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Fonction publique

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Actualités et évolutions autour de la fonction publique, couvrant les enjeux liés aux agents, aux réformes, aux conditions de travail et à l’impact sur la société en France.
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PROTECTION SOCIALE – Les agents hospitaliers sont affiliés aux caisses primaires d’assurance maladie pour le risque AT/MP !

Cass. civ. 2ème du 4 décembre 2025, n°23-10.525 Dans un litige opposant un centre hospitalier à un organisme de sécurité sociale, la Cour était invitée à se prononcer sur le régime applicable aux agents contractuels de la fonction publique hospitalière en matière d’accidents du travail et de maladies professionnelles. L’établissement soutenait relever du mécanisme d’auto-assurance prévu par le code de la sécurité sociale, en raison de son effectif supérieur à 1 000 agents, et sollicitait à ce titre la restitution des cotisations versées au régime général. La Cour rappelle toutefois que les agents contractuels hospitaliers sont soumis à un statut particulier, issu de la loi du 9 janvier 1986 et du décret du 6 février 1991, qui prévoit leur affiliation aux caisses primaires d’assurance maladie pour l’ensemble des risques, y compris les accidents du travail et maladies professionnelles. En l’absence de disposition législative ou réglementaire venant remettre en cause ce principe, la Cour juge que cette affiliation demeure applicable, indépendamment de la taille de l’établissement employeur. Elle en déduit que les cotisations litigieuses étaient légalement dues et rejette la demande de restitution formée par le centre hospitalier. Lire la décision…

Source LogoLe Mag Juridique
Le FigaroLe Figaro
EN DIRECT - Musée du Louvre : vol, sécurité, grève... Laurence des Cars, la présidente, auditionnée à nouveau ce mercredi dans un contexte tendu
Le ParisienLe Parisien
« Ça a l’air tellement compliqué, ce que vous exprimez » : l’ancien président-directeur du Louvre bousculé par les sénateurs
Le FigaroLe Figaro
Mouvement social au Louvre : la grève des agents reconduite, le musée rouvre partiellement
La CroixLa Croix
Louvre : grève reconduite « à l’unanimité » mais ouverture partielle du musée
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« Péris-colère » à Paris : les animateurs en grève contre l’insécurité et les coupes de postes

La grogne monte chez les animateurs des écoles parisiennes. Un « Péris-colère » éclate, dénonçant une situation explosive où la sécurité des enfants et l’emploi des encadrants sont sacrifiés sur l’autel des coupes budgétaires.Sous une banderole noire barrée du slogan « Péris-colère ! », les animateurs des écoles parisiennes se sont mis en grève mardi en début d’après-midi, dénonçant le « double discours » d’une mairie qui supprime des postes tout en promettant de sécuriser les enfants, alors que les signalements pour violences sexuelles dans le périscolaire se sont multipliés.Plusieurs centaines de manifestants se sont massées dès 14 heures devant l’Hôtel de Ville à l’appel d’une intersyndicale (SUPAP-FSU, CFDT, CGT). Dans la foule, les pancartes en carton brandies à bout de bras résument l’angoisse des agents et des familles : « Plus d’argent, pas d’attouchements » ou encore « Pas de violence, pas de silence, protégeons l’enfance ».Cette mobilisation sous tension intervient alors que 19 animateurs ont été suspendus en 2025 pour suspicions de faits à caractère sexuel et que 15 enquêtes ont été ouvertes pour des agressions sexuelles présumées dans des écoles maternelles.Selon les syndicats, 100 postes de titulaires sont menacés en 2026, des coupes que la ville justifie par la baisse de la démographie scolaire. « C’est une position schizophrène car la Ville défend les postes à l’Éducation nationale mais sabre à tour de bras dans ses propres personnels », tacle Nicolas Léger, du syndicat SUPAP-FSU, décrivant des équipes en « sous-effectif permanent ».Une large majorité de vacatairesDans le cortège, les manifestants distribuent des tracts rouge vif intitulés « Alerte au T.A.P » (Temps d’Activités Périscolaires). « On nous demande de mieux surveiller, mais on remplace des effectifs formés par de la précarité », s’insurge Adam Semail, secrétaire général de la CFDT Paris.Avec une écrasante majorité de vacataires (8 500) au statut précaire, contre 2 500 animateurs titulaires et 1 000 contractuels, beaucoup ont du mal à boucler les fins de mois.La réalité du terrain, c’est celle décrite par Chris, vacataire de 22 ans, qui ne souhaite pas donner son patronyme : « On n’a pas de contrat fixe, on peut nous dire au revoir du jour au lendemain. On arrive sans expérience, parfois sans formation et on doit gérer des groupes tout de suite. C’est dangereux ».Une instabilité qui nourrit l’inquiétude des familles. « L’angoisse, c’est de ne jamais savoir qui garde nos enfants. Ça change tout le temps », témoigne Lucie, mère d’un enfant de trois ans scolarisé dans le XIe arrondissement, qui préfère elle aussi taire son patronyme.Le mouvement, qui a perturbé les cantines, pourrait se durcir. « Le préavis court jusqu’au 31 décembre. On ne lâchera rien », prévient l’intersyndicale.

Source LogoLe Parisien
Centrale nucléaire de Penly : les négociations salariales se poursuivent dans un climat social tendu

L’exploitation des deux réacteurs emploie quelque 1 300 personnes. - Photo EDF Mis en ligne le 16/12/2025 à 17:15 Lecture zen Une hausse très en deçà des revendications syndicales et un climat social tendu. Rien ne va plus chez EDF alors que s’ouvrait ce jeudi 16 décembre la troisième réunion de négociations salariales annuelles. C’est dans ce contexte que la CGT Mines Énergies Penly a lancé un appel à la grève et a organisé des distributions de tracts à la sortie de la centrale nucléaire de Penly, lundi et mardi matin.Nicolas Vincent, délégué syndical CGT, résume la situation : « Nous exigeons une juste reconnaissance des agents, la direction doit revenir à la raison, les propositions actuelles doivent être doublées pour que l’investissement des agents soit salué et récompensé. »« Coup de tournevis »Lors de la deuxième journée de négociations salariales, jeudi 4 décembre, la direction du groupe a proposé des mesures d’augmentations individuelles de 1,5 %. Loin des revendications syndicales : 1,9 % pour la CFE-CGC et 2,5 % pour la CGT. « Le pouvoir d’achat des agents recule année après année, dénonce la CGT, et la direction d’EDF remet un coup de tournevis sur les rémunérations des agents. » Pour les syndicats, un salarié qui ne bénéficierait pas de mesures individuelles cette année, perdrait en pouvoir d’achat.Les relations se sont désormais tendues avec la direction, et les syndicats mettent en cause les méthodes du nouveau PDG, Bernard Fontana : « Elles ont entraîné une dégradation du climat social. »« Des salariés sous pression »Dans une lettre ouverte adressée au patron d’EDF, Bernard Fontana, les quatre organisations syndicales représentatives (CFE-CGC, CGT, CFDT, FO) ont souligné : « On ne peut pas assurer un service public de qualité avec des salariés sous pression et sans perspectives », dénonçant un plan d’économies et les propositions d’augmentations formulées par la direction.EDF affichait selon la cour des comptes une dette financière nette de plus de 53 Md€ fin 2024 et envisage désormais un plan d’économies qui passerait par la cession de certains actifs. Par Franck WEBER Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Petit-Caux (Seine-Maritime) Dieppe Centrale nucléaire de Penly : les négociations salariales se poursuivent dans un climat social tendu La CGT Mines Énergies Penly a lancé un appel à la grève à la centrale nucléaire de Penly, mardi 16 décembre 2025, alors qu’une troisième réunion s’ouvrait sur les négociations salariales annuelles chez EDF.

Source LogoParis Normandie
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" Acheteurs, si vous trouvez moins cher ailleurs, l'Ugap s'alignera ! "

Le ministre délégué chargé de la Fonction publique et de la Réforme de l'Etat, David Amiel, a annoncé la mise en oeuvre d'une " alerte prix " d'ici le printemps 2026. Un mécanisme qui doit permettre aux acheteurs d'effectuer un signalement en cas d'écarts de prix observés et un alignement en temps réel des centrales d'achat. Une annonce qui fait mouche mais qui, dans la pratique, laisse les acheteurs sceptiques.

Source LogoLa Gazette des Communes
Le ParisienLe Parisien
Prix exorbitants, supporters excédés... Diallo promet de relayer les préoccupations des fans pour le Mondial
CapitalCapital
Achats publics : le gouvernement lance une «alerte prix» pour traquer les tarifs abusifs
Économie MatinÉconomie Matin
Commande publique : comment l’État gaspille vos impôts
Le TélégrammeLe Télégramme
« Chaque euro gaspillé est intolérable » : le gouvernement annonce une « alerte prix » pour traquer les gaspillages dans les achats publics
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Ils “empruntent” le visage de leurs collègues pour pointer : la combine incroyable pour contourner le pointage biométrique

K-Sélection - Actu K-Pop et K-Drama Ils “empruntent” le visage de leurs collègues pour pointer : la combine incroyable pour contourner le pointage biométrique Des agents publics de la province du Zhejiang, en Chine, se retrouvent au cœur d’un scandale inattendu après avoir été surpris en train de contourner un système de reconnaissance faciale… à l’aide de simples photos imprimées. Selon les médias chinois, plusieurs employés d’un comité de quartier de la ville de Wenzhou ont imprimé des images … Marie K-Sélection - Actu K-Pop et K-Drama Ils “empruntent” le visage de leurs collègues pour pointer : la combine incroyable pour contourner le pointage biométrique

Source LogoK-Sélection
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Le Canada va supprimer 40 000 postes de fonctionnaires d’ici 2029

Si le gouvernement « liberal » (c’est-à-dire de gauche) de Mark Carney a réussi à faire voter il y a un mois un budget de relance de l’économie prévoyant, comme Contrepoints l’a mentionné, de quasiment doubler le déficit pour l’amener à 78,3 milliards de dollars canadiens, soit environ 48 milliards d’euros (Md€), il entend aussi réduire les […] L’article Le Canada va supprimer 40 000 postes de fonctionnaires d’ici 2029 est apparu en premier sur Contrepoints.

Source LogoContrepoints
Une crèche de 16 berceaux à la Cité administrative à Amiens

Destinée aux agents de l’État, la crèche des petits pieds de la vallée est installée au cœur de la Cité administrative. - Bakhti Zouad Destinée aux agents de l’État, la crèche des petits pieds de la vallée est installée au cœur de la Cité administrative. - Bakhti Zouad Destinée aux agents de l’État, la crèche des petits pieds de la vallée est installée au cœur de la Cité administrative. - Bakhti Zouad Destinée aux agents de l’État, la crèche des petits pieds de la vallée est installée au cœur de la Cité administrative. - Bakhti Zouad Mis en ligne le 9/12/2025 à 16:41 Lecture zen Il s’agit seulement de la deuxième structure du genre dans les Hauts-de-France. Après celle de Lille, une crèche a été installée dans un bâtiment de l’État, en l’occurrence la nouvelle Cité administrative qui accueille des centaines d’agents dans le quartier de la gare. L’inauguration de la crèche des petits pieds de la vallée a eu lieu mardi 9 décembre en présence du préfet de la Somme Rollon Mouchel-Blaisot. Une étape importante dans l’amélioration des services proposés aux agents. « C’est vraiment pratique, sourit une agente dont l’enfant est accueillie à la crèche. Lorsque je suis tombée enceinte, je n’imaginais pas que le bébé allait arriver au moment que la livraison de la Cité administrative. C’était inattendu mais tout s’est parfaitement goupillé et aujourd’hui mon fils est très heureux. »La crèche, d’une surface de près de 200 mètres carrés, a été livrée il y a quelques semaines, elle est désormais parfaitement opérationnelle avec 16 berceaux (dont deux réservés aux extérieurs). Elle compte plusieurs espaces : cuisine pour préparer et réchauffer les repas, lingerie, pièce de vie, espace de change, dortoir, toilettes, casiers personnalisés, salle de pause pour le personnel, salle d’allaitement, etc. À terme, un potager sera même créé à l’extérieur. Ici, les enfants, y compris ceux qui sont porteurs de handicap, peuvent être accueillis dès l’âge de deux mois et demi, après les congés maternité de la mère, jusqu’à l’âge d’entrée à l’école maternelle. « Notre projet pédagogique repose beaucoup sur l’autonomie et la valorisation de l’enfant, confie la directrice Marion Pottier dont la structure est sous contrat de concession avec la Ligue de l’enseignement de la Somme jusqu’en 2033. On s’appuie sur un climat sécurisant et bienveillant. On a pour projet des ateliers parents-enfants pour créer du lien. »400 000 euros de la CAFPour Charles Daune, président de la Caisse d’allocations familiales de la Somme, qui a financé le projet à hauteur de 57 % (soit environ 400 000 euros dont 300 000 euros de fonds nationaux), il s’agit d’un « bel équipement qui va faire des envieux ou donner des idées à d’autres. » Conseillère départementale, Sabine Carton a rappelé que le Département avait soutenu le projet à hauteur de 8000 euros destinés à l’achat de mobilier et de matériel éducatif. Projet qui a surtout obtenu l’agrément des services de Protection maternelle et infantile (PMI). « Aujourd’hui, nous voyons éclore bien plus qu’un simple équipement, c’est un lieu de vie, de confiance entre les parents et les personnels, de transmission et d’accompagnement. L’investissement dans la petite enfance n’est jamais une dépense vaine, c’est un pari vers l’avenir », soulignait, à juste titre, l’élue.Le préfet de la Somme a, lui, salué « un investissement extrêmement important » alors qu’il inaugurera, ce mercredi 10 décembre, la Maison des premiers liens dans le quartier Saint-Acheul. « Tout se joue, ou du moins une grande partie, au plus jeune âge », résumait-il. Par Bakhti Zouad Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Amiens Une crèche de 16 berceaux à la Cité administrative à Amiens L’inauguration de la crèche des petits pieds de la vallée a eu lieu mardi 9 décembre à la Cité administrative dans le quartier de la gare. La première du genre en Picardie.

Source LogoParis Normandie
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150 manifestations déjà prévues… Le 2 décembre, la CGT, Solidaires et la FSU appellent à une « journée d’alerte rouge »

Lors d’une conférence de presse ce 27 novembre, la CGT, Solidaires et la FSU ont dénoncé l’enlisement des discussions au parlement sur un « budget qui pénalisera l’ensemble des segments de la société ». 150 manifestations et rassemblements sont déjà prévus, le 2 décembre, pour une journée d’action interprofessionnelle à l’appel des trois centrales.

Source LogoL'Humanité
Perte d'autonomie et grand âge : « Ne pas revaloriser les salaires du secteur, c'est la garantie de faire tomber le système »

Entre revalorisation salariale indispensable et amélioration de la qualité de prise en charge, il reste plusieurs dizaines de milliards d'euros à trouver d'ici 2050 pour financer la perte d'autonomie : le mur financier est tout près désormais, préviennent l'ancienne secrétaire d'Etat Marie-Anne Montchamp et le président du think tank Lisa Stéphane Le Bouler.

Source LogoLes Echos