
Le Français Jimmy Gressier, champion du monde du 10 000 m, a pris la parole ce dimanche 21 décembre pour dénoncer le fait que la Kényane Ruth Chepngetich conserve son record du monde sur le marathon malgré un contrôle...
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Le Français Jimmy Gressier, champion du monde du 10 000 m, a pris la parole ce dimanche 21 décembre pour dénoncer le fait que la Kényane Ruth Chepngetich conserve son record du monde sur le marathon malgré un contrôle...

Le Français Jimmy Gressier s'est agacé de lire que le président de World Athletics Sebastian Coe s'est dit « frustré » de ne pouvoir retirer son record du monde du marathon à la Kényane Ruth Chepngetich, suspendue pour dopage quelques mois après son chrono. Pour lui, tous les records des athlètes dopés devraient être effacés.

Le 17e Meeting des Hortillons s’est clôturé ce dimanche avec quatre nouvelles médailles récoltées par les nageurs de l’Amiens Métropole Natation. L’ensemble des œuvres présentes […]

Sur un post publié sur ses réseaux sociaux, le quadruple champion olympique Léon Marchand a annoncé avoir obtenu son diplôme en ingénierie logicielle à l'université d'Arizona.

Dimanche 21 décembre 2025Annoncés comme les grands favoris, les deux athlètes du Stade Brestois Athlétisme, Laëtitia Bleunven et Benoît Campion, ont tenu leur rang en remportant le 10 km de la Corrida de Noël à Plouarzel, ce dimanche 21 décembre.

La fête fut belle. Ce dimanche 21 décembre, après deux jours de compétition, la patinoire René-Froger de Briançon a vécu le point final des championnats de France de patinage artistique 2025. Le stress, les larmes, les chutes ou les...

Le plein de coureurs et de spectateurs. La 20e édition de la Corrida de Noël, dimanche 21 décembre, à Bologne, a été une vraie belle réussite, avec la victoire de Tom Thierry chez les garçons et de Louise Bailly, chez les filles, sur le 6,8 kilomètres. Voilà un anniversaire fêté en grandes pompes ! Il […]

Léon Marchand a annoncé ce dimanche 21 décembre avoir obtenu son diplôme en ingénierie de la programmation.

Yoann Lecauchois a remporté ce 20 décembre la finale de l’Ultra Ligue à Tahiti. L’ultra-traileur de Saint-Joseph revient pour La Presse de la Manche sur cet exploit.

Le championnat Régional de tir à l’arbalète Field à 18 m s’est tenu au Gymnase Mozart, à Charleville-Mézières, les 13 et 14 décembre. Chez les vétérans dames, Lydia Cecchini et Clotilde Juhé, de la SMT Chaumont étaient présentes, en compagnie de Patrick Delafaite, de la SCT Langres, chez les vétérans seniors. Après deux volées d’essai, le […]
Championne olympique de gymnastique, dans la catégorie des barres asymétriques, aux Jeux Olympiques de Paris 2024, Kaylia Nemour a tenu une séance d’entraînement publique, dimanche 20 décembre, au gymnase des Marmuzots, à Dijon, au sein de laquelle la pensionnaire du club Alliance Dijon Gym 21 a ensuite rencontré ses fans lors d’une séance de dédicaces pour la sortie de son livre L’ombre de l’or.
Pionnière des courses festives qui se multiplient et rencontrent un grand succès, la course de Noël des Moulins de Steenvoorde a battu son record de participants avec 4 000 coureurs. C’est déguisé et houblonné, complètement déjanté.

Rendez-vous lundi 22 décembre pour une course… Lire la suite L’article Course d’orientation Learn-O est apparu en premier sur Le Petit Journal.

L’ASJ Running organisait, dimanche 21 décembre 2025, une course de 10 km dans les rues de Blois. Une condition pour participer : être déguisé en Père, ou Mère Noël.

En grande difficultÊ la saison passÊe au Grand-Bornand, Lou Jeanmonnot a parfaitement gÊrÊ l'Êtape française de la Coupe du monde cette annÊe.

Le 17e Meeting International des Hortillons s’est clôturé ce dimanche avec quatre nouvelles médailles récoltées par les nageurs de l’AMN. Pour le dernier jour de […]

Dans un match capital pour le maintien, ce dimanche 21 décembre 2025, Montaigu (11e) accueillait Saint-Jean-de-Braye (10e), un concurrent direct au classement. Ces derniers l’ont emporté, réalisant la bonne opération du jour.

Henri Bourgois, dirigeant et entraîneur de l'UPA66, le club d'athlétisme de Perpignan, s'est éteint ce dimanche matin. A 86 ans.

En signant un troisième podium en autant de courses disputées sur le week-end, la Franc-Comtoise a réalisé le plein de points dans la course au gros globe de cristal.
Les lutteurs sottevillais ont décroché leur troisième titre de champion de France consécutif. Une véritable hégémonie. Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:19 Lecture zen La tension était à son comble, la pression sur ses épaules maximale. En entrant sur le tapis, pour le dernier combat de la soirée, Rakhim Magamadov n’avait pas vraiment d’autre option de la victoire. La victoire d’Islam Abbasov quelques instants plus tôt avait mis Sotteville dans de bonnes dispositions (6-5) mais la marge était trop étroite. Une défaite de l’ancien champion du monde U20 et le titre filait à Sarreguemines, pour un point avérage plus favorable. Heureusement, le Sottevillais tenu son rang et décroché sa deuxième victoire de la soirée (7-5), après avoir permis à sa formation de prendre les commandes de la partie en première mi-temps (3-2). « Mon équipe avait besoin de moi pour la finale et j’ai répondu présent », sourit le jeune homme de 22 ans, qui, blessé n’avait participé ni aux matches de poule, ni à la demi-finale.Les quelque 500 spectateurs de la salle Jean-Adret ont néanmoins beaucoup tremblé lorsque le Normand a fait appel au médecin en cours de combat en se tenant le bras, grimaçant de douleur. « Je me suis refait mal à mon ancienne blessure et un peu au coude aussi. Heureusement, j’ai vu qu’il ne restait qu’une minute, alors j’ai serré les dents et ça a fini par le faire, je suis vraiment content. »« J’étais fatigué, j’avais mal aux jambes… »Rakhim Magamadov pourra donc regagner l’INSEP avec le sentiment du devoir accompli. Islam Abbasov, le renfort étranger de l’équipe, peut également être fier de lui. En effet, l’Azéri est l’autre homme clé du succès normand puisque lui aussi a remporté ses deux combats samedi soir. Alors que les hostilités avaient mal commencé pour les protégés du président Delamare avec la défaite express de Gigi Davidovi lors du premier combat de la soirée, c’est lui qui a lancé véritablement le Stade en remportant le deuxième combat, faisant monter la température dans les gradins. Cela ne s’est pas fait sans mal, mais l’ancien de Schiltigheim a su aller au bout de lui-même. « J’étais fatigué, j’avais mal aux jambes mais je me suis tellement bien intégré dans l’équipe, cela m’a motivé à tenir. En plus, l’ambiance était exceptionnelle, je ne pouvais pas lâcher. » À lire aussi Lutte – Division 1 : à Sotteville, les finales se fêtent en famille ! Ainsi, le Stade Sottevillais a tenu son rang. Devant son public, pour les premières finales de l’histoire de la D1, il a donc décroché son troisième titre de champion de France par équipes consécutif, le cinquième total, au terme d’une soirée qui a tenu toutes ses promesses. « Sarreguemines, c’est un peu notre ennemi juré, mais dans le bon sens du terme, révèle l’entraîneur normand Maxime François. C’est toujours des belles bagarres quand ils viennent ici et à chaque fois, les spectateurs se régalent. En plus, cette fois, le finish va dans notre sens… » Et même si les frères Nakaev se sont tous les deux inclinés, au même titre que Loïc Samen, la formation sottevillaise a montré qu’elle pouvait exister à ce niveau-là. Elle continue d’apprendre. « Avant, on nous disait souvent qu’on avait que des renforts, mais on voit qu’il y a de plus en plus de lutteurs sottevillais dans l’équipe, apprécie le coach seinomarin. Malheureusement, ce soir, il y a eu des défaites, mais cela ne change rien pour la suite. » D’ici là, les Normands vont pouvoir savourer. Par Arthur LANUSSE Lutte – D1 : Rakhim Magamadov offre un nouveau titre à Sotteville-lès-Rouen Vainqueur de ses deux combats, dont le dernier de la soirée, décisif pour le titre, Rakhim Magamadov a fait pencher la balance du côté normand lors des finales du championnat de France par équipes de lutte, samedi 20 décembre 2025.

CÉRÉMONIE. La Ville de Saint-Dizier organisait, vendredi 19 décembre, les Trophées des Sports. La grande soirée dédiée au tissu associatif bragard s’est transformée en un show de près de 3 h. Au dernier soir d’octobre, les chaussures encore pleines de gadoue, nous papotions avec Mokhtar Kahlal. La Randoween achevée, quelle est la prochaine grosse échéance […]

Vous étiez 4000 dans les rues de Pau samedi soir, entre la place de Verdun et le parc des expositions, voici la sélection des clichés de notre photographe Alban Laffitte.

Quatrième édition organisée par l’association Brével’Trail et quatrième victoire pour Fabien Jaffré, le coureur de Treffléan, ce dimanche 21 décembre, au trail de Saint-Jean de Brevelay (Morbihan).

Emmanuel Grâce Mouambako, un sprinteur malvoyant qui a participé aux Jeux paralympiques de Paris 2024, a quitté la capitale pour Orléans dans des conditions rocambolesques. Un départ avant même la fin de la...

La 52e Corrida de Houilles a été remportée ce dimanche par Yann Schrub. Il succède à Jimmy Gressier, champion du monde du 10 000 m à Tokyo en septembre dernier.

Ce dimanche 14 décembre, le club de… Lire la suite L’article La Coupe de Noël : une belle fête de l’aviron sur le lac du Bocage est apparu en premier sur Le Petit Journal.
Le titre de Victoire Piteau, une 18e édition pour l’Ekiden et un son et lumière consacré à George Sand : retour sur trois actualités positives qui ont marqué la semaine du 15 au 21 décembre, dans l’Indre.

Les 10 kilomètres de la Durance, dont c’était la 5e édition, sont devenus un incontournable du calendrier, et le label de la FFA n’est pas loin. 850 participants… et on a refusé du monde.

Le meeting en salle de Colmar a donné lieu samedi à un florilège de performances appréciables. L’une d’entre elles a marqué les esprits, même si pour l’intéressé, le sprinter du cru Augustin Deloge, 6”88 au bout de la ligne droite des 60 m, il s’agit d’une confirmation.


Avec la Corrida de Houilles, 52e du nom, l’année civile du running s’achève en fanfare. Avec une jauge maximale de 3 000 participants sur les trois courses, l’épreuve des Yvelines a encore couronné un champion de choix. Après Jimmy Gressier, lauréat en 2024 et futur champion du monde des 10 000 m à Tokyo en septembre, c’est Yann Schrub qui s’est imposé sur la course des As, qui a réuni un plateau de 500 coureurs. Le médecin s’est imposé en 27′19″ devant Jacob Krop (27′46″) et Ilias Fifa (27′52″).Chez les femmes, la victoire est revenue à Klara Lukan (31’14″) devant Mekdes Woldu (31’36″) et Rebecca Chepkwemoi (32’00″).Sur les deux autres courses et notamment les 10 km populaire, certains coureurs étaient venus déguisés, comme c’est la tradition sur les corridas. Chez les hommes, la course a été remportée par Arnaud De Lustrac (31′15″) devant le local de l’étape Cédric Sagot (31′36″) et Florian Maguerre (32′14″). Dans la course féminine, victoire de Chloé Touzeau (35′37″) devant Elisa Picou (36′51″) et Solenn Derrien (37′02″).Retrouvez tous les résultats sur le site des organisateurs : https://www.corrida-houilles.fr/
Célia Tabet s'alignait ce dimanche après-midi sur la Corrida de Houilles, en Ile-de-France. Et elle en a profité pour porter son record personnel à 32'01 sur 10 km, établissant un nouveau record de ligue Centre-Val de Loire.

Parti tout seul comme un grand devant tout le monde, Yann Schrub s’est imposé, ce dimanche, sur la prestigieuse Corrida de Houilles où il en a profité pour battre son record personnel sur 10 km (27’20). A 20 jours des Mondiaux de cross en Floride, le message est passé.

Victoire royale des Bleus sur le relais à Val Martello (Italie). Le relais féminin tricolore prend une inespérée 3ème place.

Deux records sont tombés ce dimanche lors de la 22e édition de la Ronde hivernale de Thaon-les-Vosges. Celui de la participation avec quelque 2500 athlètes sur la ligne de départ. Et, surtout, le record jusque-là détenu par Benjamin Choquert (29'21'') a été balayé par le Dijonnais Enzo Courchenet, lauréat ce dimanche, en 29'01''. Ce dernier devance le Spinalien Benjamin Polin (29'05'') et le Strasbourgeois Mohammed Kodad.Du côté des féminines, l'épreuve a été remportée par l'Alsacienne Latifa Mokhtari (33'34''), qui s'impose donc d'un cheveu et d'une seconde devant Lola Darcy (Dijon, 33'35), Anouk Rigaud (34'25'' complétant un podium que manque la Thaonnaise Laura Bontemps, 4e. Revivez cette course à travers les images de notre photographe.

Les Courses de la Paix ont connu un développement exceptionnel cette année, avec un pic d’inscriptions de 4000 unités. Sylvain Laferrere et Alice Mugnier ont remporté la course individuelle

Le polonais et vice-champion du monde de saut à la perche, toujours en activité, décide de mener une double carrière avec le MMA.

Après une course à suspense, Justine Braisaz-Bouchet a dÊcrochÊ son premier podium de l'hiver en terminant 3e de la mass-start du Grand-Bornand. Un soulagement pour la Tricolore, dont le dÊbut de saison a ÊtÊ difficile.

COUPE DU MONDE DE PARA SKI ALPIN 2025/2026 - Troisième victoire en trois jours pour Arthur Bauchet, vainqueur du slalom de Saint-Moritz ce dimanche.
Et de 3 pour Nicolas Macaret, le roi de Vervins. Podium féminin du 12, 5 km. Podium masculin du 12,5 km. Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:02 Lecture zen Dans une nuée de lampes frontales transformant les coureurs en lucioles, 820 participants ont pris le départ à 19 h 30 précises, place Sohier, sous l’arche gonflable, dans une ambiance aussi festive que contagieuse. La capacité maximale a été atteinte côté peloton, avec 500 traileurs engagés sur les deux parcours proposés : 12,5 km et 8,6 km.Cette édition 2025, record en termes de participation, a tenu toutes ses promesses. Sur des terrains rendus délicats par une météo humide — mais sans pluie — les coureurs ont dû redoubler de vigilance sur des portions boueuses et glissantes. Rues pavées, sentiers, passages forestiers sublimés par des éclairages, lieux insolites de la ville : le tracé urbain et nature a mis les jambes à rude épreuve. À lire aussi Basket-ball (Betclic Élite) : une défaite qui fait mal et confirme les inquiétudes autour du SQBB Et au bout de l’effort, le même roi. Natif d’Hirson, âgé de 44 ans, Nicolas Macaret s’est une nouvelle fois imposé sur l’épreuve reine, au terme d’une course disputée jusqu’aux derniers kilomètres. Sourire aux lèvres après l’arrivée, il savourait : « Je suis toujours ravi de courir ici à Vervins. Il y a une super ambiance et une organisation au top. Cette année, ça a bataillé très fort jusqu’au bout, personne n’a lâché. »---------------------------Classements 12km (12500m)1. 4172 MACARET Nicolas (1) M 00:48:47 [00:48:46] 15.3 3:54 2. 4418 MERESSE Fabien (2) M XTER MORMAL NATURA 00:49:28 [00:49:26] 3. 4260 CRÉPIN Félicien (3) M Neutre 00:50:25 [00:50:24] 4. 4304 FASQUEL Damien (4) M Fourmies triathlon 00:50:44 [00:50:43] 5. 4311 FLEURY Thibault (5) M ATHLETIC CLUB BUCY LES 00:51:19 [00:51:18] et les 3 premières féminines 48. 4290 DIVRY Mégane (1) F CSCV HIRSON 01:03:44 [01:03:41] 49. 4259 COUTANT Hélène (2) F [EAC]-S/L UNION CAUDRY 01:03:44 [01:03:41] 61. 4329 GERAY Chloé (3) F 01:06:11 [01:06:07] Par Gilles Baclet (CLP) Athlétisme (Hors stade) : Nicolas Macaret signe un triplé dans la magie des frontales à Vervins Il est décidément imbattable. Licencié au club Rethel Courir, Nicolas Macaret a remporté, samedi soir, la 8ᵉ édition du Trail nocturne des remparts, signant ainsi un triplé historique après ses succès en 2022 et 2023.

Au pied du podium derrière deux coéquipières après être sortie en tête du dernier tour avec un 20/20, la Haut-Savoyarde Camille Bened n'avait pourtant aucun regret sur la mass start du Grand-Bornand ce dimanche.

Découvrez tous les résultats et le classement des Foulées de Noël à La Talaudière 2025, qui se sont déroulées ce dimanche 14 décembre 2025.

Pas de victoire française ce dimanche sur l'épreuve de mass-start qui a clôturé l'étape de Coupe du monde d'Annecy-Le-Grand-Bornand. Mais un joli tir groupé tout de même avec Lou Jeanmonnot (2e), Justine Braisaz-Bouchet (3e) et Camille Bened (4e).

Maéline, 12 ans, est une jeune farenque qui pratique le Yoseikan Budo au dojo de sa commune depuis quatre ans. La Coupe de France, organisée au gymnase Maurice Piot de Vitrolles les 13 et 14 décembre, a été l’occasion pour elle de briller....

Ce n’est probablement pas sur cette course que les chronos vont tomber. Avec ses 153 mètres de dénivelé positif, le 10 km Montmartre AG2R La Mondiale promet aux coureurs un sacré défi sportif dès le début de saison. Samedi 20 décembre, les organisateurs ont dévoilé sur Instagram le parcours complet de cette épreuve inédite, programmée le 18 janvier 2026 dans le XVIIIe arrondissement de Paris.Le tracé, pensé pour mettre en valeur les passages emblématiques du quartier, débutera boulevard Ornano avant de serpenter à travers les rues mythiques de Montmartre. Les coureurs rejoindront notamment le boulevard Barbès, où un ravitaillement en denrées solides et électrolytes sera proposé au kilomètre 5, soit à mi-parcours. View this post on Instagram La course passera ensuite par la basilique du Sacré-Cœur, véritable point d’orgue du parcours où une fan zone sera installée pour encourager les participants. Les coureurs emprunteront également la mythique rue Lepic, théâtre de l’épreuve cycliste olympique lors des Jeux de Paris 2024 et du dernier Tour de France en 2025. La boucle se terminera par la longue rue Gaulaincourt avant une dernière ligne droite rue Ordener, pour une arrivée devant la mairie du XVIIIe.Une course solidaireLes départs seront donnés par vagues entre 8h15 et 10h15, permettant aux différents profils de coureurs de s’élancer dans des conditions optimales. « Entre sections dynamiques, passages plus intimistes et moments d’effort marqués par le dénivelé, chaque portion a été conçue pour offrir une expérience sportive et urbaine hors du commun », précisent les organisateurs sur leur site Internet.Cette première édition se veut accessible à tous, des coureurs aguerris aux débutants prêts à relever le challenge. Programmée en janvier, période où le calendrier des courses est traditionnellement plus léger, elle ambitionne de devenir l’un des premiers grands rendez-vous running de l’année dans la capitale.Au-delà de la dimension sportive, l’événement s’engage également sur le plan solidaire. Le 10 km Montmartre AG2R La Mondiale s’associe à l’association Étendart dans le cadre du programme pédagogique « Étendart Running Club », qui accompagne 21 jeunes issus des quartiers prioritaires de Paris dans leur découverte du running et qui participeront à la course.Après avoir accueilli les épreuves cyclistes des Jeux olympiques de Paris 2024 puis le Tour de France en 2025, Montmartre s’apprête donc à vibrer au rythme d’une nouvelle discipline sportive. Les inscriptions sont ouvertes sur le site timeto.com.

Dans une ambiance dingue, et au terme d'une course palpitante, Lou Jeanmonnot et Justine Braisaz-Bouchet ont terminÊ sur le podium de la mass-start du Grand-Bornand, devant Camille Bened. Mais la NorvÊgienne Maren Kirkeeide, victorieuse, est venue (un peu) gâcher la fête.

La Norvégienne Maren Kirkeeide a remporté la mass start du Grand-Bornand devant les Françaises Lou Jeanmonnot et Justine Braisaz-Bouchet.

Ancien vice-champion du monde de perche, Piotr Lisek, pratique également le MMA. Ce samedi soir, il a subi un terrible KO lors du KSW en Pologne. A défaut de s’envoler, il a été couché. Le perchiste polonais Piotr Lisek, toujours en activité, a disputé samedi soir son deuxième combat de MMA qu’il pratique également. Lors de cet événement organisé par le KSW, la ligue polonaise dans laquelle évolue le Français Salahdine Parnasse, l’athlète a été battu dès le premier round. Celui qui a terminé 13e aux derniers Mondiaux d’athlétisme, a été largement battu par son compatriote Adam Josef en subissant un KO dévastateur. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par CANAL+ SPORT (@canalplussportpolska) Le combattant de 33 ans a d’abord reçu un crochet du gauche, puis un uppercut, un nouveau crochet, encore un uppercut et enfin un coup de genou pour finir au sol. «Court mais intense ...

Le trail de Mozac, samedi 20 décembre, a tourné au drame. Un participant de 49 ans s’est effondré après un malaise cardiaque. Héliporté au CHU de Clermont-Ferrand, il n’a pas survécu malgré les secours déployés sur...


Selon des informations de La Montagne, un coureur est mort après avoir été victime d’un malaise cardiaque pendant le trail de Noël de Mozac (Puy-de-Dôme), samedi 20 décembre. Il avait 49 ans.

Figure marquante de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques de Paris 2024, cett para-athlète, de nationalité congolaise, n’a plus donné signe de vie après les JO.

L'ultra-traileur de Saint-Joseph (Manche) Yoann Lecauchois s’est imposé ce samedi 20 décembre 2025 lors de la finale de la Ligue Ultra, à Tahiti. Une performance exceptionnelle.

Le collège Simone-Veil a reçu la visite de Grégoire Berthon, triathlète paralympique. En 2024, il avait terminé 5e lors des Jeux Paralympiques de Paris. Il est venu sensibiliser sur le handicap. Source : À Ornex, un athlète paralympique sensibilise les collégiens au handicap

Le trail de Noël à Mozac a tourné au drame. Un coureur de 49 ans a succombé à un arrêt cardiaque malgré des tentatives de réanimation. Les secours ont mis deux heures pour atteindre le lieu difficile d’accès.

Nouvelle leader du général après sa victoire lors de la poursuite samedi, la Jurassienne est en train de faire basculer sa saison à domicile, en attendant la mass-start ce dimanche, à suivre à 12 h 15 en direct sur la chaîne L'Équipe.

Romane Miradoli, 31 ans, s'élancera ce dimanche matin (11 heures) à Val-d'Isère en super-G, une discipline qui lui a valu un podium la semaine dernière en Coupe du monde. Elle se confie sur la gestion de ses peurs et des douleurs.

À moins de deux mois des JO de Milan-Cortina (6-22 février), le nouveau duo de la danse sur glace Laurence Fournier Beaudry-Guillaume Cizeron a remporté ce samedi le titre national à Briançon en améliorant son record sur la danse libre.

Ce samedi, le bassin de la Villette a accueilli un événement aussi givré qu’insolite : la Coupe de Noël. Entre esprit sportif, déguisements et clins d’œil historiques, nageurs confirmés et amateurs courageux se sont baignés dans la Seine de Paris, dans une eau à 7 degrés, dans le but de relancer une tradition parisienne oubliée.« Hop, ça pique ! » En sortant de l’eau, le sourire aux lèvres, Benoît résume le sentiment général qui flottait ce samedi sur le quai de Loire. Comme lui, ils sont 200 à s’être jetés dans le bassin de la Villette pour cette nouvelle édition de la Coupe de Noël.Entre défis sportifs et fête déjantéePourquoi s’infliger une telle épreuve en plein hiver ? Pour Rémy, nageur passionné, c’est avant tout un hommage historique. « C’est un retour dans le passé. Ça a été organisé la dernière fois dans les années 1930-1940 et on aimerait que ce soit le début d’une aventure. »Mais pour d’autres la motivation est plus spontanée, voire à 100 % improvisés. C’est le cas de Rémi, un riverain qui a découvert l’événement le matin même : « Je me suis dit c’est rigolo c’est juste à côté de chez moi ! »L’esprit festif et le côté fou de nager dans l’eau froide l’ont attiré pour « tester » l’expérience. Une première pour cet homme d’origine normande qui auparavant n’avait « jamais eu le courage de le faire ».Sur le bord du bassin, les spectateurs observent le spectacle avec amusement. « Ça ne se prend pas au sérieux, confirme Isabelle, venue faire les photos. Ce sont des gens qui sont là pour s’amuser. Il n’y a aucun enjeu. » Elle apprécie particulièrement ce côté bonne franquette sans aucun sentiment de stress.Une adaptation à l’eau froideCertains, comme Rémy Verron, conseillent de commencer la trempette au printemps pour s’habituer progressivement à la chute des températures. Carmine, membre de l’association des Ours Polaires et reconnaissable à ses lunettes de soleil, assure qu’on « méconnaît la puissance du corps humain ». Selon lui, après 30 secondes d’hyperventilation inévitables, l’adaptation se fait naturellement ».Benoît, lui a opté pour la prudence. N’étant pas habitué au froid extrême, il est parti « tranquillement en brasse » pendant « trois bonnes minutes » dans le bassin. Une performance à saluer quand on sait que l’eau s’approche des 6 degrés. « J’ai déjà fait un peu de stages dans le froid, j’ai assez souvent nagé en Normandie », précise-t-il, estimant être « un peu préparé ».Si le froid est le défi principal, l’eau du bassin de couleur verdâtre en a peut-être fait fuir plus d’un. Rémy Arrivel ne cache pas sa réticence au départ : « Pour l’instant, ça ne donne pas envie mais ce n’est que 100 mètres, ce n’est pas grave ».Un frein rédhibitoire pour Isabelle, la spectatrice. Bien qu’elle se baigne en mer toute l’année, elle est catégorique concernant le bassin parisien : « C’est à cause de la qualité de l’eau même si je sais qu’elle est surveillée. Moi je ne le ferai pas à cause de ça. »Des nageurs frissonnants mais ravisSur place, l’organisation est rigoureuse. Véronique, bénévole dès dix heures du matin pour l’installation, gère la distribution des dossards et des bracelets de départ. Originaire du Nord, le froid ne lui est pas inconnu. « L’ambiance est bonne, agréable, tout le monde est souriant », témoigne-t-elle, soulignant que le public vient surtout pour l’insolite et l’ambiance.Au final, le pari est réussi, les nageurs ressortent frissonnants mais ravis. Carmine rappelle que pour son association, c’était un « objectif » de l’année. Benoît, lui, conseille l’expérience à tout le monde.Cette réédition de la Coupe de Noël, disparue dans les années 1940, semble avoir trouvé son public. « Il faut que sa continue », espère Rémy Verron qui souhaite voir ici « le début d’une aventure ».


Vainqueure ce samedi de la poursuite du Grand-Bornand et nouvelle leader de la Coupe du monde, Lou Jeanmonnot racontait après la course sa satisfaction de s'être imposée devant son public.


Lou Jeanmonnot a dominé ce samedi la poursuite de l'étape du Grand-Bornand et a pris les commandes de la Coupe du monde. C'est sa deuxième victoire de la saison. Julia Simon a fini au pied du podium.

Le Haut-Savoyard de 36 ans a gravi en décembre une des voies les plus difficiles du massif du Mont-Blanc. Il se dirige désormais vers les Ecrins et compte achever sa « grande itinérance » à la mi-janvier dans les Pyrénées.

L'équipe de Chine a signé un doublé à domicile en Coupe du monde de saut acrobatique lors de l'étape de Secret Garden. Kong Fanyu a gagné chez les femmes et Li Tianma chez les hommes.

Dans un documentaire en ligne sur L'Équipe, Jimmy Gressier revient sur les secrets de sa préparation qui lui ont permis de devenir champion du monde du 10 000 m aux Mondiaux de Tokyo en septembre dernier. Il raconte notamment comment il a travaillé son point faible habituel : le dernier 400 m.

Dans le documentaire L'Équipe explore « Jimmy Gressier, les coulisses de l'exploit », le Français raconte en riant comment une pizza offerte à Yomif Kejelcha quelques semaines plus tôt l'aurait aidé à battre ce dernier dans la dernière ligne droite pour devenir champion du monde du 10 000 m à Tokyo.

Dans le mini-documentaire de L'Équipe explore « Le 400 fou de Jimmy Gressier », en ligne sur notre site, le champion du monde du 10 000 m revient sur les coulisses de son exploit et décrypte comment il a réussi une des plus grosses performances de l'athlétisme français.

La 52e édition de la corrida de Houilles se déroule ce dimanche 21 décembre. Outre l’aspect festif, l’épreuve yvelinoise propose un 10 km appelés course des as, parrainée par Étienne Daguinos (recordman de France des 10 km, participant aux JO, et membre de l’équipe de France) qui sera présent mais qui ne courra pas.Cela n’empêchera pas d’avoir un joli plateau avec des têtes d’affiche comme Yann Schrub (multiple champion de France et médaillé européen), Simon Bédard (espoir tricolore du fond), Abrha Gebru (coureur éthiopien au palmarès international) et chez les femmes Mélody Julien, Manon Trapp (championne de France des 10 km), Clarysse Picard (vice-championne de France de cross) et Fadouwa Ledhem.Tous tenteront de succéder à un certain Jimmy Gressier, vainqueur il y a un an à Houilles. Une épreuve qui a porté chance au futur champion du monde du 10 000 m.La course des as terminera la journée avec un départ à 15h45. Auparavant, d’autres épreuves auront animé l’après-midi avec la course enfants (13 heures), qui réunira 200 jeunes nés entre 2015 et 2019, puis le 10 km populaire à 14 heures avec 2 500 participants.Le départ est donné de la place du 14-Juillet en plein centre de Houilles. « Les coureurs auront trois tours d’une boucle de 3,3 km à effectuer, décrypte Sébastien Sapei, le responsable de SO Houilles, l’organisateur de la corrida. Il y a une seule difficulté avec une montée, rue Camille Pelletan. »Organisateurs depuis deux ans de la Corrida de Houilles, Sébastien Sapei et son équipe travaillent pour augmenter le plateau lors des prochaines éditions. « La jauge actuelle est de 3 000 coureurs en raison des rues étroites du parcours. On aimerait augmenter la jauge de 500 coureurs mais il faudra modifier le parcours avec des rues plus larges. » Bref, la toute première corrida d’Île-de-France créée en 1972 a encore de beaux jours devant elle.

Éric Perrot et Tommaso Giacomel, de la même génération et assez proches, offrent un duel intéressant à décrypter et déjà à l'oeuvre vendredi lors du sprint prévu à Annecy-Le Grand-Bornand, à suivre en direct sur la chaîne L'Équipe à partir de 14h15.

Au lendemain de son succès sur Anders Antonsen aux Finals, Christo Popov a décroché une deuxième victoire en simple en battant Kunlavut Vitidsarn (21-11, 18-21, 21-10). Le Français est en bonne position pour voir les demi-finales, avant la dernière journée des groupes. En mixte, Delphine Delrue et Thom Gicquel ont signé un succès qui relance tout.

Ce mercredi, la 12e chambre du Tribunal correctionnel de Paris jugeait la plainte pour « discrimination et harcèlement moral » de l'athlète transgenre Halba Diouf contre la FFA, qui l'interdit de courir à haut niveau. L'occasion de rouvrir le débat de la transidentité dans le sport au sein de la justice française.

Angers, tenant du titre en Coupe de France, est tombé en quarts de finale, mercredi soir à domicile. Malgré un bon match de leur nouveau gardien Jacob Smith, les Ducs se sont inclinés sur le plus petit des scores face aux Dragons de Rouen (0-1).

Les Enhanced Games, compétition en 2026 où le dopage sera autorisé, ont annoncé mercredi la participation de la première athlète sur 100 m : Shania Collins, championne des États-Unis du 60 m en 2019.

Interdite de compétitions depuis 2023, la spécialiste du 60 et 200 mètres est en conflit avec la fédération française d’athlétisme afin de pouvoir exercer son métier et sa passion.


Nouveau directeur de la haute performance de la Fédération française d'athlétisme, Jean Galfione est revenu pour « L'Équipe » sur les raisons qui l'ont poussé à s'engager.

Sophie Lavaud s'est attaquée aux plus hauts sommets des Alpes et de l'Himalaya. Elle a été la première Française à avoir gravi les 14 sommets de plus de 8.000 mètres. Dans le podcast Expertes à la Une, présenté par Christelle Chiroux, elle raconte ses expéditions et sa quête de l'altitude.

Halba Diouf, une athlète transgenre, a attaqué en justice la Fédération française d’athlétisme qui lui interdit de participer à des compétitions au-dessus du niveau départemental. La sportive s’estime victime de discrimination. Le tribunal de Paris doit juger cette affaire mercredi 17 décembre.

Le projet, estimé à plus de 200 millions d'euros, des patinoires olympiques de Nice, en vue des Jeux Olympiques d'hiver 2030, ne fait pas que des heureux. Verra-t-il le jour ?

Un véritable exploit. Alice Morrison, une écrivaine écossaise de 62 ans, est devenue la première personne au monde à parcourir à pied toute la longueur de l’Arabie saoudite, soit un périple long de 2 195 km achevé ce lundi 15 décembre.Pour y parvenir, la sexagénaire qui est également présentatrice de télévision à la BBC a effectué son parcours en deux fois, sur deux saisons hivernales, avec une pause pendant les mois de fortes chaleurs et le mois de ramadan.La première partie de son expédition a débuté le 1er janvier 2025, depuis la frontière jordanienne, et s’est achevée durant le mois de février à Médine. La seconde étape a commencé de cette même ville pour s’achever à la frontière du Yémen. Elle a parcouru en moyenne 21 km par jour, accompagnée de ses deux chameaux, Juicy et Lulu, ainsi que d’une petite équipe de spécialistes.« Marcher du nord au sud a été un défi personnel. Cet objectif m’a obligée à persévérer malgré l’épuisement, la douleur ou le découragement » , raconte-t-elle à Edinburgh Live. « Cette expédition a dépassé toutes mes attentes. Elle m’a mise à l’épreuve mentalement et physiquement, et mes idées préconçues sur l’Arabie saoudite ont été brisées », ajoute-t-elle.« Une révolution culturelle discrète »Les conditions ont été difficiles pour Alice, qui a dû faire avec des températures atteignant régulièrement les 39 °C, l’obligeant à partir tôt le matin. La présentatrice qui a également dû faire avec des « ampoules horribles » pendant la première étape affirme que l’hospitalité des habitants, « les plus accueillants au monde », l’a aidé à garder le cap pendant son périple.« L’une des révélations a été les femmes que j’ai rencontrées qui sont en train d’instiguer une révolution culturelle discrète », a-t-elle tenu à souligner.Exploratrice chevronnée, Alice Morrison a déjà été la première femme à parcourir à pied toute la longueur du fleuve Drâa, long de 1 100 km. Elle a également parcouru l’Afrique à vélo, du Caire au Cap, fait le tour de l’Everest en courant ou encore marché sur toute la longueur de la Jordanie.Auteure de quatre récits de voyage, elle compte écrire un autre livre sur cette expédition et réalisera un film.

En juin, les Français découvraient la facture des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) de Paris 2024. Calculette à la main, la Cour des comptes avait estimé le coût global à 6,6 milliards d’euros de dépenses publiques.Six mois plus tard, le Haut-commissariat à la stratégie et au plan dévoile son chiffre, en forte baisse : 2,8 milliards d’euros.

Pour Julia Simon, ce vendredi marquait le début d’une nouvelle ère. Suspendue par la Fédération française de ski après sa condamnation pour vol et escroquerie envers sa coéquipière Justine Braisaz-Bouchet, la biathlète française revenait à la compétition lors du sprint d’Hochfilzen (Autriche). Une reprise en douceur dans une course remportée par sa coéquipière Lou Jeanmonnot.Cette dernière a fait part de sa joie au micro de La Chaîne L’Équipe. Mais la native de Pontarlier a également évoqué les menaces reçues par son amie Braisaz-Bouchet, « une personne en or qui mérite tout l’amour du monde » et qui « a été brisée par tout ça ».« Depuis trois ans, on y est habitué, c’est journalier, a déploré Lou Jeanmonnot. Je suis profondément déçue pour Justine parce qu’elle paie beaucoup trop cher quelque chose dont elle a été victime à un moment donné. La semaine dernière, elle a reçu des menaces de mort à l’encontre de sa fille. Ça me dégoûte. Ce n’est pas normal que ça ait pris cette ampleur. Avoir été témoin de tout ça, ça a été dur. On se sent impuissant face à la cruauté humaine. »« J’aurais aimé que ce soit comme quand j’étais cadette »Cette affaire impacte inévitablement la vie de groupe et l’ambiance au sein de l’équipe de France. « Ce n’est pas comme ça que j’aurais voulu vivre ma carrière d’athlète, a regretté la lauréate du sprint. J’aurais aimé que ce soit comme quand j’étais cadette, que j’aille avec les copines à l’entraînement et que je sois contente d’y aller, regrette-t-elle. Malheureusement, ce n’est pas le cas. On a appris à faire avec. »Les succès et les joies ont toutefois moins de saveur. Lors de la première manche de la Coupe du monde à Östersund (Suède), le relais féminin français avait remporté la course sans Julia Simon, laissant libre cours à sa joie. Les prochaines épreuves seront sans doute différentes.


« J’ai dû rajouter le mot pédestre pour éviter toute confusion. » Claude Lacherest, le responsable de la commission running à la Ligue Île-de-France d’athlétisme (Lifa), organise la corrida d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) en novembre. Et comme beaucoup d’organisateurs de ces courses, il a subi la foudre… des militants anti-tauromachie.Ce dimanche 14 décembre à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), pour la 47e édition de la corrida de Noël, la question se posera certainement, et même pour la plupart des 14 000 coureurs attendus. « Non, il n’y aura pas de lâcher de taureaux dans les rues de la ville, sourit Claude Mercier, le président de l’Association pour la promotion de la course à pied (APCAP) en Île-de-France. Le terme corrida vient en réalité du Brésil. » Et plus précisément de Sao Paulo, il y a un siècle, le soir du 31 décembre 1925. Un 15 km est organisé comme une fête pour passer le cap de la nouvelle année. Cette course s’appelle la « Corrida de la Saint-Sylvestre » et acquiert rapidement une renommée mondiale sous le nom de la « Corrida de Sao Paulo ». Pourquoi corrida ? Tout simplement parce que corrida signifie courir en portugais, la langue officielle au Brésil.

Souriante, affable, attablée dans une brasserie toulousaine, Maevi ne laisse presque rien paraître extérieurement de la douleur et de la colère qui la consument de l’intérieur. La quadragénaire, ancienne nageuse du Nautic Club Nîmois, est la « lanceuse d’alerte » à l’origine de la récente mise en examen de Jérôme C., ancien entraîneur de la structure gardoise, pour viol sur mineur par personne ayant autorité, agression sexuelle sur mineur par personne ayant autorité et corruption de mineur.En novembre 2024, elle a poussé les portes du commissariat de Toulouse (Haute-Garonne) pour déposer plainte et dénoncer des faits de viols présumés commis entre 1995 et 1999, alors qu’elle était âgée de 11 à 15 ans. « Et dire que je pensais être la seule, soupire-t-elle. Et puis, cela a fait boule de neige. Tous les jours, ou presque, j’apprenais de nouvelles choses et je recueillais des témoignages… »

Créée en 1977 sous le nom de cross de Noël, devenue corrida de Noël d’Issy en 1982, l’épreuve rendue célèbre par ses runners déguisés en Père ou en Mère Noël est de retour ce dimanche 14 décembre. Les organisateurs attendent quelque 14 000 participants sur l’ensemble des six courses au programme. D’ailleurs, Playground, la société organisatrice, n’affiche pas encore complet et acceptera des inscriptions jusqu’à samedi (18 heures). « Nous sommes complets sur les 5 km déguisés, précise Jérémy Larson. En revanche, il y a encore de la place sur les autres courses. »Six courses sont au menu ce dimanche à partir de 8h30 avec les 5 km des rennes, suivi à 9h25 des 10 km performance puis à 10h30 des 1 500 m des lutins, des 3 km des bonshommes de neige à 10h50, des 3 km randonnée à 10h55 et enfin des 10 km des Pères Noël.Les départs se tiendront à la Cité des sports et les arrivées ont lieu au Palais des sports. Les participants emprunteront une boucle de 5 km sans difficultés apparentes. « Il y a juste une petite côte à Issy, qu’il faudra franchir deux fois, donc, si on est sur un 10 km », précise Jérémy Larson.À Issy-les-Moulineaux, bien plus que la performance, c’est pour la fête qu’on vient courir. « Il n’y a pas de têtes d’affiche annoncées, explique Larson. Nous n’avons pas de politique de primes. La course est ouverte à tous, sans question de niveau. Nous mettons plus l’accès sur le côté festif et populaire. À l’image de la Corrida de Sao Paulo, notre modèle. »

Thomas Plamberger, un alpiniste autrichien de 39 ans, a-t-il fait preuve de négligence ? L’homme décrit comme « chevronné » est poursuivi pour homicide par négligence après la mort de sa compagne Kerstin Gurtner, 33 ans, près du sommet du Grossglockner, en Autriche.Le couple s’est engagé sur les sentiers par l’itinéraire de Studlgrat le 18 janvier dernier, rapporte le média autrichien Heute. Vers 20h50, les deux Autrichiens se sont retrouvés bloqués à 50 m du sommet, alors que les températures étaient négatives et les rafales de vent atteignaient les 70 km/h.« Elle est morte de froid »« Vers 2 heures du matin, l’accusé a laissé sa compagne sans protection, épuisée, en hypothermie et désorientée, à une cinquantaine de mètres en contrebas du sommet du Grossglockner, détaille un communiqué du parquet d’Innsbruck. Elle est morte de froid. »L’accusation souligne que Thomas Plamberger, contrairement à sa compagne, « était un guide alpin expérimenté ». C’est lui qui avait d’ailleurs « organisé l’excursion ». Les procureurs reprochent à l’homme d’être descendu sans avoir cherché à abriter sa compagne, ni l’avoir enveloppée dans une couverture de survie. Il n’a pas non plus émis de signal de détresse lorsqu’un hélicoptère a survolé la zone aux alentours de 22h50, alors qu’ils étaient déjà bloqués.L’homme n’a contacté les secours qu’à 1h35 du matin, avant d’entamer sa descente, puis de nouveau à 3h30, laissant son téléphone en mode silencieux entre-temps. Des images captées par webcam montrent sa lampe frontale s’éloigner du campement, tandis que celle de Kerstin Gurtner finit par s’éteindre. Le corps sans vie de la jeune femme a été retrouvé le lendemain vers 10 heures à 50 m du sommet.L’avocat de Thomas Plamberger assure qu’il « s’agit d’un tragique accident », son client étant descendu pour aller chercher de l’aide. L’Autrichien, dont le procès doit s’ouvrir en février prochain, risque jusqu’à 3 ans de prison.

Même la pluie ne les a pas arrêtés. C’était un rendez-vous à ne pas manquer. Pour l’une des dernières courses de masse de l’année 2025, quelque 20 000 participants n’ont pas laissé passer l’occasion de briller et d’améliorer leur record personnel malgré des conditions climatiques difficiles.Avec un parcours très roulant, les 10 km de la tour Eiffel ont été avalés en moins d’une demi-heure pour les meilleurs. Chez les hommes, un Marocain en chasse un autre. Un an après la victoire de Soufiyan Bouqantar, c’est Brahim Bakkou qui l’emporte au sprint en 29′24″ devant l’Algérien Ali Messaoudi, arrivé deux secondes plus tard, et le Français Abdelkarim Ben Zahra, crédité du même temps que le deuxième.Chez les femmes, la victoire est revenue à Mathilde Sénéchal (32’23″) qui s’est imposée sous les pieds de la Dame de fer. La Française a été la plus rapide, devant la Suédoise Sanna Mustonen (33′39″) et Nadège Rieffel (33′44″).Tous les résultats et les classements sont à retrouver sur le site de l’épreuve : https://www.10kmtoureiffel.fr

Il est comme le bon vin, il se bonifie avec le temps. Créé en 1981, le marathon de Valence est devenu, depuis 2011, The Place To Be pour les runners du monde entier. Du simple amateur au champion aguerri, tous se ruent en Espagne pour l’un des rendez-vous les plus attendus de l’année.Derrière les Sept Majeurs (Tokyo, Boston, Londres, Sydney, Berlin, Chicago, New York), que Dorian Louvet a maîtrisés en 2025 en moins de 2h30 en moyenne, ou encore le marathon de Paris, l’épreuve espagnole réunit presque tout ce qu’attend n’importe quel runner. C’est pourquoi ce dimanche 7 décembre, ils seront encore 35 000 à relever le défi lors de la 45e édition. Ce succès populaire s’explique pour plusieurs raisons.

Cela fait quelques minutes à peine que les athlètes sont arrivés au gymnase Tony Parker, à Charenton-le-Pont. Et déjà, des membres de l’équipe des bleus lancent un premier « haka ». « On va les ratatiner », promet une accompagnatrice.Entre deux cours d’escalade et de basket, le gymnase Tony Parker à Charenton accueillait vendredi un événement inédit : les premiers Jeux Old’ympiques. Deux équipes composées de résidents d’Ehpad appartenant à la fondation Partage et Vie. Maillot et maquillage guerrier bleu pour l’équipe de Gabrielle d’Estrées à Charenton-le-Pont. Même chose en rouge pour l’Ehpad Lanmodez, à Saint-Mandé.« Nous les avons fait déjeuner plus tôt. Certains sont remontés dans leur chambre et avaient oublié qu’on venait ici » raconte en souriant Florence Bernard, directrice de l’Ehpad de Charenton, à fond sur ce projet. Ils sont trente, des deux établissements de 70 et 72 résidents au total, à participer à quatre épreuves. Certains avancent en déambulateur, d’autres sont en fauteuil roulant. Pas de quoi les démobiliser. Surtout après une préparation d’un an.« Une sortie comme celle-là, c’est exceptionnel »Ces JO 2025 n’auraient pas pu avoir lieu sans Yanaël. Enseignant en activité physique adaptée, il vient de passer une année à donner des cours dans les deux Ehpad, après l’obtention d’une subvention de la Commission des financeurs, une instance animée par la CNSA, la caisse nationale de solidarité pour l’autonomie. « Nous avons répondu à un appel à candidature sur le sport en Ehpad », précise Florence Bernard.Derrière elle, la première épreuve, proche du basket, s’apprête à démarrer. « Les rouges là-bas ce sont les adversaires » rappelle une soignante à une résidente qui va jeter son premier ballon. Chaque point marqué par un résident lui donne droit à de grosses accolades. Des proches ou des soignants. On toise l’équipe adverse, dans la bonne humeur. Mais l’esprit de compétition est bien là. « On les a vus s’entraîner » assurent Jeannette et sa collègue, deux soignantes de l’Ehpad de Saint-Mandé.« Une sortie comme celle-là, c’est exceptionnel » témoigne Isabelle, venue accompagner sa tante, Raymonde, 97 ans. Entrée à l’Ehpad au mois d’avril, elle s’y trouve « bien mieux » que dans la résidence autonomie où elle était installée avant. « Assez mobile », elle était volontaire pour participer à cette après-midi pas comme les autres.Avec des athlètes pas comme les autres. Le doyen de son équipe, les bleus, a fêté ses 100 ans cet été. C’est René Jouanny, ancien directeur de la piscine de Charenton. Il était présent lors des JO Paris 2024 pour soutenir l’équipe de water-polo. Tout près de la Seine où il a nagé le 18 août 1944, pour une traversée du fleuve qui avait eu lieu quelques jours avant la Libération et qui lui avait valu une 4e place. Une « légende », saluait lors de son anniversaire le CNM Charenton, le Club de Natation, Water-polo et sport bien-être de la ville dont il a été une figure marquante.Alors ce n’est pas une épreuve de tir à l’arc qui va lui faire peur. « Mais maintenant j’ai 100 ans », tient-il tout de même à rappeler, avant de viser dans le mille, acclamé comme un héros. « Les deux équipes sont au coude à coude », prévient celle qui compte les points. Une coupe et des médailles attendent les vainqueurs, sur la table d’un buffet bien garni.« J’ai joué et j’ai gagné »À 90 ans, Nella a la sensation de faire déjà partie des vainqueurs. « J’ai joué et j’ai gagné » raconte cette résidente de Gabriel d’Estrée. Alors que s’organise l’épreuve du minigolf, réservée au personnel en raison de sa difficulté, elle est la seule à rester debout et à suivre la compétition de près. « Soixante ans en arrière quand j’étais jeune, on jouait au golf en famille, raconte-t-elle. Ça me fait remonter de bons souvenirs ».Au-delà de l’aspect ludique des Jeux Old’ympiques, c’est l’enjeu de l’autonomie des personnes âgées et de son maintien le plus longtemps possible qui pointe son nez. « Les chutes sont un des premiers facteurs de perte d’autonomie en Ehpad, voire de décès », rappelle Marion Fuhr, qui dirige l’établissement de Saint-Mandé. Pour éviter la « fonte musculaire », rien de tel selon elle que l’activité physique adaptée.Les cours de gym douce dispensés depuis un an par Yanaël sont facultatifs, « mais on encourage les résidents à participer », explique la directrice. Depuis un an, dans les deux établissements, ces cours ont fait « un carton ». À tel point qu’à Charenton, « on a décidé d’embaucher Yanaël parce qu’on est convaincus que ça a du sens » , explique Florence Bernard. À Saint-Mandé, tout est fait pour que l’aventure avec lui continue également.




