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Actualité complète sur les Bleus, entre matchs, joueurs et performances en compétitions internationales.
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Maroc-Comores : Achraf Hakimi remplaçant pour le match d’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations

Le sélectionneur du Maroc Walid Regragui avait laissé planer le doute. Victime d’un terrible tacle en Ligue des champions avec le Paris Saint-Germain le 4 novembre dernier, Achraf Hakimi allait-il tenir sa place pour le match d’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations face aux Comores ce dimanche ? « Il peut débuter demain… ou pas », avait-il déclaré.La réponse est non, le Parisien va débuter la compétition sur le banc. C’est Anass Salah-Eddine qui est titulaire dans l’équipe marocaine, aux côtés de Nayef Aguerd, Romain Saïss et Noussair Mazraoui. Au milieu de terrain, Azzedine Ounahi, Sofyan Amrabat et Neil El Aynaoui tenteront d’alimenter Brahim Diaz, Soufiane Rahimi et Ismael Saibari, titulaires en attaque. View this post on Instagram Pour Achraf Hakimi, cette place de remplaçant et sa présence sur le terrain pour l’échauffement sont malgré tout des indices positifs. En conférence de presse, Walid Regragui avait loué l’implication de son joueur. « Je tiens à dire merci à Hakimi, il s’est sacrifié comme personne pour son pays. C’est un exemple. Le protocole est plus que positif. Mais il y a une compétition à gérer », avait-il déclaré, assurant que le Ballon d’or africain est un « exemple » dans l’effectif des Lions de l’Atlas.

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CAN 2025 : Maroc, Sénégal, Algérie... Qui sont les favoris pour succéder à la Côte d’Ivoire ?

Depuis 2010 et la dernière pierre du triplé égyptien, aucune sélection africaine n’a conservé son titre à la Coupe d’Afrique des nations. Les huit dernières éditions ont sacré sept vainqueurs différents. Sur cet intervalle de 15 ans, seule la Côte d’Ivoire a triomphé deux fois, dont ce parcours miraculeux à domicile lors de la CAN 2023. Deux ans plus tard, le favori pourrait de nouveau s’imposer sur ses terres.Les favorisLe Maroc et le Sénégal partagent au moins deux points communs : ils ont été éliminés en huitièmes de finale de la dernière CAN et depuis, ils n’ont pas perdu le moindre match officiel, hors Championnat d’Afrique des nations lors duquel les sélections affichent des visages radicalement différents.Demi-finalistes surprises au Mondial 2022 au Qatar, les Lions de l’Atlas étaient tombés face à l’Afrique du Sud (2-0) lors de la CAN ivoirienne. Si depuis, certains joueurs comme Azzedine Ounahi ou Hakim Ziyech se sont quelque peu effacés, les Marocains ont accueilli de nouveaux talents tandis qu’Achraf Hakimi est monté en puissance au point d’être élu joueur africain de l’année.Le résultat de sa course contre-la-montre pour guérir sa cheville gauche sera déterminant pour évaluer les chances du Maroc. En cas d’échec, Walid Regragui dispose néanmoins d’un profond réservoir de talent, à commencer par Brahim Diaz (15 sélections, 8 buts), qui a choisi la nationalité sportive marocaine début 2024.Le Sénégal, lui, s’était incliné devant la folle résilience des Éléphants en Côte d’Ivoire (1-1, 5-4 aux t.a.b.). Les Lions ont tourné la page Aliou Cissé. Pape Thiaw s’est installé sur le banc fin 2024. Le sélectionneur peut mêler l’expérience de Sadio Mané, Édouard Mendy et du capitaine Kalidou Koulibaly avec les talentueux Iliman Ndiaye, Lamine Camara et Pape Matar Sarr.Les outsidersTenante du titre, la Côte d’Ivoire représente forcément une force à ne pas négliger. Depuis, les Éléphants n’ont néanmoins pas croisé une adversité folle et certaines défaites - des amicaux contre la Nouvelle-Zélande (1-0) ou l’Arabie saoudite (1-0) - n’invitent pas à l’optimisme. De nouveaux talents ont émergé au niveau international, parmi lesquels Evann Guessand ou le jeune Yan Diomande (19 ans).Autre prétendant, l’Algérie s’avance sans certitude. Le Suisse Vladimir Petkovic est contesté, les Fennecs restent sur deux éliminations au premier tour et Riyad Mahrez se rapproche de la retraite. Mais l’« EN » possède trop de talents pour être oubliée. Amine Gouiri va disputer sa première CAN, Mohamed Amoura a agrippé les rênes de l’équipe et des manieurs de ballon comme Anis Hadj Moussa ou Ibrahim Maza peuvent résoudre de nombreux problèmes si leur formation manque d’inspiration.Les interrogationsSi les Algériens sont loin de toute sérénité, les Camerounais ont vécu un dernier mois mouvementé. Le sélectionneur Marc Brys a été éjecté et son successeur n’a pas retenu Éric-Maxim Choupo-Moting, André Onana ou Vincent Aboubakar. Forfait, Frank Anguissa ne sera pas présent non plus. Les Lions indomptables devront se ranger derrière l’ex-Lillois Carlos Baleba et le Mancunien Bryan Mbeumo pour espérer. Les joueurs de David Pagou ont été placés dans un groupe relevé, en compagnie de la Côte d’Ivoire.Finaliste malheureux de la dernière édition, le Nigeria a vécu une nouvelle désillusion en novembre. Surpris par la République démocratique du Congo (1-1, 4-3 aux t.a.b.), les Super Eagles ont échoué à rallier le barrage intercontinental pour la Coupe du monde 2026. La pression sera maximale sur leurs épaules pour faire oublier cette déception, mais leur puissance de feu en attaque - Victor Osimhen, Ademola Lookman, Samuel Chukwueze, Moses Simon - peut les mener loin.Si l’Égypte dispose également d’arguments offensifs de poids, ses supporters ont, pour leur part, du mal à croire en une belle épopée. Le pessimisme est de mise autour du sélectionneur Hossam Hassan et l’état de forme actuel de Mohamed Salah avec Liverpool ne sera pas de nature à rassurer les suiveurs des « Pharaons ». En 2025, « Mo » a tout de même marqué quatre fois en six matchs internationaux. Le capitaine sera soutenu par le Mancunien Omar Marmoush, qui a explosé depuis la dernière CAN.La surprise ?La République démocratique du Congo pourrait-elle surfer sur son parcours du combattant en qualifications pour le Mondial ? Représentants de la CAF lors du barrage intercontinental programmé en mars prochain, les Léopards ont éliminé le Cameroun (1-0) et le Nigeria de la course à la Coupe du monde. La présence du Sénégal au sein de leur groupe de qualifications explique en partie leur incapacité à accéder directement au Mondial.L’autre point positif ? Contrairement à la plupart des nations engagées à la CAN, les Congolais se sont testés contre des équipes majeures du continent. Demi-finalistes en 2024, ils alignent des éléments de qualité, tels que Chancel Mbemba en charnière, Noah Sadiki et Ngal’ayel Mukau au milieu ainsi que Cédric Bakambu et Fiston Mayele devant.

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CAN 2025 : Hakimi, Mahrez, Salah, Aubameyang, Mané… les stars à suivre pendant la compétition au Maroc

Ils manqueront probablement à leurs clubs respectifs, mais attireront sans doute les regards à la Coupe d’Afrique des nations. Dès ce dimanche 21 décembre, de nombreuses stars fouleront les pelouses marocaines pour défendre les couleurs de leurs sélections nationales. De Sébastien Haller, tenant du titre avec la Côte d’Ivoire, au Parisien Achraf Hakimi en passant par Mohamed Salah, Riyad Mahrez et le Marseillais Pierre-Emerick Aubameyang, zoom sur les huit stars à suivre.Achraf Hakimi, le Ballon d’or africainLe passé récent le prouve, le Marocain est le meilleur joueur du continent. Préféré à Mohamed Salah et Victor Osimhen au scrutin du Ballon d’or continental, le latéral droit du Paris Saint-Germain crève l’écran depuis plus d’un an. Insaisissable et inarrêtable dans la défense parisienne, il a conclu sa saison 2024-2025 par un titre en Ligue des champions et une finale de Coupe du monde des clubs.Avec les Lions de l’Atlas, l’homme aux 88 sélections est tout aussi précieux, comme il l’a prouvé lors du superbe parcours des Marocains lors de la dernière Coupe du monde, conclue en demi-finales face à la France, ou lors des Jeux olympiques qui lui ont offert une médaille de bronze. Lourdement touché à la cheville gauche pendant le match PSG-Bayern Munich, il arrive toutefois à cette CAN 2025 avec de nombreuses interrogations.Mohamed Salah, éternel à LiverpoolLe dauphin du Marocain est un habitué de ce scrutin : Mohamed Salah. Élu joueur africain de l’année en 2017 et 2018, l’Égyptien est toujours aussi virevoltant du côté de Liverpool, où les dirigeants ont aligné les billets pour lui offrir une équipe en mesure de se battre pour les grands titres. Il a toutefois vécu un début de saison timide, avec seulement cinq buts en 17 matchs.Son impact en sélection nationale ne peut toutefois pas être négligé. Avec 107 sélections et une implication dans 95 buts, l’ailier des Reds était un élément important lors du parcours des Pharaons jusqu’en finale des CAN 2017 et 2022. Il court toutefois après un premier titre, et n’aura plus des dizaines d’occasions.Pierre-Emerick Aubameyang renaît à l’OMIl a déjà 36 ans, mais semble immortel. Revenu à l’Olympique de Marseille cet été après une escapade d’un an en Arabie saoudite, Pierre-Emerick Aubameyang n’a pas perdu son sens du but. Depuis le début de saison, il a même été impliqué dans 16 buts en autant de rencontres, preuve de son rendement impressionnant. Son doublé en Ligue des champions face à Newcastle pour offrir une 2e victoire européenne aux Phocéens reste d’ailleurs dans les mémoires.Mais le Gabonais est surtout un leader né pour son pays. Avec 81 sélections et 39 buts, il a participé aux récents succès des Panthères, avec notamment un quart de finale de la CAN 2012. Il n’a toutefois pas pu aider son équipe à se qualifier pour la Coupe du monde 2026, le Gabon ayant été battu par le Nigeria en demi-finales des barrages africains.Victor Osimhen, inarrêtable en Ligue des championsDifficile de présenter une plus belle ligne de statistiques. En trois matchs et 226 minutes de jeu en Ligue des champions cette saison avec Galatasaray, Victor Osimhen a planté six buts. Un bilan qui correspond à celui de la saison dernière, lors de laquelle il avait inscrit 37 buts et délivré 8 passes décisives en 41 matchs. Tout bonnement exceptionnel.Avec le Nigeria, le ratio buts/match n’est pas moins reluisant. S’il n’a pas réussi à emmener le Nigeria jusqu’aux barrages intercontinentaux pour la Coupe du monde 2026 après s’être incliné en finale des barrages africains face à la République démocratique du Congo, l’ancien attaquant de Naples a été impliqué dans 43 buts au cours de ses 46 sélections. Cette CAN 2025 doit encore prouver son importance.Haller en perte de vitesse, Mané et Mahrez exilés en Arabie saouditeS’ils n’est plus à son meilleur niveau, Sébastien Haller demeure une star sur le continent africain. Désormais à Utrecht, où il a été vendu définitivement cet été, l’Ivoirien ne retrouve pas le sens du but qui était le sien avec l’Ajax Amsterdam. Il répond toutefois toujours au rendez-vous avec les Éléphants.Partis en Saudi Pro League en 2023, Sadio Mané et Riyad Mahrez sont également plus loin des regards européens. Ils n’ont toutefois pas jeté l’éponge et continuent de faire vaciller les défenses adverses. Le premier a d’ailleurs marqué 42 buts en 113 matchs avec Al-Nassr, tandis que le second en a planté 33 en 96 rencontres avec Al-Ahli. Ils ont donc encore les jambes pour aider le Sénégal et l’Algérie.

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Real Madrid : Cristiano Ronaldo félicite Kylian Mbappé

Cristiano Ronaldo a envoyé un message à Kylian Mbappé, qui lui avait rendu hommage hier après avoir égalé son record du nombre de buts inscrits en une saison au Real Madrid. Hier soir face au FC Séville (2-0), Kylian Mbappé s’est offert son 30e but de la saison en club, sur penalty, mais surtout son ... Lire plus The post Real Madrid : Cristiano Ronaldo félicite Kylian Mbappé first appeared on But! Football Club.

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CAN 2025: le Maroc et tout le continent africain se préparent pour la compétition

La 35e Coupe d’Afrique des nations (CAN) débute dimanche 21 décembre. Pour la deuxième fois depuis la création du tournoi, le Maroc en est l’hôte, et pour la deuxième fois de son histoire, le pays espère remporter la compétition footballistique, car le Maroc fait figure de grand favori. Il n’est toutefois pas le seul à pouvoir prétendre à la victoire. RFI en a consacré une édition spéciale avant l’ouverture du match Maroc-Comores dimanche soir.

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CAN 2025: Luca Zidane, Mamadou Sarr, Alban Lafont... Ces binationaux qui ont opté pour une sélection africaine

Par TV5MONDE À l'approche de la Coupe d'Afrique des nations 2025 qui se tiendra au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, de plus en plus de footballeurs binationaux tournent le dos aux grandes sélections européennes pour rejoindre le pays d'origine de leurs parents. À l'approche de la Coupe d'Afrique des nations 2025 qui se tiendra au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, de plus en plus de footballeurs binationaux tournent le dos aux grandes sélections européennes pour rejoindre le pays d'origine de leurs parents.Les chiffres parlent d'eux-mêmes: lors de la dernière Coupe d'Afrique des nations en 2024, 200 des 630 footballeurs sélectionnés n'étaient pas nés sur le continent africain. Seules trois nations - l'Égypte, l'Afrique du Sud et la Namibie alignaient des effectifs composés exclusivement de joueurs non-binationaux. La compétition de 2025 devrait afficher un taux équivalent, voire supérieur.Ce qui constituait autrefois un choix par défaut est devenu une véritable stratégie sportive. Les fédérations africaines se sont professionnalisées et déploient désormais des moyens considérables pour attirer les talents formés en Europe."Avant les fédérations africaines venaient approcher les joueurs européens avec des origines étrangères mais de façon peu professionnelle. Elles se sont désormais professionnalisées et envoient des scouts, des recruteurs sur place, qui sont de véritables émissaires pour flirter avec les joueurs et leurs entourages", explique le journaliste sportif belge Sacha Tavioleri, cité par nos confrères de France 24.Les cas emblématiques de la CAN 2025Luca Zidane (Algérie)Le deuxième fils de Zinédine Zidane incarne ce tournant. Gardien de but de 27 ans évoluant à Grenade en deuxième division espagnole, Luca Zidane a disputé toutes les catégories jeunes de l'équipe de France, des U16 aux U20, remportant notamment l'Euro U17 en 2015.  Your browser doesn't support HTML5 video. Mais n'ayant jamais été convoqué chez les Espoirs ni en équipe de France A, il a finalement opté pour l'Algérie en septembre 2025. La FIFA a officiellement accordé son changement de nationalité sportive le 19 septembre, comme l'a annoncé la Fédération algérienne de football qui avait accéléré les démarches pour l'intégrer rapidement.Fils de Zinedine Zidane, champion du monde en 1998 avec les Bleus, Luca Zidane embrasse ainsi l'héritage de ses grands-parents paternels, originaires d'un village de Béjaïa, à plus de 200 km à l'est d'Alger.Ibrahim Mbaye (Sénégal) À seulement 17 ans, le jeune attaquant du Paris Saint-Germain (PSG), né à Trappes, a joué pour la première fois en novembre 2025 avec le Sénégal lors de deux matches amicaux, après avoir porté les couleurs des équipes de France jeunes pendant deux ans. "Ibrahim Mbaye n'a pas eu besoin d'être convaincu. Quand le choix vient du joueur, c'est toujours plus facile. Pour certains joueurs, je pense qu'il faudra se déplacer, rencontrer les parents et leur présenter le projet. Ici, c'est un choix du cœur : Ibrahim a toujours voulu jouer pour le Sénégal", a commenté le sélectionneur sénégalais Pape Thiaw, cité par France 24. Comme l'a révélé RMC Sport, le jeune Titi croit au projet ambitieux des Lions de la Teranga.Mamadou Sarr (Sénégal) Le défenseur de Strasbourg âgé de 20 ans a suivi le même chemin qu'Ibrahim Mbaye. Fils de Pape Sarr, ancien international sénégalais ayant notamment disputé la Coupe du monde 2002, Mamadou Sarr a pris la décision de jouer pour le Sénégal malgré la volonté de la Fédération française de le garder. (Re)lire CAN 2025 au Maroc: Sarr, El Khannouss, Amad Diallo... Qui sont les jeunes joueurs attendus au tournant?International français dans les catégories de jeunes, il s'est révélé la saison dernière avec le Racing Club de Strasbourg. Transféré cet été à Chelsea jusqu'en 2033, il a ensuite été prêté à Strasbourg pour un an. Depuis sa nomination fin 2024 à la tête des Lions de la Teranga, Pape Thiaw lui a fait une cour assidue, conscient de l'immense potentiel de l'ancien Lyonnais.Chemsdine Talbi (Maroc) Le jeune ailier de 19 ans, né à Sambreville en Belgique et évoluant dans le club britannique Sunderland, a récemment déclenché une polémique en choisissant le Maroc après avoir évolué pendant trois ans dans les équipes jeunes belges. "Avant de les sélectionner, ils doivent nous faire savoir s'ils veulent choisir la Belgique", s'est emporté le directeur technique national belge Vincent Mannaert dans un entretien au média flamand Sporaz. "Ils sont nés ici et ont fait leur éducation en Belgique, où les clubs ont investi beaucoup de temps et d'énergie. Et si à un moment donné ils ne peuvent pas choisir la Belgique, c'est leur droit, mais nous continuerons avec les joueurs qui le souhaitent".(Re)lire CAN 2025: Maroc, Sénégal, Algérie, Côte d'Ivoire... Qui sont les grands favoris et les outsiders de la compétition?En réponse, le jeune ailier s'était expliqué sur la chaîne de télévision Canal +, cité par France 24 : "J'ai choisi le Maroc, même si j'ai fait la plupart de mes classes en Belgique. C'était le moment de se poser la question (de savoir) pour quelle nation j'allais jouer. C'est plus un choix personnel, comme pour tous les joueurs (binationaux)".Alban Lafont (Côte d'Ivoire)L'ancien international français, convoité par le Burkina Faso, a finalement décidé de rejoindre la Côte d'Ivoire cet été, même si Yaya Fofana, ancien gardien d'Angers en Ligue 1 qui joue désormais dans le championnat turc, reste le numéro un de l'équipe. Né à Ouagadougou au Burkina Faso, le gardien formé à Toulouse désormais joueur du Panathinaïkós en Grèce a joué avec l'équipe de France Espoirs. Il avait été aussi appelé chez les Bleus par Didier Deschamps en septembre 2022, quand Hugo Lloris était forfait et que lui évoluait à Nantes. Il tient de son arrière-grand-mère née ivoirienne en 1916 à Bingerville.Haller, Hakimi, les cas emblématiques des éditions précédentesD'autres trajectoires ont marqué les dernières années. Sébastien Haller, né à Ris-Orangis en région parisienne, est entré dans la légende ivoirienne en inscrivant le but de la victoire en finale de la CAN 2024 contre le Nigeria. Passé par toutes les catégories jeunes françaises entre 2010 et 2015, il a finalement choisi la Côte d'Ivoire à 26 ans, rejoignant ainsi le pays de sa mère.(Re)lire CAN 2025 au Maroc: Rabat, Casablanca, Marrakech... À la découverte des 9 stades de la compétitionAchraf Hakimi incarne quant à lui la réussite de cette stratégie. Le latéral du PSG, Ballon d'Or africain 2025, est né à Madrid et a même été convoqué une fois en sélection espagnole U19. Mais c'est avec le Maroc, pays de ses parents, qu'il s'est construit un palmarès exceptionnel. Cité par France 24, Sacha Tavioleri mesure l'impact de ce parcours : "C'est la cerise sur le gâteau. Personne ne s'attendait à ce qu'il soit aujourd'hui l'un des meilleurs joueurs du monde. Il représente désormais un rêve pour les jeunes d'origines marocaines nés en Europe".

Source LogoTV5 MONDE
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« Il peut débuter demain… ou pas » : et si Hakimi participait au match d’ouverture de la CAN 2025 Maroc-Comores ?

Et si la bonne surprise arrivait plus vite que prévu ? Absent depuis le 4 novembre en raison d’une grosse entorse après un tacle assassin de Luis Diaz en Ligue des champions, Achraf Hakimi était présent en conférence de presse ce samedi avec le sourire aux côtés de son sélectionneur Walid Regragui.Interrogé sur l’état de forme de son joueur, qui a repris la course début décembre, l’entraîneur marocain a botté en touche quant à sa présence lors du match d’ouverture de la CAN 2025 contre les Comores qui se déroule ce dimanche. Mais il ne l’a pas exclu pour autant...« Je tiens à dire merci à Hakimi, il s’est sacrifié comme personne pour son pays. C’est un exemple. Le protocole est plus que positif. Mais il y a une compétition à gérer. Il me reste une nuit pour bien dormir, a d’abord commencé l’entraîneur. Est-ce qu’il débute, est-ce qu’on le protège ? On va voir, ça va être ma décision. Mais il a fait plus que le boulot. Sa blessure n’était pas simple et il a pris une décision forte pour son pays. Il peut débuter demain… ou pas. C’est un exemple. » « Je ne voulais pas rater cette compétition »De son côté, le latéral droit du PSG, qui marche sur l’eau depuis la saison dernière, a rappelé l’importance de cette compétition pour lui : « Je ne voulais pas rater cette compétition. Dès ma blessure j’ai dit au coach que je ferais tout pour jouer avec le groupe. (…) Si je ne dois pas jouer pour que l’équipe gagne : je le ferais. Je pense au collectif. Si on gagne sans que je joue, ce n’est pas un problème. »Le Marocain a également évoqué son rôle de capitaine et de leader auprès des jeunes dans le groupe : « Comme vous avez dit, c’est ma quatrième CAN. Je suis un ancien maintenant. Mais celle-là est différente, je suis devant le peuple, la famille, les amis. Elle est spéciale pour tous les Marocains. C’est une motivation de plus pour jouer, défendre le pays et tout donner pour le maillot. Moi je suis prêt à me battre pour l’équipe et la question de si je joue, il faudra la poser au coach. Mon rôle, en tant que capitaine, c’est de donner l’exemple sur et en dehors des terrains. Je parle avec tous les joueurs, on va essayer de trouver l’équilibre avec les anciens et les plus jeunes. On doit motiver tous les joueurs et leur faire savoir que c’est l’opportunité d’une vie. »À 27 ans, le joueur du PSG a déjà connu de beaux succès avec le Maroc avec notamment une demi-finale de Coupe du monde, perdue contre la France. A domicile, le latéral droit et ses coéquipiers tenteront d’écrire l’histoire en remportant la CAN pour la première fois depuis 1976.

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« Une folie » : face au prix délirant des places, la colère des supporters des Bleus qui rêvaient du Mondial 2026

À 77 ans, 308 matchs des Bleus et neuf Mondiaux vécus en tribunes, dont deux sacres, Clément Tomaszewski, dit « Clément d’Antibes » a encore un songe inabouti. « Voir l’équipe de France jouer aux États-Unis, ce serait fabuleux pour moi, avance le supporter, présent au Parc des Princes lors de la cruelle défaite contre la Bulgarie (1-2) ayant privé les coéquipiers de Didier Deschamps du Mondial 1994 sur le continent américain. La Coupe du monde, je veux y aller, c’est un rêve d’enfant », complète l’un des plus fidèles suiveurs des Bleus, qui n’a pas raté une seule des éditions auxquelles ils ont participé depuis 1982.Pour son dixième et dernier tour de piste l’été prochain, celui qui a créé une association de supporters à son nom ne pourra pourtant pas assister à une éventuelle finale des Bleus lors du Mondial en Amérique du Nord.

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Coupe du monde 2026 : déplacement, récupération, chaleur… Pourquoi les Bleus ont intérêt à finir premiers de leur groupe

Dans une Coupe du monde aussi éclatée géographiquement que celle de 2026, chaque détail compte. Et pour l’équipe de France, encore plus depuis samedi avec la presque officialisation de Boston comme camp de base, un constat s’impose : terminer en tête du groupe I où figurent le Sénégal, la Norvège et un adversaire issu des barrages (Bolivie, Suriname ou Irak) change pas mal de choses, en termes de récupération, de déplacements et de gestion climatique.La configuration du tableau est limpide. Si les Bleus finissent premiers, leur phase finale s’organise dans un couloir relativement compact : New York pour les 16e (30 juin), Philadelphie pour les 8e (4 juillet), Boston pour les quarts (9 juillet), puis Dallas pour la demi-finale (14 juillet) avant un retour à New York pour l’éventuelle finale du 19 juillet.

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Lens-Nice (2-0) : un doublé d’Odsonne Édouard chasse le PSG du fauteuil de leader de Ligue 1

L’identité des deux équipes présentes sur la pelouse de Bollaert ne laissait que peu d’espoirs aux Parisiens de passer les fêtes en tête du Championnat. Un point derrière le RC Lens en amont de cette 16e journée, le Paris Saint-Germain a péniblement assuré l’essentiel à Metz samedi (3-2), mais les Sang et Or l’ont chassé de leur trône de leader moins de 24 heures plus tard.Portés par l’efficacité d’Odsonne Édouard, les Artésiens ont étiré la crise niçoise (2-0) à une neuvième défaite d’affilée toutes compétitions confondues, tout en allongeant sa série d’invincibilité à six matchs en Ligue 1. Les Lensois ne quittent plus le sommet du classement depuis trois matchs, accomplissement totalement imprévisible au lancement de la saison.Acquisition de BollaertLa supériorité lensoise paraissait évidente avant le coup d’envoi. Elle s’est matérialisée dès le quart d’heure de jeu, avec ce centre parfaitement brossé par Matthieu Udol pour la tête décroisée d’Édouard (1-0, 15e). Toutefois, Lens a bénéficié de la maladresse des attaquants niçois et des arrêts de son jeune gardien Robin Risser (21 ans).Un peu essoufflés, les leaders de L1 n’ont pas régné sur la partie, mais le but du break est de nouveau sorti de la patte gauche d’Udol et de la tête d’Édouard (2-0, 57e), auteur de ses 6e et 7e buts de l’exercice. Ils ont maîtrisé la fin de partie pour entériner un douzième succès en seize matchs. Le RCL achève ainsi une première moitié de saison exceptionnelle et une journée historique : le club a officialisé l’achat du stade Bollaert-Delelis, qui appartenait jusqu’ici à la ville de Lens.

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Ousmane Dembélé, Luis Enrique et Kylian Mbappé en lice : la remise du trophée « The Best » de la Fifa se tiendra mardi

Après le Ballon d’or, Ousmane Dembélé pourrait-il être de nouveau récompensé ? Le trophée « The Best » de la Fifa se tiendra mardi à 18 heures à Doha où « Dembouz » et le capitaine des Bleus Kylian Mbappé figurent parmi les onze prétendants, a annoncé dimanche l’instance mondiale. Ce dîner de gala avec 800 personnalités aura lieu à la veille de la finale de la Coupe intercontinentale entre le PSG et Flamengo, qui se tient également à Doha.Outre Mbappé et Dembélé, le prodige du FC Barcelone Lamine Yamal, les équipiers de Dembélé au Paris Saint-Germain Achraf Hakimi, Nuno Mendes, Vitinha ou les attaquants Mohamed Salah et Harry Kane, sont sur la liste établie par « un panel d’experts » rassemblé par la Fédération internationale (Fifa). L’an passé, Vinicius et Aitana Bonmati avaient été sacrés.Dix-sept joueuses s’affronteront pour la distinction féminine : les Anglaises doublement championnes d’Europe placent cinq représentantes, tout comme les championnes du monde espagnoles, alors que Sandy Baltimore et Kadidiatou Diani représenteront les couleurs françaises.Luis Enrique nomméVainqueur de la Ligue des champions avec le PSG, l’Espagnol Luis Enrique figure sans surprise parmi les nommés pour le trophée du meilleur entraîneur d’une équipe masculine, face à six rivaux dont Hansi Flick (FC Barcelone) et Arne Slot (Liverpool). Pour le football féminin, la Néerlandaise Sarina Wiegman tient la corde - forte d’un troisième Euro d’affilée décroché cet été -, mais la Française Sonia Bompastor a été sélectionnée dès sa première saison à la tête de Chelsea.D’autres prix couronneront les meilleurs gardien et gardienne, tandis que les prix Marta (femmes) et Puskas (hommes) seront attribués aux plus beaux buts de l’année. Les lauréats ont été désignés par un vote des supporters, de représentants des médias, des capitaines et des sélectionneurs des équipes nationales.

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Coupe du monde 2026 : pourquoi l’équipe de France privilégie Boston pour établir son camp de base

Bien avant les débats sportifs, une question aussi simple qu’essentielle concentre toute l’attention de Didier Deschamps : où installer les Bleus pendant un mois de compétition ? Depuis le tirage au sort de la Coupe du monde 2026 (11 juin-19 juillet), qui a placé la France dans le groupe I face au Sénégal, à la Norvège et à un barragiste intercontinental (Bolivie, Suriname ou Irak), le sélectionneur et son staff affinent leurs curseurs.Désormais fixés sur leurs villes du premier tour – East Rutherford (dans le New Jersey, près de New York), Philadelphie et Boston –, les Tricolores ont considérablement resserré le champ des possibles. Et Boston s’est vite détachée dans l’esprit des décideurs.

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Mondial 2026: les supporters en colère face aux prix exorbitants des billets
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Coupe du monde 2026 : le nouveau sale coup de la FIFA sur la vente des billets
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"C'est la mort du football": les associations de supporters français révoltées par les prix des billets de la Coupe du monde 2026
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Coupe du Monde : le "Football Supporters Europe" demande à la FIFA l'arrêt de la vente des billets à cause de prix trop élevés
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« L’un des lieux les plus adéquats » : on en sait un peu plus sur le camp de base des Bleus à la Coupe du monde 2026

C’est la plus grande préoccupation de Didier Deschamps. Depuis le tirage au sort de la Coupe du monde 2026, qui a placé les Bleus face au Sénégal, à la Norvège et à un barragiste intercontinental lors de la phase de poules (Bolivie, Suriname ou Irak), le sélectionneur et son staff se creusent la tête pour trouver le camp de base idéal à leurs joueurs l’été prochain.Maintenant que les Tricolores sont fixés sur les villes dans lesquels ils se produiront durant le premier tour - New York, Philadelphie et Boston -, l’état-major de l’équipe de France a pu réduire le cercle de ses recherches. Et une ville semble s’imposer à l’évidence : Boston.Éviter les fortes chaleursPhilippe Diallo, le président de la Fédération Française de football (FFF), l’a confirmé ce samedi en marge de l’assemblée générale de l’instance. « Il faut encore une validation mais c’est l’un des lieux les plus adéquats », a-t-il confié, une information que nous sommes en mesure de confirmer.En effet, les Bleus ont bien arrêté leur choix sur Boston, mais ils attendent encore des réponses et garanties. Aux yeux du staff, la capitale du Massachusetts présente l’avantage non négligeable d’offrir un climat plus agréable qu’à New York (1 ou 2 degré de moins en juin et juillet), autre ville ciblée dans un premier temps pour établir le camp de base. Selon Deschamps et ses plus proches collaborateurs, plus la délégation tricolore montera au nord de la Côte Est, plus elle sera protégée des fortes chaleurs.Quatre villes déjà écartéesBoston, où la France affrontera la Norvège pour son troisième match de poule le 26 juin prochain, coche donc de nombreuses cases mais la décision de s’y établir n’est pas encore prise, puisqu’il faut encore trancher la question de l’hôtel, alors que le staff en a visité plusieurs dans la foulée du tirage au sort. Une réflexion est également menée aussi pour le centre d’entraînement.En revanche, selon nos informations, les options Chicago, Toronto, Atlanta et Washington sont définitivement écartées. Pour rappel, Kylian Mbappé et ses partenaires poseront le pied à Boston dès le mois de mars. Ils y défieront le Brésil en match amical lors de la trêve internationale, comme confirmé par Philippe Diallo dans la matinée. L’occasion d’y découvrir, peut-être, leur camp de base.

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Équipe de France : Philippe Diallo se réjouit "qu’un grand joueur comme Benzema veuille revenir"
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Benzema de retour chez les Bleus ? Le président de la FFF répond cash !
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OL : Benzema de retour en Bleus, Aulas tombe des nues
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EdF : Benzema au Mondial, Rothen est fou de rage
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« Nous avons soutenu notre écosystème quand il en avait besoin » : la FFF enregistre un déficit de 8,7 millions d’euros

Un résultat inhabituel. La Fédération française de football (FFF) a enregistré un déficit de 8,7 millions d’euros la saison dernière, principalement en raison de son soutien au secteur professionnel en crise, a-t-elle expliqué lors de son assemblée générale, samedi à Paris.Un abandon de créance de 10 millions d’euros en faveur du football professionnel et « l’incident industriel » du match France-Israël et sa très faible affluence, qui a coûté 2,5 millions € à la FFF, expliquent pour l’essentiel ce déficit constaté pour l’exercice 2024-2025, a expliqué le directeur financier Marc Varin. Le budget s’élève à 287,2 millions €, en légère hausse par rapport à la saison 2023-2024 (283,2 M€).« Un déficit assumé »La chute des droits télés du foot professionnel a également entraîné mécaniquement la baisse de ce que la Ligue de football professionnel (LFP) reverse à sa fédération de tutelle. La 3F a également consacré 107 M€ d’aides au foot amateur.« Cette saison se termine avec un déficit assumé, lucide, cohérent avec nos choix, nous avons soutenu notre écosystème quand il en avait besoin », a conclu le directeur financier. À court terme, la FFF devrait bénéficier du renouvellement du contrat avec l’équipementier Nike, qui prendra effet à partir du 1er juillet 2026 et devrait rapporter entre 80 et 100 M€ par saison à la FFF.

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Thiago Silva : « T'imagines, terminer par un titre de champion du monde ? »
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Le successeur de Luis Enrique s’annonce !
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Le successeur de Luis Enrique s’annonce !
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Transfert secret : La grossière erreur du PSG !
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CAN 2025 : la liste officielle du Mali avec Hamari Traoré et Lassine Sinayoko
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CAN 2025 : la liste officielle de la sélection du Nigeria avec Moses Simon et Victor Osimhen mais sans Terem Moffi
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Yves Bissouma sélectionné surprise pour la Coupe d'Afrique des Nations avec le Mali
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Mauvaise nouvelle pour Luca Zidane
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CAN 2025 : la liste officielle du Mali avec Hamari Traoré et Lassine Sinayoko
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CAN 2025 : la liste officielle du Maroc avec Hakimi, Aguerd et Ben Seghir
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CAN 2025 : la liste officielle de la sélection de Tunisie, avec deux joueurs de Ligue 1 et un ex-Parisien
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Un retour de Karim Benzema en équipe de France est-il vraiment possible ?
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Coupe du monde 2026: le retour de Benzema, pas un sujet pour les Bleus
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France : Karim Benzema ne ferme pas la porte à un retour en Bleu pour la Coupe du Monde 2026
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Où en est Karim Benzema six mois avant la Coupe du monde 2026 qu’il aimerait jouer?
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Coupe du monde 2026 : de 220 à 8680 dollars… suivre la France aux États-Unis risque de vous coûter très cher
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Le « Football Supporters Europe » demande à la FIFA l'arrêt immédiat de la vente des billets pour la Coupe du monde 2026 en raison de leur prix
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Tarification dynamique à la Coupe du monde 2026 : des billets à plusieurs milliers d’euros
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Il y aura plus de publicités lors de la Coupe du Monde de football 2026, voici pourquoi
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Quelles sont les chances de Karim Benzema de retrouver l'équipe de France pour le Mondial 2026 ?
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Karim Benzema ouvre la porte à un retour en équipe de France avant la Coupe du monde 2026 : « Si on m'appelle, je viens »
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Karim Benzema : « Qui peut refuser une Coupe du monde ? »
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Ça se confirme pour Karim Benzema !
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« Il y a ceux qui ne voient pas les problèmes et ceux qui ne veulent pas les voir » : crise au sommet des Alpes 2030

« Franchement, est-ce qu’on avait besoin de ce dossier ? » La question est lâchée par un proche du gouvernement à la rentrée 2024. La France vient de vivre un été enchanté grâce aux Jeux olympiques de Paris, la parenthèse est à peine refermée que le pays plonge dans une crise économique et politique. D’où cette interrogation, légitime, autour de la pertinence d’organiser les Jeux d’hiver de 2030 dans les Alpes françaises.Le 24 juillet 2024, le Comité international olympique (CIO) a officiellement attribué l’événement à la France, mais la décision de regoûter aux Jeux a été décidée bien en amont, au plus haut sommet de l’État. Début avril 2024, alors que plusieurs ministres, notamment Gabriel Attal, alors chef du gouvernement, émettent des réserves — Attal refusera même de signer la lettre d’engagement —, Emmanuel Macron insiste. Poussé par David Lappartient, alors président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et futur candidat à la présidence du CIO.

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Coupe du monde 2026 : Égypte-Iran, l’inattendue affiche au cœur des célébrations pour la diversité LGBTQ + aux États-Unis
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"Irrationnel" : la désignation d'Iran-Égypte comme "match des fiertés" du Mondial 2026 crée la polémique
L'ÉquipeL'Équipe
L'Iran juge « irrationnelle » la désignation de sa rencontre de la Coupe du monde 2026 contre l'Égypte comme « match des fiertés »
Le FigaroLe Figaro
Coupe du monde 2026 : «Nous et l’Égypte nous opposons à cette décision», l’Iran fou de rage après l’attribution du «Pride match»
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Ligue des champions : cet incroyable record de Cristiano Ronaldo que pourrait battre Kylian Mbappé cette saison

Le Real Madrid va mal, très mal. Battus à domicile dimanche soir par le Celta Vigo (0-2), les Merengue ont plongé dans la crise au point que leur entraîneur Xabi Alonso semble menacé en cas de nouvelle contre-performance, ce mercredi soir à Santiago-Bernabeu, face à Manchester City, en Ligue des champions.Dans cette morosité ambiante, Kylian Mbappé, qui souffrirait d’une fracture de l’annulaire gauche depuis cette défaite, fait office de rare rayon de soleil. Avec 26 buts en 24 matchs toutes compétitions confondues, l’attaquant français réalise un début de saison exceptionnel sur le plan des statistiques individuelles.Et c’est en Ligue des champions, la reine des compétitions de clubs, que l’ancien buteur du PSG se montre le plus efficace. Fort d’un quadruplé lors du dernier match face à l’Olympiakos (3-4) le 26 novembre, le premier de sa carrière en C1, Kylian Mbappé pointe à 9 buts en 5 matchs, soit un ratio hallucinant de 1,8 réalisation par match.Ce total lui permet déjà d’effacer son record personnel de 8 buts sur une saison de Ligue des champions établi à deux reprises avec le PSG lors des exercices 2020-2021 et 2023-2024.Mais, avec encore trois matchs de phase de ligue à disputer (contre Manchester City, contre Monaco et à Benfica), puis les rencontres à élimination directe que ne manquera pas de disputer le Real (actuellement 5e au classement), Mbappé pourrait voir plus haut, plus grand.6e buteur de tous les temps en Ligue des championsIl a en effet dans le viseur le record de buts sur une saison européenne d’un certain Cristiano Ronaldo, son idole de jeunesse. Celui dont les posters tapissaient les murs de sa chambre, enfant, avait inscrit la bagatelle de 17 buts lors de la saison 2013-2014 sous le maillot immaculé du Real Madrid. Les Merengue avaient décroché la Coupe aux grandes oreilles cette année-là.Avant d’aller « chatouiller » le record de Cristiano Ronaldo, Kylian Mbappé pourra s’attaquer à ceux d’autres légendes de ce jeu, Lionel Messi, Karim Benzema ou Robert Lewandowski.Classement des meilleurs buteurs sur une saison de Ligue des champions :Cristiano Ronaldo (Real Madrid, 2013-2014), 17 butsCristiano Ronaldo (Real Madrid, 2015-2016), 16 butsKarim Benzema (Real Madrid, 2021-2022), Robert Lewandowski (Bayern Munich, 2019-2020) et Cristiano Ronaldo (Real Madrid, 2017-2018), 15 butsLionel Messi (FC Barcelone, 2011-2012), 14 butsEn attendant, il poursuit sa progression au classement des buteurs dans la compétition phare, dont il occupe désormais le 6e rang, avec 64 buts en 92 matchs.Prochaines « cibles » dans son viseur, deux autres immenses figures du Real Madrid, Raul (5e, 71 buts) puis Karim Benzema (4e, 90 buts). Le top 3, composé de Ronaldo (141 buts), Messi (129) et Lewandowski (105), est encore à distance respectable. Mais à seulement 26 ans, et au rythme qui est le sien, Kylian Mbappé pourrait bien venir chatouiller ces géants.

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Nicolas Pépé et Simon Adingra absents, Wilfried Zaha de retour : la liste de la Côte d'Ivoire pour la CAN
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CAN 2025. La liste du Gabon pour la Coupe d’Afrique des nations : Aubameyang en leader, deux joueurs d’Angers Sco
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CAN 2025: la liste de la Côte d’Ivoire, tenante du titre, avec le retour de Wilfried Zaha
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CAN 2025: sans Pépé ni Adingra mais avec Zaha… la liste complète des joueurs de la Côte d’Ivoire pour la Coupe d’Afrique des Nations
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Aurélien Tchouaméni défend le coach du Real Madrid Xabi Alonso : « Tout cela n'est pas la faute de l'entraîneur »
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Real Madrid: Un joueur français vole au secours de Xabi Alonso
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Real Madrid : Aurélien Tchouaméni défend Xabi Alonso - "Ce n'est pas la faute de l'entraîneur"
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Real Madrid: Xabi Alonso défie tout le monde
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« Ce jour-là, je n’étais pas Luis Fernandez, j’étais basque » : l’ex-coach du PSG marqué à vie par l’Athletic Bilbao

« Si c’est pour parler de Bilbao, vas-y, j’ai tout mon temps. » Au bout du fil, la voix de Luis Fernandez s’est adoucie d’un seul coup. L’ex-coach du PSG a toujours clamé que son cœur était rouge et bleu. Mais son passage entre 1996 et 2000 à la tête de l’Athletic Bilbao lui a fait élargir le palpitant pour y intégrer l’écusson du club basque. Là-bas, il est devenu une référence encore révérée aujourd’hui pour avoir porté l’équipe à une deuxième place en Liga (1998), synonyme de qualification en Ligue des champions. À Bilbao, Luis Fernandez est, pour la vie, El Machote (le Viril). Il se souvient avec émotion de ses quatre ans basques.Quitter Paris après la victoire en Coupe d’Europe

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Assad, le lion de l’Atlas, mascotte de la CAN 2025 au Maroc
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CAN 2025 : les organisateurs dévoilent Assad, leur mascotte rugissante
Le Courrier de l'AtlasLe Courrier de l'Atlas
La CAF dévoile la mascotte officielle de la CAN Maroc 2025
CNEWSCNEWS
CAN 2025 : voici «Assad», la mascotte officielle de la compétition
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Coupe du monde 2026 : dates, horaires, villes et stades… Le calendrier complet de l’équipe de France

Les adversaires étaient identifiés depuis vendredi soir. Restaient à connaître le calendrier précis et les stades dans lesquels l’équipe de France évoluera l’été prochain lors de la Coupe du monde 2026 (11 juin-19 juillet) aux États-Unis.Les Bleus savaient déjà qu’en étant versés dans le groupe I, ils évolueraient sur la côte Est mais encore fallait-il que les villes soient définies.Les coéquipiers de Kylian Mbappé sont désormais fixés. Ils défieront d’abord le Sénégal le mardi 16 juin au MetLife Stadium de New York, puis le vainqueur du barrage intercontinental (Bolivie, Suriname ou Irak) le lundi 22 juin au Lincoln Financial Field de Philadelphie, et enfin la Norvège le vendredi 26 juin au Gillette Stadium de Boston.L’autre question, préoccupante pour le staff de Didier Deschamps en raison des fortes chaleurs attendues en plein été aux États-Unis, concernait les horaires des matchs.Un match à 23 heures en FranceSans surprise en raison du décalage horaire et de la nécessité de proposer des matchs à un horaire décent en Europe, les Bleus évolueront en plein après-midi aux États-Unis, à 15 heures (21 heures, heure de Paris), 17 heures (23 heures), puis à nouveau 15 heures (21 heures).« La chaleur est un sujet, comme les distances, les jours de récupération, admettait le sélectionneur des Bleus vendredi soir à l’issue du tirage au sort à Washington. Il faudra s’adapter et faire en sorte aussi de réduire les déplacements pour limiter la fatigue. Tout est important ! »Et maintenant trouver le camp de baseDe ce calendrier précis va désormais découler une recherche plus active du camp de base, un choix déterminant dans la réussite de la compétition. « Des membres du staff viennent de passer une semaine ici pour tenter de débroussailler et d’étudier les options, disait encore Didier Deschamps. On va approfondir à partir de dimanche pour valider notre camp de base. »Au luxe, le sélectionneur privilégie surtout un établissement spacieux, moderne, favorisant la cohésion du groupe, doté de véritables espaces de vie collective, avec des zones extérieures et une proximité pratique avec le terrain d’entraînement. Il garde un excellent souvenir de Doha en 2022 ou d’Istra en Russie en 2018.Arrivés jeudi à la veille du tirage au sort, Didier Deschamps et Guy Stephan restent quelques jours aux États-Unis pour visiter différents établissements dans l’est du pays. Philippe Diallo, le président de la FFF, a confirmé vendredi que celui-ci serait sans doute situé entre Boston et New York où un hôtel aurait déjà retenu ces derniers jours l’attention d’une partie du staff tricolore partie en repérage. L’option définitive devra être validée avant le 9 janvier, date limite imposée par la Fifa.

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Coupe du monde 2026 : dates, horaires, villes et stades… Le calendrier complet du Maroc

Vendredi, le Maroc avait déjà eu un avant goût de son aventure américaine en découvrant ses futurs adversaires à la Coupe du monde. Dans le groupe C, les Lions de l’Atlas retrouveront le Brésil, pays le plus victorieux au Mondial avec 5 titres, Haïti et l’Écosse.La sélection marocaine savait déjà qu’elle jouera ses matches sur la côte Est des États-Unis, le programme est désormais précis et complet.Le Maroc disputera tous ses matches à 18 heures (heure locale) donc à minuit en France. Il commencera par le plus gros morceau en affrontant le Brésil dans la nuit du 13 au 14 juin au MetLife Stadium de New York, avant d’enchaîner par l’Écosse dans la nuit du 19 au 20 à Boston.Les joueurs de Walid Regragui termineront la phase de poules avec Haïti, dans la nuit du 24 au 25 à Atlanta.Les matches du MarocBrésil : le 14 juin à 0h00 (New York)Écosse : le 20 juin à 0h00 (Boston)Haïti : le 25 juin à 0h00 (Atlanta)

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Coupe du monde 2026 : pour Deschamps, Mbappé et Haaland « seront en course jusqu’au bout pour le titre de meilleur buteur »

L’affiche s’annonce déjà alléchante. Ce vendredi soir à Washington (États-Unis), le tirage au sort de la Coupe du monde 2026 a offert comme adversaires à la France le Sénégal et la Norvège en attendant de connaître le barragiste intercontinental. 28 ans après, les Norvégiens vont retrouver la compétition après une campagne de qualifications exceptionnelle.Et si le nom de Erling Haaland est sur toutes les bouches, il est loin d’être le seul artisan de cette qualification historique, même s’il y a bien contribué. Didier Deschamps en avait bien conscience après la longue cérémonie. Pas question pour le sélectionneur des Bleus de réduire la Norvège à son attaquant de Manchester City.... ni la France à Mbappé.Déjà un beau duel à distance« Sorloth, Haaland, Mbappé... oui on verra. Il y a un beau duel, déjà ils ont ce duel-là à distance. Mais il y a aussi beaucoup d’autres joueurs importants chez eux et chez nous. Mais évidemment, que ce soit Kylian et Haaland, ce sont des joueurs qui sont connus et reconnus mondialement. Ils sont en course, et ils le seront jusqu’au bout, pour le titre de meilleur buteur. Mais au-delà de Haaland, Sorloth et bien d’autres joueurs qui jouent dans les meilleurs clubs européens, cette équipe de Norvège est d’un très très bon niveau », a souligné Deschamps devant la presse au sujet des deux hommes opposés depuis plusieurs années.De son côté, son homologue norvégien, Stale Solbakken, a décrit l’équipe de France comme « la plus forte d’Europe, peut-être à égalité avec l’équipe espagnole » et a émis un souhait simple. « Mbappé est au sommet de sa forme, alors nous espérons que cela baissera un peu avant la Coupe du monde », a-t-il réagi en riant en zone mixte.Rendez-vous à partir de mi-juin pour ce choc, dont on connaîtra la date, le lieu et l’heure exacts ce samedi, en espérant qu’il tienne toutes ses promesses.

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Coupe du monde 2026 : « Les Bleus auraient pu tomber dans une poule moins relevée », l’analyse de Steven Nzonzi

Il sera l’été prochain le premier supporter des Bleus. Steven Nzonzi reste une voix écoutée et respectée du football français. Champion du monde en 2018, fort de ses 20 sélections et désormais milieu expérimenté de Stoke City en D 2 anglaise, il analyse le tirage au sort de la phase finale effectué ce vendredi à Washington. Joint au téléphone, il juge les forces en présence et détaille les enjeux proposés à l’équipe de France durant ce Mondial nord-américain (11 juin - 19 juillet).Quel est votre premier sentiment après avoir découvert les adversaires de la France pour la phase de groupes ?

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« Le football est une chose incroyable » : dans les coulisses du tirage du Mondial, aux airs de meeting de Donald Trump

Il a neigé sur Washington et un tirage au sort de Coupe du monde a eu lieu au milieu de ce qui a longtemps semblé être un meeting de Donald Trump. Rien ne ressemblera vraiment, l’été prochain, à la cérémonie qui a eu lieu ce vendredi dans la capitale américaine. Les températures seront à l’exact opposé et on y parlera certainement un peu moins de politique.L’équipe de France, elle, a appris qu’elle passerait son début de compétition sur la côte Est des États-Unis, six heures de décalage horaire et une importante communauté française. Didier Deschamps, Guy Stephan et Philippe Diallo ont dû attendre longtemps, très longtemps, avant de connaître le sort qui leur serait réservé.

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« On doit trouver un autre nom à ce truc de la NFL » : pourquoi Donald Trump veut renommer le « soccer » en « football » ?

Il faut toujours se méfier de l’enthousiasme de Donald Trump. Le président des États-Unis a déclaré vendredi qu’il faudrait rebaptiser le football américain, son propre sport national, en jugeant que le ballon rond, appelé « soccer » outre-atlantique, méritait vraiment le nom de « football ».« Nous avons un petit conflit avec autre chose qui s’appelle football. Mais quand on y pense… c’est ça le football, il n’y a pas de doute. Il faut trouver un autre nom pour tout ce qui a à voir avec ce truc appelé NFL (National Football League, le championnat de football américain) », a ainsi taclé le président, qui assistait au tirage au sort de la compétition à Washington. « Ça n’a aucun sens, quand on y pense », a-t-il ajouté sarcastique.Pour les Américains, le mot de « football » désigne spontanément le football américain qui ne se joue que très peu au pied contrairement à son concurrent européen.Tout le pays ou presque est suspendu chaque année à la finale du championnat de la NFL, le Super Bowl, qui génère près de 800 millions de téléspectateurs dans le monde. Le patron de la Fifa Gianni Infantino a d’ailleurs pris soin dans la foulée de souligner pour le public américain que le Mondial 2026 serait, en termes d’audience potentielle, l’équivalent de 104 Super Bowls réunis. Ambiance.Donald Trump s’est pris d’une passion particulière pour le ballon rond qui ne cesse de croître en popularité à l’approche du Mondial 2026, qui se déroulera l’été prochain aux États-Unis, au Mexique et au Canada. Mais cette proposition faite en Mondovision ne doit rien au hasard quand on connaît l’historique du milliardaire avec l’univers du football américain professionnel et en particulier avec la toute-puissante NFL.Le locataire de la Maison Blanche a souvent échangé des coups, tel un boxeur, avec la NFL depuis plus de 40 ans. La « querelle » de Trump avec la ligue la plus puissante du monde l’a vu témoigner en justice contre elle et échouer, à plusieurs reprises, à acheter une équipe de la ligue préférée des Américains. Certains observateurs ont même estimé que ces échecs répétés à prendre le pouvoir en NFL l’ont peut-être propulsé à la présidence.Une querelle vieille de 40 ansCe combat à mort débute dans les années 1980. Déjà magnat de l’immobilier, Trump considère la possession d’une équipe de football américain comme un moyen de donner encore plus de visibilité à sa marque éponyme. Après avoir tenté d’acquérir les Dallas Cowboys, sans succès, Donald Trump, alors âgé de 37 ans, achète les New Jersey Generals, une franchise de l’USFL, une autre ligue lancée au printemps 1983 pour concurrencer la NFL.Trump espère en réalité qu’en calquant le calendrier de sa ligue sur celui de la NFL, lors de la 3e saison, une fusion des ligues voie le jour et lui rapporte automatiquement une franchise NFL à peu de frais. Il envisage même de créer un stade de marque Trump à Manhattan, dans la foulée.Après un procès de 42 jours en 1986, contre la NFL, l’USFL met la clé sous la porte, perclus de dettes, en obtenant la somme de 3 dollars… de dommages et intérêts de la part de son grand rival.L’échec de l’achat des Buffalo BillsTrump se concentre ensuite sur d’autres entreprises, devenant une star de la téléréalité dans « The Apprentice », jusqu’à ce que les Buffalo Bills, franchise star des 90’s, soient mis en vente en 2014.Trump affirme qu’il a fait une offre d’un milliard de dollars en espèces, mais Terry Pegula, qui possédait déjà les Buffalo Sabres, franchise de hockey sur glace de la NHL, achète finalement les Bills pour 1,4 milliard de dollars. Nouvel échec.Le chroniqueur d’ESPN Stephen A. Smith a affirmé à plusieurs reprises qu’avant que la prise de contrôle de Pegula ne soit approuvée par les propriétaires d’équipes de la NFL en octobre 2014, il avait reçu un appel de Trump dans lequel ce dernier aurait déclaré : « S’ils me bousillent, je vais leur montrer. Je vais me venger de tous. Je vais me présenter à la présidence ».La querelle reprend lors de la première campagne présidentielle de Trump. Le quarterback des San Francisco 49ers, Colin Kaepernick, prend l’habitude de s’agenouiller pendant l’hymne national américain, pour protester contre l’injustice raciale et la brutalité policière aux États-Unis. Une aubaine pour le milliardaire qui tire à boulet rouge sur le « QB » mais surtout sur la ligue.Trump « essaye de salir une ligue dont il est jaloux »Après une réunion des propriétaires d’équipes en octobre 2017, le propriétaire des Jacksonville Jaguars, Shahid Khan, a déclaré au quotidien USA Today que Trump « essayait de salir une ligue ou une marque dont il est jaloux ». En mai 2018, la NFL a introduit une nouvelle politique donnant aux joueurs la possibilité de se lever ou de rester dans le vestiaire lors des hymnes, mais à la suite de la mort de George Floyd, Roger Goodell, le grand patron de la NFL a admis que la NFL avait eu tort de légiférer et a encouragé les joueurs à protester pacifiquement, allant dans le sens du mouvement Black Live matters. Un nouveau camouflet pour Trump.Durant son premier mandat, la présence des équipes vainqueures du Super Bowl à la Maison Blanche pour la célébration de leur titre devient politique. La moitié de l’équipe des New England Patriots ne s’y rend pas en 2017, y compris le quarterback Tom Brady, cinq de ces joueurs invoquant des objections politiques à Trump.Affrontement à la Maison BlancheTrois semaines après sa deuxième investiture en janvier dernier, l’habitué des golfs floridiens voit les Philadelphia Eagles battre les Kansas City Chiefs au Super Bowl, et cette fois ces derniers visitent la Maison Blanche.Mais moins de la moitié de l’équipe est présente, sans le quarterback Jalen Hurts, bien qu’un responsable de la Maison Blanche ait déclaré que lui et les autres absents avaient des « conflits d’emploi du temps ».Si à l’occasion il a montré des signes de pacification de ses relations avec la ligue, notamment vis-à-vis, de la franchise de Washington, les Commanders, le président n’a jamais vraiment baissé les armes. Preuve en est sa sortie de ce soir au Kennedy Center de Washington. Une nouvelle déclaration de guerre en quelque sorte.

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Coupe du monde 2026 : « Écrire la plus belle histoire possible », confie Didier Deschamps après le tirage au sort

Didier Deschamps est apparu assez détendu, environ une heure après le tirage au sort, lorsqu’il s’est présenté devant une vingtaine de journalistes français, sous une tente du Kennedy Center, à Washington. Il a balayé tous les sujets du moment. Morceaux choisis.Que pensez-vous du groupe dont vous avez hérité ?DIDIER DESCHAMPS. C’est un groupe solide, dense. Il fait partie des plus difficiles, si ce n’est le plus difficile. Mais c’est la Coupe du monde. On sait à quoi s’attendre.Le Sénégal n’est pas forcément un très bon souvenir pour les Bleus…Vous avez toujours de bons souvenirs ! Je n’étais pas là, j’étais devant la télé. Pour les Sénégalais, c’est un bon souvenir. Il y a un rapport fraternel entre les deux pays. Beaucoup sont des binationaux et sont passés par le France. Quand ils nous rencontrent, il y a une motivation supplémentaire. Ils jouent dans les meilleurs clubs, et ça fait une équipe nationale compétitive.Cette défaite de 2002 ne va pas peser dans les têtes ?23 ans, peser ? Si j’avais écouté les commentaires avant le Qatar, le champion en titre devait rentrer à la maison sans même devoir jouer. Chaque Coupe du monde a son histoire, on doit écrire la plus belle possible. On est l’équipe de France, avec un statut, et des attentes importantes. Mais il faut avoir le respect et l’humilité nécessaires dès le début de la compétition avant de gravir la montagne et d’arriver au sommet. Les premières étapes seront difficiles.En comment jugez-vous la Norvège ?Je ne vous dirai pas quelque chose de différent concernant la Norvège, avec Haaland et Sorloth devant, et qui a réalisé une très bonne campagne de qualifications. Avec une capacité à marquer énormément de buts, et qui fait partie des très bonnes équipes européennes. Il faudra avoir de l’ambition tout en gardant l’humilité nécessaire. Surtout, on devra être performant dès le départ avant de penser à la suite.Vous allez jouer sur la côte est des États-Unis. Que cela vous inspire-t-il ?Ça aurait pu être pire ! On est dans un secteur bien défini. Les températures peuvent y être élevées, et il n’y a pas de stade couvert. On attendra de connaître les horaires de matchs. Avec le décalage avec la France (NDLR : 6 heures), on risque d’avoir des heures peu habituelles, en début d’après-midi. Faudra s’adapter.Avez-vous progressé dans votre recherche de camp de base ?Étant tête de série, on est prioritaire pour le choix. Faudra voir si on joue deux matchs dans le même stade. Mais on va faire en sorte d’avoir des infrastructures de qualité, que ce soit en termes d’hébergement et de terrain d’entraînement. C’est compliqué car toutes les structures sportives ne seront pas disponibles car les clubs auront repris leur saison. Il faut ratisser large. On n’est pas obligé d’être dans le luxe mais dans le confort et quelque chose de fonctionnel. Il faudra faire en sorte aussi de réduire les déplacements pour limiter la fatigue.« C’était une cérémonie à l’américaine »Comment allez-vous préparer la venue de l’équipe de France aux États-Unis ?Il y a beaucoup de choses à régler avec mon staff. Il y aura cette tournée en mars (NDLR : matchs face au Brésil et la Colombie à Boston et Washington). On va ensuite se focaliser sur la préparation d’avant compétition. On n’aura pas beaucoup de temps mais notre premier match sera le 16 juin, ce qui nous laisse un peu plus d’espace. On pourra jouer deux matchs amicaux en juin et on les fera certainement en France pour avoir le contact avec notre public. On l’a toujours fait quand on part sur un continent aussi lointain. Nos supporters, avec le voyage qui est long et les prix très élevés, ne pourront malheureusement pas tous se déplacer. Ce contact avant de partir, c’est important pour l’équipe de France et les joueurs.Êtes-vous inquiet de la chaleur attendue l’été prochain ?La chaleur est un sujet, comme les distances, les jours de récupération, les distances… Tout est important ! Des membres du staff viennent de passer une semaine ici pour tenter de débroussailler et étudier les options. On va approfondir à partir de dimanche pour valider notre camp de base.Qu’avez vous pensé de la cérémonie de tirage au sort ?C’était une cérémonie à l’américaine. C’était le show. Ça plaira ou pas mais nous, on est sportif, on s’adapte. Ça a mis du temps, quand même, à démarrer ! La cérémonie a été assez longue.Avez-vous trouvé normale la remise du prix de la paix à Donald Trump ?Ce n’est pas à moi de dire cela. Nous, on s’occupe du sportif. On sait où on vient, on sait où auront lieu les prochaines coupes du monde. Ça ne dépend pas de nous. Le contenu des discours, je n’ai pas envie de rentrer là-dedans aujourd’hui. La Coupe du monde, c’est l’événement planétaire, et donc on y trouve un peu de tout, comme en politique !Il s’agissait de votre dernier tirage au sort en tant que sélectionner des Bleus. Avez-vous ressenti une forme de nostalgie ?Je n’éprouve pas de nostalgie, je n’ai pas le temps d’en avoir. Je ne suis pas sans émotion, même si j’ai tendance à les cacher quand je m’exprime en public. Je sais l’objectif qui est le nôtre. Il y a des attentes et on a beaucoup d’ambition. C’est toujours un plaisir d’être dans ces moments-là, j’ai eu plusieurs fois ce bonheur-là. Ça marque évidemment une avancée importante. Il faut apprécier. Enjoy, comme ils disent ici !

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Coupe du monde 2026 : Sénégal, Norvège et une nation à déterminer… Tout savoir sur les adversaires des Bleus

L’équipe de France a hérité d’un tirage piégeux pour le premier tour du Mondial américain. Les Bleus retrouveront le Sénégal pour leur premier match, comme en 2002 (défaite 1-0). Autres adversaires : la Norvège d’Erling Haaland, qui a fait forte impression en qualification. Et le vainqueur d’un barrage intercontinental opposant l’Irak au vainqueur du match entre Bolivie et Suriname. Voici tout ce qu’il faut savoir sur ces adversaires du groupe I.Le Sénégal, un client sérieuxUne superbe affiche mais un mauvais souvenir pour les Bleus, battus en 2002 au premier tour en Corée du Sud et au Japon. Dans le groupe I, les Bleus affronteront ainsi le Sénégal de Pape Thiaw, en place depuis un an. Les Lions du pays de la Teranga viennent de s’incliner à Londres en amical contre le Brésil (2-0) lors de la dernière trêve internationale.Vainqueurs de la CAN 2021, les Sénégalais forment une équipe très technique avec des noms qui parlent à tous les amoureux de football : le génial attaquant Sadio Mané, désormais à Al-Nassr en Arabie saoudite après avoir brillé à Liverpool pendant plusieurs années, le gardien Édouard Mendy, que l’on a connu dans le Championnat de France à Rennes ou vainqueur de la Ligue des champions en 2021 avec Chelsea, ou Kalidou Koulibaly, rugueux et puissant défenseur autrefois à Naples.Mais une nouvelle génération pousse au Sénégal, avec par exemple l’intégration récente du Parisien, Ibrahim Mbaye, l’ailier du PSG. Beaucoup de binationaux président aux destinées de l’équipe nationale. Laquelle avait impressionné le 10 juin dernier, en s’imposant en Angleterre contre les Three Lions de Thomas Tuchel, après un nul en Irlande. Les équipes européennes lui réussissent bien. Ismaïla Sarr, vu à Metz, Rennes ou Marseille, maintenant à Crystal Palace, avait marqué le premier but ce soir-là. Parce que le Sénégal joue bien et se dote d’une équipe très offensive. Le danger est là pour les Bleus.La Norvège fait peur avec HaalandAttention danger ! L’équipe de France a aussi hérité de la Norvège, meilleure équipe du chapeau 2, ce vendredi soir lors du tirage au sort de la Coupe du monde 2026. La formation scandinave a, en effet, survolé son groupe de qualification en faisant le grand chelem : 8 victoires en autant de matchs, 37 buts inscrits et 5 encaissés. Elle a surtout plié l’Italie en s’imposant nettement à domicile (3-0) avant d’humilier la Squadra Azzura à San Siro (1-4) le mois dernier lors de la dernière journée.Grâce à cette très belle performance, la Norvège va disputer le 4e Mondial de son histoire après 1938, 1994 et 1998. Lors de ces deux dernières éditions, aux États-Unis et en France, elle avait atteint les 8es de finale. Milieu polyvalent lors de ces années dorées, le désormais sélectionneur Stale Solbakken a su bâtir une équipe redoutable autour de sa star Erling Haaland.Le goleador de Manchester City âgé de 25 ans est aussi efficace en Premier League qu’avec son équipe nationale. En 48 capes, il a déjà inscrit 55 buts, soit une moyenne impressionnante de 1,10 réalisation par rencontre. Son duel avec Kylian Mbappé promet déjà. Haaland forme une attaque efficace grâce également à sa complémentarité avec Alexander Sorloth, l’attaquant de l’Atlético de Madrid.L’autre star de l’équipe s’appelle Martin Odeggard (26 ans), le milieu de terrain d’Arsenal. C’est le maître à jouer de cette formation. Blessé à un genou en début de saison, celui qui est devenu pro à 15 ans a fait son retour sur les terrains il y a dix jours. Le reste de l’équipe est composé de joueurs solides et jeunes (aucun joueur de champ n’est âgé de plus de 30 ans). Seul le gardien Nyland est plus âgé (35 ans). Ce groupe a toutes les armes pour créer la sensation cet été.Irak, Bolivie ou Suriname ? Réponse en marsLe 3e adversaire de l’équipe de France (mais le 2e dans l’ordre des rencontres) sera connu au mois de mars. Il s’agira du vainqueur du tournoi de barrage intercontinental 2, qui se disputera entre la Bolivie, le Suriname et l’Irak, du 26 au 31 mars 2026 à Guadalajara et à Monterrey, au Mexique.La Bolivie n’a participé qu’à trois Coupe du monde dans son histoire : 1930, 1950 et 1994. Elle a arraché son billet pour ces barrages dans des conditions particulières. Elle a en effet battu le Brésil (1-0), qui avait mis plusieurs titulaires au repos, grâce à un pénalty généreux validé par la VAR et transformée par Oscar Villegas (45e + 4) au stade Municipal d’El Alto, situé à 4 100 m d’altitude. Ce succès a permis aux Boliviens de terminer 7e dans la zone Amérique du Sud et de devancer in extremis le Venezuela, le Pérou et le Chili.57e au classement Fifa, l’Irak rêve d’une deuxième participation à la Coupe du monde après celle de 1986 au Mexique (3 défaites en 3 matchs). Les Irakiens ont renversé les Émirats arabes unis grâce à un pénalty inscrit au crépuscule du temps additionnel (2-1 à la 90e + 17, 1-1 à l’aller) au 5e tour des qualifications asiatiques.Pour le Suriname, ancienne colonie des Pays-Bas, qui a accédé à l’indépendance le 25 novembre 1975 et peuplé de 600 000 habitants, ce serait un véritable exploit de se qualifier pour la première fois pour la Coupe du monde. Il a terminé 2e de son groupe derrière le Panama dans la zone la Concacaf.Pour l’équipe de France, ce sera, quoi qu’il arrive, un adversaire inédit. Elle n’a en effet a affronté la Bolivie qu’une seule fois dans son histoire. C’était le 2 juin 2019 en match amical à Nantes avec une victoire 2-0 (buts de Thomas Lemar et d’Antoine Griezmann). Mais les Bleus n’ont jamais joué contre l’Irak et le Suriname.

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Coupe du monde 2026 : adversaires, ordre des matchs… Le tirage au sort complet de la Côte d’Ivoire

Pour sa 4e qualification pour la phase finale d’une Coupe du monde (après 2006, 2010 et 2014), la Côte d’Ivoire va-t-elle enfin parvenir à passer la phase de groupes ? Champions d’Afrique en titre à la suite d’un incroyable parcours lors de la CAN 2023, les Éléphants de Sébastien Haller sont tombés dans un groupe E relevé avec notamment l’Allemagne et l’Équateur.Le tirage au sort et l’ordre des matchs de la Côte d’IvoireGroupe EAllemagneCuraçaoCôte d’IvoireEquateurMatchs :Côte d’Ivoire - EquateurAllemagne - Côte d’IvoireCuraçao- Côte d’IvoireAprès deux échecs dès la phase de groupe lors des deux dernières éditions, la Mannschaft, sacrée pour la 4e fois en 2014, est revancharde. Elle s’appuiera sur sa force offensive avec notamment Florian Wirtz et Leroy Sané.L’Équateur du défenseur central du PSG Willian Pacho, a terminé à une brillante 2e place derrière l’Argentine des qualifications de la zone Amsud et pourrait créer la surprise. Curaçao, qualifié pour la première fois à un Mondial, apparaît en revanche comme un adversaire à la portée des Ivoiriens.

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« La victoire de 2002 est historique mais... » : le Sénégal espère réveiller de mauvais souvenirs chez les Bleus

Voilà une affiche qui laisse un doux souvenir aux fans de foot sénégalais. Les Lions de la Teranga retrouveront en effet l’équipe de France lors de la Coupe du monde 2026.En 2002, les Sénégalais avaient créé une immense surprise lors du match d’ouverture face à des Bleus alors champions du monde et d’Europe en titre en s’imposant 1-0.Parmi eux, un certain Pape Thiaw, désormais sélectionneur du Sénégal, qui avait contribué à l’excellent parcours de la sélection africaine jusqu’aux quarts de finale.« La victoire de 2002, elle est historique, mais l’histoire elle ne comptera pas sur le terrain. Ce sera un match spécial en tout cas. J’étais dans le groupe en tant que footballeur il y a 24 ans, on avait gagné ce match et on était sorti de la poule, espérons que ça se passera de la même manière », a-t-il réagi ce vendredi à l’issue du tirage au sort qui a placé le Sénégal dans le groupe I avec, outre la France, la Norvège et le vainqueur d’un barrage intercontinental qui sera la Bolivie, le Suriname ou l’Irak.« France et Sénégal sont deux pays frères »« Ce n’est pas un groupe facile mais si on est là, dans le chapeau 2, c’est qu’on a montré de bonnes choses. La Norvège et la France ont des individualités énormes mais, en Coupe du monde, il n’y a pas d’équipe facile. »« C’est dur de parler d’objectif mais on veut aller le plus loin possible », a-t-il ajouté, précisant avoir fait le voyage en avion vers les États-Unis à côté de Didier Deschamps.« On s’est dit qu’on espérait ne pas tomber l’un contre l’autre. France et Sénégal sont deux pays frères, tout le monde le sait. Pour moi c’est mon 2e pays, j’y ai appris plein de choses (à Saint-Étienne, Istres, Strasbourg ou Metz…). Mais désormais je défends les couleurs de mon pays. C’est un match de football, qui ne va pas être facile. »« La France, c’est un collectif ! Il y a des individualités, Kylian (Mbappé) fait des merveilles mais on va se concentrer sur le collectif, pas sur un seul joueur », a-t-il précisé.

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Coupe du monde 2026 : un premier tour musclé avant des cadors européens... les enseignements du tirage au sort pour les Bleus

Show devant ! Le tirage au sort du Mondial (11 juin au 19 juillet 2026) de tous les excès, effectué ce vendredi 5 décembre à Washington, a accouché pour l’équipe de France d’une entrée en matière excitante. Une poule relevée, éclatante et à la hauteur de la grandeur de cette 23e édition au format XXL organisée dans trois pays (États-Unis, Mexique et Canada). Le dénouement a été long, très long, après une interminable — et par moments gênante — cérémonie qui aura duré près de deux heures, mais le programme réservé aux Bleus a permis de réveiller tout le monde ! Les hommes de Didier Deschamps ont hérité d’un groupe I particulièrement compétitif, comprenant le Sénégal, vainqueur de la Coupe d’Afrique des nations 2021, la Norvège, emmenée par son géant Erling Haaland, et le vainqueur du barrage intercontinental 2, qui se jouera entre l’Irak, la Bolivie et le Suriname en mars.

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Coupe du monde 2026 : pourquoi l’Ouzbékistan n’a finalement pas été placé dans le groupe de France lors du tirage au sort ?

Un véritable casse-tête. De nombreux téléspectateurs se sont retrouvés interloqués ce vendredi soir lors du tirage au sort de la Coupe du monde 2026. Au moment de déterminer la troisième nation destinée à intégrer le groupe de l’équipe de France, qui était déjà tombée sur le Sénégal, la star des New York Yankees Aaron Judge a sorti la boule de l’Ouzbékistan.Les supporters des Bleus ont alors pu pousser un grand « ouf » de soulagement : les vice-champions du monde en titre venaient d’éviter la Norvège d’Erling Haaland. Une joie de courte durée, puisque la modeste équipe asiatique a été décalée vers le groupe K, celui du Portugal et de la Colombie, contraignant l’épouvantail norvégien à venir garnir la poule des Tricolores.Une situation de blocageDe quoi susciter l’incompréhension des nombreux fans de foot rivés devant leur écran ! En effet, pourquoi l’Ouzbékistan, qui fait partie de la zone Asie, n’aurait-elle pas pu rejoindre la France (Europe) et le Sénégal (Afrique) ?Tout simplement parce que ce scénario aurait créé un blocage pour le barragiste intercontinental n° 2 (Irak, Bolivie ou Suriname), venu compléter le groupe de l’équipe de France lors du tirage du chapeau 4. En effet, cette combinaison d’adversaires potentiels comprend un représentant de l’AFC (Irak), de la CONMEBOL (Bolivie) et de la CONCACAF (Suriname).Si l’Ouzbékistan avait intégré le groupe de la France, alors le barragiste intercontinental n° 2 n’aurait pu rentrer dans aucun autre groupe, puisque les règles de la Fifa empêchent de placer deux représentants d’une même confédération dans une seule poule, à l’exception de l’UEFA (2 nations maximum).À ce moment précis du tirage au sort, tous les autres groupes comprenaient au minimum un Asiatique, un Sud-Américain et un Nord-Américain… Sauf le groupe I, garni à ce moment-là par un Européen, la France, et un Africain, le Sénégal. Complexe, vous avez dit ?

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Coupe du monde 2026 : quand connaîtra-t-on le calendrier exact et les villes des matchs des Bleus ?

L’équipe de France y voit plus clair, mais ne sait pas encore tout ! Si Didier Deschamps connaît désormais le nom des adversaires qu’affronteront ses hommes lors de la phase de poules de la Coupe du monde 2026 - Sénégal, Norvège et le vainqueur d’un barrage intercontinental (Bolivie ou Suriname ou Irak) -, le sélectionneur des Bleus va devoir patienter quelques heures avant d’être fixé sur le lieu et l’horaire de ces matchs.En effet, la Fifa annoncera ce samedi 6 décembre le calendrier exact de toutes les rencontres du Mondial nord-américain. L’instance régissant le football international se chargera de diffuser l’événement sur ses différents canaux, à partir de 18 heures heure française.À l’heure actuelle, les vice-champions du monde en titre sont néanmoins fixés sur l’ordre de leurs matchs. Ils commenceront face au Sénégal avant d’enchaîner contre le vainqueur du barrage et de terminer face à la Norvège. Reste désormais à déterminer les dates et les stades dans lesquels les trois parties vont se dérouler même si l’on sait déjà qu’elles auront lieu sur la côte est.En effet, le groupe I dont a hérité la France est accolé au MetLife Stadium de New York, au Gillette Stadium de Boston, au Lincoln Financial Field de Philadelphie et au BMO Field de Toronto.La Fifa a décidé de séparer le tirage au sort et la révélation du calendrier exact pour se laisser le temps d’organiser de la meilleure manière possible le premier tour de la compétition.

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Coupe du monde 2026 : Donald Trump reçoit le prix Fifa de la paix avant le tirage et se félicite d’avoir « sauvé des millions de vies »

Son discours était plus qu’attendu. Trois jours après avoir officiellement annoncé sa présence, Donald Trump a pris place ce vendredi au John F. Kennedy Center de Washington pour assister au tirage au sort des poules de la Coupe du monde 2026.Le chef de l’État américain, qui a fait du Mondial un événement central de son deuxième mandat, n’a pas fait dans la discrétion, comme à son habitude. Après avoir été chaleureusement présenté par le président de la Fifa Gianni Infantino et assisté aux prestations d’Andrea Bocelli, Robbie Williams et Nicole Scherzinger, Trump s’est vu remettre le prix Fifa pour la paix, nouvellement décerné par l’instance régissant le football mondial.« Le monde est plus sécurisé que jamais »Récompensé en raison de son « engagement pour faire avancer la paix dans le monde grâce à (ses) actions et (son) leadership », selon les mots d’Infantino, le président américain a pris la parole, mentionnant « l’un des plus grands honneurs de [sa] vie ». « Au-delà des prix, nous avons sauvé des millions de vies. Il y a tant de guerres différentes auxquelles nous avons réussi à mettre fin », a-t-il lancé, citant les exemples du conflit au Proche-Orient, de la guerre au Congo et de celle entre le Cambodge et la Thaïlande.« C’est ce que nous voulons voir chez un dirigeant, un dirigeant qui se soucie du bien-être des peuples. Nous voulons unir les peuples, c’est ce que nous faisons à la Coupe du monde », a déclaré Infantino après avoir passé une médaille autour du cou de Trump.Ce dernier a conclu son discours en se projetant sur la Coupe du monde à venir. « Nous avons établi des nouveaux records de vente de billets », a affirmé le dirigeant américain. « Je pense que vous allez voir un événement comme le monde n’en a jamais vu. Nous travaillons de très près avec le Mexique et le Canada, nos relations ont été incroyables », a révélé Trump avant de rendre le micro, non sans mettre une nouvelle fois en avant son bilan : « Le monde est plus sécurisé que jamais. Les États-Unis se portaient très mal il y a plus d’un an, aujourd’hui nous sommes au sommet ».

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