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Immigration

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Actualités autour des lois sur l’immigration, de l’évolution des flux migratoires, des défis liés à l’intégration, des orientations gouvernementales ainsi que de l’impact de la migration sur la société.
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L’administration Trump dévoile le « Project Sunrise », un plan à 112 milliards de dollars pour reconstruire Gaza

Stations balnéaires de luxe, trains à grande vitesse et infrastructures pilotées par l’intelligence artificielle, l’administration Trump a vu les choses en grand pour l’avenir de la bande de Gaza. Selon... L’article L’administration Trump dévoile le « Project Sunrise », un plan à 112 milliards de dollars pour reconstruire Gaza est apparu en premier sur Valeurs actuelles.

Source LogoValeurs Actuelles
Dix-huit embarcations ont tenté la traversée de la Manche le 20 décembre, plus de 150 personnes secourues

Mis en ligne le 21/12/2025 à 14:36 Lecture zen Plus de 150 personnes ont été secourues au cours de la journée du samedi 20 décembre 2025 en tentant de traverser la Manche, dans des conditions encore difficiles. Le Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) du cap Gris-Nez dans le Pas-de-Calais a mobilisé plusieurs navires, vedettes et moyens aériens pour porter assistance aux embarcations en difficulté.Les autorités ont été mobilisées dès le début de matinée samedi alors qu’un bateau surchargé venait de quitter le secteur de Malo-les-Bains près de Dunkerque (Nord). Après plusieurs heures de surveillance, neuf migrants sont pris en charge tandis que l’embarcation poursuit son chemin en direction de l’Angleterre. « Compte tenu de la fragilité structurelle des embarcations systématiquement surchargées, le choix est fait de ne pas contraindre les migrants à embarquer sur les moyens de sauvetage de l’État, pour éviter de mettre en péril leur vie en cas de naufrage », souligne la préfecture dans son bilan d’intervention.«Difficile été comme hiver»Dans la soirée du 20 décembre, une nouvelle embarcation fait l’objet d’un sauvetage : 61 personnes ont été récupérées et débarquées à Calais pour être prises en charge par les services de secours. Les autres occupants ont été secourus par les autorités britanniques. À lire aussi «Un symbole» : des agriculteurs manifestent devant la villa de Macron au Touquet Et dans la nuit du 20 au 21 décembre, une panne moteur contraint un bateau de migrants à demander rapidement l’assistance des moyens de secours pour sauver 81 occupants, débarqués en fin de nuit à Calais. Au total, dix-huit traversées de la Manche ont été tentées vers l’Angleterre dans un secteur, rappelle la préfecture, « difficile été comme hiver en particulier pour des embarcations précaires et surchargées ». Par G. CA. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Angleterre Calais (Pas-de-Calais) Dunkerque (Nord) Dix-huit embarcations ont tenté la traversée de la Manche le 20 décembre, plus de 150 personnes secourues La préfecture maritime de la Manche et de la Mer du Nord a mobilisé d’importants moyens de secours samedi 20 décembre à suite de départs de migrants à destination de l’Angleterre.

Source LogoParis Normandie
Le ParisienLe Parisien
Nigeria : 130 élèves kidnappés en novembre retrouvent la liberté
Le FigaroLe Figaro
Le gouvernement nigérian annonce la libération de 130 élèves enlevés en novembre
Le MondeLe Monde
Nigeria : libération des 130 derniers élèves enlevés en novembre dans l’ouest du pays
RFIRFI
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique
France 24France 24
Traversées de la Manche: 151 migrants secourus en une journée
FranceinfoFranceinfo
Plus de 150 migrants ont été secourus en une journée alors qu'il tentaient de traverser la Manche
FranceinfoFranceinfo
Plus de 150 migrants ont été secourus en une journée alors qu'ils tentaient de traverser la Manche
La voix du NordLa voix du Nord
Plus d’une quinzaine de départs vers l’Angleterre ce samedi : 151 migrants secourus au large de Dunkerque et de Calais
EuronewsEuronews
Australie : dernier hommage aux victimes de l'attaque de Bondi Beach
Europe 1Europe 1
Australie : une minute de silence observée dans le pays, une semaine après l'attentat de Sydney
France 24France 24
Journée d'hommage national en Australie une semaine après l'attentat
France 24France 24
Attaque antisémite à Sydney, conférence annuelle de Poutine, affaire Epstein : la semaine en images
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À Mayotte, plus de 800 migrants africains vivent toujours dans un camp de fortune

Par AFP Par Marine GACHET © 2025 AFP Plus de 800 migrants originaires d'Afrique des Grands Lacs sont contraints de vivre dans un camp de fortune à Mayotte, en pleine saison des pluies, deux mois après le démantèlement d'un précédent site par les autorités françaises de l'archipel de l'Océan indien. Faute de solutions d'hébergement sur ce territoire, ravagé il y a un an par le cyclone Chido, beaucoup sont revenus s'installer dans des conditions précaires.Kennedy Kighana traverse les allées boueuses du camp de Tsoundzou 2, sur la côte Est du département français le plus pauvre, en prenant garde à ne pas glisser. Quelques heures plus tôt, la pluie a détrempé le sol."Quand il pleut, l'eau monte jusque-là", indique l'homme de 28 ans, venu de la République démocratique du Congo (RDC), en désignant une case faite de bambou et de bâches, au bord de la mangrove.Depuis plusieurs années, Mayotte - située entre le continent africain et l'île de Madagascar - est devenue une destination sur une nouvelle route migratoire empruntée par des ressortissants des pays de la région des Grands Lacs (RDC, Rwanda, Burundi). Arrivés sur les côtes tanzaniennes, ces migrants tentent ensuite une traversée périlleuse, souvent via les Comores."On veut juste la sécurité, la paix et la protection", martèle Ange Munezero, 25 ans, ressortissante de RDC. Elle dit avoir fui la province orientale du Sud-Kivu, ravagée par des conflits armés depuis trois décennies, et théâtre d'affrontements entre le groupe armé M23, soutenu par des troupes rwandaises, et les forces armées congolaises.Comme beaucoup d'autres, ces migrants vivent dans des camps insalubres, régulièrement démantelés par les autorités avant de se reconstituer ailleurs.Celui de Tsoundzou 2 avait été détruit le 22 octobre, lors de ce que le préfet François-Xavier Bieuville avait présenté comme "la plus grande mise à l'abri de l'histoire de Mayotte".Sur les 1.272 habitants recensées, seuls 400 avaient été relogés, faute de places disponibles. Deux mois plus tard, un peu plus de 800 personnes ont réinstallé leurs abris de fortune aux abords du village-relais géré par l'association Coallia, selon le décompte de Kennedy Kighana.Surnommé "le Président" pour son rôle de représentant du camp, il explique que réfugiés et demandeurs d'asile ne peuvent compter que sur la "bonne volonté" des uns et des autres pour se mettre à l'abri. Source de tensions Plusieurs ONG interviennent ponctuellement dans le camp, comme la Croix-Rouge. L'antenne de Mayotte n'a pas souhaité répondre aux sollicitations de l'AFP, tout comme la plupart des associations contactées, la mairie de Mamoudzou et la préfecture.Un cadre d'une ONG, qui accepte de s'exprimer sous couvert d'anonymat, explique que son association a installé un mécanisme de pompage d'eau de rivière, un accès jugé rudimentaire et fragile en saison des pluies.Cinq sanitaires ont également été apportés, et les habitants ont accès quelques heures par jour à deux citernes d'eau. "Toute personne a droit à des conditions de vie dignes", insiste-t-il.Ces camps constituent un sujet très sensible dans le 101e département français, confronté à une forte pression migratoire. En 2024, la présence d'un camp au stade de Cavani, à Mamoudzou, avait déclenché l'installation de barrages par des "collectifs citoyens" pendant plus d'un mois.La même année, les locaux de l'association Solidarité Mayotte, accompagnant les demandeurs d'asile, avaient été incendiés. Régulièrement, les habitants de Tsoundzou 2 sont victimes d'agressions, selon Kennedy Kighana et Ange Munezero.La vie quotidienne reste éprouvante. "Ce ne sont pas des conditions favorables aux personnes humaines", résume David Muzusangabo, 34 ans. "Il y a beaucoup de moustiques, des maladies. On cuisine directement sur le sol", dit-il, aux abords d'une grande case où s'entassent mères et enfants. Arrivées "tous les jours" La promiscuité devient d'autant plus préoccupante que l'espace manque. "On a de nouvelles personnes qui arrivent tous les jours. Hier, une famille de sept s'est installée", notait Kennedy Kighana, le 12 décembre.Arrivée en octobre à Mayotte, Ange Munezero a dû s'installer à l'entrée du camp, sur le bord de la route qui traverse le village. "On nous dit que notre case va être détruite si on ne va pas plus à l'intérieur", s'inquiète-t-elle, refusant de s'installer directement dans la mangrove, régulièrement inondée.Depuis un arrêté préfectoral du 12 novembre interdisant la construction d'habitations informelles sur trois kilomètres le long de la route, les nouveaux arrivants redoutent de voir leurs abris détruits à tout moment.

Source LogoTV5 MONDE
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« J’ai peur » : après l’expulsion de son mari, Rosa, sans-papiers aux États-Unis, confie la garde de ses enfants à une tutrice

La menace d’une expulsion plane sur sa vie. Depuis l’arrestation de son mari par la police de l’immigration américaine, Rosa élève seule ses deux enfants en Floride. Redoutant d’être à son tour interpellée et expulsée, cette Guatémaltèque de 32 ans a fait le choix de signer une procuration afin de confier la garde légale de ses enfants à une personne de confiance, une démarche de plus en plus répandue parmi les sans-papiers aux États-Unis.« Je sors moins pour aller travailler car j’ai peur de ne pas revenir à la maison auprès de mes enfants », explique Rosa qui, sans statut légal dans le pays, préfère taire son nom de famille.« Mon fils attend que son père rentre »Il y a huit ans, Rosa et son mari ont quitté le Guatemala pour fuir la pauvreté et se sont installés en Floride. Ensemble, ils ont deux enfants, une fille de 11 ans et un garçon de quatre ans.En septembre, le mari de Rosa travaillait sur un chantier lorsqu’il a été arrêté et envoyé dans un centre de rétention au Texas, où il se trouve toujours. « Ce n’est pas facile d’expliquer cela (à ses enfants). Mon fils attend que son père rentre et comme il ne revient pas, il est triste », raconte-t-elle à l’AFP.Rosa, effrayée à l’idée de subir le même sort que son mari, s’est alors tournée vers Nora Sandigo. Cette Nicaraguayenne de 60 ans, naturalisée américaine, a fondé à Miami une organisation pour venir en aide aux enfants de familles sans papiers et devenir leur tutrice légale.Cette démarche permet à un adulte d’obtenir une procuration qui autorise ce tiers de signer des documents concernant les mineurs - que ce soit à l’école, à l’hôpital ou même devant les tribunaux - si leurs parents sont détenus par les autorités. Les parents ne perdent toutefois pas la garde légale de leurs enfants.Nora Sandigo, tutrice de 350 enfantsAujourd’hui, Nora Sandigo est la tutrice légale d’environ 350 mineurs américains et de 137 enfants nés à l’étranger. Tout au long de sa carrière, elle a pris en charge plus de 2000 enfants.Certains ont même vécu, parfois pendant plusieurs mois voire années, sous son toit avec ses filles, lorsque leurs parents ont été expulsés.Aux États-Unis, de plus en plus de sans-papiers confient la garde de leurs enfants à proches ou personnes de confiance. Si aucun chiffre national n’est disponible, la presse américaine regorge d’exemples d’associations, de militants ou d’avocats qui ont multiplié ces démarches depuis janvier dernier, du Vermont à Chicago, du Massachusetts à l’Illinois. La Californie a même adopté cet automne une loi à ce propos.Une augmentation « spectaculaire » des demandesLe nombre de demandes « a augmenté de manière spectaculaire », confirme à Miami Nora Sandigo, qui raconte recevoir chaque jour des appels de parents désespérés.Elle établit un lien direct avec le durcissement de la politique anti-immigration de Donald Trump. « L’arrivée de la nouvelle administration et son discours terrifiant de persécution visant les migrants angoisse énormément les enfants, cela a été effroyable », raconte-t-elle.Dans les rues de Floride, les descentes parfois brutales de police de la police de l’immigration (ICE) sèment la terreur au sein d’une population largement issue de l’immigration. Au total, les autorités américaines disent avoir expulsé plus de 605 000 sans-papiers depuis janvier.La veille de la traditionnelle fête américaine de Thanksgiving fin novembre, Nora Sandigo a ouvert les portes de sa maison à plusieurs familles.Parmi elles, Jessica, 14 ans, est venue avec ses frères et sa mère récupérer de la nourriture, dont la traditionnelle dinde que l’on déguste dans les familles américaines.

Source LogoLe Parisien
L'HumanitéL'Humanité
Génocide à Gaza : l’administration Trump sanctionne deux juges de la CPI pour leur enquête sur les crimes d’Israël
France 24France 24
Les États-Unis imposent de nouvelles sanctions sur deux juges de la CPI enquêtant sur Israël
Le ParisienLe Parisien
Les États-Unis annoncent des sanctions visant deux autres juges de la CPI pour avoir enquêté sur Israël
L'HumanitéL'Humanité
Au Royaume-Uni, 24 membres de Palestine Action en grève de la faim depuis 48 jours face à l’intransigeance du gouvernement
EuronewsEuronews
Espagne : la police expulse 400 personnes du plus grand squat de Catalogne
La Nouvelle RépubliqueLa Nouvelle République
Plus de 80 personnes réunies à Blois pour la Journée internationale des migrants
La République des PyrénéesLa République des Pyrénées
« Une situation catastrophique » : une vingtaine d’associations réunies devant la préfecture pour défendre les migrants
L'Éveil de Pont-AudemerL'Éveil de Pont-Audemer
Défense des droits des migrants : ce collectif appelle à une mobilisation à Pont-Audemer
Le ParisienLe Parisien
La Chine va augmenter les taxes sur les préservatifs et contraceptifs… pour tenter de relancer le taux de natalité
Le HuffPostLe HuffPost
En Chine, la solution déroutante (et dangereuse) pour relancer la natalité
BFMTVBFMTV
Un nombre de naissances divisé par 2 en 8 ans: pour inciter les gens à faire des enfants, la Chine va appliquer une TVA de 13% sur les préservatifs
Paris MatchParis Match
Pour relancer la natalité, la Chine augmente ses taxes sur... les préservatifs
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Un suspect de 22 ans, qui vivait chez sa mère, interpellé dans l’affaire sur le piratage des serveurs du ministère de l’Intérieur

Un homme âgé de 22 ans a été interpellé mercredi et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête ouverte après le piratage des serveurs du ministère de l’Intérieur, a annoncé la procureure de Paris, Laure Beccuau. La semaine dernière, la place Beauvau avait annoncé avoir découvert « l’existence d’activités suspectes visant des serveurs de messagerie » comme le traitement d’antécédents judiciaires (TAJ) et le fichier des personnes recherchées (FPR).Le suspect « est déjà connu des services de justice pour avoir été condamné pour des faits similaires en 2025 », a précisé la procureure dans un communiqué. Le jeune homme, qui vivait chez sa mère, a été interpellé par la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) en Haute-Vienne.« Quelques dizaines de fiches » confidentielles ont été « extraites » lors d’une attaque informatique qui a touché Beauvau pendant plusieurs jours, a indiqué le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez mercredi matin sur franceinfo. Devant les députés, le ministre de l’Intérieur a qualifié de « très grave » l’attaque informatique tout en annonçant des mesures de restriction immédiates pour les agents, dont la double authentification systématique.La faille de sécurité a été rendue possible par un manque « d’hygiène numérique ». Déplorant « des imprudences », le ministre a expliqué qu’« un individu ou un groupe d’individus » se sont introduits « pendant plusieurs jours » dans les systèmes informatiques du ministère de l’Intérieur « en utilisant les messageries », en passant par des boîtes professionnelles pour récupérer des codes d’accès.« Un cadre plus contraint » pour éviter un nouveau casFace à ces manquements, Laurent Nuñez a annoncé une série de mesures de « remédiation » immédiates, incluant la fermeture de certains comptes et l’imposition systématique de la « double authentification ». Les nouvelles procédures vont se traduire par un « cadre de travail beaucoup plus contraint pour les agents », a prévenu le ministre, assumant les conséquences organisationnelles de la brèche de sécurité.Au-delà de l’urgence, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) a été saisie pour renforcer les systèmes en profondeur, parallèlement à l’enquête judiciaire confiée à l’Office anti-cybercriminalité (OFAC) et à une enquête administrative interne.Il y a quelques jours, un groupe de pirates informatiques a revendiqué, sans apporter de preuves, cette attaque et a assuré avoir accédé aux données de plus de 16 millions de personnes, issues des fichiers de police. « Ce que je peux vous dire, c’est qu’il n’y a pas eu extraction de millions de données. À ma connaissance, c’est faux », a encore affirmé le ministre, qui a assuré ne pas avoir reçu de demande de rançon. « Cela ne met pas en danger la vie de nos compatriotes. » L’Office anti-cybercriminalité (OFAC) est chargé de l’enquête.

Source LogoLe Parisien
l'Opinionl'Opinion
La saisie d’un tanker par les Etats-Unis paralyse le transport de pétrole au Venezuela, mais épargne Chevron
Le ParisienLe Parisien
« J’ordonne un blocus total et complet » : Donald Trump accentue sa pression sur le Venezuela en visant les pétroliers
France 24France 24
Blocus américain sur les pétroliers sous sanctions : quel impact sur les cours mondiaux ?
L'HumanitéL'Humanité
Trump poursuit l’escalade en mer des Caraïbes : il décide « un blocus total et complet » contre les pétroliers vénézuéliens
Europe 1Europe 1
Chessy : «Je ne peux m'opposer au mariage qu'avec des éléments suffisants pour nourrir un doute», affirme le procureur
La CroixLa Croix
Mariage d’une personne sous OQTF : un maire a-t-il le droit de s’y opposer ?
Europe 1Europe 1
Chessy : la préfecture refuse la démission du maire s'opposant au mariage d'un homme sous OQTF
Le FigaroLe Figaro
Chessy : la préfecture refuse la démission du maire s'opposant à un mariage d’un étranger sous OQTF
News Image
États-Unis : comment Donald Trump a mis en place une chasse aux immigrés

Depuis le retour de Donald Trump, la pression sur les personnes en situation irrégulière aux États-Unis n’a cessé de s’intensifier. L’ICE, la police fédérale de l’immigration, est passée à la vitesse supérieure en imposant une politique du chiffre, où le nombre d’interpellations et d’expulsions est devenu l’objectif principal. En un an, le nombre de personnes détenues par l’ICE a été multiplié par quatre, et plus de 400 000 ont été expulsées. Pour ses détracteurs, l’administration Trump a créé une véritable "machine à expulser". Comment cette politique a-t-elle été mise en œuvre ? Qui est visé ? Et quelles  sont les conséquences, non seulement pour les migrants, mais aussi pour la société américaine ?

Source LogoFrance 24
L'HumanitéL'Humanité
« Filière d’immigration clandestine » : Marine Le Pen définitivement condamnée pour diffamation envers la Cimade
La CroixLa Croix
Marine Le Pen condamnée pour diffamation envers la Cimade, une association d’aide aux migrants
Midi LibreMidi Libre
Marine Le Pen condamnée pour avoir assimilé l’action des associations humanitaires à celle de "passeurs"
Actu.frActu.fr
Marine Le Pen condamnée pour avoir accusé les associations d’aide aux migrants d’être "complices des passeurs"
Centre Presse AveyronCentre Presse Aveyron
Une situation inédite depuis la Seconde Guerre mondiale : la France enregistre plus de décès que de naissances
CNEWSCNEWS
Victime de «l'effet baby-boom», la France voit la natalité ne plus compenser la mortalité, selon l'Ined
BFMTVBFMTV
Plus de décès que de naissances: "C'est l'évolution normale, attendue et prévisible d'un pays européen moderne", explique l'économiste David Duhamel
20 Minutes20 Minutes
Plus de décès que de naissances… Une première en France depuis 1945
20 Minutes20 Minutes
Venezuela : Kast, le nouveau président chilien d’extrême droite, veut aider à mettre fin au régime de Maduro
Le Canard enchaînéLe Canard enchaîné
Présidentielle au Chili Les fachos Kast la baraque
RFIRFI
Nicolas Maduro appelle le président élu chilien à respecter les migrants vénézuéliens
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José Antonio Kast élu président du Chili, le conservateur qui bouleverse la politique latino-américaine
France 24France 24
La victoire de José Antonio Kast au Chili confirme le virage à droite de l'Amérique latine
Le FigaroLe Figaro
Nicolás Maduro compare le président élu du Chili à Adolf Hitler et l’appelle à «respecter les Vénézuéliens»
L'HumanitéL'Humanité
Présidentielle au Chili : La victoire de José Antonio Kast, pose la question des raisons du retour de l’extrême droite
France 24France 24
Au Chili, la victoire de José Antonio Kast et l'ombre de Pinochet
Le ParisienLe Parisien
Ukraine : Donald Trump assure qu’un accord n’a « jamais » été aussi « proche »
Le ParisienLe Parisien
Ancien militaire, proche du Kremlin, complotiste… Qui est Xavier Moreau, ce Français prorusse sanctionné par l’UE
Le ParisienLe Parisien
Les négociateurs américains demandent toujours à Kiev d’abandonner sa région du Donbass, selon un responsable ukrainien
La CroixLa Croix
Guerre en Ukraine, jour 1392 : les pourparlers progressent ; des garanties de sécurité sur la table
France 24France 24
Le Cambodge accuse la Thaïlande d'avoir bombardé la province de Siem Reap
Le MondeLe Monde
Le Cambodge accuse la Thaïlande d’avoir bombardé la province de Siem Reap
RFIRFI
Le Cambodge accuse la Thaïlande d'avoir bombardé la province de Siem Reap
TV5 MONDETV5 MONDE
Le Cambodge accuse la Thaïlande d'avoir bombardé la province de Siem Reap
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Plus de décès que de naissances : comme l’Italie, « la France ne pourra plus se passer de l’immigration »

C’est la fin de l’exception française. Pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, notre pays devrait connaître plus de décès que de naissances cette année. De là à dire que la France va perdre des habitants ? Non. Car la population dispose de deux « moteurs », disent les démographes.Quand l’un est en panne, l’autre prend le relais. Si la population continue d’augmenter, ce ne sera donc plus grâce à notre solde naturel (la différence entre le nombre de décès et de naissances), mais uniquement grâce à notre solde migratoire (la différence entre le nombre de personnes qui entrent sur le territoire et le nombre de personnes qui en sortent). En 2024, déjà, le premier avait été faible, de l’ordre de 17 000. La France avait gagné 152 000 habitants grâce à l’immigration. En 2025, il faut se rendre à l’évidence : notre solde naturel sera négatif.

Source LogoLe Parisien
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Mineurs isolés : en Seine-et-Marne, on leur offre une chance… et ça marche

Mineurs clandestins ne rime pas forcément avec errance sans fin. En Seine-et-Marne, où la Chambre de commerce et d’industrie (CCI 77) propose des formations en alternance du CAP au bac + 5 au sein de son école, l’Utec, les chiffres parlent d’eux-mêmes.L’établissement, qui a organisé des portes ouvertes à Avon ce samedi, forme chaque année une centaine de mineurs non accompagnés (MNA) sur environ 1 700 étudiants répartis sur les sites d’Émerainville, Melun, Avon et Provins. « Le taux de réussite des MNA s’élève à 93 % et leur taux d’insertion professionnelle atteint 79 % six mois après leur sortie », s’enthousiasme Fehd Bensaïd, directeur général adjoint de la formation.

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Les traversées de la Manche par des migrants ont repris après un mois d’accalmie, Londres enrage

Les traversées de la Manche par des migrants à bord d’embarcations de fortune ont repris samedi vers le Royaume-Uni, après une accalmie de 28 jours, la plus longue période depuis sept ans, selon des chiffres officiels publiés ce samedi.Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a qualifié ce redémarrage des traversées de « honteuse ». « Le peuple britannique mérite mieux », a-t-il ajouté, sans préciser dans un premier temps combien de migrants étaient arrivés ce samedi.Avant samedi, les dernières traversées remontaient au 14 novembre, selon les chiffres publiés par le ministère de l’Intérieur, marquant ainsi la plus longue période ininterrompue sans arrivées de migrants depuis l’automne 2018. Une pause provoquée par des mauvaises conditions météorologiques, selon plusieurs observateurs.Londres veut « détruire les gangs » de passeursLe Premier ministre travailliste Keir Starmer, qui a promis de « détruire les gangs » de passeurs, tente en vain de faire baisser le nombre de migrants qui arrivent sur le sol britannique, un sujet qui alimente la poussée du parti d’extrême droite Reform UK.Depuis le 1er janvier, 39 292 personnes sont arrivées au Royaume-Uni à bord de petites embarcations, un chiffre qui dépasse celui de l’année 2024 (36 816). Ces chiffres restent pour l’instant en deçà de ceux enregistrés en 2022 (45 774 arrivées), année record depuis le début du phénomène en 2018.Pour tenter de réduire l’immigration irrégulière, Londres a conclu cet été un accord avec Paris qui consiste à renvoyer en France des migrants arrivés au Royaume-Uni à bord d’embarcations précaires. En échange de l’accueil par le Royaume-Uni de migrants se trouvant en France, sur le principe du « un pour un ».

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« Je suis chargé comme un porc » : entre 2 et 4 ans de prison pour les trafiquants de cocaïne qui arrosaient l’Île-de-France

Il y a Kevin, 29 ans, dit « le vieux », impeccable dans son tee-shirt blanc et sa veste noire. Obed, 26 ans, opportunément surnommé « Bédo » (pour « joint »), qui comparaît en visioconférence depuis la maison d’arrêt. Christopher, 29 ans, armoire à glace dans sa grosse veste en polaire, déjà 20 condamnations au casier judiciaire. Et Smith, 23 ans, le benjamin du quatuor.Ces hommes étaient jugés ce vendredi après-midi à Versailles pour un trafic de stupéfiants, essentiellement de la cocaïne, qui arrosait toute l’Île-de-France. Entre février 2025 et le 15 septembre dernier, ils ont fourni des clients dans tous les départements de la région.L’affaire débute le 9 janvier 2025 grâce à un renseignement anonyme adressé aux policiers de Sartrouville (Yvelines). L’interlocuteur dénonce un jeune homme, Obed, « Bédo » donc, qui vit à l’époque dans le Val-d’Oise. Son téléphone contient plusieurs numéros renvoyant vers des personnes connues pour du trafic ou de la consommation de stupéfiants.Les enquêteurs le prennent en filature lorsqu’il circule au volant de sa Peugeot 208 et cachent un micro dans le véhicule. Début février, les investigations les mettent sur la piste d’un deuxième homme, Christopher, domicilié dans les Hauts-de-Seine, qui effectuerait ses livraisons au guidon d’un scooter Yamaha.Quarante capsules de cocaïne en perquisitionL’été suivant, un lieu de stockage est découvert dans un appartement de Maisons-Laffitte (Yvelines) à la suite de plusieurs plaintes déposées par les résidents, qui déploraient une odeur de cannabis permanente. L’occupant du logement, Smith, est interpellé le 7 juillet. Dans l’appartement et dans le local à poubelles, les policiers découvrent une quarantaine de capsules en plastique, avec des résidus de poudre blanche.Le jeune homme venait tout juste de purger une peine pour trafic de stups et était en sursis probatoire. Au cours de l’enquête, les policiers ont intercepté une conversation sur son téléphone, évoquant une livraison à venir : « Je suis choqué comment il est rempli, le sac. Je suis chargé comme un porc ». À l’audience, Smith, la main sur le cœur, reconnaît à peine « deux ou trois livraisons par semaine », pour lesquelles il percevait 50 euros et du cannabis pour sa consommation personnelle.Obed, ciblé par la dénonciation anonyme, papa d’une fillette de 3 ans, fait valoir des difficultés personnelles. « J’étais dans un tournant de ma vie compliqué mais je ne suis pas un trafiquant » explique-t-il au tribunal.Un séjour en Thaïlande pour « se changer les idées »Depuis le box, Christopher sert le même argument : « Je sortais de détention. J’avais un loyer à payer. Un travail, ça ne se trouve pas comme ça. Donc je n’avais pas le choix ». À 29 ans, il cumule déjà 20 condamnations. Interpellé à l’aéroport au retour d’un séjour au Maroc, il travaillait parfois « dans la sécurité, pour le monde de la nuit, mais au black ».La présidente replonge dans le dossier. « En octobre, vous passez une semaine au Maroc. En juin, à votre sortie de détention, vous partez trois semaines en Thaïlande… », détaille-t-elle, comme pour cibler la contradiction. « Mes amis m’ont fait un petit plaisir, voilà. Ils m’ont payé le billet pour me changer les idées après ma détention », justifie-t-il.Kevin, lui, présenté comme le chef d’orchestre du trafic, assure qu’il s’est contenté de livrer « par-ci par-là ». En avril dernier, pourtant, les enquêteurs ont intercepté sa conversation avec une cliente qui attendait sa dose de cocaïne à Thoiry (Yvelines). « Vous dites à cette dame, en parlant du livreur : Tu vas voir, c’est un petit jeune. Je pense que tu ne l’as jamais vu : c’est un nouveau », explique la présidente.« Je parle de moi à la troisième personne »Lors d’une autre conversation, Kevin explique à un client que le livreur « va arriver dans 10 minutes ». « Nan, Madame la présidente, le livreur, c’était moi. Parfois, je parle de moi à la troisième personne », explique-t-il sans rire.Avec huit condamnations à son actif, notamment pour transport d’armes et proxénétisme aggravé, il assure avoir entrepris « un travail psychologique sur [lui-même] ». À cause des sept années de détention qu’il vient d’effectuer, il a « oublié les codes du dehors », explique-t-il. « Sept ans de prison, mentalement, c’est très dur. Quand je sors, je suis perdu ». Dans les transports ou dans les lieux publics, il serait systématiquement pris de malaises, ce qui l’empêche de conserver un emploi.« Les déclarations des quatre prévenus laissent vraiment dubitatif. Les faits sont reconnus mais extrêmement minimisés, a estimé la procureure. Ce qui interroge surtout, c’est qu’il s’agit de leur énième comparution devant un tribunal. Et qu’on les retrouve dans un trafic alors qu’ils sont à peine sortis de prison ». Les quatre hommes ont été maintenus en détention ce vendredi soir. Le tribunal a prononcé à leur encontre des peines comprises entre deux et quatre ans de prison ferme.

Source LogoLe Parisien
La CroixLa Croix
Un an après le cyclone qui a ravagé Mayotte, la reconstruction au défi des aléas climatiques
France 24France 24
Il y a un an, le cyclone Chido frappait Mayotte
l'Opinionl'Opinion
Mayotte : un an après le cyclone Chido, la difficile reconstruction
Sud OuestSud Ouest
« Un an après le cyclone Chido, la situation de Mayotte reste critique »
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« Ceux que les États-Unis ne veulent pas sur le territoire » : pourquoi Washington expulse des migrants vers le Kosovo

Des migrants refusés par les États-Unis… désormais au Kosovo. Des ressortissants de pays tiers expulsés par Washington sont arrivés au Kosovo, a annoncé le Premier ministre Albin Kurti, en difficulté sur un plan intérieur et avec son traditionnel allié américain.Au détour d’une longue interview sur une chaîne locale jeudi soir, Albin Kurti a confié que le Kosovo acceptait « ceux que les États-Unis ne veulent pas sur le territoire ». « Si je ne me trompe pas, un ou deux d’entre eux sont là », a-t-il dit, sans plus de précisions sur la date de leur arrivée, leur nationalité, ou l’endroit où ils se trouvent.« Une personne est arrivée en République du Kosovo et s’est vue accorder une protection temporaire, conformément à la législation en vigueur », a pour sa part indiqué le ministère de l’Intérieur du Kosovo à l’agence américaine Associated Press.Un accord pour cinquante personnesLeur expulsion se fait en vertu d’un accord, adopté lors d’une session du gouvernement kosovar sortant en juin, donné pour un an et qui porte sur cinquante personnes. « Dans le but de faciliter leur retour en toute sécurité dans leur pays d’origine », avait à l’époque affirmé Albin Kurti.Le Kosovo, pays parmi les plus pauvres d’Europe, indépendant depuis 2008, souhaitait par cet accord exprimer sa gratitude envers les États-Unis pour leur soutien et leur coopération. Il s’agit d’une façon de montrer la « reconnaissance éternelle » du pays envers les États-Unis, qui ont toujours défendu l’indépendance de cette ancienne province serbe, avait expliqué le gouvernement au printemps.Le peuple le plus pro américain du mondeDepuis, Albin Kurti, arrivé en tête aux élections législatives en février, a échoué à former un gouvernement et été contraint d’accepter de nouvelles élections. Le scrutin est prévu le 28 décembre. La situation, et la politique d’Albin Kurti envers la minorité serbe, lui a valu des mots durs des Américains, qui l’ont accusé il y a quelques jours de « compromettre la stabilité » du pays en empêchant un parti politique serbe de se présenter aux élections de décembre.Un ton qui tranche avec des années de soutien de Washington. Les Kosovars se décrivent volontiers comme le peuple le plus pro américain du monde, et les drapeaux américains sont partout dans la capitale, Pristina. L’un des plus grands boulevards de la ville honore l’ex-président George W. Bush. Bill Clinton y a aussi un boulevard, et une statue.La popularité des États-Unis se double d’une influence économique et politique considérable. Avant l’accord avec Washington, le Kosovo avait déjà ratifié un accord à hauteur de 200 millions d’euros avec Copenhague pour l’accueil de prisonniers étrangers condamnés au Danemark, et qui pourront purger leur peine dans une prison kosovare.Les Balkans, terre d’accueil ?Les Balkans sont de plus en plus envisagés par les pays occidentaux pour y renvoyer des personnes dont la demande d’asile aurait été rejetée et faisant face à une obligation de quitter le territoire. Lundi, les 27 pays de l’Union européenne ont entériné un net durcissement de leur politique migratoire, ouvrant notamment la voie à l’envoi de migrants dans des centres situés hors des frontières de l’UE et les Balkans semblent possiblement visés.L’Albanie héberge déjà des centres de retour pour les migrants arrivant d’Italie, qui n’ont accueilli cependant que quelques dizaines de personnes : plusieurs décisions de tribunaux italiens ont remis en cause la légalité de ces détentions.

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Europe : un « nouveau règlement de la honte » contre les exilés

Chro Wurtz. Europe : « Nouveau règlement de la honte » En pleine période de célébration de la Déclaration universelle des droits de l’homme, tandis que Donald Trump prédisait à l’Europe la perspective d’un « effacement civilisationnel » en raison de sa politique migratoire, prétendument trop laxiste, les représentants du Parlement européen et ceux des États membres étaient, quant à eux,…

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États-Unis : un Salvadorien expulsé par erreur relâché
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Kilmar Abrego Garcia, symbole de la chasse aux migrants de Donald Trump, libéré par la justice
Le MondeLe Monde
Un immigré salvadorien expulsé puis ramené aux Etats-Unis retrouve la liberté après une décision de justice
BFMTVBFMTV
L'immigré salvadorien expulsé par erreur des États-Unis finalement libéré par la justice américaine
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« Dites à Macron qu’on a besoin de lui » : un an après le cyclone Chido, Mayotte attend toujours le soutien de l’État
L'HumanitéL'Humanité
« Dans le plan de refondation seulement 200 millions sont consacrés au logement » : un an après Chido, Mayotte face à l’urgence de la reconstruction
FranceinfoFranceinfo
Un an après le passage du cyclone Chido, Mayotte peine à se relever
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Secours populaire : un an après le cyclone Chido, le soutien concret des Yvelines à Mayotte
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Les députés adoptent le renouvellement automatique des titres de séjour longue durée pour mettre un terme à une « injustice criante »

Malgré l’opposition du gouvernement, les députés ont adopté, jeudi 11 décembre, une proposition de loi PS visant à simplifier le processus de renouvellement pour des personnes déjà titulaires d’un titre de séjour et éviter l’engorgement administratif. Le texte doit désormais être mis à l’ordre du jour du Sénat où la majorité de droite a toutes les chances de s’opposer au texte.

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Immigration : l’Union européenne s’oriente vers un durcissement inédit de sa politique

Certes, l’Europe n’a pas l’intention de « suspendre définitivement l’immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde », comme l’a proclamé Donald Trump pour les États-Unis, le 27 novembre. Il n’en demeure pas moins que les Vingt-Sept ont avancé cette semaine vers un durcissement de leur politique migratoire commune.L’acte 1 a eu lieu lundi 1er décembre. Les institutions de l’Union européenne (UE) se sont entendues sur un principe inédit : celui d’utiliser le commerce comme moyen de pression pour forcer les nations peu développées à accepter le retour de leurs ressortissants présents illégalement sur le territoire européen.

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Violences sexuelles dans des écoles parisiennes : la responsable du périscolaire dans les XIe et XIIe arrondissements démissionne

Cela faisait huit ans que Laurie Dahan avait rejoint la Circonscription des affaires scolaires et de la petite enfance (CASPE) des XIe et XIIe arrondissements de Paris, et trois ans qu’elle en avait pris la tête. Elle a décidé de mettre fin à sa mission. Dans un mail adressé à ses collègues ce vendredi, consulté par Le Parisien, elle annonce sa démission : « J’ai décidé de quitter mes fonctions ».La cause de cette décision ? L’empilement des affaires de violences sexuelles sur des enfants dans des établissements de sa circonscription. Est concernée l’école Bullourde (XIe arrondissement), par exemple. Trois animateurs de cet établissement ont été suspendus depuis la rentrée scolaire, soupçonnés respectivement de « faits à caractère sexuel », « d’exhibition » et « faits d’agression sexuelle ».Mais aussi l’école Alphonse-Baudin (XIe arrondissement), où un animateur est renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris pour des faits d’agression sexuelle sur des mineurs. Il avait pu continuer à travailler pendant plusieurs mois, alors même que des faits avaient été signalés par des parents. Il aura fallu d’autres témoignages pour que de nouvelles mesures soient prises.Une autre affaire, encore, secoue l’école Reuilly B (XIIe arrondissement). Au début de l’été 2025, des centaines d’images pédopornographiques ont été découvertes dans l’ordinateur d’un animateur, aujourd’hui décédé. Cet individu avait déjà fait l’objet d’une plainte pour agression sexuelle sur mineur dix ans plus tôt.Une crise « qui inquiète, interpelle et questionne légitimement »« Cela fait plusieurs mois de crise que nous traversons. Une crise due à la prévalence des situations sur le 11e qui inquiète, interpelle et questionne légitimement », écrit Laurie Dahan dans son mail.Alors que les critiques fusent, elle assure : « Je me suis investie à 100 % dans la gestion de cette crise, et dans le soutien aux équipes de la CASPE et du terrain, dont je mesure chaque jour l’engagement. Cela demande beaucoup d’énergie et de temps, à tous les niveaux ». Et d’ajouter : « Aujourd’hui, j’ai besoin de retrouver un environnement de travail plus serein, d’où ma décision de faire cette mobilité », dit-elle, sans donner plus de détails.Laurie Dahan affirme qu’elle restera en place jusqu’au 19 décembre. Judith Hervieu, coordinatrice de la CASPE à la Direction des familles de la petite enfance, lui succédera. « Elle viendra dès la semaine prochaine à la CASPE pour deux semaines de tuilage. »Un nouveau plan de lutte lancé par la mairie de ParisFace la multiplication des suspicions d’actes pédocriminels, la mairie de Paris a annoncé un nouveau plan de lutte. Présenté en novembre par le premier adjoint à la mairie de Paris en charge de la petite enfance, Patrick Bloche, il prévoit la suspension définitive de tout animateur qui ferait l’objet d’un signalement pour des faits d’agression sexuelle. Et ce, même si les enquêtes administratives ou pénales concluent à l’innocence des agents.Jeudi, Dominique Versini, 71 ans, est devenue la première Défenseure des enfants de Paris. Ce poste inédit vise à mieux repérer les violences dans les écoles.L’ancienne défenseure des enfants au niveau national sera chargée de « recevoir les saisines des enfants, de leurs parents et de toute personne y ayant un intérêt légitime, en les instruisant ». L’ex-adjointe d’Anne Hidalgo devra également les orienter vers la justice en cas de « situation de danger d’un enfant ».

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