ? Probablement plus du million d’euros demandé pour la Lightweight GT. De quoi s’offrir plusieurs vraies Type E, mais cette facture reste inférieure à ce que coûte une véritable E-Type Lightweight, produite à seulement 12 exemplaires, qui ne s’échangent pas à moins de 5.000.000 dans les ventes aux enchères. Par Laurent Zilli Eagle Lightweight GTR, mieux que l’originale ? Eagle, l’atelier britannique spécialisé dans la restauration des Jaguar E-Type, et qui s’est lancé il y a quelques années dans le restomod, vient de présenter une évolution de sa propre création. C’est cher, mais tellement pur.
Lors de la Sainte-Barbe, samedi 1er novembre 2025, les sapeurs-pompiers de Dozulé (Calvados) et les élus ont célébré leur traditionnelle cérémonie. - Photo d’illustration Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:56 Lecture zen Dans les locaux du centre de secours de Dozulé, la cérémonie de la Sainte-Barbe a réuni pompiers, élus et habitants. Après le dépôt de gerbe au pied de la plaque Jean-Claude Moisan, l’adjudant-chef Hervé Caruelle a rappelé les chiffres clés : 520 interventions sur l’année, soit 15 % de plus qu’en 2024.Une caserne en attente« Cette hausse montre qu’il nous faut poursuivre le recrutement », souligne le chef de corps dans les colonnes de Ouest-France, saluant la section jeunes sapeurs-pompiers, créée en 2022, qui suscite des vocations. Mais derrière cette belle dynamique, une inquiétude persiste : le projet de nouvelle caserne. Annoncé de longue date, il devait initialement être livré en 2026. Fin 2025, les travaux n’ont toujours pas démarré. « Notre caserne n’est plus adaptée. Nous manquons d’espace, cela freine le recrutement », déplore Hervé Caruelle.Dominique Rose, président du SDIS 14, reconnaît les difficultés : le projet de l’architecte dépasse l’enveloppe budgétaire de 1,5 million d’euros. « Nous avons demandé une révision des plans, mais nous irons au bout », promet-il. La maire Sophie Gaugain appelle, elle aussi, à « ne pas baisser les bras ». Malgré les retards, la mobilisation reste entière : Dozulé aura sa nouvelle caserne, symbole d’un service public essentiel au cœur du territoire. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Caen (Calvados) Près de Caen, la nouvelle caserne des pompiers de Dozulé attendra encore Lors de la Sainte-Barbe, samedi 1er novembre 2025, les sapeurs-pompiers de Dozulé (Calvados) et les élus ont célébré leur traditionnelle cérémonie. L’occasion de dresser un bilan d’activité positif, mais aussi d’évoquer le projet de nouvelle caserne.
Un modèle adapté à notre marché. - D.R. Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:58 Lecture zen Ce n’est donc pas par hasard si KW Auto, l’entreprise qui distribue déjà le colossal RAM 1500 en Europe, a choisi un Salon des arts hippiques, qui se tient à Vérone, pour présenter ce « petit » pick-up américain. Avec ses 5.028 mm de longueur, le Rampage est en effet un bon compromis pour l’Europe, et même plus compact que certains cadors du marché. Il sera aussi moins « rustique » sur le plan du confort, puisqu’il repose sur la plateforme « Small Wide 4×4 » du groupe Stellantis, déjà utilisée par des modèles comme l’Alfa Romeo Tonale ou le Jeep Compass. Côté capacité utile, on dispose d’informations pour le marché brésilien : la charge utile est annoncée à 1.015 kg pour la version diesel, pour une capacité de remorquage d’à peu près 1.814 kg. Des chiffres à confirmer pour l’Europe, mais dans sa catégorie, le Rampage affiche déjà des valeurs sérieuses et pourrait se révéler plus compétitif qu’on ne le croit. Bousculer le N°1 Car le segment que vise le Ram n’a rien de facile. On y trouve des durs à cuire comme l’Isuzu D-Max, le Toyota HiLux, et surtout le Ford Ranger, qui s’adjuge plus de 40 % des ventes de la catégorie. Avec ses dimensions et son image exotique, le Ram pourra peut-être disputer cette suprématie et séduire les acheteurs européens en quête d’un pick-up différent. Si Ram arrive avec un tarif attractif, une version diesel performante, un bon niveau d’équipement et des capacités de charge et de remorquage crédibles, le Rampage pourrait « chatouiller » le Ranger. À surveiller. Par Laurent Zilli Le Ram Rampage arrive officiellement en Europe Ce 6 novembre, le Rampage, initialement développé pour le Brésil, a été officiellement présenté en Europe. Un modèle parfaitement adapté à notre marché, qui se profile tant comme un véhicule lifestyle que comme un outil de travail.
Francis Danez, à droite, est venu remettre le chèque au maire Didier Bardet et à Michèle Stocklin-Becquet, adjointe. Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:00 Lecture zen À l’approche de la commémoration de l’armistice du 11 novembre 1918, Francis Danez, président du Souvenir Français de Corbie, est venu remettre un chèque de 600 € aux élus de la commune lundi 3 novembre 2025. Une somme qui fait suite à la demande de subvention sollicitée et accordée en 2025 pour aider à la réfection de deux tombes de soldats morts pour la France et qui reposent dans le cimetière communal de Daours.Menacées de destruction, ces deux tombes de soldats Morts pour la France pendant la Grande Guerre ont été restaurées à l’initiative de Michèle Stocklin-Becquet, adjointe, avec le soutien du maire et du conseil municipal de Daours.François, mort à 23 ans et Louis, à 19 ansLes travaux, financés par la commune et le Souvenir Français, ont été réalisés par des membres de La Maisonnée de Corbie et par la marbrerie Peltot d’Amiens. À lire aussi Des petits prix comme tremplin dans la vie à Ailly-sur-Noye François Assoygnon, ouvrier agricole, est mort le 6 janvier 1915 à l’hôpital de Brienne à l’âge de 23 ans, et Louis Lelièvre, instituteur, est mort le 10 mai 1916 près de Verdun à l’âge de 19 ans. Ces deux jeunes hommes ayant grandi à Daours disposent à présent d’une sépulture digne du sacrifice qui a été le leur. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Daours (Somme) À Daours, ces deux jeunes hommes morts pour la France ne tomberont pas dans l’oubli Les sépultures de François Assoygnon et Louis Lelièvre, qui ont grandi à Daours, ont été rénovées grâce au soutien du Souvenir français.
Le dimanche 9 novembre 2025, l’association Elbama invite le public à la salle du Rafiot pour un jeu d’enquête inédit : Le mystère du Trou Baligan. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:01 Lecture zen Pour cet événement, la salle du Rafiot se transforme en bureau de journaliste des années 70, avec meubles en bois, machine à écrire, cartes punaisées au mur et dossiers à déchiffrer. Les participants sont invités à observer, discuter et recouper les informations afin de résoudre l’énigme du Trou Baligan, une cavité naturelle autrefois située au pied des falaises, accessible seulement à marée basse, raconte La Presse de la Manche.Un voyage immersifCette cavité faisait jadis l’objet de rumeurs locales : planque de contrebandiers pour certains, lieu de légendes pour d’autres. Le jeu, conçu par Elbama, permet de redécouvrir ce lieu disparu tout en s’immergeant dans le contexte historique de 1978, année où la commune a basculé dans l’ère du nucléaire.L’événement s’inscrit également dans le cadre des 50 ans du référendum sur l’implantation de la centrale, moment clé qui a transformé le quotidien, les métiers et l’horizon de Flamanville. Une exposition photographique et d’archives, intitulée 50 ans d’histoire pour Flamanville, sera visible jusqu’au 6 décembre, pour prolonger l’expérience. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Flamanville (Manche) Cherbourg-en-Cotentin (Manche) Près de Cherbourg, une association plonge le public autour d’une enquête Le dimanche 9 novembre 2025, l’association Elbama invite le public à la salle du Rafiot pour un jeu d’enquête inédit : Le mystère du Trou Baligan. Les participants devront plonger dans l’année 1978, marquée par l’arrivée du nucléaire à Flamanville.
Avant la cuisson, les fondants au chocolat sont réalisés manuellement. - Gaël Hérissé Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:02 Lecture zen Chez Verbau, comme pour tout site industriel spécialisé dans l’agroalimentaire, les règles d’hygiène commencent aux portes de l’unité de fabrication. Il faut s’équiper de tenues adéquates stériles (charlotte, masque, surchaussures et blouse) sans oublier le lavage des mains constant et le port de gants. Cette première épreuve de base n‘est pourtant pas une évidence pour tous les salariés de cette entreprise basée à Estrées-Deniécourt : « Le risque repose principalement sur le personnel intérimaire qui n’a aucune notion d’hygiène. je suis obligé d’aller jusqu’aux avertissements même si notre rôle premier c’est vraiment de faire de l’éducation » explique le directeur général Thomas Belle.« Nous ne sommes jamais à l’abri d’une contamination et c’est notre hantise »Ce dernier forme le nouveau personnel en rappelant les règles de base en matière de physique et autres règles de microbiologie indispensable pour combattre toute contamination : « Nous ne sommes jamais à l’abri d’une contamination et c’est notre hantise. La sécurité alimentaire, c’est une obsession car on utilise de la poudre de lait donc il y a un risque de listéria ou des œufs en lien avec une possible salmonelle. » Thomas Belle, le directeur du site de production prodigue un cours de physique et de chimie aux nouveaux venus pour le bon respect des règles sanitaires. - Gaël Hérissé « Si j’ai un doute, je tire la sonnette d’alarme »C’est le Saint-Quentinois Clément Lefèvre, assistant qualité, qui est en charge de la surveillance constante : « On cherche la listéria toutes les semaines sur les produits, c’est totalement indispensable, il en va de la sécurité du client. Je vérifie aussi toutes les matières premières via une sonde pour tester la température. On est ultra-carré. Si j’ai un doute sur un lot comme pour les œufs, je tire la sonnette d’alarme et le produit est bloqué. »La sécurité alimentaire passe avant tout par l’utilisation de matières premières parfaitement saine. Mais la cuisson après la fabrication de différents desserts est primordiale. ici, le moelleux au chocolat est cuit à 180°. « Plus on cuit, plus la bactérie disparaît au-delà de 70°. La bactérie Escherichia Coli, dans notre process, est maîtrisée de la même manière que la Listéria par un pH inférieur à 4,4 donc acide et une activité d’eau inférieure à 0,95 » détaille de manière un peu scientifique le directeur du site, Thomas Belle. Pour faire simple, plus un aliment est acide, avec un pH bas, plus il est difficile pour les micro-organismes de survivre et de se développer. Pour l’activité d’eau, plus elle est en quantité limitée dans la production des desserts, plus le risque de développement de bactérie est limité.Le directeur du site insiste sur la bactérie de l’Escherichia Coli qui a malheureusement fait l’actualité cet été en Picardie : « la provenance est dans la plupart des cas une contamination fécale, il est principalement un indicateur montrant les mauvaises conditions de maîtrise du facteur humain. » Cette impressionnante chaîne de fabrication de biscuit servira ensuite de fond pour certains desserts comme les cheesecakes et verrines. - Gaël Hérissé La Listéria recherchée jusque dans les égoutsLa sécurité sanitaire se fait donc maillon par maillon allant de la propreté du personnel, aux tests sur les matières premières mais il faut aussi bien évidemment que l’ensemble du site industriel soit d’une propreté exemplaire. Une entreprise extérieure travaille de nuit pour nettoyer l’ensemble des sols sur près des 10 000 M2 de surface globale. L’usine est mise à l’arrêt deux semaines l’été, le moment idéal pour tout désinfecter des sols aux plafonds. Rien n’est laissé au hasard y compris le risque de voir s’infiltrer certains petits animaux au sein du site de production en bordure de champ. Il faut surveiller, colmater le moindre trou.Pour pousser cette obsession sanitaire à son paroxysme, l’entreprise Verbau établit tout un plan de contrôle qui va jusqu’à l’inspection de ses égouts pour détecter le moindre risque de bactéries comme la listéria. En consacrant 2 % de son budget à la sécurité alimentaire, Verbau arrive depuis deux ans aux résultats escomptés, il en va de sa réputation mais surtout de la santé des consommateurs et cela n’a pas de prix. Par Jerome HEMARD Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Estrées-Deniécourt (Somme) Estrées-Deniécourt : l’entreprise Verbau fait de la sécurité alimentaire sa préoccupation première La jeune entreprise Verbau située à deux pas de la gare TGV s’est spécialisée dans le dessert industriel. Pour éviter tout risque de contamination lors de la fabrication des tartes ou verrines, toute une batterie de règles doivent être respectées à la lettre.
50 voitures de cinéma pour les amateurs. - D.R. Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:02 Lecture zen Avec plus de 660.000 abonnés, Frank Galiègue, fondateur de Movie Cars Central, avait réussi à fédérer une vaste audience d’amoureux d’automobile et de cinéma. C’était bien sûr le thème central de sa chaîne, mais certains internautes auront peut-être préféré les vidéos qu’il consacrait au sauvetage des nombreuses Peugeot de son défunt grand-père. Dans tous les cas, cette chaîne fut un tel succès qu’elle emmena Galiègue vers d’autres aventures : la création d’un vrai musée réunissant ses stars de ciné roulantes, et la présentation de Top Gear France. Enchères Mais tout ça, c’est fini. Affirmant vouloir « aller vers d’autres projets automobiles », le présentateur et youtubeur a décidé de refermer ce chapitre. Entre les 21 et 28 novembre prochains, Bonhams vendra toute la collection lors d’enchères en ligne. Sur la page de la maison de vente, il n’y a pour le moment qu’une infime partie de ce qui sera liquidé, mais on observe déjà quelques pépites ayant réellement tourné dans les films, comme une Mustang de John Wick, une Dodge Charger de Fast 7, une Dodge General Lee de Shérif, fais-moi peur (le film de 2005, pas la série originelle), la Peugeot 406 V6 de Taxi 2, ou encore une Mitsubishi Lancer Evo réellement conduite par le regretté Paul Walker dans 2 Fast 2 Furious. C’est pour le moment la voiture affichant l’estimation la plus élevée, entre 250.000 et 500.000 €. Et ce n’est probablement qu’une première vague, puisqu’il restera à vendre des dingueries comme une DeLorean Retour vers le futur, la fameuse ambulance Cadillac de Ghostbusters, et bien d’autres. À suivre via le lien suivant : uri Par Laurent Zilli La collection Movie Cars Central à vendre Movie Cars Central, une chaîne automobile française très populaire sur YouTube, met en vedette plus de 50 voitures de cinéma. Son fondateur met fin à cette activité et vend toute sa collection.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:06 Lecture zen Ce n’est pas le Goncourt, mais quand même un prix qui compte, à l’échelle du 9e art. L’Association des journalistes et critiques de bande dessinée (dont l’auteur de ces lignes fait partie, pour être tout à fait transparent) vient de dévoiler sa liste des 15 albums présélectionnés pour l’attribution de son Grand Prix de la critique ACBD.Celle-ci a été déterminée au terme d’un premier tour de scrutin, parmi la centaine d’adhérents de l’association. On notera une montée en puissance, en volume(s) en tout cas, d’œuvres de maisons d’éditions indépendantes, à côté d’auteurs et d’éditeurs plus reconnus, illustration de la diversité de la bande dessinée actuelle. Par ordre alphabétique, les voici :Ballades, de Camille Potte (Atrabile), un prince transformé en grenouille, une chevalière (?) qui délivre une princesse et traque un dragon, une salamandre hallucinée ou un ménestrel insupportable. Voici une partie du bestiaire d’un conte très délirant dans une ambiance évoquant la BD underground des 70’.Les Carnets de Stamford Hawksmoor, de Bryan Talbot (Delirium). Préquelle de la superbe série animalière policière Grandville, dans un monde parallèle et une ambiance steampunk où Napoléon a imposé son empire depuis deux siècles. Et coup de projecteur mérité pour le travail remarquable d’exhumation des BD britanniques fait par le label Délirium.Ces lignes qui tracent mon corps, de Mansoureh Kamari (Casterman). Un très émouvant récit autobiographique d’une jeune artiste iranienne ayant fui son pays et contant son enfance et adolescence au pays des Mollahs. Et une parfaite adéquation entre le fond du propos et le travail graphique.Drome, de Jessie Lonergan (404 Éditions). Une cosmologie mythologique et une œuvre passant avant tout – pour ne pas dire quasiment que – par le dessin. Une vraie immersion dans un univers fantastique, à plus d’un point.Krimi, d’Alex W. Inker et Thibault Vermot (Sarbacane). Une plongée expressionniste dans l’Allemagne de l’entre-deux-guerres, entre fiction et réalité autour du film emblématique de Fritz Lang, M le Maudit. Une nouvelle brillante œuvre du Nordiste Alex W. Inker, qui se renouvelle encore, associé avec Thibault Vermot.Une obsession, de Nine Antico (Dargaud). À Venise, cité romantique et de l’amour s’il en est, Nine Antico, après une séparation s’interroge sur son rapport obsessionnel à l’amour et au sexe. Un récit d’autofiction, dans un beau noir et blanc ou Nine Antico poursuit les thématiques abordées dans ses précédents albums.Rébétissa, de David Prudhomme (Futuropolis). Seize ans après Rébétiko, l’album qui l’avait fait connaître, David Prud’homme en donne une suite – directe – mais axée cette fois sur les deux figures féminines de cette bande de musiciens grecs opprimés par la dictature de Metaxas, dans les années 1930. Un second mouvement enlevé et fort.Rouge Signal, de Laurie Agusti (2042 Édition). Un homme solitaire est progressivement endoctriné par les thèses virilistes. En face de chez lui, un salon de beauté et ses employées exubérantes. Une évocation angoissante sur la montée du masculinisme.Sage, de Quentin Zuttion (le Lombard). Après le très émouvant Salon de beauté, l’an passé, Quentin Zuitton récidive avec un album plus autofictionnel, centré sur l’anxiété qui l’accompagne depuis son enfance et le chemin parcouru par un garçon gay d’aujourd’hui.Sangliers, de Lisa Blumen (L’employé.e du Moi). Un thriller psychologique autour d’une influenceuse beauté, victime de harcèlement et de pressions multiples, qui questionne la marchandisation de la beauté, le sexisme ordinaire et la superficialité d’un monde chimérique des réseaux sociaux.Les Sentiers d’Anahuac, de Romain Bertrand et Jean Dytar (Delcourt). Comme Alex W.Inker, Jean Dytar se renouvelle à chaque album. Et toujours avec une vraie pertinence et cohérence entre forme et fond. Ici, l’évocation de l’anéantissement des Aztèques et du combat d’un prêtre franciscain pour en faire subsister la culture.Sibylline, chroniques d’une escort girl, de Sixtine Dano (Glénat). Un premier album assez remarquable, sur une jeune étudiante en architecture, contrainte progressivement à jouer les escort girls pour payer sa vie parisienne. Un récit fort, inspiré de témoignages réels et porté par un style graphique, à l’encre de Chine et au fusain, vaporeux et envoûtant.Silent Jenny, de Mathieu Bablet (Rue de Sèvres). Fin du triptyque de science-fiction de Mathieu Bablet, après les impressionnants Shangri-La et Carbone & Silicium. Et nouvelle réussite pour cette vision d’un lointain éclatée mais très cohérente d’un futur postapocalyptique, à la recherche de l’adn des abeilles et au milieu des villes nomades…Soli Deo Gloria, de Jean-Christophe Deveney et Edouard Cour (Dupuis). Une forme de conte d’une grande beauté, et parvenant à restituer les sons à travers les pages et ce récit d’apprentissage de deux enfants de paysans à qui leur don musical va offrir une possible échappatoire après de multiples épreuves.La Terre verte, d’Alain Ayroles, Hervé Tanquerelle et Isabelle Merlet (Delcourt). Une tragicomédie shakespearienne dans le Groenland du XVe siècle, où Richard III cherche à se refaire au sein d’une colonie danoise moribonde.La prochaine étape aura lieu, comme il est de tradition samedi 22 novembre, lors du festival BD Boum de Blois, où les membres de l’ACBD débattront cette fois en direct pour déterminer une liste de cinq titres. L’album lauréat, ultérieurement choisi par un dernier vote, sera dévoilé, lui, le 2 décembre 2025 Par Daniel Muraz Le Top 15 pour le Grand Prix de la critique ACBD est dévoilé L’Association des journalistes et critiques de bande dessinée a voté pour désigner ses 15 albums de l’année 2025, sélection pour son Grand Prix de la critique ACBD. Les cinq finalistes seront choisis lors du festival BD Boum à Blois.
Christophe Nobre à l’initiative de Urban Sketchers Amiens Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:08 Lecture zen Au centre culturel Léo-Lagrange, le public est invité à découvrir les aquarelles de Christophe Nobre. Intitulée Les 36 vues du chemin de halage, l’exposition est conçue comme un cheminement de Camon au parc Saint-Pierre. Ses aquarelles dévoilent le regard précis porté par l’artiste, peintre autodidacte. Consultez l’actualité en vidéo « Je connais très bien le chemin de halage dont la lumière change comme la perception selon les jours et les heures. J’aime repérer les endroits insolites, les détails qui donnent envie d’aller derrière », dit-il. Chaque œuvre met en lumière l’eau et le vert, couleur selon lui qui n’est pas facile en aquarelle. Christophe Nobre fait partie du collectif Urban Sketchers Amiens, organisation à but non lucratif affiliée au mouvement international qu’il a constitué à Amiens avec un ami.« Il s’agit de promouvoir le dessin sous toutes ses formes et permet de partager la pratique du dessin qu’il soit paysager ou urbain », précise-t-il. Christophe effectue des balades dessinées, la prochaine aura lieu le jour du marché aux puces d’Amiens en novembreDu lundi au vendredi de 10 à 12 heures et de 14 à 16 heures, place Vogel. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens (Somme) Amiens : Christophe Nobre expose ses aquarelles au centre culturel Léo-Lagrange Ses aquarelles sur le thème du chemin de halage sont exposées jusqu’au 19 décembre 2025 au centre culturel Léo-Lagrange.
S’ils gagnent leur match en retard, les futsalleurs péronnais passeront à la 5e place en élite régionale. Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:09 Lecture zen Le club de futsal de Péronne est-il en danger ? Risquait-il d’arrêter ses activités ? La question se posait il y a quelques jours après le message inquiétant publié sur Facebook par l’entraîneur du club, pouvant laisser craindre le pire concernant l’avenir de l’association. Mais aujourd’hui, le président Kevin Pinchon se veut rassurant, et s’il ne nie pas les difficultés, il qualifie le message de son entraîneur de « maladroit » et « arrivant au mauvais moment », mais il le comprend, le justifiant par « de la frustration » et un « ras-le-bol d’un homme très investi et de tout un club face à une accumulation de petits problèmes qui perturbent le fonctionnement du club ».Un club fondé en 2020 et qui, depuis, n’en finit plus de gravir les échelons, pour être devenu le meilleur club de la Somme, et évoluer dans la troisième division nationale. Mais à force de grandir, les contraintes sont de plus en plus importantes, notamment en termes d’infrastructures et de finances, ce à quoi le club doit faire face. Ainsi, dans le message publié sur un coup de colère, l’entraîneur affirmait que « le Péronne Futsal Club va bientôt fermer, par manque de moyens, de soutien, de créneaux attribués dans les gymnases », et il attaquait le CAFC Péronne, le club de football : « À titre de comparaison, le CAFC Péronne touche 25 000 € de subventions pour de la D1 district et nous, on touche à peine 1 000 € pour jouer en 3e division nationale ». Il ajoutait que « l’équipe de futsal est dix fois plus forte que celle de Péronne herbe ».« La ligue ne nous aide pas »Des propos qui n’ont pas plu au président Kevin Pinchon : « Sa publication a fait plus de mal que de bien. Certes, ça a généré une prise de conscience, mais il a mentionné le CAFC Péronne qui n’a rien à voir avec nos problèmes, et qui nous a déjà aidés, notamment avec le prêt d’un minibus. Le club de foot n’est en rien responsable des subventions qui sont versées. » Il évoque les frais d’arbitrage qui ont explosé. « Pour l’équipe première, on a un forfait de 235 € par mois. Mais pour l’équipe réserve, ça nous revient en moyenne à 140 € par match. Et la ligue ne nous aide pas. »Il explique aussi que le calendrier de la saison est tombé très tardivement. « Les créneaux d’attribution des gymnases étaient faits, on n’a eu que ce qu’il restait et on ne peut rien dire. La communauté de communes fait ce qu’elle peut. En plus, la ligue ne nous aide pas et impose des règles en matière d’infrastructures, notamment la surface des vestiaires. Dans notre gymnase, ils sont un peu trop petits et à cause de ça, on joue à huis clos, ce qui génère un manque à gagner en l’absence de billetterie et de buvette, alors qu’on a attiré beaucoup de monde la saison dernière à chaque rencontre. »La publication et celle d’un autre membre ont généré des petites tensions en interne. « On donne tous beaucoup, on s’investit tellement dans le club. C’est rageant de voir tous ces bâtons dans nos roues alors que d’autres essayent de nous aider ». Il cite notamment un de ses joueurs qui est arrivé récemment avec un nouveau sponsor et une enveloppe de 1 000 €. « Une somme énorme pour nous. » Et sur le plan sportif, même si la lassitude de certains a été étalée au grand jour, le coup de gueule n’a pas enrayé les résultats sportifs : « On est promus et on est 6e sur 12 en championnat élite des Hauts-de-France. Tout comme l’équipe réserve. C’est plutôt pas mal », termine le président, qui se veut rassurant : « Non, on n’est pas en danger, et non on ne va pas s’arrêter. Le ras-le-bol légitime de certains a fait mal, il a été évoqué, on s’en est expliqué entre nous. Tout est rentré dans l’ordre. Place au sport ! » Par Vincent FOUQUET Après la tempête, place au futsal à Péronne L’inquiétude de l’entraîneur du club de futsal, confiée sur les réseaux sociaux, a généré une onde de choc en interne. Le président s’en explique et se veut rassurant. Mais il aimerait qu’on aide un peu plus son club, pas épargné par les contraintes alors que sportivement, tout va bien.
Édouard Geffray a participé à un atelier avec des collégiens visant à les senibiliser sur ce que l’on peut ou pas publier sur les réseaux sociaux, jeudi 11 novembre 2025 à Barentin. - STEPHANIE PÉRON CLÉMENT Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:11 Lecture zen Avec le badge « Phare » qu’ils arborent, les 20 élèves référents harcèlement du collège Catherine-Bernard, à Barentin, sont identifiables par tous leurs camarades. Un badge qu’ils ont remis au ministre de l’Éducation nationale, Édouard Geffray. Ce dernier était en visite dans leur établissement, jeudi 6 novembre 2025, journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Édouard Geffray a participé à un atelier avec des collégiens visant à les senibiliser sur ce que l’on peut ou pas publier sur les réseaux sociaux. - STEPHANIE PÉRON CLÉMENT Un collège fortement engagé« Il n’y a pas de petit ou gros harcèlement. Ni de petite insulte. À chaque fois que l’on blesse un camarade on peut générer des choses très graves et parfois même l’irréparable », souligne le ministre qui n’hésite pas à parler de « fléau » devant des collégiens mais aussi une classe de Terminale du lycée Thomas-Corneille. À lire aussi « Je veux devenir l’inverse de ce que l’on a voulu faire de moi » : Hugo a surmonté le harcèlement scolaire Alors que le nombre de faits de harcèlement ne diminue pas, et que la Normandie est la région la plus touchée selon un sondage Ifop, le ministre a rappelé l’importance de la prévention. Qui passe notamment par la diffusion d’un spot de campagne Non au harcèlement 2025, qui a été présenté officiellement lors de la visite ministérielle. La réalisatrice, Laetitia Bertheuil, était présente et a pu échanger avec des élèves. Edouard Geffray a également participé à un atelier où les collégiens ont été amenés à réfléchir à ce qu’ils peuvent publier ou pas sur les réseaux sociaux.Un questionnaireL’autre enjeu est ensuite celui de la détection de faits de harcèlement. « Depuis deux ans, tous les élèves du CE2 à la Terminale remplissent un questionnaire individuel pour identifier des situations. Jusqu’à présent ils étaient anonymes et ne permettaient donc pas de détecter une situation individuelle. J’ai pris la décision, en accord avec la Cnil, que les élèves pourront désormais mentionner leur nom pour être recontactés, lancer un appel à l’aide ». Questionnaire que tous les élèves vont remplir dans les quinze prochains jours.Des sanctionsLa réaction est le troisième volet essentiel face au harcèlement. « Ça passe par la prise en charge psychologique mais aussi la sanction. Il faut être ferme. Dans les écoles élémentaires on a introduit la possibilité de changer un élève d’école lorsqu’il fait peser une menace sur ses camarades. En deux ans, 282 jeunes ont ainsi été changés d’établissement », détaille Édouard Geffray. Dans les collèges et lycées, les conseils de discipline relatifs au harcèlement « ont été multiplié par deux et demi en deux ans ». À lire aussi Harcèlement scolaire en Normandie : « Le nombre de faits ne réduit pas, mais le personnel est mieux formé » Et depuis que le harcèlement scolaire est un délit, depuis 2022, plus de 10 000 plaintes ont été déposées, fait savoir le ministre. « Chaque fois que les faits ont été qualifiés, dans 96 % des cas il y a eu une réponse pénale. Soit sous la forme d’une mesure alternative comme une interdiction de fréquentation de certaines personnes. Soit sous la forme de poursuites. Il y en a eu 600 et il y a déjà eu 250 condamnations pénales prononcées ». Le harcèlement scolaire peut être puni jusqu’à trois ans de prison et 45 000 euros d’amendePour autant il faut continuer à agir « collectivement : parents, enfants, professeurs, éducateurs, personnel des collectivités, il faut que l’on ait cette vigilance et ce devoir de protection pour nos jeunes ». Par Violaine GARGALA Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Barentin (Seine-Maritime) « Il n’y a pas de petit harcèlement » : le ministre de l’Éducation nationale mobilisé au collège de Barentin Pour la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, jeudi 6 novembre 2025, Édouard Geffray, ministre de l’Éducation nationale s’est rendu au collège Catherine-Bernard de Barentin. Il a échangé avec des élèves et du personnel à propos de ce « fléau ».
Les inscriptions sont ouvertes pour le championnat normand du pull moche de Noël 2025. - Archives Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:15 Lecture zen C’est la tradition depuis 2022. Dans le cadre des animations de Rouen Givré, un championnat normand du pull moche de Noël est organisé. Pour 2025, il aura lieu le dimanche 14 décembre de 15h à 18h. Les inscriptions sont ouvertes depuis le 3 novembre et jusqu’au 3 décembre. Les cinquante premiers inscrits participeront à la phase qualificative. Les règles à respecter sont les suivantes : arborer un « gros pull avec des motifs typiques de Noël, des couleurs impossibles, voire agrémenté de pompons ou de guirlandes lumineuses », précise la Ville de Rouen. Seules les personnes majeures peuvent participer. Il suffit de s’inscrire sur le formulaire en ligne sur le site de la Ville. À lire aussi Les plus beaux pulls moches de Noël ont rendez-vous à Rouen pour la 3e édition du championnat normand 50 placesLes 50 inscrits défileront le 14 décembre sur un podium devant la cathédrale. Une sélection de 10 finalistes sera effectuée à l’applaudimètre. Ces derniers défileront une seconde fois afin d’élire le ou la championne. Les 10 finalistes seront récompensés par des chèques cadeaux. En 2024, Graziella Hodierne, déjà gagnante en 2022, avait remporté le concours. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Championnat normand du pull moche de Noël à Rouen : les inscriptions sont ouvertes ! Les inscriptions sont ouvertes pour participer au championnat normand du pull moche de Noël à Rouen qui aura lieu le 14 décembre 2025.
Entre 80 et 140 personnes (suivant les sources) ont manifesté jeudi 6 novembre 2025 à Évreux, à l’appel de l’intersyndicale des retraités de l’Eure. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:16 Lecture zen « Nous n’acceptons pas cet acharnement, alors que les plus riches continuent de s’enrichir outrageusement », s’indigne Dominique Jussiaume, retraité et secrétaire général CGT de l’Union syndicale des retraités de l’Eure. Consultez l’actualité en vidéo Jeudi 6 novembre 2025 entre 80 et 140 personnes (suivant les sources) ont manifesté à Évreux, à l’appel de l’intersyndicale des retraités de l’Eure (CGT, FO, FSU, Solidaires, FGR-FP et LSR). Les retraités se sont rassemblés place Mandle avant de défiler en centre-ville. - Photo Paris Normandie Les retraités ont défilé dans le centre-ville d’Évreux. - Photo Paris Normandie « Pouvoir d’achat en baisse jusqu’en 2030 »Les retraités sont vent debout contre le projet de budget 2026, synonyme selon eux de « régressions sociales » et de « baisse de pouvoir d’achat, qui pourrait durer jusqu’en 2030. » Cette mobilisation, plutôt correcte à Évreux, s’inscrit dans un contexte d’incertitude budgétaire sur les mesures examinées en ce moment par les parlementaires et qui seront finalement retenues. À lire aussi En Normandie, pourquoi les syndicats de retraités appellent à manifester le 6 novembre ? D’ailleurs, le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a annoncé être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux. « Mais sans justice sociale, le budget ne fera qu’augmenter les inégalités », prévient en tout cas Dominique Jussiaume. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Évreux Sébastien Lecornu Évreux : les retraités de l’Eure se mobilisent pour plus de justice sociale À l’appel de plusieurs syndicats, les retraités de l’Eure ont défilé jeudi 6 novembre 2025 à Évreux, pour dénoncer les mesures d’économies « injustes » demandées dans les budgets de l’État et de la Sécurité sociale.
La Ville de Dreux poursuit la revitalisation de son centre-ville avec le dispositif OPAH-RU. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:17 Lecture zen Depuis 2018, 75 logements ont déjà été requalifiés dans le cadre du programme Action Cœur de Ville, illustrant l’engagement de Dreux en faveur d’un centre-ville attractif et durable. Pour amplifier cette dynamique, la municipalité et ses partenaires – la SPL Maison de l’Habitat et du Commerce, l’Anah, Action Logement et la CAF – déploient désormais le dispositif OPAH-RU.Des subventions jusqu’à 90 % pour rénover en centre-villeSon objectif : accompagner les habitants dans leurs projets de rénovation grâce à des aides financières et techniques. L’opérateur SEGAT, mandaté par la Ville, guide les bénéficiaires dans toutes les démarches : diagnostic, montage de dossier et demande de subventions.Les taux d’aides varient selon le profil : propriétaires occupants : jusqu’à 90 % de financement pour les travaux énergétiques, d’adaptation ou d’insalubrité. Propriétaires bailleurs : jusqu’à 35 % avec loyers conventionnés et réductions fiscales. Syndics de copropriété : jusqu’à 55 % pour la rénovation des parties communes. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Dreux (Eure-et-Loir) Dreux : des aides pour rénover votre logement grâce au dispositif OPAH-RU La Ville de Dreux (Eure-et-Loir) poursuit la revitalisation de son centre-ville avec le dispositif OPAH-RU. Mis en place avec plusieurs partenaires, il permet aux propriétaires et syndics de bénéficier de subventions importantes pour rénover les logements anciens
Piste cyclable, aire de covoiturage et voirie refaite : les travaux se poursuivent sans difficultés, mais la circulation reste perturbée jusqu’à la fin de l’année. - PND Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:23 Lecture zen Le chantier de requalification de la RD 982 à Rives-en-Seine, entre Caudebec-en-Caux et Saint-Wandrille-Rançon se poursuit sans difficultés. Depuis plusieurs mois, la création d’une piste cyclable sécurisée et ses aménagements sont en cours sur la traversée de Rives-en-Seine, afin de relier les tronçons existants et de réduire la circulation sur la RD 982. À lire aussi VIDÉO. Déviations, ralentissements… À Rives-en-Seine, la RD 982 en travaux pour onze mois Stationnements, aire de covoiturage et piste cyclableLes feux tricolores de chantier ont donc fait leur retour quelques jours avant les vacances de la Toussaint. Actuellement, le Département de la Seine-Maritime aménage la future aire de covoiturage, et le chantier de réfection de la voirie a également démarré.De nouveaux stationnements, recouverts de pavés et de graviers perméables, verront bientôt le jour. Une place sera équipée d’une borne de recharge électrique, et un espace réservé aux vélos sera aménagé.Jusqu’au mois de décembre, la circulation sera alternée pour permettre aux engins de créer la nouvelle piste cyclable et de refaire toute la route entre l’aire de covoiturage et le giratoire de Révima. Certaines périodes seront moins contraignantes pour les usagers, avec la remise en circulation des deux voies, tandis que des fermetures ponctuelles interviendront en fin de travaux pour la pose des enrobés. Le suivi de l’avancée du chantier sera annoncé au fur et à mesure. À lire aussi À Rives-en-Seine, les expositions sur Léopoldine font exploser la fréquentation du musée Victor-Hugo Rappelons que ce chantier, qui se poursuivra au premier trimestre 2026 avec notamment la création d’un rond-point au niveau de la rue de l’Oiseau-Bleu, est financé par le Département (2 582 000 €), la commune de Rives-en-Seine (410 000 €), Caux Seine agglo (225 000 €) et France Nation Verte (18 000 €), avec une participation financière du Syndicat départemental d’énergie 76. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rives-en-Seine (Seine-Maritime) Travaux sur la RD 982 : circulation alternée jusqu’en décembre à Rives-en-Seine Le chantier de requalification de la RD 982, entre les communes déléguées de Caudebec-en-Caux et Saint-Wandrille-Rançon, entre dans une nouvelle phase.
Le Collectif Métissé avait assuré en 2023 la clôture du Téléthon à Caudebec-lès-Elbeuf. - Photo d’archives Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:33 Lecture zen « Laisse tomber tes problèmes, Viens avec nous danser, On la joue carpe diem, Calé sur l’heure d’été » : si ces mots résonnent en vous, c’est parce que vous avez déjà entendu ce refrain festif et entraînant du Collectif Métissé. Le groupe, qui fait notamment le bonheur des férias, se produira à Offranville, dans l’agglomération de Dieppe, le samedi 8 novembre 2025, à partir de 20h30. À lire aussi Étoiles gourmandes Paris Normandie 2025 : les vainqueurs passent en cuisine avec David Gallienne Première partieIl montera sur scène dans le gymnase de l’avenue de l’Épine. La première partie sera assurée par Rémy Parker, révélé au cours de la saison 8 du concours The Voice Kids, sur TF1. Le garçon s’était déjà produit dans le bourg au cours de la fête de la musique 2024. La soirée est organisée par Les Étoiles filantes d’Offranville, groupe de majorettes. Le Collectif Métissé avait assuré en 2023 la clôture du Téléthon à Caudebec-lès-Elbeuf. - Photo d’archives Paris Normandie Le Collectif Métissé, se décrit avec humour comme « un commando de performers, un escadron surentraîné de la musique fiesta, le Real Madrid des mélodies exotiques, auquel chaque membre apporte son énergie communicative. » À lire aussi Un an de préparation et cinq jours de tournage autour de l’if millénaire d’Offranville Des tubesIl revendique « près d’une cinquantaine de singles, dont un chapelet de hits de l’été, comme Laisse toi aller Bébé, Laisse tomber tes problèmes, Debout pour danser, Sexy Lady, Mariana, Hey Baby, Rendez-vous au Soleil, C’est la Vie, Aline, Dame El Kuduro, Caliente Kuduro, Viva la fiesta et récemment Dans les Yeux d’Émilie », une reprise de Joe Dassin qui fait aussi un carton dans les fanfares.Concert du Collectif Métissé, samedi 8 novembre 2025, à partir de 20h30, au gymnase 2 avenue de l’Épine, à Offranville. Ouverture des portes à 18h30. Place assise assurée pour tous. Buvette et petite restauration sur place. Tarifs : 30 euros pour les adultes et plus de 12 ans / 25 euros pour les enfants de 6 à 12 ans / 12 euros pour les moins de 6 ans. Réservations via helloasso.com, ou au Bar de l’If à Offranville, chez Auchan à Dieppe, chez Presse & Caux à Bacqueville-en-Caux. Plus d’infos au 0624945319. Par Arnaud COMMUN Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Offranville (Seine-Maritime) Dieppe Près de Dieppe, le groupe Collectif Métissé en concert dans un gymnase le samedi 8 novembre 2025 Le groupe Collectif Métissé sera en concert le samedi 8 novembre 2025 dans un gymnase d’Offranville, près de Dieppe, avec en première partie Rémy Parker de l’émission de The Voice Kids, saison 8. Tous les détails.
les convives au Repas les convives au Repas Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:34 Lecture zen Samedi 1er novembre, la salle du Casino d’Ault a vibré au rythme de la convivialité et de la solidarité. Le Comité des Fêtes, épaulé par la municipalité, a une fois de plus enchanté les papilles en conviant les Aultois à son traditionnel repas d’automne. Consultez l’actualité en vidéo Au menu, le fameux Bisteu, ce plat régional, devenu au fil des années une véritable institution locale.Cette édition a eu une saveur toute particulière. En effet, les bénéfices de la soirée étaient destinés à soutenir la rénovation de l’église Saint Pierre, joyau du patrimoine Aultois actuellement en pleine restauration. La cause a su mobiliser au-delà des habitués avec 170 convives. Autre nouveauté marquante, la prestation du groupe Créchendo’s, 4 musiciens qui ont su créer une atmosphère festive, prolongeant la soirée jusqu’à tard dans la nuit.Une générosité qui fait chaud au cœurGrâce à l’élan collectif, la soirée a permis de récolter la somme de 2 500 euros. Ce montant sera officiellement remis lors de la soirée Couscous organisée par le Comité des Fêtes vendredi 5 décembre, cette fois au profit du Téléthon. La présidente Esther La Jeunesse, remettra la somme par chèque au maire Marcel Le Moigne. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Ault (Somme) Ault : Le Bisteu au secours de l’église Saint Pierre La Soirée Bisteu, samedi 1er novembre 2025 a traduit un bel élan de générosité au profit de la rénovation de l’église Saint Pierre.
Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:37 Lecture zen La mise en redressement judiciaire de la Clinique Tous Vents intervient dans un contexte local déjà fragilisé, mais où les acteurs de santé et les élus multiplient les initiatives pour maintenir une offre de soins de proximité.Depuis plusieurs mois, le centre hospitalier intercommunal Caux Vallée de Seine (CHICVS) doit composer avec des fermetures ponctuelles, mais répétées, de son service des urgences, faute de médecins. Mais pour désengorger les urgences et de répondre à la pénurie médicale dans le secteur, le CHICVS accueille, depuis janvier 2025, des consultations de SOS Médecins au sein même de ses locaux.Dans la continuité, la Maison de santé intercommunale, ouverte début octobre, devait incarner un nouveau souffle. Mais un seul médecin généraliste, sur les huit espérés, y exerce actuellement. Néanmoins, la structure héberge déjà plusieurs professionnels de santé et paramédicaux.« On développe aussi le Médicaux’bus, nous allons à la rencontre des internes et on travaille avec des médecins retraités pour voir s’ils peuvent venir en renfort… On cherche des solutions ! », assurait Virginie Lutrot, vice-présidente de Caux Seine agglo, lors de l’inauguration de la maison de santé. L’offre de soins en Caux Vallée de Seine sous pression
Remis d’une douleur à la cuisse, Ally Samatta effectuera son retour face au FC Nantes. - Photo Boris Maslard Mis en ligne le 6/11/2025 à 15:46 Lecture zen De retour face à la presse, Didier Digard avait au préalable averti qu’il ne s’exprimerait pas sur l’affaire « Dönnum ». Consultez l’actualité en vidéo Logique, finalement, puisque le dossier est en instruction, et qu’une convocation devant la commission de discipline de la LFP, à la date du 26 novembre 2025, a été transmise au milieu de terrain toulousain. Il n’est d’ailleurs pas à exclure que l’international norvégien prenne connaissance, dès ce 26 novembre, de la durée d’une probable sanction.Samatta candidat en pointePassons donc à autre chose. Au terrain et aux hommes qui ambitionnent croiser la route du FC Nantes ce samedi 8 novembre au Stade Océane (19 heures). Antre que devraient rallier plus de 20 000 spectateurs, dont 700 à 800 visiteurs. Et pour cette confrontation avec des Nantais tombés coup sur coup à la Beaujoire, face à Monaco (3-5) puis Metz (0-2), l’entraîneur havrais disposera, comme souvent, d’un large choix. À lire aussi Football – HAC : « Si ça en reste là, le foot, ce sera sans moi », lâche Didier Digard Très large, même, dans la mesure où plus aucun des Ciel et Marine n’est coincé entre les murs de l’infirmerie. Voilà donc qui augure du retour d’Ally Samatta, forfait lors des deux dernières journées (cuisse), à la pointe de l’attaque. Et l’ex-attaquant du PAOK Salonique (Grèce) ne devrait pas faire connaissance avec le numéro 1 du FCN : Anthony Lopes, touché à la hanche. Sauf miracle, l’ancien Lyonnais ne sera pas du déplacement, tout comme Francis Coquelin (cuisse), Johann Lepenant (tibia), Hyun Hong (cuisse) et Mayckel Lhado (épaule). À lire aussi Football – Ligue 1 : de Toulouse, le HAC ramène le point de la solidité et de la maturité Par Benoit DONCKELE Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : HAC Football – Ligue 1. Une infirmerie totalement vide : le point sur l’effectif du HAC À 48 heures de la réception du FC Nantes, pour le compte de la 12e journée de Ligue 1, le HAC, invaincu lors des trois dernières journées, dispose, en ce jeudi 6 novembre 2025, d’un groupe au grand complet.
La dernière exposition Playmobil à Tergnier avait attiré du monde. - Gaël Hérissé Une dizaine de collectionneurs venus de France et de Belgique seront présents. - Gaël Hérissé Mis en ligne le 6/11/2025 à 15:53 Lecture zen Les Playmobil débarquent à Tergnier. Cela en fait une histoire à mettre en avant ! Rendez-vous à la salle des Arts et Loisirs dès ce samedi 8 novembre, pour découvrir tous ces petits personnages aux univers variés qui aiment susciter l’imaginaire des petits comme des grands. Une dizaine de collectionneurs seront présents. Cette exposition, forte de diverses animations, se déroule sur quatre jours, jusqu’au 11 novembre avec la présence de monsieur Playmo.Tergnier (02) Salle des Arts et loisirs, 1 rue Herment. Du samedi 8 au mardi 11 novembre de 10 h à 18 h, nocturne, le samedi jusqu’à 21 h. Tarifs : 3 euros et 2 euros pour les moins de 12 ans. Playmobil, en avant le salon ! à Tergnier Du 8 au 11 novembre, rendez-vous à la salle des arts et métiers de Tergnier pour une exposition autour des Playmobil. Avec plusieurs animations. Video
Mourir en Normandie coûte plus cher que dans les autres régions de France. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 15:59 Lecture zen Tout a un prix. Y compris et surtout la mort. Mais concrètement combien cela coûte de « passer l’arme à gauche » et de l’anticiper en finançant ses propres obsèques. Trop cher évidemment. Et plus encore en Normandie. Notre région est effectivement celle où, en France continentale, il est le plus onéreux de financer des funérailles.C’est ce que révèle une étude menée à l’occasion 1er novembre 2025, fête de la Toussaint, par Silver Alliance, un groupement de marques pour le bien-vieillir en partenariat avec Simplifia, fournisseur de solutions logicielles aux pompes funèbres indépendantes. À lire aussi En Normandie, incendies suspects de hangars agricoles : une piste criminelle ? Si en France, donc, ce coût s’élève en moyenne à 4789€, cette somme cache de grandes disparités. Ainsi, mourir dans le grand Ouest coûte plus cher qu’ailleurs. Et particulièrement en Normandie où ce coût moyen s’élève à 5455€. Soit plus qu’en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, la moins chère : 4347€.Le choix entre crémation et inhumation influe bien sur le prix final. Comptez en moyenne 4924€ pour une inhumation, 4528 € pour une crémation.L’effet de la concurrence ?Mais alors pourquoi de tels écarts pouvant être particulièrement mal vécus au moment de traverser cette épreuve ? « D’une région à l’autre, d’un territoire rural ou non, les coûts ne sont pas les mêmes », justifie Kévin Pressaco, directeur commercial chez Simplifia auprès de nos confrères du Parisien. « Il y a une dimension culturelle, cela varie selon les traditions et les infrastructures disponibles, ainsi que le taux de concurrence. Si le cercueil est obligatoire pour tous, des spécificités historiques demeurent. » Le directeur commercial de donner comme exemple l’Alsace où « il n’y a pas de tradition du caveau ».« Plus il y a de pompes funèbres dans une région, plus les prix sont tirés vers le bas », avance pour sa part Benjamin Zimmer, directeur délégué associé de la Silver Alliance. Nos confrères de Ouest-France ont compté 406 pompes funèbres en Normandie, contre 780 en PACA. À lire aussi Doctolib : pourquoi la plateforme a-t-elle été condamnée à 4,6 millions d’euros d’amende ? Une explication qui pourrait tenir la route puisque, selon les statistiques de l’INSEE, on compte 11,4 % de personnes âgées de 75 ans et plus en Normandie. Certes moins qu’en PACA (12,9 %) mais tout de même plus qu’en Pays de la Loire, dans les Hauts-de-France, en Île-de-France ou encore dans le Grand Est. Des régions où « il coûte moins cher de mourir ».Pour autant, les personnes âgées de plus de 75 ans sont plus de deux fois plus nombreuses en PACA qu’en Normandie. La loi de l’offre et de la demande s’applique-t-elle totalement ou les Normands sont-ils victimes d’abus ? Par Christophe FREBOU Pourquoi mourir coûte encore plus cher en Normandie que dans les autres régions françaises ? Selon une enquête publiée par Silver Alliance et Simplifia à l’occasion de la Toussaint 2025, les obsèques en Normandie coûtent plus cher que dans le reste de la France. L’écart peut tout de même atteindre plus de 1000 euros par rapport à certaines régions.
Le jeune collectionneur se passionne pour les objets en rapport avec le son et l’image. Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:00 Lecture zen C’est une exposition pas comme les autres qui s’est installée fin novembre au Centre d’accueil et d’animation de Corbie, à l’angle de la place de la République et de la rue Marcellin Truquin.Elle rassemble des objets racontant l’évolution des procédés qui se sont succédé pour collecter le son et les images. Derrière cette collection, il y a Gabin Joly, un adolescent de 15 ans passionné depuis plusieurs années par les objets anciens en particulier dans les domaines de l’image, de la vidéo et de l’audio.Préserver le patrimoineSouhaitant à sa manière préserver le patrimoine musical, photographique et cinématographique, cet élève de seconde du lycée Sainte-Colette entretient avec passion ces objets témoignant de l’évolution technologique de la fin du XIXe siècle à nos jours.Depuis les premiers procédés du son et de l’image jusqu’à l’ère du numérique, son exposition d’objets, enrichis de quelques anecdotes, propose à la fois des connaissances sur des objets d’hier et d’aujourd’hui et une certaine nostalgie des appareils que certains ont connus et utilisés.Le vernissage de cette exposition pas comme les autres a lieu samedi 8 novembre à 15 heures. Au cours du mois de novembre, Gabin interviendra auprès des classes pour transmettre auprès des jeunes ses connaissances sur ce sujet.Exposition « Collection vidéo-audio rétro » visible au Centre d’accueil et d’animation, 28/30 place de la République à Corbie, jusqu’au 29 novembre 2025, du mardi au samedi de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures. Entrée gratuite. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Corbie (Somme) Cet adolescent expose sa collection d’une autre époque à Corbie Lycéen de 15 ans, Gabin Joly présente une exposition particulière. Sa collection témoigne de l’évolution technologique de la fin du XIXe siècle à nos jours. Rencontrez-le samedi 8 novembre 2025 après-midi.
Le marché artisanal lors de l’édition 2024. Photo d’archives. Le marché artisanal lors de l’édition 2024. Photo d’archives. Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:03 Lecture zen L’association de loisirs créatifs du village Les Fauvettes organise, comme chaque année, son marché artisanal et artistique les samedi 8 et dimanche 9 novembre dans la salle des fêtes attenante à la mairie. Consultez l’actualité en vidéo Outre les créations réalisées par les membres de l’association, des artistes locaux seront présents pour exposer leurs œuvres : bijoux, accessoires en laine, tissu, peinture sur toile, sur porcelaine, bois flotté, cartonnage, objets en cuir, bougies artisanales, exposition photos. Un apiculteur sera aussi de la partie. L’occasion de commencer à penser aux cadeaux de Noël avec des objets 100 % made in Picardie ! À lire aussi Découvrez les nouveautés du marché de Noël d’Amiens 2025 Samedi 8 novembre de 14h00 à 18h00 et dimanche 9 novembre de 10h00 à 17h00 à la salle des fêtes de la mairie de Grand-Laviers. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Grand-Laviers (Somme) L’artisanat à l’honneur ce week-end à Grand-Laviers Le marché artisanal et artistique de Grand-Laviers est devenu un rendez-vous incontournable pour le made in Picardie.
Les crêtes et idées revendicatives seront de sortie Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:05 Lecture zen Née il y a dix ans à Saint-Quentin, La Boîte à Rythme s’est imposée comme un pilier de la musique Saint-Quentinoise. Fidèle à son credo – faire vivre la scène si possible locale mais surtout punk sans concession –, l’association célèbre son anniversaire avec son concert annuel, à la Manufacture, ce samedi 8 novembre 2025.Aujourd’hui, le punk, c’est un état d’esprit, une manière de faire de la musique avec intégrité, envers soi-même et envers ceux à qui on s’adresse.William Manzoni, guitariste et chanteur du groupe Baffes ou TorgnolesAu programme : Baffes ou Torgnoles, Skarface, et Los Tres Puntos, trois groupes qui ont en commun de ne pas avoir rangé leurs guitares ni leurs idées contestataires. Alors forcément, quand on demande à certains si le punk est mort, le sourire en coin, les réponses fusent.« Les idées restent mais les crêtes tombent »Pour William Manzoni, guitariste et chanteur du groupe Baffes ou Torgnoles, le punk n’a jamais disparu. « Il n’est pas mort, il a été racheté par les labels. Aujourd’hui, le punk, c’est un état d’esprit, une manière de faire de la musique avec intégrité, envers soi-même et envers ceux à qui on s’adresse », explique-t-il.L’artiste constate toutefois une évolution : « En 2025, les idées restent mais les crêtes tombent. Même si on vit dans une société qui nous pousse à nous ranger, on peut garder des idées revendicatives et en faire des chansons. » Et de conclure, avec un sourire : « Le point commun entre tous les groupes présents ? On fait tous de la musique pour prolétaires. »« Le keupon, il a changé, mais il n’est pas mort »Même son de cloche du côté de Ludovic Boulanger, président de La Boîte à Rythmes. Dix ans après la naissance de l’association, la flamme est intacte. « T’es un malade toi ! Certains sont toujours aussi révoltés contre la société. C’est un style de vie. Le keupon, il a changé, mais il n’est pas mort », lance-t-il dans un éclat de rire. À lire aussi Gauchy : le concert des anciens de Zebda annulé à la MCL Pour lui, le punk a dû s’adapter : « Bien sûr, parfois, on se fait acheter. Mais faut faire avec si on veut encore exister. Pour celui qui fait la manche avec son chien, c’est plus dur, mais ça reste un état d’esprit. »Une soirée bouillante… jusqu’au couvre-feuLa rébellion, elle, devra s’arrêter à 1 heure du matin. En cause : le couvre-feu imposé par la municipalité, propriétaire de la salle. Une contrainte qui prive DJ Méro, figure emblématique des soirées de La Boîte à Rythmes, de son traditionnel set de clôture. « C’est le monde à l’envers : même les punks ont un couvre-feu », ironise un membre de l’association.Mais avant d’éteindre les amplis, les plus belles crêtes axonaises feront trembler les murs de La Manufacture. Une soirée où le punk francophone, loin d’être mort, continuera de crier – très fort – ses envies de liberté.Samedi 8 novembre 2025. Concert punk à La Manufacture à Saint-Quentin avec au programme : Baffes ou Torgnoles, Skarface, Los Tres Puntos. Ouverture des portes à 19 h 30. Par La rédaction Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Saint-Quentin (Aisne) Saint-Quentin : dix ans de riffs et d’indépendance fêtés samedi 8 novembre à la manufacture Dix ans que la Boîte à Rythmes essaye de faire vivre des soirées punks aux Axonais, encore ce samedi 8 novembre 2025, les crêtes et les textes revendicatifs seront de sortie
Les services de l’État et le Département travaillent ensemble sur le dispositif « Aisne, Terre de mémoire ». Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:06 Lecture zen Depuis trois ans maintenant, un programme baptisé Aisne, Terre de mémoire a été mis en place sous l’impulsion du conseil départemental en partenariat avec les services de l’État, les collectivités locales et les acteurs de terrain qui travaillent sur tous les conflits qui ont marqué le département et veillent à préserver leur souvenir, rappelle L’Union.Aisne, Terre de mémoire est un dispositif qui repose sur quatre axes : inscrire la mémoire des guerres contemporaines dans l’Aisne sur le temps long, mettre en place un réseau d’information mémorielle et historique, valoriser les principaux lieux de ces combats et enfin faire perdurer la mémoire des hommes qui s’y sont battus. Dans ce cadre, un comité scientifique composé de représentants de l’Office national des combattants et des victimes de guerre, du Souvenir français et du conseil départemental a identifié cent dix-neuf lieux de combats significatifs ou de faits d’armes historiques importants pour la mémoire axonaise avec la présence d’un monument, d’une stèle, d’une plaque ou d’un site inscrit au Patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco. À quelques jours des cérémonies du 11-Novembre, un point d’étape a été fait ce mercredi 5 novembre 2025 à l’hôtel du Département.Un marqueur fort du territoire« L’Aisne, qui est une terre marquée par les grands conflits du XXe siècle, porte en elle les stigmates et les leçons de l’Histoire. Mais elle doit être aussi une terre de résilience, de transmission, et d’innovation. Aisne Terre de Mémoire n’est pas seulement un projet de préservation du passé, c’est un engagement pour l’avenir », relève Nicolas Rébérot, le vice-président du Département chargé de l’action culturelle et du patrimoine qu’accompagnait sa collègue en charge de la citoyenneté et de la mémoire Isabelle Ittelet. Pour la secrétaire générale de la préfecture Isabelle Burel, « préserver la mémoire est un marqueur fort du territoire ». C’est aussi, pour la représentante de l’État, un « enjeu d’avenir » autour du développement du tourisme mémoriel, notamment en direction du public jeune.Depuis 2022, trente-deux sites ont déjà été matérialisés avec l’installation de bornes mémorielles. En 2026, quatre nouvelles bornes seront installées en lien avec le conflit 1939-1945 à Flavy-le-Martel, Leuilly-sous-Coucy et Courtemont-Varennes, une sur la nécropole française et le cimetière inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco à Lemé – Le Sourd pour 1914-1918.Aisne Terre de Mémoire est une promesse. La promesse de ne jamais oublier, mais aussi de construire ensemble un avenir où notre histoire devient une force.Nicolas Rébérot, vice-président du conseil départementalAu-delà de cette présence physique partout dans le département – comme ce sera le cas ce dimanche 9 novembre 2025 au monument de La Pierre d’Haudroy, à La Flamengrie, où fut sonné le cessez-le-feu de 1918 –, Aisne, terre de mémoire se décline aussi, désormais, sur le web avec un site dédié auquel on peut accéder également par www.aisne.com. Le Département travaille par ailleurs, pour 2027, à la création d’une application mobile, avec toutes les fonctionnalités liées à cette itinérance mémorielle. À lire aussi Pas d’inauguration avant 2027 pour le mémorial allemand du tunnel de Winterberg au Chemin des Dames Finalement, Aisne Terre de Mémoire est « bien plus qu’un programme » aux yeux de Nicolas Rébérot, « c’est une promesse. La promesse de ne jamais oublier, mais aussi de construire ensemble un avenir où notre histoire devient une force. » Par Philippe Robin Le déploiement du dispositif Aisne, Terre de mémoire se poursuit désormais aussi sur le web Le programme Aisne, Terre de mémoire, mis en place par le Département en 2022, doit valoriser 119 sites emblématiques de quatre périodes historiques. Après l’installation de bornes mémorielles, le dispositif se développe également sur le web.
M Pokora annonce une nouvelle date de concert au Zénith de Rouen. - AFP Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:06 Lecture zen Une nouvelle chance d’applaudir M Pokora à Rouen. La première date de son Adrénaline Tour, le 16 novembre prochain à 18 heures, est complète. Mais il revient ! À lire aussi 10 concerts à ne pas manquer en Normandie avant la fin de l’année Octobre 2026Avec un « nouveau spectacle sensationnel, accompagné d’une scénographie hors du commun imaginée pour créer un moment de partage unique avec le public », le chanteur fera vibrer le Zénith de Rouen à nouveau, le 4 octobre 2026, à 18 heures également. Les places (assises) seront mises en vente vendredi 7 novembre, à midi. Il faudra certainement faire vite !Lié à la NormandiePeut-être invitera-t-il le plus en vogue des chanteurs normands, Pierre Garnier, avec qui il a partagé un duo l’année dernière ? Se baladera-t-il à nouveau dans les rues de Rouen, comme sa femme Christina Milian, cet été. L’actrice et chanteuse américaine avait posté sur Instagram plusieurs clichés, en famille, devant des monuments rouennais comme l’église Saint-Maclou, la cathédrale, le carrousel ou encore la place du Vieux Marché. La Normandie les accueille à bras ouverts ! Sa première date de concert complète au Zénith de Rouen, M Pokora en annonce une nouvelle ! Si la première date de son Adrénaline Tour est complète à Rouen, M Pokora sera de retour d’ici quelques mois. Et les places seront bientôt en vente !
Angelo Tonolli est le seul candidat déclaré aujourd’hui pour les élections municipales de 2026. Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:07 Lecture zen « L’objectif est de construire un programme avec les habitants pour les Abbevillois », explique Angelo Tonolli. Consultez l’actualité en vidéo Le conseiller général (divers gauche) et seul candidat déclaré pour l’instant à Abbeville pour les élections municipales de 2026, lance une première série d’ateliers salle des Carmes ce samedi 8 novembre 2025. Il y aura en tout 26 ateliers répartis sur trois week-ends « Nous voudrions apporter trois hypothèses pour chaque atelier. »Et à chaque fois une personnalité politique ou de la société chapeautera ces ateliers. À lire aussi La communauté d’agglomération de la baie Somme devra se serrer la ceinture Sébastien Jumel président de l’agglomération de Dieppe animera ainsi ce samedi des ateliers action sociale, personnes âgées, handicap, insertion, petite enfance, santé.Premier atelier participatif : samedi 8 novembre – Salle des Carmes Programme de la journée : 9h15-10 heures : Conférence introductive de Mélody Tonolli, adjointe à la mairie de Paris 10 heures-11h30 : Ateliers thématiques (culture, patrimoine, sports, jeunesse, vie associative, affaires scolaires) 11h30-12 heures : Restitution des travaux en commun. 12-14 heures : Déjeuner convivial (participation libre – 10€)Après-midi – Solidarités• 14h15-15h : Conférence de Sébastien Jumel, président de l’agglomération de Dieppe. 15h-16h30 : Ateliers thématiques (action sociale, personnes âgées, handicap, insertion, petite enfance, santé)• 16h30-17h : Restitution des ateliers Par Olivier Hanquier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Municipales Abbeville (Somme) Abbeville : Le candidat Angelo Tonolli lance ses premiers ateliers participatifs Angelo Tonolli et son mouvement « Abbeville pour demain » met en place des ateliers ce samedi 8 novembre 2025 en vue des municipales 2026. Objectif : bâtir un programme au plus proche des intérêts des habitants.
Fofana et les Amiénois espèrent montrer un visage plus conquérant que lors du dernier match à domicile. Photo Fred Haslin - CPIPQR Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:07 Lecture zen La saison dernière, Clermont a sauvé in extremis sa place en Ligue 2 en remportant le barrage face à Boulogne-sur-Mer, s’évitant ainsi une deuxième relégation de suite. Mais cela ne va toujours pas mieux pour le club auvergnat, qui végète juste au-dessus de la zone rouge (15e avec 14 pts). Avec une seule victoire sur les sept derniers matches (pour deux nuls et quatre défaites), les Clermontois sont même les seuls à avoir perdu contre la lanterne rouge, Bastia (1-0), le week-end dernier. Consultez l’actualité en vidéo Récupérer les points perdus contre GrenoblePour autant, l’Amiens SC (12e avec 15 pts) n’a pas de quoi bomber le torse avec deux victoires et cinq revers sur la même période. En cas de nouvelle défaite, les joueurs d’Omar Daf pourraient se faire doubler par leur adversaire du jour. L’entraîneur amiénois espère surtout récupérer les « points perdus contre Grenoble », un match où l’équipe a donc perdu Victor Lobry (ligaments croisés) jusqu’à la fin de saison. « C’est dur de perdre son capitaine et un grand frère aussi, reconnaît le jeune Coleen Louis. Pour autant, on sait qu’il y a du monde dans le groupe. Une saison est longue, il n’y a pas toujours que du positif. On travaille avec le groupe au quotidien pour corriger les petites erreurs. » CLERMONT – AMIENS SCVendredi 7 novembre à Clermont-Ferrand, 20 heures au stade Gabriel-Montpied.Arbitre : M. Leleu.CLERMONT : Guivarch - Konaté, M’Bahia, Salmier (c ), Nsimba - Baallal, Saivet, Astic - Camblan, Socka, Bamba. Entraîneurs : Grégory Proment et Sébastien Mazeyrat.Remplaçants (à choisir parmi) : N’Diaye (g.), Boto, Coulibaly, Donavin, Bellache, Fakili, Diop, Saïd.ABSENTS : Hunou (reprise), Ackra, Gastien, Caufriez, Diedhiou, Douane (blessés).AMIENS SC : Bernardoni – Chabane, Bakayoko, Lô, Louis – Monconduit (c ), Fofana – Hamache, Lutin, Ikia Dimi – Mlakar. Entraîneur : Omar Daf.Remplaçants (à choisir parmi) : Sauvage (g), Talbot, Appiah, Kaïboue, Nduquidi, Injai, Averlant, Touho, Chibozo.Absents : Kandil et Rafii (reprise), Lobry, Manitu (blessés). Par Florian Decloquement Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens SC Football (Ligue 2) : l’Amiens SC à Clermont pour un duel d’équipes malades Après sa déconvenue à domicile contre Grenoble (2-3), l’Amiens SC espère rectifier le tir à Clermont-Ferrand, une équipe pas au mieux de sa forme non plus.
