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jeudi, novembre 6

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Informations et analyses sur l’activité et les mesures du gouvernement français, y compris les politiques et les décisions pertinentes.
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Édito. Corréler la suppression du nombre d’enseignants à la baisse démographique, un calcul à court terme ?

La baisse démographique questionne à l’heure de trouver ses pistes d’économies en France. Le débat est ouvert à l’Assemblée nationale sur le nombre d’enseignants à conserver dans l’Éducation nationale. - Stéphanie Clément Peron Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:35 Lecture zen Le contexte budgétaire français oblige à être réaliste devant la dette publique. Pour autant tout n’est pas mathématique. La possible suppression de 4 000 à 8 000 postes d’enseignants relève d’un choix fondamentalement politique. Les chiffres ? Un million d’élèves en moins entre 2019 et 2029, et un peu plus de 850 000 enseignants, public et privé confondus.La baisse démographique est historique. Comment l’Éducation nationale doit-elle s’adapter ? À l’Assemblée nationale, à l’heure des débats budgétaires, les parlementaires y voient tous une opportunité. Mais pas la même. Aïe ! Les uns se disent que l’État doit revoir le nombre d’enseignants à la baisse pour le mettre en adéquation avec le nombre d’élèves. Depuis 2021 déjà, le nombre d’enseignants diminue. Faut-il aller plus loin et tailler dans les effectifs ? Consultez l’actualité en vidéo À lire aussi « Il n’y a pas de petit harcèlement » : le ministre de l’Éducation nationale mobilisé au collège de Barentin Deux visions politiques de gérer les effectifs de l’Éducation nationaleOui pour ceux qui veulent réaliser des économies. Tout de suite. Selon une étude de l’Institut des politiques publiques, parue le 30 juin 2025, corréler la baisse du nombre de postes d’enseignants à la baisse démographique permettrait d’économiser 3,4 milliards d’euros par an. De quoi faire sérieusement réfléchir.Les parlementaires qui se servent autrement de leur calculatrice pensent que c’est une fausse bonne idée. Ils y voient une autre opportunité : relever le niveau scolaire des Français et assurer l’avenir des générations futures. Classement PISA après classement PISA, la France reste en milieu de tableau. Que dire de l’apprentissage des langues étrangères ! À lire aussi Un « deal fiscal » : Édouard Philippe propose une baisse massive des impôts de production aux entreprises Édouard Geffray, le nouveau ministre de l’Éducation nationale, veut adopter une voie médiane. Supprimer des postes mais moitié moins que l’exigerait la baisse démographique. Diminuer le nombre d’élèves par classe permet de mieux les accompagner, donc de faciliter les apprentissages. La société de demain se construit aujourd’hui. Le calcul est plus subtil qu’il n’y paraît. Les prises de position politique le sont aussi. Par Audrey Rohrbach-Minette Édito. Corréler la suppression du nombre d’enseignants à la baisse démographique, un calcul à court terme ? Députés et sénateurs ne sont pas alignés sur l’effectif nécessaire dans l’Éducation nationale alors qu’une baisse démographique s’installe durablement.

Source LogoParis Normandie
Sud OuestSud Ouest
SONDAGE. La cote de confiance d’Emmanuel Macron remonte un peu mais reste très faible
TF1 InfoTF1 Info
10 ans du 13-Novembre : Emmanuel Macron ira sur chaque lieu d'attentat avant d'inaugurer le jardin mémoriel
Le Berry RépublicainLe Berry Républicain
Dix ans du 13-Novembre : Emmanuel Macron ira sur chaque lieu d'attentat avant d'inaugurer le jardin mémoriel
Ouest FranceOuest France
Dix ans du 13-Novembre : Emmanuel Macron se recueillera sur chaque lieu d’attentat avant d’inaugurer le jardin mémoriel
coverageCouverture complète
Le MondeLe Monde
Shein : le gouvernement veut contrôler 100 % des colis issus de la plateforme à Roissy-CDG
Radio FranceRadio France
Shein : à l'aéroport Roissy, vaste opération de contrôle des tous les colis émanant de la plateforme asiatique
Fashion Network FranceFashion Network France
Shein: opération de contrôle de 100% des colis issus de la plateforme à Roissy-CDG
CCMCCM
Si vous avez commandé Shein, vous n'êtes pas près de recevoir vos colis
coverageCouverture complète
Pourquoi la ministre en charge du handicap était-elle en visite chez les Bobos à la ferme ce jeudi après-midi ?

On ne présente plus les Bobos à la ferme et le travail extraordinaire qu’ils mènent, depuis La Madelaine-sous-Montreuil, pour accompagner les personnes en situation de handicap et leurs proches aidants. Ce jeudi, ils ont reçu la ministre déléguée chargée des Personnes handicapées, Charlotte Parmentier-Lecocq. Une visite cruciale pour l’avenir de ce projet unique en son genre. Explications.

Source LogoLa voix du Nord
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Enfance : la Métropole de Lyon lance un service d'accompagnement pour les tiers dignes de confiance

Afin de garantir le bien-être des enfants qui ne peuvent plus vivre dans leur foyer et celui des proches qui choisissent de les héberger, la Métropole de Lyon a récemment déployé un service dédié à l’accompagnement de ces tiers accueillants. Sa mise en œuvre a été confiée début septembre à l’association Aurore, dont l’objectif est […] L’article Enfance : la Métropole de Lyon lance un service d'accompagnement pour les tiers dignes de confiance est apparu en premier sur Lyon Capitale.

Source LogoLyon Capitale
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Des Assises inédites sur l’avenir de l’eau dans les Pyrénées-Atlantiques

Avec près de 18 000 kilomètres de rivières et 34 kilomètres de littoral, le département des Pyrénées-Atlantiques bénéficie d’une ressource en eau exceptionnelle mais qui subit le dérèglement climatique. Sécheresses, inondations, partage de l’eau… sont ainsi autant « de défis qui exigent une mobilisation collective et des solutions durables », selon Jean-Marie Girier, le préfet des Pyrénées-Atlantiques, à […]

Source LogoLa Vie Economique
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Assises de la mer. Des politiques tentés par des accords transpartisans sur le maritime aux assises

Taxe au tonnage, fléchage des recettes de la taxe carbone vers le shipping, place des énergies marines renouvelables dans le mix énergétique français. Les représentants des cinq partis ayant répondu à l’invitation pour exposer leurs positions aux assises de l’économie de la mer n’ont pas caché leurs divergences mais estiment que des accords transpartisans sont possibles au vu sur l’importance de l’économie maritime.

Source LogoLe Marin
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Tickets-restaurant, chèques-vacances... : les députés votent contre la taxe prévue par le gouvernement

Par Raphaël Marchal , le Jeudi 6 novembre 2025 à 15:00 L'Assemblée nationale a rejeté, ce jeudi 6 novembre, la taxe de 8 % sur les titres-restaurant, chèques-vacances, ou encore les chèques-cadeaux, qui était prévue dans le projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026. De manière unanime, les députés ont jugé que cette mesure allait nuire aux pouvoirs d'achat des salariés. Les députés se sont opposés à la taxe sur les tickets-restaurant, les chèques-vacances, et les chèques-cadeaux, prévue par le gouvernement dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026 (PLFSS). Ce jeudi 6 novembre, l'Assemblée nationale a voté un amendement retirant du texte cette contribution patronale fixée à 8 % et censée rapporter 1 milliard d'euros. Ces compléments de salaires "bénéficient aujourd'hui de régimes sociaux très avantageux", via des exonérations de cotisations, soulignait le gouvernement pour justifier la mesure, tout en plaidant pour "limiter les effets de substitution entre salaires et compléments exonérés". Tweet URL "Arrêtons avec cette folie fiscale. (...) Si vous voulez trouver des moyens de financement, préférons à cela des réformes", a protesté Prisca Thévenot (Ensemble pour la République). Ironisant sur les "Mozart du pouvoir d'achat", Sandrine Runel (Socialistes) a mis en garde contre une mesure qui "aurait comme effet de réduire le pouvoir d'achat de millions de travailleurs". "C'est une triple peine, pour les entreprises, pour les salariés, et pour la France qui travaille", s'est exclamé Frédéric Weber (Rassemblement national). Tweet URL Malgré le consensus pour supprimer la taxe du budget de la Sécu, les députés n'ont pas purement et simplement supprimé l'article 8, car il contenait une autre mesure. A savoir, l'augmentation du taux de contribution portant sur les indemnités de rupture conventionnelle et de départ à la retraite anticipée. "Il ne faut pas supprimer cette partie-là, c'est important", a plaidé le rapporteur général, Thibault Bazin (Droite républicaine), tempérant les ardeurs des élus qui souhaitaient une suppression en bloc. Tweet URL In fine, l'Assemblée nationale a adopté un amendement de réécriture de l'article 8, proposé par Jérôme Guedj (Socialistes). Exit la taxe sur les titres-restaurant, etc. ; subsiste uniquement la hausse de 30 à 40 % de la contribution patronales sur les indemnités de rupture conventionnelle et départ à la retraite anticipée. "D'une idée généreuse, on finit par la transformer en quelque chose de beaucoup plus discutable", a commenté le ministre du Travail et des Solidarités, Jean-Pierre Farrandou, pour expliquer la partie de l'article qui a été maintenue. "Les ruptures conventionnelles pèsent maintenant un quart des indemnités chômage. Il y a un sujet. (...) Les partenaires sociaux sont d'accord pour le regarder." Pour être prise en compte, la suppression de la taxation sur les titres-restaurant, les chèques-vacances et les chèques-cadeaux devra figurer dans la copie finale du budget de la Sécurité sociale. Pour l'heure, l'Assemblée nationale poursuit l'examen du texte présenté par le gouvernement.  Lire l'article complet sur LCP.fr

Source LogoLCP - Assemblée Nationale
Près de Mantes-la-Jolie, Normandie et Île-de-France unissent leurs forces pour l’avenir du rail

Au cœur des discussions : la continuité des dessertes TER, l’avenir du projet de ligne Paris-Normandie et le développement du fret ferroviaire. - Photo d’illustration Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:54 Lecture zen Autour de Pierre Bédier, président du Département des Yvelines, et de Patrick Stefanini, conseiller départemental du canton, se sont réunis Hervé Morin, président de la Région Normandie, Florence Portelli, première vice-présidente de la Région Île-de-France, Jean-Baptiste Gastinne, vice-président normand en charge des transports, ainsi que plusieurs maires du Mantois.Des avancées pour la mobilité dans la Vallée de la SeineLes échanges ont permis de confirmer plusieurs engagements essentiels. Première annonce majeure : le maintien des dessertes TER normandes à Mantes-la-Jolie, Bonnières-sur-Seine, Rosny-sur-Seine et Bréval, même après la mise en service du RER E (Eole) à l’horizon 2030. Les deux Régions ont également ouvert la voie à une augmentation de l’offre de trains normands, financée pour la partie francilienne par Île-de-France Mobilités. À lire aussi Ligne nouvelle Paris Normandie : entre les Régions Normandie et Île-de-France, le dialogue est renoué Autre dossier relancé : le projet de Ligne Nouvelle Paris-Normandie (LNPN), qui fera l’objet d’études révisées, avec un tracé repensé et un impact environnemental limité. Enfin, les deux collectivités exigeront de l’État la poursuite d’études sur un contournement fret ferroviaire de l’Île-de-France, inscrit au Contrat de Plan Interrégional État-Région Vallée de la Seine (CPIER). Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Mantes-la-Jolie (Yvelines) Près de Mantes-la-Jolie, Normandie et Île-de-France unissent leurs forces pour l’avenir du rail Mercredi 5 novembre 2025, une réunion de travail interrégionale s’est tenue à Bonnières-sur-Seine (Yvelines) entre les représentants des Régions Normandie et Île-de-France. Au cœur des discussions : la continuité des dessertes TER, l’avenir du projet de ligne Paris-Normandie et le développement du fret ferroviaire.

Source LogoParis Normandie
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L’émergence d’une « République de projets » : la réponse des territoires à la crise de l’action publique

Alors que l’action publique nationale s’enlise dans des dispositifs trop centralisés et souvent déconnectés du réel, une autre France se met en mouvement. Discrète, inventive, profondément ancrée sur le terrain, elle réinvente l’action collective et reprend la main sur son avenir. Dans sa nouvelle note Territoires : le défi du dernier kilomètre, Olivier Lluansi montre comment ➜ Lire la suite de l’article L’émergence d’une « République de projets » : la réponse des territoires à la crise de l’action publique dans UP' Magazine.

Source LogoUP' Magazine
« Notre Constitution a été conçue pour éviter l’effondrement de l’État, pas pour l’installation d’un pouvoir autoritaire durable »

Le professeur de droit public Benjamin Morel met en garde contre les failles de la Cinquième République, particulièrement explosives en période de crise politique et de poussée autoritaire. Gouvernement démissionnaire, article 16, article 11 : il détaille les points de fragilités… et les pistes pour y remédier. Regards. Vous passez souvent pour un défenseur de…

Source LogoRegards
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Budget de la Sécu: adoption surprise d'un amendement supprimant la C3S, manque à gagner évalué à 5 milliards

Par Maxence Kagni , le Jeudi 6 novembre 2025 à 14:15 Dans le cadre de l'examen du projet de budget de la Sécurité sociale, les députés ont adopté un amendement qui supprime la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S). Un vote inattendu qui représente une perte de recettes de 5,4 milliards d'euros. "Compte tenu de la confusion sur la portée de l'amendement", le président de la commission des affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), a demandé une "seconde délibération",Il s'agissait, selon son propre auteur, d'un "amendement d'appel qui n'a[vait] pas vocation à être adopté" et ce pour "des raisons budgétaires évidentes". L'Assemblée nationale a voté par surprise, ce jeudi 6 novembre, un amendement de Charles Sitzenstuhl (Ensemble pour la République), présenté dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale 2026, qui supprime la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S). La C3S est une contribution patronale qui touche les entreprises qui réalisent un chiffre d'affaires hors taxes d'au moins 19 millions d'euros. Son taux est de 0,16% du chiffre d'affaires. Sa suppression entrainerait une perte de recettes de 5,4 milliards d'euros pour la branche vieillesse, selon le rapporteur général du budget de la Sécurité sociale, Thibault Bazin (Droite républicaine). Face à la portée de l'amendement et au trouble provoqué par cette adoption, le président de la commission des affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), a demandé une nouvelle délibération - c'est-à-dire un nouveau vote sur cet amendement, comme le permet le règlement de l'Assemblée nationale - à l'issue de l'examen de la partie "recettes" du projet de budget de la Sécurité sociale. Tweet URL Un amendement d'appel retiré, mais repris à la volée En présentant son amendement, Charles Sitzenstuhl ne voulait pas vraiment supprimer la C3S, ou "en tout cas pas cette année". L'élu du parti présidentiel souhaitait avant tout "que figure dans ce débat le sujet des impôts de production". "On est tous très nombreux à dire qu'il y a un problème majeur en France avec les impôts de production", a acquiescé le ministre chargé de la Fonction publique et de la Réforme de l'Etat, David Amiel, qui a également "remercié" le député du Bas-Rhin d'avoir engagé le débat par son amendement. Mais le ministre a aussi rappelé que le gouvernement optait plutôt pour une baisse de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et a demandé au député de retirer sa proposition. Ce qu'a fait Charles Sitzenstuhl. Sauf que l'amendement a été "repris" à la volée par un autre député, ce qui a provoqué un vote.  L'amendement a finalement été adopté (117 pour, 113 contre, 10 abstentions) essentiellement grâce aux voix des élus du Rassemblement national (détail du scrutin à consulter ici), qui ont longuement applaudi le résultat. Dix députés de l'ex-majorité présidentielle ont, en outre, indiqué avoir commis une erreur lors du vote en se prononçant "pour" l'amendement, alors qu'ils voulaient voter "contre".  Un amendement à "cinq milliards" d'euros A l'issue de scrutin, Sandrine Rousseau (Ecologiste et Social) a interpellé le gouvernement afin de savoir combien la suppression de la C3S allait faire perdre de recettes au budget de la sécurité sociale. "C'est un amendement à cinq milliards", lui a répondu la ministre de la Santé, Stéphanie Rist, ajoutant : "Avec cet amendement, nous entrons dans une difficulté pour accompagner la trajectoire qui doit nous amener à un compromis." "Heureusement qu'on en est qu'à la première lecture et qu'il y en a trois", a rappelé le raporteur général, Thibault Bazin (DR), qui estime que les députés "sont en train de déraper totalement". Selon lui, l'Assemblée nationale devra "corriger le tir parce que si on déséquilibre trop la branche vieillesse, ceux qui en paieront le prix ce sont nos retraités".  Comme annoncé par le président de la commission des affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), les députés auront l'occasion de revenir sur l'adoption de cet amendement lors d'une seconde délibération.  Lire l'article complet sur LCP.fr

Source LogoLCP - Assemblée Nationale
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« Je ne serai pas le Premier ministre qui fera une passation avec Jordan Bardella », assure Sébastien Lecornu aux sénateurs

Paris - «Je ne serai pas le Premier ministre qui fera une passation de pouvoir avec Jordan Bardella», a assuré Sébastien Lecornu aux sénateurs, les avertissant qu’une censure vaudrait dissolution, ont indiqué jeudi à l’AFP plusieurs participants à une réunion à la chambre haute. Le Premier ministre s’est rendu mercredi soir à la conférence des présidents du Sénat, une réunion des présidents de groupes et de commissions censée définir l’ordre du jour parlementaire. Le chef du gouvernement y a longuement pris la parole, selon plusieurs participants, pour défendre sa vision et appeler le Sénat à la «responsabilité» en vue des débats budgétaires, selon l’un d’eux. «Censure ou pas de vote sur le budget vaudra démission, et cela vaudra dissolution», a-t-il notamment prévenu, rapporte un participant à cette réunion, évoquant la «gravité» avec laquelle M. Lecornu s’est exprimé. «Je ne serai pas le Premier ministre qui fera une passation de pouvoir avec Jordan Bardella», a-t-il également insisté, affirment plusieurs témoins, confirmant une information de Public Sénat. «Il n’y a pas de deal avec le Parti socialiste», a-t-il également répété selon les mêmes sources. Avant d’assurer: «Je ne veux pas de 49.3, je ne veux pas d’ordonnances» pour faire adopter le budget, des hypothèses relayées autant que dénoncées ces dernières semaines par de nombreux responsables politiques. Cette visite de courtoisie à l’invitation du président du Sénat Gérard Larcher intervient alors que des tensions règnent entre l’exécutif et la majorité sénatoriale, une alliance droite-centristes qui se plaint depuis plusieurs semaines du manque de transparence du gouvernement, de son absence de «cap» sur le budget et des concessions faites au Parti socialiste. «Il a dit son attachement au bicamérisme», rapporte un participant. «Comme il n’y a pas d’Insoumis et de RN autour de la table au Sénat, il a insisté sur le fait qu’on était tous des républicains et des démocrates et qu’on n'était pas là pour détruire», explique-t-il. © Agence France-Presse

Source Logol'Opinion
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« T’en crèves deux-trois, ça calme les autres » : après les vidéos qui révèlent l’attitude des gendarmes à Sainte-Soline, le ministre de l’Intérieur cherche la parade et minimise

Libération et Mediapart ont eu accès à des dizaines d’heures d’images captées le 25 mars 2023 par les caméras-piétons que portaient les forces de gendarmerie, mobilisées en nombre (plus de 3 000), à Sainte-Soline lors de la mobilisation contre les mégabassines. Après leurs révélations, le ministre de l’intérieur, Laurent Nuñez, « a demandé au directeur général de la gendarmerie nationale d’ouvrir une enquête administrative » tout en minimisant les faits et en refusant de parler de violences policières ce jeudi matin sur France inter. Face à l’enquête toujours en cours de l’IGGN, les blessés réclament eux l’ouverture d’une information judiciaire.

Source LogoL'Humanité
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Budget : les socialistes obtiennent une victoire sur la CSG sur les revenus du capital à l'Assemblée

Paris - Les socialistes ont remporté une victoire mercredi soir dans les débats budgétaires avec l’adoption à l’Assemblée nationale de l’une de leurs propositions phares: une hausse de la CSG sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites. Un premier vote défavorable sur une mesure similaire plus tôt dans la soirée avait révélé des tensions à gauche, mais les socialistes ont finalement réussi à rassembler autour de la mesure. Le groupe du parti à la rose n’a pas censuré le gouvernement de Sébastien Lecornu pour tenter de décrocher des victoires budgétaires, et en premier lieu la suspension de la réforme des retraites. Mais reste la question du financement alors que le gouvernement cherche à réduire le déficit en dessous de 5% du PIB. Or après le rejet la semaine dernière des propositions de la gauche de taxer les hauts patrimoines, dont la taxe Zucman, les socialistes pressaient depuis plusieurs jours l’exécutif de soutenir leurs propositions de nouvelle recette dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Mercredi, c’est donc finalement un amendement de Jérôme Guedj (PS) qui a été adopté, avec le soutien d’une bonne partie du camp gouvernemental, pour faire progresser la Contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus du capital, en escomptant aller chercher en 2026 2,8 milliards d’euros supplémentaires. La mesure monte de 9,2% à 10,6% le taux d’une fraction de la CSG, qui porte notamment sur certains revenus de l’immobilier, d'épargne et de placements (produits de contrats d’assurance vie, dividendes, épargne salariale, plans épargne logement), ou des plus-values immobilières et mobilières (ventes d’actions...). Le PS, qui menace de censure en cas d'échec sur les nouvelles recettes fiscales, a reçu un avis favorable mais particulièrement réservé du gouvernement. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a appelé à voter pour, surtout pour que l’amendement puisse être rediscuté dans la suite de la navette parlementaire, sans approuver ses modalités. «Ce qui a été voté n’est pas une hausse de la fiscalité alors que nous sommes en première lecture. Ce qui a été voté, c’est la possibilité d’en débattre jusqu'à la fin du processus budgétaire», a-t-elle insisté. La mesure a été adoptée par 168 voix contre 140. Les voix de nombreux députés macronistes (de Renaissance et du MoDem) se sont jointes à celles de la gauche. Les députés de la droite (LR et Horizons) ont voté contre, tout comme le Rassemblement national. «Vous ne venez pas de décider de taxer le haut patrimoine, vous avez taxé l’assurance-vie, vous avez taxé les PEL», a regretté le patron des députés LR Laurent Wauquiez. Le député RN Jean-Philippe Tanguy a décrit la mesure comme «le financement des magouilles entre le Parti socialiste et le gouvernement», estimant qu’elle ne protège pas «l'épargne des classes populaires et moyennes». «Magouille de non-censure» Jerôme Guedj a balayé l’argument, son camp soutenant que la mesure concerne essentiellement les dividendes des actionnaires, et qu’avec un PEL dont la moyenne en France est de 25.000 euros, cette hausse représenterait seulement 50 centimes d’euros par mois. La soirée avait pourtant mal commencé pour les socialistes, avec le rejet d’un amendement similaire. Un épisode illustrant les divisions à gauche entre le PS, LFI et les écologistes. Les Insoumis avaient en effet voté contre ce premier amendement, dénonçant une «magouille de non-censure», selon la présidente du groupe Mathilde Panot. Une partie des écologistes s'étaient abstenus. Mme Panot avait alors appelé à voter les amendements suivants pour des taux plus importants, ou sans limite dans le temps. «C’est une politique de la terre brûlée, ils ne veulent pas de recettes, ils ne veulent pas de budget pour la France», avait dénoncé après le premier vote Sandrine Runel (PS), le premier secrétaire Olivier Faure reprochant aux Insoumis de pratiquer le «tout ou rien, et surtout rien». Camille MALPLAT © Agence France-Presse

Source Logol'Opinion
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Update: Entlastungskabinett tagt — und Reiche denkt über Atomkraft nach

Gesetze abschaffen statt neue schaffen: Das Kabinett hat sich ganz dem Thema Bürokratieabbau verschrieben. Acht Gesetzesentwürfe sollen 100 Millionen Euro sparen. Rixa Fürsen spricht mit Rasmus Buchsteiner darüber, wie realistisch dieses Ziel ist, warum Digitalminister Karsten Wildberger zufrieden wirkt und weshalb Industrie und Wirtschaft deutlich mehr erwarten. Danach geht es um Energiepolitik. Gemeinsam mit Josh […]

Source LogoPolitico