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Mises à jour sur les actualités, les événements publics, l’évolution des infrastructures et les actions communautaires touchant la région capitale.
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Les écoliers de Notre-Dame-de-Bondeville auront bien leur nouvelle école dès le 5 janvier 2026

L’école Colette-Privat, en construction rue de l’Avenir à Notre-Dame-de-Bondeville, est toujours en cours de réalisation. - Photo Paris-Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 21:11 Lecture zen Il y a toujours un peu d’animation dans les séances du conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville et la séance du 5 novembre 2025 n’a pas dérogé à la règle, faisant d’ailleurs réagir l’opposante Virginie Bottais (Alliance Bondevillaise) qui a estimé « qu’au-delà de la commune on nous prend pour des bouffons. Le conseil municipal devient une pièce de théâtre. On perd en crédibilité et la reprise va être compliquée pour le prochain maire ». Consultez l’actualité en vidéo L’opposant Alain Quibel vote à bulletin secret, comme tout le conseil municipal, pour décider ou non de l’ouverture de l’école qu’il juge précipitée. - Photo Paris Normandie Incessantes passes d’armes entre oppositions et majoritéMais dans le même temps, cette séance a été majeure pour les écoliers de la ville puisqu’il a été voté que les écoles Duteurtre et Hugo allaient fermer en décembre et que les effectifs seront regroupés dès le 5 janvier 2026 dans l’école Colette-Privat toujours en construction et qui constitue le projet phare de la mandature de la maire Myriam Mulot avec la rénovation de la mairie. À lire aussi Reporté à deux reprises, le conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville à nouveau programmé Revenons sur le folklore en premier lieu avec des passes d’armes incessantes entre les oppositions et la maire Myriam Mulot, pour l’instant sous le coup d’une double enquête administrative et pénale pour divers manquements à la probité. Si Virginie Bottais promettait un avenir judiciaire sombre à la maire et à sa municipalité « corrompue », détaillant qu’elle avait encore de quoi déposer plainte, la maire Myriam Mulot a estimé qu’il ne s’agissait que de « la haine » et avait détaillé précédemment qu’elle réservait ses réponses aux enquêteurs. À notre connaissance, elle n’a pas été convoquée. L’opposition a réclamé et obtenu de la maire Myriam Mulot un vote à bulletin secret, espérant des défections au sein de la majorité municipale, ce qui ne s’est pas produit. - Photo Paris Normandie « La dette devra être assumée par les équipes suivantes » && De son côté le groupe Osez le Renouveau d’Alain Quibel a surtout insisté sur le manque de transparence de la mairie au fil des délibérations. « Il manque toujours des documents, des chiffrages, nous ne sommes pas conviés aux manifestations de la commune », a-t-il détaillé à diverses reprises. Il a aussi insisté sur le bilan financier de la municipalité dont les projets « sont financés par les ventes des biens communaux. Les chiffres seront bons le jour des élections mais la dette devra être assumée par les équipes suivantes ». La nouvelle école, rue de l’Avenir, est en novembre 2025, à deux mois de son ouverture, toujours en grand chantier à Notre-Dame-de-Bondeville. - Photo Paris Normandie && Résultat de cette tension permanente : un homme dans le public a adressé un doigt d’honneur à une adjointe, la maire a un temps menacé de poursuivre la séance à huis clos avant qu’elle ne cède, face aux arguments juridiques des oppositions, et qu’elle n’accorde un vote à bulletin secret sur l’ouverture de l’école Colette-Privat face à un public venu en nombre. Les élections ne sont pas loin et tous les avaient en tête. À lire aussi Un nouveau psychodrame marque le conseil municipal de cette ville près de Rouen Une ouverture précipitée ?Reste que la délibération phare de cette séance, qui avait été reportée à deux reprises après une suspension le 5 octobre faute de quorum, a été adoptée à 21 voix contre 8. L’école Colette-Privat ouvrira donc le 5 janvier 2026 et accueillera les élèves de Duteurtre et Hugo. La capacité d’accueil sera de 500 élèves. La nouvelle école, rue de l’Avenir, est au novembre 2025, à deux mois de son ouverture, toujours en grand chantier à Notre-Dame-de-Bondeville. - Photo Paris-Normandie Une ouverture « précipitée » pour Alain Quibel qui aurait préféré une mise en service en septembre 2026, après les élections. Une ouverture annoncée alors que les engins de chantier sont encore à l’œuvre. « L’entreprise s’est engagée sur cette date », a expliqué la maire Myriam Mulot. Restera aussi à obtenir les avis, notamment du SDIS, pour autoriser l’ouverture. && Autre écueil, la démographie scolaire. La création immobilière foisonnante à Notre-Dame-de-Bondeville devrait assurer les effectifs, assume la municipalité, tandis qu’Alain Quibel dénonce un méga-projet surdimensionné en raison d’une « démographie scolaire qui plonge » ainsi qu’un coût (12 M€) trop élevé.Un bâtiment moins énergivore Virginie Bottais, de l’Alliance Bondevillaise, lors du vote à bulletin secret portant sur l’ouverture de l’école Colette-Privat prévue le 5 janvier 2026. - Photo Paris Normandie Pour la majorité en place, cette rationalisation des écoles permettra de disposer d’un bâtiment moins énergivore, avec un environnement agréable tant pour les élèves que les enseignants. Les deux écoles garderont jusqu’en septembre leurs indépendances avant de fusionner à la rentrée. Par Benoît Marin-Curtoud Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Élections municipales Notre-Dame-de-Bondeville (Seine-Maritime) Les écoliers de Notre-Dame-de-Bondeville auront bien leur nouvelle école dès le 5 janvier 2026 C’est voté, avec tout le folklore habituellement rattaché aux séances du conseil municipal de Notre-Dame-de-Bondeville : l’école Colette-Privat ouvrira le 5 janvier malgré les protestations des oppositions.

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À Évreux, les Conviviales de la CCI rapprochent entrepreneurs et services publics

Les échanges ont été enrichissants entre entrepreneurs et services de l’État mercredi 5 novembre 2025 à Évreux. Des entrepreneurs locaux présents en nombre. Le préfet de l’Eure s’adressant aux entrepreneurs locaux. Les entrepreneurs ravis de pouvoir échanger librement. La CCI à Évreux. Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:20 Lecture zen Mercredi 5 novembre 2025, la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de l’Eure organisait, à Évreux, la deuxième édition des Conviviales de la CCI, un rendez-vous conçu pour rapprocher les chefs d’entreprise des services publics. Consultez l’actualité en vidéo Après une première édition en 2024 à Bernay, cette rencontre a de nouveau illustré la volonté des acteurs publics de se rendre accessibles et utiles au monde économique.À l’origine du concept de « guichet unique éphémère », Stéphane Lebas, président du conseil d’administration de l’URSSAF Normandie, salue une initiative « née dans l’Eure-et-Loir » qu’il a souhaité transposer dans le département : « J’avais découvert le dispositif comme chef d’entreprise et j’avais trouvé remarquable ce dialogue entre services publics et monde économique. C’est une façon de casser les barrières, de montrer que nous sommes au service des entrepreneurs, et pas là juste pour les contrôler. » À lire aussi Nouveautés à Évreux : l’ESCCI inaugure un second campus pour la rentrée « L’idée, c’est qu’en un seul lieu, les dirigeants repartent avec des réponses concrètes à leurs questions et surtout avec les bons contacts », complète Delphine Wahl, directrice de la CCI de l’Eure.Des échanges concrets et appréciésUne dizaine de services de l’État étaient présents pour accueillir les entrepreneurs et répondre à leurs interrogations. Les participants ont visiblement apprécié cette proximité. À lire aussi CCI Work, le nouvel espace de travail à Évreux qui permet aux entreprises de louer des bureaux « Lors de la première édition, les chefs d’entreprise étaient restés jusqu’à la fin, curieux, ravis de pouvoir poser toutes leurs questions sans crainte. Ce qu’ils avaient surtout retenu, c’est qu’ils repartaient avec des cartes de visite, des noms, des visages. »Les grandes entreprises ont des services RH, juridiques ou financiers. Pas les petites. »Delphine Wahl, Directrice de la CCIPreuve de l’importance de l’événement : le soutien institutionnel, avec la présence du préfet, du président de l’agglomération et de la directrice de la CCI. Pour le préfet, ces échanges illustrent la coopération nécessaire entre services publics et monde économique, qu’il résume par une métaphore : « Entre les services de l’État et les entreprises, il y a de très beaux neurones, mais il faut maintenant activer les synapses. »Un modèle appelé à se déployer dans tout l’EureAvant la séance d’échanges, chaque service a présenté brièvement ses missions : accompagnement des entreprises en difficulté, formation, propriété intellectuelle ou financement de projets innovants.Pour Delphine Wahl, c’est tout l’esprit de la démarche : « Les grandes entreprises ont des services RH, juridiques ou financiers. Pas les petites. Notre but, c’est de leur faciliter l’accès à l’information et aux bonnes personnes. »Forte de ce succès, l’initiative a désormais vocation à se poursuivre dans d’autres territoires du département. « L’idée, c’est de se rapprocher des intercommunalités, pour que chaque bassin d’emploi puisse en bénéficier », conclut Delphine Wahl. Par Cyrille Souillier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Évreux (Eure) À Évreux, les Conviviales de la CCI rapprochent entrepreneurs et services publics La Chambre de commerce et d’industrie de l’Eure a organisé mercredi 5 novembre 2025 à Évreux la 2e édition des Conviviales, un rendez-vous qui renforce les liens entre entreprises et services publics.

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Le cœur brisé des proches des naufragés du Mylanoh, incertitude chez Renault... le point actu à 20 h

Les familles des trois naufragés du Mylanoh étaient présentes à l’audience du tribunal maritime du Havre, jeudi 6 novembre 2025. - BORIS MASLARD/Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:57 Lecture zen « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé »Comme prévu, le procès après le naufrage du bateau havrais Mylanoh en 2022 s’est tenu en quelques minutes jeudi 6 novembre 2025. Le tribunal maritime du Havre a acté l’extinction de l’action publique, au regard du décès de l’unique prévenu. Une décision dont les familles se doutaient, mais qui engendre colère et frustration.6 M€ de travaux pour ses copropriétaires au Havre : comment cet épineux dossier a-t-il évolué ?Face à des désordres structurels dans leurs immeubles en béton du centre-ville, classés car situés dans la zone du patrimoine de l’Unesco, des dizaines de copropriétaires havrais vont devoir payer de gros travaux. S’il n’est pas arrêté, leur coût devrait être inférieur aux quelque 6 M€ initialement annoncés. À lire aussi Municipales 2026. À Harfleur, Kevin Crochemore souhaite « rallier la gauche la plus large possible » Football – Ligue 1. Une infirmerie totalement vide : le point sur l’effectif du HACÀ 48 heures de la réception du FC Nantes, pour le compte de la 12e journée de Ligue 1, le HAC, invaincu lors des trois dernières journées, dispose, en ce jeudi 6 novembre 2025, d’un groupe au grand complet.Incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ? Renault Sandouville s’apprêterait à mettre fin au contrat en intérim de quelque 300 personnes fin 2025. Le constructeur doit réduire sa production de véhicules utilitaires. Un CSE se tenait jeudi 6 novembre 2025. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Havre (Seine-Maritime) Sandouville (Seine-Maritime) Le cœur brisé des proches des naufragés du Mylanoh, incertitude chez Renault... le point actu à 20 h « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé » ; incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ?... Le point actu à 20 h. Video

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La CroixLa Croix
Musée du Louvre : la présidente sommée de se concentrer sur les travaux de rénovation
Europe 1Europe 1
Cambriolage au Louvre : la Cour des comptes étrille les choix du musée, qui a privilégié l'attractivité à la sécurité
TF1 InfoTF1 Info
Sécurité, œuvres, visiteurs… Que retenir du sévère rapport de la Cour des comptes sur le musée du Louvre ?
Le FigaroLe Figaro
La gestion du Louvre étrillée, lourde amende pour Doctolib, le financement de l’enseignement privé... Les 3 infos à retenir à la mi-journée
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Amiens : des retards à l’allumage sur plusieurs chantiers très attendus

Les travaux de l’école du quartier Intercampus sont décalés à début janvier 2026. (Hortus Perspectives) Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:25 Lecture zen C’est un dossier qui a suscité beaucoup de débats lors du conseil municipal mardi soir : le budget supplémentaire. « Ce n’est pas un nouveau budget mais un ajustement du budget primitif qui va nous permettre d’aligner nos prévisions sur la réalité, sans modifier notre stratégie financière ni nos priorités », réaffirme le maire Hubert de Jenlis (divers centre) qui avait à justifier la baisse de 4,3 millions d’euros de crédits de paiement pour le financement de certains projets. « Ils ne sont pas annulés mais juste décalés en 2026 pour tenir compte du calendrier de travaux. » À lire aussi Le budget supplémentaire au menu du conseil municipal d’Amiens Parmi ces projets : la relocalisation de la crèche Chapeau de Violettes et de la halte-garderie Les Bout’Chou dans les anciens locaux de l’école maternelle Au bord de l’eau, au pied de la résidence Beauvillé. Annoncée en 2017, elle doit permettre aux enfants, qui ne bénéficient pas d’extérieur en centre-ville, de rejoindre un site bordé d’espaces verts. Mais huit ans après, les travaux n’ont toujours pas commencé. « Le retard est lié au fait qu’il nous fallait acquérir un escalier auprès de la copropriété. Nous attendions pour cela la nomination d’un expert par le tribunal administratif pour la réalisation d’un référé préventif. Il s’agit simplement d’un décalage », assure Hubert de Jenlis qui annonce un démarrage des travaux imminent et un chantier de 14 mois.Ces projets reportés, ce ne sont pas des ajustements de calendrier mais des retards, des enfants qui attendent une nouvelle écoleJulia Bellina, élue du groupe Amiens au coeurPour l’opposition communiste, il était temps d’avancer sur le sujet. « Parce qu’en attendant, les enfants subissent les grandes vagues de chaleur l’été, et des familles n’ont toujours pas de solution de garde en crèche à Amiens », déplore ainsi l’élue Zoé Desbureaux.Gros retard aussi sur la construction du nouveau groupe scolaire du quartier de la ZAC Intercampus, rue Thérèse-Papillon. Les travaux auraient dû commencer en septembre 2024 pour une ouverture en septembre 2026. « Il y a eu un petit retard au démarrage sur des marchés. Les travaux prévus début novembre sont décalés à début janvier 2026 pour 18 mois », annonce le maire d’Amiens.« Ces décalages, on ne les fait pas par plaisir »Au sud-est d’Amiens, le nouveau site du centre social CAPS aurait, lui, dû ouvrir en mai 2026. Là aussi, l’ouverture est décalée de quelques mois, après un marché d’appel d’offres infructueux. Les travaux doivent démarrer la semaine prochaine et durer 12 mois. Pour ce qui est de la rénovation du parc Saint-Pierre, plusieurs lots (les toilettes publiques, les terrains de sport et les petites passerelles) ont été reportés sur 2026, le temps de finaliser les marchés. À lire aussi Amiens : 2025, l’année des gros chantiers « À vouloir toujours communiquer sur des investissements records, on prend le risque de ne pas réussir à tout mener de front et de ne pas tenir toutes ses promesses, a taclé Zoé Desbureaux (PC). Comme à la Zac Intercampus où la majorité des logements est déjà livrée et habitée mais sans équipement pour accueillir les enfants… ». Dans le groupe Amiens au cœur, on appelle à appeler les choses par leur nom : « Ces projets reportés, ce ne sont pas des ajustements de calendrier mais des retards, des familles qui attendent des places en crèche et des enfants qui attendent une nouvelle école », rectifie l’élue Julia Bellina (sans étiquette).« Un chiffre parle de lui-même, c’est le compte administratif et les 44,9 millions d’euros d’investissements faits ! Certes, on espérait en faire un peu plus, mais on est aussi confrontés à la dure réalité des marchés publics qui peuvent être infructueux. Ces décalages, on ne les fait jamais par plaisir, mais il y a des contraintes et des règles à respecter », a répondu Hubert de Jenlis. Par Térézinha Dias Amiens : des retards à l’allumage sur plusieurs chantiers très attendus C’est le cas de la nouvelle école à Intercampus ou de la crèche Au bord de l’eau annoncée depuis 2017. Les travaux n’ont toujours pas commencé. « Nous sommes aussi confrontés à la dure réalité des marchés publics », justifie la Ville.

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Agressions sexuelles, détention d’images intimes… Deux étudiants exclus par l’Université de Rouen

Deux étudiants en médecin ont été sanctionnés. - Archives Stéphanie PÉRON CLÉMENT/PN Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:30 Lecture zen Le 18 juillet dernier, la section disciplinaire du conseil académique de l’Université de Rouen a prononcé l’exclusion pour une durée de trois ans de tout établissement supérieur d’enseignement, à l’encontre de Maxime*, étudiant en troisième année d’études de médecine. Le 18 septembre, un autre étudiant, Romain*, en cinquième année de médecine était sanctionné par le président de l’Université de Rouen d’une interdiction totale d’accès aux locaux universitaires. Consultez l’actualité en vidéo Ces deux sanctions, sans lien entre elles, concernent des étudiants suspectés d’avoir adopté un comportement pénal répréhensible. Elles ont été contestées par les intéressés par des requêtes en référé suspension devant le tribunal administratif de Rouen le 13 octobre. À lire aussi Tentative de suicide d’un étudiant à l’université de Rouen : « Je ne souhaite pas suspendre le professeur » Soirée festive en montagnePour Maxime, il s’agit de faits d’agressions sexuelles à l’encontre d’une étudiante pour lesquels l’Université de Rouen a effectué un signalement au procureur de la République de Rouen, sur le fondement de l’article 40 du code de procédure pénale. L’une de ces agressions se serait produite au cours d’une soirée festive lors d’un séjour étudiant en montagne où, dans un contexte « d’alcoolisation massive », Maxime aurait réalisé des attouchements sur une étudiante. « Il est conscient de ses problèmes d’alcool », a reconnu au cours de l’audience Me Oukid, avocat de Maxime. Ce dernier nie les faits qui lui sont reprochés. Son avocat a insisté sur le fait que les poursuites judiciaires se basent sur des témoignages indirects et que la victime n’a jamais porté plainte. De son côté, pour l’Université, Me Nesselrode a souligné « des faits d’agressions sexuelles suffisamment établis ». Le tribunal, estimant qu’il n’existe aucun doute sérieux quant à la légalité de la décision de l’Université, a rejeté la requête de l’étudiant.Plainte déposéeConcernant Romain, il lui est reproché d’avoir capté et utilisé sans leur consentement des photos et vidéos intimes d’étudiantes en médecine. Trois d’entre elles ont été entendues par le doyen de la faculté de sciences qui s’en est ensuite rapporté au président de l’Université. Une mesure conservatoire a été prise à l’encontre de l’étudiant : une interdiction d’accéder aux locaux, en attente des résultats judiciaires (une plainte ayant été déposée par l’une des victimes présumées). « On lui a brutalement notifié cette décision sans qu’il présente des observations, il n’y a pas eu de procédure contradictoire », a estimé Me Coquerel, l’avocat de Romain.C’est un étudiant qui inquiète, il détient des photos qui pourraient détruire les victimes.Me Nesselrode, Avocat de l’Université de RouenL’étudiant conteste cette sanction qui d’après son avocat est basée « sur des faits particulièrement évasifs » et qui pourrait « l’empêcher de passer ses examens en contrôle continu ». « C’est un étudiant qui inquiète, il détient des photos qui pourraient détruire les victimes », a insisté Me Nesselrode, conseil de l’Université. L’Université préfère qu’il suive les cours à distance. » À lire aussi Victime d’une agression sexuelle à la fac de Rouen, elle se bat pour passer ses examens à distance Le tribunal administratif de Rouen a rejeté la requête de Romain. « Il n’est pas sérieusement contesté que l’interdiction de pénétrer dans le domaine universitaire ne provoque pas une rupture brutale des enseignements dès lors que les cours peuvent se poursuivre à distance et que les services de l’établissement public ne s’opposeront pas à consentir des aménagements à la mesure de police en cause afin de permettre l’accomplissement de certaines démarches, participer à certains cours et autoriser la présence aux épreuves d’examen », est-il écrit dans la décision. Le tribunal devra se prononcer ultérieurement sur le fond de ces dossiers.*Les prénoms ont été modifiés. Par Jérémy CHATET Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Rouen (Seine-Maritime) Agressions sexuelles, détention d’images intimes… Deux étudiants exclus par l’Université de Rouen En juillet et septembre 2025, l’Université de Rouen a sanctionné deux étudiants, l’un d’une exclusion de trois ans, l’autre d’une interdiction d’accès à la fac, pour des faits pénalement répréhensibles.

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« Il n’y a pas de petit harcèlement » : le ministre de l’Éducation nationale mobilisé au collège de Barentin

Édouard Geffray a participé à un atelier avec des collégiens visant à les senibiliser sur ce que l’on peut ou pas publier sur les réseaux sociaux, jeudi 11 novembre 2025 à Barentin. - STEPHANIE PÉRON CLÉMENT Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:11 Lecture zen Avec le badge « Phare » qu’ils arborent, les 20 élèves référents harcèlement du collège Catherine-Bernard, à Barentin, sont identifiables par tous leurs camarades. Un badge qu’ils ont remis au ministre de l’Éducation nationale, Édouard Geffray. Ce dernier était en visite dans leur établissement, jeudi 6 novembre 2025, journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Édouard Geffray a participé à un atelier avec des collégiens visant à les senibiliser sur ce que l’on peut ou pas publier sur les réseaux sociaux. - STEPHANIE PÉRON CLÉMENT Un collège fortement engagé« Il n’y a pas de petit ou gros harcèlement. Ni de petite insulte. À chaque fois que l’on blesse un camarade on peut générer des choses très graves et parfois même l’irréparable », souligne le ministre qui n’hésite pas à parler de « fléau » devant des collégiens mais aussi une classe de Terminale du lycée Thomas-Corneille. À lire aussi « Je veux devenir l’inverse de ce que l’on a voulu faire de moi » : Hugo a surmonté le harcèlement scolaire Alors que le nombre de faits de harcèlement ne diminue pas, et que la Normandie est la région la plus touchée selon un sondage Ifop, le ministre a rappelé l’importance de la prévention. Qui passe notamment par la diffusion d’un spot de campagne Non au harcèlement 2025, qui a été présenté officiellement lors de la visite ministérielle. La réalisatrice, Laetitia Bertheuil, était présente et a pu échanger avec des élèves. Edouard Geffray a également participé à un atelier où les collégiens ont été amenés à réfléchir à ce qu’ils peuvent publier ou pas sur les réseaux sociaux.Un questionnaireL’autre enjeu est ensuite celui de la détection de faits de harcèlement. « Depuis deux ans, tous les élèves du CE2 à la Terminale remplissent un questionnaire individuel pour identifier des situations. Jusqu’à présent ils étaient anonymes et ne permettaient donc pas de détecter une situation individuelle. J’ai pris la décision, en accord avec la Cnil, que les élèves pourront désormais mentionner leur nom pour être recontactés, lancer un appel à l’aide ». Questionnaire que tous les élèves vont remplir dans les quinze prochains jours.Des sanctionsLa réaction est le troisième volet essentiel face au harcèlement. « Ça passe par la prise en charge psychologique mais aussi la sanction. Il faut être ferme. Dans les écoles élémentaires on a introduit la possibilité de changer un élève d’école lorsqu’il fait peser une menace sur ses camarades. En deux ans, 282 jeunes ont ainsi été changés d’établissement », détaille Édouard Geffray. Dans les collèges et lycées, les conseils de discipline relatifs au harcèlement « ont été multiplié par deux et demi en deux ans ». À lire aussi Harcèlement scolaire en Normandie : « Le nombre de faits ne réduit pas, mais le personnel est mieux formé » Et depuis que le harcèlement scolaire est un délit, depuis 2022, plus de 10 000 plaintes ont été déposées, fait savoir le ministre. « Chaque fois que les faits ont été qualifiés, dans 96 % des cas il y a eu une réponse pénale. Soit sous la forme d’une mesure alternative comme une interdiction de fréquentation de certaines personnes. Soit sous la forme de poursuites. Il y en a eu 600 et il y a déjà eu 250 condamnations pénales prononcées ». Le harcèlement scolaire peut être puni jusqu’à trois ans de prison et 45 000 euros d’amendePour autant il faut continuer à agir « collectivement : parents, enfants, professeurs, éducateurs, personnel des collectivités, il faut que l’on ait cette vigilance et ce devoir de protection pour nos jeunes ». Par Violaine GARGALA Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Barentin (Seine-Maritime) « Il n’y a pas de petit harcèlement » : le ministre de l’Éducation nationale mobilisé au collège de Barentin Pour la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, jeudi 6 novembre 2025, Édouard Geffray, ministre de l’Éducation nationale s’est rendu au collège Catherine-Bernard de Barentin. Il a échangé avec des élèves et du personnel à propos de ce « fléau ».

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Évreux : les retraités de l’Eure se mobilisent pour plus de justice sociale

Entre 80 et 140 personnes (suivant les sources) ont manifesté jeudi 6 novembre 2025 à Évreux, à l’appel de l’intersyndicale des retraités de l’Eure. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:16 Lecture zen « Nous n’acceptons pas cet acharnement, alors que les plus riches continuent de s’enrichir outrageusement », s’indigne Dominique Jussiaume, retraité et secrétaire général CGT de l’Union syndicale des retraités de l’Eure. Consultez l’actualité en vidéo Jeudi 6 novembre 2025 entre 80 et 140 personnes (suivant les sources) ont manifesté à Évreux, à l’appel de l’intersyndicale des retraités de l’Eure (CGT, FO, FSU, Solidaires, FGR-FP et LSR). Les retraités se sont rassemblés place Mandle avant de défiler en centre-ville. - Photo Paris Normandie Les retraités ont défilé dans le centre-ville d’Évreux. - Photo Paris Normandie « Pouvoir d’achat en baisse jusqu’en 2030 »Les retraités sont vent debout contre le projet de budget 2026, synonyme selon eux de « régressions sociales » et de « baisse de pouvoir d’achat, qui pourrait durer jusqu’en 2030. » Cette mobilisation, plutôt correcte à Évreux, s’inscrit dans un contexte d’incertitude budgétaire sur les mesures examinées en ce moment par les parlementaires et qui seront finalement retenues. À lire aussi En Normandie, pourquoi les syndicats de retraités appellent à manifester le 6 novembre ? D’ailleurs, le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a annoncé être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux. « Mais sans justice sociale, le budget ne fera qu’augmenter les inégalités », prévient en tout cas Dominique Jussiaume. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Évreux Sébastien Lecornu Évreux : les retraités de l’Eure se mobilisent pour plus de justice sociale À l’appel de plusieurs syndicats, les retraités de l’Eure ont défilé jeudi 6 novembre 2025 à Évreux, pour dénoncer les mesures d’économies « injustes » demandées dans les budgets de l’État et de la Sécurité sociale.

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Le déploiement du dispositif Aisne, Terre de mémoire se poursuit désormais aussi sur le web

Les services de l’État et le Département travaillent ensemble sur le dispositif « Aisne, Terre de mémoire ». Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:06 Lecture zen Depuis trois ans maintenant, un programme baptisé Aisne, Terre de mémoire a été mis en place sous l’impulsion du conseil départemental en partenariat avec les services de l’État, les collectivités locales et les acteurs de terrain qui travaillent sur tous les conflits qui ont marqué le département et veillent à préserver leur souvenir, rappelle L’Union.Aisne, Terre de mémoire est un dispositif qui repose sur quatre axes : inscrire la mémoire des guerres contemporaines dans l’Aisne sur le temps long, mettre en place un réseau d’information mémorielle et historique, valoriser les principaux lieux de ces combats et enfin faire perdurer la mémoire des hommes qui s’y sont battus. Dans ce cadre, un comité scientifique composé de représentants de l’Office national des combattants et des victimes de guerre, du Souvenir français et du conseil départemental a identifié cent dix-neuf lieux de combats significatifs ou de faits d’armes historiques importants pour la mémoire axonaise avec la présence d’un monument, d’une stèle, d’une plaque ou d’un site inscrit au Patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco. À quelques jours des cérémonies du 11-Novembre, un point d’étape a été fait ce mercredi 5 novembre 2025 à l’hôtel du Département.Un marqueur fort du territoire« L’Aisne, qui est une terre marquée par les grands conflits du XXe siècle, porte en elle les stigmates et les leçons de l’Histoire. Mais elle doit être aussi une terre de résilience, de transmission, et d’innovation. Aisne Terre de Mémoire n’est pas seulement un projet de préservation du passé, c’est un engagement pour l’avenir », relève Nicolas Rébérot, le vice-président du Département chargé de l’action culturelle et du patrimoine qu’accompagnait sa collègue en charge de la citoyenneté et de la mémoire Isabelle Ittelet. Pour la secrétaire générale de la préfecture Isabelle Burel, « préserver la mémoire est un marqueur fort du territoire ». C’est aussi, pour la représentante de l’État, un « enjeu d’avenir » autour du développement du tourisme mémoriel, notamment en direction du public jeune.Depuis 2022, trente-deux sites ont déjà été matérialisés avec l’installation de bornes mémorielles. En 2026, quatre nouvelles bornes seront installées en lien avec le conflit 1939-1945 à Flavy-le-Martel, Leuilly-sous-Coucy et Courtemont-Varennes, une sur la nécropole française et le cimetière inscrits au Patrimoine mondial de l’Unesco à Lemé – Le Sourd pour 1914-1918.Aisne Terre de Mémoire est une promesse. La promesse de ne jamais oublier, mais aussi de construire ensemble un avenir où notre histoire devient une force.Nicolas Rébérot, vice-président du conseil départementalAu-delà de cette présence physique partout dans le département – comme ce sera le cas ce dimanche 9 novembre 2025 au monument de La Pierre d’Haudroy, à La Flamengrie, où fut sonné le cessez-le-feu de 1918 –, Aisne, terre de mémoire se décline aussi, désormais, sur le web avec un site dédié auquel on peut accéder également par www.aisne.com. Le Département travaille par ailleurs, pour 2027, à la création d’une application mobile, avec toutes les fonctionnalités liées à cette itinérance mémorielle. À lire aussi Pas d’inauguration avant 2027 pour le mémorial allemand du tunnel de Winterberg au Chemin des Dames Finalement, Aisne Terre de Mémoire est « bien plus qu’un programme » aux yeux de Nicolas Rébérot, « c’est une promesse. La promesse de ne jamais oublier, mais aussi de construire ensemble un avenir où notre histoire devient une force. » Par Philippe Robin Le déploiement du dispositif Aisne, Terre de mémoire se poursuit désormais aussi sur le web Le programme Aisne, Terre de mémoire, mis en place par le Département en 2022, doit valoriser 119 sites emblématiques de quatre périodes historiques. Après l’installation de bornes mémorielles, le dispositif se développe également sur le web.

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Scandale Anne Hidalgo – Les amendes infligées à Transparence citoyenne et Entrevue ont été signées par des militants PS/PRG proches de la maire de Paris

Alors que la Ville de Paris a infligé une amende de 210 000 euros à l’association Transparence citoyenne, à la suite d’une campagne d’affichage révélant les notes de frais d’Anne Hidalgo, Marianne révèle que l’agent municipal à l’origine de la procédure, Julien Wolikow, est un militant socialiste actif, soutien déclaré de Rémi Féraud, proche de... The post Scandale Anne Hidalgo – Les amendes infligées à Transparence citoyenne et Entrevue ont été signées par des militants PS/PRG proches de la maire de Paris appeared first on Entrevue.

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Près de Mantes-la-Jolie, Normandie et Île-de-France unissent leurs forces pour l’avenir du rail

Au cœur des discussions : la continuité des dessertes TER, l’avenir du projet de ligne Paris-Normandie et le développement du fret ferroviaire. - Photo d’illustration Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:54 Lecture zen Autour de Pierre Bédier, président du Département des Yvelines, et de Patrick Stefanini, conseiller départemental du canton, se sont réunis Hervé Morin, président de la Région Normandie, Florence Portelli, première vice-présidente de la Région Île-de-France, Jean-Baptiste Gastinne, vice-président normand en charge des transports, ainsi que plusieurs maires du Mantois.Des avancées pour la mobilité dans la Vallée de la SeineLes échanges ont permis de confirmer plusieurs engagements essentiels. Première annonce majeure : le maintien des dessertes TER normandes à Mantes-la-Jolie, Bonnières-sur-Seine, Rosny-sur-Seine et Bréval, même après la mise en service du RER E (Eole) à l’horizon 2030. Les deux Régions ont également ouvert la voie à une augmentation de l’offre de trains normands, financée pour la partie francilienne par Île-de-France Mobilités. À lire aussi Ligne nouvelle Paris Normandie : entre les Régions Normandie et Île-de-France, le dialogue est renoué Autre dossier relancé : le projet de Ligne Nouvelle Paris-Normandie (LNPN), qui fera l’objet d’études révisées, avec un tracé repensé et un impact environnemental limité. Enfin, les deux collectivités exigeront de l’État la poursuite d’études sur un contournement fret ferroviaire de l’Île-de-France, inscrit au Contrat de Plan Interrégional État-Région Vallée de la Seine (CPIER). Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Mantes-la-Jolie (Yvelines) Près de Mantes-la-Jolie, Normandie et Île-de-France unissent leurs forces pour l’avenir du rail Mercredi 5 novembre 2025, une réunion de travail interrégionale s’est tenue à Bonnières-sur-Seine (Yvelines) entre les représentants des Régions Normandie et Île-de-France. Au cœur des discussions : la continuité des dessertes TER, l’avenir du projet de ligne Paris-Normandie et le développement du fret ferroviaire.

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Harcèlement scolaire dans l’Oise : « Avec les réseaux sociaux, c’est difficile à gérer »

Vingt à trente faits de harcèlement sont recensés chaque année au collège Simone-Veil. Mis en ligne le 6/11/2025 à 15:02 Lecture zen Au collège Simone-Veil de Cauffry, dix membres du personnel, pas forcément des enseignants, sont formés pour repérer et agir contre le harcèlement. « Cela a toujours existé, annonce Lucilia Soares, documentaliste. Mais la parole se libère. » Consultez l’actualité en vidéo Vingt à trente situations sont traitées chaque année dans l’établissement. « Souvent, cela débute par l’appel d’un parent, explique Frédéric Hovette, conseiller principal d’éducation et coordonnateur du dispositif pHARe, le plan de prévention à destination des écoles, collèges et lycées, né en 2021. Ensuite, nous avons un protocole à suivre : nous récupérons le témoignage de la victime, des témoins puis de l’intimidateur tel qu’il est appelé. L’idée est de ne pas faire culpabiliser ce dernier mais de l’amener à se poser des questions. » Un référent ajoute : « On essaie de faire en sorte que ce harcèlement cesse. Si, au bout de trois semaines, la situation perdure, le chef d’établissement prend le relais et des sanctions peuvent être appliquées ».J’ai moi-même, enfant, été harcelé à l’école. Mais à l’époque, dans les années 70, ça se réglait par une bagarre »Rodolphe Boulanger, Principal du collègeCe jeudi 6 novembre, faisant face à deux classes de 6e, les référents étaient accompagnés de trois élèves ambassadeurs et des gendarmes. « Tout le monde pense qu’on peut faire ce qu’on veut cacher derrière un écran et un pseudo, précise l’un d’eux. Or, ce n’est pas le cas. » Car le cyberharcèlement est très souvent évoqué, surtout depuis deux ans. Photos, insultes, montages… les réseaux sociaux font circuler nombre de moqueries. Eleona, Juline et Léo, les ambassadeurs, constatent ces faits : « Notre but n’est pas d’aller voir ou dénoncer les personnes malveillantes, mais de repérer les situations de harcèlement. » À lire aussi « D’autres enfants l’insultaient » : après le suicide de Sara, 9 ans, un hommage et des questions Les jeunes d’une douzaine d’années écoutent, participent pour certains… Quand le cyberharcèlement est évoqué, il est rappelé que les réseaux sociaux leur sont interdits en raison de leur âge. Pourtant, c’est bien le cœur du problème aujourd’hui. « L’usage du téléphone portable est bien sûr interdit dans l’enceinte du collège, explique le chef d’établissement Rodolphe Boulanger, mais cela n’évite pas l’utilisation des réseaux sociaux et des groupes de discussion en dehors. C’est là que le harcèlement commence, bien souvent. J’ai moi-même, enfant, été harcelé à l’école. Mais à l’époque, dans les années 70, ça se réglait par une bagarre. Aujourd’hui les réseaux sociaux ont pris une telle ampleur que c’est difficile à gérer. »Ce jeudi, la journée de sensibilisation, qui sera également organisée à destination des 5e et 4e le 9 février 2026, se terminait par une soirée-débat à laquelle les parents étaient conviés. Seule une dizaine avait fait part de leur intention d’y participer. Pour rappel, le collège Simone-Veil compte plus de 600 élèves. À lire aussi Les adultes aussi sont parfois victimes Par notre correspondante Cindy Rogez Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Cauffry (Oise) Liancourt (Oise) Harcèlement scolaire dans l’Oise : « Avec les réseaux sociaux, c’est difficile à gérer » Ce jeudi 6 novembre, journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école, des élèves de 6e du collège Simone-Veil de Cauffry ont été sensibilisés au sujet, qui s’intensifie avec l’usage des réseaux et messageries.

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La Wantzenau. Cap sur Jules-Verne : une nouvelle association de parents veut « faire vivre la vie de l’école »

L’école élémentaire Jules-Verne de La Wantzenau dispose désormais de sa propre association de parents d’élèves : Cap sur Jules-Verne (ACJV). Créée cet automne, elle réunit 24 adhérents et un bureau de sept membres. L’association entend « faire vivre la vie de l’école » à travers des actions conviviales, pédagogiques et solidaires, tout en soutenant les enseignants.

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Dans les Yvelines, un camion finit sa course dans un pavillon après un malaise du conducteur

Un accident spectaculaire s’est produit mercredi 5 novembre 2025 en début de soirée à Montfort-l’Amaury. - Photo d’illustration stock.adobe.com Mis en ligne le 6/11/2025 à 11:58 Lecture zen Il est environ 19 h 30 lorsque le camion s’engage dans la rue Normande, une voie étroite et sinueuse du centre-ville, à deux pas de la mairie et du bureau de poste. Pris d’un malaise soudain, le conducteur de 48 ans ne parvient pas à maîtriser son véhicule, qui s’encastre violemment dans le garage d’un pavillon, précise 78actu.Un drame évité de peuRapidement, douze sapeurs-pompiers interviennent sur place, accompagnés d’un fourgon pour prévenir tout risque d’incendie. Le chauffeur, blessé mais conscient, est pris en charge et transporté en urgence relative à l’hôpital André-Mignot, au Chesnay-Rocquencourt. À lire aussi Un camion se renverse près de Dieppe : son chauffeur transporté à l’hôpital et un véhicule recherché Une équipe spécialisée dans les risques bâtimentaires a également été dépêchée pour évaluer la stabilité de la structure et s’assurer qu’aucun risque d’effondrement ne menace les riverains. Si les dégâts matériels sont importants, la réactivité des secours a permis d’éviter un drame dans ce quartier pavillonnaire calme. La circulation a été brièvement interrompue le temps des opérations de sécurisation. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes du malaise du conducteur. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Versailles (Yvelines) Dans les Yvelines, un camion finit sa course dans un pavillon après un malaise du conducteur Un accident spectaculaire s’est produit mercredi 5 novembre 2025 en début de soirée à Montfort-l’Amaury (Yvelines). Victime d’un malaise, un chauffeur de poids lourd a perdu le contrôle de son véhicule, qui a terminé sa course dans le garage d’une maison.

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