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Explorations, découvertes, missions et actualités liées à l’astronomie et à l’univers spatial.
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Google et Musk rêvent du cloud spatial - 06/11

Ce jeudi 6 novembre, François Sorel a reçu Didier Sanz, journaliste tech, Thomas Serval, PDG de Baracoda, et Jérôme Marin, fondateur de cafetech.com. Ils se sont penchés sur le projet "Suncatcher" de Google, la relance du débat sur la souveraineté européenne face au plan French Tech 2030, ainsi que l'affiche d'une perte de 12 milliards de dollars d'OpenA, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

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Ariane 6 en orbite contre les trafics : l’Europe muscle sa surveillance depuis l’espace

Depuis Kourou, en Guyane, l’Europe spatiale vient de franchir une nouvelle étape stratégique. La fusée Ariane 6 a réussi à placer en orbite le satellite Sentinel-1D, un outil d’observation ultra-précis conçu pour surveiller les océans, les glaces et les activités humaines à la surface du globe. Cette mission, au cœur du programme européen Copernicus, s’inscrit... The post Ariane 6 en orbite contre les trafics : l’Europe muscle sa surveillance depuis l’espace appeared first on Entrevue.

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«L’énergie noire évolue beaucoup plus rapidement qu’on ne le pensait» : l'idée d'une fin abrupte de notre univers ressurgit, selon une étude

À travers une étude, des astronomes remettent en question la théorie récompensée par le prix Nobel selon laquelle l'expansion de l'univers s'accélère, elle pourrait au contraire ralentir. Et l'hypothèse du «big crunch» gagne en probabilités. Cette étude chamboule totalement les découvertes passées sur le sujet. Elle révèle un destin tout autre pour l'univers que le scénario exposé par les scientifiques jusqu'à présent. Plutôt que de s'étendre à l'infini, l'univers pourrait au contraire se rétracter. Ce phénomène contraire au big bang est nommé big crunch, pouvant mener à une fin brutale de notre univers. Les chercheurs à l'origine de ces travaux affirment que l'énergie noire, cette force qui serait à l'origine de l'expansion de l'univers, s'affaiblit avec le temps. «Notre étude montre que l'univers est déjà entré dans une phase d'expansion ralentie et que l'énergie noire évolue avec le temps beaucoup plus rapidement qu'on ne le pensait auparavant», a déclaré le ...

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Archiver le ciel

Archiver le ciel Le 14 octobre 2025, Valéry Lainey, astrophysicien à l'Observatoire de Paris-PSL annonce fièrement la numérisation de plaques photographiques détenues par l’Observatoire de Greenwich et datant de la fin du XIXe siècle. L’achèvement d’un travail mené dans le cadre du programme Naroo (centre de numérisation de plaques astro-photographiques et de réduction d'observations anciennes). L’objectif de ce programme lancé en 2021 : numériser avec une très grande précision des « photos » du ciel grâce à un scanner mis au point après une dizaine d’années de développement. « Il a fallu six mois pour numériser les 2 500 plaques envoyées par Greenwich, datées en majorité entre 1892 et 1926. » révèle Vincent Robert, astrophysicien de l'Observatoire de Paris-PSL. En effet, il faut 20 minutes pour traiter une plaque de 30 cm sur 30 cm avec une précision de l’ordre du nanomètre. « Nous ne pouvions pas tout numériser. Il a fallu faire une sélection et nous avons décidé de nous concentrer sur le projet de la Carte du Ciel » explique Louise Devoy, conservatrice de l'Observatoire royal de Greenwich. Débuté en 1887 déjà sous l'impulsion de l'Observatoire de Paris, ce projet de carte du ciel a rassemblé 18 observatoires du monde entier comme celui de Postdam, Le Vatican, Alger, Le Cap, Sydney ou Helsinki, chacun ayant une partie du ciel à photographier. « Les directeurs s’attendaient à terminer le projet en cinq ans. Ils se sont rapidement rendus compte que la tâche était beaucoup plus exigeante et laborieuse qu'imaginée. Une grande partie d’entre eux ont donc embauché des femmes comme main-d’œuvre bon marché » indique la conservatrice. Les dames de la Carte du Ciel Au printemps 1890, un petit groupe de mathématiciennes issues des facultés féminines de l'Université de Cambridge sont sollicitées pour ce travail. Bien qu'ayant suivi les mêmes cours et passé les mêmes examens que leurs homologues masculins, ces femmes ne pouvaient pas obtenir de diplôme (une situation qui ne changea qu'en 1948). Quatre candidates acceptèrent le poste : Isabella Clemes, Alice Everett, Harriet Furniss et Edith Rix, suivies d’Annie Scott Dill Russell un an plus tard. Elles étaient chargées de prendre les photos du ciel sur plaques de verre et de les développer. Puis pour chaque photographie elles mesuraient et annotaient les positions des étoiles et leurs découvertes sur un carnet. Ces « calculatrices » sont la première génération d’astronomes féminines rémunérées. « Grâce à une interview donnée dans The Sketch par Alice Everett en novembre 1893, nous avons un aperçu de la routine hebdomadaire de ces femmes » se réjouit Louise Devoy : travaillant en binôme, elles consacraient deux soirées par semaine aux observations photographiques et alternait les séances de calcul au bureau, le matin et l'après-midi. En octobre 1895, toutes les calculatrices avaient quitté l'Observatoire. Alice Everett continua de travailler sur le projet de la Carte du Ciel pendant trois ans à l'Observatoire de Potsdam. Peinant à poursuivre une carrière en astronomie elle développa plus tard son intérêt pour l'optique au Laboratoire National de Physique. Annie Scott Dill Russell épousa son collègue E. Walter Maunder en décembre 1895, ce qui l’empêcha de continuer à travailler, mais devint célèbre pour ses photographies d'éclipses solaires pionnières et ses ouvrages d'astronomie grand public. Numériser d’indispensables données anciennes Le projet de la Carte du Ciel n’arriva jamais à son terme et fut abandonné. Une partie du catalogue d’étoiles obtenu fut publié et les plaques archivées. Au total plusieurs dizaines de milliers de photographies issues de divers projets d'observation astronomique entrepris à l'Observatoire royal de Greenwich aux XIXe et XXe siècles sont archivées. Une réserve d’informations colossale. Mais, « sur les quelques 2 500 plaques envoyée par l’observatoire de Greenwich pour numérisation, 73 n’ont pas pu être numérisées. Même quand elles ont été conservées dans de bonnes conditions, il y a une dégradation du support pour les plaques les plus vieilles » alerte Vincent Robert. « Il y a donc peut-être une urgence pour certains fonds anciens de les numériser pour ne pas perdre les informations. » D’autant qu’au-delà de l’intérêt patrimonial, la numérisation de ces plaques anciennes ouvre de nouvelles perspectives de recherche. « Les observations anciennes sont indispensables pour la modélisation de certains phénomènes en astronomie » explique Vincent Robert. Mais, sur la somme des observations rassemblées dans des « catalogues d’étoiles » dont Gaïa – qui compte 504 milliards d’observations et qui est la source d’information la plus importante pour l’étude des astéroïdes –, très peu sont anciennes. De plus, la plupart sont imprécises. Or, comme l’expose Paolo Tonga, astronome à l’Observatoire de la Côte d'Azur : « Il est nécessaire d’avoir des données sur de longues échelles de temps pour les astéroïdes. Ces limites peuvent être surmontées seulement en ayant recours aux plaques astronomiques. » Grâce à la numérisation qui conserve la précision des plaques, on a accès à des données anciennes plus facilement utilisables et précises. Léna Hespel est journaliste scientifique. Image : numérisation d'une plaque / Crédit : LTE julia_bellot jeu 06/11/2025 - 11:00 A la fin du XIXe siècle, un projet astronomique international avait pour ambition de cartographier l'ensemble du ciel. Près de 2 500 plaques photographiques réalisées alors par l'Observatoire de Greenwich viennent d'être numérisée. Léna Hespel Jeudi 6 novembre 2025 - 12:15 C'est payant? Gratuit

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Avec « Bromo », Airbus, Thales et Leonardo au défi de concurrencer l'hégémonie de SpaceX et Starlink
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Pour permettre à l'UE de gagner en souveraineté, Airbus, Thales et Leonardo fusionnent leurs activités spatiales

Paris - Les poids lourds européens Airbus, Thales et Leonardo ont signé jeudi un protocole d’accord en vue de fusionner leurs activités dans les satellites, un méga-projet destiné à contrer la domination de Starlink, la constellation d’Elon Musk, et à renforcer la souveraineté de l’Europe. L’"acteur spatial européen de premier plan» ainsi créé emploiera quelque 25.000 personnes à travers l’Europe, pour un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros (à fin 2024) et un carnet de commandes représentant plus de trois années de ventes. Il sera opérationnel en 2027 si la Commission européenne donne son feu vert, souligne Thales. «Dans un contexte mondial marqué par une concurrence accrue, nous avons besoin de champions du spatial à l’échelle de l’Europe. C’est le seul moyen pour investir plus, innover plus, être plus compétitifs et mettre le spatial au service de notre autonomie stratégique», a réagi Philippe Baptiste, ministre français de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Espace et ancien patron du Cnes, l’agence spatiale française. Ce projet de fusion, baptisé Bromo, est «une excellente nouvelle», s’est également félicité le ministre français de l’Economie Roland Lescure, saluant «la création d’un champion européen des satellites» qui permettra de «renforcer notre souveraineté européenne». «Monopole»? Le siège social de la nouvelle entité sera basé à Toulouse, dans le sud-ouest de la France, où Airbus, Thales Alenia Space et Leonardo disposent déjà d’importantes implantations en ingénierie, production et recherche, a annoncé un haut responsable de Thales lors d’une conférence téléphonique. Airbus, Leonardo et Thales détiendront respectivement 35%, 32,5% et 32,5% du capital. L’entreprise fonctionnera sous contrôle conjoint, avec «une gouvernance équilibrée», selon Leonardo. Des syndicats ont toutefois mis en garde contre le «monopole» que créerait cette fusion et prévenu que les suppressions d’emploi en cours dans les branches spatiales d’Airbus et de Thales mettaient «en péril le maintien des compétences». Pour la CGT Métallurgie, la raison de cette fusion est «de créer un monopole permettant d’imposer ses prix et d’affaiblir le pouvoir des agences» spatiales française Cnes et européenne ESA. Dans un communiqué mardi, le syndicat a fait valoir qu’Airbus et Thales Alenia Space avaient déjà «un carnet de commandes record qu’ils (avaient) du mal à honorer». Le syndicat FO Métaux a estimé jeudi que cette fusion ouvrait «la voie à un nouvel équilibre industriel», à condition que des «savoir-faire» français soient préservés. Elle «ne peut être synonyme de perte d’emploi», a-t-il mis en garde. «Nous avons trouvé un équilibre, qui se rapproche de ce qui a été fait avec succès il y a 25 ans avec MBDA», a assuré un haut responsable d’Airbus faisant référence au consortium européen spécialisé dans les missiles, où les principaux actionnaires européens — Airbus, BAE Systems et Leonardo — détiennent des parts équilibrées et exercent un contrôle conjoint sur les décisions stratégiques. La souveraineté des Etats sera «préservée» avec de «fortes fonctions transversales», a-t-il ajouté. Airbus de l’espace Dans une interview à l’AFP début octobre le patron de l’ESA Josef Aschbacher avait promis de soutenir Bromo «par tous les moyens». «Nous avons vu la force de l’industrie européenne dans l’aviation avec Airbus, qui domine le secteur. Le secteur de l’espace est plus petit, par conséquent, l’Europe doit être encore plus alignée», avait-t-il déclaré. Face à la crise des satellites de télécommunication européens, «nous avons malheureusement dû effectuer des réductions de coûts (en supprimant des emplois, ndlr) au cours des deux dernières années. C’est en grande partie accompli», a souligné le responsable d’Airbus. «Avec un marché en croissance, nous ne voyons à ce stade aucune fermeture de site ou autre mesure spectaculaire», a-t-il assuré. Thales a pour sa part indiqué jeudi que compte tenu du gain d’un important contrat lié à la future constellation européenne de satellites Iris2, la suppression de postes dans sa branche spatiale avait été «suspendue», après avoir déjà redéployé 75% de salariés. La nouvelle entité regroupera principalement les activités Space Systems et Space Digital d’Airbus, les co-entreprises de Thales et Leonardo - Thales Alenia Space et Telespazio -, ainsi que la filiale Thales SESO. Olga NEDBAEVA © Agence France-Presse

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