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Informations et analyses sur l’activité et les mesures du gouvernement français, y compris les politiques et les décisions pertinentes.
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Guinée-Bissau: une délégation sénégalaise demande la libération des prisonniers du coup d'État

Près d'un mois après le coup d'État militaire du 26 novembre 2025 qui a renversé le président Umaro Sissoco Embalo en Guinée-Bissau, la situation politique continue d'évoluer. Attendue ce dimanche 21 décembre à Bissau, la mission des chefs d’état-major de la Cédéao a été refusée par les militaires au pouvoir. À leur place, une délégation ministérielle sénégalaise conduite par Cheikh Niang, ministre des Affaires étrangères, accompagnée par le général Birame Diop, ministre de la Défense, s’est rendue dans la capitale bissau-guinéenne.

Source LogoRFI
France 24France 24
Les manifestations agricoles refluent, hormis dans le Sud-Ouest
20 Minutes20 Minutes
Crise agricole : Moins d’une dizaine de barrages… La mobilisation des agriculteurs en perte de vitesse
Journal de Saône-et-LoireJournal de Saône-et-Loire
Agriculture. Une dizaine de barrages maintenus : les manifestations agricoles refluent, hormis dans le Sud-Ouest
Le Dauphiné LibéréLe Dauphiné Libéré
Agriculture. Une dizaine de barrages maintenus : les manifestations agricoles refluent, hormis dans le Sud-Ouest
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«Frappe le policier» : l'influenceur algérien sous OQTF Mahdi B. refait parler de lui après avoir insulté et menacé la police

Dans une vidéo relayée sur les réseaux sociaux, un influenceur algérien sous OQTF s'est filmé en train d’insulter des policiers et l’État. Face à la violence des propos, le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir signalé sur la plateforme Pharos. Six mois après avoir été condamné, Mahdi B. refait parler de lui. Sur une vidéo relayée sur les réseaux sociaux, cet influenceur algérien sous OQTF a proféré des insultes en arabe à l'encontre des policiers. «Ils lui font des attouchements, c’est un pédé ce policier», a déclaré l’influenceur, alors qu'il filmait un homme en train de se faire fouiller, selon Le Figaro. «Vas-y, frappe le policier, frappe-le avec ta ceinture !», poursuit Mahdi B. avant d'ajouter : «Nique l’État». Suivi par 1,4 million d'abonnés sur le réseau social TikTok, Mahdi B. avait été condamné en janvier 2025 à 8 mois de prison ferme pour apologie du terrorisme. Quelques mois plus ...

Source LogoCNEWS
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Loi de finances pour 2026 : la France doit avoir un «vrai budget» avant la «fin janvier», avertit la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin

Après l’échec de l’adoption d’une loi de finances pour 2026 vendredi, la France doit se doter d’un «vrai budget» avant la «fin janvier», a estimé ce dimanche la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Le gouvernement tire la sonnette d’alarme. Alors que la France ne sera pas en capacité de voter une loi de finances pour 2026 dans les délais impartis par la Constitution, - avant le 31 décembre -, l’exécutif prépare actuellement une loi spéciale pour le début d’année, qui permettra au pays de fonctionner en reconduisant les crédits de l’année précédente. Un «vrai budget» avant la «fin janvier» est néanmoins réclamé par la ministre des Comptes publics, Amélie de Montachalin, qui a prévenu ce dimanche que la «loi spéciale» que prépare le gouvernement n'est qu'un «service minimum», ajoutant que la prochaine loi de finances contiendrait «quelques hausses d'impôts». Des consultations à venir à Matignon Lundi, le Premier ...

Source LogoCNEWS
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Défense : la France aura un nouveau porte-avions

C’est un projet dont on parle depuis plusieurs années, mais il coûte tellement cher que sa réalisation n’avait pas encore été confirmée. C’est chose faite, Emmanuel Macron a annoncé ce dimanche la construction d’un nouveau porte-avions français de nouvelle génération, encore plus imposant que le Charles de Gaulle. Cette annonce est aussi un message, dans le contexte international actuel. Il pourra accueillir 2 000 marins et embarquer 30 avions de combat.

Source LogoTF1 Info
Budget 2026 : la France doit impérativement trouver un compromis avant fin janvier, alerte Amélie de Montchalin

AFP/DIMITAR DILKOFF Mis en ligne le 21/12/2025 à 19:45 Lecture zen Selon Amélie de Montchalin, la « loi spéciale » actuellement préparée par le gouvernement pour éviter le blocage total ne représente qu’un « service minimum ».La ministre des Comptes publics a indiqué sur BFMTV que la future loi de finances intégrerait « quelques hausses d’impôts ». Ce projet devra tout de même être discuté avec les différents partis politiques. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, recevra lundi les principales formations pour lancer cette concertation.Un compromis nécessaire pour avancerDès dimanche, des rencontres ont déjà débuté avec les chefs des groupes parlementaires Renaissance et Horizons, Gabriel Attal et Paul Christophe. L’objectif est de commencer à bâtir un compromis, condition indispensable pour sortir de la crise.« On va dire à chaque acteur politique que pour qu’il y ait un budget, il faut qu’il y ait un compromis, pas un compromis du blabla », a insisté Amélie de Montchalin, invitant chacun à prendre la situation au sérieux.La ministre a également souligné qu’« on ne peut pas dire aux gens que ça va être une année en parenthèses, une année en pause » car des sujets essentiels, tels que le logement, la défense, la lutte contre le narcotrafic ou encore l’agriculture, nécessitent des décisions et des moyens. À lire aussi « Les gens sont moroses, cela se ressent dans les achats de Noël » : ambiance à Compiègne, dans le centre-ville Amélie de Montchalin a mis en garde : « Si nous ne faisons pas ça (...) les Français vont zapper, ils vont passer sur une autre chaîne, la chaîne des extrêmes », a-t-elle averti, pressant les acteurs politiques de trouver une solution rapidement. Par AFP Budget 2026 : la France doit impérativement trouver un compromis avant fin janvier, alerte Amélie de Montchalin Faute d’avoir adopté la loi de finances pour 2026, la France se retrouve dans l’impasse. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a rappelé ce dimanche l’urgence de voter un « vrai budget » d’ici la fin janvier.

Source LogoParis Normandie
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Pour Amélie de Montchalin, la France doit voter son budget d’ici « fin janvier »

La France, actuellement dans l’impasse après l’échec vendredi de l’adoption d’une loi de finances pour 2026, doit se doter d’un « vrai budget » avant « fin janvier », a estimé dimanche la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin.« Pour qu’il y ait un budget il faut qu’il y ait un compromis » a rappelé la ministre, citant l’exemple du budget de la sécurité sociale, adopté à 13 voix près le 9 décembre dernier. « Il faut que chacun considère que le moment qui est là, ce n’est pas le tract de je ne sais quel candidat à la présidentielle », a-t-elle poursuivi.« On a la responsabilité de ne pas nous contenter d’un service minimum ». La « loi spéciale » que prépare le gouvernement pour pallier cette absence de budget n’est qu’un « service minimum », a déclaré la ministre sur BFMTV, ajoutant que la prochaine loi de finances contiendrait « quelques hausses d’impôts ».La loi spéciale suspend plusieurs mesures, dont le dispositif MaPrimeRenov, stoppé au 1er janvier.L’opposition reçue lundi à MatignonLundi, le Premier ministre Sébastien Lecornu doit recevoir les principaux responsables politiques pour les consulter. Ces concertations ont commencé dès dimanche, avec les chefs des groupes parlementaires Renaissance et Horizons, Gabriel Attal et Paul Christophe.« On ne peut pas dire aux gens que ça va être une année en parenthèses, une année en pause » car « les enjeux de logement, les enjeux de défense, les enjeux de narcotrafic, les enjeux agricoles nécessitent qu’on ait une action », a ajouté la ministre.« Si nous ne faisons pas ça (…) les Français vont zapper, ils vont passer sur une autre chaîne, la chaîne des extrêmes », a-t-elle prévenu.

Source LogoLe Parisien
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Municipales 2026 à Paris : Sarah Knafo pourrait être candidate, avec pour objectif « que la gauche perde la ville »

L’eurodéputée Reconquête pourrait-elle se présenter à la mairie de Paris ? « Je réfléchis, j’étudie les programmes des différents candidats, a indiqué la principale intéressée sur le plateau de BFMTV ce dimanche. Pour autant, Sarah Knafo, qui s’est dite « prête à y aller », a expliqué ne pas avoir encore pris sa décision. « Je verrai si je considère que les Parisiens ont déjà le candidat qu’ils méritent », a-t-elle ajouté en restant encore vague sur cette éventualité.Cette semaine, socialistes, communistes et écologistes se sont unis derrière la liste d’Emmanuel Grégoire. Une union qui pourrait permettre à la gauche d’arriver en tête au premier tour selon notre sondage Ipsos-BVA pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, publié le 13 décembre, avec 32 % des voix. À droite, Rachida Dati (LR-UDI-Modem) arriverait juste derrière réunissant 27 % des suffrages.Alors, une candidature de Sarah Knafo ne pourrait-elle pas davantage diviser la droite ? « Je ne serais jamais là pour faire perdre la droite mais au contraire pour la faire gagner », a fait savoir l’eurodéputée. « Mon objectif c’est que la gauche perde la ville ».Union des droites ?Sarah Knafo, qui appelle régulièrement à l’union des droites, a dit dimanche jalouser que « la gauche arrive toujours à s’allier ». Cependant, dans le contexte des municipales, l’élue a nié appeler « Rachida Dati à faire une alliance » a-t-elle précisé.En vue des présidentielles, l’élue Reconquête s’est redite être favorable à une union. « Je pense qu’il faudra pour redresser le pays qu’on arrive à tous se mettre ensemble », a-t-elle martelé. « Toute la droite gagnerait à une primaire », estime Sarah Knafo. Ce scrutin pourrait d’après elle « remettre le projecteur sur les idées de la droite ».D’après le sondage Ipsos pour Le Parisien sur les municipales à Paris, Sarah Knafo n’arriverait au premier tour qu’en cinquième position ex æquo avec Thierry Mariani (RN), réunissant 7 % des suffrages. Elle est notamment devancée par l’insoumise Sophia Chikirou (13 %), le candidat Renaissances-Horizons Pierre-Yves Bournazel (14 %), tous loin derrière Rachida Dati et Emmanuel Grégoire.

Source LogoLe Parisien
Édito. Y aura-t-il un budget de la France pour Noël ?

Sébastien Lecornu parviendra-t-il à sortir de l’impasse budgétaire dans laquelle est plongé le pays ? - AFP Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:36 Lecture zen Difficile de savoir si Sébastien Lecornu sera sensible aux sirènes des Républicains qui lui réclament de revenir sur sa promesse de ne pas utiliser le 49.3, cette disposition tant controversée qui permet pourtant de faire passer un texte sans vote. Difficile aussi de savoir si le Premier ministre, dans ses songes enfantins, aurait pu adresser au vieux monsieur à barbe blanche et costume rouge une lettre lui demandant de lui apporter un budget pour Noël !Le locataire de Matignon se retrouve aujourd’hui dans une situation inextricable, ou presque. Et il devra sans doute user de toute sa ruse de vieux loup de la politique – malgré son jeune âge – pour faire adopter ce qui paraît aujourd’hui impossible, en l’occurrence la loi de finances sur laquelle sénateurs et députés, réunis vendredi en Commission mixte paritaire, ne sont pas parvenus à se mettre d’accord. Du coup, le texte retombe dans les mains du gouvernement qui va probablement sortir de sa poche la carte de la loi spéciale. Elle permettra ainsi à la France d’éviter l’équivalent du « shutdown » américain, à savoir l’impossibilité de lever l’impôt et de payer les fonctionnaires.C’est donc à marche forcée que le Premier ministre a commencé à réunir les responsables politiques pour tenter de trouver le trou de souris qui fera émerger une solution. Laquelle, au fond, ne sera qu’une demi-solution. Déjà utilisée l’an dernier après la chute du gouvernement Barnier renversé par une motion de censure, la loi spéciale n’est en effet qu’une sorte de pis-aller sur le court terme pour régler les affaires courantes.À un moment donné, il faudra pourtant que la France soit dotée d’un budget lisible et compréhensible par l’ensemble des Français. D’autant plus qu’il s’agit du dernier exercice du genre en année pleine avant l’élection présidentielle. Autant dire que les enjeux sont financiers, politiques. Mais aussi capitaux pour le quotidien des Français. Ce qui ne devrait pas échapper aux faiseurs de loi. Par Stéphane SIRET Édito. Y aura-t-il un budget de la France pour Noël ? La France n’a toujours pas son budget pour l’année prochaine ! Sébastien Lecornu pourrait avoir recours à une loi spéciale, une solution certes, mais seulement à court terme pour les Français.

Source LogoParis Normandie
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Emmanuel Macron confirme le lancement de la construction d’un porte-avions de nouvelle génération

En déplacement auprès des forces armées françaises stationnées aux Émirats arabes unis, dimanche 21 décembre, Emmanuel Macron a confirmé le lancement officiel du futur porte-avions de nouvelle génération (PA-NG), destiné... L’article Emmanuel Macron confirme le lancement de la construction d’un porte-avions de nouvelle génération est apparu en premier sur Valeurs actuelles.

Source LogoValeurs Actuelles
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« Il joue la montre depuis des semaines » : le budget met la méthode Lecornu à rude épreuve

En revenant, ce lundi 22 décembre, de son Noël auprès des forces militaires françaises déployées près d’Abou Dhabi (Émirats arabes unis), Emmanuel Macron ne perdra pas une minute. Sitôt débarqué à Orly de son A 330 présidentiel, vers 17 heures, le chef de l’État rejoindra sirènes hurlantes le palais de l’Élysée où l’attendra Sébastien Lecornu. Un tête-à-tête sous haute tension avec le chef du gouvernement, et avant un Conseil des ministres programmé dans la foulée à 19h30, où sera présentée la loi spéciale consécutive à l’échec des discussions sur le projet de loi de finances (PLF) 2026.Trois petits articles pour permettre de lever les impôts, de payer les fonctionnaires et d’emprunter sur les marchés. Rien de plus. Ils seront soumis au vote, et adoptés au nom de la stabilité, mardi à l’Assemblée et au Sénat.

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Municipales 2026 à Paris : Glucksmann, soutien de Grégoire, dénonce « le trumpisme » de ses adversaires

Côte à côte, Emmanuel Grégoire, candidat PS à la mairie de Paris, et l’eurodéputé Raphaël Glucksmann ont bravé la pluie ce dimanche lors d’une déambulation dans le Ve arrondissement de Paris.Raphaël Glucksmann, dont le parti Place publique participe à la coalition de gauche menée par Emmanuel Grégoire, a alors estimé que l’enjeu de la campagne des municipales dans la capitale sera « le choix entre le progrès et le trumpisme conservateur ».Il a également dénoncé chez ses adversaires « un rapport à la politique qui est fait de violence, de brutalité ».« Un choc des projets »« Ce rapport-là, on le rejette. La démocratie est en train de s’abîmer par des discours extrêmement durs et des attaques très violentes en permanence : ce n’est pas notre manière de faire de la politique et on va l’assumer », a poursuivi celui dont la liste aux élections européennes était arrivée à la troisième place en 2024.« On nous expliquera qu’à l’heure des réseaux sociaux, ce qu’il faut, c’est faire du Trump. Eh ben non. En fait, on va montrer qu’il y a autre chose dans la vie politique et que cette autre chose peut gagner », a encore insisté Raphaël Glucksmann.Emmanuel Grégoire a pour sa part estimé que la campagne serait « un choc de projets » face à la candidature de Rachida Dati, maire du VIIe arrondissement et candidate malheureuse à la mairie centrale en 2020, soutenue par Les Républicains et le MoDem.Après la conclusion cette semaine d’un accord dès le premier tour avec le PCF, Place publique et, surtout, les Écologistes - ces derniers faisaient traditionnellement cavalier seul aux municipales à Paris avant le second tour -, Emmanuel Grégoire a défendu « le choix du rassemblement (pour) créer une dynamique d’union à gauche et (…) porter un projet qui soit très innovant ».« Ce n’est pas faire fi de ses singularités et parfois des différences », a-t-il assuré, reconnaissant avoir « parfois des désaccords » avec les autres formations de gauche et les « assumant ».

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Accord UE-Mercosur : Lula en appelle au "courage" des dirigeants européens
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Accord avec le Mercosur : Lula en appelle au "courage politique" des dirigeants de l'UE
20 Minutes20 Minutes
Crise agricole : Lula mise sur une France isolée ne pouvant empêcher l’accord UE-Mercosur
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Mercosur/Europe : un accord gagnant-perdant ? - 20/12
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Municipales 2026 : François Rio, maire de Saint-Jean-de-Védas, décède brutalement à l’âge de 42 ans

Un décès soudain. François Rio, le maire de Saint-Jean-de-Védas (Hérault) depuis 2020, est décédé, ce samedi à l’âge de 42 ans, dans un accident domestique, a fait savoir la commune dans un message publié sur Facebook.« Cette nouvelle me bouleverse littéralement. Je connaissais François depuis 30 ans car nous avions milité ensemble au Mouvement des jeunes socialistes », a écrit le maire de Montpellier, Michaël Delafosse, sur Facebook. Le matin même, les deux hommes étaient « ensemble pour démarrer la journée inaugurale de la ligne 5 de tramway que nous attendions tous depuis si longtemps », a-t-il précisé.Un hommage rendu prochainementSelon nos confrères du média local Métropolitain, François Rio est décédé au cours d’un repas samedi soir. L’élu aurait été victime d’une fausse route ayant entraîné un arrêt cardiorespiratoire et une asphyxie. Malgré l’intervention des secours, il n’a pas pu être réanimé.Élu maire de Saint-Jean-de-Védas en 2020, François Rio avait décidé de se représenter aux prochaines élections municipales, prévues en mars 2026. Selon le maire de Montpellier, Michaël Delafosse, François Rio « s’était investi totalement dans son mandat ». « Il voulait agir pour ses concitoyens, améliorer leur vie et l’avenir de sa commune, l’une des plus importantes de la Métropole », a-t-il ajouté.L’élu était également très actif dans la présidence de la Mission locale intercommunale. « Offrir aux jeunes une chance de réussir leur insertion professionnelle et donc leur vie faisait partie des convictions fortes qu’il portait, sans doute renforcées par son propre parcours », a poursuivi Michaël Delafosse.« Monsieur le maire a œuvré avec engagement et dévouement au service de la commune et de ses habitants. La Ville s’associe à la peine de toutes celles et ceux qui lui rendent aujourd’hui hommage », a réagi la mairie sur Facebook, adressant « ses plus sincères condoléances à sa famille, à ses proches et à l’ensemble des agents et administrés ». Un hommage lui sera rendu prochainement, précise la mairie.

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Vladimir Poutine est « prêt au dialogue avec Macron », selon le porte-parole du Kremlin

Vont-ils reprendre attache ? Le président russe Vladimir Poutine est « prêt au dialogue » avec son homologue français Emmanuel Macron, a déclaré dans la nuit de samedi à dimanche le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à l’agence russe RIA Novosti.« Il (Emmanuel Macron) a dit qu’il était prêt à parler avec Poutine. Il est probablement très important de rappeler ce que le président a dit lors de Ligne directe (sa grande conférence de presse annuelle vendredi). Il a également exprimé le fait qu’il était prêt à engager le dialogue avec Macron », a expliqué Dmitri Peskov.Le porte-parole de la présidence russe faisait référence à une déclaration d’Emmanuel Macron vendredi matin à Bruxelles, à l’issue d’un sommet où l’Union européenne a trouvé un accord pour débloquer un prêt de 90 milliards d’euros pour soutenir l’Ukraine.« Je pense qu’il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine », avait dit le président français devant la presse.Une discussion « en bonne et due forme »« Je constate qu’il y a des gens qui parlent à Vladimir Poutine », avait-il ajouté, en allusion au président américain Donald Trump, qui a renoué le dialogue avec son homologue russe. Et de poursuivre : « Donc je pense que nous, Européens et Ukrainiens, on a intérêt à trouver le cadre pour réengager cette discussion en bonne et due forme. Sinon, on discute entre nous avec des négociateurs qui vont seuls discuter avec les Russes, ce qui n’est pas optimal ».De fait, des émissaires de Donald Trump mènent une série de pourparlers séparés, avec Moscou d’une part, et avec les Ukrainiens et les Européens d’autre part, dans l’espoir d’aboutir à un accord sur le conflit en Ukraine.Des négociateurs ukrainiens, européens et américains se trouvent ce week-end à Miami, en Floride, pour ces discussions menées par Steve Witkoff, l’envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le gendre du président des États-Unis. L’émissaire russe Kirill Dmitriev est également à Miami depuis samedi.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé samedi Washington à accentuer la pression sur Moscou, en vue d’un accord pour mettre fin au conflit déclenché par l’offensive russe de février 2022.

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Un responsable américain estime que Paris empêche Airbus de livrer des informations sur ses activités en Chine

Le gouvernement français empêche de faire la lumière sur les activités de l’avionneur Airbus en Chine qui pourraient profiter à l’armée chinoise, a affirmé un élu républicain au Congrès américain.Aux États-Unis, au sein de la Chambre des représentants, une commission est chargée depuis 2023 d’enquêter sur le Parti communiste chinois (PCC) au pouvoir et de contrer les activités qui pourraient selon elle représenter une « menace » pour les États-Unis, notamment sur les plans économique, technologique ou militaire.Paris a « explicitement empêché Airbus de répondre aux questions »Son président, le républicain John Moolenaar, a écrit vendredi au ministre américain de la Défense, Pete Hegseth.Dans son courrier, il affirme que « le gouvernement français empêche de fait la commission d’obtenir des informations élémentaires sur les activités d’Airbus en Chine ». Or, ajoute-t-il, « Airbus joue un rôle important dans le complexe industriel militaire américain ».Pour lui, Washington « devrait mettre en place des politiques visant à garantir que ses principaux sous-traitants ne contribuent pas, directement ou indirectement, à renforcer » les capacités militaires chinoises.John Moolenaar explique que la commission a écrit le 14 août à Airbus pour en savoir plus sur ses liens avec des entreprises chinoises.L’avionneur européen « semblait disposé à coopérer avec l’enquête de la commission mais malheureusement le gouvernement français contrôle ce qui peut être divulgué aux gouvernements étrangers », poursuit-il dans sa lettre au ministre.Paris a « explicitement empêché Airbus de répondre aux questions » portant sur ses activités en Chine, insiste-t-il.Airbus échange avec la commission parlementaire américaineSollicité samedi par l’AFP, Airbus a indiqué qu’il échangeait « depuis plusieurs mois » avec la commission parlementaire américaine « afin d’expliquer la nature mondiale de notre industrie, et d’affirmer notre strict respect de toutes les réglementations européennes et américaines en vigueur ».Également contactées, les autorités françaises n’ont pas donné suite.

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