
Bruno Retailleau s'est positionné contre une union des droites, ce jeudi lors de l'émission En campagne sur BFMTV. En revanche, il a dit tendre la main aux électeurs déçus d'Emmanuel Macron mais aussi du Rassemblement national.
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Bruno Retailleau s'est positionné contre une union des droites, ce jeudi lors de l'émission En campagne sur BFMTV. En revanche, il a dit tendre la main aux électeurs déçus d'Emmanuel Macron mais aussi du Rassemblement national.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment réagi à la proposition d'unir les droites.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment accusé LFI d'"instrumentaliser la violence dans le débat public".

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment réagi à une potentielle primaire du bloc central.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il souhaite notamment "plafonner les allocations à 70% du Smic pour qu'il y ait un écart entre le travail et l'assistanat".

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il est notamment revenu sur la réforme des retraites.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment réagi à la polémique autour de l'ouverture du premier magasin Shein, initialement une plateforme d'achat chinoise.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a assuré que les LR vont "soutenir Rachida Dati" pour les élections municipales en 2027.

L'ancien ministre de l'Intérieur, et président des Républicains, Bruno Retailleau a été interrogé ce jeudi sur BFMTV sur une diversité de sujets, à 18 mois du scrutin présidentiel.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment déclaré supporter Robert Ménard lors des élections municipales de 2026.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il est notamment revenu sur la justice des mineurs.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment réagi aux relations entre la France et l'Algérie.

Invité de l'émission "En campagne" sur BFMTV ce jeudi 6 novembre, le président du parti Les Républicains a défendu la ligne de fermeté avec le régime algérien et a affiché son scepticisme concernant le virage opéré par son successeur au ministère de l'Intérieur, Laurent Nuñez.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment réagi aux relations entre la France et l'Algérie.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment réagi à cette sortie scolaire à l'Assemblée nationale où des fillettes voilées ont été aperçues sur les bancs de l'hémicycle.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment réagi à ce conducteur qui a fauché cinq personnes.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il est revenu sur son expérience de ministre de l'Intérieur.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il est notamment revenu notamment sur la menace terroriste en France.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il est revenu sur le deuxième discours de politique générale de Séabstien Lecornu.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe.

Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il a notamment donné son avis sur la société actuelle en tant qu'ancien ministre de l'Intérieur.

Environ un mois après avoir quitté le ministère de l'Intérieur, Bruno Retailleau est l'invité de l'émission "En campagne" sur notre antenne, l'occasion de revenir sur son expérience au gouvernement et d'aborder différents sujets d'actualité.

Valérie Pécresse, présidente (LR) de la région Île-de-France, était l’invitée de Marc Fauvelle ce jeudi 6 novembre 2025.

Valérie Pécresse, présidente LR de la région Île-de-France, était l'invitée de BFMTV ce jeudi soir.

Valérie Pécresse, présidente LR de la région Île-de-France, était l'invitée de BFMTV ce jeudi soir.

Dans la préfecture de l’Ain, des élus d’opposition « Les Républicains » se rangent derrière le candidat Reconquête pour constituer une liste commune. Un exemple qui pourrait se multiplier. Au niveau national, le parti de Bruno Retailleau reste silencieux.

On le disait sous le choc de sa sortie du gouvernement, déprimé. Le président des Républicains est reparti en campagne. Objectif : 2027

Mme Petex, qui était élue départementale depuis 2015 et députée depuis 2021, se dit écœurée par « trop de politique politicienne ».

L’élue de Haute-Savoie révèle avoir reçu des « critiques » et des « menaces », et dénonce « la politique politicienne » qui anime selon elle les débats à l’Assemblée.

Députée de Haute-Savoie, Christelle Petex a annoncé ce jeudi sa démission. Dans un communiqué transmis à Ici Pays de Savoie, l'élue LR déplore "un trop de tout", "un trop de politique politicienne".

Le président des Hauts-de-France, qui ne masque plus ses ambitions élyséennes, appelle à un éclairage de LR sur la ligne à adopter pour 2027.

Par AFP Par Lucile MALANDAIN © 2025 AFP Criant au "bal des fous" et au "délire fiscal" au lendemain d'une victoire socialiste sur une augmentation de la CSG sur le capital, plusieurs prétendants de droite à la présidentielle ont voulu jeudi reprendre la main sur le débat budgétaire et défendre une politique favorable aux entreprises. Mercredi soir, les socialistes ont obtenu avec le soutien de macronistes l'adoption d'un amendement - porté à l'identique par les socialistes, les insoumis et les communistes - qui augmente la contribution sociale généralisée sur les revenus du capital. La mesure doit rapporter 2,8 milliards d'euros supplémentaires afin de financer notamment la suspension de la réforme des retraites concédée par le gouvernement en échange de la non-censure immédiate du PS. Mais venant après déjà plusieurs hausses d'impôts adoptées en première lecture ces trois dernières semaines, c'en est trop pour la droite. "Un bal des fous", a soufflé Xavier Bertrand, président LR de la région des Hauts-de-France sur BFMTV. Un "délire fiscal", a tancé auprès de l'AFP Edouard Philippe, le président d'Horizons. "Un suicide français", a déploré le ministre de la Justice Gérald Darmanin dans Les Échos. C'est "un hold-up fiscal en bande organisée, avec une chasse déclarée contre tous ceux qui créent, qui entreprennent et qui embauchent", a abondé le président des Républicains, Bruno Retailleau, pour qui "on reconduit la vieille illusion socialiste selon laquelle l'impôt est rédempteur", alors que "ce choc fiscal décourage le travail et appauvrit la France". Souvent par le biais d'une alliance des voix de la gauche et du Rassemblement national, plusieurs augmentations d'impôts sur les grandes entreprises mais aussi sur les holdings ou la "fortune improductive" ont été adoptées dans le budget de l'Etat. En revanche les augmentations d'impôts sur les hauts revenus, en particulier la taxe Zucman, n'ont pas été retenus. La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a d'ailleurs estimé que l'ensemble des mesures votées par l'Assemblée restaient dans les clous de l'objectif du gouvernement, et plaçaient la France sur une trajectoire de déficit autour de 4,7% du PIB. Politique de l'offre Depuis mardi, les députés se penchent sur le projet de budget pour la Sécurité sociale, qui ouvre également la voie à de nouvelles augmentations de prélèvements, dont la CSG sur le capital fait partie. Mais à droite, on tonne que la solution est dans la politique de l'offre, qui consiste à aider les entreprises pour favoriser l'emploi et l'investissement. Plutôt que la politique de la demande pour encourager la consommation.Portée par François Hollande d'abord et instituée à grande échelle par Emmanuel Macron depuis 2017, elle est farouchement défendue par les ténors de la droite et du centre qui reprochent à la gauche et à l'extrême droite de mener le pays à "la catastrophe financière", selon les termes du président du Sénat Gérard Larcher sur Cnews-Europe 1. Il a promis de supprimer toutes ces hausses lors du passage du texte devant le Sénat."C'est la politique de l'offre qui fonctionne !", s'époumonne Gérald Darmanin, pour qui le président du RN Jordan "Bardella est un communiste économique"."Notre pays a besoin (...) d'un pacte de confiance entre l’État et les entreprises", insiste Édouard Philippe, candidat déclaré à l'Élysée, qui profite de cette agitation autour de la fiscalité pour proposer la baisse de moitié des impôts de production, contre une baisse équivalente des aides aux entreprises. Un jeu à somme nulle pour l'Etat mais "positif" pour la croissance et les entreprises à qui "on enlève un frein à la compétitivité extrêmement important", défend-il. Furieuse de la hausse de la CSG sur le capital, la cheffe de file des députés RN Marine Le Pen a voulu cette fois se démarquer de la gauche, sans épargner les macronistes et LR."Quand il s'agit de soumettre les grandes multinationales étrangères au respect des règles fiscales qui s'appliquent à nos PME (...), les députés macronistes et LR hurlent à la mort", a-t-elle regretté. "Mais quand il s'agit de taper durement les petits épargnants, leurs PEL, PEA et leurs assurances-vie en augmentant de 2,8 milliards la CSG, les macronistes soutiennent et applaudissent et les LR se taisent".
Un candidat Reconquête prendra la tête d'une liste où figureront certains élus LR. Tant pis pour les consignes de Paris!

Le conseiller municipal d’opposition, Axel Sibert, membre du parti Les Républicains, a officiellement annoncé sa candidature aux élections municipales de Dijon, mercredi 5 novembre. Il entend incarner le renouveau à droite avec son projet “De l’audace pour Dijon !”.

Pour les élections municipales 2026 à Dijon, trois prétendants sollicitent l’investiture des Républicains : Emmanuel Bichot, Laurent Bourguignat et Axel Sibert. La commission nationale d’investiture du parti présidé par Bruno Retailleau doit se prononcer durant le mois.

Criant au "bal des fous" et au "délire fiscal" au lendemain d'une victoire socialiste sur une augmentation de la CSG sur le capital, plusieurs prétendants de droite à la présidentielle ont voulu jeudi...

La députée du groupe Les Républicains a décidé de quitter l'Assemblée, dénonçant "trop de politique politicienne". Une nouvelle élection législative partielle va être organisée dans sa circonscription de Haute-Savoie.

Une ordonnance française, elle-même issue d'une directive européenne, prévoit un durcissement des règles sur les découverts bancaires en France. Inadmissible pour une partie de la classe politique, dont La France insoumise, qui s'inquiète que les plus précaires soient exclus du dispositif, tandis que le gouvernement l'accuse de propager des "fake news".

La loi sur la fin de vie sera examinée au Sénat à partir du 12 janvier, a confirmé le ministère jeudi 6 novembre. L’étude de ces textes a été reportée à plusieurs reprises après la chute du gouvernement Bayrou. Les Républicains, première force du Sénat, pourraient amender le texte.

Battu en 2021 lors de la primaire de LR pour l'élection présidentielle, Xavier Bertrand aimerait s'imposer d'ici 2027, sans passer par ce mode de départage. En attendant que son parti tranche cette épineuse question, le patron des Hauts-de-France demande une clarification vis-à-vis de l'extrême droite.

Le président du Sénat, Gérard Larcher, était l'invité de La Grande interview Europe 1-CNews ce jeudi matin. Au micro de Sonia Mabrouk, il estime que "nous sommes sur une trajectoire qui nous conduit à la catastrophe financière". Et d'assurer : "Le budget est invotable en l'Etat", pour la droite, juge le Républicain.
Le député Jean-Louis Thiériot (Les Républicains), qui a présenté le [...]


Va-t-il y avoir une primaire à droite ? Mardi, Bruno Retailleau a réuni les cadres du parti LR pour ouvrir ce chantier en vue de la présidentielle de 2027. Alors, sait-on quelle forme pourrait prendre cette primaire ? Les réponses avec Alba Ventura.

En plein débat budgétaire à l'Assemblée, Les Républicains anticipent la prochaine présidentielle. Un conseil stratégique avait lieu ce mardi pour aborder la question du mode de désignation du candidat pour 2027. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le sujet divise en interne, entre partisans et opposants à une primaire.

A l’initiative de son président, Bruno Retailleau, le parti a abordé le sujet pour la première fois, mardi, lors d’un conseil stratégique. Longtemps présentée comme une machine à perdre, la primaire pourrait s’imposer en vue de l’élection présidentielle.
Le président des Républicains, Bruno Retailleau, a évoqué le mode de désignation du candidat de la droite à la prochaine présidentielle, ce mardi matin, en conseil stratégique. Le sujet relève du casse-tête, posant en filigrane la question de la ligne de LR vis-à-vis de l'extrême droite.

Alors que l’idée de la primaire refait surface à droite, il est urgent pour cette partie de l’échiquier politique de désigner un candidat solide pour l’élection présidentielle de 2027, afin d’éviter un éparpillement qui risquerait de favoriser une victoire des extrêmes.

À un an et demi de l’élection présidentielle 2027, Les Républicains, s’interrogent sur leur stratégie pour désigner un candidat : primaire ouverte, scrutin interne ou simple sondage ? La question – qui était à l’ordre du jour, ce mardi 4 novembre, d’une réunion du conseil stratégique du parti – est loin d’être tranchée.

Le député Les Républicains des Hauts-de-Seine Philippe Juvin, était l'invité de La Grande interview Europe 1-CNews ce mardi. Au micro de Sonia Mabrouk, il revient sur les débats actuels sur le budget 2026. Et il l'assure : "Notre marge de manœuvre est sur les dépenses, pas sur les impôts".

Invité de la Grande Interview Europe 1-Cnews, Philippe Juvin, rapporteur général du budget et député LR, appelle de ses voeux à une primaire de la droite pour l'élection présidentielle de 2027 avec un spectre plus élargi tout en excluant le Rassemblement national.


A la veille d'un conseil stratégique des Républicains qui doit ouvrir le le débat sur le mode de désignation du candidat à la présidentielle, le président des Hauts-de-France juge plus « urgent » de trancher la ligne du mouvement vis-à-vis du RN


Le maire de Meaux appelle Bruno Retailleau à clarifier la ligne du parti vis-à-vis du RN et montre la porte aux partisans d'un rapprochement

Invité sur LCI ce dimanche, le rapporteur général du budget Philippe Juvin (LR) affirme que l'Assemblée n'aura "probablement" pas le temps de voter le budget. En cause ? L'examen de la partie dépenses qui ne démarrera que trop tardivement après la poursuite des travaux sur la partie recettes.

Au sommaire : Taxe Zucman, le PS s'avoue vaincu. LR-RN, la première pierre de l'union des droites ? Or, pris en flagrant délit de braquage !


Alors que la discussion dans "Christine Kelly et vous" tourne autour d'une éventuelle union des droites en vue de 2027, Erik Tegnér affirme que Bruno Retailleau n'a même jamais pris un café avec Marine Le Pen. Faisant par la même valoir que le chemin avant une telle hypothèse est encore très long.

Le chef de groupe a sonné la mobilisation pour empêcher la « folie fiscale » à l’œuvre à l’Assemblée nationale, selon lui. Les discussions budgétaires lui donnent aussi l’occasion de reprendre la main face à un Bruno Retailleau affaibli.

Bruno Retailleau aimerait qu’Emmanuel Macron prenne la décision de démissionner. Certes, le propos est encore prudent, voire alambiqué, mais le président des Républicains a franchi mercredi un pas supplémentaire, en souhaitant ouvertement que le chef de l’Etat tire sa révérence. Evidemment, « c’est au président de la République de prendre cette décision » et « ce n’est pas à moi de le demander parce que ça va fragiliser la fonction présidentielle », a-t-il expliqué sur RTL. Mais lorsqu’on lui demande s’il souhaite qu’Emmanuel Macron prenne l’initiative de renoncer à l’Elysée, la réponse fuse : « Bien sûr. Le général de Gaulle l‘avait fait. »

Trois sondages publiés en octobre 2025 montrent que les électeurs des Républicains sont de plus en plus favorables à une alliance de leur formation avec le Rassemblement national. Ces résultats cachent toutefois de profondes divisions, aussi bien au sein du parti que chez les sympathisants.

La « niche parlementaire » du groupe présidé par Marine Le Pen débutera, ce jeudi 30 octobre par deux marqueurs idéologiques : la remise en cause des accords de 1968 avec l’Algérie et le rétablissement du délit de séjour irrégulier. « Les Républicains » pourraient les voter, tout comme Horizons, ce qu’il s’était refusé à faire lors des précédentes propositions du RN.

Alors que les députés poursuivent en séance, ce mercredi 28 octobre, l’examen du projet de loi de finances pour 2026, le ministre de l’économie a dénoncé certains amendements qui aboutissent selon lui à une « surenchère fiscale ». Bruno Retailleau estime le budget « invotable » par les députés LR.

La question du mode de désignation du candidat de LR pour 2027 sera au menu du prochain conseil stratégique du parti, mardi 4 novembre

Le président des Républicains n'appelle pas à la démission du président de la République, mais il souhaite qu'Emmanuel Macron prenne cette décision lui-même. "Le général de Gaulle l'avait fait", a-t-il rappelé ce mercredi matin sur RTL. Par ailleurs, l'ex-ministre de l'Intérieur pense qu'il "faudra à un moment ou à un autre le retour aux urnes".



Depuis le lancement des débats budgétaires, Laurent Wauquiez a lancé ses troupes de la Droite républicaine dans une bataille contre tout alourdissement de la fiscalité, tout en gardant le mystère sur l'attitude des siens lors du vote final des budgets

Les débats autour du budget 2026 se poursuivent. Une version allégée de la taxe Zucman, proposée par le Parti socialiste dans le cadre de l'examen du budget, est désormais brandie comme un impératif par les socialistes. Sébastien Lecornu tend la main aux députés LR sur ce sujet pour les arrimer au bloc central.

« Vous pouvez l’appeler taxe Zucman ou taxe Zucman light, à partir du moment où ça touche aux usines ou aux grandes startups qui créent de l’innovation, nous serrons contre », a insisté la porte-parole, Maud Bregeon. Cette taxe sur les très hauts revenus divise les partis de gauche, qui défendent des versions différentes.

Le président des Républicains traverse une mauvaise passe alors que la droite est divisée et que son autorité a été remise en cause avec l'entrée de six ministres LR au gouvernement.






















