Les faits ont été commis dans la nuit du 5 au 6 mai 2025. - Archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:27 Lecture zen Le contraste est saisissant entre le box des prévenus et le banc des parties civiles. Si les larmes coulent de part et d’autre, les sanglots de la victime résonnent avec davantage de sincérité. Dans la nuit du 5 au 6 mai 2025, elle a vu sa vie basculer. Au point de ranger son uniforme d’agent pénitentiaire définitivement au placard. Car c’est bien sa profession et celle de son conjoint qui a été visée avec l’incendie de son domicile à Liancourt. À la barre du tribunal correctionnel de Beauvais, ce jeudi 6 novembre 2025, la jeune femme s’avance dignement et déverse tout le mal-être qui la ronge depuis les faits. « On ne peut pas se rendre compte du mal que ça fait. Ça fait six mois que je n’ai pas pu reprendre le travail. Moi et mon conjoint, on n’arrive plus à mettre un pied dans un établissement pénitentiaire », sanglote la surveillante.Le couple d’agents pénitentiaires a dû quitter la régionC’est aussi le cas au sein de leur propre domicile. Dès le lendemain, le couple a quitté les lieux pour s’installer dans une autre région. Avec des questions qui tourmentent leur esprit. Malheureusement pour eux, ces interrogations vont se poursuivre malgré la tenue du procès. Si trois des six prévenus ont reconnu leur implication dans les faits, il ne s’agit en réalité que des petites mains du dossier. En revanche, celui qui est présenté comme la tête du réseau nie tout en bloc. Malgré les éléments à charge. Car l’homme âgé de 29 ans était justement détenu à la prison de Liancourt, dans le même bâtiment où exerçait la surveillante pénitentiaire. Et surtout, c’est la voiture de sa compagne qui a servi à acheminer les incendiaires jusqu’à Bagneux (Hauts-de-Seine) avant que le trio ne s’engouffre dans une Peugeot 508 pour se rendre jusqu’à Liancourt. Élément d’autant plus troublant, c’est le petit frère de la compagne de la prétendue tête du réseau qui a joué les chauffeurs jusqu’à Bagneux. « J’ai été missionné pour déposer les jeunes. On m’a juste dit que c’était pour brûler une voiture. je n’en savais pas plus », indique le jeune homme tout juste âgé de 18 ans.Ses acolytes ne sont guère plus loquaces même s’ils reconnaissent également leur participation. « J’ai été payé pour faire passer un message. J’ai versé l’essence sur le sol et j’ai allumé avec un briquet », admet l’incendiaire. Le tout filmé par son ami « pour apporter une preuve au commanditaire ». Quant au dernier prévenu suspecté d’être le troisième homme et le chauffeur du trio, il a fermement nié toute implication.Une position qui a convaincu le procureur de la République de requérir la plus lourde peine à son encontre avec 4 ans réclamés par le ministère public. Quatre ans, dont un an avec sursis, ont également été requis contre l’incendiaire et son complice en charge de filmer les faits. En revanche, les autres protagonistes qui n’ont pas directement participé à l’incendie ont bénéficié de réquisitions moins importantes.Des peines de deux ans ferme ont été requises contre le commanditaire présumé et le conducteur qui avait acheminé les incendiaires jusqu’à Bagneux, point de départ du convoi. Enfin, le procureur de la République a requis deux ans de prison dont un an avec sursis contre la conjointe de la tête présumée du réseau.La décision du tribunal correctionnel était attendue au cours de la soirée. Par Yoann Roche Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Liancourt (Oise) Beauvais (Oise) Jusqu’à 4 ans de prison requis contre les incendiaires du domicile des agents pénitentiaires de Liancourt Les six prévenus étaient jugés ce jeudi 6 novembre 2025 devant le tribunal correctionnel de Beauvais. Le procureur a requis de lourdes peines. Le délibéré était attendu dans la soirée.
Hauts-de-France
Trois semaines et demie après la cyberattaque qui paralyse les 269 lycées de la région, les ordinateurs du réseau administratif ont été traités et les services s’attaquent maintenant au parc à usage pédagogique. Si l’élu à la Région se félicite de la manière dont cela est géré, le SNES-FSU est loin d’être tendre avec la collectivité.

ACCROCHE. La 5e édition de la Beauté sauvera le monde vient d’être lancée, avec de plus en plus de communes participantes. L’affichage d’œuvres d’art dans l’espace public prend de l’ampleur, orchestré désormais par une association, et bientôt, des initiatives de médiation culturelle. « Le Paysage dans l’art ». Le thème de la cinquième édition de « la Beauté […]
Marine Tondelier a notamment fait un stop au marché de l’île aux fruits d’Amiens. - Kevin Devigne Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:07 Lecture zen Amiens devient une ville familière pour Marine Tondelier. La secrétaire nationale des Écologistes s’y est déplacée ce jeudi après-midi, pour la troisième fois cette année, en soutien à ses troupes mobilisées en vue des prochaines municipales, derrière la tête de liste socialiste Frédéric Fauvet. Après un passage dans une ferme de Pont-de-Metz et le marché de « l’île aux fruits », la conseillère régionale des Hauts-de-France a fini par une conférence à l’université. Consultez l’actualité en vidéo À Amiens, une liste commune à gauche doit être arrêtée mi-décembre, mais sans La France Insoumise à ce stade. Avec LFI, « c’est devenu quasi impossible. Les électeurs enverront un message clair au 1er tour, qui forcera à faire l’alliance au 2nd tour », escompte Frédéric Fauvet. « Avec LFI, nous avons davantage de quoi nous rassembler que de nous diviser », complète Esra Ercan, co-cheffe de file écologiste à Amiens.Lille, Beauvais, Arras dans le viseur de la gaucheDans la région, outre Amiens, Marine Tondelier place de l’espoir pour la gauche dans d’autres villes. « Les Écologistes vont gagner à Lille ! », se fait bravache l’élue locale d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), en pensant au candidat Stéphane Baly. Mais aussi « à Beauvais, Roubaix et Tourcoing » voire Arras « où l’on part en reconquête ». À lire aussi Amiens : des retraités en colère érigent un mur de revendications devant le siège du Medef Marine Tondelier est également candidate à une primaire de la gauche pour l’Élysée en 2027, aux modalités annoncées en fin d’année. « Si je ne la gagne pas, je n’aurai pas de mal à me mettre au service (du vainqueur) », assure-t-elle. Y compris François Ruffin (Debout !), un autre candidat à la candidature ? Avec son voisin samarien, « les relations sont bonnes depuis longtemps », rassure-t-elle, convaincue que les réticents à l’idée de primaire – Jean-Luc Mélenchon (LFI) et Raphaël Glucksmann (Place publique) – y viendront. « Ils n’ont pas le choix. D’ailleurs, pourquoi auraient-ils peur d’un choix des électeurs de gauche ? » Par Gael Rivallain Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Municipales Amiens L’Écologiste Marine Tondelier cultive l’union de la gauche à Amiens pour les municipales La secrétaire nationale des Écologistes et venue ce jeudi dans la capitale picarde pour encourager la future liste rassemblée derrière un socialiste. Et défendre l’idée d’une primaire à gauche pour l’Élysée en 2027.

L'ex-policier, désormais eurodéputé RN, a annoncé sa candidature à la mairie de Lille, ce jeudi 6 novembre sur "Nord Politiques". Il affirme vouloir "une nouvelle ère" à la tête de la ville, après 24 ans de gestion par Martine Aubry.

L'ex-policier, désormais eurodéputé RN, a annoncé sa candidature à la mairie de Lille, ce jeudi 6 novembre sur "Nord Politiques". Il affirme vouloir "une nouvelle ère" à la tête de la ville, après 24 ans de gestion par Martine Aubry.

La Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées se tiendra du 17 au 24 novembre. Dans les Hauts-de-France, France Travail va metter en œuvre de nombreuses actions. Pour l'événement de lancement, organisé le 17 novembre à Lille, la parole sera donnée aux différents acteurs publics et privés, aux entreprises, administrations, associations, aux collaborateurs et tout […]

Le maire d’Amiens Hubert de Jenlis a annoncé que les premières armes étaient arrivées et qu’une formation allait débuter pour les policiers municipaux.

2 jours de lectures et d'échanges : les 8 et 9 novembre, Airaines accueille les 11e Rencontres autour du livre, placée sous le signe de l'Afrique et du dialogue entre les peuples.
Voici les trois informations qu’il ne fallait pas manquer ce jeudi 6 novembre dans le Nord et le Pas-de-Calais.
Aucune manifestation a été organisée pour l’occasion - Photo d’archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:01 Lecture zen Pas de présence dans les rues, mais leurs revendications sont bien là. À l’occasion du jeudi 6 novembre, et de la journée d’action intersyndicale des retraitées, le collectif retraités CGT Vimeu-Bresle s’est réuni à Friville-Escarbotin. À lire aussi Amiens : des retraités en colère érigent un mur de revendications devant le siège du Medef Pas de manifestationContrairement à Amiens, Laon ou Beauvais, aucune manifestation était organisée : « un choix volontaire de notre part, car il est de plus en plus compliqué pour les retraités de se déplacer sur le territoire », explique l’un des animateurs de la réunion. Avant d’ajouter : « notre volonté était quand même de se réunir pour nous faire entendre parce que l’un de nos seuls moyens d’action, c’est d’être une force organisée ».Parce que les retraités « au cœur des débats à l’Assemblée Nationale, et que le gouvernement et le patronat prennent pour cible » ont bien des revendications. Comme l’abrogation de la réforme des retraites de 2023 et le retour à la retraite à 60 ans, car « cela ne doit pas être l’antichambre de la mort. Plus on part tard, moins on vit longtemps ». Ou encore la revalorisation de toutes les pensions de retraite de 10 %.Face à ce constat et à la montée du fascisme et du Rassemblement National, tous s’accordent : « on ressent de la colère pour nous, et de l’inquiétude pour nos enfants ». Leur seul moyen d’action selon eux ? « Les urnes », répondent-ils en chœur. Prochaine échéance : le 15 mars 2026, avec le premier tour des élections municipales. Par Mathis Helie Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Friville-Escarbotin (Somme) Mobilisation des retraités : dans le Vimeu, pas de manifestation mais des revendications Le collectif retraités CGT Vimeu-Bresle a choisi de ne pas organiser de manifestation à l’occasion du jeudi 6 novembre 2025, et de la journée d’action intersyndicale des retraitées. Les revendications sont toutefois bien présentes.
La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:03 Lecture zen Une grève, à l’appel du syndicat majoritaire CFDT, s’est tenue à l’usine Mousline de Rosières-en-Santerre, fabricant de purée déshydratée (140 salariés sur site, 174 au total avec le siège à Paris), jeudi 6 novembre. « Les personnels grondent depuis six mois, on a attendu, mais là nous avons considéré que c’était le bon moment pour dire stop », indiquent les représentants du syndicat. Le dernier mouvement de grève remonte à des dizaines d’années, pensent les plus anciens. Une quinzaine de salariés de l’équipe du matin ont débrayé de 10 à 13 heures, avant le relais l’après-midi d’autres collègues. Ce mouvement social « glissant sur la journée » a eu pour effet l’arrêt de deux lignes de production sur sept et deux sur quatre au conditionnement en matinée. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Le délégué syndical CFDT Alexis Dacquin liste les motifs de colère : la participation aux bénéfices réduite à zéro contre une prime de 1 500 € par le passé, des négociations salariales, en février, aboutissant à des augmentations « ridicules par rapport à l’inflation », des congés payés et des périodes de fermetures imposés. La politique du mail est mal supportéeDans un tract, les grévistes dénoncent « un dialogue social inexistant avec la direction » ainsi qu’un décalage entre les discours et la réalité. L’usine a été rachetée fin 2022 à Nestlé par le fonds d’investissement français FnB Private Equity. Les annonces positives des derniers mois tarderaient à se concrétiser. « Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit, notre production annuelle est à 15 000-16 000 tonnes et pas 20 000. Et la nouvelle ligne prévue il y a deux ans n’est toujours pas là », invoquent les grévistes. Enfin, et c’est un ressort du mouvement social, « il y a un problème de communication avec les ressources humaines qui ne pratiquent que la politique du mail à distance. Nous attendons, et vite, une nouvelle forme de dialogue », espère Alexis Dacquin. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet La communication de l’entreprise Mousline a été jointe par téléphone jeudi à la mi-journée, sans succès. Par Nicolas Totet Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline Des salariés de SGA Mousline à Rosières-en-Santerre étaient en grève ce jeudi 6 novembre. Un mouvement social, très rare, qui dit forcément quelque chose.

C’est une reconnaissance majeure pour les politiques environnementales lyonnaises qui ravis les équipes de la Métropole et de la Ville de Lyon en pleine campagne électorale. Quelques mois après avoir obtenu la 5e étoile du label national Climat-Air-Énergie décerné par l’ADEME, la Métropole de Lyon et la Ville de Lyon viennent d’être distinguées au niveau […] L’article La Métropole et la Ville de Lyon récompensées pour leur politique énergétique est apparu en premier sur Lyon Capitale.

À Valenciennes, l’esprit de Noël s’installe déjà dans les rues : illuminations en préparation, scénographies lumineuses et village de Noël en montage sur la place d’Armes. Les festivités débuteront officiellement le 28 novembre.

Violences intra-familiales : l’État renforce sa présence à Avesnes. Six agents spécialisés s’installeront en décembre dans l’ancienne DDTM pour mieux accompagner les victimes et coordonner la lutte sur le territoire.
Envie d’assister à un spectacle hors norme à Calais, de vous rendre à une expo de LEGO® à Boulogne-sur-Mer ou de découvrir les nouvelles bières de Noël à Béthune, ce week-end ? On vous présente quelques idées de sorties à faire dans le Nord-Pas-de-Calais ces 8 et 9 novembre.
La cour administrative d’appel de Douai examinait ce jeudi matin le recours de Robert Mieloch et son épouse contre la municipalité de Givenchy-en-Gohelle. Ceux-ci tentent de faire reconnaître le préjudice causé par l’aire de jeux aménagée à côté de chez eux. Mais ils risquent surtout une amende pour procédure abusive.

Les travaux devaient commencer au mois d’octobre. Pour l’instant, seul un panneau de permis de démolir fait état d’une prochaine opération. A savoir la démolition de l’ancienne quincaillerie principale, située rue Jean-Corroyer à Mouy, à la limite avec le village voisin d’Angy. Puis, dans un second temps, doivent sortir de terre de 39 logements en […] L’article Mouy. Les futurs logements de la rue Jean-Corroyer suscitent la polémique. est apparu en premier sur Oise Hebdo.

"Creil peut devenir Insoumise". Manuel Bompard, coordinateur de LFI, a posé l’enjeu des futures municipales à Creil, lors d'une réunion de soutien à son candidat, Omar Yaqoob.
Les rues calaisiennes vont accueillir les spectacles du Varan pendant trois jours. Envie d’éviter les 400 000 à 500 000 spectateurs et les spectacles ? On a ce qu’il vous faut.
La Fringalette change de mains. Le restaurant de la rue de Dunkerque à Saint-Omer, qui fait aussi salon de thé, a été vendu. Xavier Michel tourne une grande page de sa vie. Il avait repris cette affaire en 1997, il l’a beaucoup développée au point d’en faire une institution.
les convives au Repas les convives au Repas Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:34 Lecture zen Samedi 1er novembre, la salle du Casino d’Ault a vibré au rythme de la convivialité et de la solidarité. Le Comité des Fêtes, épaulé par la municipalité, a une fois de plus enchanté les papilles en conviant les Aultois à son traditionnel repas d’automne. Consultez l’actualité en vidéo Au menu, le fameux Bisteu, ce plat régional, devenu au fil des années une véritable institution locale.Cette édition a eu une saveur toute particulière. En effet, les bénéfices de la soirée étaient destinés à soutenir la rénovation de l’église Saint Pierre, joyau du patrimoine Aultois actuellement en pleine restauration. La cause a su mobiliser au-delà des habitués avec 170 convives. Autre nouveauté marquante, la prestation du groupe Créchendo’s, 4 musiciens qui ont su créer une atmosphère festive, prolongeant la soirée jusqu’à tard dans la nuit.Une générosité qui fait chaud au cœurGrâce à l’élan collectif, la soirée a permis de récolter la somme de 2 500 euros. Ce montant sera officiellement remis lors de la soirée Couscous organisée par le Comité des Fêtes vendredi 5 décembre, cette fois au profit du Téléthon. La présidente Esther La Jeunesse, remettra la somme par chèque au maire Marcel Le Moigne. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Ault (Somme) Ault : Le Bisteu au secours de l’église Saint Pierre La Soirée Bisteu, samedi 1er novembre 2025 a traduit un bel élan de générosité au profit de la rénovation de l’église Saint Pierre.

La gérante de 51 ans d'un salon de massage de Marcq-en-Barœul (Nord) a été reconnue coupable d'y avoir accueilli des prestations sexuelles, entre 2024 et 2025.

En manque d’inspiration pour vos sorties du week-end ? Voici une sélection de 15 choses à faire les 8 et 9 novembre 2025 à Lille (Nord) et aux alentours.

La CABS va devoir trouver d’autres leviers pour présenter un budget à l’équilibre et éviter la mise sous tutelle.
L’émission diffusée sur France 2 « Affaire conclue » consacrera un de ses épisodes à la région des Hauts-de-France fin novembre.

Ce samedi de Toussaint, la Brasserie du Pays Minier à Masny célébrait son lancement avec un premier Beer Festival mêlant plaisirs gastronomiques, concerts et convivialité. Lionel Fontaine, maire, et Frédéric Delannoy, président de Cœur d'Ostrevent Agglo, étaient présents pour saluer l'initiative. Une machine conçue en 1986 Symbole du renouveau brassicole local, la célèbre "Rolls du […]
Frustration sera la tête d’affiche du concert du 8 novembre à L’Usine. - DR Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:28 Lecture zen Un mois de concerts à travers toute la région Hauts-de-France : en novembre 2025, le festival Haute Fréquence s’installe dans plusieurs salles de concert de la région et présente une programmation éclectique. Plusieurs étapes sont prévues dans l’Oise, dont une ce samedi 8 novembre, à 20 heures, à l’Usine de Saint-Pierre-lès-Bitry.À l’affiche, deux groupes qui ont pour point commun de cultiver un certain goût pour la musique punk et le sens de l’humour : Vulvet Underground et Frustration.Les premières, quatre nénettes originaires de Creil, affirment s’être découvert une passion pour le mot « vulve » après avoir compris que son usage était censuré dans les manuels des Sciences de la vie et de la terre (SVT). Elles décident alors de le prononcer au moins une fois par jour et de l’intégrer dans le nom du groupe de musique qu’elles créent dans la foulée. uri Elles seront suivies sur scène par Frustration, groupe à la croisée des chemins, entre punk et cold wave de la fin des années 1970 et début des années 1980. Déjà très expérimentés, ils écument les salles de l’Hexagone avec un certain succès.Le festival connaîtra un prolongement le dimanche 23 novembre, avec la prestation du duo Julius et Janus sur l’Urban Boat, à quai à Longueil-Annel. Difficile de classer ces deux artistes complets, qui mêlent sketches clownesques et burlesques et les enveloppent dans de la musique électro. Attention, le nombre de places est limité à 50 sur la péniche. À lire aussi À Morvillers, l’union de Dalila et Frédéric bientôt dans l’émission Quatre mariages pour une lune de miel À noter enfin, que l’Horloge à Tracy-le-Mont accueillera également une étape du festival, le vendredi 28 novembre. À l’affiche : Didier Super et Looser.À l’Usine de Saint-Pierre-lès-Bitry, 526, rue des Jardins, le samedi 8 novembre à partir de 20 heures. Tarifs : 10 et 7 euros. Sur l’Urban Boat, péniche Thabor à Longueil-Annel, le dimanche 23 novembre à 16 heures. Tarif unique : 6 euros. Réservations sur helloasso. Par Orianne Maerten Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Longueil-Annel (Oise) Picardie for ever et l’Urban boat s’associent au festival Haute Fréquence dans l’Oise Deux concerts sont prévus, samedi 8 et dimanche 23 novembre, l’un à Saint-Pierre-lès-Bitry, l’autre à Longueil-Annel. À l’affiche, Vulvet Underground et Frustration puis Julius et Janus.

Deux écureuils ont occupé un arbre à Longueil-Annel. On ne parle pas du mignon petit animal à poil roux. Il s’agit de deux femmes qui ont passé la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 novembre dans un arbre, pour dénoncer des abattages massifs en vue du canal Seine Nord. Ces personnes qui investissent les […] L’article Longueil-Annel. La gendarmerie déloge deux femmes d’un arbre qu’elles occupaient pour protester contre le canal Seine Nord est apparu en premier sur Oise Hebdo.

Le sujet a animé la période estivale… et même un peu plus. Nous l’avions annoncé dans notre édition du 30 octobre, la période de test du nouveau plan de circulation prend fin. Avec de l’avance sur le calendrier initial. Ce qu’il faut en retenir. Dans le cadre du projet de requalification du centre-ville, la ville […]

Les projecteurs sont braqués sur le harcèlement scolaire ce jeudi 6 novembre, journée nationale de lutte contre le harcèlement à l'école. À cette occasion, le conseil régional des Hauts-de-France a organisé la veille une seconde édition de ses assises consacrées au harcèlement scolaire. Il y a présenté une action, présentée comme unique en France, de sensibilisation de tous les agents territoriaux travaillant dans les lycées.

Le Fair Priced Vintage Market débarque à deux pas de Lille les 8 et 9 novembre 2025. Au programme : des milliers de vêtements rétro entre 2,50 € et 30 €, à chiner sans modération.
Sur un marché du jouet inondé par la production industrielle, Pamplemousse Peluches s’est fait une place en misant sur l’artisanat et l’emploi local. - Ludivine Bleuzé-Martin Une bouche et un nez brodés à la main pour cet ours d’une commande spéciale. - Ludivine Bleuzé-Martin Mis en ligne le 6/11/2025 à 13:30 Lecture zen RepèresDu 6 au 9 novembre 2025, la 13e édition du Salon du Made in France se déroulera au parc des Expositions de la Porte de Versailles. Plus de 1 000 exposants et de 110 000 visiteurs y sont attendus.Parmi ces exposants, dix représenteront la région : Les Apidés, la brasserie de bières artisanales basée à Nogentel (Aisne) ; Cygnes, la première marque de collants ultrarésistants, garantis et consignés en fin de vie dont le siège se trouve à Reims ; La Chips française, marque inventée dans l’Aisne ; Les Sapés, fabricant de chapeaux sculptés à la main à Marson, dans la Marne ; Novacel, le fabricant de verres ophtalmiques installé dans le sud de l’Aisne ; Pamplemousse peluches, le créateur de doudous et peluches de l’Aisne ; RBN, manufacture de brosses et pinceaux qui existe depuis 1822 dans les Ardennes ; la sellerie Lexcia (maroquinerie sur mesure et accessoires) basée à Reims ; Thaas chips, entreprise fondée par deux frères agriculteurs ; Thilléon, fabricant de rasoirs et stylos en bois sur-mesure des Ardennes.Dix ans ! Un anniversaire joyeux et doux que Pamplemousse Peluches célèbre en 2025, avec entre autres, une participation au salon du Made in France, qui se déroule à Paris du 6 au 9 novembre au novembre 2025. Dans cette petite entreprise de l’Aisne, à Cerizy, entre Laon et Saint-Quentin, naissent chaque jour des lapins, des oursons, des chiens ou encore des chouettes et des hérissons entre les doigts et les aiguilles de couturières savantes. « Nous sommes uniques ! » goûte avec satisfaction Hélène Montgomery du Moulin, la présidente de la société, « de A à Z, on fait tout ici. Nous maîtrisons toutes les étapes de fabrication ». De la découpe à l’assemblage, en passant par le bourrage, toutes les étapes de fabrication sont effectuées dans l’atelier de Cerizy. - Ludivine Bleuzé-Martin Qui aurait parié sur cette longévité, en 2015, lorsqu’elle s’est lancée dans le doudou et la peluche produit en France ? Comment se faire une place, si petite soit-elle, sur un marché du jouet saturé par les quantités industrielles de nounours produits en Chine ? « On ne nous prenait pas au sérieux, raconte-t-elle. On nous disait : « vous n’avez pas d’expérience dans la couture ! » Il nous fallait trouver les fournisseurs, les machines » et le savoir-faire devenu rare. Sa précieuse équipe est aujourd’hui composée de Martine, Mélanie, Marianne, Claire, Vanessa et Cécilia. Chaque client sait toujours qui a donné vie à sa peluche, que le produit soit vendu via le site ou une boutique haut de gamme. L’entreprise répond aussi à des commandes spéciales et fournit des Relais & Châteaux ou de prestigieux hôtels comme le Royal Champagne dans la Marne.« Nous sommes honnêtes avec le consommateur »Dans l’aventure, Hélène Montgomery du Moulin a embarqué sa sœur Sophie, directrice de la société, et son frère Laurent. La petite entreprise s’est installée « dans les anciennes écuries de la ferme familiale ». Celle qui vit depuis 1994 aux États-Unis où elle vend des jouets en tant que distributeur a su tout de suite qu’elle voulait faire « le contraire de l’industrie ». Les peluches sont intégralement fabriquées par les couturières. - Ludivine Bleuzé-Martin Pamplemousse Peluches mise donc sur la qualité et la confiance. Pas question de faire fabriquer ailleurs des éléments pour finir l’assemblage en France ! « Nous sommes honnêtes avec le consommateur », assure-t-elle, « nous voulons faire du local, créer de l’emploi ici, éviter les distances superflues, revenir à un marché plus vertueux ». Ces fournisseurs, elle les a trouvés en France et en Europe.« Il va rester toute une vie »Cette démarche lui a valu la certification « Made in France » par le service des douanes françaises et sa participation au salon dédié à Paris. « Le mois dernier, nous étions au salon international des métiers d’art à Liévin et l’an dernier au musée des arts décoratifs à Paris », précise Hélène Montgomery du Moulin. Elle y voit une reconnaissance pour son petit atelier axonais, qui vit « des hauts et des bas » dans ce monde pas toujours rose du jouet.« Comme tout est fait en France, les charges sont très élevées », fait remarquer la cheffe d’entreprise. D’où le positionnement : « faire du beau, du haut de gamme. C’est un cadeau qui va marquer. Il va rester toute une vie » et gardera les secrets de l’enfance.Compter de 38 euros pour les premiers prix (hochets) à 180 euros pour les plus belles peluches. Par Ludivine Bleuzé-Martin Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Cerizy (Aisne) Aisne : cette entreprise fabrique des peluches « Made in France » depuis 10 ans Fabricant français de peluches haut de gamme, Pamplemousse Peluches crée ses modèles entièrement dans l’Aisne. Entre les mains expertes de ses couturières, chaque peluche prend vie avec soin et passion – un véritable compagnon de jeu et de tendresse, 100 % made in France.

À partir de ce vendredi et pendant trois jours, Calais s'apprête à vivre le plus grand spectacle de rue que la ville ait connu.

Le Palais des grottes se transformera en un véritable repaire de géants. Les 8 et 9 novembre, une centaine d'entre eux, venus de toute la France et de la Belgique, seront à découvrir.

Regroupés dans la cour, tous les élèves ont formé les lettres NAH, Non au harcèlement. Mis en ligne le 6/11/2025 à 11:58 Lecture zen « L’objectif, c’est que tous les élèves, de la 6e à la 3e, soient sensibilisés au bien vivre ensemble », alerte Élise Vandin, professeure-documentaliste au collège Pierre-Sellier de La Capelle. Comme l’an dernier, du 3 au 7 novembre 2025, l’établissement a consacré une semaine de sensibilisation et de prévention au harcèlement scolaire, intitulée la semaine du Bien vivre ensemble, et inscrite dans le cadre de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement de ce 6 novembre 2025.L’infirmière scolaire, Clara Léonard, Élise Vandin et Myriam Perrin, la référente, sont les chevilles ouvrières du projet. Murs d’expressions avec post-it dans le hall d’entrée, lectures de poèmes et de textes sur l’empathie et la lutte contre le harcèlement, ateliers et créations d’affiches, projections de films, photos, interventions en classe sur les violences intra-familiales et spectacles l’ont rythmée afin de nourrir les réflexions et faire débat.À l’instar du spectacle-débat autour du harcèlement scolaire Seul, de la compagnie Acaly de Soissons, donné pour les élèves de 6e et 5e mardi après-midi 4 novembre à la salle Hennebelle.NAH (Non Au harcèlement)« Est-ce que quelqu’un peut nous donner la définition du mot harcèlement ? », interroge à la cantonade le metteur en scène Fabrice Decarnelle. À ses côtés avec badges et t-shirts rouges sont présents les élèves ambassadeurs Non Au Harcèlement (NAH). « Quand c’est répétitif », répond une élève. Le speclacle-débat « Seul » de la compagnie Acaly avec les élèves ambassadeurs Non Au Harcèlement. À lire aussi Victime de harcèlement, un élève de 14 ans tente de se défenestrer de l’établissement Saint-Jean à Saint-Quentin Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école. La pièce suscite le débat et pousse les scolaires à la réflexion. « Harcelée scolairement et moralement, une adolescente de 14 ans s’est pendue dans sa chambre il y a quelques jours. C’est très choquant ! », s’exclame d’indignation Fabrice Decarnelle.Mardi matin, avec du vert en code vestimentaire, tous les élèves regroupés dans la cour ont formé les lettres NAH. Par G.B. (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : La Capelle (Aisne) Une semaine de sensibilisation au harcèlement et au vivre-ensemble au collège Pierre-Sellier de La Capelle Du 3 au 7 novembre 2025, le collège Pierre-Sellier de La Capelle a organisé une semaine de sensibilisation au harcèlement scolaire. Les élèves ont notamment assisté à un spectacle-débat sur le sujet.

L'association Les Petits Curieux mobilise une trentaine de jeunes autour d'un projet écologique et citoyen : créer deux espaces verts partagés alliant nature et créativité.

Il a beau être décoratif, ce cactus cache à l'intérieur une substance qui implique son interdiction sur tout le territoire français.
Après l’annonce de la fermeture d’Arlanxeo le 2 octobre 2025, les discussions autour du plan de sauvegarde de l’emploi ont débuté mercredi 5 novembre 2025. - Photo Coline Poiret-Mellier Site d’Arlanxeo à Lillebonne, dans la zone industrielle de Port-Jérôme. - Photo Coline Poiret-Mellier Les syndicats dénoncent un manque de propositions concrètes pour les 165 salariés concernés. - Coline Poiret-Mellier Mis en ligne le 6/11/2025 à 11:16 Lecture zen L’ambiance était lourde, mercredi 5 novembre 2025, à la sortie de la première réunion de négociation du Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) d’Arlanxeo. « Les mesures proposées pour le retour à l’emploi sont très loin de ce que nous proposons. C’est simple, on ne nous présente rien pour la future recherche d’emploi. Il n’y a aucun moyen de débloquer », déplore Sylvain Renault, délégué syndical CGT du site de Lillebonne. Consultez l’actualité en vidéo À lire aussi Arlanxeo ferme à Lillebonne : élus et parlementaires réclament une réaction du gouvernement L’entreprise, spécialisée dans la production de caoutchoucs synthétiques destinés à l’automobile, la construction ou encore l’agroalimentaire, avait annoncé le 2 octobre la fermeture de son usine cauchoise, qui emploie 165 personnes. À l’époque, le PDG du groupe, détenu par le géant pétrochimique Saudi Aramco, assurait vouloir « fournir aux employés concernés un plan social reflétant leur précieuse contribution ».Un site industriel à l’arrêt complet depuis plusieurs semainesSur le terrain, le discours passe mal : « Certes, la pyramide des âges est élevée, mais notre volonté est de pouvoir reclasser tout le monde dans un nouvel emploi », insiste le représentant syndical, qui pointe également le manque de stabilité dans l’encadrement local : « Le directeur du site est absent depuis une dizaine de jours, il n’était pas là lors de la première réunion de négociations du PSE et nous avons une nouvelle DRH depuis peu. Cela ne facilite pas les négociations. » À lire aussi « La chimie n’est pas morte » : ExxonMobil versera 1,8 million d’euros pour revitaliser le territoire Certes, la pyramide des âges est élevée, mais notre volonté est de pouvoir reclasser tout le monde dans un nouvel emploi.Sylvain Renault, Délégué syndical de la CGT sur le site cauchois d’ArlanxeoDu côté des salariés, l’attente se double d’incertitude. L’activité du site est à l’arrêt complet depuis plusieurs semaines. « Nous faisons au jour le jour… La réouverture est prévue pour le mercredi 12 novembre 2025 », confie Sylvain Renault.La direction, elle, justifie la fermeture par un contexte économique défavorable : une demande faible et persistante dans la chimie européenne, une compétitivité en berne et une hausse des coûts qui rendraient le site de Port-Jérôme structurellement déficitaire.L’intersyndicale a, pour l’heure, obtenu une demi-journée supplémentaire de négociation, alors que le calendrier initial fixe la fin des discussions au 8 janvier 2026. En parallèle, les représentants des salariés poursuivent leurs échanges avec les élus locaux, notamment Céline Brulin, sénatrice PCF de la Seine-Maritime, venue les rencontrer ces derniers jours. Par Coline Poiret-Mellier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Lillebonne (Seine-Maritime) Fermeture d’Arlanxeo à Lillebonne : les syndicats dénoncent des mesures insuffisantes dans le PSE Après l’annonce de la fermeture d’Arlanxeo le 2 octobre 2025, les discussions autour du plan de sauvegarde de l’emploi ont débuté ce mercredi 5 novembre 2025. Les syndicats dénoncent un manque de propositions concrètes pour les 165 salariés concernés.

Sur le plateau de TBT9, Cyril Hanouna et ses chroniqueurs ont débattu des critiques visant Omar Sy et Kylian Mbappé après la mort tragique de Mathis.
Sébastien Flon, secrétaire général de l’U2P HDF, Philippe Lorban, président du Medef HDF, Jean-Pierre Letartre, président du Medef Lille Métropole, Marie-Andrée Roulleau, présidente de l’U2P HDF, Laurent Depoorter, président de la CPME HDF, Manuel Verheyde, président des mandats de la CPME HDF, Anne Auxenfans, secrétaire générale de la CPME HDF, Philippe Leclercq, coordinateur des mandats de l’U2P HDF, Arnaud Cousin, directeur général du Medef HDF et du Medef Lille Métropole Mis en ligne le 6/11/2025 à 10:51 Lecture zen Les trois organisations patronales interprofessionnelles des Hauts-de-France, que sont le Medef, la CPME et l’U2P, s’unissent afin de défendre les entreprises en créant le G3 Patronal Hauts-de-France. « Dans un contexte d’incertitude politique et d’une situation socio-économique dégradée, le Medef, la CPME et l’U2P partagent un constat commun : celui de la nécessité d’une action coordonnée et forte pour accompagner nos chefs d’entreprise, quelle que soit leur taille ou leur activité », indiquent-ils. Consultez l’actualité en vidéo Le Medef Hauts-de-France représenté par son président, Philippe Lorban et par Jean-Pierre Letartre, président du Medef Lille Métropole ; la CPME Hauts-de-France, représentée par son président, Laurent Depoorter ; l’U2P Hauts-de-France, représentée par sa présidente, Marie-Andrée Roulleau, ont officialisé cette union fin octobre. « Les sujets de préoccupation ou de revendication sont nombreux : une situation politique et socio-économique instable qui fragilise la confiance, l’augmentation des défaillances d’entreprises, l’équilibre entre la protection sociale des salariés et la performance économique de l’entreprise, les enjeux liés à l’orientation, l’apprentissage, la formation et l’emploi, la simplification des démarches administratives », développent-ils. À lire aussi Le patronat picard met en garde contre une taxation trop importante des entreprises Par Alexandre Boudard Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Économie Le Medef, la CPME et l’U2P s’unissent dans les Hauts-de-France Le Medef, la CPME et l’U2P créent le G3 Patronal Hauts-de-France afin de mieux faire entendre la voix des entreprises. Video

Jeudi 06 novembre 2025Dans le cadre de la semaine de l’industrie, un parcours de découverte des métiers sera mis en scène le mardi 18 novembre 2025 à l’espace Benoîte-Groult, à Quimperlé (Finistère). L’enjeu ? Casser les idées reçues et renforcer l’attractivité de l’industrie auprès des jeunes.

Dalila et Frédéric Damen ont participé en septembre 2024 à 4 mariages pour une lune de miel; l'émission de télé-réalité diffusée la semaine prochaine.
Représentation de « Qué santé « par « Chés Démucheus « le 31 octobre 2025 Salle Esmeralda à Ailly-Le-Haut-Clocher. Représentation de « Qué santé « par « Chés Démucheus « le 31 octobre 2025 Salle Esmeralda à Ailly-Le-Haut-Clocher. Représentation de « Tchots arringemints in famille « par « Chés Démucheus « le 31 octobre 2025 Salle Esmeralda à Ailly-Le-Haut-Clocher. Fin de la représentation de « Tchots arringemints in famille « par « Chés Démucheus », avec Micheline Wacquet (3ème à gauche) auteure de la pièce, le 31 octobre 2025 Salle Esmeralda à Ailly-Le-Haut-Clocher. Micheline Wacquet, auteure de « Tchots arringemints in famille « lors de la représentation par « Chés Démucheus « le 31 octobre 2025 Salle Esmeralda à Ailly-Le-Haut-Clocher. Pour I’Installation des décors, toute la troupe participe. « Chés Démucheus « préparation de la représentation du 31 octobre à Ailly-Le-Haut-Clocher. Photo : France Avisse. Mis en ligne le 6/11/2025 à 10:22 Lecture zen Nom de scène « Chés Démucheus ». Attention Démucheus avec un « s » , exit les règles du français, nous entrons dans l’univers du Picard ! Consultez l’actualité en vidéo Une aubaine pour Ailly-Le-Haut-Clocher au passé riche en théâtre patoisant. Invitée par le comité des fêtes de la commune dans le cadre de la 7e Fête de la Pomme, du terroir et du Picard, la troupe se produit depuis 2018, année de sa création soutenue par l’agence Régionale du picard.Ils sont six comédiens amateurs : Brigitte, Christian et Thierry sont originaires du Santerre et faisaient déjà partie de « Chés leups d’Lircourt », troupe fondée en 1983 se produisant en français et en picard. France, qui travaille parallèlement à l’Agence du picard, chapeaute la joyeuse équipe même si les décisions sont prises en commun. Régis – également metteur en scène- et Michel complètent cette palette de farouches découvreurs (démucher = découvrir en picard).Un répertoire inépuisablePuisée dans le répertoire picard, « l’un des plus riches de la littérature en patois », souligne France, Qué santé, écrite il y a plus de 100 ans par Charles Lecas, a été adaptée par la troupe. Dans la salle d’attente d’un cabinet médical d’aujourd’hui, les jeux de mots et de maux rivalisent de cocasserie. « Un neummé Opate ou autremin, cha n’a point d’importince ! », s’esclaffe Brigitte. Rires dans ce public de seniors, tout le monde suit, même si « le jeu des acteurs aide à la compréhension », précise France. Au cas où… À lire aussi Harengade du Tréport : comment sont préparés les poissons pour la marinade servie dans votre assiette ? Micheline Wacquet, prix européen de littérature en picard 2012, et présente dans la salle est l’auteure de la seconde saynète tout aussi drôle « Tchots arringemints in famille ». Bien connue des Aillacois, elle faisait partie jusqu’en 2022 du club de théâtre d’Ailly fondé en 1947 par Paul Darras. L’époque faste pour le théâtre aillacois qui pendant des décennies a attiré les habitants de tout le canton et au-delà, rivalisant avec les Merlettes de Crécy-en-Ponthieu notamment. Une tradition théâtrale entretenue par des locaux passionnés pendant plus de 80 ans. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Ailly-le-Haut-Clocher (Somme) Ailly-Le-Haut-Clocher renoue avec le théâtre picard La troupe de théâtre picard « Chés Démucheus » a reçu l’accueil chaleureux des 160 spectateurs venus assister vendredi 31 octobre 2025 au spectacle mettant à l’honneur notre langue régionale. Entre rires et souvenirs.

Ce mercredi 5 novembre 2025, un accident de la route s'est produit sur une route départementale du Pas-de-Calais. Un motard est gravement blessé.

Le fleuriste Le Chandelier a fêté son quarantième anniversaire en octobre dernier. Retour sur une affaire familiale qui marche. Le 15 octobre 1985, Bruno et Isabelle Pavia récupéraient un ancien garage l’aménageaient pour lancer leur boutique de fleurs à Roye. 40 ans plus tard, le fleuriste est toujours là. Un bel anniversaire pour Bruno et […]

Xavier Bertrand, président de la région des Hauts-de-France, était l'invité du Face à Face sur RMC et BFMTV. Il évoque la perspective de l'élection présidentielle de 2027.

La Région Hauts-de-France, l’Etat et la SNCF investissent tous les jours pour moderniser le réseau ferré. Le réseau ferré des Hauts-de-France représente 10 % du réseau ferré national. Il concentre à lui seul 16 % du trafic voyageurs régional de France et 20 % du trafic fret. Afin de maintenir un réseau performant, les enjeux […]
Certains des ados ont découvert qu’un des membres de leur famille avait servi pendant la Grande Guerre. - I.D. Mis en ligne le 6/11/2025 à 08:22 Lecture zen Dans la classe de 4e de Laurent Béthune, professeur en classe Segpa (un dispositif crée pour des élèves en difficulté scolaire), les élèves du collège Condorcet, à Vervins, préparent deux sortes de rubans pour leur cérémonie mémorielle de la semaine suivante. À lire aussi Cédric Doublet fait rayonner la Thiérache jusqu’aux États-Unis sur les réseaux sociaux Certains sont bleu blanc rouge, d’autres sont blancs, pour symboliser la paix, et tous seront placés le 10 novembre sur une corde à linge tendue près du monument en briques qui avait été érigé par leurs camarades d’années précédentes, lors du centenaire de l’armistice, en 2018.Alors, qu’évoque la Première Guerre mondiale à des adolescents d’aujourd’hui ? Interrogé par L’union, Mathéo, 14 ans chuchote « Call of Duty » à l’un de ses camarades. Cette franchise de jeux vidéo s’est imposée comme une référence incontournable chez les jeunes. Mais encore ? « Des batailles, des tranchées », lance, à raison Enzo, 13 ans. Les langues se délient enfin. Certains parlent de chars d’assaut (qui apparaissent à partir de la bataille de la Somme, en 1916), d’autres de lance-flammes… Un autre élève fait sûrement la confusion avec la guerre de 39-45, en évoquant la bombe nucléaire.Lettres du frontQuand on leur pose la question, beaucoup sont conscients des enjeux de la mémoire. « C’est pour comprendre [ce qui s’est passé, NDLR] et pour respecter la France », lance la petite Leïla. Enzo, toujours : « C’est important de pouvoir le raconter ». Vu l’âge de la classe, dont la grande majorité a entre 13 et 14 ans, beaucoup sont surpris en apprenant l’âge du plus jeune soldat français du conflit, enrôlé à 15 ans en se faisant passer pour majeur.Dans la classe d’à-côté, chez les 3e Prévert de Mme Portelette, là aussi en Segpa, on fait travailler son imaginaire en écrivant des lettres de quelques lignes : leur exercice est de se mettre dans la peau d’une mère, d’une infirmière, d’un soldat ou d’un enfant de l’époque, qui envoie un courrier à sa famille à l’arrière ou au front.Certaines de ces lettres seront lues lors de l’événement du 10 novembre, en présence d’élus, de porte-drapeaux, et de représentants de l’État comme des gendarmes et des pompiers. Solène, 14 ans, s’est mise dans la peau d’un Poilu qui écrit à sa femme et ses fils restés à l’arrière. Interrogée sur le quotidien des Poilus, la classe évoque la « tristesse », l’« anxiété » vécue par les soldats. À lire aussi Étreux ajuste son arrêté sur la consommation d’alcool pour prévenir les regroupements nocturnes Dans la classe. Maëlys parle des « rats et des puces », d’autres parlent de la boue et des cadavres avec lesquels on cohabite au quotidien dans les tranchées, tandis qu’un autre élève évoque, là encore « Call of Duty ». Des jeunes bien renseignés parlent de la neutralité de la Belgique piétinée par l’armée allemande, ou même du génocide arménien.Baïonnettes et tablettes« On part du concret : des documents, des films, des faits réels », explique Céline Portelette. La professeure leur a même conseillé Un long dimanche de fiançailles, le film culte de Jean-Pierre Jeunet, que certains ont déjà regardé. Les supports numériques, comme des tablettes, sont ici aussi des outils pédagogiques pour apprendre l’histoire.Selon le principal, Arnaud Morelle, cette mobilisation autour de l’armistice est une façon de « prolonger le parcours citoyen de l’élève ». La cérémonie va mobiliser les 16 classes de l’établissement, et même au-delà, puisque des CM1-CM2 de l’école Brimbeuf-Ceccaldi, située place Sohier, chanteront une Marseillaise.Un « menu du Poilu », avec de la potée en plat principal, sera même préparé par des collégiens participant à « Hygiène – Alimentation – Services », un module professionnalisant. Les convives auront la chance d’échapper au pain de guerre. Par Irvin Decampe Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Grande Guerre Vervins (Aisne) « C’est important de pouvoir le raconter » : les collégiens de Vervins se souviennent de la Grande Guerre Lundi 10 novembre 2025, à la veille des commémorations officielles, le collège Condorcet de Vervins va consacrer une journée à la Première Guerre mondiale, en présence d’élus. Mais comment les adolescents d’aujourd’hui donnent-ils du sens au souvenir de ce conflit ?
Une réunion autour du projet a eu lieu à Guise. Mis en ligne le 6/11/2025 à 07:49 Lecture zen C’est une première étape concrète pour le projet d’insertion autour de la guinguette mobile porté par les Ambassadeurs de l’Utopie. L’association a accueilli, il y a quelques jours, leurs partenaires d’API Formation, du groupe Vitamine T, pour une première visite de terrain. Une rencontre placée sous le signe de l’échange et de la collaboration, qui a suscité un réel enthousiasme parmi les jeunes participants. Consultez l’actualité en vidéo Faire émerger des opportunités pour la jeunesse« Le but est de créer des espaces d’apprentissage, de cohésion d’équipe, de rencontre et d’opportunités pour les jeunes de la Thiérache, en lien avec les acteurs locaux », explique Alice Ribeiro, l’une des porteuses du projet. À lire aussi La guinguette mobile reprendra la route de la Thiérache Sambre et Oise en 2026 Ancré dans une démarche d’économie sociale et solidaire, ce dispositif vise à transformer les aspirations des jeunes en actions concrètes. « C’est un projet qui commence à prendre vie grâce aux différents acteurs mobilisés », ajoute Alice Ribeiro.API Formation, partenaire clé de cette initiative, propose des parcours de formation destinés à redonner confiance, développer les compétences et préparer à l’insertion professionnelle. Ensemble, les deux structures entendent impulser une nouvelle dynamique pour la jeunesse du territoire. Par P.F. (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Guise (Aisne) Les jeunes de Thiérache au cœur du projet d’insertion des Ambassadeurs de l’Utopie Autour de leur guinguette mobile, les Ambassadeurs de l’Utopie entament la première étape concrète d’un projet d’insertion inédit. Objectif : favoriser l’épanouissement et l’engagement des jeunes de Thiérache à travers le sport, l’art et la culture.
Il existe neuf chemins de randonnée sur le territoire de la communauté de communes Nièvre et Somme. - Photo d’illustration Richard Villalon Mis en ligne le 6/11/2025 à 08:00 Lecture zen 9C’est le nombre total de chemins de randonnée de la communauté de communes Nièvre et Somme (CCNS).« Durant notre mandat depuis 2020, nous en avons créé deux par an, commence à expliquer Annick Lemaire, vice-présidente en charge du tourisme. L’objectif était non seulement de lancer des sentiers traditionnels, mais aussi de faire découvrir le patrimoine et les produits locaux ». Parmi eux, citons Tenfol, l’Abbaye du Gard, les Grandes aiguilles, Belloy-La Chaussée, etc. Le dernier en date est celui des Hauts du Domartois, long de 15 km (lire par ailleurs) et qui démarre de Lanches-Saint-Hilaire. Consultez l’actualité en vidéo 121,1Il s’agit du nombre total de kilomètres de chemins balisés depuis 2020. Le sentier le plus court (7,6 km) est celui du Mont Woignas, au départ d’Halloy-lès-Pernois à Havernas, en passant par Canaples. Le plus long, intitulé « De l’argentique aux graffitis », s’étend sur 20,5 kilomètres et démarre de Vignacourt. Il permet à la fois de découvrir le centre d’interprétation 14-18, à travers la collection de photos des Thuillier et des graffitis de soldats au sein de la cité souterraine de Naours. Le tout, à travers des paysages bucoliques et cinq églises. À lire aussi Hauts-de-France nature : trois rendez-vous gratuits à réserver près d’Amiens 39 962,32En euros, c’est le budget total consacré par la communauté de communes Nièvre et Somme aux sentiers de randonnée, depuis 2020. « Cela comprend l’expertise et le balisage des circuits par le comité samarien de la Fédération française de randonnée, la fabrication du totem de départ et la signalétique (panneaux notamment), ainsi que l’édition d’une fiche numérique par chemin », détaille Annick Lemaire.3Trois circuits ont été créés par le Département de la Somme, avec lequel la CCNS a signé une convention. « Il s’agit de la vallée d’Acon (3,8 km à partir de la Chaussée-Tirancourt), du Bois des Dames (12 km au départ d’Halloy-lès-Pernois) et de l’arbre de la Croix (6,5 km, dès Saint-Léger-lès-Domart), cite la vice-présidente en charge du tourisme. Le conseil départemental verse une participation annuelle à l’entretien de ces sentiers. »22Vingt-deux communes sont concernées par les chemins de randonnée depuis 2020, de Vignacourt à Picquigny, en passant par Hangest-sur-Somme, Ailly-sur-Somme, Halloy-lès-Pernois, la Chaussée-Tirancourt, entre autres « Là encore, des conventions ont été envoyées aux mairies. Tout au long de l’année, on demande aux communes de se rapprocher de l’intercommunalité et de l’office de tourisme », souligne Annick Lemaire. À lire aussi Centre aquatique de Flixecourt : « L’extension ne coûtera pas un million d’euros » 5En plus des neuf sentiers de randonnée, cinq circuits plus courts permettent de découvrir les communes, à l’image de Flixecourt (6,1 km autour de l’industrie), Vignacourt (5 km), Saint-Léger-lès-Domart (sur l’art-déco en Val de Nièvre), Picquigny (1,8 km) et Domart-en-Ponthieu (ancienne ville forte, 0.9 km). Des points d’intérêt sur le patrimoine, l’architecture et l’histoire sont listés.Sentiers disponibles sur www.nievresomme-tourisme.fr/planifier/sur-les-chemins ou auprès de l’office de tourisme Nièvre et Somme 5, chemin de Halage, à Picquigny. Tel. 03 22 51 46 85. Par Alexandre Genest Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Picquigny (Somme) Lanches-Saint-Hilaire (Somme) Flixecourt (Somme) Belloy-sur-Somme (Somme) La Chaussée-Tirancourt (Somme) Saisseval (Somme) Havernas (Somme) Les chemins de randonnée ont la cote en Nièvre et Somme Les amateurs de nature et de patrimoine peuvent découvrir le territoire, autour de Flixecourt, à travers des circuits de randonnée balisés (pédestre ou VTT), libres d’accès, allant de 7,6 à 20,5 kilomètres. Tour d’horizon.
Les cours sont de nouveau assurés depuis la rentrée de ce lundi mais en mode dégradé au niveau des outils informatiques et pédagogiques. - Kevin Devigne Mis en ligne le 6/11/2025 à 08:05 Lecture zen Les lycées publics des Hauts-de-France victimes d’une cyberattaque depuis le 10 octobre vont-ils vivre cette semaine leurs derniers jours de fonctionnement en mode dégradé ? Pas impossible. De source syndicale – le Conseil régional n’ayant pas répondu à nos questions – tous les ordinateurs dédiés aux activités pédagogiques (80 000, à raison de 8 000 par jour !) pourraient avoir été « nettoyés » d’ici la fin de semaine, dans le sillage des appareils dédiés à l’administration (7 000). Ceux-ci ont déjà reçu un logiciel de sécurité pendant les vacances scolaires. « Ils disposent d’un accès internet mais restent déconnectés du réseau informatique régional », précise la Foire aux questions (FAQ) interne des académies (à la date du 30 octobre). Consultez l’actualité en vidéo Ce mode d’emploi dédié aux personnels des lycées délivre par ailleurs plusieurs consignes à respecter, comme renouveler impérativement les mots de passe, n’en sauvegarder aucun dans les navigateurs internet, « ne pas allumer les ordinateurs sans validation » préalable, ou ne pas connecter un ordinateur personnel au réseau informatique de l’établissement.« C’est seulement une fois que tous les ordinateurs auront été nettoyés que le réseau informatique (du Conseil régional) sera relancé »Nathalie Prost, syndicat des chefs d’établissements SNPDEN« C’est seulement une fois que tous les ordinateurs auront été nettoyés que le réseau informatique (du Conseil régional) sera relancé », explique Nathalie Prost, secrétaire de la Somme du syndicat des chefs d’établissements SNPDEN, et proviseure du lycée de l’Authie, à Doullens (Somme). Une partie des données enregistrées sur les serveurs sera sans doute définitivement perdue.Les paies sont assuréesEn attendant un retour à la normale, le wifi et la plupart des serveurs étant indisponibles, l’usage de certains outils (photocopieurs, vidéoprojecteurs…) reste limité en connexion « locale », via une clef USB ou un câble VGA. Les inscriptions aux examens sont redevenues possibles grâce à des clefs « OTP » (d’identification forte aux outils de gestion), avec une priorité donnée aux élèves de BTS (pour cause de clôture nationale au 12 novembre). Les paies sont également assurées. La gestion des cantines fonctionne aussi. À lire aussi Pourquoi la dotation de la Région versée aux lycées picards va encore baisser en 2026 « On débloque les volumes de photocopies », ajoute Nathalie Prost, alors que des limitations ont pu être imposées par certains chefs d’établissement avant les vacances, comme le rapporte un courrier conjoint des FSU d’Amiens et de Lille adressé il y a quelques jours aux recteurs. « Tout le monde fait preuve d’adaptabilité et de bonnes volontés », constate la proviseure de Doullens.Sur le sujet, enfin, de la fuite des données personnelles des personnels et des élèves lors de la cyberattaque, la discrétion reste toujours de mise, une enquête étant en cours. Selon le SGEN-CFDT de Picardie, « seuls 16 établissements de la région auraient été touchés, tous dans l’académie de Lille, aucun dans l’académie d’Amiens ». Par Gael Rivallain Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Académie d'Amiens Hauts-de-France Picardie Cyberattaque dans les lycées des Hauts-de-France : la reconquête des ordinateurs pédagogique bat son plein Après les appareils administratifs, le « nettoyage » des ordinateurs dédiés aux usages pédagogiques continue cette semaine. Des consignes de sécurité informatique ont été passées aux personnels.
Les chiffres de fréquentation au dépistage du cancer du sein, notamment dans les quartiers prioritaires et les villages ruraux, ne sont pas toujours bons. D’où l’inauguration d’un camion itinérant Nord Santé financé par le Département. À Fourmies, là où l’idée a germé.
À l’occasion des 80 ans de la PMI (Protection maternelle et infantile), les professionnels lancent un signal d’alarme, après une mobilisation devant le ministère de la Santé ce mercredi 5 novembre. Dans les Hauts-de-France, malgré les difficultés du secteur, la situation semble plus contrastée. Nous sommes allés à la rencontre des professionnels de la PMI rassemblés à Grande-Synthe lundi.
Les vols ont eu lieu au sein de l’hypermarché de la zone Romanette. Mis en ligne le 6/11/2025 à 06:34 Lecture zen Le 1er novembre dernier, c’était jour férié. Mais le supermarché Carrefour du quartier Romanette, à Laon, était bien ouvert. Difficile donc de passer inaperçu quand on veut essayer de voler des produits du magasin, même dans la réserve. C’est ce qu’ont tenté deux jeunes hommes, presque avec succès, comme l’explique L’union. S’ils sont parvenus à escalader les murs du commerce pour atteindre la zone de stockage, ils ont été vus à leur sortie, équipés de trois sacs remplis de denrées alimentaires. Alertée, la police a rapidement attrapé les deux suspects, un homme de 41 ans et un adolescent mineur. Dans ce butin, on retrouve des céréales, des boissons, des sodas, et d’autres aliments. À lire aussi Soissons : repérés en plein rodéo urbain, deux jeunes récidivistes évitent la case prison À la barre du tribunal de Laon, ce mardi 4 novembre, le quadragénaire justifie son geste par la faim. « Je n’avais plus de moyens, j’ai été contraint de voler ces produits. Ça fait deux jours que je n’avais plus à manger. » Ce serait dans cette situation de détresse qu’il aurait fomenté le coup avec le jeune homme, fils de ses amis. « Je l’hébergeais à ce moment-là. Je ne pouvais pas le laisser comme ça. »Je n’avais plus de moyens, j’ai été contraint de voler ces produits. Ça fait deux jours que je n’avais plus à manger.Le prévenuLa version du mineur, rapportée par le tribunal, est quelque peu différente. En fugue de son foyer d’accueil, l’adolescent était effectivement hébergé par le quadragénaire, mais « si je ne l’aidais pas à voler, je ne pouvais pas dormir chez lui », a-t-il dit aux enquêteurs. Ce qui met à mal la version du prévenu, dont le casier judiciaire est déjà lourd de plusieurs condamnations pour vol, entre autres.« Marqué au fer rouge par la misère »« J’ai un peu du mal à croire qu’il n’avait aucune alternative au vol, tranche le procureur de la République. Il y a des associations qui font que personne ne peut mourir de faim. Il a choisi la pire solution. Et quand on se prétend responsable, on n’emmène pas un mineur avec soi pour commettre ce genre de faits. » Une peine mêlant sursis probatoire et prison ferme est requise. À lire aussi Ivre, il tente d’échapper à la police en quad et percute deux voitures à Château-Thierry Pour la défense, il faut regarder la situation précaire du prévenu. « Il comparaît devant vous en t-shirt, alors qu’il commence à faire froid dehors, insiste Me Bouchaillou. Il a la marque au fer rouge de la misère. Il fait des travaux saisonniers, et c’est tout. Il est presque à poil. Je ne plaiderai pas la relaxe. Mais la prison ne sera pas efficace pour lui permettre de retrouver un bon cadre. »D’où l’idée de travaux d’intérêt général (TIG) proposée par l’avocat. TIG que le prévenu se dit prêt à réaliser. Le tribunal le condamne donc à travailler 280 heures pour l’intérêt général dans les 18 mois. Dans le cas contraire, il risque six mois de prison. Par Kévin Lourenço Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Laon (Aisne) Un quadragénaire jugé pour avoir volé de la nourriture au Carrefour de Laon Le 1er novembre, un homme de 41 ans a été surpris en train de voler des denrées alimentaires dans la réserve du Carrefour Romanette, à Laon. Jugé ce mardi, il affirme avoir agi sous la contrainte de la faim. Son jeune complice a une version bien différente.
La consommation d’alcool sera interdite sur toute la zone de la salle polyvalente en raison de l’augmentation du ramassage de verres brisés, de plastiques et de canettes dans ce secteur. - Archives. Mis en ligne le 6/11/2025 à 07:00 Lecture zen À Étreux, la publication d’un arrêté municipal sur la consommation d’alcool dans certains espaces publics, ce mardi 4 novembre, a pu laisser croire à une nouvelle réglementation. En réalité, il s’agit d’une mise à jour d’un dispositif existant depuis 2018, précise le maire, Bertrand Duferme. « L’arrêté existait déjà, il avait été pris en 2018 à la demande de la sous-préfecture, et moi je l’ai simplement amendé de quelques rues particulières dans Étreux où il y a parfois des regroupements tardifs avec consommation d’alcool », explique l’élu. Consultez l’actualité en vidéo Ces ajustements concernent plusieurs points du bourg au niveau de la zone de la salle polyvalente.Ces ajustements concernent plusieurs points du bourg à savoir la zone de la salle polyvalente avec le terrain multisports, le parking du groupe scolaire, l’abribus de la salle polyvalente, la place devant la salle des fêtes, la rue de l’Oise et la halte nautique. Autant d’endroits qui incluent certains lieux fréquentés par des enfants où des rassemblements informels pouvaient occasionner nuisances et déchets, notamment verres et canettes. À lire aussi La Capelle : le festival « En Voix » des Hauts-de-France remet l’opérette à l’honneur avec le trio Ayònis Une mesure de préventionLe maire assure que cette décision n’est pas une réponse directe à une plainte d’habitants, mais plutôt une mesure de prévention : « Ce n’est pas forcément une demande directe des habitants. C’est à la suite de regroupements non loin de la place de la mairie. On a pris l’initiative d’amender cet arrêté pour essayer de limiter l’impact que ça pourrait avoir sur les riverains. J’ai simplement reciblé quelques endroits. » L’objectif, selon lui, est avant tout de préserver la tranquillité publique et d’éviter les débordements sans restreindre la convivialité locale. Les terrasses de cafés et restaurants ainsi que les manifestations autorisées disposant d’un débit de boissons temporaire ne sont pas concernées par cette interdiction. « C’est une mesure de bon sens, pour maintenir un cadre de vie paisible », résume le maire. Par Sarah REMOND Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Étreux (Aisne) Étreux ajuste son arrêté sur la consommation d’alcool pour prévenir les regroupements nocturnes À Étreux, un arrêté municipal encadrant la consommation d’alcool dans certains espaces publics a été actualisé ce mardi 4 novembre. Il vise à prévenir les regroupements tardifs et à protéger la tranquillité des riverains autour de la salle polyvalente et de ses lieux périphériques parfois fréquentés par des enfants.

Animalis, une enseigne proposant de nombreux accessoires dédiés aux animaux de compagnie et à leur bien-être, va s'implanter à Beauvais. On vous dit quand.

Alors que le parc zoologique de Lille propose ses derniers événements avant sa fermeture hivernale dimanche, les habitants sont invités à choisir le prénom du petit panda roux né cet été. Pourquoi ça ferme ? Comme chaque année, à l'approche de l'hiver, le parc zoologique de Lille ferme ses portes ce dimanche soir. "L'hiver, c'est la saison parfaite pour les plantations, la maintenance, l'élagage… c'est aussi un moment de calme essentiel pour les animaux", explique Stanislas Dendievel, adjoint au maire chargé de l'urbanisme, du paysage, de la nature et du parc zoologique. Dimanche, les équipes du zoo ont prévu une journée festive avant la fermeture : des jongleurs, échassiers et des jeux de piste sont prévus. Pour en savoir + sur les animations du dimanche 9 novembre, rendez-vous ici. Des chiffres-clés Avec presque 300 000 visiteurs par an, le parc ne cesse de se renouveler, avec notamment l' ouverture d'un ...

Un drôle de cirque vous accueille sentier du Laurier, dès 17h, à Wasquehal. Il s'agit d'un jardin privé décoré par des bénévoles où il est possible de se restaurer et où les enfants peuvent jouer et se faire maquiller. Le point de départ Au 1 ter, sentier du Laurier, à Wasquehal, se trouve un jardin arboré d'1 ha, géré par l'association l' Oasis des Lauriers. "Il s'agit d'un terrain privé que le propriétaire met à notre disposition", explique son président Constant Zajac. "C'est une ancienne pâture, qu'on a commencé à aménager avec une équipe de voisins, puis d'autres personnes ont rejoint l'aventure." On y trouve une aire de jeux pour enfants, des animaux ou encore un terrain de pétanque. "L'idée d'origine, c'est de créer du lien et de proposer des animations qui soient gratuites, accessibles à toutes et tous", résume Constant Zajac. "Et c'est quelque chose qu'on réussit plutôt bien ...

L' Établissement français du sang a besoin de 21 000 donneurs de plasma supplémentaires chez nous d'ici fin décembre. Annick Remy, responsable des prélèvements pour l'EFS Hauts-de-France-Normandie-bassin lillois, répond à l'Essentiel Lille. Quezaco "Le plasma, c'est la partie liquidienne du sang, qui véhicule les globules rouges, les globules blancs, les plaquettes, les cellules : tout cela circule dans le plasma." Le don de plasma, c'est le même principe qu'un don du sang : "On prélève du sang mais la machine va faire la séparation et filtrer d'un côté le plasma, de l'autre les cellules." Une fois séparés, les cellules et globules sont réinjectés dans l'organisme. Et le plasma récupéré dans la poche de prélèvement ressemble à un liquide jaunâtre. Seuls 40 % des Françaises et Français connaissent le don de plasma, selon l'EFS. Pourquoi c'est important "Dans le plasma, il y a 15 protéines et ces protéines vont être extraites ...

Un lieu symbolique à Abbeville où la vie va reprendre après le triste épisode des inondations du printemps 2001.

Les 7, 8, 9 et 11 novembre 2025, un spectacle inédit et impressionnant sera à découvrir à Bruay-la-Buissière, dans le Pas-de-Calais. Le prix est très accessible.

Shein par-ci, Shein par-là. Où le géant chinois ne sera pas, c'est au salon du bébé à Lille Grand Palais. La marque a été exclue de l'événement, au soulagement des élus Verts.

Mis en ligne le 6/11/2025 à 05:57 Lecture zen Au centre hospitalier de Saint-Quentin, le neurologue Jean-Claude Bouffeteau voit défiler de plus en plus de jeunes patients victimes du protoxyde d’azote. « Les cas les plus fréquents ici sont des atteintes de la moelle épinière. Le protoxyde d’azote à haute dose détruit les fibres de la sensibilité, provoquant des fourmillements dans les mains et les pieds, des troubles de l’équilibre, des carences qui provoquent des destructions neurologiques considérables. »En deux ans, 34 hospitalisations ont été recensées dans le service pour des complications liées à ce gaz, sans compter les cas modérés impossibles à comptabiliser.« Nous avons vu des consommateurs très réguliers, jusqu’à quatre ou cinq ampoules par jour. Et la plupart n’ont pas plus de 25 ans », précise le praticien.Le neurologue confirme qu’il n’existe pas encore de formation spécifique sur ce sujet au sein même du centre hospitalier, mais les urgences commencent à appréhender le sujet. « Au début, on n’y prêtait pas trop attention, puis on a commencé à s’inquiéter en voyant arriver des patients faisant des crises d’épilepsie régulières. »Une prise de conscience est en cours à l’hôpital selon lui : « On va continuer d’en voir de plus en plus. » Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : saint-quentin À Saint-Quentin, un neurologue du centre hospitalier tire la sonnette d’alarme

L’entraîneur du Betis Séville s’est prononcé sur le match contre l’OL en Ligue Europa. Il avoue qu’il se méfie de Lyon, invaincu en trois matchs. Betis - OL : Pellegrini redoute une équipe "très physique et de qualité" L’OL et en déplacement à Séville pour affronter le Betis, jeudi (21h), lors de la 4e journée de la phase de qualification de la Ligue Europa. Grâce à ses trois victoires en autant de matchs disputés, le club rhodanien compte 9 points et est 3e au classement, largement devant le club andalou, qui pointe à la 16e place avec 5 points. Lisez aussi : Ligue Europa : L’OL sans son capitaine face au Betis Séville Fort du début canon des Gones dans cette coupe d’Europe, Manuel Pellegrini se méfie d’eux. Lors de son passage en conférence de presse, il a laissé entendre qu’il s’attend à un match "très physique" contre "une équipe de qualité". Au sujet de la forme actuelle de l’Olympique Lyonnais le technicien chilien a déclaré : "C'est une équipe très physique qui a bien commencé la saison en championnat et en compétition européenne, malgré un léger fléchissement ces derniers temps". Pellegrini : "Réaliser une grande prestation pour obtenir un résultat positif" Ayant concédé deux nuls pour une seule victoire, le Betis Séville a à cœur de remporter le match contre l’équipe de Paulo Fonseca, afin de refaire son retard. « Il nous faudra réaliser une grande prestation pour obtenir un résultat positif », a indiqué Manuel Pellegrini. Le club sévillan pourrait surfer sur ses deux dernières victoires, respectivement contre Palma del Rio (1-7) en coupe du Roi et le Real Majorque (3-0) en Liga, pour infliger à l’OL sa première défaite en C3. Y parviendra-t-il ? Aucune certitude ! Lire aussi sur l'OL : OL Mercato : Un joueur prometteur signe chez les Lyonnais C3, Ligue 1 : L’OL joue gros face au Betis et le PSG Mercato OL : Un super crack dit Oui à Fonseca
Une douzaine de jeunes de la Mission locale était présent sur place. - Photo Mathis Helie L’occasion pour eux de découvrir le monde de l’industrie. - Photo Mathis Helie Ils ont pu s’initier au fonctionnement d’un robot. - Photo Mathis Helie Les jeunes ont pu visiter l’atelier soudure. - Photo Mathis Helie Mis en ligne le 5/11/2025 à 20:58 Lecture zen Une usine mobile en plein milieu d’un établissement scolaire. Aussi insolite que cela puisse paraître, cette initiative existe et porte un nom : La Fabrique 4.0. Du lundi 3 novembre au vendredi 7 novembre 2025, le dispositif était installé pour la sixième fois depuis 2022 dans le Vimeu. Cette fois-ci, en plein cœur du site de Proméo à Friville-Escarbotin. Consultez l’actualité en vidéo Visite de l’usine et de ProméoTout commence par la visite de l’usine en version miniature pour les 13 jeunes de la Mission Locale présents sur place dans l’après-midi du 5 novembre 2025. À lire aussi Commerce. Frédérique Macarez : « Dix kebabs dans une rue, ce n’est pas une stratégie, il faut pouvoir réguler » L’occasion pour eux de découvrir pendant 30 à 45 minutes les parties usinage, robotique et metrologie, installés au sein même du dispositif, inaugurée en mars 2022. Comment ? En suivant le processus d’une ligne de production, de la création à l’aboutissement. Tous ont pu notamment assister à une démonstration de la programmation d’un robot, faite par Pierre, animateur du jour. Et même y participait, en le maniant directement.« L’objectif du dispositif porté par l’UIMM (Union des Industries et Métiers de la Métallurgie) Hauts-de-France, avec le soutien de la Région, est de présenter l’industrie dans les établissements scolaires et de montrer que c’est cool », témoigne le jeune homme, étudiant chez Proméo. L’occasion aussi pour lui de « rappeler que l’introduction des robots dans les entreprises n’est pas dangereuse, cela retire juste les métiers fastidieux ».Après cette première immersion, Sandrine, une autre animatrice, prend la main et tente de rendre les jeunes moins timides. Elle présente sous forme d’un jeu quelques informations pour motiver les potentiels candidats à se manifester. Principalement les femmes, peu présente dans les entreprises (27 %). Et durant cette après-midi aussi : seulement une était là.« Le monde de l’industrie est en souffrance »« Le monde de l’industrie est en souffrance. On a du mal à recruter », déplore Alain Liard, responsable du site de Proméo Friville-Escarbotin. D’où l’intérêt de « faire découvrir, loin des clichés, l’industrie à ses jeunes sur un territoire où plus d’un tiers des emplois viennent du secteur ».C’est avec lui que les treize personnes poursuivent la visite. Cette fois-ci, celle du centre de formation. Au programme : la découverte des ateliers usinages, maintenance, soudure et process, utilisés par les stagiaires tout au long de leur apprentissage.Bilan de cette demi-journée : « très positif », indiquent les demandeurs d’emploi, déjà intéressés par le secteur. Certains ont même déposé leurs CV. Pour les autres, « c’est une bonne découverte », confie l’un d’entre eux.Découverte que demandeurs d’emplois et grand public pourront aussi faire tout au long de la journée du vendredi 7 novembre 2025, après celle faite par les jeunes de la Mission locale et par les plus de 230 élèves venus tout au long de la semaine. Par Mathis Helie Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Friville-Escarbotin (Somme) Insolite. Dans le Vimeu, une usine mobile installée en plein milieu d’un établissement scolaire Du lundi 3 novembre au vendredi 7 novembre 2025, La Fabrique 4.0, une usine mobile, s’est installée au cœur du site Proméo à Friville-Escarbotin. Une découverte pour les jeunes présents sur place.

Le mois de novembre est-il un mois où la taille des rosiers s'impose ? Les avis divergent. Voici comment ne pas se tromper.


Débuts catastrophiques pour Hans Hateboer : arrivé en tant que joker en prêt de Rennes, le défenseur néerlandais a été expulsé au bout de 7 minutes dès sa première titularisation avec l'OL, ce dimanche soir à Brest.
Inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2012, les anciens sites houillers du nord de la France sont devenus le symbole d'un territoire qui a su se réinventer. L'histoire aurait dû s'arrêter en 1990, avec la fermeture de la dernière mine de charbon française. Aujourd'hui, ce territoire dynamique accueille aussi bien des vignes que des événements culturels.

À 48 heures du déplacement à Brest, l'entraîneur lyonnais Paulo Fonseca regrette le relâchement de ses joueurs quand ils affrontent les petits de L1, comme cela a été le cas au PFC ou contre Toulouse.
Le Sénat a adopté mercredi soir, en deuxième lecture, la proposition de loi sur le statut de l'élu local visant à encourager l'engagement local. Alors que ce texte doit revenir à l'Assemblée, Sébastien Lecornu espère son adoption avant les municipales de mars prochain.

La Région Hauts-de-France organisait ce mercredi son « Investor Day ». Coca-Cola, Unilever, AstraZeneca, Emerson, FertigHy... derrière cette dynamique, la réalité des fermetures récentes dans la région rappelle que l’attractivité ne garantit ni pérennité, ni réindustrialisation.
