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États-Unis

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L’essentiel de l’actualité américaine, de la politique à la société, en passant par l’économie et l’influence mondiale.
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« Il bat un faux pavillon » : la course-poursuite entre un navire et les gardes-côtes américains dans les Caraïbes

Nouvelle montée de tension dans les Caraïbes : les États-Unis ont poursuivi dimanche un navire dans le cadre du blocus mis en place par Washington contre les pétroliers liés au Venezuela. « Les garde-côtes américains poursuivent activement un navire sanctionné qui participe au contournement illégal des sanctions par le Venezuela. Il bat un faux pavillon et fait l’objet d’une ordonnance de saisie judiciaire », a déclaré un responsable de l’administration Trump.Merry Christmas to our friends in Venezuela!!pic.twitter.com/YUGvikAGsy— US Homeland Security News (@defense_civil25) December 21, 2025Les États-Unis, qui ont annoncé mardi la mise en place d’un blocus naval autour du Venezuela contre les pétroliers sous sanctions, ont déjà saisi deux navires accusés de transporter du pétrole vénézuélien. Le dernier a été intercepté samedi par les garde-côtes américains lors d’une opération qualifiée par Caracas de « vol » et d’« enlèvement ».Le navire poursuivi dimanche a été identifié par des médias américains comme le pétrolier Bella 1, sous sanctions américaines depuis 2024 pour ses liens avec l’Iran et le Hezbollah. Selon le site spécialisé TankerTrackers, il était en route pour le Venezuela et ne transportait pas de cargaison. Selon le New York Times, les forces américaines s’en sont approchées tard samedi et ont tenté de l’intercepter après avoir obtenu un mandat auprès d’un juge fédéral, mais le navire a poursuivi sa route.Ces interventions surviennent alors que le président américain Donald Trump augmente la pression mise sur le régime de Nicolás Maduro. D’abord en prenant prétexte de la lutte contre la drogue pour mener des opérations dans les Caraïbes, et désormais en assumant presque ouvertement viser le pétrole vénézuélien.In a pre-dawn action early this morning on Dec. 20, the US Coast Guard with the support of the Department of War apprehended an oil tanker that was last docked in Venezuela. The United States will continue to pursue the illicit movement of sanctioned oil that is used to fund… pic.twitter.com/nSZ4mi6axc— Secretary Kristi Noem (@Sec_Noem) December 20, 2025« Le Venezuela est complètement encerclé par la plus grande armada jamais assemblée dans l’histoire de l’Amérique du Sud, a ainsi déclaré le président des États-Unis, Donald Trump, il y a quelques jours sur son réseau social Truth. Cette armada ne fera que s’agrandir, et le choc pour eux sera sans précédent, ​​jusqu’à ce qu’ils restituent aux États-Unis d’Amérique tout le pétrole, les terres et les autres biens qu’ils nous ont volés. »

Source LogoLe Parisien
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Les délégations américaine et ukrainienne saluent des échanges « productifs et constructifs » à Miami

Les délégations américaine et ukrainienne ont salué dimanche 21 décembre, dans un communiqué commun, la tenue d’échanges « productifs et constructifs » lors des négociations organisées à Miami, en présence d’alliés européens, en vue de mettre fin à la guerre en Ukraine. Les détails de la nouvelle mouture ne sont pas connus, mais, selon le président ukrainien, ils impliquent des concessions territoriales de la part de l’Ukraine en échange de garanties de sécurité occidentales.

Source LogoOuest France
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Pourparlers à Miami sur l'Ukraine: nouvelles réunions américano-ukrainienne et américano-russe

Kiev a annoncé dimanche 21 décembre que les négociateurs ukrainiens allaient de nouveau s'entretenir à Miami avec leurs homologues américains qui reçoivent de leur côté séparément l'émissaire russe, pour évoquer un possible règlement du conflit en Ukraine. La présidence russe a pour sa part affirmé, par la voix de son conseiller diplomatique, Iouri Ouchakov, qu'une rencontre trilatérale Russie-États-Unis-Ukraine n'était « pas en cours de préparation », alors que les Ukrainiens avaient fait état d'une proposition de Washington d'en organiser une.

Source LogoRFI
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Les Américains sont-ils en train de lâcher Israël ?

Mais que se passe-il aux États-Unis ? Les New-Yorkais élisent un maire qui qualifie Israël d'État d'« apartheid » et la guerre à Gaza de « génocidaire ». L'influenceuse d'extrême droite Candace Owens invite dans son podcast Norman Finkelstein, l'auteur de L'Industrie de l'Holocauste très critique de l' « exploitation » par Israël de la souffrance des juifs. L'ancien présentateur star de Fox News, Tucker Carlson, proche de Trump, reçoit pendant plus de deux heures John Mearsheimer, universitaire remarqué pour son ouvrage Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, qui dénonce « l'orientation de la politique étrangère américaine » par des organisations comme l'American Israel Public Affairs Committee (AIPAC).Continuer la lecture…

Source LogoLà-bas si j'y suis
La CroixLa Croix
Les États-Unis menacent le Venezuela d’une invasion et saisissent un nouveau pétrolier
L'HumanitéL'Humanité
Venezuela : Donald Trump brandit ouvertement la menace d’une guerre pour s’approprier le pétrole
France 24France 24
Saisie d'un nouveau pétrolier vénézuelien par les Etats-Unis
EuronewsEuronews
Les États-Unis saisissent un deuxième pétrolier au large des côtes vénézuéliennes
EuronewsEuronews
Dossier Epstein : au moins 16 fichiers ont disparu du site web du ministère de la Justice
Le ParisienLe Parisien
Documents manquants, images supprimées… L’opposition démocrate accuse Trump d’étouffer l’affaire Epstein
l'Opinionl'Opinion
L'affaire Epstein, un poison lent pour Donald Trump
L'HumanitéL'Humanité
Affaire Epstein : l’administration Trump publie les documents au compte-goutte et renforce la suspicion
Le MondeLe Monde
EN DIRECT, guerre en Ukraine : Vladimir Poutine « prêt au dialogue avec Macron », selon son porte-parole
Le MondeLe Monde
EN DIRECT, guerre en Ukraine : Washington a proposé une rencontre entre les Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie à Miami, dit Volodymyr Zelensky
EuronewsEuronews
Plan de paix pour l'Ukraine : des pourparlers prévus samedi entre représentants russes et américains à Miami
PoliticoPolitico
US proposes Ukraine-Russia talks in Miami, Zelenskyy reportedly says
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"L'Europe, on n'en a rien à faire" : dans son ouvrage "Cette Amérique qui nous déteste", le journaliste Richard Werly part à la rencontre de l'Amérique trumpiste

Samedi 20 décembre, Richard Werly, journaliste correspondant France/Europe pour le média suisse Blick, était l'invité de "Tout est politique" sur franceinfo. Venu présenter son dernier livre, "Cette Amérique qui nous déteste", il est revenu sur ses différentes rencontres et sur son expérience après avoir sillonné les États-Unis en camping-car.

Source LogoFranceinfo
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L'année 2025 en dix événements marquants dans le monde

Par AFP Par Pascale JUILLIARD et les bureaux de l'AFP © 2025 AFP Retour au pouvoir de Donald Trump, fragile cessez-le-feu à Gaza ou enlisement de la guerre en Ukraine, voici dix événements qui ont marqué l'année 2025.- Donald Trump, le tonitruant retour - Offensive protectionniste, expulsions massives d'immigrés en situation irrégulière, démantèlement de pans entiers de l'Etat fédéral ... Depuis son retour en janvier à la Maison Blanche pour un second mandat, le Républicain Donald Trump a pris une salve de mesures conformes à sa doctrine "l'Amérique d'abord", à grand renfort de décrets, même si un certain nombre de ses décisions ont été bloquées par la justice.Agissant, selon ses opposants, au mépris des droits fondamentaux et des autres lieux de pouvoir, il a ciblé ses adversaires, envoyé des gardes nationaux dans plusieurs grandes villes démocrates, s'est employé à intimider les médias, a bataillé contre les programmes de diversité ou d'inclusion. Il a aussi déployé une intense activité diplomatique, avec plus ou moins de succès.Les sondages montrent cependant un mécontentement croissant des Américains sur les questions économiques, notamment le coût de la vie. De cuisants revers lors de scrutins locaux mettent son parti dans une posture délicate pour les élections de mi-mandat à l'automne 2026.- Trêve précaire à Gaza - Les pressions américaines ont débouché sur un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, deux ans après le début de la guerre dévastatrice dans la bande de Gaza, déclenchée par l'attaque inédite du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien le 7 octobre 2023.Cette trêve a permis un retrait partiel des troupes israéliennes de la bande de Gaza, l'échange des derniers otages retenus vivants à Gaza contre des prisonniers palestiniens détenus par Israël, et une entrée accrue d'aide humanitaire à Gaza, même si elle est toujours très en-deçà des besoins selon l'ONU et plusieurs ONG.Israël attend le retour d'un dernier corps d'otage avant d'entamer les tractations sur la deuxième phase de la trêve, étape qui aux termes d'un plan américain validé par l'ONU doit conduire à la démilitarisation de Gaza. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dit espérer passer "très bientôt" à cette deuxième étape mais des violences continuent de secouer le territoire, les deux parties s'accusant mutuellement de violer la trêve.Les tensions régionales perdurent avec la poursuite des frappes israéliennes dans les bastions du mouvement chiite Hezbollah au Liban. L'Iran avait également été frappé par des raids israéliens et américains sur ses installations nucléaires lors d'une guerre de douze jours avec Israël en juin, déclenchée par une attaque israélienne. En septembre, ce sont des responsables du Hamas qu'Israël avait ciblé dans une attaque sans précédent au Qatar.- Efforts laborieux de paix en Ukraine - Le retour au pouvoir de Donald Trump a marqué les premiers efforts sérieux visant à mettre fin à l'invasion russe de l'Ukraine lancée en février 2022.Les sympathies et blâmes du président américain ont oscillé entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. En février, Donald Trump a vilipendé le président ukrainien devant les caméras dans le bureau ovale, lui reprochant de manquer de gratitude envers les Etats-Unis.Des pourparlers directs entre Russes et Ukrainiens à Istanbul puis une rencontre au sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska n'ont débouché sur aucune avancée concrète vers la paix, et Washington a annoncé en octobre des sanctions contre le secteur pétrolier russe.Des négociations internationales se sont cependant tenues fin novembre sur la base d'un projet de plan américain, dont la version initiale avait été considérée par Kiev et ses alliés européens comme largement favorable à Moscou.Après un nouveau cycle de pourparlers avec les émissaires de Trump en décembre, l'Ukraine a déclaré que des "progrès" avaient été accomplis, même si la question des territoires ukrainiens contrôlés par la Russie demeure un point de blocage.Sur le front, l'armée russe a poursuivi sa lente avancée dans l'est, après avoir totalement repoussé en mars les forces ukrainiennes de la région russe frontalière de Koursk. Moscou a multiplié les frappes sur les infrastructures énergétiques et le réseau ferroviaire ukrainiens, tandis que Kiev ciblait des installations pétrolières en Russie.- Guerre commerciale mondiale - Arguant d'échanges commerciaux défavorables à son pays, Donald Trump a mis en place, en plusieurs vagues, des surtaxes sur les produits importés aux Etats-Unis, variant selon les pays ou zones d'origine. Il a aussi imposé des droits de douane spécifiques sur des secteurs jugés stratégiques (acier, aluminium ou cuivre).Tandis que les pays visés envisageaient ou mettaient en oeuvre des représailles commerciales, d'âpres négociations ont été engagées, débouchant sur de nombreux accords, comme avec l'Union européenne ou, fin octobre, avec la Chine, marquant le début d'une trêve dans un conflit qui a ébranlé l'économie mondiale.Les négociations bilatérales ont en revanche été suspendues avec le Canada après une publicité antiprotectionniste jugée offensante par le président américain.Sous pression pour faire baisser le coût de la vie pour les Américains, Donald Trump s'est résolu mi-novembre à annuler des droits de douane sur certains produits alimentaires, comme le café ou le boeuf importés.- Un nouveau pape, Léon XIV - Robert Francis Prevost est devenu le 8 mai, à 69 ans, le premier pape américain, après le décès de son prédécesseur François dont il était un conseiller très écouté. La fumée blanche annonçant l'élection du 267e chef de l'Eglise catholique s'est élevée au-dessus de la chapelle Sixtine au terme d'un court conclave des cardinaux, ayant duré moins de 24 heures.Souriant et discret, ce natif de Chicago, classé parmi les cardinaux modérés, a pris le nom de Léon XIV. Le nouveau souverain pontife, qui fut pendant près de 20 ans missionnaire au Pérou dont il a pris la nationalité, s'est inscrit dans la lignée de son prédécesseur argentin avec une teinte résolument sociale, en faveur des pauvres, des migrants et de l'écologie. Il a parallèlement donné des gages aux milieux conservateurs, ré-autorisant la tenue d'une messe traditionaliste au Vatican après trois ans de restrictions. Il a exclu à court terme l'ordination de femmes diacres ou la reconnaissance du mariage homosexuel.- Soulèvements de la génération Z - En Asie, Afrique ou Amérique latine, les jeunes de la génération Z (moins de 30 ans) ont multiplié les mobilisations contre les conditions de vie, le blocage des réseaux sociaux ou la corruption des élites.Ils ont défilé au Pérou contre l'insécurité croissante et la classe politique, ou au Maroc où les autorités se sont engagées à des efforts dans des domaines sociaux, mais ont engagé des poursuites contre plus de 2.000 personnes. Dans d'autres pays, les protestations, violemment réprimées, se sont muées en une contestation plus large du pouvoir en place: après des émeutes au Népal, le Premier ministre maoïste K.P. Sharma Oli n'a eu d'autre choix que de démissionner. A Madagascar, le mouvement a conduit au renversement par l'armée du président Andry Rajoelina, qui a fui à l'étranger. En Tanzanie, les jeunes ont largement participé aux manifestations post-électorales, matées dans le sang.Le drapeau pirate du manga One Piece (une tête de mort coiffée d'un chapeau de paille), souvent arboré par les manifestants, est devenu sous l'impulsion des réseaux sociaux un symbole de la lutte contre l'oppression sur plusieurs continents.- Investissements colossaux dans l'IA - Les géants technologiques et startups spécialisées ont dépensé des sommes toujours plus colossales pour financer la croissance effrénée de l'intelligence artificielle (IA). Selon le cabinet américain Gartner, les dépenses mondiales dans l'IA devraient atteindre environ 1.500 milliards de dollars en 2025 (+50% en un an) et dépasser les 2.000 milliards l'an prochain. Les valorisations boursières faramineuses du secteur - celle du géant américain des puces Nvidia a un temps grimpé à un niveau inédit de plus de 5.000 milliards de dollars - font cependant craindre aux marchés une possible bulle spéculative.Les inquiétudes suscitées par l'IA ont par ailleurs été alimentées par de nouveaux exemples de désinformation, des accusations de violation de droits d'auteur ou des licenciements massifs, chez Amazon notamment.Les parents d'un adolescent californien qui s'est suicidé ont même accusé l'assistant IA d'OpenAI, ChatGPT, d'avoir encouragé son geste avec des conseils précis. La startup a depuis renforcé les contrôles parentaux, tandis que la Californie a promulgué une législation régulant les agents conversationnels, ou "chatbots".- Spectaculaire cambriolage au Louvre - Le 19 octobre, des malfaiteurs vêtus de gilets d'ouvriers s'introduisent en plein jour, au moyen d'un monte-charge servant d'ordinaire à des déménagements, dans le prestigieux musée parisien du Louvre après avoir brisé une vitre. Ils découpent à la disqueuse des vitrines et y dérobent des joyaux de la Couronne estimés à 88 millions d'euros, le tout en huit minutes.En prenant la fuite en scooter, ils laissent tomber la couronne de l'impératrice Eugénie (épouse de Napoléon III) qui sera retrouvée endommagée.Ce casse spectaculaire est commenté dans le monde entier et met en lumière les failles sécuritaires du plus célèbre musée de la planète.Quatre hommes soupçonnés d'avoir composé le commando ont été inculpés et écroués, mais le butin n'a pas été retrouvé à ce jour.- Frappes américaines dans les Caraïbes et le Pacifique - Washington a déployé depuis août un important dispositif militaire au large du Venezuela, officiellement pour lutter contre le trafic de drogue à destination des Etats-Unis. Une série de frappes ont été menées ces dernières semaines dans les Caraïbes et le Pacifique contre des embarcations soupçonnées de transporter de la drogue, faisant une centaine de morts, des opérations à la légalité mise en doute par les experts. Caracas y voit un prétexte visant à renverser le président Nicolas Maduro et à s'emparer des réserves pétrolières du pays. Après avoir saisi le 10 décembre un pétrolier transportant du brut vénézuélien, Washington a annoncé un "blocus total" contre les "pétroliers sous sanctions" allant au Venezuela ou le quittant.Washington accuse Nicolas Maduro d'être à la tête d'un cartel et offre une récompense de 50 millions de dollars pour sa capture.- Evénements climatiques records - Inondations meurtrières, puissantes tempêtes... Les phénomènes météorologiques extrêmes se sont succédés, leur fréquence et leur intensité étant accentuées par le dérèglement climatique généré par l'activité humaine, selon les scientifiques.L'ouragan Melissa, l'un des plus puissants à avoir jamais balayé les Caraïbes, a dévasté des régions entières de la Jamaïque et inondé Haïti et Cuba. En Asie du Sud-Est, les Philippines ont été frappés en moins de deux mois par les typhons Ragasa, Kalmaegi et Fung-wong. Le Vietnam a été meurtri par des tempêtes, inondations et glissements de terrain, tandis que deux tempêtes tropicales ont fait des centaines de morts en fin d'année au Sri Lanka et en Indonésie.Alors que les températures grimpaient, les feux de forêt se sont intensifiés en Europe, avec un nombre record d'hectares brûlé pendant l'été. Le pourtour méditerranéen français a connu son pire incendie depuis 50 ans.Aux Etats-Unis, des feux déclenchés par la foudre ont entraîné mi-juillet la fermeture de la rive nord du célèbre Grand Canyon (Arizona) pour le reste de la saison touristique.burs-jc-paj/maj-ang/jco

Source LogoTV5 MONDE
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Aux États-Unis, l'explosion des exécutions de détenus en 2025

Condamné à en 1992 à la peine capitale aux États-Unis pour un double meurtre, Frank Walls a été exécuté le 18 décembre en Floride par injection. Alors que le nombre d'exécutions aux États-Unis était en moyenne autour de 20 par an, ce chiffre a explosé en 2025. Au total, 46 détenus ont déjà été exécutés cette année. Pourtant, l'opinion publique tend à évoluer sur le sujet et le nombre de peines de mort prononcées se maintient, lui, à un niveau bas. Comment expliquer cette explosion du nombre d'exécutions aux États-Unis en 2025 ? Pourquoi des détenus attendent-ils si longtemps dans le couloir de la mort avant que leur peine ne soit réellement appliquée ? Dans ce nouvel épisode d'Affaire suivante, le podcast inédit, Pauline Revenaz et Elisa Fernandez reçoivent Romuald Sciora, politologue franco-américain, chercheur associé à l'IRIS et directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis.

Source LogoBFMTV
France 24France 24
Affaire Epstein : 16 fichiers dont une photo de Trump dépubliés par le ministère américain de la Justice
Le ParisienLe Parisien
Affaire Epstein : plusieurs fichiers supprimés du site du ministère américain de la Justice
PoliticoPolitico
More Epstein files released on Saturday as US lawmakers steam about first release
TF1 InfoTF1 Info
Affaire Epstein : une partie du dossier révélée
Le FigaroLe Figaro
Les États-Unis ont saisi un nouveau pétrolier au large du Venezuela
TV5 MONDETV5 MONDE
"Ces actes ne resteront pas impunis": un second pétrolier saisit par les États-Unis au large du Venezuela
CNEWSCNEWS
Etats-Unis : un nouveau pétrolier saisi au large du Venezuela
TV5 MONDETV5 MONDE
Le Venezuela accuse les Etats-Unis du "vol" d'un second pétrolier
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Frappes en Syrie : la riposte de l’Amérique

Dans la nuit du vendredi, les États-Unis ont annoncé avoir lancé plusieurs frappes sur la Syrie, avec dans le viseur des bastions de l'État islamique. Au total, 70 cibles ont été visées dans le centre du pays, et cinq combattants de Daesh ont été tués. Parmi eux, un chef responsable des attaques par drone. Une déclaration de vengeance selon les mots de Washington après l'assassinat de trois Américains, dont deux soldats et un interprète dans une embuscade à Palmyre.

Source LogoTF1 Info
Le FigaroLe Figaro
Le Pentagone annonce une opération militaire contre l’EI en Syrie en riposte à l’attaque contre des soldats américains
France 24France 24
Les États-Unis ont lancé une opération militaire de "vengeance" contre l'État islamique en Syrie
Le MondeLe Monde
Les Etats-Unis annoncent avoir lancé une opération militaire contre l’organisation Etat islamique en Syrie
Le MondeLe Monde
Les Etats-Unis se dotent d’un budget de défense record, mais placent les ambitions militaires de Donald Trump sous contrainte
Le ParisienLe Parisien
Fusillade mortelle à l’université américaine Brown : un suspect identifié, selon les médias américains
Le ParisienLe Parisien
« Un Portugais de 48 ans » : ce que l’on sait du suspect, retrouvé mort, de la fusillade de l’Université Brown
TF1 InfoTF1 Info
Fusillade à l’université Brown : le suspect, un Portugais de 48 ans, retrouvé mort
EuronewsEuronews
Fusillades à Brown et au MIT : le suspect identifié retrouvé mort
L'HumanitéL'Humanité
Le maire RN de Fréjus David Rachline sera jugé en septembre pour favoritisme
TF1 InfoTF1 Info
David Rachline, maire RN de Fréjus, sera jugé en septembre 2026 pour favoritisme
FranceinfoFranceinfo
Erika Kirk, veuve de Charlie Kirk, soutient JD Vance pour la présidentielle de 2028 aux Etats-Unis
FranceinfoFranceinfo
Le maire de Fréjus, David Rachline, sera jugé en septembre 2026 pour favoritisme, annonce le procureur de Draguignan
L'HumanitéL'Humanité
Génocide à Gaza : l’administration Trump sanctionne deux juges de la CPI pour leur enquête sur les crimes d’Israël
France 24France 24
Les États-Unis imposent de nouvelles sanctions sur deux juges de la CPI enquêtant sur Israël
Le ParisienLe Parisien
Les États-Unis annoncent des sanctions visant deux autres juges de la CPI pour avoir enquêté sur Israël
RFIRFI
Gaza: le Hamas réclame la fin des «violations» israéliennes, les États-Unis insistent sur le désarmement
La CroixLa Croix
« Trump-Kennedy Center », « mont McKinley »… Ces lieux au cœur de la bataille sémantique trumpiste
Le MondeLe Monde
Le Presidential Walk of Fame à la Maison Blanche, l’hommage de Donald Trump « aux anciens présidents américains, bons, mauvais et entre les deux »
Le ParisienLe Parisien
Donald Trump fait mettre son nom sur la plus célèbre salle de spectacles de Washington
TF1 InfoTF1 Info
"Le Trump-Kennedy Center" : le président américain ajoute son nom sur la plus célèbre salle américaine de spectacles
Le ParisienLe Parisien
Les « Patriot Games » : la compétition imaginée par Donald Trump dont l’idée rappelle une célèbre saga
TF1 InfoTF1 Info
Trump lance une compétition pour les 250 ans des États-Unis, certains la comparent déjà aux "Hunger Games"
BFMTVBFMTV
Une compétition comparée aux Hunger Games: Donald Trump lance les "Patriot Games"
Le Journal du DimancheLe Journal du Dimanche
«Patriot Games» : Donald Trump annonce la création d'un tournoi d’athlétisme inédit
Le ParisienLe Parisien
Fusillade à l’université de Brown : les États-Unis annoncent une « pause » dans la délivrance de visas par tirage au sort
Le ParisienLe Parisien
Elle l’a fait fuir par une porte dérobée : une juge américaine reconnue coupable d’avoir aidé un immigrant mexicain à s’évader
La CroixLa Croix
États-Unis : l’administration Trump annonce la suspension des visas obtenus par tirage au sort
Le HuffPostLe HuffPost
Vous rêviez de la carte verte américaine ? Il va falloir revoir vos plans après cette décision
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États-Unis : Trump annonce des mesures pour interdire aux jeunes transgenres l’accès aux traitements de transition

Dernière offensive en date contre les minorités de genre aux États-Unis. Le ministère de la Santé de Donald Trump a annoncé ce jeudi 18 décembre une série de mesures visant à interdire de facto l’accès aux traitements de transition de genre aux jeunes Américains transgenres, même dans les États où ces actes médicaux sont légaux.Cette annonce constitue la plus importante attaque à ce jour contre la prise en charge médicale des personnes transgenre. Elle a été immédiatement condamnée par des associations de soignants et de défense des personnes LGBT +.Les mesures dévoilées visent notamment à retirer d’importants financements fédéraux aux hôpitaux proposant des traitements chirurgicaux ou hormonaux, comme des bloqueurs de puberté, aux mineurs ne s’identifiant pas avec le genre assigné à leur naissance.Cette règle placerait les établissements médicaux dans « une situation extrêmement périlleuse » s’ils continuaient à proposer de telles prises en charge, explique auprès de l’AFP Michael Ulrich, professeur de santé publique et de droit à l’université de Boston. Et conduirait à en limiter voire à en empêcher l’accès aux jeunes concernés.« Choix impossible »Ces traitements « ont infligé des dommages physiques et psychologiques durables à des jeunes vulnérables » et ont été motivés « par des considérations idéologiques », a accusé le ministre Robert Kennedy Jr. pour justifier un tel changement lors d’une conférence de presse.Les actions présentées sont désormais soumises à une consultation publique et seront très probablement contestées en cas d’adoption par des États démocrates ou associations devant la justice.L’influente organisation de défense des droits civiques ACLU a ainsi promis de s’opposer à la mise en œuvre de ces mesures, les qualifiant de « cruelles » et « inconstitutionnelles ».D’autres associations, notamment de défense des droits des personnes LGBT +, et des groupes de soignants ont condamné ces annonces. Ces dernières « forceraient les médecins à faire un choix impossible », entre « fournir des soins aux jeunes trans » et « protéger le financement fédéral pour tous les autres patients », a prévenu l’association de défense des droits LGBT + Human Rights Campaign.« Ces directives et propositions déforment le consensus médical actuel et ne reflètent pas les réalités des soins pédiatriques ni les besoins des enfants et des familles », a pour sa part dénoncé Susan Kressly, présidente de l’Académie américaine de pédiatrie.« Les traitements de transition de genre sauvent des vies », insiste Zoe Taylor, médecin membre de l’organisation Physicians for Reproductive Health auprès de l’AFP. « Il est tout à fait inacceptable de décider à la place des patients ».« Risques significatifs »Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump est revenu sur une série d’acquis obtenus par les personnes transgenres, en ordonnant notamment leur exclusion des forces armées. Son ministère de la Santé avait déjà semé les doutes en mai sur les traitements de transition de genre en publiant un long rapport qui pointait des « risques significatifs » liés à ces pratiques mais qui avait été remis en cause par la communauté scientifique américaine.L’accès des mineurs à ces traitements hormonaux ou chirurgicaux fait l’objet depuis plusieurs années de vifs débats aux États-Unis, mais aussi dans de nombreux autres pays.Ces nouvelles annonces surviennent au lendemain de l’adoption par la Chambre américaine des représentants d’une proposition de loi visant à les interdire. Ce texte, qui a peu de chances d’être adopté par le Sénat, criminaliserait ces traitements et ferait que toute personne réalisant un tel acte médical ou aidant une personne à en bénéficier risquerait jusqu’à 10 ans de prison.

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« Inspirer une génération d’explorateurs » : aux États-Unis, un décret de Donald Trump qui vise la conquête de la Lune

Donald Trump a confirmé jeudi son intention de renvoyer des Américains au plus vite sur la Lune, reléguant l’exploration de Mars au second plan, dans un décret présidentiel qui éclaire la politique spatiale de la première puissance mondiale. Ce texte érige en priorité absolue le retour humain sur la Lune « d’ici 2028 dans le cadre du programme Artémis » de la Nasa, qui avait été annoncé lors de son premier mandat.Today, President Trump established the most significant national space policy since the Kennedy era. @POTUS made a commitment to return to the Moon, establish an enduring presence, invest in the technology of the future and pursue the secrets of the universe. @NASA, with a… pic.twitter.com/5s5atM6RLz— NASA Administrator Jared Isaacman (@NASAAdmin) December 18, 2025Ce retour permettra « d’affirmer le rôle de leader des États-Unis dans l’espace, de jeter les bases du développement économique lunaire, de préparer le voyage vers Mars et d’inspirer la prochaine génération d’explorateurs américains », précise le document. Ce dernier évoque également la nécessité d’établir une base lunaire d’ici à 2030 et confirme les plans américains d’installer un réacteur nucléaire sur l’astre.Aujourd’hui prévue pour la mi-2027, la mission Artémis 3 qui prévoit le retour des Américains sur la surface lunaire a été maintes fois reportée et devrait l’être encore, l’alunisseur développé par l’entreprise SpaceX d’Elon Musk n’étant pas prêt selon des experts du secteur spatial. Ce décret présidentiel met ainsi une pression accrue sur la Nasa et le secteur privé américain afin d’atteindre cet objectif.La concurrence avec la ChineL’enjeu est de taille car la Chine, puissance rivale des États-Unis, ambitionne également d’envoyer des hommes sur la Lune d’ici 2030 et d’y installer une base. Cette priorité diffère de celle qu’avait évoquée le président républicain en début d’année. Lors de son retour à la Maison Blanche, Donald Trump avait en effet fait part de sa volonté de « planter » le drapeau américain sur la planète rouge d’ici à la fin de son mandat, sans évoquer de tels plans pour la Lune.Cette annonce avait semé les doutes sur les priorités spatiales de la nouvelle administration américaine et fait craindre que la Nasa fasse l’impasse sur la Lune. Si les États-Unis s’engagent toujours à être les premiers à envoyer des hommes sur Mars, la planète rouge ne semble désormais plus être la priorité.La brouille en juin entre Donald Trump et son proche conseiller d’alors Elon Musk, passionné par Mars, ainsi que les pressions géopolitiques pourraient ainsi avoir redonné la priorité aux ambitions lunaires américaines.

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« Il vole l’argent aux troupes pour le leur rendre » : le chèque de 1776 dollars de Trump aux militaires fait polémique

Même la chaîne conservatrice Fox News n’a pas pu cacher son embarras : le chèque de 1776 dollars promis par Donald Trump aux militaires américains ne constitue pas vraiment un cadeau. La somme correspondante provient en réalité du « Reconciliation funds », un fonds approuvé par le Congrès et destiné à subventionner le logement des militaires. L’information a été révélée par les médias américains et confirmée par des responsables de l’administration.WARRIOR DIVIDENDS ⚔️🇺🇸"1,450,000 military service members will receive a special we call Warrior Dividend before Christmas... in honor of our nation's founding in 1776, we are sending every soldier $1,776." - President Donald J. Trump pic.twitter.com/2SenJQT0xI— The White House (@WhiteHouse) December 18, 2025« Donc, tu voles de l’argent aux troupes pour le leur rendre », entend-on persifler Jesse Watters, un des visages habituellement les plus durs, sur la chaîne Fox News. « Ce n’est pas un bonus, alors, c’est de l’argent qu’ils recevaient déjà », s’étrangle une autre figure du média conservateur, Jessica Tarlov.Donald Trump directement critiqué pour son tour de passe-passe sur la chaîne qui a longtemps accompagné son ascension politique : le moment dit tout de la gêne provoquée par une mesure présentée par la Maison Blanche comme un cadeau de Noël aux membres de l’armée américaine.Un « warrior dividend » de 2,6 milliards de dollarsBaptisé « warrior dividend », ce chèque unique concernera environ 1,45 million de membres des forces armées, réservistes compris, et sera exonéré d’impôts. Le montant fait explicitement référence à l’année 1776, date de l’indépendance des États-Unis, un clin d’œil revendiqué par le président.Donald Trump avait initialement prétendu que cette somme, environ 2,6 milliards de dollars, serait versée grâce aux bénéfices réalisés par les droits de douane, ces taxes sur les produits entrant sur le territoire américain dont il s’est fait le plus ardent défenseur. Environ 1,45 million de militaires, dont 174 000 réservistes, recevront ces primes. « Il s’agit d’un investissement direct dans les hommes et les femmes courageux qui perpétuent chaque jour l’héritage de nos forces armées », a déclaré Pete Hegseth, le Ministre de la Guerre.Mais l’origine des fonds, prendre dans la poche du logement pour donner directement à tous les militaires, a fait grincer quelques dents. « Il existe un réel besoin fondamental d’améliorer et d’entretenir les logements, que je pense qu’ils pourraient trouver une meilleure source de financement », a ainsi pointé Jack Reed, le sénateur démocrate de Rhode Island. « Lis la Constitution !, a quant à lui asséné le sénateur démocrate du Delaware Chris Coons. Tu ne peux pas inonder le pays de chèques sous prétexte que tu as eu cette idée en pleine nuit. Il s’agit d’une manœuvre électorale classique qui ne sert ni nos soldats, ni notre Constitution, ni notre république. »

Source LogoLe Parisien
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« Des propos inacceptables » : des anciens tweets antisémites refont surface, une recrue de Mamdani démissionne à New York

Une recrue à un poste important de l’équipe du nouveau maire de New York, Zohran Mamdani, a démissionné jeudi après la révélation de messages antisémites postés sur Twitter entre 2011 et 2014, ont rapporté des médias américains. « Le maire élu a clairement indiqué que ces propos étaient inacceptables et qu’ils ne sont absolument pas représentatifs de lui-même, ni des valeurs de son administration », a commenté une porte-parole du futur édile auprès du Judge Street Journal.C’est ce média en ligne qui a mis au jour les messages dans lesquels Catherine Almonte Da Costa, qui avait été nommée responsable du recrutement mercredi, parle notamment de « Juifs avides d’argent ». Le compte, qui a servi à diffuser d’autres clichés antisémites, n’est désormais plus en ligne. « Je regrette profondément et je demande pardon pour ces tweets datant de bien plus d’une décennie », a commenté l’intéressée. « Ces commentaires ne reflètent en aucune façon qui je suis ni mes opinions et convictions aujourd’hui. »Zohran Mamdani, qui deviendra en janvier le premier maire musulman de New York, fait face à des accusations répétées d’antisémitisme depuis la campagne pour les élections municipales, en raison de son soutien à la cause palestinienne. L’équipe de Zohran Mamdani n’a pas répondu à une demande de commentaire de la part de l’AFP.

Source LogoLe Parisien