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Actualités, tendances et événements clés qui agitent les pays asiatiques, de l'économie à la scène culturelle.
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Conflit avec la Thaïlande : plus de 500 000 déplacés au Cambodge

Plus d’un demi-million de personnes au Cambodge ont été déplacées en raison d’un conflit frontalier avec la Thaïlande qui a provoqué des affrontements mortels depuis deux semaines, a annoncé Phnom Penh dimanche, à la veille de pourparlers régionaux visant à apaiser les tensions.« Plus d’un demi-million de Cambodgiens, y compris des femmes et des enfants, subissent de graves difficultés en raison de déplacements forcés de leurs foyers et de leurs écoles pour échapper aux tirs d’artillerie, aux roquettes et aux bombardements aériens menés par des (avions de combat) F-16 thaïlandais », a déclaré le ministère de l’Intérieur dans un communiqué, évaluant à 518 611 le nombre total de personnes évacuées.En Thaïlande, quelque 400 000 personnes ont été déplacées à cause de la reprise du conflit frontalier, selon Bangkok.Le porte-parole du ministère thaïlandais de la Défense, Surasant Kongsiri, a déclaré dimanche à des journalistes que le nombre de personnes évacuées hébergées dans des refuges avait diminué. Plus de 200 000 se trouvent toujours dans les centres d’évacuation. Il a appelé les villageois susceptibles de rentrer chez eux à suivre attentivement les consignes, « car il pourrait rester des mines ou des bombes dangereuses ».Pourparlers en MalaisieLe Cambodge, dont l’armée est surclassée en termes de moyens par celle de Bangkok, a souligné dimanche que les forces thaïlandaises avaient poursuivi leurs attaques dès l’aube, faisant état de combats près du temple khmer de Preah Vihear, vieux de 900 ans, convoité par la Thaïlande.Selon les bilans officiels respectifs, les affrontements ont fait au moins 41 morts - 22 côté thaïlandais et 19 côté cambodgien - depuis la reprise des combats le 12 décembre, les deux royaumes d’Asie du Sud-Est se disputant de longue date des morceaux de territoire le long de leur frontière, tracée à l’époque coloniale. En juillet, un précédent épisode de violences avait fait 43 morts en cinq jours.Les ministres des Affaires étrangères de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean), dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.Le Cambodge et la Thaïlande ont tous deux déclaré dimanche que cette réunion en Malaisie devrait permettre d’apaiser les tensions à la frontière, la porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères, Maratee Nalita Andamo, évoquant une « occasion importante pour les deux parties ».Elle a réitéré les conditions préalables aux négociations, notamment la demande de Bangkok que Phnom Penh annonce en premier lieu un cessez-le-feu et coopère aux efforts de déminage à la frontière.« Position ferme »Le gouvernement thaïlandais n’a toutefois donné aucune garantie quant à l’aboutissement d’une trêve, déclarant dans un communiqué qu’un « cessez-le-feu ne peut être obtenu que s’il repose principalement sur l’évaluation de la situation sur le terrain par l’armée thaïlandaise ».Le ministère cambodgien des Affaires étrangères a déclaré quant à lui que la réunion visait à apaiser les tensions et à rétablir « la paix, la stabilité et les relations de bon voisinage ». Il a réaffirmé la « position ferme » de Phnom Penh « de résoudre les différends et les conflits par tous les moyens pacifiques, le dialogue et la diplomatie ».Fin octobre, le président américain Donald Trump avait assuré avoir résolu le conflit après avoir présidé à la signature d’un accord de cessez-le-feu, mais celui-ci a été suspendu peu après par Bangkok.Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a dit vendredi espérer que les deux pays rétabliront la trêve d’ici lundi ou mardi, au moment où les efforts diplomatiques s’accentuent pour mettre un terme au conflit.

Source LogoLe Parisien
La CroixLa Croix
Les États-Unis menacent le Venezuela d’une invasion et saisissent un nouveau pétrolier
L'HumanitéL'Humanité
Venezuela : Donald Trump brandit ouvertement la menace d’une guerre pour s’approprier le pétrole
France 24France 24
Saisie d'un nouveau pétrolier vénézuelien par les Etats-Unis
EuronewsEuronews
Les États-Unis saisissent un deuxième pétrolier au large des côtes vénézuéliennes
La CroixLa Croix
À Gaza, la pluie, le vent et la faim rythment le quotidien des Palestiniens
Le FigaroLe Figaro
Frapper «partout où ce sera nécessaire» : le chef d’état-major de Tsahal menace l’Iran et les «ennemis» d’Israël
L'HumanitéL'Humanité
Israël approuve la création de 19 nouvelles colonies en Cisjordanie pour empêcher un futur État de Palestine
Le ParisienLe Parisien
Cisjordanie : Israël approuve 19 nouvelles colonies, un record depuis trois ans
EuronewsEuronews
Australie : dernier hommage aux victimes de l'attaque de Bondi Beach
Europe 1Europe 1
Australie : une minute de silence observée dans le pays, une semaine après l'attentat de Sydney
France 24France 24
Journée d'hommage national en Australie une semaine après l'attentat
France 24France 24
Attaque antisémite à Sydney, conférence annuelle de Poutine, affaire Epstein : la semaine en images
Le FigaroLe Figaro
«L’humanité» face à «une grande catastrophe» : les ambitions nucléaires du Japon doivent être empêchées «à tout prix», selon la Corée du Nord
TV5 MONDETV5 MONDE
Sous-marins à propulsion nucléaire d'attaque: la Corée du Sud, bientôt le nouvel atout des États-Unis dans le Pacifique?
CNEWSCNEWS
L’humanité face à «une grande catastrophe» : la Corée du Nord veut «à tout prix» empêcher les ambitions nucléaires du Japon
BFMTVBFMTV
La Corée du Nord affirme que les ambitions nucléaires du Japon doivent être empêchées "à tout prix"
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Cambodge: plus de 500.000 déplacés suite au conflit avec la Thaïlande, selon Phnom Penh

Par AFP Par Suy SE, avec Thanaporn PROMYAMYAI à Bangkok © 2025 AFP Plus d'un demi‑million de personnes au Cambodge ont été déplacées en raison d'un conflit frontalier avec la Thaïlande qui a provoqué des affrontements mortels depuis deux semaines, a annoncé Phnom Penh dimanche, à la veille de pourparlers régionaux visant à apaiser les tensions."Plus d'un demi-million de Cambodgiens, y compris des femmes et des enfants, subissent de graves difficultés en raison de déplacements forcés de leurs foyers et de leurs écoles pour échapper aux tirs d'artillerie, aux roquettes et aux bombardements aériens menés par des (avions de combat) F-16 thaïlandais", a déclaré le ministère de l'Intérieur dans un communiqué, évaluant à 518.611 le nombre total de personnes évacuées.En Thaïlande, quelque 400.000 personnes ont été déplacées à cause de la reprise du conflit frontalier, selon Bangkok.Le porte-parole du ministère thaïlandais de la Défense, Surasant Kongsiri, a déclaré dimanche à des journalistes que le nombre de personnes évacuées hébergées dans des refuges avait diminué, même si plus de 200.000 se trouvent toujours dans les centres d'évacuation.Il a appelé les villageois susceptibles de rentrer chez eux à suivre attentivement les consignes, "car il pourrait rester des mines ou des bombes dangereuses". "Occasion importante" Le Cambodge, dont l'armée est surclassée en termes de moyens par celle de Bangkok, a souligné dimanche que les forces thaïlandaises avaient poursuivi leurs attaques dès l'aube, faisant état de combats près du temple khmer de Preah Vihear, vieux de 900 ans, convoité par la Thaïlande.Selon les bilans officiels respectifs, les affrontements ont fait au moins 41 morts - 22 côté thaïlandais et 19 côté cambodgien - depuis la reprise des combats le 12 décembre, les deux royaumes d'Asie du Sud-Est se disputant de longue date des morceaux de territoire le long de leur frontière, tracée à l'époque coloniale.En juillet, un précédent épisode de violences avait fait 43 morts en cinq jours.Les ministres des Affaires étrangères de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean), dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.Le Cambodge et la Thaïlande ont tous deux déclaré dimanche que cette réunion en Malaisie devrait permettre d'apaiser les tensions à la frontière, la porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères, Maratee Nalita Andamo, évoquant une "occasion importante pour les deux parties".Elle a réitéré les conditions préalables aux négociations, notamment la demande de Bangkok que Phnom Penh annonce en premier lieu un cessez-le-feu et coopère aux efforts de déminage à la frontière.Le gouvernement thaïlandais n'a toutefois donné aucune garantie quant à l'aboutissement d'une trêve, déclarant dans un communiqué qu'un "cessez-le-feu ne peut être obtenu que s'il repose principalement sur l'évaluation de la situation sur le terrain par l'armée thaïlandaise". "Position ferme" Le ministère cambodgien des Affaires étrangères a déclaré quant à lui que la réunion visait à apaiser les tensions et à rétablir "la paix, la stabilité et les relations de bon voisinage".Il a réaffirmé la "position ferme" de Phnom Penh "de résoudre les différends et les conflits par tous les moyens pacifiques, le dialogue et la diplomatie".Fin octobre, le président américain Donald Trump avait assuré avoir résolu le conflit après avoir présidé à la signature d'un accord de cessez-le-feu, mais celui-ci a été suspendu peu après par Bangkok.Washington, Pékin, l'Union européenne, les Nations unies et la présidence malaisienne de l'Asean ont tous appelés à une cessation des hostilités.Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a dit vendredi espérer que les deux pays rétabliront la trêve d'ici lundi ou mardi, au moment où les efforts diplomatiques s'accentuent pour mettre un terme au conflit.La Chine a de son côté dépêché la semaine dernière son envoyé spécial pour les affaires asiatiques au Cambodge et en Thaïlande, dans un effort de médiation. Cet envoyé, Deng Xijun, a rencontré le Premier ministre Hun Manet à Phnom Penh et appelé à une trêve, selon le ministère cambodgien des Affaires étrangères.

Source LogoTV5 MONDE
Le MondeLe Monde
EN DIRECT, guerre en Ukraine : Vladimir Poutine « prêt au dialogue avec Macron », selon son porte-parole
Le MondeLe Monde
EN DIRECT, guerre en Ukraine : Washington a proposé une rencontre entre les Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie à Miami, dit Volodymyr Zelensky
EuronewsEuronews
Plan de paix pour l'Ukraine : des pourparlers prévus samedi entre représentants russes et américains à Miami
PoliticoPolitico
US proposes Ukraine-Russia talks in Miami, Zelenskyy reportedly says
Le FigaroLe Figaro
L’Australie se recueille une semaine après l’attentat de Bondi
Paris NormandieParis Normandie
L’Australie se recueille une semaine après l’attentat sur la plage de Bondi Beach
Courrier internationalCourrier international
À Bondi Beach, des centaines de surfeurs rendent hommage aux victimes de l’attentat
CauseurCauseur
Australie – La tuerie de Bondi Beach ou l’échec du multiculturalisme
RFIRFI
L'Inde s’inquiète des conséquences des tensions au Bengladesh après des émeutes
RFIRFI
Bangladesh: foule immense aux funérailles du leader étudiant assassiné
Ouest FranceOuest France
Bangladesh : une foule immense aux funérailles d’un leader étudiant assassiné
TV5 MONDETV5 MONDE
Bangladesh: foule immense aux funérailles du leader étudiant assassiné
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Patrouchev contre la « pyramide parasitaire » : dans la tête de l’homme le plus dangereux de Russie

Proche collaborateur de Vladimir Poutine et ancien directeur du KGB, Nikolaï Patrouchev a une théorie. Pour lui, cela fait mille ans que l'Occident travaille à humilier les Russes — et la vengeance de Moscou ne doit pas avoir de limites. Nous traduisons et commentons la prose complotiste paranoïaque de l'un des technocrates les plus puissants du Kremlin — et certainement le plus dangereux. L'Avent de l'interrègne 5/8. L’article Patrouchev contre la « pyramide parasitaire » : dans la tête de l’homme le plus dangereux de Russie est apparu en premier sur Le Grand Continent.

Source LogoLe Grand Continent
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La grande peur des chrétiens de Syrie

La Syrie s'est libérée de la dictature du clan d'Assad le 8 décembre 2024. Mais depuis, le pays a du mal à se redresser. Les communautés minoritaires, dont les chrétiens, vivent dans la peur. Alors que le nouveau pouvoir, dirigé par un ancien djihadiste issu des rangs d'Al-Qaida, promet de protéger les minorités, pour la première fois, une église a été attaquée en juin dernier. Dans l'un des plus anciens foyers du christianisme, l'exode des chrétiens s'accélère.

Source LogoTF1 Info
EuronewsEuronews
L'UE prévoit de lever 90 milliards d'euros de dette commune pour l'Ukraine – voici comment
France 24France 24
L'UE renonce aux avoirs russes gelés : une victoire pour Vladimir Poutine ?
France 24France 24
L'Europe se résigne à financer l'Ukraine sans recourir aux avoirs russes
TF1 InfoTF1 Info
Prêt de 90 milliards d'euros pour Kiev : l'aide de l'Union européenne est-elle suffisante ?
News Image
« Seul Ran n’est pas revenu » : le dernier otage à Gaza, un supplice pour sa famille et un obstacle au plan de paix

Pendant toute la semaine de Hanouka, la fête juive des lumières qui s’achève ce dimanche soir, Talik Gvili, a prié pour un miracle. Tout comme la fiole d’huile découverte par les Maccabéens, censée suffire à une journée d’allumage, a illuminé le Temple de Jérusalem pendant… huit jours, la mère du dernier otage israélien détenu à Gaza, continue de s’accrocher à un infime espoir. « Le vrai miracle serait que Ran revienne vivant. Ce n’est peut-être qu’un vœu pieux. Mais en tout cas, on ne peut pas le laisser seul là-bas », confie Talik au Parisien, depuis son domicile de Meitar, dans le sud du pays.« Il est inconcevable de l’abandonner »

Source LogoLe Parisien
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Un drone « considéré » comme de fabrication russe retrouvé écrasé en Turquie, Istanbul appelle à la « prudence »

Quand le conflit déborde. Un drone a été retrouvé écrasé vendredi dans le nord-ouest de la Turquie, ont indiqué les autorités turques qui estiment qu’il s’agit d’un drone militaire de fabrication russe.« Un drone considéré comme un Orlan-10 de fabrication russe, utilisé à des fins de reconnaissance et de surveillance, a été retrouvé », écrit le ministère turc dans un communiqué, en annonçant l’ouverture d’une enquête.Selon les autorités turques, le drone a été identifié dans une zone rurale près d’Izmit, à l’est d’Istanbul, à trente km des côtes de la mer Noire faisant face à l’Ukraine et la Crimée annexée par la Russie depuis 2014.« Faire preuve de plus de prudence »Sur des images partagées par les médias turcs, l’engin apparaît en un seul morceau, les ailes légèrement endommagées.Un drone « hors de contrôle » en provenance de la mer Noire avait déjà été abattu lundi dans l’espace aérien turc, selon les autorités qui n’ont toujours pas indiqué l’origine précise de l’engin, ni le lieu exact de son interception.Le ministère turc de la Défense a toutefois affirmé jeudi avoir appelé l’Ukraine et la Russie à « faire preuve de plus de prudence » à la suite de cet incident.

Source LogoLe Parisien
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VÉRIF' - Que sait-on de ces images très relayées, évoquant des "zoos humains" en Inde ?

Une vidéo partagée sur les réseaux sociaux et qui serait tournée en Inde choque de nombreux internautes, qui la jugent voyeuriste. Cette séquence montre des touristes occidentaux en train de photographier une femme en apparence pauvre, une scène comparée par certains à des "zoos humains". TF1info a remonté la piste de ces images et les a analysées grâce à une ethnologue, spécialiste de la culture indienne.

Source LogoTF1 Info
France 24France 24
Les combats continuent entre la Thaïlande et le Cambodge, la Chine tente une médiation
BFMTVBFMTV
Pax silica : la riposte des USA face à la Chine
GeoGeo
Thaïlande-Cambodge: à la frontière les combats continuent, malgré les appels à la désescalade de la communauté internationale
Courrier internationalCourrier international
Plus de 700 000 civils déplacés par le conflit entre le Cambodge et la Thaïlande
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Bangladesh : après l’assassinat de Sharif Osman Hadi figure des révoltes de 2024, les manifestations se poursuivent

Les manifestations se poursuivent à Dacca, la capitale du Bangladesh, ce vendredi 19 décembre. La veille, des milliers de manifestants sont déjà descendus dans les rues de la capitale après l’annonce du décès de Sharif Osman Hadi, afin de demander l’arrestation de ses assassins. L’homme décédé était une figure de la révolte étudiante contre la première ministre Sheikh Hasina en 2024.

Source LogoL'Humanité
Le FigaroLe Figaro
Au Venezuela, la résilience face au «blocus» imposé par Trump
L'HumanitéL'Humanité
Venezuela : Donald Trump poursuit sa stratégie pour faire tomber Nicolas Maduro
Le FigaroLe Figaro
Tensions États-Unis-Venezuela : le président Lula se propose en médiateur pour «éviter un conflit armé»
France 24France 24
Trump/Maduro: affrontement inévitable ?
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Guerre en Ukraine : la Russie rend 1 003 corps à Kiev, les dépouilles de 26 soldats russes rendues à Moscou

L’Ukraine annonce ce vendredi avoir reçu de la part de la Russie 1 003 nouveaux corps. Ils sont présentés comme ceux de soldats ukrainiens tués au combat, ce qui porte à plus de 16 000 le nombre de dépouilles remises par Moscou, depuis le début de l’année.« Des rapatriements ont eu lieu. 1 003 corps ont été renvoyés en Ukraine, qui, selon la partie russe, sont ceux de militaires ukrainiens », a annoncé le Centre ukrainien chargé des prisonniers de guerre.Selon le conseiller de la présidence russe, Vladimir Medinski, Moscou a de son côté reçu les dépouilles de 26 soldats russes de la part de Kiev. L’Ukraine a, au total, restitué quelques centaines de corps à la Russie depuis janvier.Dernier domaine de coopération entre les deux paysLes échanges de dépouilles de militaires tués et de prisonniers de guerre constituent les seuls domaines de coopération entre les deux belligérants, près de quatre ans après le début de l’invasion russe de l’Ukraine.En février, le président Volodymyr Zelensky avait affirmé à une chaîne de télévision américaine que son pays avait perdu près de 46 000 soldats depuis 2022, un chiffre que les analystes jugent sous-évalué. Il avait aussi fait état de « dizaines de milliers » de portés disparus et prisonniers.Le service russe de la BBC et le média Mediazona, qui s’appuient sur des données en accès libre, affirment avoir recensé plus de 153 000 soldats russes tués, tout en considérant que leur nombre réel est probablement plus élevé.

Source LogoLe Parisien
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L’Union européenne acte un prêt de 90 milliards d’euros pour l’Ukraine sans les avoirs russes

Au terme d’un sommet prolongé, les vingt-sept chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont validé un financement de 90 milliards d’euros destiné à soutenir l’Ukraine sur les deux prochaines années. Faute d’un consensus sur l’usage des actifs russes gelés, les institutions européennes privilégient une émission de dette classique pour compenser le retrait financier des États-Unis.

Source LogoLa Tribune
L'HumanitéL'Humanité
Génocide à Gaza : l’administration Trump sanctionne deux juges de la CPI pour leur enquête sur les crimes d’Israël
France 24France 24
Les États-Unis imposent de nouvelles sanctions sur deux juges de la CPI enquêtant sur Israël
Le ParisienLe Parisien
Les États-Unis annoncent des sanctions visant deux autres juges de la CPI pour avoir enquêté sur Israël
L'HumanitéL'Humanité
Au Royaume-Uni, 24 membres de Palestine Action en grève de la faim depuis 48 jours face à l’intransigeance du gouvernement
France 24France 24
Washington vend pour 11 milliards de dollars d'armes à Taïwan, Pékin proteste
RFIRFI
Taïwan: les États-Unis approuvent une nouvelle vente d’armes à l'île, suscitant les protestations de Pékin
GeoGeo
Pour se protéger contre la menace chinoise, Taïwan reçoit 11,1 milliards de dollars d'armes de la part de Washington
CNEWSCNEWS
«Cela démontre l'engagement ferme des Etats-Unis envers la sécurité de l'île» : Washington approuve une importante vente d'armes à Taïwan
Le ParisienLe Parisien
« Une farce » : le Congrès brésilien ouvre la voie à une libération rapide de l’ancien président Jair Bolsonaro
L'HumanitéL'Humanité
De 27 à 2 ans de réclusion criminelle : au Brésil, le Congrès approuve une loi pour réduire la peine de Bolsonaro
TF1 InfoTF1 Info
"Une farce" : au Brésil, le Congrès approuve une loi pour réduire la peine de Bolsonaro
France 24France 24
La réduction de peine de Jair Bolsonaro approuvée, Lula peut encore opposer son veto
Le ParisienLe Parisien
Guerre en Ukraine : les objectifs russes « seront sans aucun doute atteints », affirme Vladimir Poutine
L'HumanitéL'Humanité
Guerre en Ukraine : meurtrie par les bombardements, la ville de Kramatorsk « respire encore, mais à voix basse »
Le MondeLe Monde
EN DIRECT, guerre en Ukraine : Friedrich Merz appelle l’Union européenne à utiliser les avoirs russes gelés pour « intensifier la pression sur Poutine »
Le MondeLe Monde
A La Haye, une commission de réparation pour dédommager l’Ukraine des crimes commis par la Russie
La CroixLa Croix
Pourquoi Donald Trump impose-t-il un blocus pétrolier au Venezuela ?
Le FigaroLe Figaro
La Chine assure le Venezuela qu'elle s'oppose à toute tentative d'«intimidation unilatérale»
France 24France 24
Blocus américain sur les pétroliers sous sanctions : quel impact sur les cours mondiaux ?
Le HuffPostLe HuffPost
Le Venezuela dit poursuivre ses exportations malgré le blocus américain sur le pétrole
France 24France 24
Attaque de Sydney : 59 chefs d'accusation contre l'assaillant de 24 ans
L'HumanitéL'Humanité
Inculpation de Naveed Akram, « attaque terroriste inspirée par l’EI »… Où en est l’enquête sur les deux assaillants de l’attentat antisémite de Sydney ?
Le MondeLe Monde
Attentat en Australie : l’assaillant inculpé pour terrorisme et 15 chefs d’accusation de meurtre
France 24France 24
Attentat antisémite de Sydney : l'assaillant inculpé pour terrorisme et 15 meurtres
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Attentat de Sydney : des centaines de personnes rassemblées au Bourget en hommage à Dan Elkayam, victime de l’attaque

Environ 200 personnes étaient rassemblées au Bourget, en Seine-Saint-Denis, mardi en fin de journée pour rendre hommage à Dan Elkayam, tué à 27 ans dimanche, lors de l’attaque contre des Juifs à Sydney.Dan Elkayam avait grandi en Seine-Saint-Denis, près de Paris, et s’était expatrié en Australie. Ingénieur informatique de 27 ans, Dan était passionné de foot et avait beaucoup voyagé ces dernières années.Sa famille endeuillée le présente comme « un fils, un frère, un oncle, un ami, un mari exceptionnel », via un communiqué diffusé lundi soir. Ce texte, transmis par la mairie du Bourget, ajoute que « l’antisémitisme laissera tous ses proches avec un trou dans le cœur ». Des fleurs et des bougies ont été déposées devant l’immeuble où vivent ses proches.Une attaque antisémite et terroristeDimanche soir, un père et son fils ont tiré à au moins 40 reprises, pendant une dizaine de minutes sur une foule rassemblée sur la plage de Bondi, à Sydney en Australie, pour la fête juive de Hanouka, faisant au moins 15 morts et 42 blessés.Les autorités australiennes, qui ont qualifié l’attentat « d’antisémite » et de « terroriste », ont déclaré que l’attaque visait à semer la panique parmi les Juifs du pays, mais n’ont donné jusqu’à présent que peu de détails sur les motivations profondes des assaillants.Le Premier ministre australien a évoqué mardi une radicalisation des deux assaillants par « l’idéologie de l’État islamique (EI) ».

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Iran : les autorités refusent un examen médical indépendant de Narges Mohammadi après sa violente arrestation

Les autorités iraniennes refusent un examen médical indépendant de la prix Nobel de la paix Narges Mohammadi, qui dit avoir été frappée à coups de matraque par la police lors de son arrestation la semaine dernière, a déclaré sa famille mardi.« Elle a des ecchymoses au cou et au visage », a déclaré à des journalistes à Paris par liaison vidéo l’un de ses frères, Hamid Mohammadi, installé en Norvège. Un autre de ses frères, qui vit en Iran, « a tenté de les convaincre d’accepter qu’un médecin indépendant l’examine. Mais ils ont refusé », a précisé Hamid Mohammadi.Narges Mohammadi, 53 ans, lauréate du prix Nobel en 2023, a été interpellée vendredi dans la ville de Mashad (est), avec d’autres militants, après avoir pris la parole lors d’une cérémonie en hommage à l’avocat Khosrow Alikordi, retrouvé mort début décembre.Deux passages aux urgencesSa famille et son comité de soutien ont dénoncé son arrestation « violente ». Dans un « bref » appel avec sa famille dimanche soir, Narges Mohammadi a raconté avoir reçu « des coups de matraque violents et répétés à la tête et au cou » lors de son arrestation, a indiqué lundi son comité de soutien, estimant que « son état physique au moment de l’appel n’était pas bon », et qu’« elle semblait souffrante ».Elle a raconté avoir été conduite deux fois aux urgences par les autorités pénitentiaires, a également indiqué son comité de soutien.« Nous sommes très inquiets des conditions dans lesquelles elle est détenue, de l’endroit où elle se trouve, et de la manière dont elle est traitée », a ajouté Hamid Mohammadi. Son époux Taghi Rahmani, qui vit à Paris, s’est également dit « très inquiet de ce qui pourrait lui arriver ».Amnesty International a accusé dans un communiqué mardi les forces de sécurité iraniennes d’avoir commis des actes de « torture et autres mauvais traitements » lors de l’arrestation, notamment en « passant violemment à tabac » Narges Mohammadi et une autre militante, Alieh Motalbzadeh.

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Attentat en Australie : l’île philippine de Mindanao, nouvelle base arrière de Daech, au cœur de l’enquête

Huit ans se sont écoulés depuis que les Philippines ont vaincu l’État islamique. Des attentats meurtriers secouent sporadiquement le pays, mais la menace était considérée comme faible. Ce mardi 16 décembre, elle prend tout à coup une dimension internationale : les auteurs présumés du massacre de Bondi Beach, qui a fait 15 morts dimanche 14 décembre à Sydney, en Australie, étaient « motivés par l’idéologie » du groupe État islamique (deux drapeaux de l’EI ont été retrouvés dans leur voiture) et s’étaient rendus aux Philippines le mois dernier, révèlent les autorités australiennes.Les deux assaillants, Sajid Akram, ressortissant indien, et son fils Naveed Akram, citoyen australien, sont arrivés ensemble dans l’archipel le 1er novembre en provenance de Sydney, retrace Dana Sandoval, porte-parole du Bureau philippin de l’immigration. Leur destination finale était la ville de Davao, dans le sud du pays. Ils l’ont quittée le 28 novembre, en prenant un vol pour Sydney via Manille.

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