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Éducation

Actualités, défis et initiatives dans l’enseignement en France, incluant les écoles, les universités et les politiques éducatives.
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Le nombre de signalements a explosé depuis 2022

Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:51 Lecture zen Selon une étude conjointe des services statistiques du ministère de la Justice et de l’Éducation nationale publiée ce jeudi 6 novembre, le nombre de signalements de harcèlement scolaire a explosé depuis 2022 et la loi créant le délit de harcèlement scolaire. Leur nombre est passé de 530 en 2022, à 3 500 en 2023, pour atteindre 6 100 en 2024, soit une explosion record de 1052 % des signalements en deux ans. « Cette progression s’apparente plus à la fois à une prise de conscience accrue et à une judiciarisation plus importante des faits de harcèlement scolaire qu’à une réelle augmentation du phénomène sur la période », commentent les auteurs de l’étude. Par F.J. Le nombre de signalements a explosé depuis 2022

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Qui sont ces élèves « ambassadeurs » qui luttent contre le harcèlement scolaire ?

Annonciade, élève de 4e du collège Jean-Moulin d’Albert, est une des 14 ambassadrices de l’établissement contre le harcèlement scolaire. - Photo : Fabrice Julien Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:52 Lecture zen Ce jeudi 6 novembre était consacré à la Journée nationale contre le harcèlement scolaire.Ce phénomène toucherait 5 à 10 % des élèves de l’académie d’Amiens.Deux ans après la loi créant le délit de harcèlement scolaire, le nombre de signalements a grimpé en flèche.Ne reste pas dans l’ombre ! Nous sommes 14 ambassadeurs, nous sommes là pour toi. » Les yeux rivés sur le mur d’expression installé dans le hall de l’établissement, Annonciade, élève de 4e du collège Jean-Moulin d’Albert, écrit ces quelques mots à l’intention de ses camarades, qui sont aussi de potentielles victimes. « Je déteste la violence et l’injustice, pour moi c’était évidemment de m’investir dans ce projet et d’aller vers les autres. » Depuis deux ans, cette jeune fille de 14 ans est une des 14 « ambassadeurs » de l’établissement, volontaires au sein du dispositif « Phare », mis en place en 2021 pour lutter contre le fléau du harcèlement scolaire.Le harcèlement ne devrait pas exister, c’est pitoyableCamille, Ambassadrice « harcèlement scolaire »Postés comme de véritables sentinelles, ces collégiens préalablement formés à cette problématique ont un rôle d’information, d’écoute et parfois d’alerte pour signaler d’éventuels cas de harcèlement auprès de la hiérarchie de leur établissement. « Le harcèlement ne devrait pas exister, c’est pitoyable et c’est important d’aider nos camarades qui subissent ces moqueries », raconte Camille, 14 ans, ambassadrice depuis trois ans et très investie dans sa mission. À lire aussi Harcèlement scolaire dans l’Oise : « Avec les réseaux sociaux, c’est difficile à gérer » Au collège Jean-Moulin, la lutte contre le harcèlement scolaire est inscrite dans le logiciel de cet établissement de 388 élèves où la moitié des 30 enseignants a déjà reçu une formation spécifique. Des efforts payants selon le principal de l’établissement Arnaud Vitté. « Les drames sont toujours insupportables mais il y a eu ces dernières années une vraie prise de conscience. Grâce aux formations des personnels mais aussi à l’implication des ambassadeurs, la position de témoin a évolué, et les victimes osent davantage parler. »Pour parler, les élèves qui n’oseraient pas se tourner vers les personnels éducatifs ont la possibilité de joindre une cellule dédiée sur le plan national, mais également un numéro d’écoute mis en place par l’académie d’Amiens. Six personnels y sont affectés à plein temps. « Nous recevons de nombreux appels, mais la plupart concernent davantage des situations de vie scolaire compliquée et de mal-être que du harcèlement », nuance Grégory Michel, conseiller technique auprès du rectorat en charge du harcèlement.Est-ce à dire que le problème du harcèlement scolaire est en train de se résorber ? Pas vraiment, si l’on en croit les chiffres révélés ce jeudi 6 novembre par les ministères de la Justice et de l’Éducation nationale deux ans après la loi créant le délit de harcèlement scolaire. Si les sanctions sont en recul au sein de l’école, le nombre de signalements auprès de la Justice a bondi de plus de 1 000 % en deux ans. Cela ne signifie pas pour autant que le nombre de faits de harcèlement augmente dans cette proportion, mais davantage que la parole se libère, ce qui est naturellement une bonne chose. Les ambassadeurs du collège Jean-Moulin et de l’ensemble des établissements de l’académie d’Amiens n’y sont certainement pas étrangers.La plateforme nationale d’écoute et de suivi sur les violences numériques faites aux jeunes, et notamment le harcèlement, est joignable chaque jour de 9 à 23 heures au numéro national 3018 (gratuit, anonyme et confidentiel). L’académie d’Amiens a également mis en place une cellule d’écoute : 03 22 82 39 81 Par Fabrice Julien Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Albert (Somme) Qui sont ces élèves « ambassadeurs » qui luttent contre le harcèlement scolaire ? De 5 à 10 % des élèves de l’académie d’Amiens sont victimes de harcèlement scolaire. L’Éducation nationale met en place des actions pour lutter contre ce fléau. Exemple au collège Jean-Moulin d’Albert dans la Somme, où les « ambassadeurs » jouent un rôle crucial. Video

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Harcèlement scolaire : 282 élèves harceleurs ont été changés d'école en deux ans, selon le ministère

Depuis la mise en place d’un décret en 2023, plus de 280 élèves auteurs de harcèlement ont été contraints de changer d’établissement, a indiqué le ministre de l’Éducation nationale. Un chiffre rassurant en cette journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Le ministre de l’ Éducation nationale a indiqué, ce jeudi 6 novembre, que plus de 280 élèves harceleurs en élémentaire ont été changés d'école, depuis la publication d’un décret en fin août 2023. «En deux ans, on a 282 élèves qui ont été changés d'établissement. Et en fait, avec ce qui s'est passé depuis le début de l'année, on est probablement aujourd'hui à plus de 300 élèves qui ont été changés d'école», a indiqué Edouard Geffray à la presse, lors d'un déplacement dans un collège de Barentin (Seine-Maritime). Un décret performant Mais si une telle mesure a été rendue possible, c’est par le biais de ce décret. L’objectif ...

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Agressions sexuelles, détention d’images intimes… Deux étudiants exclus par l’Université de Rouen

Deux étudiants en médecin ont été sanctionnés. - Archives Stéphanie PÉRON CLÉMENT/PN Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:30 Lecture zen Le 18 juillet dernier, la section disciplinaire du conseil académique de l’Université de Rouen a prononcé l’exclusion pour une durée de trois ans de tout établissement supérieur d’enseignement, à l’encontre de Maxime*, étudiant en troisième année d’études de médecine. Le 18 septembre, un autre étudiant, Romain*, en cinquième année de médecine était sanctionné par le président de l’Université de Rouen d’une interdiction totale d’accès aux locaux universitaires. Consultez l’actualité en vidéo Ces deux sanctions, sans lien entre elles, concernent des étudiants suspectés d’avoir adopté un comportement pénal répréhensible. Elles ont été contestées par les intéressés par des requêtes en référé suspension devant le tribunal administratif de Rouen le 13 octobre. À lire aussi Tentative de suicide d’un étudiant à l’université de Rouen : « Je ne souhaite pas suspendre le professeur » Soirée festive en montagnePour Maxime, il s’agit de faits d’agressions sexuelles à l’encontre d’une étudiante pour lesquels l’Université de Rouen a effectué un signalement au procureur de la République de Rouen, sur le fondement de l’article 40 du code de procédure pénale. L’une de ces agressions se serait produite au cours d’une soirée festive lors d’un séjour étudiant en montagne où, dans un contexte « d’alcoolisation massive », Maxime aurait réalisé des attouchements sur une étudiante. « Il est conscient de ses problèmes d’alcool », a reconnu au cours de l’audience Me Oukid, avocat de Maxime. Ce dernier nie les faits qui lui sont reprochés. Son avocat a insisté sur le fait que les poursuites judiciaires se basent sur des témoignages indirects et que la victime n’a jamais porté plainte. De son côté, pour l’Université, Me Nesselrode a souligné « des faits d’agressions sexuelles suffisamment établis ». Le tribunal, estimant qu’il n’existe aucun doute sérieux quant à la légalité de la décision de l’Université, a rejeté la requête de l’étudiant.Plainte déposéeConcernant Romain, il lui est reproché d’avoir capté et utilisé sans leur consentement des photos et vidéos intimes d’étudiantes en médecine. Trois d’entre elles ont été entendues par le doyen de la faculté de sciences qui s’en est ensuite rapporté au président de l’Université. Une mesure conservatoire a été prise à l’encontre de l’étudiant : une interdiction d’accéder aux locaux, en attente des résultats judiciaires (une plainte ayant été déposée par l’une des victimes présumées). « On lui a brutalement notifié cette décision sans qu’il présente des observations, il n’y a pas eu de procédure contradictoire », a estimé Me Coquerel, l’avocat de Romain.C’est un étudiant qui inquiète, il détient des photos qui pourraient détruire les victimes.Me Nesselrode, Avocat de l’Université de RouenL’étudiant conteste cette sanction qui d’après son avocat est basée « sur des faits particulièrement évasifs » et qui pourrait « l’empêcher de passer ses examens en contrôle continu ». « C’est un étudiant qui inquiète, il détient des photos qui pourraient détruire les victimes », a insisté Me Nesselrode, conseil de l’Université. L’Université préfère qu’il suive les cours à distance. » À lire aussi Victime d’une agression sexuelle à la fac de Rouen, elle se bat pour passer ses examens à distance Le tribunal administratif de Rouen a rejeté la requête de Romain. « Il n’est pas sérieusement contesté que l’interdiction de pénétrer dans le domaine universitaire ne provoque pas une rupture brutale des enseignements dès lors que les cours peuvent se poursuivre à distance et que les services de l’établissement public ne s’opposeront pas à consentir des aménagements à la mesure de police en cause afin de permettre l’accomplissement de certaines démarches, participer à certains cours et autoriser la présence aux épreuves d’examen », est-il écrit dans la décision. Le tribunal devra se prononcer ultérieurement sur le fond de ces dossiers.*Les prénoms ont été modifiés. Par Jérémy CHATET Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Rouen (Seine-Maritime) Agressions sexuelles, détention d’images intimes… Deux étudiants exclus par l’Université de Rouen En juillet et septembre 2025, l’Université de Rouen a sanctionné deux étudiants, l’un d’une exclusion de trois ans, l’autre d’une interdiction d’accès à la fac, pour des faits pénalement répréhensibles.

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Deux nouvelles communes du Compiégnois rejoignent la restauration scolaire en circuit court

La cuisine centrale de Verberie fournit les repas aux cantines de Béthisy-Saint-Pierre, Saint-Sauveur et Saint-Vaast-de-Longmont. Le Meux et Armancourt les rejoindront ensuite. Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:38 Lecture zen Après Béthisy-Saint-Pierre en janvier 2025, la cuisine centrale de Verberie produit depuis cette rentrée de novembre les repas du midi pour les enfants de Saint-Sauveur et de Saint-Vaast-de-Longmont. Une volonté commune de proposer aux écoliers une cuisine faite maison avec des produits de saison, locaux et/ou bio. « Bravo à notre belle équipe en cuisine, menée par son chef Bastien Malicet, pour la production de 650 repas par jour, se réjouit Cécile Davidovics, maire. L’objectif est atteint. » Consultez l’actualité en vidéo Néanmoins, si tout le monde est satisfait de voir les enfants manger mieux, cela a un coût, notamment pour la livraison des repas. À Saint-Sauveur, les élus en ont débattu en réunions de conseil municipal les mardi 7 et mercredi 29 octobre. Le projet avait été approuvé à l’unanimité pour améliorer la qualité de la restauration dans les écoles et le centre aéré et une convention signée avec la mairie de Verberie. « Il restait juste à signer une convention avec la mairie de Béthisy-Saint-Pierre pour la livraison des repas à partir du 2 novembre, mais cela a été laborieux, soupire Claude Lebon, maire de Saint-Sauveur. Nous avons eu les documents tardivement. » Pour effectuer ces livraisons à Béthisy-Saint-Pierre, Saint-Sauveur et Saint-Vaast-de-Longmont, la commune de Béthisy-Saint-Pierre a acheté un véhicule et, avec l’aide du fonds européen LEADER qui a octroyé une subvention de 80 %, il ne lui est resté que 8 000 euros à charge.Un surcoût de 24 centimes par repasLe coût de livraison (16,44 euros par jour, 16,05 le mercredi car pas de livraison à Saint-Vaast) a été réparti ainsi : 57 % pour Béthisy, 31 % pour Saint-Sauveur et 12 % pour Saint-Vaast-de-Longmont. Quant au coût du repas, il revient à 4,10 euros par jour et par élève, auxquels s’ajoute 1,60 euro pour les frais d’encadrement : « Le surcoût de 24 centimes est plus que ce que l’on pensait : la fourchette haute identifiée par l’expert mandaté par l’Agglomération de la région de Compiègne (ARC) était de 15 centimes, précise Claude Lebon. Cela représente 3 000 euros pour la commune, soit 50 euros par enfant et par an. Nous espérons une bonne nouvelle en 2026, puisque Le Meux en septembre, puis Armancourt rejoindront le projet, ce qui devrait faire baisser le coût de revient du repas. » Saint-Vaast-de-Longmont a rejoint le projet en cette rentrée de novembre. Pour limiter le surcoût pour les parents, la Maison pour tous de Verberie, qui est en charge de l’accueil de loisirs, achète le pain sur ses fonds propres, soit 12 centimes par jour et par enfant. « Nous entamons la première phase d’expérimentation jusqu’en décembre, dans la limite de 80 repas par jour pour Saint-Sauveur », ajoute le maire de Saint-Sauveur. À lire aussi La cantine de Royallieu inaugure le fait maison à Compiègne En ce qui concerne la commune de Saint-Vaast-de-Longmont, la modification de la convention cuisine centrale de Verberie a été débattue lors du conseil municipal du vendredi 3 octobre : « Le nombre de repas a été surestimé dans la convention d’origine. Le nombre de repas à servir à la cantine sera plutôt de 5 760 repas par année scolaire au lieu de 6 480. La convention avec la cuisine centrale de Verberie sera donc modifiée en ce sens. » Par notre correspondante Mireille Cardot Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Saint-Sauveur (Oise) Béthisy-Saint-Pierre (Oise) Béthisy-Saint-Martin (Oise) Saint-Vaast-de-Longmont (Oise) Le Meux (Oise) Verberie (Oise) Deux nouvelles communes du Compiégnois rejoignent la restauration scolaire en circuit court Si la qualité des repas proposés par la cuisine centrale de Verberie satisfait, la question du surcoût se pose pour les communes, notamment pour la livraison.

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Harcèlement scolaire : définition, conséquences et sanctions

Le harcèlement scolaire se définit comme une violence répétée, qu'elle soit verbale, physique ou psychologique au sein de l'école et en dehors. La victime subit au quotidien des attaques de la part d'un élève ou d'un groupe d'élèves. Le harcèlement moral, au primaire, au collège ou au lycée, est un délit pénal sévèrement puni. Définition, conséquences et sanctions, voici tout ce qu'il faut savoir sur ce phénomène qui touche chaque année des milliers d'enfants en France.

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Interview de Philippe Nemo sur l’Éducation nationale en état de décomposition

Contrepoints a eu le plaisir de recevoir Philippe Nemo, philosophe, directeur de l’École professorale de Paris et essayiste, pour parler de son dernier ouvrage « L’Éducation nationale : origines, apogée et déclin d’une idée », aux éditions PUF. Comment expliquer le déclin de l’école ? À quoi ressemblait l’école autrefois et quel était le rôle […] L’article Interview de Philippe Nemo sur l’Éducation nationale en état de décomposition est apparu en premier sur Contrepoints.

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En Corée, les universités refusent les auteurs de violences scolaires : le passé de harcèlement peut désormais briser une carrière

K-Sélection - Actu K-Pop et K-Drama En Corée, les universités refusent les auteurs de violences scolaires : le passé de harcèlement peut désormais briser une carrière Pour de nombreux étudiants sud-coréens, entrer à l’université représente un passage essentiel vers la réussite et l’avenir. Aujourd’hui, certaines universités nationales refusent les candidats ayant commis des violences scolaires, ce qui transforme profondément le système éducatif. Cette décision reflète la volonté des établissements de responsabiliser les jeunes et de protéger les valeurs sociales dès leur … Myriam K-Sélection - Actu K-Pop et K-Drama En Corée, les universités refusent les auteurs de violences scolaires : le passé de harcèlement peut désormais briser une carrière

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« Il n’y a pas de petit harcèlement » : le ministre de l’Éducation nationale mobilisé au collège de Barentin

Édouard Geffray a participé à un atelier avec des collégiens visant à les senibiliser sur ce que l’on peut ou pas publier sur les réseaux sociaux, jeudi 11 novembre 2025 à Barentin. - STEPHANIE PÉRON CLÉMENT Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:11 Lecture zen Avec le badge « Phare » qu’ils arborent, les 20 élèves référents harcèlement du collège Catherine-Bernard, à Barentin, sont identifiables par tous leurs camarades. Un badge qu’ils ont remis au ministre de l’Éducation nationale, Édouard Geffray. Ce dernier était en visite dans leur établissement, jeudi 6 novembre 2025, journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Édouard Geffray a participé à un atelier avec des collégiens visant à les senibiliser sur ce que l’on peut ou pas publier sur les réseaux sociaux. - STEPHANIE PÉRON CLÉMENT Un collège fortement engagé« Il n’y a pas de petit ou gros harcèlement. Ni de petite insulte. À chaque fois que l’on blesse un camarade on peut générer des choses très graves et parfois même l’irréparable », souligne le ministre qui n’hésite pas à parler de « fléau » devant des collégiens mais aussi une classe de Terminale du lycée Thomas-Corneille. À lire aussi « Je veux devenir l’inverse de ce que l’on a voulu faire de moi » : Hugo a surmonté le harcèlement scolaire Alors que le nombre de faits de harcèlement ne diminue pas, et que la Normandie est la région la plus touchée selon un sondage Ifop, le ministre a rappelé l’importance de la prévention. Qui passe notamment par la diffusion d’un spot de campagne Non au harcèlement 2025, qui a été présenté officiellement lors de la visite ministérielle. La réalisatrice, Laetitia Bertheuil, était présente et a pu échanger avec des élèves. Edouard Geffray a également participé à un atelier où les collégiens ont été amenés à réfléchir à ce qu’ils peuvent publier ou pas sur les réseaux sociaux.Un questionnaireL’autre enjeu est ensuite celui de la détection de faits de harcèlement. « Depuis deux ans, tous les élèves du CE2 à la Terminale remplissent un questionnaire individuel pour identifier des situations. Jusqu’à présent ils étaient anonymes et ne permettaient donc pas de détecter une situation individuelle. J’ai pris la décision, en accord avec la Cnil, que les élèves pourront désormais mentionner leur nom pour être recontactés, lancer un appel à l’aide ». Questionnaire que tous les élèves vont remplir dans les quinze prochains jours.Des sanctionsLa réaction est le troisième volet essentiel face au harcèlement. « Ça passe par la prise en charge psychologique mais aussi la sanction. Il faut être ferme. Dans les écoles élémentaires on a introduit la possibilité de changer un élève d’école lorsqu’il fait peser une menace sur ses camarades. En deux ans, 282 jeunes ont ainsi été changés d’établissement », détaille Édouard Geffray. Dans les collèges et lycées, les conseils de discipline relatifs au harcèlement « ont été multiplié par deux et demi en deux ans ». À lire aussi Harcèlement scolaire en Normandie : « Le nombre de faits ne réduit pas, mais le personnel est mieux formé » Et depuis que le harcèlement scolaire est un délit, depuis 2022, plus de 10 000 plaintes ont été déposées, fait savoir le ministre. « Chaque fois que les faits ont été qualifiés, dans 96 % des cas il y a eu une réponse pénale. Soit sous la forme d’une mesure alternative comme une interdiction de fréquentation de certaines personnes. Soit sous la forme de poursuites. Il y en a eu 600 et il y a déjà eu 250 condamnations pénales prononcées ». Le harcèlement scolaire peut être puni jusqu’à trois ans de prison et 45 000 euros d’amendePour autant il faut continuer à agir « collectivement : parents, enfants, professeurs, éducateurs, personnel des collectivités, il faut que l’on ait cette vigilance et ce devoir de protection pour nos jeunes ». Par Violaine GARGALA Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Barentin (Seine-Maritime) « Il n’y a pas de petit harcèlement » : le ministre de l’Éducation nationale mobilisé au collège de Barentin Pour la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, jeudi 6 novembre 2025, Édouard Geffray, ministre de l’Éducation nationale s’est rendu au collège Catherine-Bernard de Barentin. Il a échangé avec des élèves et du personnel à propos de ce « fléau ».

Source LogoParis Normandie
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Harcèlement scolaire : 282 auteurs ont changé d’école en deux ans

Plus de 280 élèves harceleurs ont été changés d’école depuis la publication, en 2023, d’un décret permettant d’avoir recours à cette mesure. C’est ce qu’a indiqué ce jeudi 6 novembre le ministre de l’Éducation nationale, Édouard Geffray, lors d’un déplacement en Seine-Maritime, à l’occasion de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Depuis deux ans, les contours de ce fléau se précisent.

Source LogoOuest France
Harcèlement scolaire dans l’Oise : « Avec les réseaux sociaux, c’est difficile à gérer »

Vingt à trente faits de harcèlement sont recensés chaque année au collège Simone-Veil. Mis en ligne le 6/11/2025 à 15:02 Lecture zen Au collège Simone-Veil de Cauffry, dix membres du personnel, pas forcément des enseignants, sont formés pour repérer et agir contre le harcèlement. « Cela a toujours existé, annonce Lucilia Soares, documentaliste. Mais la parole se libère. » Consultez l’actualité en vidéo Vingt à trente situations sont traitées chaque année dans l’établissement. « Souvent, cela débute par l’appel d’un parent, explique Frédéric Hovette, conseiller principal d’éducation et coordonnateur du dispositif pHARe, le plan de prévention à destination des écoles, collèges et lycées, né en 2021. Ensuite, nous avons un protocole à suivre : nous récupérons le témoignage de la victime, des témoins puis de l’intimidateur tel qu’il est appelé. L’idée est de ne pas faire culpabiliser ce dernier mais de l’amener à se poser des questions. » Un référent ajoute : « On essaie de faire en sorte que ce harcèlement cesse. Si, au bout de trois semaines, la situation perdure, le chef d’établissement prend le relais et des sanctions peuvent être appliquées ».J’ai moi-même, enfant, été harcelé à l’école. Mais à l’époque, dans les années 70, ça se réglait par une bagarre »Rodolphe Boulanger, Principal du collègeCe jeudi 6 novembre, faisant face à deux classes de 6e, les référents étaient accompagnés de trois élèves ambassadeurs et des gendarmes. « Tout le monde pense qu’on peut faire ce qu’on veut cacher derrière un écran et un pseudo, précise l’un d’eux. Or, ce n’est pas le cas. » Car le cyberharcèlement est très souvent évoqué, surtout depuis deux ans. Photos, insultes, montages… les réseaux sociaux font circuler nombre de moqueries. Eleona, Juline et Léo, les ambassadeurs, constatent ces faits : « Notre but n’est pas d’aller voir ou dénoncer les personnes malveillantes, mais de repérer les situations de harcèlement. » À lire aussi « D’autres enfants l’insultaient » : après le suicide de Sara, 9 ans, un hommage et des questions Les jeunes d’une douzaine d’années écoutent, participent pour certains… Quand le cyberharcèlement est évoqué, il est rappelé que les réseaux sociaux leur sont interdits en raison de leur âge. Pourtant, c’est bien le cœur du problème aujourd’hui. « L’usage du téléphone portable est bien sûr interdit dans l’enceinte du collège, explique le chef d’établissement Rodolphe Boulanger, mais cela n’évite pas l’utilisation des réseaux sociaux et des groupes de discussion en dehors. C’est là que le harcèlement commence, bien souvent. J’ai moi-même, enfant, été harcelé à l’école. Mais à l’époque, dans les années 70, ça se réglait par une bagarre. Aujourd’hui les réseaux sociaux ont pris une telle ampleur que c’est difficile à gérer. »Ce jeudi, la journée de sensibilisation, qui sera également organisée à destination des 5e et 4e le 9 février 2026, se terminait par une soirée-débat à laquelle les parents étaient conviés. Seule une dizaine avait fait part de leur intention d’y participer. Pour rappel, le collège Simone-Veil compte plus de 600 élèves. À lire aussi Les adultes aussi sont parfois victimes Par notre correspondante Cindy Rogez Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Cauffry (Oise) Liancourt (Oise) Harcèlement scolaire dans l’Oise : « Avec les réseaux sociaux, c’est difficile à gérer » Ce jeudi 6 novembre, journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école, des élèves de 6e du collège Simone-Veil de Cauffry ont été sensibilisés au sujet, qui s’intensifie avec l’usage des réseaux et messageries.

Source LogoParis Normandie
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« Mes profs m’ont littéralement sauvée » : Diodio Metro, l’épopée d’une ex-ado placée, devenue vigie contre les maltraitances

Prise en charge à 17 ans par l’aide sociale à l’enfance, la présidente de l’Association départementale d’entraide des personnes accueillies en protection de l’enfance dans le Val-d’Oise a connu la rue, la faim, la traque policière contre les sans-papiers avant de s’engager auprès des jeunes laissés à la marge. De cette saison en enfer reste une gratitude sans bornes pour le personnel éducatif qui l’a portée à bout de bras.

Source LogoL'Humanité
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Mailly-Maillet : Assemblée générale des délégués départementaux de l’éducation nationale (DDEN) – Ils sont au service de l’enfant

Pour eux, le bien-être et le bien vivre à l’école sont une priorité. Ce sont les délégués départementaux de l’Éducation nationale. Ils sont au service de l’enfant et de l’école de la République. Ils sont nommés officiellement par l’Inspectrice académique, pour quatre ans, après avis du conseil départemental. Ils sont membres de droit des conseils […]

Source LogoL'Abeille de la Ternoise
Les adultes aussi sont parfois victimes

Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:18 Lecture zen Quand on parle de harcèlement, on pense surtout à celui vécu par les élèves. Mais il n’est pas rare, dans les établissements scolaires, que le personnel soit la cible de moqueries de la part d’élèves. À Cauffry, comme ailleurs, enseignants et encadrants sont parfois mis à mal. « J’ai été victime de rumeurs et de jugements l’an dernier, dénonce l’un d’eux. Les enfants sont parfois profondément méchants et ne prennent pas conscience du mal qu’ils font. » Et s’il existe le dispositif pHARe de l’Éducation nationale pour les élèves, pour le personnel, la situation est plus problématique. « Nous n’avons pas de prise en charge spécifique mais, heureusement, nous sommes solidaires entre nous. » Les adultes aussi sont parfois victimes

Source LogoParis Normandie
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Harcèlement scolaire : la région Hauts-de-France sensibilise les agents de ses lycées

Les projecteurs sont braqués sur le harcèlement scolaire ce jeudi 6 novembre, journée nationale de lutte contre le harcèlement à l'école. À cette occasion, le conseil régional des Hauts-de-France a organisé la veille une seconde édition de ses assises consacrées au harcèlement scolaire. Il y a présenté une action, présentée comme unique en France, de sensibilisation de tous les agents territoriaux travaillant dans les lycées.

Source LogoLa Gazette des Communes
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La Wantzenau. Cap sur Jules-Verne : une nouvelle association de parents veut « faire vivre la vie de l’école »

L’école élémentaire Jules-Verne de La Wantzenau dispose désormais de sa propre association de parents d’élèves : Cap sur Jules-Verne (ACJV). Créée cet automne, elle réunit 24 adhérents et un bureau de sept membres. L’association entend « faire vivre la vie de l’école » à travers des actions conviviales, pédagogiques et solidaires, tout en soutenant les enseignants.

Source LogoDNA - Les Dernières Nouvelles d'Alsace
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Harcèlement scolaire en France : une famille sur trois y est confrontée

Comme chaque premier jeudi de novembre, la France célèbre la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Instaurée il y a dix ans, cette journée mobilise les communautés éducatives et leurs partenaires autour d’actions de sensibilisation, de conférences, d’ateliers ou encore de jeux de rôle, dans les écoles, collèges et lycées partout sur le territoire. Les précisions d'Hugo Martinez, président-fondateur de l'association HUGO!

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À Envermeu, le lycée du Bois veut sauver sa formation Technicien scierie

L’atelier scierie est très bien équipé. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 13:05 Lecture zen Quel avenir pour le bac professionnel Technicien scierie au lycée du Bois d’Envermeu ? Il serait en effet menacé dans le cadre de la préparation de la future carte régionale des formations. Unique dans le quart nord-ouest de la France, cet enseignement spécialisé dans le sciage du bois ne compte plus aujourd’hui que six élèves, dont trois en apprentissage. Le lycée du Bois propose trois options. - Photo Paris Normandie « La filière est fragilisée à cause de son faible recrutement et de l’annonce de la fermeture en septembre prochain de la seconde Pilotage des machines industrielles automatisées qui permettait de suivre la filière Scierie, explique Francis Deboeuf, enseignant, mais dont la consonance industrielle n’attirait pas les élèves. Les deux autres secondes Construction bois et Forêt n’ont, elles, pas de mal à recruter. »Plus d’un tiers de nos salariés viennent du lycée du Bois.Romain Cuffel, Entreprise LefebvreLa solution serait de rouvrir la seconde indéterminée Métiers du bois, qui regroupait jusqu’en 2018 les trois options. « Elle permettait aux jeunes de découvrir les trois métiers du bois, dont celui de scieur, avant de se spécialiser en fin de seconde ou en première. » L’enseignant rappelle également que les élèves trouvent très facilement un emploi à la sortie de leur formation scierie » et peuvent évoluer dans leur métier. À lire aussi À Dieppe, des jeunes troquent le CV pour la scène dans un job dating pas comme les autres Les professionnels estiment, de leur côté, que les besoins en main-d’œuvre dans les scieries resteront importants dans les années à venir. Le secteur normand du bois compte actuellement environ 60 scieries et près de 400 entreprises forestières. Le lycée accueille 210 élèves. - Photo Paris Normandie Pour Sébastien Jumel, président de l’Agglo Dieppe-Maritime, « ce lycée est né pour répondre aux besoins de cette formation professionnelle. Il est sans équivalent dans le nord de la France et implanté dans une région aux massifs forestiers étendus. Nous ne voulons pas le voir disparaître, car il répond à un besoin économique bien réel ».L’importance du maintien de cette formation est partagée par l’entreprise Lefebvre des Grandes-Ventes. « Plus d’un tiers de nos salariés viennent du lycée du Bois, souligne Romain Cuffel, représentant de la scierie. Nous allons ouvrir une troisième ligne de sciage, avec une dizaine d’emplois à la clé. Nous avons besoin de jeunes bien formés pour accompagner notre développement. » Par Sylvie Macquet Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Envermeu (Seine-Maritime) À Envermeu, le lycée du Bois veut sauver sa formation Technicien scierie Le lycée du Bois d’Envermeu pourrait-il perdre sa filière emblématique ? Le bac professionnel Technicien scierie est aujourd’hui fragilisé par un faible recrutement et une réorganisation régionale des formations.

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Corcoué-sur-Logne. Une enseignante de l'école Saint-Yves à la Sénégazelle, au Népal !

Du 20 au 30 octobre 2025, Angélique, une des enseignantes de MS-GS a participé à une aventure humaine et sportive exceptionnelle : la Sénégazelle au Népal. Cette course solidaire exclusivement féminine allie sport, entraide et engagement pour l’éducation. Durant dix jours, Angélique et sa collègue Mélina de l’association "Les Wonder Maîtresses", a parcouru chaque matin plusieurs kilomètres à travers les paysages grandioses du Népal, entre rizières, collines et villages perchés. Les participantes se rendaient dans des écoles locales pour distribuer du matériel scolaire collecté en France et partager des moments d’échange avec les enfants népalais. Grâce à la mobilisation des tous, familles, collègues et amis, Angélique a pu apporter plusieurs kilos de fournitures scolaires (cahiers, crayons, ardoises, etc.), un geste concret pour soutenir la scolarisation des enfants dans des zones rurales parfois isolées. Au-delà de l’exploit sportif, c’est une aventure humaine et solidaire qu’Angélique a vécue et qu’elle a déjà commencé à raconter à ses élèves, photos et récits à l’appui. Une belle manière d’ouvrir les enfants de l’école Saint-Yves à la découverte du monde, à la solidarité et à la persévérance.

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Josselin. Signature du partenariat entre le collège Sainte-Marguerite et l'entreprise JPA

Dans le cadre de l’option « découverte professionnelle », les élèves de 3e ayant choisi cette option vont participer au projet « Ma classe en entreprise ». Aussi, pour la 6e année, une convention Collège – Entreprise relative à la mise en place d’une "Classe en entreprise" a été signée le mercredi 5 novembre en présence de Madame Rouxel, cheffe d’établissement, Madame Montier, responsable des ressources humaines, et Madame Le Gaillard, enseignante de cette option. Les élèves seront accueillis pendant 2,5 jours au sein de l’entreprise JPA en janvier 2026 afin de découvrir le monde du travail et les différents métiers existants.

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Une semaine de sensibilisation au harcèlement et au vivre-ensemble au collège Pierre-Sellier de La Capelle

Regroupés dans la cour, tous les élèves ont formé les lettres NAH, Non au harcèlement. Mis en ligne le 6/11/2025 à 11:58 Lecture zen « L’objectif, c’est que tous les élèves, de la 6e à la 3e, soient sensibilisés au bien vivre ensemble », alerte Élise Vandin, professeure-documentaliste au collège Pierre-Sellier de La Capelle. Comme l’an dernier, du 3 au 7 novembre 2025, l’établissement a consacré une semaine de sensibilisation et de prévention au harcèlement scolaire, intitulée la semaine du Bien vivre ensemble, et inscrite dans le cadre de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement de ce 6 novembre 2025.L’infirmière scolaire, Clara Léonard, Élise Vandin et Myriam Perrin, la référente, sont les chevilles ouvrières du projet. Murs d’expressions avec post-it dans le hall d’entrée, lectures de poèmes et de textes sur l’empathie et la lutte contre le harcèlement, ateliers et créations d’affiches, projections de films, photos, interventions en classe sur les violences intra-familiales et spectacles l’ont rythmée afin de nourrir les réflexions et faire débat.À l’instar du spectacle-débat autour du harcèlement scolaire Seul, de la compagnie Acaly de Soissons, donné pour les élèves de 6e et 5e mardi après-midi 4 novembre à la salle Hennebelle.NAH (Non Au harcèlement)« Est-ce que quelqu’un peut nous donner la définition du mot harcèlement ? », interroge à la cantonade le metteur en scène Fabrice Decarnelle. À ses côtés avec badges et t-shirts rouges sont présents les élèves ambassadeurs Non Au Harcèlement (NAH). « Quand c’est répétitif », répond une élève. Le speclacle-débat « Seul » de la compagnie Acaly avec les élèves ambassadeurs Non Au Harcèlement. À lire aussi Victime de harcèlement, un élève de 14 ans tente de se défenestrer de l’établissement Saint-Jean à Saint-Quentin Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école. La pièce suscite le débat et pousse les scolaires à la réflexion. « Harcelée scolairement et moralement, une adolescente de 14 ans s’est pendue dans sa chambre il y a quelques jours. C’est très choquant ! », s’exclame d’indignation Fabrice Decarnelle.Mardi matin, avec du vert en code vestimentaire, tous les élèves regroupés dans la cour ont formé les lettres NAH. Par G.B. (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : La Capelle (Aisne) Une semaine de sensibilisation au harcèlement et au vivre-ensemble au collège Pierre-Sellier de La Capelle Du 3 au 7 novembre 2025, le collège Pierre-Sellier de La Capelle a organisé une semaine de sensibilisation au harcèlement scolaire. Les élèves ont notamment assisté à un spectacle-débat sur le sujet.

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"De mauvaises habitudes subsistent" : quel bilan pour le dispositif pHARe contre le harcèlement scolaire ?

Lancé en 2021, le dispositif pHARe organise la lutte contre le harcèlement scolaire au niveau national. Il a été rendu obligatoire dans tous les établissements du premier et second degré à la rentrée 2023. À l'occasion de la journée internationale de lutte contre le harcèlement scolaire, qui a lieu ce jeudi, Marie Quartier, directrice adjointe du Centre RESIS, dresse un premier bilan.

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