
Après avoir accordé plusieurs reports, la Cour suprême a fixé le 4 janvier comme date limite définitive pour qu'Israël réponde à sa requête demandant l'accès des médias à l'enclave palestinienne.
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Après avoir accordé plusieurs reports, la Cour suprême a fixé le 4 janvier comme date limite définitive pour qu'Israël réponde à sa requête demandant l'accès des médias à l'enclave palestinienne.

Le cardinal Pierbattista Pizzaballa, chef de l’Eglise catholique en terre sainte, s’est rendu une nouvelle fois dans la bande de Gaza pour y célébrer la messe de Noël. La plus grande de partie de la communauté chrétienne, réduite à 600 personnes, vit toujours réfugiée au sein de la paroisse.

Plus d’un demi-million de personnes au Cambodge ont été déplacées en raison d’un conflit frontalier avec la Thaïlande qui a provoqué des affrontements mortels depuis deux semaines, a annoncé Phnom Penh dimanche, à la veille de pourparlers régionaux visant à apaiser les tensions.« Plus d’un demi-million de Cambodgiens, y compris des femmes et des enfants, subissent de graves difficultés en raison de déplacements forcés de leurs foyers et de leurs écoles pour échapper aux tirs d’artillerie, aux roquettes et aux bombardements aériens menés par des (avions de combat) F-16 thaïlandais », a déclaré le ministère de l’Intérieur dans un communiqué, évaluant à 518 611 le nombre total de personnes évacuées.En Thaïlande, quelque 400 000 personnes ont été déplacées à cause de la reprise du conflit frontalier, selon Bangkok.Le porte-parole du ministère thaïlandais de la Défense, Surasant Kongsiri, a déclaré dimanche à des journalistes que le nombre de personnes évacuées hébergées dans des refuges avait diminué. Plus de 200 000 se trouvent toujours dans les centres d’évacuation. Il a appelé les villageois susceptibles de rentrer chez eux à suivre attentivement les consignes, « car il pourrait rester des mines ou des bombes dangereuses ».Pourparlers en MalaisieLe Cambodge, dont l’armée est surclassée en termes de moyens par celle de Bangkok, a souligné dimanche que les forces thaïlandaises avaient poursuivi leurs attaques dès l’aube, faisant état de combats près du temple khmer de Preah Vihear, vieux de 900 ans, convoité par la Thaïlande.Selon les bilans officiels respectifs, les affrontements ont fait au moins 41 morts - 22 côté thaïlandais et 19 côté cambodgien - depuis la reprise des combats le 12 décembre, les deux royaumes d’Asie du Sud-Est se disputant de longue date des morceaux de territoire le long de leur frontière, tracée à l’époque coloniale. En juillet, un précédent épisode de violences avait fait 43 morts en cinq jours.Les ministres des Affaires étrangères de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean), dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.Le Cambodge et la Thaïlande ont tous deux déclaré dimanche que cette réunion en Malaisie devrait permettre d’apaiser les tensions à la frontière, la porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères, Maratee Nalita Andamo, évoquant une « occasion importante pour les deux parties ».Elle a réitéré les conditions préalables aux négociations, notamment la demande de Bangkok que Phnom Penh annonce en premier lieu un cessez-le-feu et coopère aux efforts de déminage à la frontière.« Position ferme »Le gouvernement thaïlandais n’a toutefois donné aucune garantie quant à l’aboutissement d’une trêve, déclarant dans un communiqué qu’un « cessez-le-feu ne peut être obtenu que s’il repose principalement sur l’évaluation de la situation sur le terrain par l’armée thaïlandaise ».Le ministère cambodgien des Affaires étrangères a déclaré quant à lui que la réunion visait à apaiser les tensions et à rétablir « la paix, la stabilité et les relations de bon voisinage ». Il a réaffirmé la « position ferme » de Phnom Penh « de résoudre les différends et les conflits par tous les moyens pacifiques, le dialogue et la diplomatie ».Fin octobre, le président américain Donald Trump avait assuré avoir résolu le conflit après avoir présidé à la signature d’un accord de cessez-le-feu, mais celui-ci a été suspendu peu après par Bangkok.Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a dit vendredi espérer que les deux pays rétabliront la trêve d’ici lundi ou mardi, au moment où les efforts diplomatiques s’accentuent pour mettre un terme au conflit.

Damas n’a jamais reconnu la conquête du plateau du Golan, qu’Israël a conquis durant la guerre des Six jours en 1967, puis annexé en 1981. En publiant cette carte sur X, le gouvernement d’Ahmed al-Charaa, sans avoir officiellement changé de politique, ménage l’État hébreu.

Dans un pays où l'armée a renversé le gouvernement démocratique d'Aung San Suu Kyi en 2021, et miné par une guerre civile, des élections législatives sont prévues dans une semaine.

Une semaine après l’attentat survenu sur une plage de Sydney, en Australie, le pays rend hommage aux 15 victimes, ce dimanche 21 décembre.

Lors d’une cérémonie de passation, le chef d’état-major de l’armée israélienne a laissé entendre que l’État hébreu pourrait de nouveau frapper le régime des mollahs si cela s’avérait nécessaire.





De nouvelles consultations se tiendront dans les prochaines semaines pour progresser vers la mise en place de la seconde phase du plan de paix qui doit permettre la reconstruction du territoire.

Les États-Unis ont frappé plus de 70 positions de l’EI samedi en Syrie. Au moins cinq jihadistes ont été tués. Mais, même si la Syrie fait partie de la coalition internationale, sur le terrain, les habitants doivent se protéger eux-mêmes. Les cellules dormantes de Daech sont toujours là.

Après des allégations de blasphème, un jeune homme a été tabassé à mort par une foule en colère ce jeudi, avant d’être attaché à un arbre et brûlé en public.

Lundi, des pourparlers régionaux doivent se tenir pour apaiser les tensions, alors que des affrontements meurtriers ont commencé il y a deux semaines.

Lundi, des pourparlers régionaux doivent se tenir pour apaiser les tensions, alors que des affrontements meurtriers ont commencé il y a deux semaines.

L'hiver, les pluies torrentielles, les épidémies et la famine ravagent l'enclave palestinienne, toujours privée de tout et bombardée par Israël.

Par AFP Par Suy SE, avec Thanaporn PROMYAMYAI à Bangkok © 2025 AFP Plus d'un demi‑million de personnes au Cambodge ont été déplacées en raison d'un conflit frontalier avec la Thaïlande qui a provoqué des affrontements mortels depuis deux semaines, a annoncé Phnom Penh dimanche, à la veille de pourparlers régionaux visant à apaiser les tensions."Plus d'un demi-million de Cambodgiens, y compris des femmes et des enfants, subissent de graves difficultés en raison de déplacements forcés de leurs foyers et de leurs écoles pour échapper aux tirs d'artillerie, aux roquettes et aux bombardements aériens menés par des (avions de combat) F-16 thaïlandais", a déclaré le ministère de l'Intérieur dans un communiqué, évaluant à 518.611 le nombre total de personnes évacuées.En Thaïlande, quelque 400.000 personnes ont été déplacées à cause de la reprise du conflit frontalier, selon Bangkok.Le porte-parole du ministère thaïlandais de la Défense, Surasant Kongsiri, a déclaré dimanche à des journalistes que le nombre de personnes évacuées hébergées dans des refuges avait diminué, même si plus de 200.000 se trouvent toujours dans les centres d'évacuation.Il a appelé les villageois susceptibles de rentrer chez eux à suivre attentivement les consignes, "car il pourrait rester des mines ou des bombes dangereuses". "Occasion importante" Le Cambodge, dont l'armée est surclassée en termes de moyens par celle de Bangkok, a souligné dimanche que les forces thaïlandaises avaient poursuivi leurs attaques dès l'aube, faisant état de combats près du temple khmer de Preah Vihear, vieux de 900 ans, convoité par la Thaïlande.Selon les bilans officiels respectifs, les affrontements ont fait au moins 41 morts - 22 côté thaïlandais et 19 côté cambodgien - depuis la reprise des combats le 12 décembre, les deux royaumes d'Asie du Sud-Est se disputant de longue date des morceaux de territoire le long de leur frontière, tracée à l'époque coloniale.En juillet, un précédent épisode de violences avait fait 43 morts en cinq jours.Les ministres des Affaires étrangères de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean), dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.Le Cambodge et la Thaïlande ont tous deux déclaré dimanche que cette réunion en Malaisie devrait permettre d'apaiser les tensions à la frontière, la porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères, Maratee Nalita Andamo, évoquant une "occasion importante pour les deux parties".Elle a réitéré les conditions préalables aux négociations, notamment la demande de Bangkok que Phnom Penh annonce en premier lieu un cessez-le-feu et coopère aux efforts de déminage à la frontière.Le gouvernement thaïlandais n'a toutefois donné aucune garantie quant à l'aboutissement d'une trêve, déclarant dans un communiqué qu'un "cessez-le-feu ne peut être obtenu que s'il repose principalement sur l'évaluation de la situation sur le terrain par l'armée thaïlandaise". "Position ferme" Le ministère cambodgien des Affaires étrangères a déclaré quant à lui que la réunion visait à apaiser les tensions et à rétablir "la paix, la stabilité et les relations de bon voisinage".Il a réaffirmé la "position ferme" de Phnom Penh "de résoudre les différends et les conflits par tous les moyens pacifiques, le dialogue et la diplomatie".Fin octobre, le président américain Donald Trump avait assuré avoir résolu le conflit après avoir présidé à la signature d'un accord de cessez-le-feu, mais celui-ci a été suspendu peu après par Bangkok.Washington, Pékin, l'Union européenne, les Nations unies et la présidence malaisienne de l'Asean ont tous appelés à une cessation des hostilités.Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a dit vendredi espérer que les deux pays rétabliront la trêve d'ici lundi ou mardi, au moment où les efforts diplomatiques s'accentuent pour mettre un terme au conflit.La Chine a de son côté dépêché la semaine dernière son envoyé spécial pour les affaires asiatiques au Cambodge et en Thaïlande, dans un effort de médiation. Cet envoyé, Deng Xijun, a rencontré le Premier ministre Hun Manet à Phnom Penh et appelé à une trêve, selon le ministère cambodgien des Affaires étrangères.

Après des inondations meurtrières, les autorités sont accusées de n’avoir pas anticipé l’intensité des tempêtes dans les zones vulnérables. De Bangkok à Manille, les gouvernements perdent la confiance de leurs citoyens, qui s’attaquent aussi aux multinationales.


Le 22 juin 2025, une attaque terroriste attribuée à l’État islamique a visé une église en Syrie, causant la mort de 25 personnes et faisant 63 blessés. Malgré les promesses... L’article « On vit dans la peur » : les chrétiens de Syrie racontent leur crainte après la chute d’Assad est apparu en premier sur Valeurs actuelles.

Libérée il y a tout juste un an de la dictature du clan Assad, la Syrie peine à se redresser. De retour au pays, les communautés minoritaires vivent dans la peur des persécutions. C'est notamment le cas des chrétiens rencontrés dans l'enquête du 20H de TF1.

Le conflit frontalier entre le Cambodge et la Thaïlande a fait plus de 500 000 déplacés côté cambodgien ces deux dernières semaines, a déclaré le ministère de l'Intérieur dimanche 21 décembre. Côté thaïlandais, près de 400 000 déplacés ont été recensés.

Au moins 5 membres de l'État Islamique ont été tués dans des frappes américaines en Syrie. Cela fait suite à une attaque qui a coûté la vie à deux militaires et un interprète, le 13 décembre dernier.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean, dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean, dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean, dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean, dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean, dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean, dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Asean, dont ceux de la Thaïlande et du Cambodge, doivent se réunir lundi à Kuala Lumpur pour une réunion spéciale destinée à discuter du conflit.

Il y a un an, un groupe de rebelles syriens annonçait la prise de Damas, mettant fin au règne de Bachar Al-Assad. Pour « Le Monde », la photographe Laurence Geai s’est depuis rendue à trois reprises dans le pays. Elle nous raconte son travail.

REPORTAGE - À Kramatorsk, Sergueï abat les drones russes avec son fusil de chasse. Evguéni, lui, tue des hommes derrière son écran. La guerre moderne.


Par Giuseppe Gagliano, Président du Centro Studi Strategici Carlo De Cristoforis (Côme, Italie) Un pays marginal qui devient central Il […] L’article HISTOIRE – Albanie, le laboratoire invisible de la guerre froide est apparu en premier sur Le Diplomate.


Proche collaborateur de Vladimir Poutine et ancien directeur du KGB, Nikolaï Patrouchev a une théorie. Pour lui, cela fait mille ans que l'Occident travaille à humilier les Russes — et la vengeance de Moscou ne doit pas avoir de limites. Nous traduisons et commentons la prose complotiste paranoïaque de l'un des technocrates les plus puissants du Kremlin — et certainement le plus dangereux. L'Avent de l'interrègne 5/8. L’article Patrouchev contre la « pyramide parasitaire » : dans la tête de l’homme le plus dangereux de Russie est apparu en premier sur Le Grand Continent.

Phnom Penh évalue à 518 611 le nombre total de personnes évacuées au Cambodge, tandis que Bangkok estime que 400 000 personnes ont été déplacées à cause de la reprise du conflit du côté thaïlandais.

La Syrie s'est libérée de la dictature du clan d'Assad le 8 décembre 2024. Mais depuis, le pays a du mal à se redresser. Les communautés minoritaires, dont les chrétiens, vivent dans la peur. Alors que le nouveau pouvoir, dirigé par un ancien djihadiste issu des rangs d'Al-Qaida, promet de protéger les minorités, pour la première fois, une église a été attaquée en juin dernier. Dans l'un des plus anciens foyers du christianisme, l'exode des chrétiens s'accélère.

Dans cette ville portuaire ukrainienne, les Ukrainiens tentent de trouver des solutions pour pallier les coupures d'électricité, dues aux frappes russes.
Sous la pression des mouvements paysans, le Conseil européen a été contraint de reporter au 12 janvier prochain la signature du traité commercial entre l’Union européenne et les pays de la zone Mercosur – Brésil, Uruguay, Paraguay, Argentine, auxquels s’ajoute la Bolivie. Cette petite mise en scène cache, une nouvelle fois, le fond d’un texte dont l’unique…

En 2022, la classe politique du Sri Lanka était chassée par une révolte de la génération Z qui, depuis, a fait des émules dans le monde. Un nouveau gouvernement est aux manettes, mais la jeunesse n’a pas investi l’arène politique.

La Russie chassée sur toutes les mers du monde par l'Ukraine

La Conférence internationale sur la paix et la confiance, organisée à Achgabat, portait sur la manière dont la notion de neutralité peut contribuer à résoudre les conflits et les crises.

Les États-Unis ont mené vendredi des frappes « massives » contre plus de 70 cibles de l’EI en Syrie, tuant au moins cinq djihadistes dont un chef de cellule drones, en riposte à l’attaque du 13 décembre ayant coûté la vie à trois Américains.


Quatre mois après l’accord-cadre paraphé à Washington, l’Arménie et l’Azerbaïdjan reprennent peu à peu les échanges commerciaux. Mais le projet de corridor qui relierait les deux parties, de l’Azerbaïdjan en passant par l’Arménie, reste hypothétique tant les conditions pour sa réalisation sont nombreuses.

Benyamin Nétanyahou a donné son aval à une vente de gaz à l’Egypte d’une valeur de 30 milliards d’euros. La signature du plus gros accord d’exportation de l’histoire d’Israël avait été retardée à cause des mauvaises relations entre les deux pays, sur fond de guerre à Gaza.

Pendant toute la semaine de Hanouka, la fête juive des lumières qui s’achève ce dimanche soir, Talik Gvili, a prié pour un miracle. Tout comme la fiole d’huile découverte par les Maccabéens, censée suffire à une journée d’allumage, a illuminé le Temple de Jérusalem pendant… huit jours, la mère du dernier otage israélien détenu à Gaza, continue de s’accrocher à un infime espoir. « Le vrai miracle serait que Ran revienne vivant. Ce n’est peut-être qu’un vœu pieux. Mais en tout cas, on ne peut pas le laisser seul là-bas », confie Talik au Parisien, depuis son domicile de Meitar, dans le sud du pays.« Il est inconcevable de l’abandonner »

Le locataire de la Maison-Blanche, le président Donald Trump, a annoncé, ce vendredi 19 décembre, une opération militaire en Syrie. Cinq membres du groupe terroriste ont déjà été tués

Quand le conflit déborde. Un drone a été retrouvé écrasé vendredi dans le nord-ouest de la Turquie, ont indiqué les autorités turques qui estiment qu’il s’agit d’un drone militaire de fabrication russe.« Un drone considéré comme un Orlan-10 de fabrication russe, utilisé à des fins de reconnaissance et de surveillance, a été retrouvé », écrit le ministère turc dans un communiqué, en annonçant l’ouverture d’une enquête.Selon les autorités turques, le drone a été identifié dans une zone rurale près d’Izmit, à l’est d’Istanbul, à trente km des côtes de la mer Noire faisant face à l’Ukraine et la Crimée annexée par la Russie depuis 2014.« Faire preuve de plus de prudence »Sur des images partagées par les médias turcs, l’engin apparaît en un seul morceau, les ailes légèrement endommagées.Un drone « hors de contrôle » en provenance de la mer Noire avait déjà été abattu lundi dans l’espace aérien turc, selon les autorités qui n’ont toujours pas indiqué l’origine précise de l’engin, ni le lieu exact de son interception.Le ministère turc de la Défense a toutefois affirmé jeudi avoir appelé l’Ukraine et la Russie à « faire preuve de plus de prudence » à la suite de cet incident.

Une vidéo partagée sur les réseaux sociaux et qui serait tournée en Inde choque de nombreux internautes, qui la jugent voyeuriste. Cette séquence montre des touristes occidentaux en train de photographier une femme en apparence pauvre, une scène comparée par certains à des "zoos humains". TF1info a remonté la piste de ces images et les a analysées grâce à une ethnologue, spécialiste de la culture indienne.

Alors que la situation humanitaire reste critique dans l’enclave, les discussions en Floride pourraient ouvrir la voie à une nouvelle étape politique et à la reconstruction du territoire palestinien.


Les manifestations se poursuivent à Dacca, la capitale du Bangladesh, ce vendredi 19 décembre. La veille, des milliers de manifestants sont déjà descendus dans les rues de la capitale après l’annonce du décès de Sharif Osman Hadi, afin de demander l’arrestation de ses assassins. L’homme décédé était une figure de la révolte étudiante contre la première ministre Sheikh Hasina en 2024.

L’accord de commerce entre l’Union européenne et le Mercosur devrait être signé en janvier 2026. Au Conseil européen, l’Italie a pesé de tout son poids pour acter ce report, aussi réclamé par Paris.


Le Hamas espère que les discussions prévues ce vendredi 19 décembre en Floride permettront de stopper les « violations » israéliennes de la trêve dans la bande de Gaza. Plus de 1 000 Gazaouis sont décédés entre juillet 2024 et la fin du mois dernier alors qu’ils attendaient leur évacuation médicale, selon l’OMS.

L’Ukraine annonce ce vendredi avoir reçu de la part de la Russie 1 003 nouveaux corps. Ils sont présentés comme ceux de soldats ukrainiens tués au combat, ce qui porte à plus de 16 000 le nombre de dépouilles remises par Moscou, depuis le début de l’année.« Des rapatriements ont eu lieu. 1 003 corps ont été renvoyés en Ukraine, qui, selon la partie russe, sont ceux de militaires ukrainiens », a annoncé le Centre ukrainien chargé des prisonniers de guerre.Selon le conseiller de la présidence russe, Vladimir Medinski, Moscou a de son côté reçu les dépouilles de 26 soldats russes de la part de Kiev. L’Ukraine a, au total, restitué quelques centaines de corps à la Russie depuis janvier.Dernier domaine de coopération entre les deux paysLes échanges de dépouilles de militaires tués et de prisonniers de guerre constituent les seuls domaines de coopération entre les deux belligérants, près de quatre ans après le début de l’invasion russe de l’Ukraine.En février, le président Volodymyr Zelensky avait affirmé à une chaîne de télévision américaine que son pays avait perdu près de 46 000 soldats depuis 2022, un chiffre que les analystes jugent sous-évalué. Il avait aussi fait état de « dizaines de milliers » de portés disparus et prisonniers.Le service russe de la BBC et le média Mediazona, qui s’appuient sur des données en accès libre, affirment avoir recensé plus de 153 000 soldats russes tués, tout en considérant que leur nombre réel est probablement plus élevé.

Au terme d’un sommet prolongé, les vingt-sept chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont validé un financement de 90 milliards d’euros destiné à soutenir l’Ukraine sur les deux prochaines années. Faute d’un consensus sur l’usage des actifs russes gelés, les institutions européennes privilégient une émission de dette classique pour compenser le retrait financier des États-Unis.


Un drone russe a frappé une voiture, tuant une femme et blessant ses trois enfants dans l’oblast d’Odessa, selon les autorités locales.


Trois cent quarante prisonniers ont été exécutés depuis janvier en Arabie saoudite, un nombre en hausse par rapport aux années précédentes. Le royaume wahhabite se place derrière la Chine et l’Iran. Les étrangers condamnés pour trafics de drogue et les personnes de confession chiite sont particulièrement visés.

Des torrents rouge sang étaient visibles sur les plages de l'île d'Hormuz, dans le golfe Persique, ce 16 décembre 2025.

Une nouvelle attaque américaine contre un bateau de transport de drogue dans le Pacifique oriental fait quatre morts, alors que les tensions avec le Venezuela s'accentuent.


En reprenant la coopération militaire et les investissements avec Islamabad, les Etats-Unis envoient un nouveau signal négatif à l'Inde

L’attentat perpétré le 14 décembre sur la plage de Bondi, à Sydney, suscite d’autant plus d’émoi qu’il constitue un événement isolé dans ce pays modèle en matière de multiculturalisme et d’apaisement social, explique, dans une tribune au « Monde », l’historien Romain Fathi.



Sous prétexte de « siniser » les religions, le régime chinois intensifie sa répression contre l’Église catholique de Chine. Ainsi, les enfants n’ont plus le droit d’entrer dans les églises et les prêtres ont interdiction de les baptiser. Si Mao n’a pas réussi à éradiquer les religions, Xi Jinping compte bien y parvenir.

Correspondante en Inde pour La Croix, Vanessa Dougnac a été empêchée de travailler par le gouvernement de Narendra Modi. Celle qui a arpenté le pays pendant vingt-cinq ans a décidé d’en faire un livre. Récit d’une liberté d’expression bafouée.


Environ 200 personnes étaient rassemblées au Bourget, en Seine-Saint-Denis, mardi en fin de journée pour rendre hommage à Dan Elkayam, tué à 27 ans dimanche, lors de l’attaque contre des Juifs à Sydney.Dan Elkayam avait grandi en Seine-Saint-Denis, près de Paris, et s’était expatrié en Australie. Ingénieur informatique de 27 ans, Dan était passionné de foot et avait beaucoup voyagé ces dernières années.Sa famille endeuillée le présente comme « un fils, un frère, un oncle, un ami, un mari exceptionnel », via un communiqué diffusé lundi soir. Ce texte, transmis par la mairie du Bourget, ajoute que « l’antisémitisme laissera tous ses proches avec un trou dans le cœur ». Des fleurs et des bougies ont été déposées devant l’immeuble où vivent ses proches.Une attaque antisémite et terroristeDimanche soir, un père et son fils ont tiré à au moins 40 reprises, pendant une dizaine de minutes sur une foule rassemblée sur la plage de Bondi, à Sydney en Australie, pour la fête juive de Hanouka, faisant au moins 15 morts et 42 blessés.Les autorités australiennes, qui ont qualifié l’attentat « d’antisémite » et de « terroriste », ont déclaré que l’attaque visait à semer la panique parmi les Juifs du pays, mais n’ont donné jusqu’à présent que peu de détails sur les motivations profondes des assaillants.Le Premier ministre australien a évoqué mardi une radicalisation des deux assaillants par « l’idéologie de l’État islamique (EI) ».

Les autorités iraniennes refusent un examen médical indépendant de la prix Nobel de la paix Narges Mohammadi, qui dit avoir été frappée à coups de matraque par la police lors de son arrestation la semaine dernière, a déclaré sa famille mardi.« Elle a des ecchymoses au cou et au visage », a déclaré à des journalistes à Paris par liaison vidéo l’un de ses frères, Hamid Mohammadi, installé en Norvège. Un autre de ses frères, qui vit en Iran, « a tenté de les convaincre d’accepter qu’un médecin indépendant l’examine. Mais ils ont refusé », a précisé Hamid Mohammadi.Narges Mohammadi, 53 ans, lauréate du prix Nobel en 2023, a été interpellée vendredi dans la ville de Mashad (est), avec d’autres militants, après avoir pris la parole lors d’une cérémonie en hommage à l’avocat Khosrow Alikordi, retrouvé mort début décembre.Deux passages aux urgencesSa famille et son comité de soutien ont dénoncé son arrestation « violente ». Dans un « bref » appel avec sa famille dimanche soir, Narges Mohammadi a raconté avoir reçu « des coups de matraque violents et répétés à la tête et au cou » lors de son arrestation, a indiqué lundi son comité de soutien, estimant que « son état physique au moment de l’appel n’était pas bon », et qu’« elle semblait souffrante ».Elle a raconté avoir été conduite deux fois aux urgences par les autorités pénitentiaires, a également indiqué son comité de soutien.« Nous sommes très inquiets des conditions dans lesquelles elle est détenue, de l’endroit où elle se trouve, et de la manière dont elle est traitée », a ajouté Hamid Mohammadi. Son époux Taghi Rahmani, qui vit à Paris, s’est également dit « très inquiet de ce qui pourrait lui arriver ».Amnesty International a accusé dans un communiqué mardi les forces de sécurité iraniennes d’avoir commis des actes de « torture et autres mauvais traitements » lors de l’arrestation, notamment en « passant violemment à tabac » Narges Mohammadi et une autre militante, Alieh Motalbzadeh.

Huit ans se sont écoulés depuis que les Philippines ont vaincu l’État islamique. Des attentats meurtriers secouent sporadiquement le pays, mais la menace était considérée comme faible. Ce mardi 16 décembre, elle prend tout à coup une dimension internationale : les auteurs présumés du massacre de Bondi Beach, qui a fait 15 morts dimanche 14 décembre à Sydney, en Australie, étaient « motivés par l’idéologie » du groupe État islamique (deux drapeaux de l’EI ont été retrouvés dans leur voiture) et s’étaient rendus aux Philippines le mois dernier, révèlent les autorités australiennes.Les deux assaillants, Sajid Akram, ressortissant indien, et son fils Naveed Akram, citoyen australien, sont arrivés ensemble dans l’archipel le 1er novembre en provenance de Sydney, retrace Dana Sandoval, porte-parole du Bureau philippin de l’immigration. Leur destination finale était la ville de Davao, dans le sud du pays. Ils l’ont quittée le 28 novembre, en prenant un vol pour Sydney via Manille.