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Tendances, astuces et produits du secteur de la beauté, maquillage, soins de la peau et des cheveux.
Abbeville : le quartier de Rouvroy a retrouvé son magasin de fleurs

Aurélie devant sa boutique Aurélie devant sa boutique très fleurie Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:51 Lecture zen C’est après quelques travaux de rafraîchissement, mais surtout après de longues lourdeurs administratives qu’Aurélie Cantrel, la salariée d’» Eddy Fleurs » a repris ce commerce ouvert par Eddy Dumesnil. Consultez l’actualité en vidéo « J’adore mon métier. À l’âge de 14 ans, j’ai souhaité faire un stage découverte chez un fleuriste et j’ai toujours aidé ma mère à faire ses jardinières. J’adore la décoration et le contact client mais je suis avant tout fleuriste. Je ne me voyais pas lâcher ma clientèle que j’apprécie beaucoup et qui m’a soutenue pendant cette fermeture. J’ai démarré en tant qu’apprentie à la création du magasin et j’y ai été salariée pendant vingt ans. Pour moi c’était le sens de reprendre la boutique avec mon mari et mes enfants. C’est un projet de vie. « explique la jeune femme. À lire aussi Un jeune de 18 ans meurt dans un accident près d’Abbeville, les deux passagers en urgence absolue Un nouveau nom pour une nouvelle aventure« Eddy Fleurs » devient « Elle dit « Fleurs » : « C’est dans la continuité pour ne pas perturber la clientèle et un hommage à Eddy », conclut la fleuriste.page Fb : Elle dit « Fleurs » Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Abbeville (Somme) Abbeville : le quartier de Rouvroy a retrouvé son magasin de fleurs Fermé en septembre 2025 suite au départ en retraite de son ancien propriétaire et créateur, le magasin de fleurs de la Chaussée de Rouvroy situé juste à côté de la petite église Saint Jean-Baptiste a rouvert ses portes ce samedi 13 décembre 2025.

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Oubliez le bambou et ses problèmes à gérer : ces 2 beaux arbustes qui poussent aussi vite le remplacent sans dangers

Le bambou est souvent choisi pour former une haie rapide et dense, masquer un vis-à-vis ou simplement structurer un jardin. Son allure exotique, son feuillage persistant et sa croissance impressionnante… L’article Oubliez le bambou et ses problèmes à gérer : ces 2 beaux arbustes qui poussent aussi vite le remplacent sans dangers est apparu en premier sur Pause Maison.

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Compiègne : la maison Temyris réinvente la minaudière, l’accessoire beauté 3 en 1

Aurore Vast, créatrice de Temyris, présente sa minaudière, inspirée d’un modèle hérité de son grand-père. - Fanny Dollé Mis en ligne le 21/12/2025 à 12:03 Lecture zen Qu’est-ce qu’une minaudière ? Cet accessoire de mode féminin, généralement un objet de joaillerie, était destiné à remplacer le sac du soir. Créée en 1930 par la maison Van Cleef, cette boîte, qui tient dans la paume d’une main, contenait tout le nécessaire de maquillage des élégantes. La maison Temyris, basée à Compiègne, vient de lancer la commercialisation de sa minaudière de luxe. Dans cette boîte ultra-compacte, trois objets en un : un poudrier et son miroir, un vaporisateur rechargeable de parfum et un rouge à lèvres. - Temyris Aurore Vast, créatrice de Temyris, a puisé son inspiration dans l’histoire familiale. Une minaudière fabriquée par son grand-père Henry pour sa grand-mère. « Ce bijou, reçu en héritage, est resté des années sur ma table de chevet, sans que j’y prête forcément attention. » À l’intérieur de cette boîte ultra-compacte, un étui pour le rouge à lèvres, un vaporisateur de parfum intégré et un miroir accompagné de sa poudre de riz parfumée. « Cela évitait à ma grand-mère de faire cinq heures de vélo pour repasser à la maison. Elle pouvait se pomponner sur place et se rendre directement au bal. »À la tête d’une agence de marketing digitale, Aurore Vast profite des bouchons parisiens pour ses retouches maquillages. « J’avais toujours un tas d’accessoires dans mon sac à main. Je me suis demandé pourquoi la minaudière n’existait plus aujourd’hui : cet élégant 3 en 1 faciliterait pourtant grandement la vie des femmes. » Elle revend son entreprise et continue à y travailler comme salariée. Insatisfaite, elle repense souvent à cette idée de minaudière et ose enfin en parler à son associé, Paul Teyssedre, qui accepte de l’accompagner dans cette nouvelle aventure entrepreneuriale.« Notre cible, ce sont les femmes entre 30 et 50 ans. Ces amazones du XXIe siècle qui sont sur tous les fronts et portent du maquillage comme une armure pour affronter le monde. »Aurore Vast, Créatrice de Temyris« On voulait prendre notre temps et faire façonner ce nécessaire de beauté en France par des artisans d’exception. » Démarre alors un parcours du combattant de cinq ans. Le duo se tourne vers les ingénieurs de l’université de technologie de Compiègne (UTC), rencontre des responsables d’usine, des lapidaires pour sertir de pierres fines le capot de la boîte ou encore des dinandiers. Pour la partie financement, la créatrice se fait accompagner par l’incubateur I-Terra, le Réseau Entreprendre, la Banque Publique d’Investissement ou encore Initiative Oise-Est. « On n’avait aucune connaissance technique. On a eu la chance d’avoir pu embarquer toutes ces personnes avec nous, dans notre projet. » Le nom de la maison Temyris rend hommage à la dernière reine des Amazones, légendaire reine des Massagètes, célèbre pour avoir mis fin au règne de Cyrus le Grand. - Temyris Cet écrin précieux, qui a nécessité le dépôt de trois brevets, est réalisé en grande partie dans les Hauts-de-France. « La minaudière de mon grand-père était fabriquée en galalithe, à 95 % de lait et 5 % de vinaigre blanc. Une fabrication 100 % biodégradable, qui n’a pas bougé en cent ans. Je voulais repartir sur cette même base ». L’entrepreneuse s’est appuyée sur le savoir-faire des entreprise Neoax Industries à Fleurines, dans le sud de l’Oise, et Marchio à Friville-Escarbotin, en Picardie Maritime.Cent modèles sont sortis d’usine et la commercialisation de la minaudière a démarré à la mi-décembre. « Notre cible, ce sont les femmes entre 30 et 50 ans. Ces amazones du XXIe siècle qui sont sur tous les fronts et portent du maquillage comme une armure pour affronter le monde. » La clientèle compte aussi des hommes, prêts à débourser entre 2000 et 4500 euros pour faire plaisir à leur compagne avec ce cadeau de luxe. Par Fanny Dolle Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Compiègne Friville-Escarbotin (Somme) Fleurines (Oise) Compiègne : la maison Temyris réinvente la minaudière, l’accessoire beauté 3 en 1 Symbole d’élégance dans les années 30, la minaudière signe son grand retour grâce à la maison Temyris. Cet accessoire de beauté renferme un rouge à lèvres, un vaporisateur de parfum et un poudrier.

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Carla Bruni annonce avoir terminé son traitement contre le cancer du sein et lance un appel aux femmes
Le FigaroLe Figaro
Carla Bruni annonce avoir terminé son traitement contre le cancer du sein
Vanity Fair FranceVanity Fair France
Carla Bruni annonce avoir terminé son traitement contre le cancer du sein
ElleElle
Carla Bruni : elle annonce avoir terminé son traitement contre le cancer du sein
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« Des cosmétiques à la composition opaque » : l’influenceuse Maeva Ghennam fait le tour des pharmacies et s’attire les foudres des professionnels

Une opération qui fait grincer des dents. Depuis plusieurs jours, l’influenceuse Maeva Ghennam est sous le feu des critiques de pharmaciens pour avoir organisé le « PharmaTour », une « tournée » dans plusieurs pharmacies du pays afin de promouvoir sa propre ligne de produits cosmétiques.Pour faire la publicité de sa marque « Snam » et de ses brumes parfumées, l’influenceuse aux 3 millions d’abonnés a sillonné les routes du pays aux côtés d’autres stars des réseaux sociaux, comme Fidji Ruiz, Milla Jasmine ou encore Kamila. View this post on Instagram Le premier arrêt de cette tournée promotionnelle s’est fait la semaine dernière dans une parapharmacie du centre commercial Carré Sénart, à Lieusaint, en Seine-et-Marne. L’occasion pour Maeva Ghennam d’enfiler une blouse du magasin et de se placer en caisse pour vendre ses produits.Pas de soin mais des « brumes et des gloss »L’influenceuse est ensuite passée par des officines à Évry, Dourdan, et devait se rendre dans une dizaine d’autres adresses jusqu’au 14 décembre, précise le Quotidien du Pharmacien.Mais cette tournée n’est pas vue d’un bon œil par plusieurs professionnels du secteur. Sur LinkedIn, le pharmacien Guillaume Kreutter, basé Strasbourg, dénonce un « modèle Maeva Ghennam » qui vise à vendre des « cosmétiques à la composition parfois aussi opaque que le cadre légal de l’influence ».Il s’inquiète d’une « mutation » de « l’espace officinal » en lieu pour « vendre des brumes et des gloss », et non pour guider « vers le soin ». « Le conseil pharmaceutique est remplacé par le placement de produit », écrit-il.Une « atteinte à notre métier »Sur le même réseau professionnel, sa consœur Delphine Lemonnier, qui exerce en Bretagne, indique avoir effectué un signalement au sujet du « PharmaTour » auprès du Conseil national de l’ordre des pharmaciens (CNOP).« Ce PharmaTour et ces influenceuses portent atteinte à notre métier », écrit la pharmacienne. « Sachez que mettre une blouse ne fait pas de vous des professionnels de santé » , ajoute-t-elle en direction des influenceuses participant à cette virée promotionnelle.Interrogé par le Quotidien du Pharmacien, le CNOP indique que les signalements effectués au sujet du « PharmaTour » « seront étudiés comme chaque signalement déposé sur le site ».Le « PharmaTour » à l’arrêtCes critiques ont-elles eu raison du PharmaTour ? Sur ses réseaux sociaux, Maeva Ghennam a confié avoir dû mettre fin prématurément à sa tournée notamment car celle-ci était « trop fatigante ».« J’ai dû arrêter ma tournée et rentrer à Dubaï en urgence », explique-t-elle dans une vidéo diffusée ce dimanche. « Il m’arrive un truc de fou. Je vous expliquerai. (…) Je suis trop dégoûtée d’avoir arrêté comme ça le PharmaTour. Après, voilà, je suis allée presque jusqu’à la fin, même si j’étais trop fatiguée, ça me faisait plaisir de le voir et de le faire », a-t-elle ajouté.Maeva Ghennam a déjà été épinglée pour ses promotions douteuses de produits cosmétiques en ligne. En octobre, elle a même été condamnée à un an de prison avec sursis et 150 000 euros d’amende pour plusieurs infractions correspondant à des pratiques commerciales trompeuses de 2019 à 2023.Elle avait notamment vanté les prétendues vertus d’une crème volumatrice pour les fesses et les seins, de thés faisant perdre 7 kg en 20 jours, ou de bonbons faisant pousser les cheveux.La starlette des réseaux sociaux avait aussi été visée pour sa promotion de séances de microneedling (un soin du visage réalisé à l’aide de toutes petites aiguilles), et de blanchiment dentaire américain chez une esthéticienne - des pratiques pourtant réservées aux médecins.

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Miss France 2026 : Saint Louis, Hugues Capet, Chabal et Manaudou… L’arbre généalogique très surprenant de Hinaupoko Devèze

Hinaupoko Devèze était-elle destinée à être couronnée Miss France 2026 ? La jeune femme de 23 ans a en tout cas du sang royal qui coule dans les veines, relève La revue française de Généalogie. En se basant sur des arbres généalogiques déjà réalisés, elle a remonté les origines de la reine de beauté jusqu’à Jean, marquis de Pont-à-Mousson et fils illégitime du roi René d’Anjou, ce qui relie la Tahitienne à la lignée des rois de France, dont Saint Louis.« Par son père, Miss France est descendante de plusieurs familles de la Noblesse Ardéchoise et Provençale, et elle serait bien descendante de Saint Louis et d’Hugues Capet par Jean d’Anjou », nous confirme Adrien Gil, généalogiste successoral.Celle qui représentait Tahiti au concours de Miss France samedi soir, est métropolitaine par son père, Olivier, et comme 500 foyers en France, elle porte le nom Devèze. Un patronyme qui trouve ses racines dans le Cantal, l’Aude et le Gard.C’est d’ailleurs dans ce département qu’elle a grandi et qu’on retrouve la trace de Barthélémy Devèze, né vers 1560, et Jean Devèze, né vers 1410 et apparenté à la noblesse locale.Une cousine de Chabal et ManaudouQuelques recherches supplémentaires révèlent d’autres anecdotes sur l’histoire familiale de Hinaupoko Devèze. « Son arrière-grand-père, René Jean Louis Devèze, né à Valence dans la Drôme, a été blessé à l’avant-bras gauche, par éclats d’obus le 29 avril 1918 pendant la Première Guerre mondiale, à Mont Rouge, en Belgique, raconte par exemple Adrien Gil, citant un registre militaire. Il a, par la suite, été amputé du bras avant gauche. »L’homme, décoré de la médaille militaire et de la croix de guerre, « était employé de commerce, puis comptable lors de son mariage avec une Ardéchoise, Juliette Prachazal, à Valence, dans la Drôme », poursuit le généalogiste. C’est de ce côté-là qu’elle serait cousine avec le rugbyman Sébastien Chabal, selon La revue française de Généalogie qui note aussi un cousinage avec Laure et Florent Manaudou par la famille Fourchades.Des origines marquisiennes côté maternelleDu côté de sa mère, Léa, toutes les pistes généalogiques mènent aux îles Marquises, et notamment aux îles Ua Pou et Nuku Hiva.« La mère de Miss France est descendante d’un Américain, Henry James Nichols, installé dans les îles Marquises dans les années 1860-1870, détaille Adrien Gil. Il a notamment été appréhendé par une embarcation qui avait pour but d’enrôler et de capturer des personnes dans les îles du Pacifique afin de ramener de la main-d’œuvre au Pérou. »L’homme, dont le témoignage a été publié en 1863 dans le Messager de Tahiti, « a refusé de participer à ces pratiques et prit la fuite pour échapper à leur projet de recrutement déguisé ». Il a quitté l’embarcation pour retourner sur son île et retrouver sa femme et ses enfants.D’autres destins sont plus tragiques, comme celui de Célestin Mirabel, un serrurier ardéchois condamné aux travaux forcés en Nouvelle-Calédonie en 1877 est décédé en 1900. Une sorte de premier lien avec le Pacifique du côté paternel qui perdure depuis.Après avoir grandi en métropole, Hinaupoko, Céline de son deuxième prénom, Devèze est repartie vivre à Tahiti à sa majorité, sur les traces de sa famille maternelle. En 2026, la reine de beauté est de retour en métropole, où elle est logée pendant son année de règne dans un appartement du XVIIe arrondissement de Paris, tout près de l’Arc de Triomphe.

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« Quant on se plait à soi même, c’est plus facile de renvoyer une belle image » : à Amiens, cet espace beauté et bien-être prend soin des personnes en situation de précarité

« Quand ils repartent avec le sourire, c’est une première victoire. Avec un pied dans la précarité, on a du mal à se sortir de la spirale… Ce sont des personnes vulnérables, cabossées par la vie. Notre but est de leur offrir un moment de répit » explique Amélie Gendret, responsable du dispositif Passerelles vers l’emploi 80. La responsable du dispositif Passerelles vers l’emploi 80 est à l’initiative de l’ouverture du deuxième espace beauté et bien-être en province financé par la Fondation L’Oréal à destination des femmes et des hommes en grande difficulté. Ce petit cocon bienveillant hors du temps se trouve dans une partie des anciens abattoirs d’Amiens (Somme), dans le quartier de Montières.1 300 personnes concernéesCe projet, elle l’a porté durant plus d’un an avec trois associations oeuvrant dans le champ de l’insertion : Ozange.net, Apremis et Somme emploi services. « Les principaux critères de la Fondation L’Oréal étaient de s’inscrire dans la durée et d’être en relation avec le public éligible, poursuit Amélie Gendret. A Amiens, 1 300 personnes sont concernées. »L’espace beauté et bien être est ouvert chaque jour de la semaine de 9 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 heures. Femmes et hommes, adressés par un travailleur social et inscrits dans un parcours vers l’emploi, ont accès à une boutique solidaire. Chaque mois, grâce à un coupon, ils peuvent choisir trois produits parmi la centaine de références offertes par le numéro un mondial de la beauté : shampoings, gels douche, crèmes, masques pour les cheveux, maquillage, produits pour les enfants… La boutique a déjà accueilli plus de 70 personnes. Les femmes sont largement majoritaires. En parallèle, en groupe de 6 à 8, chacun peut profiter d’ateliers animés par Anne-Sophie Niquet, socio-esthéticienne de l’association Joane, basée à Amiens et rémunérée par la fondation L’Oréal. L’habillement, l’image, l’estime et la confiance en soi sont abordées. « En échangeant avec les autres, ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls. Quant on se plait à soi même, c’est plus facile de renvoyer une belle image, de se confronter un employeur », assurent nos deux interlocutrices. « Elles ont besoin qu’on les écoute »Les femmes ont le privilège de bénéficient de soins individuels une fois par trimestre d’une durée d’une heure dispensés par Olivia, une socio coiffeuse de l’association Joane, et par Anne-Sophie, la socio esthéticienne. « Elles ont besoin qu’on les écoute », pointe cette dernière. Isabelle, 60 ans, travaille dans une repasserie : « Ca m’a fait beaucoup de bien, confie t-elle. Je n’ai pas le temps de m’occuper de moi. J’ai eu un massage des mains, une pose de vernis. J’ai pu me confier à Anne-Sophie. » Maman de trois enfants de 4 à 6 ans, Tarah, 32 ans, en recherche d’emploi, a bénéficié des mêmes soins. Elle repart avec ses trois produits du mois pour le corps et le visage. « Je me suis sentie à deux doigts de m’endormir, assure t-elle. Je reviendrai pour des soins du visage. Ca fait longtemps que je n’en ai pas fait. Anne Sophie est douce, gentille. Elle met à l’aise. »Adressée par sa conseillère Ozange.fr, la dynamique Margot, 22 ans, savoure avec des grands yeux d’enfant, chaque instant de son soin du visage. « Ma mère me coupe les cheveux et s’occupe de mes couleurs et je fais des masques chez moi. Mais je n’ai jamais eu l’occasion d’aller chez une esthéticienne. C’est important de s’occuper de soi», témoigne-t-elle, reconnaissante.

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Des routines skincare pour les enfants, vraiment ? On a fait tester des crèmes cosmétiques en laboratoire

« C’est complètement absurde. » Laurence Coiffard hoche la tête de gauche à droite, dépitée. Sous les yeux de la cosmétologue défilent quelques-unes des milliers de vidéos TikTok et Instagram proposant des « skin care routines » pour jeunes filles, une succession d’application, matin et/ou soir, de produits cosmétiques sur la peau.« Mais elle a déjà une peau parfaite cette petite fille ! », soupire la professeure d’université devant l’une des vidéos, dans laquelle la protagoniste se met en scène dans sa salle de bains avec des dizaines de crèmes hydratantes, mousses démaquillantes et autres eaux toniques. Dans une autre vidéo, une influenceuse conseille aux plus jeunes des produits adaptés à leur peau sensible.

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Grands Reportages - Beauté fatale à petit prix

Beauté fatale à petit prix - C'est l'une des grandes tendances du moment, la cosmétique à petit prix. Partout en France, des boutiques fleurissent. Sur les réseaux sociaux les influenceurs beauté se multiplient... et les ados les suivent. Comme Suzie, 17 ans, qui applique chaque matin une "routine beauté" minutieuse, avec jusqu'à 20 produits différents sur le visage. Addict aux crèmes, mascaras et autres produits low cost, l'adolescente se fournit, entre autres, dans les nouveaux supermarchés " discount " de la cosmétique. Mais que cachent ces produits de beauté bon marché ? Sont-ils vraiment bons pour notre santé ?

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La beauté, une obsession humaine

"On ne prête qu'aux riches", dit-on, mais on pourrait ajouter : "et aux beaux". De nombreuses études montrent que les personnes dotées d'un beau physique sont traitées avec davantage d'égards que les autres et qu'on leur fait davantage confiance. Mais la beauté aussi a un côté obscur, lorsque l'apparence devient une obsession. L’anthropologue Elisabeth Azoulay explore le rôle joué par la beauté en fonction des époques et des sociétés avec Laure Manent.

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