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Guerre en Ukraine : les délégations américaine et ukrainienne saluent des échanges «productifs et constructifs» aux Etats-Unis

Afin de mettre fin à la guerre en Ukraine, de nouvelles négociations ont eu lieu à Miami entre les délégations américaine et ukrainienne. Toutes deux ont tenu à saluer ce dimanche des échanges positifs. Des négociations importantes. Les délégations américaine et ukrainienne ont salué ce dimanche dans un communiqué commun la tenue d'échanges «productifs et constructifs» lors des négociations organisées à Miami, en présence d'alliés européens, en vue de mettre fin à la guerre en Ukraine. «Au cours des trois derniers jours en Floride, la délégation ukrainienne a tenu une série de réunions productives et constructives avec ses partenaires américains et européens», peut-on lire dans ce communiqué partagé par Steve Witkoff, l'envoyé spécial de Donald Trump, et Roustem Oumerov, négociateur en chef de Kiev, sur le réseau social X. Протягом останніх трьох днів у Флориді українська делегація провела низку продуктивних і конструктивних зустрічей з американськими та європейськими партнерами. Українську делегацію ...

Source LogoCNEWS
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Suède : les douanes inspectent un navire russe ayant jeté l’ancre dans les eaux territoriales

Un cargo russe dans les eaux de l’Otan. Les douanes suédoises ont affirmé dimanche être montées à bord du navire qui se trouvait dans les eaux de la Suède, rapporte Reuters. Le navire inspecté par les autorités, avait jeté l’ancre vendredi au large d’Höganäs (sud-ouest) après des problèmes de moteur.Les propriétaires du cargo, l’Adler sont visés par des sanctions européennes, a fait savoir Martin Hoglund, porte-parole des autorités douanières suédoises.« Peu après 1 h du matin, nous sommes montés à bord du navire avec l’appui des garde-côtes suédois et de la police afin de procéder à un contrôle douanier », a expliqué le responsable qui n’a pas précisé ce qui a été trouvé lors de l’inspection.Transport d’armes nord-coréennesLe porte-conteneurs de 126 mètres de long a quitté Saint-Pétersbourg le 15 décembre, d’après les douanes suédoises qui ignorent sa destination finale.L’Adler est propriété de M Leasing LLC, une compagnie maritime russe, sous sanctions européennes et américaines. D’après la base de données Open Sanctions, la société est suspectée de fournir un soutien logistique au ministère russe de la Défense.M Leasing LLC participe à l’ « acheminant d’armes nord-coréennes de Pyongyang vers des installations militaires du port russe de Dunai », indique le secrétariat de l’économie suisse. Ces armes peuvent ensuite être employées par l’armée russe sur le front ukrainien.Le cargo russe avait déjà été arraisonné par les autorités grecques en janvier 2021, dans le cadre de la mission « Irini », rapporte Al-Jazeera. Cette opération européenne visait à faire respecter l’embargo sur les armes imposé par les Nations unies à la Libye.

Source LogoLe Parisien
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Guerre en Ukraine : les délégations américaine et ukrainienne saluent des échanges « productifs et constructifs » à Miami

Les délégations américaine et ukrainienne ont salué dimanche dans un communiqué commun la tenue d’échanges « productifs et constructifs » lors des négociations organisées à Miami, en présence d’alliés européens, en vue de mettre fin à la guerre en Ukraine.« Au cours des trois derniers jours en Floride, la délégation ukrainienne a tenu une série de réunions productives et constructives avec ses partenaires américains et européens », peut-on lire dans ce communiqué partagé par Steve Witkoff, l’envoyé spécial de Donald Trump, et Roustem Oumerov, négociateur en chef de Kiev, sur le réseau social X.Les négociateurs ukrainiens et américains étaient entourés de conseillers européens « de premier plan » : la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni.« Une attention particulière a été portée à la discussion des échéanciers et à la séquence des prochaines étapes », peut-on lire dans le communiqué. « Notre priorité commune est de mettre fin aux massacres, de garantir la sécurité et de créer les conditions du redressement, de la stabilité et de la prospérité à long terme de l’Ukraine. La paix ne doit pas seulement être une cessation des hostilités, mais aussi un fondement digne pour un avenir stable ».

Source LogoLe Parisien
La CroixLa Croix
Les États-Unis menacent le Venezuela d’une invasion et saisissent un nouveau pétrolier
L'HumanitéL'Humanité
Venezuela : Donald Trump brandit ouvertement la menace d’une guerre pour s’approprier le pétrole
France 24France 24
Saisie d'un nouveau pétrolier vénézuelien par les Etats-Unis
EuronewsEuronews
Les États-Unis saisissent un deuxième pétrolier au large des côtes vénézuéliennes
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Pourparlers à Miami sur l'Ukraine: nouvelles réunions américano-ukrainienne et américano-russe

Kiev a annoncé dimanche 21 décembre que les négociateurs ukrainiens allaient de nouveau s'entretenir à Miami avec leurs homologues américains qui reçoivent de leur côté séparément l'émissaire russe, pour évoquer un possible règlement du conflit en Ukraine. La présidence russe a pour sa part affirmé, par la voix de son conseiller diplomatique, Iouri Ouchakov, qu'une rencontre trilatérale Russie-États-Unis-Ukraine n'était « pas en cours de préparation », alors que les Ukrainiens avaient fait état d'une proposition de Washington d'en organiser une.

Source LogoRFI
La CroixLa Croix
À Gaza, la pluie, le vent et la faim rythment le quotidien des Palestiniens
Le FigaroLe Figaro
Frapper «partout où ce sera nécessaire» : le chef d’état-major de Tsahal menace l’Iran et les «ennemis» d’Israël
L'HumanitéL'Humanité
Israël approuve la création de 19 nouvelles colonies en Cisjordanie pour empêcher un futur État de Palestine
Le ParisienLe Parisien
Cisjordanie : Israël approuve 19 nouvelles colonies, un record depuis trois ans
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« Nous entrons dans une nouvelle phase de la guerre » : Macron et Poutine prêts à renouer le dialogue sur l’Ukraine, un signe de détente ?

Chacun a fait un petit pas vers l’autre. Vendredi, Emmanuel Macron a déclaré qu’il redevenait utile de parler à Vladimir Poutine. Samedi dans la nuit, le président russe a fait savoir qu’il était « prêt au dialogue ». Il y a encore quelques jours, le même Vladimir Poutine qualifiait les dirigeants européens de « porcelets ». Est-ce un grand pas pour la paix en Ukraine ? « Dès lors que la perspective d’un cessez-le-feu et d’une négociation de paix se précise, il redevient utile de parler à Poutine », déclare l’Élysée.Ce revirement n’est pas la seule surprise du week-end. À Miami, devenu le principal théâtre de pourparlers entre Américains et Russes, les Européens sont enfin invités à la table des discussions. Ils sont représentés par les trois locomotives du soutien à l’Ukraine, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Jusqu’à présent, Vladimir Poutine ne voulait pas entendre parler de leur participation. L’administration Trump, à la remorque des thèses russes, s’appliquait dès lors à snober ses alliés historiques.

Source LogoLe Parisien
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Flotte fantôme: sur les pétroliers russes, des agents sous couverture espionnent l'Europe, selon les services de renseignement

Par Lorène Bienvenu Des agents russes se sont livrés à des activités d'espionnage dans les eaux européennes, d'après les sources des renseignements ukrainiens et occidentaux, interrogés par le média américain CNN. Sous leur couverture de simples techniciens à bord de pétroliers fantômes, des agents russes espionnent pour le compte de l’armée ou des renseignements. Des agents russes se sont livrés à des activités d'espionnage dans les eaux européennes, d'après les sources des renseignements ukrainiens et occidentaux, interrogés par le média américain CNN. Sous leur couverture de simples techniciens à bord de pétroliers fantômes, des agents russes espionnent pour le compte de l’armée ou des renseignements.Depuis l'invasion de l'Ukraine en 2022, la Russie a constitué et développé une flotte dite "fantôme", qui rapporte chaque année des centaines de millions de dollars au Kremlin. Ces navire transportent le combustible russe depuis les ports de la Baltique et de la mer Noire, malgré les sanctions occidentales. Mais cette flotte a aussi une toute autre visée: l'espionnage.Des agents russes liés à l'armée et aux services de sécurité se seraient livrés à des activités d'espionnage dans les eaux européennes, en travaillant secrètement depuis ces navires, ont déclaré à CNN des sources occidentales et ukrainiennes issues des services de renseignement. Ces sources ont expliqué qu'au cours des derniers mois, les navires, dont les membres sont à majorité non-russes, avaient embauché de nouveaux membres d'équipages de nationalité russe, peu de temps avant leur départ de Russie. Plusieurs de ces personnes auraient été recrutés par une société russe secrète appelée Moran Security, d'après plusieurs sources interrogées par CNN. Cette société, qui est liée à l'armée et aux services de renseignement russes, a été sanctionnée par le Trésor américain en 2024 pour avoir fourni des "services de sécurité armée" à des entreprises publiques russes. L'objectif: "Intensifier la pression sur la Russie pour sa guerre cruelle et non provoquée contre l'Ukraine", rapporte le média américain. Des mercenaires Wagner recrutés sur les pétroliersMoran Security aurait entretenu des liens étroits avec la société militaire privée Wagner. Comme elle, elle aurait joué un rôle en Syrie en soutenant le régime Assad, aujourd'hui renversé, pendant la guerre civile (2011-2024), d'après les services de renseignement ukrainiens. Your browser doesn't support HTML5 video. Certaines de ces nouvelles recrues seraient des mercenaires, ayant travaillé pour des sociétés militaires privées russes, comme Wagner. Les renseignements ukrainiens assurent avoir témoigné de leur embarquement au sein de la flotte fantôme, il y a environ six mois. Parmi les missions des agents de Moscou: surveiller les capitaines des navires, qui ne sont pas des citoyens russes pour la plupart, selon Oleksandr Stakhnevych, du Service de renseignement extérieur ukrainien."Plus de pouvoir que le capitaine lui-même"Un officier du service national danois de pilotage, Bjarne Caesar Skinnerup, indique aussi que la plupart des membres de ces navires sont non-russes mais que "soudain, vous verrez un ou deux Russes figurer dans la liste". L'officier aide souvent les pétroliers étrangers à naviguer dans les détroits. Il confie à CNN qu'à bord, les Russes laissent penser "qu'ils dirigent le navire, ils ont plus de pouvoir que le capitaine lui-même". Your browser doesn't support HTML5 video. Le service danois, auquel Bjarne Caesar Skinnerup appartient, a envoyé un message à l'autorité danoise chargée de la gestion des urgences, en juillet dernier, indiquant : "De plus en plus de rapports font état de navires transportant quelques membres d'équipage supplémentaires, probablement russes, qui portent des uniformes militaires et se montrent très actifs, notamment en photographiant les zones du pont."CNN a étudié l'équipage d'un navire qui appartient à la flotte fantôme. Ce pétrolier appelé le Boracaya changé de nom et d'immatriculation officielle à plusieurs reprises au cours des trois dernières années. Deux Russes auraient embarqué le 20 septembre dernier, dans un port près de Saint-Pétersbourg. Sur les documents de l'équipage, ils apparaissent comme de simples techniciens. CNN a appris que l'un des deux hommes est un ancien policier qui aurait travaillé au sein de Wagner.Des drônes envoyés depuis les pétroliersEn septembre dernier, le Boracay faisait la Une des journaux. Le pétrolier longeait la côte danoise, le 22 septembre, deux jours après avoir quitté la Russie, quand trois drones ont perturbé le traffic aérien en s'approchant trop près de l'aéroport de Copenhague. Tweet URL Les drones sont arrivés de plusieurs directions et sont repartis de la même manière, ce qui, selon la police danoise, suggère qu'ils étaient pilotés par un individu "compétent", qui savait comment piloter des drones de manière à maximiser les nuisances et à semer la panique.Pour en savoir plus Pétrolier russe: enquête sur le Pushpa intercepté au large de la FranceUne source occidentale des services de renseignement a déclaré à CNN que "la coïncidence entre l'incident et la présence du navire dans la région peut être considérée comme suspecte"."Notre hypothèse est que des navires russes ont été impliqués dans au moins certains des incidents inexpliqués impliquant des drones près des côtes européennes", a indiqué une seconde source des services de renseignement européens."Tout le monde sait pertinemment que ces types reçoivent leurs ordres de l'État russe, mais c'est difficile à prouver." Jacob Kaarsbo, ancien responsable des services de renseignement danoisLa présence de personnes avec une expérience dans le domaine de la sécurité au sein de l'équipage de la flotte fantôme inquiète de plus en plus les services de sécurité européens, qui y voient un risque d'espionnage. Ils affirment que la présence d'hommes armés de formation militaire, à bord de ces navires, constitue un nouvel outil du Kremlin pour semer le trouble en Europe."La présence de groupes armés privés à bord des navires de la flotte fantôme est un exemple classique de déni plausible", a déclaré Jacob Kaarsbo, ancien responsable des services de renseignement danois, à CNN. Il explique: "Tout le monde sait pertinemment que ces types reçoivent leurs ordres de l'État russe, mais c'est difficile à prouver". Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a quant à lui déclaré à CNN : "Nous n'avons absolument aucune information à ce sujet."

Source LogoTV5 MONDE
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CARTE. Guerre en Ukraine : combats à Soumy, pas de rencontre trilatérale, pourparlers à Miami… Le point du jour

Les pourparlers en cours depuis vendredi se poursuivent à Miami ce dimanche 21 décembre. L’émissaire ukrainien et son homologue américain ont à nouveau échangé, alors qu’une rencontre trilatérale États-Unis, Russie, Ukraine est pour le moment exclue. Sur le front, l’armée de Kiev combat les Russes dans la région frontalière de Soumy. On fait le point sur cette nouvelle journée de conflit.

Source LogoOuest France
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EN DIRECT, guerre en Ukraine : pour la Russie, les propositions de Kiev et des pays européens « n’améliorent pas les chances de parvenir à une paix durable »

Le conseiller diplomatique de la présidence russe a affirmé dimanche que les propositions « présentées ou en cours de présentation par les Européens et les Ukrainiens n’améliorent en rien le document », en référence aux amendements proposés par l’Europe et l’Ukraine au projet de « plan de paix » américain. Vladimir Poutine s’est toutefois dit « prêt au dialogue » avec Emmanuel Macron.

Source LogoLe Monde
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«La Russie se voit comme un empire» : Moscou a avancé ses plans d’attaque contre l’Europe à 2027, selon le chef du renseignement ukrainien

Le chef du renseignement militaire ukrainien, Kyrylo Boudanov, a indiqué que les ambitions conquérantes de Vladimir Poutine allaient bien au-delà de l'Ukraine. Il a assuré que le Kremlin avait des plans d'attaques directes contre d'autres Etats européens, lesquels ont été avancés de 2030 à 2027. La guerre en Ukraine pourrait-elle s'étendre bientôt au-delà de ses frontières ? Selon le chef du renseignement militaire ukrainien, Kyrylo Boudanov, les ambitions militaires de Vladimir Poutine iraient en effet jusqu'aux États baltes, voire la Pologne. Dans un entretien accordé au journal ukrainien LB, il assure que «selon les plans initiaux, la Russie devait être prête à passer à l'action en 2030». «Ces plans ont été ajustés et avancés à 2027», martèle-t-il. Même si le chef du Kremlin a toujours affirmé que la Russie ne cherchait pas la guerre avec l'Europe, ces déclarations ne sont pas dignes de confiance pour Kyrylo Boudanov, qui rappelle que ...

Source LogoCNEWS
Le MondeLe Monde
EN DIRECT, guerre en Ukraine : Vladimir Poutine « prêt au dialogue avec Macron », selon son porte-parole
Le MondeLe Monde
EN DIRECT, guerre en Ukraine : Washington a proposé une rencontre entre les Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie à Miami, dit Volodymyr Zelensky
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Plan de paix pour l'Ukraine : des pourparlers prévus samedi entre représentants russes et américains à Miami
PoliticoPolitico
US proposes Ukraine-Russia talks in Miami, Zelenskyy reportedly says
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Estonie : trois garde-côtes russes franchissent la frontière de l’Otan

Simple erreur ou nouvelle provocation de la part de Moscou ? Mercredi, trois soldats russes ont brièvement posé le pied sur le sol estonien, pour une raison inconnue. L’incident, qui implique des garde-côtes a duré une vingtaine de minutes indique l’Estonie.Les garde-côtes étaient à bord d’un aéroglisseur sur la rivière Narva qui sépare ce petit pays balte membre de l’Otan de la Russie quand ils ont atteint une digue située côté estonien. Ils ont ensuite longé l’ouvrage à pied, rapporte ERR, la chaîne de radiotélévision estonienne.La Russie nie avoir franchi la frontièreLes images de cette incursion russe sur le territoire de l’Otan ont été captées et diffusées par les gardes-frontières estoniens. « Un contact officiel a été établi avec le représentant des services frontaliers de la Fédération de Russie afin d’obtenir des explications », a fait savoir Eerik Purgel, chef local des gardes frontières, cité par ERR. Mais lors d’une réunion entre les gardes-frontières des deux pays, organisée jeudi, Moscou a nié avoir pénétré le territoire estonien. Tallinn a donc dit souhaiter une nouvelle réunion à « un niveau supérieur », rapporte ERR.D’après le ministre de l’Intérieur Igor Taro, les Russes « ne savent plus où est la ligne de contrôle », en place depuis 30 ans et qui sépare l’ex-république soviétique de son voisin.Des précédentsCe type d’incident est loin d’être une première en Estonie. En octobre, des Russes armés ont été aperçus sur une route de la botte de Saatse. Ce territoire russe a la particularité d’être traversé par une route d’1 km, reliant deux villages estoniens où il est interdit de s’y arrêter.L’Estonie avait alors décidé de fermer définitivement le tronçon. Un mois plus tôt, trois avions de combat russe avaient pénétré pendant douze minutes l’espace aérien du pays balte d’1,3 million d’habitants. En mai 2024, ce sont des bouées frontalières qui avaient été volées sur la rivière Narva.Après l’incident de mercredi, l’Estonie a renforcé la présence de garde-côtes à ce point de la frontière. Interrogé par ERR, le ministre de l’Intérieur Igor Taro n’a pas exclu une fermeture de la frontière après la multiplication des incursions russes.

Source LogoLe Parisien
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« Poutine en veut toujours plus » : la Russie ne s’arrêtera pas à l’Ukraine, selon les renseignements américains

La Russie s’arrêtera-t-elle à la conquête de l’Ukraine ? Vladimir Poutine a beau qualifier de « non-sens » une attaque contre l’Europe, les services de renseignement américains viennent contredire ce récit : non seulement le dirigeant russe veut s’emparer de toute l’Ukraine, mais aussi des anciennes républiques soviétiques, martèlent-ils. Ces conclusions, révélées par Reuters ce vendredi, sont restées constantes depuis l’invasion russe en février 2022.Elles rejoignent celles des services de sécurité britanniques et européens. « Les renseignements indiquent depuis toujours que Poutine en veut toujours plus », a déclaré Mike Quigley, membre démocrate de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, lors d’un entretien avec Reuters. « Les Européens en sont convaincus. Les Polonais en sont absolument convaincus. Les pays baltes pensent être les premiers. »Vendredi, à l’issue de la longue conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine, l’ambassade de Russie en France a mis en avant ces propos du président sur ses réseaux sociaux : « Est-ce que nous nous apprêtons à attaquer l’Europe ? C’est quoi ces absurdités ? Cela est fait pour des raisons de politique intérieure. Ils créent une figure hostile, en l’occurrence la Russie, afin de masquer leurs erreurs. »En contradiction avec l’administration TrumpSelon l’une des six sources de Reuters, le plus récent de ces rapports date de la fin du mois de septembre. Ils ont été révélés le jour de la conférence de presse du président, et au moment où des représentants russes et américains négocient la paix, à Miami (Floride). Ils se réunissent encore ce week-end. Ces pourparlers, entamés dès l’investiture de Donald Trump en janvier, demeurent stériles.Une fois de plus, les renseignements américains viennent brutalement contredire la parole de l’administration Trump. Le président américain et son négociateur, le controversé Steve Witkoff, soupçonné d’être sous l’influence du Kremlin, affirment que Vladimir Poutine souhaite mettre fin au conflit. Ils reprennent à l’identique la version russe, selon laquelle l’Ukraine et les Européens auraient commencé la guerre et empêcheraient d’y mettre fin.La Russie contrôle environ 20 % du territoire ukrainien, dont la majeure partie de Louhansk et Donetsk, et des territoires de Zaporijia et de Kherson. Vladimir Poutine revendique ces quatre provinces comme appartenant à la Russie, ainsi que la Crimée, la péninsule stratégique de la mer Noire annexée illégalement en 2014.

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Ukraine : le bilan de l'attaque russe contre la région d’Odessa passe à 8 morts et 27 blessés
Le ParisienLe Parisien
Guerre en Ukraine : Oslo, Hambourg et une partie de l’Europe à portée de tir, c’est quoi le nouveau missile russe « Iskander 1 000 » ?
France 24France 24
En direct : une frappe russe sur Odessa tue huit personnes en Ukraine
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Guerre en Ukraine : Russes et Ukrainiens se retrouvent à Miami pour parler de paix
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« C’est à eux de conclure un accord » : les États-Unis assurent ne pas vouloir imposer la paix entre l’Ukraine et la Russie

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a assuré vendredi qu’aucun accord ne serait imposé à l’Ukraine. Cette prise de position intervient au moment où une série de discussions ont débuté en présence d’alliés européens à Miami (Floride, États-Unis) pour tenter de mettre fin à la guerre.« En fin de compte, c’est à eux de conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer l’Ukraine à conclure un accord. Nous ne pouvons pas forcer la Russie à conclure un accord. Il faut qu’ils (le) veuillent », a affirmé Marco Rubio lors d’une conférence de presse. « Ce que nous essayons de déterminer ici, c’est ce qui est acceptable pour l’Ukraine et ce qui est acceptable pour la Russie, et voir si nous pouvons les rapprocher et les amener à conclure une sorte d’accord », a-t-il dit.Il a ajouté que des « progrès » ont été accomplis, mais qu’il restait du travail à effectuer.Les pourparlers diplomatiques destinés à mettre fin au conflit, qui entrerait en février dans sa cinquième année, se sont accélérés ces dernières semaines à la suite de la publication d’un plan de l’administration Trump, sans aboutir à un cessez-le-feu. La Russie continue de viser les infrastructures ukrainiennes et, vendredi soir, une frappe de missile balistique russe a fait sept morts et quinze blessés dans la région d’Odessa, sur la mer Noire, a annoncé le gouverneur local, Oleg Kiper.Impatience de Donald TrumpAlors que Donald Trump a multiplié les signes d’impatience concernant l’avancée des discussions, l’émissaire américain Steve Witkoff et le gendre du président, Jared Kushner, ont rencontré ce vendredi dans les environs de Miami le négociateur ukrainien Roustem Oumerov et des représentants de la France, du Royaume-Uni et de l’Allemagne. À l’issue des discussions, Roustem Oumerov a simplement assuré que sa délégation s’est mise d’accord avec les Américains « pour poursuivre le travail en commun dans un avenir proche ».Selon un responsable de la Maison Blanche, le siège de la présidence américaine, une délégation russe doit rencontrer la partie américaine séparément, affirme le site Politico. Pour la Russie, le représentant de la présidence pour les questions économiques, Kirill Dmitriev, serait présent. Marco Rubio, lui-même originaire de Floride, a indiqué qu’il pourrait se joindre aux discussions, notamment ce samedi.L’inclusion directe des Européens constitue une nouveauté par rapport aux précédentes réunions qui ont eu lieu ces dernières semaines entre Ukrainiens et Américains à Genève (Suisse), Miami et Berlin (Allemagne). De plus en plus impatient, Donald Trump a pressé Kiev, la capitale ukrainienne, de « bouger rapidement ». « À chaque fois qu’ils prennent trop de temps, alors la Russie change d’avis », a dit le président américain pendant un échange avec la presse.Concessions territoriales contre garanties de sécuritéLe président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a lui aussi de son côté fait part des « progrès » vers un compromis entre Kiev et Washington, la capitale américaine, sur le contenu d’un plan à proposer à la Russie pour mettre fin aux combats. Mais, a-t-il averti, Moscou, la capitale russe, se prépare à une nouvelle « année de guerre » en 2026.Les États-Unis ont proposé en novembre un plan en vue de mettre fin à la guerre en Ukraine déclenchée par la Russie en février 2022. Ce texte initial, qui avait été perçu comme étant largement favorable aux demandes du Kremlin, le siège de la présidence russe, a depuis été remanié après des consultations avec Kiev. Les détails de la nouvelle mouture ne sont pas connus mais, selon le président ukrainien, elle implique des concessions territoriales de la part de l’Ukraine en échange de garanties de sécurité occidentales.Vendredi, le président russe, Vladimir Poutine, a affirmé que « la balle » était « dans le camp » de Kiev et de ses alliés européens, la Russie ayant déjà accepté des « compromis » au cours de ses propres pourparlers avec les Américains. Il s’est félicité des gains territoriaux obtenus dans l’est de l’Ukraine par les forces russes, assurant que celles-ci « avancent sur toute la ligne de contact ». Les troupes russes ont accéléré cette année leurs conquêtes en Ukraine, dont elles contrôlent environ 19 % du territoire.

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Le ParisienLe Parisien
Guerre en Ukraine : Oslo, Hambourg et une partie de l’Europe à portée de tir, c’est quoi le nouveau missile russe « Iskander 1 000 » ?
France 24France 24
En direct : une frappe russe sur Odessa tue huit personnes en Ukraine
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Un pétrolier de la "flotte fantôme" russe frappé par Kiev en Méditerranée, une première
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L'Ukraine frappe un pétrolier de la "flotte fantôme" russe en Méditerranée, une première
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L'UE prévoit de lever 90 milliards d'euros de dette commune pour l'Ukraine – voici comment
France 24France 24
L'UE renonce aux avoirs russes gelés : une victoire pour Vladimir Poutine ?
France 24France 24
L'Europe se résigne à financer l'Ukraine sans recourir aux avoirs russes
TF1 InfoTF1 Info
Prêt de 90 milliards d'euros pour Kiev : l'aide de l'Union européenne est-elle suffisante ?
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« Un message clair à Poutine » : l’Union européenne décide de prêter 90 milliards d’euros à l’Ukraine

Les dirigeants européens, réunis en sommet, ont décidé dans la nuit de jeudi à vendredi de prêter 90 milliards d’euros à l’Ukraine, mais sans recours aux avoirs russes, faute d’accord sur cette solution inédite. « Nous avons un accord. La décision d’accorder 90 milliards d’euros de soutien à l’Ukraine pour 2026-2027 a été approuvée », s’est félicité sur X le président du Conseil européen Antonio Costa, qui a mené les travaux de ce sommet européen.L’Union européenne envoie ainsi un « message clair » au président russe Vladimir Poutine, a lancé de son côté le chancelier allemand Friedrich Merz, pourtant ardent défenseur d’un recours aux avoirs russes. Les 27 devaient coûte que coûte trouver une solution durable pour financer l’Ukraine, qui risquait d’être à court d’argent dès le premier trimestre de l’an prochain. « Il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine », a quant à lui estimé Emmanuel Macron.« Je constate qu’il y a des gens qui parlent à Vladimir Poutine », a-t-il ajouté, en allusion notamment au président américain Donald Trump qui a renoué le contact, après son retour au pouvoir en janvier aux Etats-Unis, avec le maître du Kremlin. « Donc je pense que nous, Européens et Ukrainiens, on a intérêt à trouver le cadre pour réengager cette discussion en bonne et due forme. Sinon, on discute entre nous avec des négociateurs qui vont seuls discuter avec les Russes, ce qui n’est pas optimal », a insisté Emmanuel Macron.Les Européens s’étaient engagés en octobre à assurer, au cours des deux prochaines années, l’essentiel du soutien financier et militaire à Kiev, après la fermeture du robinet américain décidée par Donald Trump. Ces besoins de financement ont été estimés à 137 milliards d’euros, l’UE s’engageant à prendre en charge les deux tiers, soit 90 milliards d’euros. Le reste devant être assuré par les autres alliés de l’Ukraine, comme la Norvège ou le Canada.La Belgique a freiné sur les avoirs russesLes 27 vont accorder à Kiev un prêt à taux zéro, financé par le budget de l’Union européenne, une solution pourtant écartée au début des discussions, faute de consensus. « Après de longues discussions », il est clair que le recours aux avoirs russes « nécessite davantage de travail », a reconnu dans la nuit de jeudi à vendredi un responsable européen, sous couvert d’anonymat.Un accord butait depuis des semaines sur la vive réticence de la Belgique, où se trouve l’essentiel de ces avoirs gelés, soit quelque 210 milliards d’euros. L’idée était d’y recourir pour financer un « prêt de réparation » de 90 milliards en faveur de l’Ukraine. Des heures de tractations, entre diplomates puis au niveau des dirigeants européens, réunis jeudi soir en conclave, n’ont pas permis de dégager un compromis.Le Premier ministre belge Bart De Wever avait dès octobre exigé de ses partenaires des garanties quasi illimitées pour parer le risque d’un remboursement anticipé ou de représailles russes. Et si les autres pays de l’UE se sont dit prêts à être solidaires, pas question néanmoins de signer un chèque en blanc à la Belgique.« On a besoin d’un parachute avant de sauter. Si on nous demande de sauter, on saute tous ensemble », avait martelé jeudi matin Bart De Wever devant les parlementaires belges. « La décision doit être prise d’ici la fin de cette année », avait rappelé le président ukrainien Volodymyr Zelensky lors d’une conférence de presse à Bruxelles, où il s’est déplacé pour mieux marteler son message.Il n’a été que partiellement entendu, après avoir plaidé sans relâche pour faire payer la Russie. L’Ukraine reste toutefois assurée d’avoir les fonds nécessaires alors que les combats continuent en dépit d’intenses négociations en cours. Le président américain s’est à nouveau impatienté jeudi, invitant l’Ukraine à « bouger rapidement », avant que la Russie ne « change d’avis ».Zelensky salue « un soutien important »Volodymyr Zelensky avait confirmé plus tôt la tenue de nouveaux pourparlers aux États-Unis, vendredi et samedi, entre négociateurs ukrainiens et américains. Il espère y obtenir des détails sur les garanties de sécurité fournies à Kiev pour empêcher toute nouvelle attaque russe. Vendredi, il a applaudi l’annonce de cette nouvelle aide.« Il s’agit d’un soutien important qui renforce véritablement notre résilience », a écrit le président ukrainien sur X, en remerciant les dirigeants européens. « Il est important que les actifs russes restent immobilisés et que l’Ukraine ait reçu une garantie de sécurité financière pour les années à venir », a-t-il ajouté concernant les avoirs russes au sujet desquels les Européens n’ont pas réussi à se mettre d’accord.

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« C’est un braquage » : Poutine menace l’Europe face à une possible utilisation des avoirs russes pour financer à l’aide à l’Ukraine

C’est un événement majeur en Russie sur lequel sont tournés tous les yeux. Comme chaque année, le président russe donnait ce vendredi une conférence de presse afin de dresser le bilan de l’année — et de dessiner ce que sera l’année prochaine. Un moment fatidique en cette fin 2025, au moment où une intense activité diplomatique est déployée pour trouver une issue à la guerre en Ukraine.S’il s’est d’abord félicité de récents gains territoriaux de son armée en Ukraine, assurant que les forces de Moscou « avancent sur tout le front », le président russe a mis en garde l’Union européenne sur un éventuel recours des actifs russes sur le continent pour financier l’aide à l’Ukraine, évoquant de « lourdes conséquences ».« C’est un braquage. Mais pourquoi ce n’est pas possible de commettre ce braquage ? Parce que les conséquences peuvent être très lourdes », a dénoncé Vladimir Poutine.L’utilisation des actifs repoussée… pour le momentLes Européens avaient décidé plus tôt de financer l’effort de guerre de l’Ukraine pendant au moins deux ans via un emprunt en commun de 90 milliards d’euros, mais sans recours aux avoirs russes faute d’accord sur cette solution inédite. La Belgique, où se trouve l’essentiel de ces avoirs gelés, soit quelque 210 milliards d’euros, s’était montrée réticente à l’idée de recourir aux avoirs russes pour financer un « prêt de réparation » de 90 milliards en faveur de l’Ukraine.« Après de longues discussions », il est clair que le recours aux avoirs russes « nécessite davantage de travail », avait reconnu dans la nuit de jeudi à vendredi un responsable européen, sous couvert d’anonymat.Vladimir Poutine, 73 ans et au pouvoir depuis un quart de siècle, est rôdé à cette grande conférence annuelle, exercice médiatique qui dure généralement plusieurs heures et est retransmis en direct à la télévision. Le président russe s’exprime à cette occasion sur un vaste spectre de sujets allant de la géopolitique et l’économie aux préoccupations concrètes de la population.

Source LogoLe Parisien
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Les Européens s’accordent sur un prêt de 90 milliards d’euros pour l’Ukraine et espèrent peser sur les négociations

Les Vingt-Sept ont voté à l’unanimité, au milieu de la nuit du jeudi 18 au vendredi 19 décembre, pour la contraction d’un prêt de 90 milliards d’euros à destination de l’Ukraine, en manque d’argent. Tandis que les négociations se sont éternisées suite à des désaccords sur l’utilisation des avoirs russes gelés, les dirigeants européens se félicitent d’avoir trouvé une solution de repli.

Source LogoL'Humanité
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"Plan de paix" pour l'Ukraine, tensions États-Unis - Venezuela, percée de l'AFC/M23 en RDC

Au sommaire cette semaine : la guerre en Ukraine et les négociations qui se poursuivent autour du "plan de paix" américain remanié, dans un contexte de pression maximale de Donald Trump. Le président américain fait, par ailleurs, à nouveau monter les tensions avec le Venezuela, après la saisie d'un pétrolier au large du pays. Enfin, retour sur la nouvelle percée de l’AFC/M23 en République Démocratique du Congo. Le groupe contrôlerait Uvira, deuxième plus grande ville du Sud-Kivu. Cette nouvelle conquête intervient quelques jours à peine après l'annonce par Washington d'un accord de paix entre les présidents congolais et rwandais.

Source LogoFrance 24