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Bretagne

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Actualités régionales sur la vie locale, la culture maritime, l’économie et les initiatives qui façonnent ce territoire de l’Ouest de la France.
Au Tréport, le Père Noël arrive par la mer et émerveille petits et grands malgré la pluie

Le père Noël est arrivé par la mer… - Photo Mathis Helie … mené par deux chiens de la SNSM - Photo Mathis Helie Il avait hâte de prendre des photos - Photo Mathis Helie Tous les enfants se sont prêtés au jeu de la photo - Photo Mathis Helie Les adolescents aussi - Photo Mathis Helie Et même les plus grands - Photo Mathis Helie Avant son arrivée, le concert des Brailleurs de Tubes Populaires a eu lieu - Photo Mathis Helie Certains spectateurs ont eu la chance de chanter - Photo Mathis Helie Avant de partir rejoindre le Père Noël - Photo Mathis Helie Après les photos, le Père Noël est reparti préparer les cadeaux - Photo Mathis Helie Mis en ligne le 21/12/2025 à 17:02 Lecture zen Dimanche 21 décembre 2025, le Père Noël est arrivé au Tréport par la mer, accompagné des bénévoles de la station SNSM et l’association des anciens pompiers de la commune. Consultez l’actualité en vidéo Sous les yeux émerveillés des enfantsLe tout sous les yeux émerveillés de la cinquantaine d’enfants présents sur place. Chacun a eu le droit à ses photos et à ses bonbons pour les plus gourmands, y compris les adultes. À lire aussi Abbeville : les Pères Noël sont descendus de leur moto Le mauvais temps a quelque peu gâché la fête. Principalement la déambulation prévue à 14h30 depuis le Forum, finalement annulée. À la place, le concert des Brailleurs de Tubes Populaires a eu lieu sur la terrasse du restaurant La Marine, située sur le quai François 1er. De quoi réchauffer les cœurs et les corps de la trentaine de courageux venus braver la pluie avant les fêtes de fin d’année. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Tréport (Seine-Maritime) Au Tréport, le Père Noël arrive par la mer et émerveille petits et grands malgré la pluie Dimanche 21 décembre 2025, le Père Noël a fait une arrivée remarquée au Tréport en débarquant par la mer, accompagné des bénévoles de la SNSM et de l’association des anciens pompiers.

Source LogoParis Normandie
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À Douarnenez, le bras de fer se poursuit autour de l’ancien village-vacances devenu squat

Et un épisode de plus à un feuilleton qui n’en finit pas ! A Douarnenez, près de Poullan-sur-Mer, et dans une zone naturelle protégée, le combat se poursuit entre le département du Finistère et les occupants actuels des Roches Blanches, un ancien centre de vacances squatté depuis 15 ans.Ces derniers voulaient acquérir de manière officielle leur lieu de vie lors d’une vente aux enchères, qui devait avoir lieu le 17 décembre. Le département, qui avait alors fait valoir son droit de préemption pour « renaturaliser le site et le rendre aux habitants », s’était empressé de débloquer 500 000 euros pour ce faire.L’offre du département, pourtant inférieure à celle des occupants, a été préférée par le tribunalMais voilà, le site des Roches Blanches a finalement été négocié lors d’une vente à l’amiable, devant le tribunal judiciaire d’Auxerre, mercredi dernier. L’offre avancée par le département du Finistère – qui n’a pas souhaité s’exprimer sur le sujet — a finalement été retenue jeudi 11 décembre.Les deux partis avaient, en effet déposé, chacun de leur côté, une proposition de rachat auprès de l’association Focepy, gestionnaire de l’ancien centre de vacances (en liquidation judiciaire, pour rappel). Selon nos informations, l’offre du département, qui était de 300 000 euros, a donc été préférée à celle des habitants des Roches Blanches, qui était de 320 000 euros.Par conséquent, la vente aux enchères prévue le 17 décembre 2025 au tribunal de Quimper n’aura pas lieu.Un recours fortement envisagéMais les habitants ne baissent pas les bras pour autant. Après un défilé pacifique dans les rues de Tréboul et Douarnenez, qui s’est déroulée dans le calme ce samedi et a rassemblé plusieurs centaines de personnes, ces derniers ont réaffirmé leur volonté de conserver leur lieu de vie, clamant leur incompréhension quant à cette décision de vente.Leur avocat, Me Delalande, a confirmé, vendredi, que le dépôt d’un recours était plus que probable. Le conseil départemental, lui, ne souhaite pas communiquer à ce stade sans qu’il y ait eu une communication officielle de l’instance judiciaire. Dans un communiqué, il dit cependant « réaffirmer simplement sa volonté de rendre ce site exceptionnel à la nature et aux Finistériens, et sa volonté de le faire dans un esprit de dialogue avec les occupants ».

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Le village breton préféré des Français lance ses illuminations... sans grande roue

Situé en bord de baie de Douarnenez, avec ses quelque 800 âmes, Locronan est l’un des villages médiévaux les plus visités du Grand Ouest et la seule commune à avoir obtenu le label « Plus Beau Village de France » dans le Finistère. Chaque année, pas moins de 800 000 visiteurs viennent fouler les pavés de ce site emblématique du territoire, qui a accueilli nombre de tournages au fil des décennies (« Les Chouans » d’Henri Calef, « Tess » de Roman Polanski ou encore « Un Long dimanche de fiançailles » de Jean-Pierre Jeunet).À l’instar du village de Rochefort-en-Terre (Morbihan), à l’autre bout de la Bretagne, il illumine ses vieilles pierres de la plus belle des façons. « Depuis maintenant douze ans, nous avons pensé une installation qui sublime le village et permet de mettre en valeur ses commerçants et artisans, glisse le maire, Antoine Gabriele. « C’est devenu un incontournable, et nous en sommes aujourd’hui à plus de 10 km de guirlandes LED entre maisons et sapins ». Des mappings sont aussi projetés sur la façade de l’église Saint-Ronan, classée au titre des Monuments historiques, qui fêtait encore il y a peu ses 600 ans d’existence.Critiquée, la grande roue ne revient pasEn revanche, pas de grande roue cette année ! Cette dernière, qui avait été installée lors des trois éditions précédentes, n’a pas pu, selon Antoine Gabriele, « être de la fête ». Si beaucoup en avaient profité, des voix s’étaient élevées pour critiquer ce choix au regard de l’aspect patrimonial et architectural du lieu.Pour financer les illuminations, le maire a « sollicité les commerçants, qui sont les premiers bénéficiaires de cet événement, et des entreprises locales en partenariat ». Elles seront inaugurées ce samedi 13 décembre à 18 heures par la musicienne Clarisse Lavanant. Outre les traditionnels chalets et traîneaux du Père Noël, le temps fort du programme sera l’intemporel chanteur breton Denez Prigent, qui se produira à l’église Saint-Ronan le 19 décembre à 20h30 et le 21 décembre à 20h30.

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« On a été pris pour des jambons ! » : à Villabé, le marché de Noël vire au fiasco pour les exposants

Plus de 120 prestataires présents sur un espace shopping de 1 000 m2. Un espace restauration pour toute la famille. Une tombola avec de nombreux lots à gagner et « un concert de Noël magique ». L’affiche publiée mi-novembre sur Instagram est alléchante. L’organisation, Salina Event, y promet « une journée conviviale, festive et pleine de surprises » où il sera possible de faire ses achats de Noël, de « découvrir des créateurs locaux et vivre la magie des fêtes en famille ».Le rendez-vous était donné pour le 7 décembre à La Lune d’or, une salle privée à Villabé (Essonne). Mais la journée féerique s’est transformée en cauchemar pour Samira. Dans une vidéo publiée sur TikTok et déjà vue à plus de 75 000 reprises, la créatrice de bijoux de la marque Presteance relate de longues heures d’attente, l’absence de clients, la différence de prix payée par les prestataires et les esprits qui s’échauffent… « On a été pris pour des jambons ! », s’agace-t-elle face à la caméra.Des prix de location aléatoires« Plusieurs personnes ont déposé plainte, dont moi pour escroquerie, assure-t-elle. On veut être remboursés. J’ai payé 120 euros pour louer 2 m2 d’espace d’exposition. Je n’ai vendu qu’un bijou à 14,40 euros… à une autre prestataire. » @presteance.fr Je me suis faite arnaquer en voulant participer à un marché de Noël et je vous raconte ce qu’il s’est passé ! LUNAIRE!!!! #arnaque #salinaeventes #voleur ♬ son original - Presteance Les minutes passent. Puis les heures. « À 13 heures, il n’y avait toujours aucun client. À 14h30, on a commencé à se parler entre exposants. Mais ce n’est que vers 16 heures, ne voyant toujours personne, qu’on a commencé à s’interroger, à comparer nos prix de location. Certains ont payé 250 euros pour le même espace que moi. D’autres ont loué 500 euros les 3 ou 4 m2, c’est extrêmement excessif. »Les gendarmes appelés en renfortS’estimant volée, Iris (le prénom a été changé) compte elle aussi déposer plainte. « Elle m’a dit qu’elle ferait énormément de publicité, qu’elle déposerait près de 1 500 flyers dans toutes les boîtes aux lettres du département et dans les grands centres commerciaux. Elle m’a bien vendu son salon », résume cette exposante au sujet de l’organisatrice.Le jour J, on lui explique que « c’est roue libre », qu’elle peut s’installer où elle veut. « Le matin, c’était un peu calme mais il pleuvait. On a commencé à se rendre compte que c’était bizarre vers 13 heures. Il y avait des proches mais pas de vrais clients. La tension a commencé à monter. »Les gérants de la salle n’ont pas été payésEn fin de journée, certains se mettent à chercher l’organisatrice qui, selon plusieurs témoignages, « se serait échappée par la porte arrière » de la salle. Le coup de grâce arrive à 18 heures lorsque l’un des deux gérants de la Lune d’or demande à tout le monde de remballer. « Il nous a expliqué qu’elle devait lui verser 3 000 euros le matin même et qu’elle ne l’a jamais fait », détaille Samira.« Toute la journée, je l’ai appelée dans la salle mais elle m’a baladé, accuse-t-il. À 16h30, je lui ai demandé de monter dans le bureau. Quand je lui ai demandé pourquoi elle me mentait depuis le matin, elle m’a répondu qu’elle était obligée car sinon, je n’aurais pas voulu ouvrir la salle. »Faute d’être payé (il assure ce jeudi soir n’avoir toujours pas été réglé), le gérant menace d’appeler les gendarmes. « On est sortis du bureau, reprend-il. C’est là que j’ai pris le micro et fait l’annonce (pour inviter les exposants à remballer). Les gendarmes sont arrivés juste après. »Une enquête en cours pour identifier les victimesKarl Dirat, le maire (sans étiquette) de Villabé, confie n’avoir eu vent de cet événement que le 6 décembre, vers 23 heures. « L’organisatrice, qui avait déjà proposé un spectacle dans cette salle, m’a informé d’un problème qu’elle rencontrait avec le propriétaire de la Lune d’or. Selon elle, ils avaient convenu d’une location à 2 500 euros et, d’un coup, il lui demandait 5 000 euros, rapporte-t-il. Je n’ai encore jamais reçu de plainte à son sujet, même si nous avons déjà dû faire intervenir les services de la préfecture pour faire cesser des nuisances sonores aux abords de la salle. »Contactée à de multiples reprises et par différents canaux, la gérante de Salina Event est restée injoignable. Impossible donc d’avoir son point de vue pour clarifier cette histoire. « Plusieurs éléments doivent encore être démêlés pour comprendre qui sont les victimes », indique une source proche du dossier, dont a été saisie la gendarmerie.

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À Quimper, les commerçants de la gare espèrent que sa métamorphose à 56 millions d’euros fera revenir les clients

Le nouveau pôle a été inauguré ce mercredi 10 décembre par la maire de Quimper (Finistère), Isabelle Assih, en présence d’élus, de représentants des entreprises qui ont œuvré depuis 2020, de riverains et de commerçants du quartier. Une modernisation d’un coût total de 56 millions, bénéficiant de subventions, rendue nécessaire par la hausse de fréquentation en gare, passée de 918 000 voyageurs en 2015 à 1,62 million en 2023, en raison de l’amélioration des liaisons et de l’attractivité touristique croissante de la Bretagne.L’ancienne gare avait été inaugurée en 1863 et, même si les bâtiments n’étaient pas tous d’origine et que le train ne mettait plus 17 heures comme au XIXe siècle, la vétusté des lieux imposait une refonte totale du site. Salariés, étudiants, touristes… Le quartier a été repensé pour accueillir une fréquentation en hausse de 55 % sur les cinq ans à venir.86 mètres pour 198 tonnes… Une passerelle relie désormais les deux rives du quartier en enjambant les voies ferrées. Elle permet de se garer sur un grand parking gratuit, autrefois destiné à l’ancienne salle omnisports Michel-Gloaguen. Elle évite les longs détours à pied, les bras chargés de bagages. Le sacerdoce que vivaient auparavant bon nombre de personnes.Le bâtiment historique de la gare a été modernisé. Il est loin le temps où on cherchait vainement les toilettes publiques qui s’ouvraient avec une clé, la SNCF en étant la dépositaire. Une sandwicherie Paul s’est installée et une maison des mobilités a été construite pour accompagner le développement des transports doux, avec notamment un parc pouvant accueillir 140 vélos. Le parvis de 4 000 m2, aussi grand que celui de la place de la cathédrale Saint-Corentin, a été végétalisé et dispose d’aire de jeux, de bancs et d’agrès sportifs.Les riverains mécontents du stationnement payantAprès cinq ans de travaux, pénalisants pour le quotidien et le commerce, l’avis des commerçants et riverains rencontrés ce mercredi est mitigé. « Quand on nous dit de faire des économies sur tout et qu’on apprend que ce projet a coûté des dizaines de millions, avec des couacs, ça me laisse assez circonspecte », râle une habitante. « L’esplanade est beaucoup trop grande, on ne peut plus se garer gratuitement ou alors loin de chez nous, de l’autre côté des voies. Le parking payant situé près de l’esplanade est mal conçu. Pourquoi ne pas le mettre en gratuité la nuit pour les riverains, d’autant plus qu’il est vide dès 20 heures ! »Du côté des commerçants, c’est un pari sur l’avenir. « Je me suis installé il y a deux ans en connaissance de cause. Le nouvel aménagement de la gare est beaucoup plus agréable qu’avant mais il faut vraiment que les Quimperois, qui évitaient le quartier pendant les travaux, reviennent. Tout va dépendre de la manière dont sera animé le quartier », souligne d’un d’eux.Et il n’est pas le seul à avoir été attiré par le potentiel de ce nouveau pôle. Boulanger au parcours prestigieux, passé par le Ritz à Paris, le Breton Stéphane Ollivier a ouvert le 12 novembre « Le Painseum » avenue de la Gare. Gageons que ses viennoiseries gourmandes fidéliseront rapidement les usagers de la gare !

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« T’es qui toi ? Tu viens d’où ? » : ils louent un Airbnb à Évry, leur week-end en amoureux tourne au cauchemar

Ils n’imaginaient sûrement pas leurs retrouvailles ainsi. Quand Alexandre et Léa (les prénoms ont été changés), âgés d’un peu moins d’une vingtaine d’années, se retrouvent ce vendredi 5 décembre, à Évry-Courcouronnes, l’amour est dans l’air. Léa est arrivée en Essonne pour effectuer un stage dans le cadre de ses études. Alexandre, qui vit à Narbonne (Aude), est venu lui rendre visite dans cette ville qu’il connaît bien, puisqu’une partie de sa famille y vit.Intimité oblige, ils ont loué un petit Airbnb pour un week-end à deux. Ce premier soir, Alexandre a tout de même prévu d’aller manger au kebab du coin avec un vieux copain, vers 21 heures. C’est là que les ennuis commencent.

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« Une puanteur insoutenable » : à Maisons-Alfort, les riverains ont toujours l’usine Biospringer dans le nez

« Si nous voulons peser, il faudrait que l’on lance un collectif », lâche cette riveraine de l’usine Biospringer, à Maisons-Alfort. Depuis quelque temps, comme ses voisins, elle se dit incommodée par des odeurs fortes provenant de ce site historique de production de levures. « À cause de ces odeurs, les pompiers sont passés mercredi soir et ils étaient assez nombreux », témoigne-t-elle. Très mobilisée sur ce sujet, elle est allée à leur rencontre.« On nous avait dit que les choses allaient se régler en octobre, résultat c’est bientôt Noël et nous subissons toujours des odeurs insoutenables », témoigne cet autre habitant du secteur. Une autre habitante de Maisons-Alfort, qui se dit, elle aussi, « très incommodée » par les odeurs, a signalé le problème à la préfecture ainsi qu’à la mairie.

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Face aux incivilités et aux vols, un supermarché du Doubs supprime l’alcool de ses rayons

C’est une décision qui va inévitablement pénaliser le commerce et son chiffre d’affaires. « Mais c’est la seule solution que j’ai trouvée pour protéger mon équipe », indique Loïc Ehret, directeur d’un supermarché Colruyt situé à Audincourt, dans le Pays de Montbéliard (Doubs). Depuis le 25 novembre, une feuille en papier a été placardée sur certains rayons vides : « A la suite d’incidents récents, la vente d’alcool fort et de bière individuelle est arrêtée ».« Ça s’aggrave au fil du temps »L’incident qui a mis le feu aux poudres remonte au 25 novembre. Ce jour-là, un client fortement alcoolisé s’est présenté dans le magasin et a menacé un caissier. « La veille, la voiture d’une employée a été fracturée. Les voleurs ont dérobé ses affaires, indique le responsable. C’est un petit magasin, on a une quinzaine d’employés. Mais j’ai des gens qui ont peur d’aller au boulot la nuit. Il y a des problèmes à l’intérieur, mais aussi à l’extérieur du magasin, avec des menaces, des insultes… Moi, ça fait 15 ans que je suis ici et j’ai le sentiment que ça s’aggrave au fil du temps. »Le patron a employé un agent de sécurité, installé des caméras de vidéosurveillance et des grilles, mais ces éléments n’ont pas suffi à dissuader les délinquants. Désemparé, il a donc décidé de supprimer l’alcool fort et les canettes de bière de ses rayons. « On fait l’impasse sur ces produits en période de fête et à nouvel an. Je n’ai pas calculé exactement le coût, mais il se chiffre en milliers d’euros », conclut Loïc Ehret.

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Appel de la dernière chance : « L’Hermione » cherche repreneurs ou investisseurs en urgence

L’intitulé de l’annonce publiée par les administrateurs judiciaires de l’étude FHBX se veut limpide : « Recherche de repreneurs ou d’investisseurs ». L’association Hermione-La Fayette à la barre de « L’Hermione » lance un appel à « de nouveaux partenaires ». Inédite, la démarche traduit les difficultés rencontrées par cette association placée en redressement judiciaire le 18 septembre dernier.Depuis l’ébauche du projet dans les années 1990, ses dirigeants se sont toujours appuyés sur des fonds publics, des dons, des mécènes et le grand public. Cette annonce marque donc un tournant et l’éventualité d’un changement de cap radical pour le trois-mâts rochefortais et ceux qui présidaient jusque-là à sa destinée. Encore faut-il trouver des « repreneurs ou investisseurs » capables de reprendre la main et d’injecter du cash.Les Jeux olympiques de 2028 en ligne de mire« Après 5 millions d’euros investis dans la restauration du navire et 50 % des travaux déjà réalisés sur sa coque, L’Hermione espère aujourd’hui revoir la mer », insiste l’association dans un communiqué. Ses objectifs restent les mêmes : assurer « la continuité de l’activité et l’étude de toutes les modalités possibles qui pourront concourir au sauvetage de la frégate ». Pour y parvenir, l’association a besoin de près de 5 millions d’euros supplémentaires, dont 1,5 million d’euros le plus vite possible « pour maintenir son activité et continuer la restauration de la coque ». Ses dirigeants veulent y croire et se démènent.« Même si l’avenir est sombre aujourd’hui, on se projette tous sur une navigation », déclarait en novembre au micro de France 3 Émilie Beau, la directrice générale de l’association. « La relance des travaux pourrait permettre à la frégate, dix ans après le voyage inaugural aux États-Unis en 2015, de réaliser une seconde transatlantique sur les traces de La Fayette notamment à l’occasion des Jeux olympiques de 2028. Cet objectif reste à ce jour encore envisageable », abonde le communiqué.Selon l’étude FHBX, les candidats ont jusqu’au 5 janvier pour déposer leurs offres de reprise. La période d’observation fixée par le tribunal rochelais court, elle, jusqu’au 18 mars 2026.

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À Trégastel, l’orchidée rare n’empêchera pas la bétonisation des côtes

C’est l’un des plus beaux sites de la côte de Granit rose. En plein cœur du Trégor, face à la réserve naturelle des Sept-Îles, se dresse la commune littorale de Trégastel (Côtes-d’Armor). C’est sur cette plage de Coz-Pors, en pleine zone Natura 2000, que s’est développée une petite station balnéaire, dans ce qui fut autrefois un bourg. En ce mois de décembre, à deux pas du chaos rocheux de la presqu’île Renote et de maisons d’époque pour beaucoup fermées, on trouve désormais des appart-hôtels, des hôtels chics et des commerces, qui surplombent la côte tel un mur de béton.À environ 50 m, un immense bâtiment domine le paysage : un ancien couvent de congrégationnistes, le Castel Sainte-Anne. Un site racheté en 2008 par Belambra Clubs, société holding du secteur des clubs de vacances et des résidences de tourisme en France.

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Casser le bitume... pour faire réapparaître le fleuve

À Rennes (Ille-et-Vilaine), c'est un chantier de démolition pour faire réapparaître le fleuve. La ville est en train de détruire un vaste parking de 250 places construit sur la Vilaine dans les années 60. Le maire, en fait, veut enlever du béton et rajoute r de la verdure, comme cela se fait de plus en plus ailleurs. Au printemps, si tout va bien, la dalle laissera place au fleuve sur 270 mètres. Certains habitants s'y voient déjà, d'autres avouent avoir quelques réticences.

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Ici, pas de place pour les râleurs

La ville de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) veut devenir championne de France de la courtoisie. Pour mieux vivre ensemble, elle propose à partir de ce mercredi des défis aux habitants, essayer de ne pas râler pendant au moins une heure. Sourire, c'est la prem ière étape d'un voyage en courtoisie, où chacun partage son petit truc pour rendre plus doux le quotidien. Mais rester poli et courtois ne va pas toujours de soi. Au travail comme au volant, nos nerfs sont parfois mis à rude épreuve.

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SOS Villages : Cerfs, moutons, chèvres… cherchent repreneur

Dans nos régions, on peut aussi changer de vie, partir travailler au milieu des chèvres, des cerfs et des alpagas. Le parc "Chez Dame Nature" abrite une centaine d'animaux différents, miniatures ou rares, comme le mouton de Soay tout droit venu d'Écosse. C 'est une annonce insolite à reprendre en ce moment sur le site SOS Villages. Depuis 25 ans, Thierry partage sa passion pour les animaux avec les visiteurs. Ouvert au public et aux scolaires, le parc s'est forgé une belle réputation en centre-Bretagne.

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Sapins de Noël : top départ en Bretagne !

À un mois du réveillon de Noël, les sapins sont arrivés dans les magasins et vont s'installer dans les salons. Près d'un quart des foyers en France en achètent pour les décorer. Chaque année, cinq millions de conifères sont vendus dans la Métropole. Actuellement, 80 % des arbres achetés pour les fêtes de fin d'année sont cultivés dans l'Hexagone. Ils sont plantés spécifiquement pour cet usage. La Bretagne est l'une des toutes premières régions de production.

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