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jeudi, novembre 6

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Agriculture

Points forts du secteur agricole : production, politiques, innovation rurale et impact sur le tissu économique français.
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« L'eau minérale, ça se mérite » : les concurrents de Nestlé Waters s'opposent à la dilution des critères de l'appellation

Huit marques emblématiques représentant 45% du marché (Badoit, Evian, Volvic...) se mobilisent pour défendre le « socle règlementaire strict » de l'appellation « eau minérale naturelle ». Une démarche qui vise à défendre leur réputation après les accusations de fraude contre Nestlé Waters, et qui désavoue la stratégie du producteur de Perrier et Vittel.

Source LogoLa Tribune
Jeunes agriculteurs : une stratégie saluée par les Vingt-sept en dépit de sensibilités

Les États membres ont assez largement salué, le 27 octobre à l’occasion de la réunion des ministres de l’Agriculture de l’UE à Luxembourg, la stratégie de la Commission européenne pour le renouvellement générationnel en agriculture publiée le 21 octobre. Une thématique qui revêt un enjeu d’avenir pour l’ensemble des délégations. Mais, déjà, certaines dispositions du texte font débat. C’est le cas notamment de la recommandation de doublement de la part des paiements directs dédiés aux jeunes agriculteurs dans la Pac, de 3 % à 6 %. Une mesure trop ambitieuse pour certains États membres (Slovaquie, Slovénie, Lettonie ou encore République tchèque), alors que d’autres…

Source LogoAgra Europe
Frites : l’UE obtient gain de cause à l’OMC dans le cadre de son différend avec la Colombie

L’OMC a une nouvelle fois donné raison à l’UE dans le cadre du différend l’opposant à la Colombie sur les importations de frites surgelées. Dans une décision rendue le 23 octobre, Genève avance que la Colombie n’a pas pleinement respecté une décision antérieure du groupe spécial et la sentence arbitrale rendue conformément à l’accord d’arbitrage d’appel provisoire multipartite (AMPA), une première. Cet organe avait définitivement condamné la Colombie en 2022 pour avoir imposé sur les importations d’Allemagne, de Belgique et des Pays-Bas (85 % des exportations de frites surgelées de l’UE en Colombie pour une valeur de 19,3 millions d’euros), des mesures antidumping…

Source LogoAgra Europe
Budget de la Pac : la pression commence à porter ses fruits

Pressée de toutes parts, la Commission européenne devrait présenter, à l’occasion de la mini-session plénière des 12 et 13 novembre, des ajustements à son projet de cadre financier pluriannuel afin d’apaiser les tensions sur le budget de la Pac notamment. Les principaux groupes politiques du Parlement européen, mais aussi le Comité des régions ou les organisations agricoles européennes poussent depuis des semaines en ce sens. Reste à savoir l’ampleur des adaptations qui seront soumises.

Source LogoAgra Europe
Pratiques commerciales : les négociations interinstitutionnelles en voie de finalisation

Les négociations interinstitutionnelles concernant l’application transfrontalière de la directive sur les pratiques commerciales déloyales sont en passe de se finaliser. C’est le message qu’a transmis le social-démocrate italien Stefano Bonaccini, rapporteur du dossier au Parlement européen, le 5 novembre lors d’un compte rendu des trilogues en commission de l’Agriculture (Comagri). À l’approche de la réunion finale prévue pour le 12 novembre, le rapporteur indique que les colégislateurs ont atteint un accord sur 20 des 31 articles de la proposition de la Commission européenne. Toutefois quelques sujets restent en suspens. Au Parlement européen, les députés insistent…

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Importations russes : l’Ukraine appelle l’UE à renforcer les droits de douane

Kiev a appelé, le 31 octobre, l’UE à augmenter ses droits de douane sur les importations de produits russes n’étant pas encore soumis à des sanctions prises par Bruxelles depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine. « Si des produits ne sont pas visés par des sanctions (européennes), nous allons soulever la question de l’imposition de droits de douane », a déclaré Andriï Sybiga, chef de la diplomatique ukrainienne. Selon lui, une telle manœuvre pourrait permettre à l’UE de contourner l’opposition de la Hongrie et de la Slovaquie qui menacent de bloquer l’extension de sanctions contre Moscou. L’UE a déjà augmenté les droits de douane sur certaines marchandises…

Source LogoAgra Europe
UE/Mercosur : le processus de ratification s’accélère

Le processus de ratification de l’accord UE/Mercosur se dirige vers une signature officielle entre les parties le 20 décembre au Brésil. Même velléité de rapidité sur la proposition de clause de sauvegarde renforcée pour l’agriculture. Un tempo qui interroge certains eurodéputés lesquels souhaitent faire valider une résolution sollicitant l’avis juridique de la Cour de justice de l’UE sur le dossier. Et du côté de parties prenantes agricoles, le rejet de l’accord reste présent.

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Simplification de la Pac : les États membres assouplissent leur position

Les États membres de l’UE ont ajusté leur position sur la simplification de la Pac, le 29 octobre à l’occasion de la réunion du comité des représentants permanents (Coreper), afin de trouver un compromis avec le Parlement européen sur ce dossier. Mais les Vingt-sept restent fermes : ils ne souhaitent pas discuter de certaines demandes du Parlement européen allant bien au-delà de la proposition initiale de la Commission européenne, notamment pour la suppression des obligations des BCAE 5 (protection des sols contre l’érosion) et 9 (protection des prairies permanentes des zones Natura 2000). Ces dispositions, estiment les États membres, devront être discutées…

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Biocontrôle : les eurodéputés veulent une définition claire et des procédures simplifiées

Les eurodéputés des commissions de l’Agriculture et de l’Environnement ont largement adopté (par 97 voix contre 8 et 2 abstentions), le 4 novembre, leur rapport (et ses 12 amendements de compromis) appelant « à un enregistrement et à une utilisation plus rapides des agents de lutte biologique ». Les corapporteurs Alexander Bernhuber (Autriche, PPE) et Anna Strolenberg (Pays-Bas, Verts) recommandent en particulier une révision ciblée du règlement relatif à la mise sur le marché des produits phytosanitaires afin d’y introduire une définition juridique…

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Commerce agroalimentaire : le café et le cacao ont fait baisser l’excédent de l’UE en juillet

En juillet, les hausses de prix du cacao et du café ont continué de faire la pluie et le beau temps sur le commerce des produits agroalimentaires de l’UE. C’est l’un des constats réalisés par la Commission dans son rapport mensuel rendu public le 30 octobre. Bruxelles précise qu’entre janvier et juillet, l’excédent de l’UE a atteint 26,5 milliards d’euros (Md€), en baisse de 12,2 Md€ en comparaison avec la même période en 2024. La principale raison : l’augmentation des prix des importations de l’UE et plus…

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Commerce international : Bruxelles assure le service après-vente de ses accords

Dans son rapport annuel sur la mise en œuvre et l’application de la politique commerciale, publié le 3 novembre, la Commission européenne vante une nouvelle fois les effets positifs de ses accords de libre-échange, notamment pour le secteur agroalimentaire. Ainsi, Bruxelles précise qu’en 2024, les exportations agroalimentaires de l’UE vers ses partenaires ont atteint un nouveau record, atteignant 235 milliards d’euros (+ 2,8 % par rapport à 2023). D’une manière plus globale, les échanges commerciaux de l’UE avec ses partenaires…

Source LogoAgra Europe
Crédits nature : les eurodéputés peu emballés

Les eurodéputés de la commission de l’Agriculture ont exprimé leurs « grandes réserves » quant à la volonté de la Commission européenne de développer un marché des crédits nature, lors d’un échange le 5 novembre. Bruxelles a, en effet, lancé au mois de juillet une feuille de route pour la mise en place d’un marché des crédits nature d’ici 2027 dont elle espère faire une source de revenu complémentaire pour les agriculteurs. Mais pour de nombreux élus de la Comagri, cette démarche met en lumière le manque de fonds dont dispose l'exécutif européen pour atteindre les objectifs de la récente législation sur la restauration de la nature. Le…

Source LogoAgra Europe
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Vins et spiritueux s’alarment d’une inflation fiscale

La filière des vins et spiritueux s’est alarmée ce jeudi de la multiplication d’amendements budgétaires sur la fiscalité des alcools mais aussi d’une “taxe Gafam” annonciatrice, selon elle, de rétorsions américaines. “Les démarches budgétaires sont alarmantes, surtout dans une période de crise et d’incertitudes” pour le secteur, a dit à la presse Jean-Pierre Cointreau, président […] Cet article Vins et spiritueux s’alarment d’une inflation fiscale est apparu en premier sur Terre de Vins.

Source LogoTerre de Vins
Estrées-Deniécourt : l’entreprise Verbau fait de la sécurité alimentaire sa préoccupation première

Avant la cuisson, les fondants au chocolat sont réalisés manuellement. - Gaël Hérissé Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:02 Lecture zen Chez Verbau, comme pour tout site industriel spécialisé dans l’agroalimentaire, les règles d’hygiène commencent aux portes de l’unité de fabrication. Il faut s’équiper de tenues adéquates stériles (charlotte, masque, surchaussures et blouse) sans oublier le lavage des mains constant et le port de gants. Cette première épreuve de base n‘est pourtant pas une évidence pour tous les salariés de cette entreprise basée à Estrées-Deniécourt : « Le risque repose principalement sur le personnel intérimaire qui n’a aucune notion d’hygiène. je suis obligé d’aller jusqu’aux avertissements même si notre rôle premier c’est vraiment de faire de l’éducation » explique le directeur général Thomas Belle.« Nous ne sommes jamais à l’abri d’une contamination et c’est notre hantise »Ce dernier forme le nouveau personnel en rappelant les règles de base en matière de physique et autres règles de microbiologie indispensable pour combattre toute contamination : « Nous ne sommes jamais à l’abri d’une contamination et c’est notre hantise. La sécurité alimentaire, c’est une obsession car on utilise de la poudre de lait donc il y a un risque de listéria ou des œufs en lien avec une possible salmonelle. » Thomas Belle, le directeur du site de production prodigue un cours de physique et de chimie aux nouveaux venus pour le bon respect des règles sanitaires. - Gaël Hérissé « Si j’ai un doute, je tire la sonnette d’alarme »C’est le Saint-Quentinois Clément Lefèvre, assistant qualité, qui est en charge de la surveillance constante : « On cherche la listéria toutes les semaines sur les produits, c’est totalement indispensable, il en va de la sécurité du client. Je vérifie aussi toutes les matières premières via une sonde pour tester la température. On est ultra-carré. Si j’ai un doute sur un lot comme pour les œufs, je tire la sonnette d’alarme et le produit est bloqué. »La sécurité alimentaire passe avant tout par l’utilisation de matières premières parfaitement saine. Mais la cuisson après la fabrication de différents desserts est primordiale. ici, le moelleux au chocolat est cuit à 180°. « Plus on cuit, plus la bactérie disparaît au-delà de 70°. La bactérie Escherichia Coli, dans notre process, est maîtrisée de la même manière que la Listéria par un pH inférieur à 4,4 donc acide et une activité d’eau inférieure à 0,95 » détaille de manière un peu scientifique le directeur du site, Thomas Belle. Pour faire simple, plus un aliment est acide, avec un pH bas, plus il est difficile pour les micro-organismes de survivre et de se développer. Pour l’activité d’eau, plus elle est en quantité limitée dans la production des desserts, plus le risque de développement de bactérie est limité.Le directeur du site insiste sur la bactérie de l’Escherichia Coli qui a malheureusement fait l’actualité cet été en Picardie : « la provenance est dans la plupart des cas une contamination fécale, il est principalement un indicateur montrant les mauvaises conditions de maîtrise du facteur humain. » Cette impressionnante chaîne de fabrication de biscuit servira ensuite de fond pour certains desserts comme les cheesecakes et verrines. - Gaël Hérissé La Listéria recherchée jusque dans les égoutsLa sécurité sanitaire se fait donc maillon par maillon allant de la propreté du personnel, aux tests sur les matières premières mais il faut aussi bien évidemment que l’ensemble du site industriel soit d’une propreté exemplaire. Une entreprise extérieure travaille de nuit pour nettoyer l’ensemble des sols sur près des 10 000 M2 de surface globale. L’usine est mise à l’arrêt deux semaines l’été, le moment idéal pour tout désinfecter des sols aux plafonds. Rien n’est laissé au hasard y compris le risque de voir s’infiltrer certains petits animaux au sein du site de production en bordure de champ. Il faut surveiller, colmater le moindre trou.Pour pousser cette obsession sanitaire à son paroxysme, l’entreprise Verbau établit tout un plan de contrôle qui va jusqu’à l’inspection de ses égouts pour détecter le moindre risque de bactéries comme la listéria. En consacrant 2 % de son budget à la sécurité alimentaire, Verbau arrive depuis deux ans aux résultats escomptés, il en va de sa réputation mais surtout de la santé des consommateurs et cela n’a pas de prix. Par Jerome HEMARD Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Estrées-Deniécourt (Somme) Estrées-Deniécourt : l’entreprise Verbau fait de la sécurité alimentaire sa préoccupation première La jeune entreprise Verbau située à deux pas de la gare TGV s’est spécialisée dans le dessert industriel. Pour éviter tout risque de contamination lors de la fabrication des tartes ou verrines, toute une batterie de règles doivent être respectées à la lettre.

Source LogoParis Normandie
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Niche fiscale sur les biocarburants : « 85 millions d’euros dans la poche du patron de la FNSEA »

« Cette niche, que j’appellerai la niche Rousseau (…), coûte environ 130 millions d’euros, dont 85 millions vont dans la poche du groupe Avril. Étrange ! », assène la députée écologiste Lisa Belluco.  Cet article Niche fiscale sur les biocarburants : « 85 millions d’euros dans la poche du patron de la FNSEA » est apparu en premier sur La Relève et La Peste.

Source LogoLa Relève et La Peste
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Clémentine corse : pourquoi son goût est menacé

La clémentine corse fête ses 100 ans. Nous l'aimons pour son goût exceptionnellement sucré. Pourtant, c'est pour cette même raison qu'elle est aujourd'hui menacée. Le réchauffement climatique la rend chaque année moins acide et plus sucrée. Un équilibre essentiel au maintien de son IGP. D'ici 20 ans, le fruit pourrait perdre son label et être écarté des circuits de vente traditionnels. C'est déjà le cas pour les clémentines jugées trop petites ou pas assez belles pour les consommateurs.

Source LogoTF1 Info
Tereos annonce une réduction de la durée des contrats avec les planteurs de betteraves

Tereos veut avancer avec les planteurs de betteraves « en cohérence avec la réalité agricole et économique ». - Fred Haslin Mis en ligne le 6/11/2025 à 12:38 Lecture zen Tereos proposera, lors de son assemblée générale de juin 2026, une évolution concernant la durée d’engagement de ses coopérateurs de 5 à 3 ans, rapporte Le Courrier Picard. « Cette évolution s’appliquerait à chaque coopérateur, et selon sa date de renouvellement, à compter du 1er avril 2026. (…) Cette décision illustre la volonté des élus de la coopérative d’adapter le modèle coopératif de Tereos aux nouvelles réalités agricoles et économiques rencontrées par les agriculteurs sur le terrain », communique le groupe Tereos.Car, « depuis l’abolition des quotas sucriers en 2017, le monde agricole a profondément changé. Cette mutation s’est accélérée depuis 2022-2023, avec notamment une forte volatilité des rendements agricoles liée aux contraintes réglementaires et aux conditions climatiques aléatoires. Un changement générationnel des agriculteurs s’est également opéré avec une volonté d’être plus agiles et réactifs face aux marchés. Conscient de ces transformations, Tereos fait le choix de rendre son modèle plus souple » grâce à « la solidité financière retrouvée de Tereos et l’amélioration continue de sa compétitivité ». Depuis 2023, Tereos a en effet engagé une restructuration industrielle majeure ainsi que la diminution de sa dette. À lire aussi Tereos met en avant sa solidité malgré une forte baisse de ses résultats « Réalités agroéconomiques »Ce nouvel engagement d’une durée de 3 ans aura pour objectif de s’adapter « aux réalités agronomiques ». « Ce changement traduit notre capacité à faire évoluer notre fonctionnement avec notre temps, sans jamais rompre le lien qui nous unit à nos coopérateurs », explique Gérard Clay, président du conseil d’administration de Tereos.« Notre performance agricole, industrielle et commerciale nous permet d’agir de manière plus flexible. Nous faisons des choix et nous avançons en cohérence avec la réalité agricole et économique », souligne, de son côté, Olivier Leducq, directeur général de Tereos.« Cela répond à une demande de nombreux planteurs »Pour Fabien Hamot, président de la Confédération des planteurs de betteraves de la Somme, « cette réduction de l’engagement entre les planteurs et Tereos est plutôt une bonne nouvelle. Cela répond à une demande de nombreux planteurs de betteraves et permet de favoriser le choix de la plantation de la betterave dans les assolements, ce qui réduit les risques dus aux problèmes de rendements, notamment avec la jaunisse ». À lire aussi Les betteraviers demandent la réintroduction de l’acétamipride après un rapport de l’Inrae Selon l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae), l’interdiction des néonicotinoïdes (NNI) a en effet entraîné en 2020 une baisse moyenne de rendement de 28 % sur l’ensemble de la surface cultivée en betterave sucrière française, due à la jaunisse virale propagée par de fortes populations de pucerons. Par Alexandre Boudard Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : agriculture Tereos annonce une réduction de la durée des contrats avec les planteurs de betteraves Le groupe Tereos, implanté notamment à Origny-Sainte-Benoite, va opter pour la souplesse et s’adapter aux nouvelles réalités agricoles et économiques auxquelles doivent faire face les betteraviers. Pour cela, il propose de réduire la durée des contrats de trois à cinq ans.

Source LogoParis Normandie
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Pyrénées-Atlantiques – Agriculture – À Castagnède, une kiwicultrice montre la voie d’une agriculture économe en eau

À l’occasion des Assises de l’eau dans les Pyrénées-Atlantiques, le préfet, le vice-président du conseil départemental et le président de la chambre d’agriculture ont visité une exploitation exemplaire à Castagnède. Objectif : illustrer les démarches concrètes pour concilier production agricole, respect de l’environnement et adaptation au changement climatique.

Source LogoLa Semaine des Pyrénées
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Soutenons nos vignerons, la juste part

Dans les rayons de la grande distribution, l’offre de vin est tellement pléthorique qu’on s’y perd. Des cubes colorés rompent cependant la monotonie. Trois mots sobres y sont inscrits : “Soutenons nos vignerons”. Ce message sans détours est porteur d’une idée essentielle : redonner au vin sa valeur réelle, en replaçant le vigneron au centre […] Cet article Soutenons nos vignerons, la juste part est apparu en premier sur Terre de Vins.

Source LogoTerre de Vins
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Vente des vins de Beaune. Ludivine Griveau-Gemma : « Je n’avais pas imaginé combien mon statut de femme allait gêner certains »

La régisseuse du domaine des Hospices de Beaune a célébré, début 2025, ses dix ans à la tête de cette exploitation pas comme les autres. Du haut de ses onze millésimes et de son expérience, la viticultrice de 47 ans revient sur une décennie de choix, dans une longue interview accordée au magazine Regards sur la Vente des vins, qui paraît vendredi 7 novembre. Morceaux choisis d’un échange riche et franc.

Source LogoLe Bien Public
Tereos réduit la durée des contrats avec les planteurs de betteraves pour s’adapter aux réalités agroéconomiques

Le groupe sucrier Tereos souhaite réduire la durée des contrats avec les planteurs afin de s’adapter aux évolutions du marché ainsi qu’aux réalités agricoles. Ici, la sucrerie Tereos d’Origny-Sainte-Benoite (Aisne). - Courrier picard Mis en ligne le 6/11/2025 à 06:35 Lecture zen Tereos proposera, lors de son assemblée générale de juin 2026, une évolution concernant la durée d’engagement de ses coopérateurs de 5 à 3 ans. « Cette évolution s’appliquerait à chaque coopérateur, et selon sa date de renouvellement, à compter du 1er avril 2026. (…) Cette décision illustre la volonté des élus de la coopérative d’adapter le modèle coopératif de Tereos aux nouvelles réalités agricoles et économiques rencontrées par les agriculteurs sur le terrain », communique le groupe Tereos. Consultez l’actualité en vidéo Car, « depuis l’abolition des quotas sucriers en 2017, le monde agricole a profondément changé. Cette mutation s’est accélérée depuis 2022-2023, avec notamment une forte volatilité des rendements agricoles liée aux contraintes réglementaires et aux conditions climatiques aléatoires. Un changement générationnel des agriculteurs s’est également opéré avec une volonté d’être plus agiles et réactifs face aux marchés. Conscient de ces transformations, Tereos fait le choix de rendre son modèle plus souple » grâce à « la solidité financière retrouvée de Tereos et l’amélioration continue de sa compétitivité ». Depuis 2023, Tereos a en effet engagé une restructuration industrielle majeure ainsi que la diminution de sa dette.« Réalités agroéconomiques »Ce nouvel engagement d’une durée de 3 ans aura pour objectif de s’adapter « aux réalités agronomiques ». « Ce changement traduit notre capacité à faire évoluer notre fonctionnement avec notre temps, sans jamais rompre le lien qui nous unit à nos coopérateurs », explique Gérard Clay, président du conseil d’administration de Tereos. À lire aussi Betteraves : une campagne relativement bonne en Picardie « Notre performance agricole, industrielle et commerciale nous permet d’agir de manière plus flexible. Nous faisons des choix et nous avançons en cohérence avec la réalité agricole et économique », souligne, de son côté, Olivier Leducq, directeur général de Tereos.« Cela répond à une demande de nombreux planteurs »Pour Fabien Hamot, président de la Confédération des planteurs de betteraves de la Somme, « cette réduction de l’engagement entre les planteurs et Tereos est plutôt une bonne nouvelle. Cela répond à une demande de nombreux planteurs de betteraves et permet de favoriser le choix de la plantation de la betterave dans les assolements, ce qui réduit les risques dus aux problèmes de rendements, notamment avec la jaunisse ».Selon l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae), l’interdiction des néonicotinoïdes (NNI) a en effet entraîné en 2020 une baisse moyenne de rendement de 28 % sur l’ensemble de la surface cultivée en betterave sucrière française, due à la jaunisse virale propagée par de fortes populations de pucerons. Par Alexandre Boudard Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Économie agriculture Tereos réduit la durée des contrats avec les planteurs de betteraves pour s’adapter aux réalités agroéconomiques En proposant de réduire l’engagement de cinq à trois années aux planteurs de betteraves à sucre, Tereos s’adapte aux nouvelles réalités agricoles et économiques auxquelles doivent faire face les agriculteurs. Video

Source LogoParis Normandie
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La conférence internationale des Great Wine Capitals revient à Bordeaux

Aujourd'hui à Bordeaux se tient la 25ᵉ conférence internationale des Great Wine Capitals. À propos Lancé par la CCI de Bordeaux Gironde et actif depuis 2000, le Réseau des Capitales de Grands Vignobles rassemble 11 villes membres, chacune dans un pays. « Nous travaillons au développement de la filière de l' œnotourisme et sommes une courroie de transmission entre les accueils œnotouristiques et les touristes », explique Catherine Leparmentier Dayot, secrétaire générale du réseau. Cette conférence a lieu chaque année dans une ville différente et est l'occasion de faire un état de la filière dans le monde. Le contexte « Tous les vins qu'on a appelés du nouveau monde ont beaucoup plus rapidement développé des services d'accueil à la propriété qu'en Europe », souligne notre interlocutrice. « À Bordeaux, il y a 25 ans, très peu de propriétés étaient ouvertes aux touristes. Désormais, il y a un niveau d' excellence ...

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Des saveurs du sud au salon du Made in France

Le Salon du Made in France (MIF Expo) débute aujourd'hui à Paris. L'occasion de promouvoir les créations du territoire. Une agricultrice installée à Cap d'Ail est présente pour faire découvrir... la fleur d'oranger ! On parle de quoi ? Le Mif expo est un salon professionnel et grand public dédié aux produits conçus, fabriqués ou transformés en France. Près de 110 000 visiteurs sont attendus pour cette 13 e édition du MIF Expo. Le parcours est divisé en 6 secteurs : mode et accessoires, beauté et bien-être, maison et décoration, loisirs et enfance, gastronomie, services et partenaires. Un millier d'exposants seront réunis et un Village de l'Artisanat, diligenté par le réseau des CMA, proposera aussi « un espace de 2 000 m² dédié aux produits et savoir-faire artisanaux » autour de plus de 200 professionnels.. 9 exposants venus des Alpes-Maritimes sont présents. Vous pouvez retrouver la liste complète ici. Zoom ...

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Crise du vin : des viticulteurs bordelais au bord de la faillite

Bordeaux, ses domaines prestigieux et ses grands crus classés sont célèbres dans le monde entier. Mais depuis plusieurs années, la région traverse une crise profonde liée à la surproduction et au manque de débouchés. C’est la conséquence d’une baisse régulière de la consommation de vin, de la fermeture de marchés, comme la Chine. Une centaine d’exploitations est menacée de disparition. Ces dernières semaines, des cuves de vin ont été délibérément vidées.

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Produits agricoles et terres rares : le coup de poker chinois qui a désarmé Trump

ANALYSE. La Chine a confirmé ce mercredi revenir sur certaines décisions concernant les droits de douane imposés aux produits américains, après avoir déjà reculé au sujet des terres rares. Le président américain se dit triomphant, mais la Chine ressort en réalité gagnante de la négociation en se contentant de revenir sur ses propres mesures d’escalade. Ce qui s’apparente à des rétropédalages n’en sont pas vraiment.

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Dermatose nodulaire : la France franchit le cap du million de bovins à vacciner
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Dermatose nodulaire contagieuse : "On a failli faire mourir un animal pour rien", la vaccination d'une vache aurait pu mal tourner dans les Pyrénées-Orientales
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Dermatose nodulaire dans les Pyrénées-Orientales : 330 bovins abattus, le préfet défend sa stratégie
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"On ignore comment la dermatose nodulaire contagieuse va évoluer": le frêle soulagement des éleveurs bovins après la tempête
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Budget: l’Assemblée vote le maintien de la niche fiscale sur les agrocarburants
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Budget 2026 : les députés disent non à une hausse de la fiscalité sur les biocarburants E85 et B100
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Budget 2026 : les députés suppriment la hausse de la fiscalité pour le superéthanol-E85 et le B100
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Finalement, les biocarburants ne seront pas davantage taxés
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