
Deux mois après le spectaculaire cambriolage du Louvre, BFMTV vous révèle les chiffres fous du butin du Louvre, ainsi que les détails d'une enquête hors norme.
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Deux mois après le spectaculaire cambriolage du Louvre, BFMTV vous révèle les chiffres fous du butin du Louvre, ainsi que les détails d'une enquête hors norme.

Au Sénégal, la Police nationale a annoncé, dimanche 21 décembre, l’arrestation du cerveau présumé d’un réseau de trafic de femmes originaires du Nigeria, récemment démantelé à Kédougou, dans le sud-est du pays. L’enquête a été déclenchée après le signalement d’un témoin local à l’antenne régionale de la Division de lutte contre le trafic de migrants (DNLT). Une affaire qui vient s’ajouter à une série de cas de traite de femmes identifiés ces derniers mois au Sénégal, impliquant des ressortissantes de plusieurs pays de la sous-région.

Des peines particulièrement sévères. La justice du Salvador, où le président Nayib Bukele a déclaré la « guerre » aux gangs, a condamné des dizaines de membres de la Mara Salvatrucha (MS-13) à plusieurs siècles de prison.Depuis mars 2022, le président Bukele a fait adopter un régime d’exception qui autorise les arrestations sans mandat. Plus de 90 000 personnes ont été arrêtées et environ 8 000 ont ensuite été libérées après avoir été déclarées innocentes, selon des sources officielles.Le parquet salvadorien a indiqué sur X que 248 membres du gang MS-13 ont reçu des « peines exemplaires » pour 43 homicides et 42 disparitions de personnes, entre autres crimes, sans préciser la date du jugement ni s’il s’agit de procès collectifs.Assassinats et racketL’un des membres du gang, considéré comme « terroriste » par les États-Unis, a été condamné à 1 335 ans de prison. Dix autres ont été condamnés à des peines allant de 958 à 463 ans de réclusion, selon le parquet.Parmi les crimes commis par les membres de la MS-13 entre 2014 et 2022 figurent les assassinats d’un étudiant et d’une footballeuse, ainsi que de multiples cas de racket de commerçants et de violations de domiciles.La lutte menée par le président Bukele contre les gangs a permis de réduire drastiquement le nombre d’homicides au Salvador, mais les organisations de défense des droits humains dénoncent des abus, dont ils accusent les forces de l’ordre.

Un septuagénaire a été reconnu coupable des agressions sexuelles qu’il avait commises en octobre 2023 à Maisdon-sur-Sèvre et à St-Lumine-de-Clisson sur deux de ses petites-filles.
La victime pourrait avoir surpris un ou plusieurs braconniers dans son bois. Mis en ligne le 21/12/2025 à 22:08 Lecture zen Consultez l’actualité en vidéo Le drame s’est produit ce dimanche 21 décembre, à la mi-journée, entre 11 heures et 14 heures. Un Samarien de 45 ans ne répondait pas aux appels de sa famille, et la situation était devenue inquiétante. Selon nos informations, l’homme, qui est chasseur, avait ses habitudes dont celle de se rendre dans son bois situé à Domart-en-Ponthieu. Et selon nos informations, c’est à cet endroit, au lieu-dit la Grableuse, un bois à l’écart de toute habitation, que les gendarmes ont fait la macabre découverte. Le chasseur a été retrouvé sans vie, touché par au moins un tir d’arme à feu.Il aurait pu avoir surpris un ou des braconniers. L’information selon laquelle il les aurait vus sur des caméras nous a été démentie.La piste de l’homicide serait privilégiée. Toujours selon nos informations, aucun suspect n’aurait pour l’instant été identifié et interpellé. Parmi la piste étudiée, celle d’un ou plusieurs braconniers surpris par la victime sur son terrain. Dans le milieu de la chasse samarienne, c’est en tout cas la rumeur de cette piste qui circule. L’information selon laquelle le quadragénaire aurait vu des inconnus sur son terrain via des caméras et se serait rendu immédiatement sur place nous a été démenti par nos sources.Le maire de la commune est «sous le choc»Si de nombreuses zones d’ombre pèsent encore sur ce drame, le décès a provoqué une vive émotion chez les chasseurs. Car la victime, qui réside à Bellancourt près d’Abbeville, « était quelqu’un de très connu dans le milieu », nous fait savoir un chasseur. À Domart-en-Ponthieu, l’émotion est vive. Le maire, Nicolas Maréchal, n’a pas souhaité s’exprimer sur le drame, mais il indique être « sous le choc » : « Cette affaire fait des dégâts dans la commune. Je n’ai pas les mots pour qualifier cet acte. Quel que soit le problème, on ne tue pas les gens. C’est incompréhensible ». À lire aussi https://www.courrier-picard.fr/id684043/article/2025-12-21/un-jeune-de-18-ans-meurt-dans-un-accident-pres-dabbeville-les-2-passagers-en Par Gautier Lecardonnel Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Picardie Domart-en-Ponthieu (Somme) Un chasseur de 45 ans aurait été victime d’un meurtre dans la Somme Le drame s’est produit ce dimanche 21 décembre à Domart-en-Ponthieu. Le corps de la victime, 45 ans, a été retrouvé dans un bois. Une enquête a été ouverte.

C’est une histoire méconnue, bien avant le meurtre du petit Grégory noyé dans la Vologne le 16 octobre 1984. Celle d’un corbeau qui pendant 3 ans a harcelé jour et nuit toute une famille. Des coups de fil incessants, des lettres, des canulars macabres qui révèlent toute la jalousie et la haine qui ont conduit à l’assassinat d’un petit garçon de 4 ans. Cette voix rauque qui a menacé la famille Villemin n’a jamais été identifiée mais les soupçons convergent aujourd’hui vers une femme, Jacqueline Jacob, la grand-tante de Gregory, mise en examen pour association de malfaiteurs le 24 octobre dernier. Cet énième rebondissement permettra-t-il de résoudre l’une des affaires criminelles les plus énigmatiques de France ? « Affaire Grégory, les voix du crime », une enquête Ligne Rouge d’Isabelle Quintard, Vincent Vantighem, Nicolas Baggioni, Alexandre Funel et Marlène Lartigues.

Jean-Luc Lesluyes, un homme travaillant à l’hôpital de Dax, dans les Landes, est introuvable depuis jeudi 18 décembre. Toute personne susceptible d’avoir des informations intéressantes est tenue d’appeler le...



Face aux juges, les auteurs d’une agression peinent à s’expliquer. Entre la consommation d’alcool et une amnésie partielle, le récit des faits jugés au tribunal correctionnel reste confus.

Le gouvernement va faire appel de la décision de la justice de lever les sanctions contre Shein, après la découverte de poupées pédopornographiques disponibles à la vente. Pourtant, il n'y a aucune garantie de contrôle de ces énormes sites commerciaux. L'enquête du 20H de TF1 montre que ces objets illégaux sont encore faciles à trouver sur d'autres plateformes, qui sont donc hors la loi.

Donner un prénom à son enfant est souvent un moment de compromis. Mais pour cette jeune maman, la décision a pris une tournure totalement inattendue, l’obligeant à revenir devant la justice pour effacer un choix devenu trop lourd à porter.

Tous les soirs à 20 h 30, retrouvez l’essentiel de l’actualité régionale sur midilibre.fr.
Les policiers de Vierzon ont interpellé un couple, dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 décembre 2025. Ils avaient été sollicités pour des violences conjugales.
Ce dimanche 21 décembre, un juge d’instruction dijonnais a mis en examen pour évasion en bande organisée Yanik Touoibati Chaduli, l'un des deux prévenus qui se sont évadés de la maison d’arrêt de Dijon le 27 novembre, indiquent nos confrères du Bien Public.

Dans le bras de fer qui l'oppose à Shein, le gouvernement français va faire appel de la décision du tribunal. L'accès à cette plateforme de vente avait été suspendu après la découverte de poupées pédopornographiques. Le géant chinois les a depuis retiré. La justice a donc levé les sanctions. Et pourtant, en quelques clics, en accès libre et sans même demander l’âge de l'internaute, certaines plateformes chinoises et des sites internet dédiés continuent de vendre ces poupées.

Comme nous vous le relations, samedi 20 décembre, en milieu de journée, un homme armé d’un couteau a été abattu par la police en plein centre-ville d’Ajaccio, en Corse. La... L’article Ajaccio : les parents de l’étudiant sénégalais abattu par la police portent plainte est apparu en premier sur Valeurs actuelles.

Un quadragénaire a été condamné, en appel, à trois ans de prison ferme le 16 décembre 2025 après avoir forcé une femme à retirer 450 € à Blois, en novembre 2021. Une peine plus lourde qu’en première instance.

À Avion, dans le Pas-de-Calais, les habitants ne comprennent pas ce qui a pu se passer. Un couple de septuagénaires a été attaqué à son domicile. La femme n'a pas pu être sauvée. La retraitée a été connue dans le quartier pour sa grande générosité. Selon les premiers éléments des investigations, un homme, qui avait été hébergé par les seniors, est en cours d'identification et activement recherché. Une enquête est ouverte pour homicide et tentative.

Le vendredi 12 décembre 2025, le démantèlement d’un réseau de stupéfiants était annoncé par les gendarmes. Le revendeur, en récidive, a été condamné à une peine mixte. Il reste en prison.

Les faits se sont déroulés dans le huis clos d’un appartement, dans la nuit de samedi à dimanche. La victime, domiciliée en Saône-et-Loire, était venue passer le week-end chez un ami qui a fini par lui ôter la vie. Que s’est-il passé pour aboutir à cette tragique issue ? C’est la question qui taraude les enquêteurs.

L’enquête menée par le commissariat de Gap après les tirs à proximité directe d’un bar du centre-ville de Gap, se poursuit ce dimanche 21 décembre. La garde à vue de l’un des deux mis en cause a été levée dans la journée et les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour démêler les faits qui ont conduit à ces coups de feu.

Un homme a été tué par la police à Ajaccio (Corse-du-Sud), ce samedi. Il était armé d'un couteau et menaçait des passants, a précisé le procureur. Ses parents souhaitent porter plainte, a indiqué leur avocate à l'AFP dimanche.

La jeune femme, domiciliée à Cournonterral à l’ouest de Montpellier, et employée dans un supermarché de Cournonsec, la commune voisine, a disparu vendredi 19 décembre en début de soirée, à la sortie de son travail.

Alors que le ministère de la Justice états-unien commence à divulguer les dossiers Epstein, ses nombreuses victimes méritent davantage d’attention que les hommes puissants figurant sur sa « liste des clients »
Pendant une demi-heure ce dimanche soir, le trafic SNCF a été interrompu sur la ligne Reims-Châlons pour mettre en sécurité un homme qui divaguait sur les voies avec des intentions suicidaires, dans la zone industrielle de la Pompelle.

« Les filles étaient recrutées pour accompagner les clients dans la consommation de champagne », dit la gérante. Pas de sexe, donc. Sauf que l’une des hôtesses était totalement nue lors de la descente de police. Et que du papier essuie-tout traînait un peu partout dans l’Elsa Pub.

Dimanche 21 décembre 2025Une femme a appelé la gendarmerie pour dénoncer des violences conjugales vendredi 19 décembre 2025, à 22 h 30, dans le Haut-Léon (Finistère). L’homme, un quadragénaire, a été interpellé par le Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig), alors qu’il refusait d’obtempérer.

Triste découverte, ce dimanche 21 décembre au matin pour les élus de la commune de Brenne, qui ont retrouvé les locaux de la bibliothèque et de l’agence postale communales complètement saccagés. Une estimation du montant du préjudice et des vols éventuels de matériels doit encore être effectuée, lundi 22 décembre.

Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), qui sera opérationnel dans quinze jours, marque un renforcement dans la lutte contre le narcotrafic. Il sera chargé de démanteler les trafics, en s’attaquant notamment aux têtes de réseaux.

Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), qui sera opérationnel dans quinze jours, marque un renforcement dans la lutte contre le narcotrafic. Il sera chargé de démanteler les trafics, en s’attaquant notamment aux têtes de réseaux.

Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), qui sera opérationnel dans quinze jours, marque un renforcement dans la lutte contre le narcotrafic. Il sera chargé de démanteler les trafics, en s’attaquant notamment aux têtes de réseaux.

Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), qui sera opérationnel dans quinze jours, marque un renforcement dans la lutte contre le narcotrafic. Il sera chargé de démanteler les trafics, en s’attaquant notamment aux têtes de réseaux.

Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), qui sera opérationnel dans quinze jours, marque un renforcement dans la lutte contre le narcotrafic. Il sera chargé de démanteler les trafics, en s’attaquant notamment aux têtes de réseaux.

Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), qui sera opérationnel dans quinze jours, marque un renforcement dans la lutte contre le narcotrafic. Il sera chargé de démanteler les trafics, en s’attaquant notamment aux têtes de réseaux.

Le parquet national anticriminalité organisée (Pnaco), qui sera opérationnel dans quinze jours, marque un renforcement dans la lutte contre le narcotrafic. Il sera chargé de démanteler les trafics, en s’attaquant notamment aux têtes de réseaux.

Keiko Mori, une Japonaise de 75 ans, a été condamnée à un an de prison, assortie d’un sursis de trois ans, ce jeudi, pour avoir caché le corps de sa fille dans un placard puis dans un congélateur à son domicile, pendant près de 20 ans, a rapporté The Independent, ce vendredi.Début septembre, la septuagénaire s’était rendue à la police, expliquant qu’elle avait conservé un corps dans son congélateur et « qu’il s’agissait de sa fille » née en 1975, a déclaré à l’époque à l’AFP un porte-parole de la police locale.Violente envers ses parentsEn se rendant dans la maison, située à Ami, dans la préfecture d’Ibaraki, au nord-est de Tokyo, les enquêteurs ont découvert le corps recroquevillé d’une femme, vêtue d’un tee-shirt et de sous-vêtements, dans le congélateur. La police a précisé « le corps était en état de décomposition avancée ».Les premières analyses ont permis de confirmer qu’il s’agissait de Makiko, la fille de Keiko Mori, décédée en 2005 à l’âge de 29 ans. Devant les enquêteurs, Keiko Mori a expliqué que l’odeur était devenue insoutenable et qu’elle avait acheté le congélateur pour y placer le corps de sa fille, selon le porte-parole de la police.Makiko, qui luttait contre une addiction à des stupéfiants et se montrait physiquement violente envers ses parents, a été tué par son propre père, le mari de Keiko Mori, décédé en septembre dernier. À l’époque, l’homme avait l’intention de se dénoncer aux autorités, mais son épouse, Keiko Mori, l’en a dissuadé.« Il s’agit d’un crime odieux », a déclaré le tribunal, qui a condamné Keiko Mori à un an de prison, assortie d’un sursis de trois ans. Makiko, née en 1975, aurait eu 49 ou 50 ans au moment où sa mère s’est rendue à la police, selon The Independent.

Les parents de l'homme armé d'un couteau et tué par la police ce samedi à Ajaccio (Corse-du-Sud) souhaitent porter plainte. Une intervention remise en cause. Ce dimanche, l’avocate de la famille de l’homme armé tué par la police à Ajaccio, en Corse-du-Sud, ce samedi, a annoncé qu’elle voulait porter plainte pour homicide volontaire aggravé. «Dans quelles conditions la police a tiré les trois coups ? Est-ce que c’était vraiment nécessaire de riposter de cette façon?», s’est ainsi interrogé l’avocate de la famille, Maître Aljia Fazai-Codaccioni, qui a également déclaré à l’AFP attendre le livret de famille et la procuration des parents qui vivent au Sénégal avant de porter plainte, confirmant ainsi une information de Corse-Matin. De son côté, dans un communiqué de presse transmis ce dimanche, Nicolas Septe, le procureur de la République d’Ajaccio a précisé que «les premiers passants auditionnés indiquaient que les policiers avaient fait tout leur possible ...

Un drame s’est déroulé ce dimanche à Mirecourt, à proximité immédiate du centre hospitalier psychiatrique Ravenel. Un homme hospitalisé dans […] The post Drame à Mirecourt : un patient hospitalisé met fin à ses jours sur un chantier voisin appeared first on Gerardmer Info.

Écoutez Crime story, le podcast de faits divers du ParisienPartie 2Sur votre smartphone ou votre tablette, écoutez Crime story et abonnez-vous sur :Apple Podcast (iPhone, iPad)Podcast Addict ou CastboxDeezerSpotifyRésumé. (Deuxième et dernier épisode) Le vendredi 24 novembre 2000, un colis piégé explose au Syndicat intercommunal de la côte d’Amour et de la presqu’île guérandaise, le SICAPG. L’engin explosif, dissimulé dans une chaîne hifi, tue un agent de 39 ans, Jacques Leparoux.En réalité, ce n’est pas lui qui est visé mais Christophe Priou, maire du Croisic et président du syndicat. Il vient d’échapper à un attentat.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Garnier-Amouroux, Anaïs Godard et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l’aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité les ressources suivantes : Faites entrer l’accusé, France 3 Régions et Libération.À propos de Crime story. Le podcast Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles qui ont marqué ces dernières décennies. Publié chaque samedi, Crime story est présenté par la journaliste Clawdia Prolongeau et son invité permanent, Damien Delseny, le chef du service police justice du Parisien.

Depuis près de 6 ans, le petit village des Arcs-sur-Argens (Var), près de Draguignan, vit une réalité totalement ubuesque. En 2019, suite à des inondations et un effondrement, la route de la Valette, qui permettait aux habitants d’un hameau d’accéder chez eux, a été rendue totalement impraticable. Depuis, aucuns travaux n’ont été réalisés.Les riverains n’avaient d’autre choix que d’emprunter un chemin de terre privé, situé chez un particulier. Mais au bout du terrain, on aperçoit maintenant un panneau : Propriété privée, défense d’entrer. Lassé des va-et-vient permanents sur son terrain et du retard pris pour réparer la route initiale, le propriétaire des lieux n’accepte désormais plus le passage des familles. Qui se retrouvent dans un no man’s land, à quelques mètres pourtant du village.Qui doit payer les travaux ?« Tous les jours, on emmène les enfants à l’école en marchant sur le chemin de la Valette, boueux, très dangereux. Il y a le vide de l’autre côté, se plaint une habitante. On doit laisser nos voitures assez loin et tout faire à pied, juste pour rentrer chez nous. Vous imaginez l’horreur… » Sur ce qu’il reste de la route, les résidents ont posé des bâches en plastique pour éviter de glisser.Tous attendent que le seul accès qui dessert leur hameau soit rétabli mais les travaux, évalués à 500 000 euros, tardent. Personne ne veut vraiment payer la facture. « C’est une voie d’exploitation privée. Juridiquement, la commune ne peut pas engager des deniers publics sur un tel domaine », assure Nathalie Gonzales, maire des Arcs-sur-Argens. Effectivement, cette route qui bordait les maisons relevait auparavant d’une « association syndicat libre en copropriété », créée dans les années 1970, qui rassemblait les anciens propriétaires. Mais cette structure n’existe plus aujourd’hui. Tout est bloqué donc. « On va fêter Noël comme si on était au bout du monde ! » se désole une résidente.

Ce samedi 20 décembre, la police a abattu un homme de 26 ans dans le centre-ville d'Ajaccio. Selon les premiers éléments de l'enquête, il était armé d'un couteau et menaçait des passants ainsi que les forces de l'ordre sur place.

L’avocate de la famille de l’homme tué par un tir policier samedi à Ajaccio (Corse-du-Sud) a indiqué ce dimanche 21 décembre qu’elle souhaitait porter plainte pour homicide volontaire aggravé.
Ce dimanche 21 décembre, un juge d’instruction dijonnais a mis en examen Yanik Touoibati Chaduli, 19 ans, pour évasion en bande organisée. Trois semaines après son évasion de la maison d’arrêt de Dijon, le jeune homme est de retour derrière les barreaux, mais loin de la Côte-d’Or.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Après la mort d'un homme samedi à Ajaccio, tué par la police alors qu'il était armé d'un couteau, sa famille souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé.

Le suicide de Lionel Beauvais, ancien magistrat de Nanterre (Hauts-de-Seine) découvert pendu chez lui à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) dans la nuit du 6 au 7 mars 2012, aura donné lieu à une longue bataille judiciaire. Sa compagne, Anne F., a tout fait pour obtenir de la justice qu’elle considère au moins « imputable au service » le geste fatal de celui qui partageait sa vie. C’est chose faite dans une décision « ambivalente », dit-elle, rendue voici quelques mois.La cour administrative d’appel écarte tout ce qui pourrait être reproché à la hiérarchie de Lionel Beauvais, l’ancien procureur de Nanterre, Philippe Courroye, et son adjointe, tout en disant que « le suicide de M. Beauvais doit être regardé comme ayant présenté un lien direct avec le service ».

C’est un meurtre qui avait marqué et choqué le quartier Bagatelle à Toulouse (Haute-Garonne) le 1er janvier 2011. Dans la soirée, Fatima Amine, retraitée de 70 ans, avait été assassinée, dans son appartement de la rue de la Manche, frappée de 468 coups de couteau. Un acte barbare qu’avait reconnu Samir T., 33 ans, qui habitait le même immeuble et connaissait la victime.Alcoolisé et sous médicaments au moment des faits, l’homme n’a pas été jugé pour ce meurtre, déclaré irresponsable pénalement par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse, « en raison d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement et le contrôle de ses actes au moment des faits ».

Des centaines de personnes ont rendu un dernier hommage aux victimes de la tuerie antisémite de Bondi Beach. L'attaque, qui a eu lieu dimanche dernier, a fait 15 morts et 13 blessés.

En août, les corps de quatre personnes avaient été découverts le long des berges du fleuve, dans le Val-de-Marne. « Le Monde » retrace le fil de ces homicides et de l’arrestation du suspect, réalisée en une semaine par les policiers de la brigade criminelle de Paris.

Au sommaire : Frédéric Péchier, l'anesthésiste tueur. Tatiana Andujar, la disparue de Perpignan. Emile, le témoignage qui change tout. Christophe Doire, tué et vidé comme un gibier. Noël 95, le mystère du chasseur décapité.

Retour en images sur les temps forts de la semaine : une attaque antisémite sur la plage de Bondi Beach, à Sydney, endeuille la communauté juive australienne, la conférence de presse annuelle de Poutine et des pages entières des dossiers Epstein caviardées.

Qui est cette femme squelettique à la démarche hésitante, accrochée à un pied à perfusion ? « On dirait un mort-vivant », grimace son conjoint devant la vidéo, un brin chambreur. Marwa sourit. Difficile de se dire que la personne assise devant nous est la même que cette femme malade de 44 kg. Presque une année a passé, Marwa a repris du poil de la bête, s’est débarrassée de cette sonde grâce à laquelle elle était nourrie. Mais n’a rien oublié, loin de là, de son passage « traumatisant » à l’hôpital privé de Thiais (Val-de-Marne). La faute à une surdose de morphine à peine croyable… et possiblement volontaire.Comme révélé par Le Parisien en octobre, l’établissement de santé est au cœur d’une stupéfiante affaire judiciaire visant un binôme d’infirmières. Les deux femmes sont soupçonnées d’avoir, d’une part, volontairement donné la mort à une patiente de 75 ans en mars 2025. Et, de l’autre, d’avoir empoisonné avec de la morphine Marwa, laquelle avait frôlé la mort.

Les faits se sont produits samedi vers 21 heures boulevard Jourdan, dans le 14ᵉ arrondissement de la ville, dans le quartier du Mail. La victime a été touchée par au moins cinq balles de kalachnikov au thorax et à l’abdomen et est morte sur place. Selon le parquet, l’homme était connu des services de police pour usage de stupéfiants.

Le recueillement, une semaine après le drame. De nombreux Australiens ont observé une minute de silence et allumé des bougies ce dimanche, après la tuerie antisémite commise par deux hommes contre les participants à une fête juive sur une plage emblématique de Sydney.Les deux assaillants, Sajid Akram, 50 ans, un Indien entré sur visa en Australie en 1998 et son fils Naveed Akram, né dans le pays il y a 24 ans, ont ouvert le feu le 14 décembre lors d’un rassemblement pour la fête juive de Hanouka sur la plage de Bondi.D’innombrables foyers ont placé des bougies sur le rebord de leurs fenêtres, invités par les autorités à faire place à « la lumière contre les ténèbres ». « Nous sommes ici ensemble », a déclaré Roslyn Fishall, membre de la communauté juive de Sydney. « Tournez-vous vers des inconnus et prenez-les dans vos bras. Faisons la paix ensemble », a-t-elle lancé, depuis un mémorial improvisé sur la plage endeuillée de Bondi.Les drapeaux ont été mis en berne à travers le pays, y compris sur le pont du port de Sydney. Un petit avion est passé au-dessus de la plage de Bondi traînant derrière lui un message de solidarité avec « notre communauté juive ».« Le monde est avec nous »« Il est toujours très difficile de comprendre ce qu’il s’est passé », a confié Leona Pemberton lors de la cérémonie commémorative sur la plage dimanche.Au crépuscule, environ 20 000 personnes étaient réunies sur le rivage de la plage de Bondi, selon les organisateurs. « Bondi est avec nous, Sydney est avec nous, l’Australie est avec nous et le monde est avec nous", a déclaré le rabbin Yehoram Ulman avant de lire les noms des 15 victimes.Des ambulanciers, des policiers et les parents des victimes ont ensuite été invités à allumer les branches d’un chandelier utilisé dans la tradition juive, la menorah.Si la dernière génération d’Australiens avait grandi avec la conviction que les fusillades ne concernaient pas le pays, cette illusion s’est fracassée.Selon les autorités, l’attentat dont sont suspectés le père, abattu sur place, et le fils, était motivé par l’idéologie du groupe djihadiste État islamique (EI).Naveed Akram, grièvement blessé par la police, est hospitalisé sous forte surveillance policière et a été inculpé pour terrorisme et 15 meurtres.Audit du renseignementLe Premier ministre a annoncé dimanche avoir ordonné un audit de la police et du renseignement. « L’atrocité inspirée par l’EI dimanche dernier montre l’évolution rapide du contexte de sécurité dans notre pays », a-t-il déclaré. « Nos agences de sécurité doivent être en mesure d’y répondre. »Naveed Akram avait été interrogé par le renseignement australien en 2019 pour potentielle radicalisation, mais les autorités ont jugé alors qu’il ne constituait pas une menace. Son père a également été interrogé, mais a obtenu un permis de port d’armes lui permettant de posséder six fusils.Le gouvernement a annoncé un renforcement des lois contre l’extrémisme et sur la détention d’armes.La tuerie a plus globalement forcé le pays à remettre en question sa politique de lutte contre l’antisémitisme, et à constater son échec à protéger les juifs australiens.

En Australie, une semaine après l'attaque islamiste sur la plage de Sydney, une minute de silence a été observée. Une journée de deuil national a même été décrétée, avec plusieurs moments d'hommage rendus aux quinze victimes et aux 42 blessés. À 18h47, heure à laquelle les premiers coups de feu ont été tirés il y a une semaine, le rabbin de Sydney a apporté de la lumière sur les lieux. Adossée à la plage où la fusillade a eu lieu, une cérémonie a réuni les familles et les proches des victimes.

Dans le Pas-de-Calais, un quartier très calme s'est réveillé dans un climat de terreur. Un couple septuagénaire a été agressé à son domicile. La femme est morte des suites de ses blessures. Une enquête est ouverte pour homicide et tentative. Un homme est activement recherché par la police, ainsi que la voiture de la retraitée. Les voisins disent d'elle qu'elle était généreuse, qu'elle ouvrait volontiers sa porte aux visiteurs. Personne ne comprend pourquoi c'est arrivé.

Que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy ? Pour vous, l'Humanité a lu "Le journal d'un prisonnier" écrit par l'ancien président de la République. Dans cet ouvrage qui s'est déjà vendu à plus de 100 000 exemplaires, il fait le récit de ses 20 jours au centre pénitentiaire de la santé. Elisabeth Fleury, journaliste d'investigation à l'humanité, décrypte ce qui en ressort et évoque la réalité des conditions de détention en France.

Un homme a été blessé par balle par la police à Toulouse, samedi soir, après avoir agressé deux adolescents de 15 et 16 ans à l'arme blanche et s'être jeté sur les forces de l'ordre. Les deux victimes ont été transporté vers un hôpital en "urgence relative".

Il a été très grièvement blessé. Un homme a été blessé par balle par la police à Toulouse, samedi soir, après avoir agressé deux adolescents de 15 et 16 ans à l’arme blanche et s’être jeté sur les forces de l’ordre.« L’agresseur a été neutralisé par la police nationale et blessé par arme à feu » avant d’être « évacué en urgence absolue », ont rapporté les sapeurs-pompiers de Haute-Garonne.À l’arrivée des forces de l’ordre, intervenues vers 21h30 pour une agression, l’assaillant s’est jeté sur les policiers avec son couteau à la main, a indiqué une source policière.Plusieurs tirsDes policiers ont tiré à plusieurs reprises, a poursuivi cette source, précisant qu’à ce stade, la piste d’une attaque terroriste est écartée et que le pronostic vital de l’homme blessé par balle était engagé.Les deux victimes, « deux hommes de 15 et 16 ans, blessés par arme blanche » lors de l’agression, ont été transportés vers un hôpital en « urgence relative », selon le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de Haute-Garonne.

Des hommes armés ont ouvert le feu à Bekkersdal, près de Johannesburg, dans la nuit de samedi 20 à dimanche 21 décembre. Au moins neuf personnes ont été tuées, et dix autres blessées.

Les jours passent et Martine Boutigny reste introuvable. Le 27 octobre, cette retraitée de 64 ans souffrant de dépression a quitté son domicile de Linas (Essonne). Depuis, tout — ou presque — a été fait pour la retrouver. En vain. « On ne comprend pas. C’est comme si elle s’était évaporée », soupire sa fille, Chloé.C’est elle qui a trouvé la dernière trace de vie laissée par sa mère : un mot d’adieu griffonné à la hâte. Avant de se volatiliser, emportant avec elle un peu de rhum et une grande quantité de médicaments, la sexagénaire a déposé la feuille chiffonnée sur la table de la salle à manger. Celle-là même où, près de deux mois plus tard, sa fille, âgée de 23 ans, sa belle-fille, Élodie, et son époux, Luc, se tiennent accoudés, soudés par une même douleur.Une très forte solidaritéTous trois brûlent de mettre un point final à leurs innombrables questions. Leur tiraillement se perçoit à leur façon d’alterner l’emploi du passé et du présent lorsqu’ils parlent de Martine, cette « bonne vivante » à laquelle un cancer venait d’être diagnostiqué. Profondément marquée par les récents décès de ses trois sœurs, celle-ci avait séjourné plusieurs fois dans un hôpital au cours des derniers mois après deux tentatives de suicide. À sa sortie, en octobre, elle assurait aller mieux.Depuis, Chloé, Luc et Élodie ont traversé bien des nuits blanches. En 54 jours, ils ont marché à eux trois 500 km « en escargot », depuis leur rue jusqu’aux quartiers les plus éloignés des villes voisines. En quête du moindre indice, ils n’ont pas trouvé l’ombre d’un mégot des Gitanes sans filtre que Martine, « pas très écolo », avait l’habitude de semer comme un Petit Poucet sur son chemin.« Exténué », Luc ne voulait rien faire pour Noël mais sa fille et sa belle-fille ont tenu à décorer le sapin. D’une voix calme, la première explique caresser par moments l’espoir de voir sa mère « toquer à la porte » le 24 décembre. « Pour moi, elle est partie, euphémise la seconde. Mais on a besoin de savoir ce qu’il s’est passé. Pas de corps, pas de preuves. »Des moyens conséquents ont pourtant été déployés pour la chercher. En parallèle de l’enquête, toujours en cours, au moins sept battues rassemblant plus de cent personnes ont été organisées avec le soutien du réseau Assistance et Recherches de Personnes Disparues ou de la ville de Linas, dont les vidéos de caméras de surveillance n’ont pas pu être exploitées.Le destin de cette ancienne Atsem de la commune, connue de « tous les Linois entre 20 et 40 ans », a mobilisé bien au-delà de Linas. Des bénévoles de la Protection civile de l’Essonne ont sillonné des bois au volant de quads, un architecte a passé au crible la rivière voisine avec son drone et des chiens spécialement entraînés ont arpenté bosquets, sentiers et talus. « Aujourd’hui encore, des gens que je ne connais pas m’interpellent dans la rue pour me demander des nouvelles », s’étonne Luc.Pendant des semaines, les chaises ont manqué dans le salon pour accueillir la ribambelle d’amis venus prêter main-forte aux Boutigny. L’élan de solidarité dont ils ont fait l’objet a pris bien des formes : des paquets de pâtes déposés sur le seuil de leur porte par des inconnus ; un vieil ami qui réapparaît après sept ans d’absence et qui poursuit chaque semaine les recherches à leurs côtés ; une dame qui imprime gratuitement 1 000 affiches pour signaler la disparition.« Impossible de disparaître comme ça »La famille a toutefois été percutée par quelques branches de noirceur humaine surnageant dans cet océan de bonté. Comme cet appel en numéro masqué à 6 heures du matin, assurant à Chloé que sa mère avait été retrouvée en bonne santé en Espagne mais qu’il fallait désormais lui payer le billet de retour. Ou cette demande de rançon orchestrée par un escroc à l’aide une photo générée par l’intelligence artificielle, montrant la disparue aux mains de tortionnaires imaginaires.« On essaie de mettre les émotions de côté car sinon on va s’écrouler, balaient en cœur les Boutigny. Pour le moment, on est en pilote automatique. On doit à ma mère de continuer les recherches. » Celles-ci se concentrent désormais sur les 81 arrêts de bus desservis le 27 octobre après-midi depuis la gare routière de Linas.Avec un cercle restreint de proches, Luc, Chloé et Élodie poursuivent les recherches trois à quatre fois par semaine, dès que leur travail ou leurs études leur en laisse le temps. Ils attendent désormais impatiemment l’exploitation des images de vidéosurveillance de ces transports en commun : « Dans le monde où on est, c’est impossible de disparaître comme ça. »


Un homme d'une vingtaine d'années a été abattu par balles, samedi 20 décembre, dans le nord de Marseille. Il a été tué par des individus circulant en voiture, a indiqué une source proche du dossier.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, trois hommes ont violemment agressé un couple à leur domicile, près de La Rochelle. Les suspects, sont toujours activement recherchés par les sections de recherches de Poitiers. Selon les premiers éléments de l’enquête, les assaillants, issus d’un gang, auraient tenté d’extorquer de la cryptomonnaie à leurs victimes

En avril 2007, dans l’Oise, un jeune garçon de 18 ans, Kevin Clabaux, tue sa mère et décapite son petit frère de 13 ans, puis s’attaque à son père, qu’il blesse à coup de machette, avant de s’enfuir. Arrêté par les gendarmes, il confesse avoir léché du sang de sa mère, et mangé un morceau de sa cervelle.

Au sommaire : Vidéosurveillance, serons-nous tous fliqués ? Qui prend le plus l'avion en France ? Fraude aux arrêts-maladies, c'est bientôt fini ? La voiture qui affole les réseaux sociaux.

En avril 2007, dans l’Oise, un jeune garçon de 18 ans, Kevin Clabaux, tue sa mère et décapite son petit frère de 13 ans, puis s’attaque à son père, qu’il blesse à coup de machette, avant de s’enfuir. Arrêté par les gendarmes, il confesse avoir léché du sang de sa mère, et mangé un morceau de sa cervelle.

Ecoutez Christophe Hondelatte dévoiler la personnalité d’Albert Blanc. En août 2020, en plein coeur d’Annecy, en plein jour, ALBERT BLANC, un retraité sans histoires, abat la psychologue de sa fille d’une balle en pleine tête… ALBERT BLANC craignait qu’elle ne révèle ses secrets à la police. C’était un père et un grand père incestueux. Selon son avocat, ALBERT BLANC n’a pas mesuré que lui-même avait été victime d’agressions sexuelles. Il a considéré ses agissements comme normaux.

À New York, Willy Brown, employé de banque irréprochable, voit sa vie basculer lorsque son passé de détenu refait surface. Un ancien codétenu réapparaît et le fait chanter, prêt à révéler son secret au moment même où Willy tente de marier sa fille avec le fils de sa patronne. Une telle révélation ferait tout s’écrouler. Pris au piège entre son passé et l’avenir de sa famille, Willy n’a plus le choix : il doit trouver un moyen d’échapper au maître chanteur… avant que tout ne lui échappe. Cette histoire vous est racontée dans Le Siffleur, un podcast issu des archives d’Europe 1.

Un jeune homme a été tué par balles samedi soir à Marseille, dans le nord de la ville, a-t-on appris de sources concordantes. La victime est âgée d’une vingtaine d’années et était déjà décédée à l’arrivée des secours, selon les marins-pompiers.Les faits se sont produits vers 21h00 ce samedi sur le boulevard Jourdan, dans le XIVe arrondissement de la Cité phocéenne. Selon une source proche du dossier, le jeune homme a été tué par des personnes circulant en voiture.La police judiciaire a été saisie, a-t-on appris de source policière. Le profil de la victime n’était pas connu pour l’heure.17 morts liés au narcotrafic en 2025Selon un décompte de l’AFP, et en ne tenant pas compte de ce nouvel homicide, 17 personnes ont perdu la vie dans des assassinats liés au trafic de drogue depuis le début de l’année dans le département des Bouches-du-Rhône.Le 13 novembre, la mort de Mehdi Kessaci, 20 ans, le petit frère du militant écologiste et anti-narcotrafic Amine Kessaci, a bouleversé Marseille.

Au sommaire : Ajaccio : la police abat un homme armé d'un couteau. Colère agricole : le maintien des blocages sur l'A64. Terre, air, mer : l'Ukraine tient tête à Poutine.

Macabre découverte dans une maison d’Avion (Pas-de-Calais). Un couple de septuagénaires a été retrouvé grièvement blessé ce samedi midi à leur domicile. Les secours ont constaté qu’une femme et son compagnon gisaient au sol avec des plaies au niveau de la tête.Malgré les tentatives de réanimation, la femme a succombé à ses blessures. L’homme a été transporté au Centre hospitalier régional de Lille, son pronostic vital est engagé. Contacté, le parquet ne disposait pas samedi soir d’éléments sur l’évolution de son état de santé.Selon les premiers éléments de l’enquête, cette femme est décédée de coups portés à la tête par un objet contondant, rapporte le parquet.Une femme appréciée dans la communeLa femme décédée était « connue dans le village et très gentille », explique le maire d’Avion, Jean Létocart à France 3 Hauts-de-France. « Elle est originaire d’Avion et habite dans une petite cité minière », ajoute l’édile de la ville située près de Lens.L’enquête, ouverte pour « meurtre » et « tentative de meurtre », a été confiée au service interdépartemental de police judiciaire du Pas-de-Calais. Les enquêteurs s’orientent vers l’intervention d’un tiers.Aucune interpellation n’a eu lieu samedi soir, selon le parquet d’Arras.


Trois hommes ont été tués par balles en Martinique dans la nuit de vendredi à samedi, dont deux dans la même cité, a appris l’Agence France-Presse auprès du parquet et de sources sécuritaires.

Que s’est-il passé au commissariat Auvare de Nice (Alpes-Maritimes) cette semaine ? Une enquête a été ouverte par le parquet de Nice ce samedi, après la chute d’un homme placé en garde à vue pour trafic de stupéfiants, révèle Nice Matin. Ce dernier est hospitalisé à l’hôpital Pasteur 2, pour de graves blessures. L’homme de 40 ans souffre notamment de multiples fractures : au crâne, au dos, aux cervicales.Le procureur de la République adjoint de Nice, Maud Marty, a précisé à nos confrères que l’enquête « pour recherche des causes des blessures de la personne placée en garde à vue » a été confiée à la cellule déontologie de la Direction interministérielle de la police nationale (DIPN) des Alpes-Maritimes.Selon la famille de la victime, l’homme est désormais dans un état stable, après que son pronostic vital ait été engagé. D’après ses proches, cités par le journal, la chute de la victime, estimée à six mètres, aurait eu lieu dans les escaliers. Une source proche du dossier, citée par nos confrères, nuance et indique que la victime était « menotté dans le dos au moment de sa chute qui serait intervenue de l’un des bâtiments d’Auvare et pas dans les escaliers ».

Samedi 20 décembre, un homme de 26 ans a menacé des passants et des commerçants avec un couteau en plein centre-ville d'Ajaccio en Corse. Filmé par des témoins, il est pris en chasse par des policiers, avant d'être finalement abattu. L'assaillant de nationalité sénégalaise n'a fait aucun blessé. Sans-abri, il avait déjà été mis en cause pour des faits de menaces en début d'année. L'enquête devra déterminer ses motivations. Le procureur a cependant écarté la piste terroriste.

Le jeune homme de 22 ans suspecté du piratage des serveurs du ministère de l’Intérieur a été mis en examen et placé ce samedi en détention provisoire, a-t-on appris de source judiciaire.Il est notamment poursuivi pour « accès frauduleux en bande organisée dans un système de traitement automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l’État ».La semaine dernière, la place Beauvau avait annoncé avoir découvert « l’existence d’activités suspectes visant des serveurs de messagerie » comme le traitement d’antécédents judiciaires (TAJ) et le fichier des personnes recherchées (FPR).>> Plus d’informations à suivre sur LeParisien.

Le jeune homme de 22 ans était déjà connu de la justice, notamment pour du « sim-swapping », des détournements de lignes téléphoniques. Il encourt, dans cette nouvelle affaire, une peine de dix ans de prison.

Le jeune homme de 22 ans suspecté du piratage des serveurs du ministère de l'Intérieur a été mis en examen et placé samedi en détention provisoire. Il est notamment poursuivi pour "accès frauduleux en bande organisée dans un système de traitement automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l'État".

Le drame a ému la petite commune peu habituée aux faits divers. L’homme de 84 ans agressé mardi après-midi à La Frette-sur-Seine est décédé deux jours plus tard des suites de ses blessures, a-t-on appris ce vendredi 19 décembre.Il était environ 14 heures lorsque l’octogénaire, après avoir déposé dans le coffre de sa voiture les courses qu’il venait d’acheter, traverse le parking de La Poste pour remettre son chariot de supermarché. Cet habitant de Cormeilles-en-Parisis, client régulier de la supérette U Express située à côté de la gare, est alors agressé par-derrière, pour des raisons encore indéterminées. Un individu lui porte plusieurs coups, avant de repartir.Arrivés sur place, les sapeurs-pompiers du Val-d’Oise prennent en charge la victime, en arrêt cardiaque, et qui présente plusieurs plaies. Grâce à leur intervention, l’octogénaire a pu être réanimé. Il est ensuite transporté à l’hôpital Beaujon, à Clichy (Hauts-de-Seine) par une ambulance escortée par la police. Malheureusement, il décédera le jeudi, des suites de ses blessures.Une information judiciaire ouverte pour meurtreL’auteur des faits a quant à lui été rapidement identifié et interpellé quelques heures plus tard, à Pontoise, par les forces de l’ordre. Les policiers ont notamment pu s’appuyer sur les images de vidéosurveillance. Le suspect, sans domicile fixe, serait connu pour avoir des troubles psychiatriques.« La garde à vue de la personne interpellée a été levée en raison de son hospitalisation d’office en établissement psychiatrique », explique d’ailleurs le parquet de Pontoise, avant de préciser qu’ « une information judiciaire a toutefois été ouverte du chef de meurtre et confiée à un juge d’instruction ».Pour l’heure, l’émotion est à son comble à La Frette, bourgade de 4 500 habitants située sur les bords de Seine. « Nous avons été fortement éprouvés, explique le maire (SE) Philippe Audebert, qui a tenu à s’entretenir avec la fille de la victime, habitante d’Herblay-sur-Seine. C’est un geste totalement invraisemblable, qui a sidéré nos concitoyens. La Frette est une petite ville tranquille. Ce drame nous a tous bouleversés. »

« Follow the money. » En français, « suivre l’argent ». C’était le mantra du juge antimafia italien, Giovanni Falcone. Ce magistrat mythique a été assassiné en 1992. Trois décennies plus tard, l’adage est toujours au centre de la lutte contre le crime organisé. La traque de l’argent sale du narcotrafic en France sera une des priorités du nouveau Parquet national anti-criminalité organisée (Pnaco) qui sera opérationnel début janvier.L’argent, le « nerf de la guerre », pèse très lourd. Selon les estimations, le chiffre d’affaires du trafic de drogue en France oscille entre 6 et 8 milliards d’euros par an. Et si, chaque année, l’action des policiers et des magistrats permet de saisir des tonnes de haschich et de cocaïne et de récupérer des millions d’euros, une grande partie de ces bénéfices clandestins reste bien au chaud dans les poches des trafiquants. Dans les poches, mais aussi dans des investissements immobiliers en France, à l’étranger, dans la cryptomonnaie.

Un homme a été tué par la police à Ajaccio, ce samedi. Il était armé d'un couteau et menaçait des passants, a précisé le procureur. L'homme de 26 ans est un Belge né au Sénégal, d'après nos informations.

Trois hommes ont été tués par balle en quelques heures en Martinique, dans la nuit de vendredi à samedi, dont deux dans la même cité. L'île a déjà connu 40 homicides depuis janvier. Les autorités s'inquiètent d'un usage de plus en plus "décomplexé" des armes à feu dans les Antilles.

Le nombre de jeunes impliqués dans des infractions pénales a augmenté de 13 % en un an en Turquie. L’opinion publique pousse au durcissement des peines pour les mineurs. Les experts, de leur côté, attribuent ce phénomène à l’explosion de la pauvreté.

Trois individus ont été tués par balles vendredi soir et dans la nuit.

En s’installant sur la terrasse du bar Le Valinco avec ses amis, Krimau El Majouti n’imaginait évidemment pas la tournure qu’ont prise les événements ce samedi midi. Pourtant, ce héros a bel et bien désarmé un homme, armé d’un couteau, qui menaçait des commerçants et des passants sur le cours Napoléon, une artère très fréquentée d’Ajaccio (Corse-du-Sud). L’homme, âgé de 26 ans, a finalement été mortellement touché par un ou plusieurs tirs effectués par la police nationale.Attablé avec ses amis, Krimau El Majouti, ancien conseiller régional chargé de l’athlétisme auprès du ministère de la Jeunesse et des Sports en Corse, a d’abord « entendu des gens crier : cachez-vous ! », a-t-il raconté à nos confrères de Corse Matin. « Ça partait dans tous les sens », relate-t-il. Krimau El Majouti se retourne alors et aperçoit un homme qui brandit « un long couteau de cuisine », entouré de policiers qui tentent de l’arrêter.« Il s’est tapé la tête »« Je suis allé tout de suite vers lui pour essayer de le neutraliser », explique le témoin face à la caméra de nos confrères. « J’ai pris une table qui lui a touché ses jambes, ça l’a fait trébucher et il s’est tapé la tête », poursuit-il, ajoutant que d’autres témoins ont fait la même chose et ont lancé des chaises et des tables en direction de l’assaillant.En chutant au sol, l’homme aurait alors brièvement perdu connaissance, selon Krimau El Majouti. Il profite de ce moment pour se diriger vers l’assaillant. « J’ai frappé sa main pour l’ouvrir et libérer le couteau », explique-t-il à nos confrères.Quelques secondes plus tard, la police a fait usage d’un pistolet à impulsion électrique, sans succès. L’un des fonctionnaires a alors fait feu à plusieurs reprises sur l’homme, qui est décédé, selon le procureur de la République d’Ajaccio. L’IGPN, la police des polices, a été saisie.

Trois hommes ont été tués par balles en Martinique dans la soirée de vendredi et dans la nuit, dont deux dans la même cité, a-t-on appris samedi auprès de plusieurs sources sécuritaires, ce qui porte à 40 le nombre d’homicides dans ce département en 2025.Le premier homicide a été commis entre 21h30 et 22 heures heure locale (entre 2h30 et 3h00 à Paris) dans la cité Ozanam sur la commune de Schoelcher, dans le centre de l’île des Antilles françaises, selon la gendarmerie.La victime, un jeune de 19 ans, a été mortellement touchée par des tirs. Selon une source proche du dossier, il a été retrouvé sur la voie publique atteint de deux balles au thorax.Le deuxième homicide a eu lieu vers 00h30 heure locale dans la même cité, a indiqué la gendarmerie.Alors que les enquêteurs étaient en train de faire les constatations sur la scène du premier crime, ils ont entendu des tirs et ont découvert un homme au pied d’un bâtiment avec une plaie mortelle par balle à la tête, selon la source proche du dossier.40 homicides en MartiniqueLe troisième homicide de la nuit a eu lieu au Lamentin (centre) vers 4h40 heure locale, selon des sources policières.D’après une de ces sources, en marge d’un événement festif organisé à l’hippodrome de Carrère, une rixe a éclaté entre plusieurs personnes et un homme a été tué par balle au thorax.Trois douilles ont été retrouvées sur la scène du crime, selon les sources policières, qui précisent que la division des investigations spécialisées de la direction territoriale de la police judiciaire a été chargée de l’enquête.Quarante homicides, dont 34 par balles, ont été commis en Martinique depuis le début de l’année 2025. L’usage des armes à feu, notamment parmi les jeunes, y constitue un fléau, comme en Guadeloupe et à Saint-Martin.Les armes à feu, un fléauLundi, le 50e homicide de l’année a par ailleurs été enregistré sur le ressort de la cour d’appel de Basse-Terre, qui comprend la Guadeloupe et la partie française de l’île de Saint-Martin, pour environ 410 000 habitants au total. La victime est un homme de 26 ans tué par balle dans le quartier de Carénage à Pointe-à-Pitre.Point commun de la plupart de ces homicides : ils ont été perpétrés par arme à feu. Selon le préfet de la Guadeloupe, Thierry Devimeux, 40 000 armes sont en circulation sur le territoire, soit plus d’une pour dix habitants. « Un recours complètement débridé aux armes à feu », déplore le représentant de l’État dans un archipel où le taux d’homicide est six fois supérieur à la moyenne nationale.Signe des temps, les saisies explosent. « On découvre plus d’armes de guerre. De 2022 à 2024, on en trouvait une ou deux par an. Là, on peut en saisir jusqu’à trois d’un coup », constate Éric Maurel, procureur général de la Guadeloupe.Le magistrat, qui n’a de cesse d’alerter sur le fléau depuis plusieurs mois, cite la découverte d’une cache contenant des armes longues et des munitions lourdes dans la cité de Mortenol, un quartier sensible de Pointe-à-Pitre, en novembre 2024.Mais l’écrasante majorité des armes saisies restent des pistolets automatiques Glock ou Taurus, un modèle brésilien. La proximité du continent américain et la porosité des frontières, dans cette région éclatée en une multitude de micro-États, facilitent leur arrivée en Guadeloupe et en Martinique.En juin, les autorités judiciaires des Antilles françaises avaient déjà tiré la sonnette d’alarme. Éric Maurel s’inquiétait d’une évolution des gangs, « semblant évoluer vers des structurations mafieuses ».

Il aura fallu attendre plus de vingt ans, mais l’ADN a parlé. Le 27 février 2002, Fulvio Petrozzi, un artisan âgé de 60 ans, tout juste retraité, se rend sur la terrasse de sa maison de Seyssuel, dans l’Isère, pour fermer ses volets. Mais alors qu’il se tient devant sa fenêtre, le sexagénaire est abattu d’une balle dans le dos par un tir de fusil de chasse.Sur place, les policiers retrouvent un mégot de cigarette, pouvant appartenir au tireur, à proximité de la scène de crime. Mais à l’époque, les analyses ne donnent rien. Malgré des années d’enquête et un appel à témoins, le meurtre du retraité était resté sans réponse jusqu’ici.Le suspect « évasif »Mais la justice n’a jamais abandonné. Vingt-trois ans après les faits, le pôle « cold cases » de Nanterre a relancé les investigations ces derniers mois. Le parquet spécialisé a de nouveau fait analyser l’ADN présent sur le mégot de cigarettes. Et cette fois-ci, il a parlé.Il correspond à celui d’un homme de 50 ans, inscrit au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG). Ce dernier est « déjà connu pour de petits délits, mais rien de semblable », confie-t-on au Parisien.Le 4 décembre dernier, l’homme, interpellé par les gendarmes de la section de recherches de Grenoble à Décines-Charpieu (Rhône), a été placé en garde à vue. Lors de son audition, le quinquagénaire est resté « évasif ». Il n’a pas reconnu les faits et a livré « de drôles d’explications pour expliquer la présence de son ADN sur place », selon nos informations. À l’issue de sa garde à vue, il a été mis en examen le 9 décembre et placé en détention provisoire.

La police a d’abord fait usage d’un pistolet à impulsion électrique sur l’individu, sans succès, et l’un des policiers a alors fait feu à plusieurs reprises.

Après des mois de tergiversation du président américain Donald Trump, des documents issus du dossier concernant le criminel sexuel américain ont été mis en ligne ce vendredi 19 décembre

À la une de ce samedi : Pas de "trêve de Noël" sur plusieurs barrages. Quel budget au 1er janvier ? La loi spéciale arrive. Les États-Unis ont frappé la Syrie, cinq morts.

Ce devait être un dossier emblématique de la lutte contre le narcotrafic sur le Bassin creillois mais ce vendredi, le résultat est loin d’être à la hauteur des espérances du parquet et des enquêteurs de la police creilloise. Deux présumés trafiquants de drogue ont ainsi été relaxés de la majeure partie des faits qui leur étaient reprochés, l’un d’eux étant seulement condamnés à deux mois de prison ferme pour violation de domicile.Une infraction commise le 22 avril dernier, lorsque Sadek S., 26 ans, tente de prendre la fuite pour échapper à une opération policière autour d’un logement situé rue Robert-Fauré, à Creil. Pour s’enfuir, le jeune homme s’était introduit dans un logement du voisinage, où il a été retrouvé et interpellé. Les policiers avaient déclenché une surveillance sur un appartement de ce secteur de Creil où un point de deal s’était implanté.5470 euros en liquide et deux armes de poingEt même si cette rue se trouve dans le bas de Creil, la présence de Sadek S., suspecté d’être le « gérant de Descartes », un point de deal bien connu sur les hauteurs de la ville, avait forcément éveillé la curiosité des enquêteurs, qui subodorent l’ouverture d’un nouveau point de trafic dans un autre quartier de Creil. Le même jour, les policiers interpellent de l’autre côté du bâtiment Ismaila N., 20 ans, qui se débarrasse d’un sac contenant 5 470 euros en liquide.Une perquisition menée dans un appartement de la rue Robert-Fauré permet de découvrir 2,5 kg de résine de cannabis, 1,5 kg d’herbe, 94 g de cocaïne et deux armes de poing avec 54 cartouches. Malgré le mutisme ou les dénégations des deux prévenus, l’affaire paraissait bien engagée pour le parquet jusqu’à ce que les avocats de la défense parviennent à obtenir la nullité de plusieurs pièces du dossier, dont tous les procès-verbaux de perquisition, qui n’ont pas été réalisés dans des conditions conformes aux textes de loi.Une autre procédure en coursDès lors, plus grand chose ne subsiste dans le dossier et l’insistance du parquet pour que soient jugés l’ensemble des faits, sans tenir compte des nullités de procédure qui font d’ailleurs l’objet d’un appel, déclenche la fureur des avocats de la défense.« Le chef du parquet de Senlis se comporte comme le personnage du colonel Kurtz joué par Marlon Brando dans le film Apocalypse now, perdu au milieu de la jungle et croyant qu’il peut s’affranchir de toutes les règles », rugit Me Adel Farès, avocat de Sadek S. Il n’y aucune empreinte ou trace d’ADN des deux prévenus sur la drogue trouvée et aucun d’eux n’a la clé de cet appartement, dont le propriétaire n’a même pas été auditionné. »Même la tentative d’évasion reprochée à Sadek S. ne sera pas retenue par les juges, qui écarteront de la même façon les lourdes réquisitions de prison ferme avec mandat de dépôt réclamées par le substitut du procureur. Les ennuis judiciaires ne sont toutefois peut-être pas terminés pour Sadek S. mis en cause dans un autre dossier actuellement à l’instruction.

Un homme armé d'un couteau, menaçant, a été mortellement touché par un ou plusieurs tirs effectués par la police nationale samedi dans le centre-ville d'Ajaccio, vers 12h30. L'homme de 26 ans menaçait des commerçants et des passants avec un couteau. Personne d'autre n'a été blessé.