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Criant au "délire fiscal", la droite veut reprendre la main sur le débat budgétaire

Par AFP Par Lucile MALANDAIN © 2025 AFP Criant au "bal des fous" et au "délire fiscal" au lendemain d'une victoire socialiste sur une augmentation de la CSG sur le capital, plusieurs prétendants de droite à la présidentielle ont voulu jeudi reprendre la main sur le débat budgétaire et défendre une politique favorable aux entreprises. Mercredi soir, les socialistes ont obtenu avec le soutien de macronistes l'adoption d'un amendement - porté à l'identique par les socialistes, les insoumis et les communistes - qui augmente la contribution sociale généralisée sur les revenus du capital. La mesure doit rapporter 2,8 milliards d'euros supplémentaires afin de financer notamment la suspension de la réforme des retraites concédée par le gouvernement en échange de la non-censure immédiate du PS. Mais venant après déjà plusieurs hausses d'impôts adoptées en première lecture ces trois dernières semaines, c'en est trop pour la droite. "Un bal des fous", a soufflé Xavier Bertrand, président LR de la région des Hauts-de-France sur BFMTV. Un "délire fiscal", a tancé auprès de l'AFP Edouard Philippe, le président d'Horizons. "Un suicide français", a déploré le ministre de la Justice Gérald Darmanin dans Les Échos. C'est "un hold-up fiscal en bande organisée, avec une chasse déclarée contre tous ceux qui créent, qui entreprennent et qui embauchent", a abondé le président des Républicains, Bruno Retailleau, pour qui "on reconduit la vieille illusion socialiste selon laquelle l'impôt est rédempteur", alors que "ce choc fiscal décourage le travail et appauvrit la France". Souvent par le biais d'une alliance des voix de la gauche et du Rassemblement national, plusieurs augmentations d'impôts sur les grandes entreprises mais aussi sur les holdings ou la "fortune improductive" ont été adoptées dans le budget de l'Etat. En revanche les augmentations d'impôts sur les hauts revenus, en particulier la taxe Zucman, n'ont pas été retenus. La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a d'ailleurs estimé que l'ensemble des mesures votées par l'Assemblée restaient dans les clous de l'objectif du gouvernement, et plaçaient la France sur une trajectoire de déficit autour de 4,7% du PIB. Politique de l'offre Depuis mardi, les députés se penchent sur le projet de budget pour la Sécurité sociale, qui ouvre également la voie à de nouvelles augmentations de prélèvements, dont la CSG sur le capital fait partie. Mais à droite, on tonne que la solution est dans la politique de l'offre, qui consiste à aider les entreprises pour favoriser l'emploi et l'investissement. Plutôt que la politique de la demande pour encourager la consommation.Portée par François Hollande d'abord et instituée à grande échelle par Emmanuel Macron depuis 2017, elle est farouchement défendue par les ténors de la droite et du centre qui reprochent à la gauche et à l'extrême droite de mener le pays à "la catastrophe financière", selon les termes du président du Sénat Gérard Larcher sur Cnews-Europe 1. Il a promis de supprimer toutes ces hausses lors du passage du texte devant le Sénat."C'est la politique de l'offre qui fonctionne !", s'époumonne Gérald Darmanin, pour qui le président du RN Jordan "Bardella est un communiste économique"."Notre pays a besoin (...) d'un pacte de confiance entre l’État et les entreprises", insiste Édouard Philippe, candidat déclaré à l'Élysée, qui profite de cette agitation autour de la fiscalité pour proposer la baisse de moitié des impôts de production, contre une baisse équivalente des aides aux entreprises. Un jeu à somme nulle pour l'Etat mais "positif" pour la croissance et les entreprises à qui "on enlève un frein à la compétitivité extrêmement important", défend-il. Furieuse de la hausse de la CSG sur le capital, la cheffe de file des députés RN Marine Le Pen a voulu cette fois se démarquer de la gauche, sans épargner les macronistes et LR."Quand il s'agit de soumettre les grandes multinationales étrangères au respect des règles fiscales qui s'appliquent à nos PME (...), les députés macronistes et LR hurlent à la mort", a-t-elle regretté. "Mais quand il s'agit de taper durement les petits épargnants, leurs PEL, PEA et leurs assurances-vie en augmentant de 2,8 milliards la CSG, les macronistes soutiennent et applaudissent et les LR se taisent".

Source LogoTV5 MONDE
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Accord franco-algérien de 1968 : après le vote à l'Assemblée, le RN réclame "un bras de fer" avec l'Algérie
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Accord franco-algérien : le triple piège tendu par le RN
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Le jour où l’extrême droite a triomphé à l’Assemblée nationale : « Le signal est clair, on arrive ! »
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Présidentielle anticipée : à droite aussi, le tabou tombe

Bruno Retailleau aimerait qu’Emmanuel Macron prenne la décision de démissionner. Certes, le propos est encore prudent, voire alambiqué, mais le président des Républicains a franchi mercredi un pas supplémentaire, en souhaitant ouvertement que le chef de l’Etat tire sa révérence. Evidemment, « c’est au président de la République de prendre cette décision » et « ce n’est pas à moi de le demander parce que ça va fragiliser la fonction présidentielle », a-t-il expliqué sur RTL. Mais lorsqu’on lui demande s’il souhaite qu’Emmanuel Macron prenne l’initiative de renoncer à l’Elysée, la réponse fuse : « Bien sûr. Le général de Gaulle l‘avait fait. »

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Remise en cause des accords de 1968 avec l’Algérie et rétablissement du délit de séjour irrégulier : à l’Assemblée nationale, le RN séduit autant Les Républicains qu’Horizon

La « niche parlementaire » du groupe présidé par Marine Le Pen débutera, ce jeudi 30 octobre par deux marqueurs idéologiques : la remise en cause des accords de 1968 avec l’Algérie et le rétablissement du délit de séjour irrégulier. « Les Républicains » pourraient les voter, tout comme Horizons, ce qu’il s’était refusé à faire lors des précédentes propositions du RN.

Source LogoL'Humanité
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EN DIRECT, budget 2026 : avant l’examen de la taxe Zucman, le gouvernement répète qu’il s’opposera à « tout ce qui touche l’appareil productif »

« Vous pouvez l’appeler taxe Zucman ou taxe Zucman light, à partir du moment où ça touche aux usines ou aux grandes startups qui créent de l’innovation, nous serrons contre », a insisté la porte-parole, Maud Bregeon. Cette taxe sur les très hauts revenus divise les partis de gauche, qui défendent des versions différentes.

Source LogoLe Monde