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jeudi, novembre 6

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Fiscalité

Actualités sur l’impôt sur le revenu, la TVA et la fiscalité en général, évolutions législatives, conseils pratiques et incidences fiscales dans la vie quotidienne.
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France :  l’Assemblée ne baisse les impôts que par accident ou inattention

La confusion confinant au baroque continue de régner à l’Assemblée nationale, au risque de continuer à accabler la majorité des citoyens. Les députés ont approuvé jeudi à la surprise générale la suppression de la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S), le RN ayant repris à son compte un amendement « d’appel » d’un député Renaissance, destiné […] L’article France :  l’Assemblée ne baisse les impôts que par accident ou inattention est apparu en premier sur Contrepoints.

Source LogoContrepoints
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«On est en plein délire» : le président de la Fédération bancaire s’insurge contre la taxe sur l’assurance-vie votée à l’Assemblée

En votant un amendement prévoyant de transformer l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) en un impôt sur la fortune improductive, les députés ont provoqué la colère des assureurs et des distributeurs d’assurance-vie. C’est le cas aussi du président de la Fédération bancaire française, également président du Crédit Mutuel, qui demande un peu de sérieux au gouvernement.

Source LogoCapital
l'Opinionl'Opinion
Les dessous de la proposition d'Edouard Philippe sur les impôts et les aides aux entreprises
TF1 InfoTF1 Info
"Deal fiscal" proposé par Édouard Philippe : une "très bonne idée à creuser", réagit un PDG sur LCI
l'Opinionl'Opinion
Un « deal fiscal d'une ampleur inédite » : la proposition d'Edouard Philippe aux entreprises pour 2027
TF1 InfoTF1 Info
Edouard Philippe propose un "deal fiscal" aux entreprises, via une baisse des impôts de production de 50 milliards d'euros
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Le MondeLe Monde
Shein : le gouvernement veut contrôler 100 % des colis issus de la plateforme à Roissy-CDG
Radio FranceRadio France
Shein : à l'aéroport Roissy, vaste opération de contrôle des tous les colis émanant de la plateforme asiatique
Fashion Network FranceFashion Network France
Shein: opération de contrôle de 100% des colis issus de la plateforme à Roissy-CDG
CCMCCM
Si vous avez commandé Shein, vous n'êtes pas près de recevoir vos colis
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TF1 InfoTF1 Info
10 euros par mois versés à chaque enfant : l'étonnante idée de l'Allemagne pour inciter à capitaliser en vue de la retraite
CNEWSCNEWS
«260 euros pour cette horreur» : une mère de famille porte plainte contre une coiffeuse après la coupe ratée de sa fille
BFMTVBFMTV
Cela aurait coûté jusqu'à 1.020 euros par an à des couples modestes: les députés suppriment le gel du barème de la CSG sur les retraites, le chômage... et augmentent son taux sur les revenus du capital
La Dépêche du MidiLa Dépêche du Midi
"260 euros pour cette horreur" : elle estime que la coiffeuse a raté la coupe de sa fille, la mère porte plainte
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Niche fiscale sur les biocarburants : « 85 millions d’euros dans la poche du patron de la FNSEA »

« Cette niche, que j’appellerai la niche Rousseau (…), coûte environ 130 millions d’euros, dont 85 millions vont dans la poche du groupe Avril. Étrange ! », assène la députée écologiste Lisa Belluco.  Cet article Niche fiscale sur les biocarburants : « 85 millions d’euros dans la poche du patron de la FNSEA » est apparu en premier sur La Relève et La Peste.

Source LogoLa Relève et La Peste
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Budget de la Sécu: adoption surprise d'un amendement supprimant la C3S, manque à gagner évalué à 5 milliards

Par Maxence Kagni , le Jeudi 6 novembre 2025 à 14:15 Dans le cadre de l'examen du projet de budget de la Sécurité sociale, les députés ont adopté un amendement qui supprime la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S). Un vote inattendu qui représente une perte de recettes de 5,4 milliards d'euros. "Compte tenu de la confusion sur la portée de l'amendement", le président de la commission des affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), a demandé une "seconde délibération",Il s'agissait, selon son propre auteur, d'un "amendement d'appel qui n'a[vait] pas vocation à être adopté" et ce pour "des raisons budgétaires évidentes". L'Assemblée nationale a voté par surprise, ce jeudi 6 novembre, un amendement de Charles Sitzenstuhl (Ensemble pour la République), présenté dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale 2026, qui supprime la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S). La C3S est une contribution patronale qui touche les entreprises qui réalisent un chiffre d'affaires hors taxes d'au moins 19 millions d'euros. Son taux est de 0,16% du chiffre d'affaires. Sa suppression entrainerait une perte de recettes de 5,4 milliards d'euros pour la branche vieillesse, selon le rapporteur général du budget de la Sécurité sociale, Thibault Bazin (Droite républicaine). Face à la portée de l'amendement et au trouble provoqué par cette adoption, le président de la commission des affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), a demandé une nouvelle délibération - c'est-à-dire un nouveau vote sur cet amendement, comme le permet le règlement de l'Assemblée nationale - à l'issue de l'examen de la partie "recettes" du projet de budget de la Sécurité sociale. Tweet URL Un amendement d'appel retiré, mais repris à la volée En présentant son amendement, Charles Sitzenstuhl ne voulait pas vraiment supprimer la C3S, ou "en tout cas pas cette année". L'élu du parti présidentiel souhaitait avant tout "que figure dans ce débat le sujet des impôts de production". "On est tous très nombreux à dire qu'il y a un problème majeur en France avec les impôts de production", a acquiescé le ministre chargé de la Fonction publique et de la Réforme de l'Etat, David Amiel, qui a également "remercié" le député du Bas-Rhin d'avoir engagé le débat par son amendement. Mais le ministre a aussi rappelé que le gouvernement optait plutôt pour une baisse de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et a demandé au député de retirer sa proposition. Ce qu'a fait Charles Sitzenstuhl. Sauf que l'amendement a été "repris" à la volée par un autre député, ce qui a provoqué un vote.  L'amendement a finalement été adopté (117 pour, 113 contre, 10 abstentions) essentiellement grâce aux voix des élus du Rassemblement national (détail du scrutin à consulter ici), qui ont longuement applaudi le résultat. Dix députés de l'ex-majorité présidentielle ont, en outre, indiqué avoir commis une erreur lors du vote en se prononçant "pour" l'amendement, alors qu'ils voulaient voter "contre".  Un amendement à "cinq milliards" d'euros A l'issue de scrutin, Sandrine Rousseau (Ecologiste et Social) a interpellé le gouvernement afin de savoir combien la suppression de la C3S allait faire perdre de recettes au budget de la sécurité sociale. "C'est un amendement à cinq milliards", lui a répondu la ministre de la Santé, Stéphanie Rist, ajoutant : "Avec cet amendement, nous entrons dans une difficulté pour accompagner la trajectoire qui doit nous amener à un compromis." "Heureusement qu'on en est qu'à la première lecture et qu'il y en a trois", a rappelé le raporteur général, Thibault Bazin (DR), qui estime que les députés "sont en train de déraper totalement". Selon lui, l'Assemblée nationale devra "corriger le tir parce que si on déséquilibre trop la branche vieillesse, ceux qui en paieront le prix ce sont nos retraités".  Comme annoncé par le président de la commission des affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), les députés auront l'occasion de revenir sur l'adoption de cet amendement lors d'une seconde délibération.  Lire l'article complet sur LCP.fr

Source LogoLCP - Assemblée Nationale
La pratique des règlements d’ensemble

La pratique des règlements d’ensemble s’accroît alors même qu’elle est peu réglementée au sien de l’administration fiscale. Les règlements d’ensemble représentent une pratique à laquelle recourt de façon croissante l’administration fiscale. Ces accords globaux conclus entre l’administration et les contribuables incluent une atténuation des droits par rapport à la proposition initiale de rectification formulée par […]

Source LogoActu-Juridique
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FISCAL – Portée de l’appel du ministère public dans les infractions relatives aux contributions indirectes

Cass. crim du 29 octobre 2025, n°24-84.854 Les services des douanes avaient contrôlé une société, qui commercialisait des bâtonnets alcoolisés à glacer. L’administration des douanes avait relevé plusieurs infractions à la législation sur les contributions indirectes. Le tribunal correctionnel avait alors déclaré le président de la société coupable des faits reprochés, le condamnant à 6 amendes fiscales de 15 euros et à une pénalité proportionnelle de 292 301 euros. Le prévenu, le ministère public et l’administration des douanes avaient relevé appel de la décision. Se fondant sur l’article L.235 du Livre des procédures fiscales, la Cour de cassation rappelle que seules les infractions passibles d’une peine privative de liberté peuvent faire l’objet d’un appel du ministère public. Toutefois, ce dernier demeure partie jointe à la procédure et peut présenter des réquisitions devant la juridiction d’appel. Ainsi, même si la Cour d'appel a déclaré à tort l’appel du ministère public recevable, cette irrégularité est sans incidence dès lors qu’elle devait également statuer sur les appels du prévenu et de l’administration des douanes. Lire la décision…

Source LogoLe Mag Juridique
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Budget : les socialistes obtiennent une victoire sur la CSG sur les revenus du capital à l'Assemblée

Paris - Les socialistes ont remporté une victoire mercredi soir dans les débats budgétaires avec l’adoption à l’Assemblée nationale de l’une de leurs propositions phares: une hausse de la CSG sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites. Un premier vote défavorable sur une mesure similaire plus tôt dans la soirée avait révélé des tensions à gauche, mais les socialistes ont finalement réussi à rassembler autour de la mesure. Le groupe du parti à la rose n’a pas censuré le gouvernement de Sébastien Lecornu pour tenter de décrocher des victoires budgétaires, et en premier lieu la suspension de la réforme des retraites. Mais reste la question du financement alors que le gouvernement cherche à réduire le déficit en dessous de 5% du PIB. Or après le rejet la semaine dernière des propositions de la gauche de taxer les hauts patrimoines, dont la taxe Zucman, les socialistes pressaient depuis plusieurs jours l’exécutif de soutenir leurs propositions de nouvelle recette dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Mercredi, c’est donc finalement un amendement de Jérôme Guedj (PS) qui a été adopté, avec le soutien d’une bonne partie du camp gouvernemental, pour faire progresser la Contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus du capital, en escomptant aller chercher en 2026 2,8 milliards d’euros supplémentaires. La mesure monte de 9,2% à 10,6% le taux d’une fraction de la CSG, qui porte notamment sur certains revenus de l’immobilier, d'épargne et de placements (produits de contrats d’assurance vie, dividendes, épargne salariale, plans épargne logement), ou des plus-values immobilières et mobilières (ventes d’actions...). Le PS, qui menace de censure en cas d'échec sur les nouvelles recettes fiscales, a reçu un avis favorable mais particulièrement réservé du gouvernement. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a appelé à voter pour, surtout pour que l’amendement puisse être rediscuté dans la suite de la navette parlementaire, sans approuver ses modalités. «Ce qui a été voté n’est pas une hausse de la fiscalité alors que nous sommes en première lecture. Ce qui a été voté, c’est la possibilité d’en débattre jusqu'à la fin du processus budgétaire», a-t-elle insisté. La mesure a été adoptée par 168 voix contre 140. Les voix de nombreux députés macronistes (de Renaissance et du MoDem) se sont jointes à celles de la gauche. Les députés de la droite (LR et Horizons) ont voté contre, tout comme le Rassemblement national. «Vous ne venez pas de décider de taxer le haut patrimoine, vous avez taxé l’assurance-vie, vous avez taxé les PEL», a regretté le patron des députés LR Laurent Wauquiez. Le député RN Jean-Philippe Tanguy a décrit la mesure comme «le financement des magouilles entre le Parti socialiste et le gouvernement», estimant qu’elle ne protège pas «l'épargne des classes populaires et moyennes». «Magouille de non-censure» Jerôme Guedj a balayé l’argument, son camp soutenant que la mesure concerne essentiellement les dividendes des actionnaires, et qu’avec un PEL dont la moyenne en France est de 25.000 euros, cette hausse représenterait seulement 50 centimes d’euros par mois. La soirée avait pourtant mal commencé pour les socialistes, avec le rejet d’un amendement similaire. Un épisode illustrant les divisions à gauche entre le PS, LFI et les écologistes. Les Insoumis avaient en effet voté contre ce premier amendement, dénonçant une «magouille de non-censure», selon la présidente du groupe Mathilde Panot. Une partie des écologistes s'étaient abstenus. Mme Panot avait alors appelé à voter les amendements suivants pour des taux plus importants, ou sans limite dans le temps. «C’est une politique de la terre brûlée, ils ne veulent pas de recettes, ils ne veulent pas de budget pour la France», avait dénoncé après le premier vote Sandrine Runel (PS), le premier secrétaire Olivier Faure reprochant aux Insoumis de pratiquer le «tout ou rien, et surtout rien». Camille MALPLAT © Agence France-Presse

Source Logol'Opinion
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Sommes indues réclamées par les impôts : comment agir ? Le 13H à vos côtés

Geneviève a vendu un appartement en 2023. Les finances publiques lui ont prélevé la taxe de 2024 et réclament celle de 2025. Contactés, les services fiscaux ont déclaré qu'il s'agit d'un dossier très compliqué et ont reconnu avoir indûment réclamé une taxe foncière deux années de suite. Selon des avocats spécialisés, ce type d'erreur peut se produire, en particulier avec les taxes locales. Dans de tels cas, ils conseillent de relancer régulièrement l'administration fiscale.

Source LogoTF1 Info
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Retraites, franchises, arrêts maladie... ce qui pourrait changer

Les débats sur le budget 2026 se poursuivent à l'Assemblée nationale. Place ce mardi au volet sur la Sécurité sociale. Près de 2 500 amendements à examiner d'ici au 12 novembre. L'enjeu est de réduire le déficit de 23 à 17 milliards d'euros. Parmi les mesures proposées pour faire des économies, certaines concernent directement votre porte-monnaie. Boîtes de médicament, participation forfaitaire, arrêt maladie... qu'est-ce qui pourrait changer ?

Source LogoTF1 Info