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Évolutions, faits marquants et tendances économiques du secteur automobile en France et à l’international.
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Avec la nouvelle Twingo, Renault veut réveiller le marché des électriques "abordables"

Par AFP Par Frédérique PRIS © 2025 AFP Avec la nouvelle Twingo, dévoilée jeudi, Renault veut prouver que le marché de la petite voiture électrique peut enfin décoller, pourvu que l'on propose aux ménages des véhicules attractifs à moins de 20.000 euros.La marque au losange s'est appuyée sur l'imaginaire véhiculé par ce modèle, lancé en 1993 et vendu à plus de 4,1 millions d'exemplaires sur les trois générations confondues (1993, 2007, 2014) pour relever le "défi" des petites voitures, explique Fabrice Cambolive, directeur de la marque Renault.Sur ces 4,1 millions vendus, 1,8 million de Twingo sont toujours en circulation, précise Renault.La nouvelle Twingo reprend des traits marquants de son aïeule: quatre couleurs vives (rouge, vert, jaune et noir étoilé), banquette arrière coulissante, poupe arrondie et phares en demi-lune qui lui ont valu le surnom de "la grenouille".Le "design néorétro fonctionne bien depuis quelques années", relève Olivier Hanoulle, associé automobile au sein du cabinet Roland Berger. Mais exclusivement en électrique et avec la technologie d'aujourd'hui.Commercialisée début 2026, la Twingo E-Tech disposera d'une autonomie de 263 km selon les normes WLTP. Un niveau peu élevé assumé par Renault, qui destine ce véhicule avant tout aux trajets du quotidien. Un segment "déserté" Le segment A (qui désigne les plus petits véhicules) "a été quasi déserté par les constructeurs, en raison de la règlementation" qui impose des dispositifs de sécurité coûteux, selon Fabrice Cambolive. Les marges sont par ailleurs moindres sur ces petites voitures. "Mais c'est un segment clé pour la démocratisation de l'électrification", dit-il.L'Union européenne (UE) prévoit d'interdire la vente de véhicules neufs thermiques ou hybrides à partir de 2035. Une mesure phare pour que l'UE remplisse ses objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre, mais contestée par le secteur automobile qui réclame un assouplissement.L'électrique a représenté 19% des ventes de véhicules neufs en France depuis début 2025 (et 24% pour le seul mois d'octobre), selon la Plateforme automobile, qui regroupe les industriels français du secteur. Dans l'UE, la part était de 16% sur les neuf premiers mois de l'année, contre 13% sur cette même période en 2024, un niveau insuffisant pour atteindre l'objectif de 2035, selon l'ACEA, équivalent européen de la Plateforme automobile.Pour Christophe Michaëli, directeur du marché automobile chez Cetelem, la nouvelle Twingo "est un enjeu majeur pour Renault et pour l'électrification du parc auto" en France. "Aujourd'hui, 70% des voitures neuves électriques sont achetées par 20% des Français les plus riches. On a besoin de modèles +populaires+" pour réussir la transition écologique, ajoute-t-il, rappelant qu'il s'agit d'un objectif de santé publique. Méthodes chinoises A ceux qui affirment que les Français sont rétifs à l'électrique, l'expert rappelle le succès du leasing social (location avec option d'achat de véhicules électriques pour les ménages modestes avec un soutien de l'État) pour arguer qu'il s'agit d'abord d'une question de prix à l'achat.Les R5, R4 ou encore la C3 de Citroën et la Fiat 500 sont elles aussi des citadines avec des versions électriques, mais de segment B (un peu plus grosses que le A), à plus de 20.000 euros. Pour passer sous la barre des 20.000 euros (hors aides de l'État comme le bonus écologique), Renault s'est inspiré des méthodes des constructeurs automobiles chinois. Le groupe a ouvert un centre de recherche et d'ingénierie près de Shanghai fin 2023, où a été conçue la nouvelle Twingo en moins de 24 mois, contre trois à quatre ans pour une voiture européenne.Ces petites voitures "ne font pas les plus gros volumes de vente ni le plus de marge", mais la conception de la Twingo peut servir de test pour d'autres véhicules qui pourraient être développés sur le même modèle, selon Olivier Hanoulle.Quelque 45% des pièces de la nouvelle voiture sont conçues ou partiellement fabriquées en Chine. L'assemblage s'effectue dans l'usine Renault de Novo Mesto (Slovénie), où étaient déjà produites les deux dernières générations de Twingo.

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TV5 MONDETV5 MONDE
USA: abandon des poursuites pénales contre Boeing liées aux crashes du 737 MAX 8
BFMTVBFMTV
Boeing débourse plus d'un milliard de dollars pour obtenir l'abandon des poursuites pénales liées aux crashs mortels de son 737 Max 8
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Abandon des poursuites pénales aux États-Unis contre Boeing liées aux crashes du 737 MAX 8
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Boeing conclut des accords avec les victimes des crashs du 737 MAX
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Le FigaroLe Figaro
Les actionnaires de Tesla votent la très débattue rémunération à 1000 milliards de dollars d’Elon Musk
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Elon Musk : les actionnaires de Tesla se penchent sur la rémunération de 1.000 milliards de dollars promise au dirigeant
Auto MotoAuto Moto
Elon Musk va bientôt savoir s'il va toucher ses 1000 milliards de dollars
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Elon Musk : son jackpot sidéral à 1 000 milliards de dollars soumis aux votes des actionnaires de Tesla
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Incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ?

La production devrait baisser de 620 à 450 véhicules par jour. - Archives Karine Leroy/Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:02 Lecture zen Ce ne sont pas des pions ! » Le délégué syndical Central Adjoint FO Renault SAS, Fabien Gloaguen, ne décolère pas. Il a été informé que la direction de Renault Sandouville envisage de mettre fin au contrat de quelque 300 intérimaires fin 2025. Une réunion extraordinaire du comité social et économique s’est tenue jeudi 6 novembre 2025. Consultez l’actualité en vidéo Une décision d’autant plus incompréhensible pour le syndicaliste que ces salariés ont intégré l’entreprise à partir de septembre 2025 pour accompagner une montée en cadence de la production due à une reprise des commandes.« Ce sont plus que des intérimaires, ce sont des collègues de travail »Fabien Gloaguen, Délégué syndical Central Adjoint FO Renault SASLa direction de Renault avait en effet annoncé aux organisations syndicales, lors d’un CSE extraordinaire le 16 juillet 2025, sa volonté de remonter à pleine cadence, de manière temporaire, d’octobre à décembre 2025. Une décision qui intervenait alors même que l’usine avait dû revoir à la baisse sa production à la fin du premier trimestre 2025. Trois cents intérimaires avaient perdu leur emploi au printemps… 300 intérimaires qui avaient donc été rappelés, et qui risquent donc d’être remerciés, comme le prévoyait la direction. « Ce sont 300 familles impactées. Ce sont plus que des intérimaires, ce sont des collègues de travail », regrette Fabien Gloaguen. « Ils font partie de Renault, il y a une solidarité ! »« L’humain ne compte plus »Mais pour quelles raisons l’usine, qui produit l’utilitaire Trafic, donne-t-elle l’impression de jouer au yoyo ? Selon le délégué syndical Central Adjoint FO Renault SAS, il faut chercher la réponse du côté de l’Union européenne (lire par ailleurs). « L’Union européenne contraint Renault à faire baisser sa production », s’insurge Fabien Gloaguen. C’est un paradoxe alors que l’entreprise devrait jouer son rôle social. L’humain ne compte plus… Il ne faut pas mettre la pression sur les intérimaires. Ce sont des personnes dévouées. » À lire aussi Tereos annonce une réduction de la durée des contrats avec les planteurs de betteraves Une décision d’autant plus difficile à faire passer que la demande était de nouveau au rendez-vous et que cette fin des contrats d’intérim correspond à la période des fêtes de fin d’année. « Cela ne va faire qu’empirer la mauvaise nouvelle de devoir quitter Renault », regrette le délégué syndical Central Adjoint FO Renault SAS.« Avoir de la visibilité »Pour le secrétaire général CGT Renault Sandouville, Nicolas Guermonprez, joint par Paris Normandie, il n’est « pas question de mettre de la sinistrose… En tant que représentant du personnel, je n’ai aucun chiffre. Nous attendons d’avoir le document factuel… je suis un élu responsable, j’attends le document », suite au CSE. La CGT, qui a prévu de communiquer via sa page Facebook, demande à la direction de Renault Sandouville « d’avoir de la visibilité, de la franchise, de la clarté. » Par Karine LEROY Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Économie Le Havre (Seine-Maritime) Sandouville (Seine-Maritime) Incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ? Renault Sandouville s’apprêterait à mettre fin au contrat en intérim de quelque 300 personnes fin 2025. Le constructeur doit réduire sa production de véhicules utilitaires. Un CSE se tenait jeudi 6 novembre 2025.

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Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline

La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:03 Lecture zen Une grève, à l’appel du syndicat majoritaire CFDT, s’est tenue à l’usine Mousline de Rosières-en-Santerre, fabricant de purée déshydratée (140 salariés sur site, 174 au total avec le siège à Paris), jeudi 6 novembre. « Les personnels grondent depuis six mois, on a attendu, mais là nous avons considéré que c’était le bon moment pour dire stop », indiquent les représentants du syndicat. Le dernier mouvement de grève remonte à des dizaines d’années, pensent les plus anciens. Une quinzaine de salariés de l’équipe du matin ont débrayé de 10 à 13 heures, avant le relais l’après-midi d’autres collègues. Ce mouvement social « glissant sur la journée » a eu pour effet l’arrêt de deux lignes de production sur sept et deux sur quatre au conditionnement en matinée. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Le délégué syndical CFDT Alexis Dacquin liste les motifs de colère : la participation aux bénéfices réduite à zéro contre une prime de 1 500 € par le passé, des négociations salariales, en février, aboutissant à des augmentations « ridicules par rapport à l’inflation », des congés payés et des périodes de fermetures imposés. La politique du mail est mal supportéeDans un tract, les grévistes dénoncent « un dialogue social inexistant avec la direction » ainsi qu’un décalage entre les discours et la réalité. L’usine a été rachetée fin 2022 à Nestlé par le fonds d’investissement français FnB Private Equity. Les annonces positives des derniers mois tarderaient à se concrétiser. « Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit, notre production annuelle est à 15 000-16 000 tonnes et pas 20 000. Et la nouvelle ligne prévue il y a deux ans n’est toujours pas là », invoquent les grévistes. Enfin, et c’est un ressort du mouvement social, « il y a un problème de communication avec les ressources humaines qui ne pratiquent que la politique du mail à distance. Nous attendons, et vite, une nouvelle forme de dialogue », espère Alexis Dacquin. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet La communication de l’entreprise Mousline a été jointe par téléphone jeudi à la mi-journée, sans succès. Par Nicolas Totet Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline Des salariés de SGA Mousline à Rosières-en-Santerre étaient en grève ce jeudi 6 novembre. Un mouvement social, très rare, qui dit forcément quelque chose.

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Eagle Lightweight GTR, mieux que l’originale ?

Il faudra y mettre le prix... - D.R. Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:55 Lecture zen Sous son allure familière, la Lightweight GT, première « réinterprétation » de la légendaire Jag par Eagle, ne partageait déjà plus grand-chose avec la Type E d’époque, si ce n’est sa philosophie. Avec la GTR, Eagle a fait évoluer sa propre vision. Chaque panneau d’aluminium a été redessiné, le pare-brise est encore plus incliné, le toit abaissé, la silhouette générale est donc encore plus musclée. De son côté, le moteur six cylindres en ligne de 4,7 litres, conçu par Eagle selon le concept du bloc Jaguar XK d’origine, a lui aussi été retouché. À coups de bielles en titane, de triple carburateurs Weber, de volant moteur allégé et d’autres interventions, il développe désormais plus de 420 ch, soit un gain de 40 ch. Bête de course et de luxe Parallèlement, la GTR est plus légère que la GT. Grâce, entre autres, à des freins carbone-céramique, un échappement en titane et une boîte en magnésium, elle accuse 975 kg à la pesée, soit une perte de 40 kilos. Sachant que la GT pouvait abattre le 0-100 en à peine 5 secondes, on imagine que la GTR est plus véloce encore. Enfin, l’habitacle est un savant mélange d’authenticité sportive et de confort. On y trouve des baquets en aluminium revêtus d’Alcantara noir, des harnais quatre points, des interrupteurs en nacre, mais aussi la climatisation, un pare-brise chauffant et un discret support magnétique pour smartphone. Le prix ? Probablement plus du million d’euros demandé pour la Lightweight GT. De quoi s’offrir plusieurs vraies Type E, mais cette facture reste inférieure à ce que coûte une véritable E-Type Lightweight, produite à seulement 12 exemplaires, qui ne s’échangent pas à moins de 5.000.000 dans les ventes aux enchères. Par Laurent Zilli Eagle Lightweight GTR, mieux que l’originale ? Eagle, l’atelier britannique spécialisé dans la restauration des Jaguar E-Type, et qui s’est lancé il y a quelques années dans le restomod, vient de présenter une évolution de sa propre création. C’est cher, mais tellement pur.

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Le Ram Rampage arrive officiellement en Europe

Un modèle adapté à notre marché. - D.R. Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:58 Lecture zen Ce n’est donc pas par hasard si KW Auto, l’entreprise qui distribue déjà le colossal RAM 1500 en Europe, a choisi un Salon des arts hippiques, qui se tient à Vérone, pour présenter ce « petit » pick-up américain. Avec ses 5.028 mm de longueur, le Rampage est en effet un bon compromis pour l’Europe, et même plus compact que certains cadors du marché. Il sera aussi moins « rustique » sur le plan du confort, puisqu’il repose sur la plateforme « Small Wide 4×4 » du groupe Stellantis, déjà utilisée par des modèles comme l’Alfa Romeo Tonale ou le Jeep Compass. Côté capacité utile, on dispose d’informations pour le marché brésilien : la charge utile est annoncée à 1.015 kg pour la version diesel, pour une capacité de remorquage d’à peu près 1.814 kg. Des chiffres à confirmer pour l’Europe, mais dans sa catégorie, le Rampage affiche déjà des valeurs sérieuses et pourrait se révéler plus compétitif qu’on ne le croit. Bousculer le N°1 Car le segment que vise le Ram n’a rien de facile. On y trouve des durs à cuire comme l’Isuzu D-Max, le Toyota HiLux, et surtout le Ford Ranger, qui s’adjuge plus de 40 % des ventes de la catégorie. Avec ses dimensions et son image exotique, le Ram pourra peut-être disputer cette suprématie et séduire les acheteurs européens en quête d’un pick-up différent. Si Ram arrive avec un tarif attractif, une version diesel performante, un bon niveau d’équipement et des capacités de charge et de remorquage crédibles, le Rampage pourrait « chatouiller » le Ranger. À surveiller. Par Laurent Zilli Le Ram Rampage arrive officiellement en Europe Ce 6 novembre, le Rampage, initialement développé pour le Brésil, a été officiellement présenté en Europe. Un modèle parfaitement adapté à notre marché, qui se profile tant comme un véhicule lifestyle que comme un outil de travail.

Source LogoParis Normandie
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Retour aux sources pour la Twingo !

C'est un retour aux sources pour une voiture iconique des années 90. Le 13H vous dévoile en exclusivité les premières images de la toute nouvelle Twingo. Il y a 30 ans, sa sortie avait conquis le cœur des Français. La première version reste d'ailleurs très populaire puisque 400 000 roulent encore sur les routes aujourd'hui. On en croise un peu partout et à tous les coins de rue. Alors, à quoi ressemblera ce nouveau modèle ? Et surtout, à quel prix sera-t-il proposé ?

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98% des conducteurs de véhicules électriques se déclarent satisfaits, selon une étude

Tous les conducteurs de véhicules électriques ou presque (98%) sont satisfaits de leur voiture, selon une étude Toluna-Harris pour DRIVECO qui vient de paraître. Celle-ci dévoile également les progrès que les automobilistes attendent de ces automobiles à la pointe de la modernité. Des retours quasi unanimes. Comme le révèle une nouvelle étude Toluna-Harris pour DRIVECO, l'automobile électrique ne ferait quasiment aucun déçu, en France. Une écrasante majorité des automobilistes se disent en effet satisfaits de leur véhicule (98%). Un chiffre en hausse de 3 points par rapport à 2024. Cet attachement des utilisateurs à leurs véhicules électriques s'illustre aussi par leur fidélité vis-à-vis de leur automobile : un Français sur deux (50%) utilisant l'électrique se dit ainsi très attaché à sa voiture, un chiffre plus important que chez les utilisateurs de véhicule thermique (44%). L'utilisation de ce mode de transport personnel est par ailleurs diverse : 72% des conducteurs d'automobile ...

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