
CHRONIQUE - L’année 2025 devrait avoir enregistré une nouvelle chute des immatriculations d’environ 5% dans le neuf par rapport à 2024.
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CHRONIQUE - L’année 2025 devrait avoir enregistré une nouvelle chute des immatriculations d’environ 5% dans le neuf par rapport à 2024.

Bien avant l’Alfasud, Alfa Romeo avait développé un véhicule à roues avant motrices, le fourgon Romeo, révélé en 1954 et doté, accessoirement d’un des moteurs les plus modernes du monde…

Audi sort un nouveau modèle de son coupé e-tron relooké : moins puissant et moins cher, mais toujours performant, il progresse sur l’autonomie et le temps de charge.

Avec ses airs de prototype et son habitacle chic, le Polestar 3 séduit d’emblée. Mais attention, ce SUV électrique est gourmand et repose sur une architecture ancienne. Découvrez les 4 vérités à connaître sur ce modèle sino-suédois.

Comme son appellation ne l’indique pas, la 745i s’équipe d’un moteur turbo, une première sur une berline de luxe ! Très puissante, luxueuse et chère en son temps, cette BMW originale est devenue une pièce de choix, à partir de 20 000 €.

Le lancement de la construction du futur porte-avions de nouvelle génération a été annoncé par Emmanuel Macron à l'occasion de son discours aux troupes stationnées aux Émirats arabes unis. Il prendra le relais du Charles de Gaulle à l'horizon 2038.

L’opération carburant à prix coûtant proposée par la station-service E.Leclerc à deux pas du périphérique a même provoqué des embouteillages ce dimanche. Les automobilistes ont sauté sur l’occasion : un plein moins cher juste avant les départs en vacances.

La présence de Robert Peugeot au conseil de surveillance de Stellantis est maintenue. Il y assurera la vice-présidence. Un poste que son cousin Xavier briguait également.

PhilosophieÉquipé d’une hybridation légère, le nouveau Citroën C3 Aircross est l’une des meilleures affaires du moment. Ce que l’on aime dans ce ludospace ? Dans son style, il est le... L’article Automobile : Citroën C3 Aircross, l’atout des 7 places est apparu en premier sur Valeurs actuelles.

Nous avons échangé avec Gilles Vidal, le nouveau responsable du design des marques européennes de Stellantis, autour d'un sujet crucial : à quoi ressembleront les voitures électriques de demain ? Entre contraintes aérodynamiques et possibilités créatives, voici sa vision.


La nouvelle Clio va arriver sur le marché français d'ici quelques semaines. Les réseaux sociaux s'emballent déjà.

Pendant que Bruxelles tergiverse et que Berlin impose sa loi, Pékin construit son empire automobile. L'assouplissement de l'objectif 2035 consacre une victoire politique allemande, mais prépare surtout un triomphe industriel chinois.

Certes, le titre peut paraître un peu excessif vu que, bien sûr, la célèbre low cost irlandaise n’a aucune envie de quitter le continent européen. Ce qui n’empêche que le Maroc semble être le nouveau focus de Ryanair pour les mois, sinon les années, à venir au point pour elle d’avoir de grandes ambitions pour […]
Face aux objectifs climatiques et aux pénuries de composants, la transition énergétique automobile met l’industrie sous pression. Alors que l’industrie automobile mondiale poursuit sa conversion vers l’électrique et les solutions hybrides, la transition énergétique se révèle plus complexe et tendue que prévu. Entre réglementations CO2 strictes, pénurie de batteries et semi-conducteurs et impératifs économiques, constructeurs […]


Une toute nouvelle plateforme technique accueille cette génération de petite CLA à quatre portes sans hayon. En début de carrière, elle existera seulement en 100 % électrique. Aussi convaincante que chère.

Look de navette spatiale, finition chiadée et 517 ch de muscle sous le capot : le Polestar 3 frappe fort pour tenter de percer sur le marché français. Mais ses lacunes en ergonomie et sa soif d'électrons pourraient s’avérer rédhibitoires sur un SUV à près de 110 000 €.

Vous revendez votre voiture sur le marché de l’occasion, et vous pensez qu’elle va partir en moins d’une semaine ? C’est possible. Ou pas ! Car quand certains modèles s’arrachent effectivement et trouvent preneur facilement, d’autres s’éternisent sur les sites de petites annonces. Caradisiac vous propose son palmarès du délai de revente moyen, sur les 50 meilleures ventes du marché en seconde main.

Plus aux normes, l'équipement du centre technique municipal qui permet d'alimenter les véhicules de la Ville va être remplacé par un système de cartes dédiées pour le carburant.

Alpak Transports, entreprise de transport basée à Fauville (Eure), près d'Évreux, fait un pas significatif vers la durabilité en intégrant le biogaz dans sa flotte.

Alexandre Bataille, journaliste essayeur, nous dresse son bilan de l’année écoulée. Produit, économie ou encore politique, il nous livre son impression et ses souhaits pour 2026.

Dans la grande transition vers la mobilité électrique, une technologie oubliée entre le 100 % électrique et l'hybride rechargeable refait surface. Son nom ? L'EREV. Décryptage d'une architecture technique qui veut rassurer les plus angoissés de la panne sèche.

Le géant Mattel attaque frontalement son concurrent danois Lego avec des voitures miniatures à construire en briques, mais en jouant aussi sur la complémentarité avec sa célèbre marque Hot Wheels.

Stationnement plus cher, hostilité des élus et de certains habitants... À Paris, en quelques années, les véhicules hauts et lourds sont devenus indésirables. Pourtant, certains automobilistes s’accrochent à la liberté de choisir leur véhicule.

Alors que les chantiers chinois tournent à plein, les États-Unis cherchent à augmenter la cadence. Les chantiers américains sont face à plusieurs défis : attirer de la main-d’œuvre, améliorer leur productivité.

Avec près de 3,3 millions de véhicules écoulés en octobre, la Chine concentre désormais 38 % des ventes mondiales et impose son tempo à toute l’industrie automobile. Cette domination statistique s’accompagne pourtant d’un ralentissement inattendu du…

Toyota prépare une révolution sur le segment des citadines avec non pas une, mais deux nouvelles Toyota Yaris prévues pour 2027.

Au volant d’un puissant bolide, l'homme a été flashé à 219 km/h. Un chiffre vertigineux, quand on sait que cette route départementale est limitée à 80 km/h.
Le BYD Atto 2 DM-i promet jusqu’à 90 kilomètres d’autonomie électrique. - D.R. Mis en ligne le 21/12/2025 à 07:31 Lecture zen Positionné sur le segment B, il affiche une silhouette originale qui nous rappelle les mini-monospaces d’autrefois, mais affiche tout de même les codes traditionnels des SUV. À bord, en revanche, il s’offre moins de fantaisie : la planche de bord présente un dessin plutôt classique, et tout semble avoir été pensé d’abord pour le fonctionnel. Les matériaux sont en revanche très bons et des commandes physiques permettent de contrôler intelligemment les fonctions usuelles. Sous le capot, l’Atto 2 DM-i embarque deux motorisations de 166 et 212 chevaux. Cette dernière se révèle saine et équilibrée. Il faut adopter un mode de conduite souple, car c’est un véhicule qui invite à prendre son temps et à ne pas solliciter trop violemment la cavalerie pour éviter les bruits désagréables. Rien de grave, puisqu’il n’a pas de vocation sportive et se destine surtout à un usage familial, donc mesuré. Le BYD Atto 2 DM-i Boost en bref Moteur : électrique, 212 ch, 122 Nm Transmission : aux roues avant. Boîte : automatique L/l/h (mm) : 4.330/1.830/1.675 Poids à vide (kg) : 1.620 Volume du coffre (l) : 425-1.335 V-max : 180 km/h Conso mixte (l/100 km): 1,8 CO2 (g/km): 45 0 à 100 km/h (s): 7,5 Prix : 26.990 BYD Atto 2 DM-i: l’hybride à la rescousse Après les variantes 100% électriques, le SUV urbain BYD Atto 2 reçoit aujourd’hui le renfort de deux versions hybrides rechargeables. Au menu, la polyvalence qu’on attendait.

Avant de renaître en 2017, la marque Alpine s’est éteinte en 1994 avec un modèle qui avait pourtant de belles qualités, l’Alpine A610. L’année précédente, le constructeur de Dieppe avait tenté un coup, proposer une version Le Mans de son A610. Plus puissante, mieux équipée, plus racée, elle ne sera jamais produite en série. Mais un des deux exemplaires vient d’affoler les compteurs de la vente Renault Artcurial.

La Commission européenne, sous pression de l'industrie automobile, a proposé de renoncer à l'interdiction totale des voitures neuves à moteur thermique dès 2035. A la place, l'exécutif européen vise 90% de véhicules électriques neufs à la même date.

L’entreprise publique de chemins de fer en Allemagne a commandé ces véhicules auprès du géant chinois BYD, sur un total de 3300 bus fabriqués en majeure partie par l’allemand MAN. Un achat critiqué par le ministre Lars Klingbeil, dans un contexte de concurrence exacerbée de la Chine.



Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l’avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd’hui, il s’intéresse au contrôle technique renforcé à partir de 2026.

Le parquet national financier a ouvert une information judiciaire pour « escroquerie en bande organisée », « abus de position dominante » et « entente » contre le groupe Bernard Hayot, principal groupe de distribution d’outre-mer, a-t-on appris jeudi de source judiciaire, confirmant une information de Libération. Cette enquête, confiée à des juges d’instruction parisiens, a été ouverte en août et vise notamment le marché automobile outre-mer.Selon Libération, qui explique avoir pu consulter des documents internes, les concessions automobiles du groupe, en position ultra-dominante sur le marché, réalisent des marges « jusqu’à trois ou quatre fois supérieures à celles pratiques » en France métropolitaine.« Les soupçons d’escroquerie en bande organisée visent les possibles mensonges de certains concessionnaires du groupe, soupçonnés de dissimuler leurs véritables marges aux fabricants automobiles », poursuit le quotidien. « Les juges d’instruction tentent également de faire la lumière sur d’éventuelles pratiques d’entente entre GBH et certains de ses concurrents ultramarins », ajoute-t-il.Le groupe Benard Hayot conteste « fermement »Dans un communiqué, le groupe Bernard Hayot a indiqué avoir pris connaissance « par la presse » de l’ouverture de cette information judiciaire. Il affirme contester « fermement » les allégations portées contre lui et assure vouloir coopérer « pleinement avec les autorités judiciaires afin de démontrer le caractère infondé de ces accusations ». Le groupe martiniquais rappelle qu’il « a toujours agi dans le strict respect de la législation applicable, y compris en matière de droit de la concurrence ».GBH est régulièrement accusé de contribuer au coût de la vie élevée, notamment aux Antilles, ses détracteurs le suspectant d’appliquer des marges record en l’absence de véritable concurrence. Après avoir été assigné en justice et sommé de publier ses comptes, il l’a fait pour l’année 2024 en juin, révélant avoir dégagé un bénéfice net annuel de 202 millions d’euros.Leader de la distribution aux Antilles, l’entreprise est en particulier pointée du doigt pour son rôle dans le coût de la vie en Martinique, où les produits alimentaires sont en moyenne 40 % plus chers que dans l’Hexagone, selon des chiffres de 2022 établis par l’Insee. Cet écart a provoqué des manifestations contre la vie chère émaillées de violences en septembre et en octobre 2024.GBH n’est pas seulement un distributeur : il réalise près de la moitié de son chiffre d’affaires dans l’automobile (commercialisation, location, pièces détachées) et dans des « activités diversifiées » (rhum et agroalimentaire notamment). Basé en Martinique, où il concentre les critiques, GBH n’y réalise que 16 % de son chiffre d’affaires. Le reste de son activité se répartit en Guadeloupe (15 %), à la Réunion (35 %), et à l’international (32 %).


Pare-chocs contre pare-chocs, partagés entre désespoir et agacement, dès ce week-end encore, les conducteurs vont encore devoir s’armer de patience sur les routes en vue des congés et des fêtes de fin d’année. En 2024, ils ont perdu plus de 100 heures dans la capitale, prisonniers de leur véhicule, et jusqu’à 113 heures à Bordeaux, désormais en haut du podium des villes les plus congestionnées de France.Mais comment se forment ces embouteillages ?

Dans "Automoto", Jérôme Chont essaie le BYD Sealion 5 DM-i. Le SUV hybride rechargeable chinois est vendu au prix de 32.000 euros. Bien moins cher qu’un Peugeot 5008, le BYD Sealion 5 DM-i est-il vraiment l’affaire du moment ?

Les enseignes Leclerc et Intermarché lancent à nouveau une opération carburants à prix coûtant ces vendredi et samedi. Un coup de pouce bienvenu à l'approche des fêtes, et une stratégie mûrement réfléchie, comme l'explique ce reportage du 20H de TF1.

Garagiste à Notre-Dame-d'Aliermont (Seine-Maritime) depuis 1988, José Beaurain a décidé de céder son entreprise familiale. Pour ce faire, il s’est adressé à son conseiller à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat (CMA) de Normandie. Grâce à son expertise, José Beaurain est sur la bonne voie pour effectuer une transition en toute sérénité.

Les chiffres de l'Observatoire annuel de La Centrale, révélés jeudi dans le 20H de TF1, montrent une tendance à la baisse du prix moyen des voitures d'occasion. C'est aussi le cas pour les véhicules électriques, de plus en plus nombreux à arriver sur ce marché.

DÉCRYPTAGE - Ce traité de libre-échange, qui suscite la colère des agriculteurs du Vieux Continent, est au cœur des débats entre les chefs d’États et de gouvernement européens, réunis ce jeudi 18 décembre à Bruxelles.

Le constructeur a signé, en 2024, un accord afin d’ouvrir une vaste usine de production dans la cité turque. Mais aucun chantier n’a pour le moment commencé, ce qui agace les autorités du pays.

L’UE a assoupli l’interdiction d’émissions automobiles prévue pour 2035, posant des questions sur les objectifs climatiques et le rythme d’adoption des VE.

A Bursa, le site aux 5 600 employés et aux 800 robots produit les best-sellers de la marque au losange. Il est situé au cœur d’un vaste écosystème qui rassemble des dizaines d’industriels, dont Stellantis et Toyota, et alimente l’Union européenne en voitures neuves.

On les appelle les « nouvelles mobilités ». Elles débarquent tel un phénomène de mode et obligent le Code de la route à s’adapter en permanence. Après les trottinettes, vélos électriques ou véhicules autonomes, on croise de plus en plus de voiturettes sans permis, rebaptisées « microcars » pour être tendance.Elles ressemblent à s’y méprendre à de petites citadines et se taillent un succès grandissant en ville auprès des adolescents autorisés à en prendre les commandes dès l’âge de 14 ans. On y est plus au sec qu’à scooter, on y circule plus vite qu’en bus, elles offrent une liberté incomparable mais on oublie un peu vite que ce ne sont pas des jouets. En témoigne la hausse du nombre d’accidents mortels les impliquant.


Deux mois qu’il conduit tous les jours, tout seul, comme un « grand ». Pas la conduite accompagnée, non, mais la conduite autonome, sans adulte dans l’habitacle et sans la rafale de conseils parentaux : « surveille ton angle mort », « rétrograde »…Teo, 16 ans, habite Chatou, dans les Yvelines. En semaine, il se rend au lycée Saint-Erembert, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), en Ligier JS60. Une « microcar », disent les ados. « Une voiturette », disent (encore) leurs parents. Teo, qui a validé sa conduite accompagnée, n’a même pas eu besoin de passer le permis AM pour être autorisé à conduire seul son (modeste) bolide.

L'histoire du jour, c'est celle d'une romance entre les Français et leur voiture, entre les Français et leur bagnole. C'est le moyen de transport privilégié de 70% d'entre nous, loin devant tous les autres, privilégié, car indispensable dans certaines régions. Sans grande surprise, c'est là où il y a le plus de bus, de tramways et de métros que les habitants prennent le moins leur véhicule. La preuve, il n'y a qu'en Île-de-France que le mode de transport préféré n'est pas la voiture.

La crise du secteur automobile européen fait la une de la presse depuis de longs mois maintenant dans une relative indifférence. Pourtant, la gravité de cette crise et ses conséquences considérables pour le continent et pour son autonomie stratégique devraient nous préoccuper.

La Commission européenne souhaite assouplir l'interdiction de vendre des voitures neuves à moteurs thermiques dans l'UE après 2035. Une nouvelle accueillie positivement par le député du RN Pierre Meurin, qui regrette toutefois une perte de 40.000 emplois dans le secteur automobile depuis 2019. Ce chiffre provient d'une vaste étude conduite il y a quelques mois auprès des acteurs de l'industrie.

Dans "Bonjour ! La Matinale TF1", Anicet Mbida annonce le retour d’une icône des années 70. Il s’agit de la mythique mobylette 103 de Peugeot. Elle revient en version électrique, donc plus besoin de pédaler pour la démarrer.


Cédant aux lobbies, la Commission européenne a abandonné, mardi 16 décembre 2025, l’objectif de suppression totale des émissions de CO2 en 2035. Il est désormais exigé des constructeurs automobiles une baisse de 90 % des émissions. Ce qui remet dans la course l’hybride et même, théoriquement, le 100 % thermique.

La filière automobile française manifeste son scepticisme, après la proposition de la Commission d’assouplir le dogme du tout électrique en 2035. Pour Stellantis, les mesures annoncées « ne permettront pas la production de véhicules abordables pour la grande majorité des consommateurs ».

L’Union européenne renonce au tout-électrique en 2035 : l’interdiction des voitures thermiques en 2035 est assouplie. Explications de Pierre Benazet, correspondant à Bruxelles.

La Commission européenne a renoncé à interdire la vente de voitures neuves à moteur thermique. Ce ne sera finalement pas du "tout électrique" à partir de 2035 et Aba Ventura explique pourquoi.

A la Une de la presse, ce mercredi 17 décembre, , les réactions à la décision de l’Union européenne de renoncer au 100% électrique d’ici 2035. Les discussions sur le gel des avoirs russes pour financer la guerre en Ukraine. La condamnation du PSG par les prud’hommes à verser 61 M€ à Kylian Mbappé. Et des histoires de Noël.

Oublié en Europe après l’échec de modèles comme l’Opel Ampera, le véhicule à prolongateur d’autonomie (Erev) connaît un essor fulgurant en Chine, boosté par le label New Energy Vehicle. Cette technologie hybride, où le moteur thermique ne sert qu’à recharger la batterie, divise experts et constructeurs sur sa pertinence pour une décarbonation rapide du parc automobile.

L’interdiction de vendre des voitures à moteur thermique à partir de 2035 était une mesure emblématique du pacte vert européen. Finalement ce mardi, l’Europe revoit ses ambitions à la baisse : 90% de réduction des émissions de CO2 pour les constructeurs au lieu des 100% prévus précédemment. Un nouveau revers pour le climat selon de nombreuses ONG.

A last-minute deal in Berlin ensured the death of the combustion engine ban — a previously unthinkable outcome.

Le « paquet automobile » pousse à l’électrification rapide des petites voitures, en laissant le temps et le choix aux consommateurs pour les plus grosses.

La Commission a présenté, mardi, un paquet de mesures destinées à aider un secteur en crise. Elle allège notamment les exigences du réglement sur la décarbonation des voitures, un texte emblématique du pacte vert.

Après avoir interdit la vente de voitures thermiques dans les 27 pays de l'Union, mesure-phare du pacte vert européen adopté il y a quelques années, l'Union européenne rétropédale et autorise la vente d'une part limitée de voitures thermiques. Une décision saluée par plusieurs dirigeants européens, dont Emmanuel Macron.

La commission européenne a annoncé, mardi, qu’elle renonçait au tout-électrique en 2035. Une décision prévisible pour les défenseurs du moteur thermique.

Marche arrière ! Ce mardi 16 décembre, la Commission européenne a dévoilé à Strasbourg (Alsace) plusieurs mesures qui reportent, au-delà de 2035, l’interdiction de vendre des voitures neuves thermiques, ou hybrides, en Europe. Une victoire de l’industrie automobile, après plusieurs mois de lobbying.Les nouvelles mesures présentées par Bruxelles reviennent sur la promesse d’abaisser les émissions de CO2 de 100 % (par rapport à 2021), ramenant cet objectif à 90 %, à l’horizon 2035. Décidée en 2022, cette barre des 100 %, synonyme d’interdiction totale de vendre des voitures thermiques, était LA mesure emblématique du pacte vert européen pour permettre à l’UE de tenir son engagement : atteindre la neutralité carbone en 2050. Une ambition forte pour lutter contre le réchauffement climatique.

DÉCRYPTAGE - Les constructeurs européens ne devront réduire les émissions de CO2 de leurs nouveaux véhicules que de 90 % d’ici 2035, au lieu des 100 % prévus initialement.

La Commission européenne, qui avait interdit les voitures à moteurs thermiques à partir de 2035, est revenue sur cette décision. Présentée comme un simple assouplissement, c'est en fait un changement radical. Les constructeurs auront le droit de vendre des voitures thermiques et hybrides rechargeables, mais moins qu'actuellement et à condition d'en compenser les émissions de CO2. Pour doper les ventes de l'électrique, l'Union européenne a créé une nouvelle catégorie, le petit véhicule électrique européen.

Abandon du 100 % électrique en 2035, atermoiements sur l'accord Mercosur, détricotage du pacte vert... L'Europe tâtonne pour définir sa politique industrielle et commerciale

La Commission européenne a dévoilé, mardi, sa directive Omnibus automobile, revenant sur l’interdiction de vente des véhicules à moteurs thermiques d’ici à 2035. Les constructeurs allemands se frottent les mains.

Saluée par la classe politique et les industriels, le rétropédalage sur l’un des piliers du «Pacte vert européen» attire les critiques des défenseurs du climat.

Le texte présenté mardi à Bruxelles doit maintenant être validé par les Etats membres et le Parlement européen

DÉCRYPTAGE - La mesure la plus symbolique du pacte vert imposant que les voitures neuves vendues après 2035 aient des émissions de CO₂ nulles a été assouplie mardi après des mois d’intenses tractations. La Commission assure qu’il n’y aura pas d’impact sur le rythme de décarbonation.

L'UE met fin à l’objectif du 100 % électrique en 2035. Le nouveau dispositif laisse la place notamment aux hybrides rechargeables Mais, à ce stade, ceux-ci sont voués à des pourcentages réduits dans le total des ventes de voitures neuves en Europe.

Les constructeurs automobiles ne seront pas dans l’obligation de passer au tout électrique d’ici 2035, a annoncé la Commission européenne mardi 16 décembre. La France « regrette la flexibilité ouverte aux véhicules thermiques », a réagi la ministre de la transition écologique.

C’est une décision qui risque de faire jaser. L’Union européenne a renoncé mardi à imposer aux constructeurs automobiles de passer au tout-électrique en 2035, une mesure environnementale phare, face à la crise que traverse le secteur en Europe.Après cette échéance, les constructeurs pourront continuer à vendre une part limitée de voitures neuves équipées de moteurs thermiques ou hybrides, sous réserve de respecter de multiples conditions, notamment de compenser les émissions de CO2 qui découleront de ces « flexibilités », a précisé la Commission.Interrogé à ce sujet, le commissaire européen Stéphane Séjourné, ancien ministre français des Affaires étrangères, a défendu une approche « pragmatique » face aux difficultés de la filière automobile. « L’objectif reste le même, les flexibilités sont en réalité des réalités pragmatiques au vu de l’adhésion des consommateurs, de la difficulté des constructeurs à proposer sur le marché du 100% électrique pour 2035 », a-t-il déclaré dans un entretien à l’AFP.Prêt de 1,5 milliards d’euros à la filière européenne de batteries électriquesL’interdiction totale avait été adoptée lors du premier mandat d’Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne, au nom de l’engagement européen d’atteindre la neutralité carbone en 2050.Mais l’UE, face à la concurrence de la Chine et aux tensions commerciales avec les Etats-Unis, a déjà repoussé ou élagué ces derniers mois plusieurs mesures environnementales, dans un virage pro-business assumé.Les assouplissements majeurs accordés mardi aux constructeurs automobiles, vivement critiqués par les ONG, ne remettent pour autant pas en cause l’objectif climatique européen, a affirmé Stéphane Séjourné.En mars, le commissaire français avait estimé que l’industrie automobile européenne était « en danger de mort ».La crise qu’elle traverse est d’ailleurs « beaucoup plus profonde que uniquement le sujet du CO2 et de la voiture électrique », a-t-il prévenu mardi.L’assouplissement annoncé mardi était particulièrement plébiscité par l’Allemagne ou la Pologne, qui défendent bec et ongles la « neutralité technologique », c’est-à-dire le maintien après 2035 des moteurs thermiques.La France était plus sceptique, craignant qu’il n’étouffe la filière européenne des batteries pour voitures électriques, en pleine éclosion.Il serait toutefois faux de penser que la France a perdu cet arbitrage, a jugé Stéphane Séjourné, assurant que Bruxelles allait prêter 1,5 milliard d’euros sans intérêt aux fabricants de batteries européens.

Les constructeurs seront autorisés à commercialiser, dans des proportions encadrées, des véhicules neufs à motorisation thermique ou hybride, à condition de se plier à une série d’exigences.

Face à la crise que traverse le secteur automobile, l'Union européenne a annoncé, ce mardi, renoncer à imposer aux constructeurs de passer au tout-électrique en 2035, une mesure environnementale phare. De plus, ils pourront continuer de vendre une part limitée de voitures neuves à moteurs thermiques ou hybrides.

La Commission européenne a proposé mardi d'assouplir l'interdiction de vendre des voitures neuves à moteur essence ou diesel dans l'Union européenne après 2035. Les constructeurs pourront continuer à vendre des modèles thermiques, des hybrides rechargeables et des voitures avec prolongateur d'autonomie seulement s'ils compensent les émissions issues de ces véhicules. La Commission a également annoncé la création de la catégorie "petits véhicules électriques européens" qui bénéficieront d'un superbonus s'ils sont fabriqués en Europe.

Stéphane Séjourné, le commissaire européen en charge de la stratégie industrielle et de la prospérité, a salué une approche « pragmatique » de l’UE face aux difficultés rencontrées par l’industrie automobile.

Et si une innovation testée en Auvergne pouvait révolutionner l’offre de transport ? C’est en tout cas le pari du projet « Ferromobile », dont le nom est né de la contraction entre ferroviaire et automobile. Le concept : utiliser un Peugeot Traveller sur lequel ont été ajoutées des roues ferrées afin de circuler sur des rails de manière autonome et électrique. Avec la possibilité de faire suivre cinq véhicules comme sur une autoroute, d’atteindre 100 km/h en ligne droite et avec la garantie d’un freinage d’urgence.« Ceci permettra de revitaliser des lignes ferroviaires à l’abandon pour un coût moindre et de proposer un nouveau transport à la demande, réservable sur smartphone et sans conducteur, avec jusqu’à sept passagers par véhicule », promet Olivier Le Cornec, directeur général de la société Ferromobile.Premières lignes à l’horizon 2028Ce projet lancé en 2018 est soutenu, notamment, par Arnaud Montebourg et l’Ademe dans le cadre du programme France 2030. Son développement et son exploitation sont réalisés par la société d’ingénierie, de construction et d’exploitation du Ferromobile (SICEF). Et si de premiers tests techniques ont déjà été réalisés entre 2023 et 2024 dans le secteur de Bordeaux (Gironde), l’expérimentation à grande échelle se déroulera en février 2026, entre Courpière et Vertolaye, dans le Puy-de-Dôme, sur une ligne gérée par le Syndicat Ferroviaire du Livradois-Forez.« Cela correspond à un vrai besoin sociétal au niveau de la ligne par rapport à la mobilité des personnes », explique Olivier Le Cornec. « C’est un phénomène national : 10 millions de personnes vivent à côté de lignes qui ont été fermées. On risque d’avoir une grosse vague de fermeture qui va arriver dans les prochaines années, de l’ordre de 50 %. Après les tests en Auvergne, on cherchera à s’étendre. »La seconde phase d’expérimentation devrait se dérouler « courant 2026 ». À cette occasion, des usagers du territoire seront sollicités pour utiliser en condition réelle la Ferromobile. Puis, si tous les feux sont au vert et les autorisations obtenues, les premières lignes commerciales pourraient voir le jour en 2028.

Ce lundi, Airbus a annoncé dans un communiqué que l’Allemagne lui avait commandé 20 hélicoptères légers de combat H145M supplémentaires, conformément à une option prévue dans un contrat signé en décembre 2023. Cette décision porte à 82 le nombre total d’appareils prévus dans le contrat.« Cet engagement renouvelé de l’un de nos pays d’origine est un signe fort de confiance dans les performances exceptionnelles et les capacités multi-rôles du H145M », a déclaré Stefan Thomé, directeur général d’Airbus Helicopters en Allemagne, cité dans le communiqué.Dans un contexte géopolitique fragile marqué par la guerre en Ukraine, l’Allemagne alerte régulièrement sur la menace russe. Engagée côté ukrainien, elle s’équipe en conséquence.Un hélicoptère polyvalentLe premier H145M a été livré en novembre 2024, moins d’un an après la signature du contrat en décembre 2023, et d’autres appareils ont depuis été remis à l’Allemagne.Version militaire du H145 civil, le H145M est un hélicoptère polyvalent, capable de passer en quelques minutes d’une configuration d’attaque légère - avec armement guidé et système d’autoprotection - à une version pour opérations spéciales avec équipement de descente rapide des commandos.Réputé pour son faible niveau sonore, il est déjà en service dans plusieurs pays, dont la Hongrie, la Serbie, le Luxembourg, la Thaïlande, l’Équateur, le Honduras et Chypre. L’armée américaine utilise près de 500 hélicoptères de la famille H145 sous l’appellation UH-72 Lakota. Airbus a récemment engrangé des commandes de la Belgique (pour 17 appareils), de Brunei (6 appareils) et de l’Irlande (4 appareils).L’armée de terre allemande recevra 72 appareils, tandis que les forces spéciales de l’armée de l’air en auront dix.Des appareils équipés de pilotes automatiques quatre axesLa Bundeswehr utilise des H145 pour les opérations spéciales et les missions de recherche et sauvetage.Cet hélicoptère est équipé de deux moteurs Safran Arriel 2E et d’un pilote automatique quatre axes qui contrôle non seulement l’altitude et la direction, mais aussi l’inclinaison avant/arrière et latérale, ce qui réduit la charge cognitive des pilotes pendant les missions.La branche hélicoptères d’Airbus traverse une période favorable, dopée par la reprise des livraisons et la montée en puissance des services de maintenance. Elle bénéficie d’un carnet de commandes fourni, porté par des contrats militaires en Europe et à l’international.

Reporter un rendez-vous, ça n’est jamais très bon signe. Celui fixé initialement au 10 décembre par Bruxelles à l’ensemble de la filière automobile européenne a été décalé de six jours. Il s’agit pour la Commission européenne de présenter certains aménagements à l’interdiction à partir de 2035 de commercialiser des véhicules à moteurs thermiques (diesel ou essence), au profit du 100 % électrique.Depuis de nombreux mois, constructeurs comme équipementiers, allemands et français en tête, exercent un intense lobbying pour que les règles soient assouplies. « La question n’est pas pour ou contre 2035, la question est d’éviter le crash de l’industrie automobile européenne », s’inquiétait encore récemment Luc Chatel, le patron de la Plateforme automobile (PFA), qui fédère les grands industriels français du secteur.

Quel propriétaire de garage n’a jamais craint d’érafler sa carrosserie en y rentrant sa voiture ? Pour mettre fin à cette appréhension de la marche arrière qui finit mal, Mathias Sanfaute, fondateur de la société Vikkar, fondée à Caen (Calvados), a conçu une protection pour habiller les murs des garages.« Aussi incroyable que ça puisse paraître, il n’existait absolument rien pour remédier à ces incidents pourtant très fréquents de carrosserie abîmée lors des manœuvres dans des garages privés ou dans des box », explique-t-il. « J’ai donc mis au point un système de rideaux renforcés, un peu comme des surmatelas qui viennent capitonner l’intérieur des pièces. On fixe un support adhésif au mur. Et le rideau vient se caler dessus. En plus d’amortir tous les chocs que pourrait subir votre carrosserie en cas de frottement, ça permet d’embellir son garage, d’en faire un écrin à la couleur de son choix. »Entre 395 et… 1 200 euros« J’ai un box dans une cour où rien n’est éclairé et c’est vrai que quand je rentre de nuit, j’ai toujours peur de frotter une aile ou le pare-chocs. Je ne suis pas encore décidé mais il se pourrait que je craque pour ce système qui me paraît très astucieux », confie Michel, un curieux de passage qui s’est déjà bien renseigné sur cette innovation.Concrètement, Un rideau mesure 2,20 m de haut x 1,25 m de large. Il en faut une dizaine pour habiller entièrement un box classique, sachant que le prix d’un rideau est compris, selon la gamme, entre 395 et 1 200 euros l’unité. Tout est fabriqué en France.Et les clients sont au rendez-vous. « On a une clientèle très éclectique. Des clients plutôt seniors, très précautionneux de leur voiture, mais aussi des propriétaires de véhicules très haut de gamme qui veulent éviter le moindre accroc. Et enfin on a des sollicitations de plus en plus nombreuses de conciergeries de prestige à l’étranger, notamment au Canada et en Suisse. »

Ils sont des dizaines à attendre debout, adossés au mur, des heures durant. Depuis plusieurs jours, des clients venus espérant récupérer des colis à la sortie du travail, à la Défense (Hauts-de-Seine), font la moue. Car dans le point de retrait « Pick&Smile » du centre commercial des Quatre Temps, il faut patienter jusqu’à trois heures et demie pour récupérer sa commande. La faute aux achats qui se multiplient en fin d’année, en raison du Black Friday, et des fêtes de Noël qui approchent.Face à cette situation, plusieurs questions se posent, récurrentes en cette période de fin d’année : les services de livraison seront-ils capables d’acheminer les millions de commandes en ligne à temps pour Noël, que ce soit à domicile ou en point relais ? Et les clients doivent-ils s’attendre à des files d’attente interminables devant leurs points de retrait habituels ?

Le « Mal-Aimé » fait désormais l’unanimité. Diffusée depuis le 6 décembre à la télévision, avec la chanson de Claude François en fond sonore, la publicité d’Intermarché pour les fêtes de fin d’année connaît une résonance virale sur les réseaux sociaux qui lui a permis de franchir les frontières de la France. Le nombre de vues ne cesse de grimper et se compte désormais en dizaines de millions.« Nous avons tous une raison de mieux manger » : tel est le message délivré dans ce film d’animation de 2min30. Il met en scène un loup, terreur de la forêt et menace pour les animaux qui l’entourent. Lui se sent profondément seul et attristé d’être fui. Une discussion avec un hérisson va tout changer : et si le loup se nourrissait dorénavant de champignons et de carottes plutôt que de ceux avec qui il partage son lieu de vie ? Progressivement, le canidé se met à la cueillette et change ses habitudes alimentaires. Au point d’être finalement accepté au banquet de Noël de la forêt.Cette séquence animée est le fruit du travail d’Illogic Studios. « On s’est fait approcher par Romance, la société de communication d’Intermarché », rembobine Théophile Dufresne, cofondateur de cette société installée à Montpellier (Hérault) et coréalisateur du film. L’enjeu fixé par l’enseigne de grande distribution : revisiter le conte du Grand méchant loup et lui « apprendre à mieux manger ».Habitué des représentations d’animaux - « une belle manière de parler de l’humain, sans parler directement de l’humain », Illogic Studios s’adjuge l’appel d’offres. S’amorce un travail de six mois. À partir du cahier des charges dressé par Intermarché, les artistes composent un « story-board », « une sorte de BD » faisant office de trame. « Ensuite, il faut créer les décors, créer les personnages, les animer, mettre des lumières et des textures et rendre le film final tel qu’il est aujourd’hui. (…) Si on a choisi ce traité graphique qui tend vers l’illustration, la peinture, c’est pour évoquer l’histoire de l’enfance, le conte de l’enfance », dévoile Théophile Dufresne.« Les machines ne remplaceront pas la création »Jusqu’à 70 artistes mettent la main à la pâte pour mettre bout à bout les scènes, un contingent bien supérieur à celui que compte d’ordinaire Illogic Studios. « Un film aussi long et aussi ambitieux, ça nécessite forcément des grosses équipes, ce qui n’est pas le cas tout le temps en publicité », fait remarquer Théophile Dufresne. Humoriste et comédien, Fred Testot accepte de donner sa voix au loup.L’intelligence artificielle (IA), elle, est maintenue à l’écart du processus artistique. À l’avenir, « tout au mieux, l’IA sera un outil au service des humains et des artistes, veut croire le réalisateur. On est persuadés que les machines ne remplaceront pas la créativité de vrais humains, toute la sensibilité, l’émotion que peuvent faire passer de vrais artistes dans leur travail. (…) Le but, c’était de véhiculer de l’émotion. »Le cofondateur d’Illogic Studios n’avait cependant pas anticipé que certains internautes verseraient une petite larme en voyant le loup se rabibocher avec ses amis de la forêt. « On ne s’attendait pas à un tel partage sur les réseaux, reconnaît l’intéressé. On sait que les films Intermarché sont en général des films qui sont très suivis, qui font quand même pas mal de bruit, qui peuvent gagner des prix, etc. Mais là, avoir autant de réactions, autant de beaux commentaires sur Internet, c’est une belle surprise et on en est plutôt fiers. »Pour le studio héraultais, « c’est Noël avant l’heure » en termes d’exposition. L’accueil du public constitue une « super récompense » et prouve que « l’animation, c’est universel, ça peut toucher le monde entier, peu importe son pays d’origine ou sa langue ».Si les sollicitations médiatiques pleuvent, il est encore trop tôt pour mesurer l’impact économique du « Mal-Aimé » sur l’activité future d’Illogic Studios. La société entend saisir l’opportunité pour « continuer à croître » sur le marché de la publicité, mais pas seulement : elle planche déjà sur des projets de courts et de longs-métrages.

Le milliardaire Elon Musk, patron du constructeur automobile Tesla, de l’entreprise spatiale SpaceX ou encore du réseau social X, a indiqué qu’il ne participerait plus à la Commission pour l’efficacité gouvernementale (Doge) de Donald Trump, semblant regretter son implication en début d’année.À la question « le referiez-vous ? », posée lors du programme conservateur The Katie Miller Podcast publié mercredi, l’homme le plus riche du monde a répondu : « Non, je ne pense pas ».« Je pense qu’au lieu de faire Doge, j’aurais tout simplement (…) travaillé à mes entreprises », a-t-il expliqué au sujet de cette commission ad hoc dédiée à la réduction des dépenses fédérales.« Et ils n’auraient pas brûlé les voitures », a-t-il relevé. Conséquence de son rôle au sein de l’administration Trump, les ventes de Tesla ont plongé dans le monde, des boutiques ont été la cible de manifestations et de dégradations, des véhicules en circulation ont été endommagés et des stations de recharge incendiées, entre autres appels au boycott.Ancienne conseillère et porte-parole de la commission Doge, avant d’être employée par le milliardaire dans le secteur privé, Katie Miller est mariée avec le directeur de cabinet adjoint de la Maison Blanche, Stephen Miller.« Un peu de succès »Elon Musk a néanmoins estimé que Doge avait eu « un peu de succès ». « Nous avons mis un terme à beaucoup de financements qui n’avaient tout simplement aucun sens, qui étaient entièrement du gaspillage », a-t-il défendu.Cette commission, lancée dès l’investiture du président Donald Trump en janvier, avait pour objectif de tailler dans les dépenses publiques et d’alléger la bureaucratie.Elon Musk avait évoqué pendant la campagne présidentielle, à laquelle il a beaucoup participé, quelque 2 000 milliards de dollars de coupes, avant d’abaisser ses anticipations à 1 000 milliards.Au final, les montants sont beaucoup moins élevés selon le compteur de la commission elle-même : 214 milliards de dollars, à la dernière mise à jour le 4 octobre.Mais un site indépendant, le « Doge Tracker », arrivait à un total de seulement 12 milliards de dollars en mai lorsqu’Elon Musk a quitté la commission sur fond de tensions acrimonieuses avec le président et de problèmes pour Tesla.Pour effectuer ces économies, l’administration a multiplié les incitations au départ et les licenciements de fonctionnaires, réduit drastiquement ou supprimé des agences publiques et fait des coupes massives dans l’aide internationale.

« Ce n’est pas le retour du Jedi mais celui du MPV qui n’est pas mort », lance Xavier Chardon, PDG de Citroën devant un parterre de journalistes et partenaires européens réunis ce mardi 9 décembre à l’ADN, le siège de l’innovation de Stellantis à Vélizy (Yvelines). Le MPV ? « Multi Purpose Vehicle » en anglais ou le fameux monospace, plus discret sur nos routes. Supplanté depuis une décennie par les SUV dans les ventes et dans les esprits, le véhicule familial des années 1990 refait parler de lui chez Citroën avec ELO.Après avoir électrifié sa flotte de C3 et C5, Citroën ramène à la vie et modernise le monospace sous la forme d’un concept car en rouge orangé. Sa forme d’un seul bloc, sortie tout droit d’un film de science-fiction, ne laisse pas indifférent.

Les constructeurs automobiles français Renault Group et américain Ford ont annoncé mardi avoir noué un partenariat pour développer deux voitures électriques de marque Ford sur une plateforme de Renault, dans le nord de la France.Les deux groupes ont également signé une lettre d’intention pour une coopération dans le secteur des véhicules utilitaires légers (VUL) en Europe, pour éventuellement « développer et fabriquer ensemble certains VUL Renault et Ford », écrivent-ils dans un communiqué.« Renault Group est fier d’annoncer une nouvelle coopération stratégique avec Ford, un constructeur automobile » iconique déclare dans un communiqué François Provost, directeur général de Renault Group. Il poursuit : « Ce partenariat démontre la force de notre savoir-faire en matière de partenariats et notre compétitivité en Europe. À long terme, combiner nos forces avec Ford nous rendra plus innovants et plus réactifs sur un marché automobile européen en mutation rapide. »« Ce partenariat stratégique avec Renault Group constitue une étape importante pour Ford et soutient notre stratégie visant à bâtir une activité hautement efficiente et adaptée aux défis futurs en Europe » explique de son côté Jim Farley, Président et Directeur général de Ford Motor Company.








