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Actualité de la gestion financière, du crédit, de l’épargne, de l’activité bancaire et des grandes tendances du secteur financier en France et à l’international.
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Clôture de millions de PEL en 2026 : que va devenir votre argent ?

Pour des raisons réglementaires, des milliers de plans d'épargne logement (PEL) vont fermer à partir de 2026. De nombreux Français se demandent donc où cet argent sera dirigé. Une information qui pourrait vous concerner. A la suite d'une modification des règles effectuée en 2011, l'ensemble des PEL souscrits après cette date sont limités à une durée de 15 ans. Au total, 75% des plans d'épargne logement contractés vont disparaître, soit 93 milliards d'euros répartis dans 3,2 millions de comptes. Que vont devenir ces fonds ? Le PEL, qui a vocation à «faciliter l'acquisition d'un logement à titre principal, en mobilisant cependant potentiellement des encours plus faibles que par le passé», comme l'écrit la Banque de France dans son rapport sur l'épargne réglementée 2024, a donc été modifié dans l'optique de respecter davantage cet objectif. Un versement automatique ou une anticipation manuelle Le site du gouvernement explique que l'ensemble des fonds ...

Source LogoCNEWS
l'Opinionl'Opinion
De 1,75 %, le taux du plan d’épargne-logement passe à 2 % en 2026
TF1 InfoTF1 Info
PEL : le taux du Plan épargne logement va remonter en 2026
Journal L'UnionJournal L'Union
Le taux des PEL signés en 2026 remonte d’un quart de point, à 2 %
CapitalCapital
Bonne nouvelle pour le PEL : son taux augmente à 2 % en 2026
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Épargne logement : le taux du PEL gagne un quart de point, et remonte à 2% pour 2026

Bonne nouvelle pour l’épargne des Français. Le taux du Plan d’épargne logement (PEL) remonte d’un quart de point, à 2 % pour 2026, selon un avis publié ce samedi au Journal officiel. Il était à 1,75 % pour les PEL ouverts depuis le 1er janvier 2025.Le taux de ce produit d’épargne réglementée, pensé pour permettre un projet immobilier, est déterminé au moment de l’ouverture du compte et reste le même pour toute sa durée de vie.> Plus d’informations à venir

Source LogoLe Parisien
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Résultats EuroMillions: le tirage du vendredi 19 décembre 2025
L'InternauteL'Internaute
Résultat Euromillions (FDJ) : le tirage de ce vendredi 19 décembre 2025 [EN LIGNE]
Économie MatinÉconomie Matin
Résultat Euromillions du vendredi 19 décembre 2025 : 29 millions d’euros en jeu
L'InternauteL'Internaute
Résultat Euromillions (FDJ) : le tirage de ce vendredi 19 décembre 2025 [EN DIRECT]
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Taxe émeutes : cette menace qui plane sur nos contrats d’assurance

Ce ne sera pas pour cette fois. Avec l’échec de la commission mixte paritaire sur le budget 2026, la création de la taxe émeutes, rebaptisée « taxe casseurs » par les assureurs, est repoussée. Au moins de quelques semaines puisqu’une loi spéciale va être votée avant Noël.Le gouvernement avait en effet ajouté un amendement lors de l’examen du projet de loi de finances au Sénat dans le but de créer une garantie émeutes obligatoire dans le cadre des contrats d’assurance dommages aux biens des particuliers, des entreprises et des collectivités locales.Cette contribution, qui pourrait être de l’ordre de 2 % à 2,5 % de la prime selon « Les Échos », viendrait abonder un fonds d’indemnisation destiné à restaurer l’assurabilité du risque émeutes. Un rapport sénatorial avait évalué les dégâts consécutifs à la mort de Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine) à 793 millions d’euros, soit quatre fois plus que les émeutes de 2005. Et ceux de 2024 en Nouvelle-Calédonie à 923 millions d’euros.La mesure, déjà envisagée cet été par le gouvernement, avait été retirée du budget juste avant sa présentation. Il faut dire que le sujet est inflammable. D’abord dans l’opinion publique puisque cette taxe, qui va à l’encontre du principe casseur payeur, aurait fait augmenter d’autant les contrats d’assurance auto et habitation.Mais la mesure hérisse aussi le poil des assureurs. « C’est une obligation superflue étant donné que, hors les DOM TOM, il n’y a pas de problème de couverture assurantielle des émeutes en France », a ainsi estimé il y a quelques jours sur LinkedIn Adrien Couret, directeur général Aéma groupe (Macif, Abeille assurances…).L’État condamné à verser 28 millions d’euros à Allianz en Nouvelle-CalédonieUn autre assureur critique aussi le fait que les assurés seraient de fait les seuls contributeurs de ce fonds d’indemnisation. Et surtout que sa mise en place exonérerait l’État de toute responsabilité. « Si sa doctrine du maintien de l’ordre reste de tout laisser brûler tant qu’il n’y a personne dedans, ça ne va pas être possible », cingle le patron d’une compagnie d’assurances.Hasard du calendrier, l’éventualité de cette taxe émeutes revient sur le devant de la scène alors que le tribunal administratif de Nouvelle-Calédonie a reconnu mi-décembre la responsabilité de l’État dans les émeutes qui ont éclaté à partir du 13 mai 2024, le condamnant à verser près de 28 millions d’euros à la compagnie d’assurances Allianz.« Dans ce monde à l’envers, l’État fait ainsi voter des lois pour se protéger, laissant les Français payer les pots cassés à sa place », dénonce encore Adrien Couret sur LinkedIn. Voilà en tout cas un dispositif qui risque d’enflammer les relations entre les assureurs.

Source LogoLe Parisien
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L’Union européenne acte un prêt de 90 milliards d’euros pour l’Ukraine sans les avoirs russes

Au terme d’un sommet prolongé, les vingt-sept chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont validé un financement de 90 milliards d’euros destiné à soutenir l’Ukraine sur les deux prochaines années. Faute d’un consensus sur l’usage des actifs russes gelés, les institutions européennes privilégient une émission de dette classique pour compenser le retrait financier des États-Unis.

Source LogoLa Tribune
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"Beaucoup d'assurés ne peuvent pas avancer les fonds" : cette carte virtuelle prépayée pourrait vous rendre bien des services

Porte claquée, pneu crevé, carte bancaire volée… Certains sinistres peuvent provoquer de gros tracas pour votre quotidien. Il faut les déclarer au plus vite auprès de votre assureur et avancer les fonds. Une entreprise propose une carte virtuelle prépayée avec un parcours d'indemnisation immédiat. Les explications du président d'Eyst Technology Arnaud Brodzki.

Source LogoTF1 Info
La TribuneLa Tribune
Taux d'intérêt : La Banque d’Angleterre s'apprête à passer à l'offensive face à une récession qui menace
BFMTVBFMTV
Pour sa dernière réunion de l'année, la BCE laisse ses taux inchangés face à une inflation sous contrôle dans la zone euro
TV5 MONDETV5 MONDE
BCE: Noël sans baisse de taux en zone euro
CapitalCapital
CAC 40 : la Bourse de Paris hésite avant la décision de la BCE et l’inflation américaine
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Bientôt une assurance "émeutes" obligatoire ?

Nos assurances seront bientôt plus chères. Une couverture de risque "émeutes" pourrait devenir obligatoire dans les contrats auto et habitation. Sur une assurance habitation à 350 euros par an, par exemple, le risque de catastrophes naturelles est de 70 eu ros. À cela s'ajoute un fonds de garantie des victimes de terrorisme de 6,50 euros chaque année, et peut-être bientôt, si le budget est adopté, une surprime émeutes qui pourrait s'élever à 2% de la facture.

Source LogoTF1 Info
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« Si on nous avait écoutés, nous n’en serions pas là » : avant son départ de la Cour des comptes, Pierre Moscovici s’inquiète de l’état des finances publiques

Alors qu’il s’apprête à quitter la présidence de la Cour des comptes, Pierre Moscovici s’est montré sceptique sur l’avenir économique. Atteindre un déficit public à hauteur de 5 % du produit intérieur brut (PIB) en 2026, « ça ne paraît pas très bien parti », a estimé mercredi le premier président de l’institution, qui doit quitter son poste jeudi.« Pour la deuxième fois en deux ans, la France risque de ne pas avoir de PLF (projet de loi de finances, NDLR) avant la fin de l’année », relève l’ex-ministre socialiste, alors que le gouvernement vise toujours un déficit public inférieur à 5 % du PIB en 2026, contre 5,4 % cette année.« Nous verrons si nous pouvons atteindre les 5 % pour rester dans les clous » mais, « ça ne paraît pas très bien parti », a jugé Pierre Moscovici, lors de sa dernière conférence de presse en tant que premier président de l’institution de la rue Cambon, qu’il avait rejointe en 2020 au lendemain du premier confinement lié à la pandémie de Covid-19.Son successeur encore inconnuSur les finances publiques, « je pense que si on avait écouté les recommandations de la Cour des comptes, nous n’en serions pas là », a-t-il affirmé, assurant s’être « refusé à tout moment à agiter l’arme de l’insincérité au sein du Haut conseil des finances publiques (HCFP) », qui contrôle les prévisions budgétaires du gouvernement, et qu’il présidait également. Il a également mis en garde contre un « illibéralisme croissant » et défendu « l’indépendance » de la Cour.L’identité de son successeur, qui devra être désigné par le président Emmanuel Macron, n’est toujours pas connue. Plusieurs médias citent le directeur général de l’Agence française de développement, Rémy Rioux, comme possible successeur.Le futur premier président de la Cour devra « avoir une voix forte » et du « sens politique », car « nous ne sommes pas politiques mais dans l’écosystème », et il devra avoir des « principes éthiques en béton », a déclaré Pierre Moscovici.Lui-même va rejoindre la Cour des comptes de l’Union européenne à Luxembourg le 1er janvier. S’il n’a pas successeur à cette date, « un intérim est prévu ». Mais il « vaut mieux que ça ne dure pas trop longtemps », a-t-il conclu.

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Arnaque au péage : comment être remboursé par sa banque ? Le 13H à vos côtés

Carine raconte que sa fille, après un trajet vers Dijon par l’autoroute, a reçu un e-mail évoquant un péage impayé. En cliquant sur le lien pour régulariser la somme, un escroc lui a fait valider plusieurs paiements. La banque refuse par ailleurs de la rembourser. Si vous avez authentifié le paiement par code, SMS ou reconnaissance faciale et que vous avez commis une négligence grave, aucun remboursement n’est dû. Dans le cas contraire, vous pouvez exiger un remboursement dans un délai de treize mois.

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Le FigaroLe Figaro
Catastrophes naturelles : les pertes économiques chutent de près d'un tiers en 2025
Économie MatinÉconomie Matin
Catastrophes naturelles : 200 milliards de dommages, 100 milliards de remboursements
Sud OuestSud Ouest
Catastrophes naturelles : les pertes économiques diminuent de près d’un tiers en 2025, mais dépassent les 100 milliards
TV5 MONDETV5 MONDE
Catastrophes naturelles: les pertes économiques diminuent de près d'un tiers en 2025, selon Swiss Re
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Complémentaires santé : les tarifs des mutuelles augmentent de 4,3 % en 2026 !

Le vote solennel du Projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) ne devrait être qu’une formalité ce mardi après-midi à l’Assemblée nationale après son adoption la semaine dernière à 13 voix près. Mais, si quelque chose devait changer le vote de certains députés au tout dernier moment, c’est peut-être l’étude annuelle de la Mutualité française dévoilée aujourd’hui et qui estime, au plus près de la réalité, les hausses de cotisations auxquelles vont être confrontés les Français l’an prochain.Les tarifs vont ainsi augmenter en 2026 en moyenne de 4,3 % pour les contrats individuels (pour les étudiants, les chômeurs, les retraités…) et même de 4,7 % pour les contrats collectifs (ceux pour les salariés à travers leur entreprise). Sur les cinq dernières années, l’augmentation atteint 22 % au total, soit 4,4 % en moyenne annuelle. Alors qu’entre 2013 et 2020, la hausse n’était que de 1,8 % par an.

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Pourquoi nos mutuelles vont coûter plus cher

Votre mutuelle va vous coûter plus cher en 2026, plus 4 à 5 % en moyenne. Pour une famille, la hausse sera plus forte. Prenons l'exemple d'un couple avec deux enfants avec une mutuelle de 2 208 euros par an, avec cette hausse, ce sera 88 à 110 euros de plus sur le montant de la facture, soit bien plus que le niveau de l'inflation. Si l'augmentation est la même pour tout le monde, ses conséquences seront en revanche plus ou moins visibles en fonction de là où vous résidez.

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Fed : Trump annonce ses favoris et exige que le prochain patron le consulte sur les taux

Dans un entretien accordé au Wall Street Journal, le président Donald Trump a dévoilé ses intentions pour la tête de la Réserve fédérale (Fed) l’an prochain. Le futur président de la Fed devra le consulter avant toute décision sur les taux d’intérêt. Cette condition remet en question l’indépendance historique de la banque centrale américaine et révèle la ligne monétaire expansionniste privilégiée par la Maison-Blanche.

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Prélevé deux fois du même montant : comment être remboursé ? Le 13H à vos côtés

Lors d’un achat effectué dans une grande surface, David a été débité deux fois du même montant, mais le magasin affirme n’avoir encaissé la somme qu’une seule fois. Il n’a toujours pas été remboursé malgré ses appels, après un mois d’attente. Dans un cas c omme celui-ci, on peut solliciter le magasin avec le ticket et le relevé bancaire prouvant le double débit. Si le magasin refuse de rembourser, il est possible de faire intervenir sa banque, qui pourra démontrer l’opération au supermarché.

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Prêt d'argent : une amie refuse de me rembourser, que faire ? Le 13H à vos côtés

Cet été, Louane est partie en vacances avec ses copines. Elles ont utilisé une application pour partager les frais. Elles ont toutes effectué leur part, sauf une. Cette dernière leur doit encore 85 euros et quelques centimes. Que doivent-elles faire pour r écupérer leur argent ? En rappel, la plateforme qu'elles ont utilisée pour répartir les dépenses ne peut pas les aider puisqu'elle ne fait que calculer l'argent. Cependant, dans certains cas, on peut contraindre la personne à payer.

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Tarifs des complémentaires santé en hausse : découvrez combien vous payez en moyenne

Le coût des complémentaires santé pèse de plus en plus lourd dans le budget des Français. Et 2026 ne devrait pas déroger à la règle. Au global, les prévisionnistes tablent pour l’an prochain sur des hausses de cotisations des contrats individuels de 2,5 % à 3,5 % selon le cabinet Facts & Figures, de 3 % à 4 % selon le comparateur d’assurances Assurland.com, et même entre 3,4 % et 10 % (avec une médiane à 5 %) pour le cabinet d’actuariat Addactis. Autant d’indexations qui, dans tous les cas, s’annoncent bien supérieures à l’inflation de 1,3 % attendue l’an prochain par la Banque de France. Pour les mutuelles et assureurs de santé, ces augmentations se justifient par le vieillissement de la population, des appareillages plus technologiques, un contexte d’incertitudes et de dérives des dépenses.Mais une autre raison anime aussi les organismes complémentaires. Tous craignent et anticipent de nouvelles taxes votées par le législateur. L’adoption, mardi par l’Assemblée, du projet de loi de finance de la Sécurité sociale (PLFSS) prévoit en effet un relèvement (+ 2,05 %) de la taxation sur les cotisations perçues par les organismes de santé. Cette « surtaxe » devrait rapporter 1,1 milliard d’euros dans les caisses de l’État. Si elle est définitivement adoptée, elle pourrait se répercuter, à terme, sur les assurés. « Certains acteurs tiennent déjà compte de ce surcoût dans leurs tarifs mais pas tous et, pour ceux-là, il faut s’attendre à ce qu’ils le lissent sur plusieurs années sur leurs clients », analyse le cofondateur d’Assurland.com, Olivier Moustacakis.

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« Coûteux » et « favorable aux affiliés » : la Cour des comptes épingle la retraite des pilotes et hôtesses de l’air

La Cour des comptes demande à la Caisse de retraite complémentaire des pilotes, hôtesses de l’air et stewards (CRPN) de se réformer pour faire face à la fragilité de son équilibre financier et à des problèmes de gouvernance.Dans un rapport publié mercredi, la Cour des comptes note le caractère « coûteux » et « très favorable aux affiliés » de ce régime complémentaire, qui permet notamment un départ à la retraite anticipé dès 55 ans pour certains.Elle recommande notamment « d’adapter les paramètres du régime », pour faire face aux risques croissants de déséquilibre de celui-ci.À court terme selon la Cour, ce régime, qui compte 36 000 actifs et 25 000 cotisants, a les moyens d’équilibrer ses comptes, grâce « au rendement élevé de ses réserves », qui permet de compenser le déséquilibre actuel entre cotisations et prestations.Une retraite anticipée« Toutefois, la vague anticipée de départs à la retraite », du fait notamment de l’attractivité du régime, « devrait conduire à une forte consommation des réserves, fragilisant la pérennité du régime face à d’éventuelles variations économiques ou démographiques défavorables », indique la Cour.Les pilotes, hôtesses de l’air et stewards peuvent sous condition partir en retraite dès 55 ans, en bénéficiant de leur retraite complémentaire et en touchant « une prestation de majoration » visant à compenser l’absence de retraite du régime général tant que l’âge légal n’est pas atteint.Ils partent donc plus tôt en retraite que les salariés du régime général, les pilotes liquidant leur retraite en moyenne « à 62 ans » et les personnels navigants commerciaux « à 58,5 ans », « contre 63,4 ans pour l’ensemble des assurés du régime général », note la Cour.Par ailleurs, « le montant des prestations (…) est bien supérieur à celui des pensions complémentaires versées aux autres salariés par l’Agirc-Arrco », le régime de retraite de complémentaire des autres salariés du privé, du fait « principalement » des écarts de salaires durant la carrière, rappelle la Cour.Les règles déontologiques « pas rigoureusement appliquées »La Cour des comptes recommande également de « modifier la composition du conseil d’administration » au profit notamment des hôtesses et stewards, et des femmes, et de renforcer le pouvoir de la direction générale.« Les règles déontologiques ne sont pas rigoureusement appliquées par les administrateurs, notamment celles relatives à la confidentialité des délibérations et aux conflits d’intérêts », estime la Cour.La Cour relève notamment « le remboursement, sans véritable contrôle, de frais de déplacement au président du conseil d’administration pour un montant significatif (…) sans que la CRPN ne soit en mesure d’attester sa présence physique aux réunions ».

Source LogoLe Parisien