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jeudi, novembre 6

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Emploi

Tendances du marché du travail, offres d'emploi, taux de chômage, secteurs en évidence et évolution des conditions de travail en France.
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Emploi privé en recul : la France à la croisée des chemins

Pour la première fois depuis la crise Covid, la France enregistre un quatrième trimestre consécutif de recul de l’emploi salarié privé sur un an, selon un rapport publié le 6 novembre par l’Insee. Cela signifie que, pour chacun des quatre derniers trimestres, le nombre d’emplois dans le secteur privé a été inférieur à celui du […] L’article Emploi privé en recul : la France à la croisée des chemins est apparu en premier sur Contrepoints.

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L’obligation de revitalisation territoriale : une taxe sur les licenciements

Nous avons récemment rappelé que le coût horaire du travail est 30% plus élevé en France (43,70€) que dans l’ensemble de l’Union européenne (33,50€). Aussi intéressant soit-il, l’indice de l’UE est loin de prendre en compte tous les coûts liés au travail. Il occulte les dépenses obligatoires liées, en particulier, à la réglementation du travail. […] L’article L’obligation de revitalisation territoriale : une taxe sur les licenciements est apparu en premier sur Contrepoints.

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Pouvoir d'achat et santé: des retraités manifestent en plein flou budgétaire

Par AFP © 2025 AFP Pour leur pouvoir d'achat, leur santé, leurs enfants: des retraités se sont mobilisés jeudi dans toute la France à l'appel de syndicats et d'associations contre les projets d'économies budgétaires, en pleine incertitude sur les mesures qui seront retenues.Les branches retraités de la CGT, de la CFTC, de la CFE-CGC, de Solidaires, ainsi que la FSU et des associations comme l'Union nationale des retraités et personnes âgées, les avaient appelés à descendre dans la rue. Fichier vidéo A Paris, le cortège a défilé entre le Sénat et les Invalides, rassemblant 6.000 personnes selon la CGT. L'estimation de la police n'était pas encore connue en milieu d'après-midi.Dans toute la France, la CGT a dénombré plus de 100 points de rassemblement. A Marseille, la police a comptabilisé 400 manifestants. Josette Biancheri, retraitée de l'informatique et membre de la CGT, y manifeste pour dénoncer un "boomer bashing" alors que "les Trente Glorieuses, c'est pour le capitalisme, pour nous (c'était) les Trente Laborieuses".La mobilisation porte sur trois revendications, a résumé la numéro un de la CGT Sophie Binet dans le cortège parisien: "la réindexation des pensions sur l'inflation, l'abandon du doublement des franchises médicales, un financement des hôpitaux et des Ehpad à la hauteur des besoins. Parce que (...) cette triple peine est catastrophique pour les retraités". La mobilisation se déroule quelques jours après que le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a annoncé être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux."Le Premier ministre commence à retropédaler sous la pression de la mobilisation", a estimé Sophie Binet. "Pour autant, à ce stade, nous n'avons pas de garantie claire (...) et en plus cette désindexation était prévue dans le projet initial jusqu'en 2030 et là-dessus (sous-indexation jusqu'en 2030, NDLR), le gouvernement ne s'est pas positionné".Des incertitudes planent sur le financement de la suspension de la réforme des retraites, après que les propositions gouvernementales d'une surtaxe sur les complémentaires santé et d'une sous-indexation supplémentaire des retraites ont été rejetées en commission."J'ai déjà fait six mois de plus (que prévu initialement, NDLR) et j'ai pas volé ma retraite", explique Babette Mauroy, 63 ans, venue de Saint-Quentin (Aisne) pour manifester à Paris. "J'ai eu quatre enfants et je vis avec une misère, le budget de Noël a baissé, (gâter) les petits-enfants, on ne peut plus", explique cette responsable de magasin à la retraite, qui touche 1.350 euros par mois. "Moi, j'ai de quoi éponger mais certains ont des retraites tellement petites que les mesures actuelles vont leur prendre des choses essentielles, de quoi payer leur chauffage", craint Evelyne Guislin, enseignante retraitée, syndiquée FSU venue de Melun, du haut de ses 83 ans.Jeudi après-midi, la CGT, Solidaires et la FSU ont appelé l'ensemble de la population à faire grève et manifester à nouveau le 2 décembre pour les salaires et contre l'austérité.Un appel lancé par une intersyndicale restreinte, contrairement à ceux des manifestations des 18 septembre et 2 octobre, qui incluaient notamment le premier syndicat français, la CFDT.

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Un job-dating dédié aux secteurs de l'industrie et des énergies renouvelables organisé à Valence

Jeudi 20 novembre, le 333 organise une matinée d’information et de recrutement dédiée aux secteurs de l'industrie et des énergies renouvelables à Valence. Au programme de ce job-dating, des renseignements sur les formations, mais aussi des découvertes des métiers en réalité virtuelle et via des ateliers ludiques, des échanges et des rencontres avec les professionnels […] L’article Un job-dating dédié aux secteurs de l'industrie et des énergies renouvelables organisé à Valence est apparu en premier sur Lyon Capitale.

Source LogoLyon Capitale
Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline

La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:03 Lecture zen Une grève, à l’appel du syndicat majoritaire CFDT, s’est tenue à l’usine Mousline de Rosières-en-Santerre, fabricant de purée déshydratée (140 salariés sur site, 174 au total avec le siège à Paris), jeudi 6 novembre. « Les personnels grondent depuis six mois, on a attendu, mais là nous avons considéré que c’était le bon moment pour dire stop », indiquent les représentants du syndicat. Le dernier mouvement de grève remonte à des dizaines d’années, pensent les plus anciens. Une quinzaine de salariés de l’équipe du matin ont débrayé de 10 à 13 heures, avant le relais l’après-midi d’autres collègues. Ce mouvement social « glissant sur la journée » a eu pour effet l’arrêt de deux lignes de production sur sept et deux sur quatre au conditionnement en matinée. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Le délégué syndical CFDT Alexis Dacquin liste les motifs de colère : la participation aux bénéfices réduite à zéro contre une prime de 1 500 € par le passé, des négociations salariales, en février, aboutissant à des augmentations « ridicules par rapport à l’inflation », des congés payés et des périodes de fermetures imposés. La politique du mail est mal supportéeDans un tract, les grévistes dénoncent « un dialogue social inexistant avec la direction » ainsi qu’un décalage entre les discours et la réalité. L’usine a été rachetée fin 2022 à Nestlé par le fonds d’investissement français FnB Private Equity. Les annonces positives des derniers mois tarderaient à se concrétiser. « Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit, notre production annuelle est à 15 000-16 000 tonnes et pas 20 000. Et la nouvelle ligne prévue il y a deux ans n’est toujours pas là », invoquent les grévistes. Enfin, et c’est un ressort du mouvement social, « il y a un problème de communication avec les ressources humaines qui ne pratiquent que la politique du mail à distance. Nous attendons, et vite, une nouvelle forme de dialogue », espère Alexis Dacquin. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet La communication de l’entreprise Mousline a été jointe par téléphone jeudi à la mi-journée, sans succès. Par Nicolas Totet Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline Des salariés de SGA Mousline à Rosières-en-Santerre étaient en grève ce jeudi 6 novembre. Un mouvement social, très rare, qui dit forcément quelque chose.

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Aimer son travail

Mis en ligne le 6/11/2025 à 12:51 Lecture zen En cette période automnale favorable au spleen et autres désespérances, j’ai cru bon de ressortir (moi qui suis à la retraite) les documents professionnels qui attestent que la valeur travail est un facteur de réussite personnelle et qu’il faut travailler pour s’améliorer et contribuer à notre niveau au progrès social. A mon âge, le seul conseil que je donne aux jeunes générations, c’est aimez votre travail quel qu’il soit car il vous apportera toujours quelque chose de positif, pour vous et pour l’humanité. Les vrais chefs sont insispensables à toute évolution, car ils savent eux-mêmes les sacrifices et les efforts nécessaires pour être des chefs. Il faut respecteur ceux qui croient que l’homme doit se dépasser pour exister. Par le courrier des lecteurs Aimer son travail Annick Tirache, de Dernancourt (Somme), fait l’éloge de la valeur du travail.

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À Envermeu, le lycée du Bois veut sauver sa formation Technicien scierie

L’atelier scierie est très bien équipé. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 13:05 Lecture zen Quel avenir pour le bac professionnel Technicien scierie au lycée du Bois d’Envermeu ? Il serait en effet menacé dans le cadre de la préparation de la future carte régionale des formations. Unique dans le quart nord-ouest de la France, cet enseignement spécialisé dans le sciage du bois ne compte plus aujourd’hui que six élèves, dont trois en apprentissage. Le lycée du Bois propose trois options. - Photo Paris Normandie « La filière est fragilisée à cause de son faible recrutement et de l’annonce de la fermeture en septembre prochain de la seconde Pilotage des machines industrielles automatisées qui permettait de suivre la filière Scierie, explique Francis Deboeuf, enseignant, mais dont la consonance industrielle n’attirait pas les élèves. Les deux autres secondes Construction bois et Forêt n’ont, elles, pas de mal à recruter. »Plus d’un tiers de nos salariés viennent du lycée du Bois.Romain Cuffel, Entreprise LefebvreLa solution serait de rouvrir la seconde indéterminée Métiers du bois, qui regroupait jusqu’en 2018 les trois options. « Elle permettait aux jeunes de découvrir les trois métiers du bois, dont celui de scieur, avant de se spécialiser en fin de seconde ou en première. » L’enseignant rappelle également que les élèves trouvent très facilement un emploi à la sortie de leur formation scierie » et peuvent évoluer dans leur métier. À lire aussi À Dieppe, des jeunes troquent le CV pour la scène dans un job dating pas comme les autres Les professionnels estiment, de leur côté, que les besoins en main-d’œuvre dans les scieries resteront importants dans les années à venir. Le secteur normand du bois compte actuellement environ 60 scieries et près de 400 entreprises forestières. Le lycée accueille 210 élèves. - Photo Paris Normandie Pour Sébastien Jumel, président de l’Agglo Dieppe-Maritime, « ce lycée est né pour répondre aux besoins de cette formation professionnelle. Il est sans équivalent dans le nord de la France et implanté dans une région aux massifs forestiers étendus. Nous ne voulons pas le voir disparaître, car il répond à un besoin économique bien réel ».L’importance du maintien de cette formation est partagée par l’entreprise Lefebvre des Grandes-Ventes. « Plus d’un tiers de nos salariés viennent du lycée du Bois, souligne Romain Cuffel, représentant de la scierie. Nous allons ouvrir une troisième ligne de sciage, avec une dizaine d’emplois à la clé. Nous avons besoin de jeunes bien formés pour accompagner notre développement. » Par Sylvie Macquet Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Envermeu (Seine-Maritime) À Envermeu, le lycée du Bois veut sauver sa formation Technicien scierie Le lycée du Bois d’Envermeu pourrait-il perdre sa filière emblématique ? Le bac professionnel Technicien scierie est aujourd’hui fragilisé par un faible recrutement et une réorganisation régionale des formations.

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Josselin. Signature du partenariat entre le collège Sainte-Marguerite et l'entreprise JPA

Dans le cadre de l’option « découverte professionnelle », les élèves de 3e ayant choisi cette option vont participer au projet « Ma classe en entreprise ». Aussi, pour la 6e année, une convention Collège – Entreprise relative à la mise en place d’une "Classe en entreprise" a été signée le mercredi 5 novembre en présence de Madame Rouxel, cheffe d’établissement, Madame Montier, responsable des ressources humaines, et Madame Le Gaillard, enseignante de cette option. Les élèves seront accueillis pendant 2,5 jours au sein de l’entreprise JPA en janvier 2026 afin de découvrir le monde du travail et les différents métiers existants.

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Nogent-le-Rotrou : la Mission locale Milos 28 en danger face à la baisse des financements de l’État

La Mission locale ouest sud Eure-et-Loir (Milos 28), basée à Nogent-le-Rotrou et Châteaudun, tire la sonnette d’alarme. - Photo d’illustration Own Work Mis en ligne le 6/11/2025 à 12:09 Lecture zen Le désengagement de l’État inquiète profondément les missions locales, chargées d’accompagner les jeunes de 16 à 25 ans vers l’emploi et l’autonomie. À la Milos 28, le directeur Ludovic Sarrazin redoute des conséquences immédiates : « Nous avons une fenêtre de tir très courte pour alerter les élus », prévient-il dans les colonnes de l’Action l’écho. La structure, pourtant essentielle au territoire, pourrait perdre trois postes, allonger les délais d’accueil et réduire le nombre d’actions menées.Des coupes budgétaires qui fragilisentPourtant, l’activité est en hausse : 270 contrats de travail ont été signés à fin octobre 2025, soit autant que sur toute l’année 2024, et 367 jeunes ont déjà été accompagnés. « Les besoins explosent, mais les moyens diminuent », déplore le directeur. Les permanences délocalisées, qui assurent la proximité avec les jeunes, pourraient aussi disparaître.Selon l’Union nationale des missions locales (UNML), 20 % des structures françaises sont aujourd’hui en grande difficulté financière. Et la loi pour le plein-emploi accentue la pression, en augmentant le nombre de jeunes orientés par France Travail. L’UNML appelle l’État à maintenir les financements pour 2026 au niveau de ceux de 2025 et à créer un fonds d’urgence pour les structures menacées. À Nogent-le-Rotrou, un mouvement de mobilisation locale pourrait voir le jour. Car, rappelle Ludovic Sarrazin, « chaque jeune accompagné vers l’emploi fait vivre notre territoire ». Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir) Châteaudun (Eure-et-Loir) Nogent-le-Rotrou : la Mission locale Milos 28 en danger face à la baisse des financements de l’État La Mission locale ouest sud Eure-et-Loir (Milos 28), basée à Nogent-le-Rotrou et Châteaudun, tire la sonnette d’alarme. La baisse des financements publics menace son modèle économique et pourrait conduire à la suppression de trois postes.

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Les EchosLes Echos
Prime de Noël : cinq questions pour comprendre la polémique
Le FigaroLe Figaro
Réserver la prime de Noël aux familles avec enfants est «honteux» et «mesquin», dénonce Sophie Binet
TF1 InfoTF1 Info
La prime de Noël réservée aux bénéficiaires avec enfants ? "Honteux" et "mesquin", fustige Sophie Binet
TF1 InfoTF1 Info
Prime de Noël : Roland Lescure estime "raisonnable" de la réserver aux personnes avec des enfants
coverageCouverture complète
« C’est moins stressant quand ce sont les employeurs qui viennent vers vous »

Mis en ligne le 6/11/2025 à 11:50 Lecture zen Maryne, service civique à la Mission locale qui elle aussi il y a peu a fait partie d’un groupe du PBE, a pris le micro pour présenter les jeunes passés sur scène. « Dans la salle à côté, quatorze jeunes proposent un job-dating inversé : d’habitude, c’est vous qui avez un stand sur lequel vous accueillez des postulants, ici c’est le contraire. Ils ont travaillé sur leur présentation », CV et affichettes à l’appui. Sur les photos placardées, on a accès autant à leurs réalisations professionnelles qu’à des images de leurs passions. « Ils sont plus à l’aise pour se mettre en avant, parler de leur parcours, leurs loisirs… », atteste Mickaela Féret qui chapeaute le dispositif « Profil au top » à la Mission locale.Donovan, Dieppois de 18 ans, est en place. Il cherche à travailler avec son bac chaudronnerie, avant de retenter un BTS en alternance : « J’ai imprimé des CV et des photos de mes passions : foot, sport automobile. Je me sens plus à l’aise que dans un job-dating ordinaire : c’est moins stressant quand ce sont les employeurs qui viennent vers vous. » À ses côtés, Anthony, habitant de Belleville-sur-Mer de 21 ans, passionné d’échecs et technicien-outilleur diplômé, cherche un travail avant de rejoindre « les Compagnons du devoir en septembre prochain ». « C’est moins stressant quand ce sont les employeurs qui viennent vers vous »

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Fermeture d’Arlanxeo à Lillebonne : les syndicats dénoncent des mesures insuffisantes dans le PSE

Après l’annonce de la fermeture d’Arlanxeo le 2 octobre 2025, les discussions autour du plan de sauvegarde de l’emploi ont débuté mercredi 5 novembre 2025. - Photo Coline Poiret-Mellier Site d’Arlanxeo à Lillebonne, dans la zone industrielle de Port-Jérôme. - Photo Coline Poiret-Mellier Les syndicats dénoncent un manque de propositions concrètes pour les 165 salariés concernés. - Coline Poiret-Mellier Mis en ligne le 6/11/2025 à 11:16 Lecture zen L’ambiance était lourde, mercredi 5 novembre 2025, à la sortie de la première réunion de négociation du Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) d’Arlanxeo. « Les mesures proposées pour le retour à l’emploi sont très loin de ce que nous proposons. C’est simple, on ne nous présente rien pour la future recherche d’emploi. Il n’y a aucun moyen de débloquer », déplore Sylvain Renault, délégué syndical CGT du site de Lillebonne. Consultez l’actualité en vidéo À lire aussi Arlanxeo ferme à Lillebonne : élus et parlementaires réclament une réaction du gouvernement L’entreprise, spécialisée dans la production de caoutchoucs synthétiques destinés à l’automobile, la construction ou encore l’agroalimentaire, avait annoncé le 2 octobre la fermeture de son usine cauchoise, qui emploie 165 personnes. À l’époque, le PDG du groupe, détenu par le géant pétrochimique Saudi Aramco, assurait vouloir « fournir aux employés concernés un plan social reflétant leur précieuse contribution ».Un site industriel à l’arrêt complet depuis plusieurs semainesSur le terrain, le discours passe mal : « Certes, la pyramide des âges est élevée, mais notre volonté est de pouvoir reclasser tout le monde dans un nouvel emploi », insiste le représentant syndical, qui pointe également le manque de stabilité dans l’encadrement local : « Le directeur du site est absent depuis une dizaine de jours, il n’était pas là lors de la première réunion de négociations du PSE et nous avons une nouvelle DRH depuis peu. Cela ne facilite pas les négociations. » À lire aussi « La chimie n’est pas morte » : ExxonMobil versera 1,8 million d’euros pour revitaliser le territoire Certes, la pyramide des âges est élevée, mais notre volonté est de pouvoir reclasser tout le monde dans un nouvel emploi.Sylvain Renault, Délégué syndical de la CGT sur le site cauchois d’ArlanxeoDu côté des salariés, l’attente se double d’incertitude. L’activité du site est à l’arrêt complet depuis plusieurs semaines. « Nous faisons au jour le jour… La réouverture est prévue pour le mercredi 12 novembre 2025 », confie Sylvain Renault.La direction, elle, justifie la fermeture par un contexte économique défavorable : une demande faible et persistante dans la chimie européenne, une compétitivité en berne et une hausse des coûts qui rendraient le site de Port-Jérôme structurellement déficitaire.L’intersyndicale a, pour l’heure, obtenu une demi-journée supplémentaire de négociation, alors que le calendrier initial fixe la fin des discussions au 8 janvier 2026. En parallèle, les représentants des salariés poursuivent leurs échanges avec les élus locaux, notamment Céline Brulin, sénatrice PCF de la Seine-Maritime, venue les rencontrer ces derniers jours. Par Coline Poiret-Mellier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Lillebonne (Seine-Maritime) Fermeture d’Arlanxeo à Lillebonne : les syndicats dénoncent des mesures insuffisantes dans le PSE Après l’annonce de la fermeture d’Arlanxeo le 2 octobre 2025, les discussions autour du plan de sauvegarde de l’emploi ont débuté ce mercredi 5 novembre 2025. Les syndicats dénoncent un manque de propositions concrètes pour les 165 salariés concernés.

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Villefranche-sur-Saône : Blédina va fermer ses portes, emportant avec elle 140 ans d'histoire pour ses employés

Après plus de 140 années d'activité, l'usine Blédina de Danone implantée à Villefranche-sur-Saône (Rhône) fermera ses portes d'ici à 2027, menaçant 117 postes des salariés. Le groupe Danone a annoncé, le mardi 6 novembre, la fermeture prévue en juillet 2027 de son usine de production de céréales infantiles commercialisées sous les marques Blédina et Phosphatine à Villefranche-sur-Saône (Rhône). Alors que 117 emplois sont concernés, les habitants de la commune sont, eux, mitigés. En effet, si certains résidents ont déploré la disparition d'une «partie de l'histoire de Villefranche» et la perte d'emplois, d'autres ont estimé que le centre-ville bénéficiera d'un «peu de répit, surtout la nuit, parce que ça travaille tout le temps et c'est extrêmement bruyant». La marque Blédina, connue pour ses compotes, petits pots et ses Blédine aux céréales, a vu ses ventes chuter drastiquement depuis une vingtaine d'années, avec - 50 % de volumes produits depuis 2007. Et ...

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« Des besoins en emploi très faibles »

Mis en ligne le 6/11/2025 à 08:53 Lecture zen Interrogés par Paris Normandie, les services du Rectorat répondent que cette situation s’inscrit dans une réflexion menée à l’échelle de la région académique Normandie, en lien étroit avec la Région, sur l’évolution de la carte des formations professionnelles, « afin d’assurer la meilleure adéquation entre les parcours proposés, les effectifs constatés et les besoins réels en emploi ». Le Rectorat l’assure : « Une enquête conduite au printemps 2025 par la branche professionnelle auprès des principales scieries normandes a identifié très peu de besoins en recrutement de techniciens de scierie d’ici à 2030, ce qui confirme des besoins très limités sur le territoire. »La Région répond la même chose « Ce dossier sera effectivement proposé au vote de l’assemblée plénière de la Région du 15 novembre et s’inscrit dans la dynamique annuelle d’adaptation de la carte des formations professionnelles aux besoins économiques. Les indicateurs montrent l’absence d’élèves, des besoins en emploi très faibles, et des coûts de maintenance et des investissements à réaliser très importants. » « Des besoins en emploi très faibles »

Source LogoParis Normandie
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Décryptage. Plans de sauvegarde, suppressions de postes... les associations payent la baisse des subventions

Sur les 1 500 000 associations françaises, moins de 160 000 emploient du personnel permanent. La masse salariale associative est pourtant loin d’être négligeable. Évaluée à 1,8 million de personnes, elle représente près de 10 % des salariés du privé en France. Les difficultés financières auxquelles est confronté le monde associatif aujourd’hui font courir un risque très important sur une partie de ces emplois. Les plans de sauvegarde ont déjà commencé.

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Avances déplacées, harcèlement sexuel, paternalisme… Les comportements sexistes continuent de heurter les entrepreneuses

La seconde édition du baromètre "Entrepreneuriat et inégalités de genre", menée en Île-de-France, montre que les femmes subissent toujours de nombreux comportements sexistes. À la tête de leur entreprise, elles ne se sentent pas légitimes. Mais Francine Savidan, présidente de l’association Initiative Île-de-France, note qu'elles font preuve de beaucoup de résilience.

Source LogoTF1 Info