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Actualité des parutions, prix littéraires, auteurs incontournables et tendances de la scène littéraire française et internationale.
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«Un président foudroyé » sur Netflix raconte le destin de de James Garfield, et de son assassin
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« Le Président foudroyé » : l'Amérique et ses démons
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De quelle histoire vraie s’inspire Le président foudroyé ?
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“Le Président foudroyé” sur Netflix : l’histoire oubliée d’un président américain assassiné
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Florian Zeller : l'écrivain, dramaturge et réalisateur entre à l'Académie française

A 46 ans, le dramaturge et réalisateur Florian Zeller entre à l’Académie française, a-t-on appris ce jeudi. Il prend le fauteuil d’Hélène Carrère d’Encausse, décédée en 2023. Auteur français actuel le plus joué dans le monde, Florian Zeller a été élu ce jeudi 6 novembre à l' Académie française, tout comme l ’écrivain et journaliste Eric Neuhoff. Il a obtenu 23 voix au premier tour de scrutin. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Institut de France (@institutdefrance) A 46 ans, celui qui a été désigné par The Times comme «l'auteur de théâtre le plus passionnant de notre époque», va occuper le fauteuil d’ Hélène Carrère d’Encausse, disparue en 2023. Il devient ainsi la plus jeune personnalité à faire son entrée sous la Coupole depuis Edmond Rostand, père de «Cyrano de Bergerac», qui a été honoré en 1901, à seulement 33 ans. Un homme de lettres oscarisé Né ...

Source LogoCNEWS
Le Top 15 pour le Grand Prix de la critique ACBD est dévoilé

Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:06 Lecture zen Ce n’est pas le Goncourt, mais quand même un prix qui compte, à l’échelle du 9e art. L’Association des journalistes et critiques de bande dessinée (dont l’auteur de ces lignes fait partie, pour être tout à fait transparent) vient de dévoiler sa liste des 15 albums présélectionnés pour l’attribution de son Grand Prix de la critique ACBD.Celle-ci a été déterminée au terme d’un premier tour de scrutin, parmi la centaine d’adhérents de l’association. On notera une montée en puissance, en volume(s) en tout cas, d’œuvres de maisons d’éditions indépendantes, à côté d’auteurs et d’éditeurs plus reconnus, illustration de la diversité de la bande dessinée actuelle. Par ordre alphabétique, les voici :Ballades, de Camille Potte (Atrabile), un prince transformé en grenouille, une chevalière (?) qui délivre une princesse et traque un dragon, une salamandre hallucinée ou un ménestrel insupportable. Voici une partie du bestiaire d’un conte très délirant dans une ambiance évoquant la BD underground des 70’.Les Carnets de Stamford Hawksmoor, de Bryan Talbot (Delirium). Préquelle de la superbe série animalière policière Grandville, dans un monde parallèle et une ambiance steampunk où Napoléon a imposé son empire depuis deux siècles. Et coup de projecteur mérité pour le travail remarquable d’exhumation des BD britanniques fait par le label Délirium.Ces lignes qui tracent mon corps, de Mansoureh Kamari (Casterman). Un très émouvant récit autobiographique d’une jeune artiste iranienne ayant fui son pays et contant son enfance et adolescence au pays des Mollahs. Et une parfaite adéquation entre le fond du propos et le travail graphique.Drome, de Jessie Lonergan (404 Éditions). Une cosmologie mythologique et une œuvre passant avant tout – pour ne pas dire quasiment que – par le dessin. Une vraie immersion dans un univers fantastique, à plus d’un point.Krimi, d’Alex W. Inker et Thibault Vermot (Sarbacane). Une plongée expressionniste dans l’Allemagne de l’entre-deux-guerres, entre fiction et réalité autour du film emblématique de Fritz Lang, M le Maudit. Une nouvelle brillante œuvre du Nordiste Alex W. Inker, qui se renouvelle encore, associé avec Thibault Vermot.Une obsession, de Nine Antico (Dargaud). À Venise, cité romantique et de l’amour s’il en est, Nine Antico, après une séparation s’interroge sur son rapport obsessionnel à l’amour et au sexe. Un récit d’autofiction, dans un beau noir et blanc ou Nine Antico poursuit les thématiques abordées dans ses précédents albums.Rébétissa, de David Prudhomme (Futuropolis). Seize ans après Rébétiko, l’album qui l’avait fait connaître, David Prud’homme en donne une suite – directe – mais axée cette fois sur les deux figures féminines de cette bande de musiciens grecs opprimés par la dictature de Metaxas, dans les années 1930. Un second mouvement enlevé et fort.Rouge Signal, de Laurie Agusti (2042 Édition). Un homme solitaire est progressivement endoctriné par les thèses virilistes. En face de chez lui, un salon de beauté et ses employées exubérantes. Une évocation angoissante sur la montée du masculinisme.Sage, de Quentin Zuttion (le Lombard). Après le très émouvant Salon de beauté, l’an passé, Quentin Zuitton récidive avec un album plus autofictionnel, centré sur l’anxiété qui l’accompagne depuis son enfance et le chemin parcouru par un garçon gay d’aujourd’hui.Sangliers, de Lisa Blumen (L’employé.e du Moi). Un thriller psychologique autour d’une influenceuse beauté, victime de harcèlement et de pressions multiples, qui questionne la marchandisation de la beauté, le sexisme ordinaire et la superficialité d’un monde chimérique des réseaux sociaux.Les Sentiers d’Anahuac, de Romain Bertrand et Jean Dytar (Delcourt). Comme Alex W.Inker, Jean Dytar se renouvelle à chaque album. Et toujours avec une vraie pertinence et cohérence entre forme et fond. Ici, l’évocation de l’anéantissement des Aztèques et du combat d’un prêtre franciscain pour en faire subsister la culture.Sibylline, chroniques d’une escort girl, de Sixtine Dano (Glénat). Un premier album assez remarquable, sur une jeune étudiante en architecture, contrainte progressivement à jouer les escort girls pour payer sa vie parisienne. Un récit fort, inspiré de témoignages réels et porté par un style graphique, à l’encre de Chine et au fusain, vaporeux et envoûtant.Silent Jenny, de Mathieu Bablet (Rue de Sèvres). Fin du triptyque de science-fiction de Mathieu Bablet, après les impressionnants Shangri-La et Carbone & Silicium. Et nouvelle réussite pour cette vision d’un lointain éclatée mais très cohérente d’un futur postapocalyptique, à la recherche de l’adn des abeilles et au milieu des villes nomades…Soli Deo Gloria, de Jean-Christophe Deveney et Edouard Cour (Dupuis). Une forme de conte d’une grande beauté, et parvenant à restituer les sons à travers les pages et ce récit d’apprentissage de deux enfants de paysans à qui leur don musical va offrir une possible échappatoire après de multiples épreuves.La Terre verte, d’Alain Ayroles, Hervé Tanquerelle et Isabelle Merlet (Delcourt). Une tragicomédie shakespearienne dans le Groenland du XVe siècle, où Richard III cherche à se refaire au sein d’une colonie danoise moribonde.La prochaine étape aura lieu, comme il est de tradition samedi 22 novembre, lors du festival BD Boum de Blois, où les membres de l’ACBD débattront cette fois en direct pour déterminer une liste de cinq titres. L’album lauréat, ultérieurement choisi par un dernier vote, sera dévoilé, lui, le 2 décembre 2025 Par Daniel Muraz Le Top 15 pour le Grand Prix de la critique ACBD est dévoilé L’Association des journalistes et critiques de bande dessinée a voté pour désigner ses 15 albums de l’année 2025, sélection pour son Grand Prix de la critique ACBD. Les cinq finalistes seront choisis lors du festival BD Boum à Blois.

Source LogoParis Normandie
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Finaliste malheureux du prix Goncourt 2025, « Kolkhoze » d’Emmanuel Carrère récompensé par un autre prix prestigieux
FranceinfoFranceinfo
Prix Goncourt 2025 : Laurent Mauvignier espère toucher du doigt "une littérature exigeante mais ouverte"
FranceinfoFranceinfo
Emmanuel Carrère obtient le prix Médicis pour "Kolkhoze"
FranceinfoFranceinfo
Emmanuel Carrère, lauréat du prix Médicis 2025 : "C'est un prix qui m'est donné par mes pairs, ça me fait vraiment plaisir", se réjouit l'auteur
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Frévent : Blandine Bulté, enseignante au collège Cuallacci, a publié deux livres cette année : La petite voleuse et Sombres portraits – La prof d’arts plastiques qui écrit des livres

Blandine Bulté, professeure d’arts plastiques au collège Pierre-Cuallacci de Frévent, adore écrire des histoires en parallèle de sa profession. Elle a à son compteur près d’une dizaine d’ouvrages, dont deux sont publiés cette année : du fantastique et du polar. D’autres histoires sont en cours de gestation. Écrire, une passion. Pour Blandine Bulté, cela remonte à […]

Source LogoL'Abeille de la Ternoise
Les détenus du centre pénitentiaire de Beauvais ont aussi la parole pour élire leur Goncourt

Les détenus ont pu échanger avec l’écrivaine et l’interroger sur son ouvrage « Un amour infini ». Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:21 Lecture zen Aussi à l’aise dans les salons mondains qu’entre les murs d’une prison. Une fois n’est pas coutume, le centre pénitentiaire de Beauvais a eu l’honneur d’accueillir Ghislaine Dunant ce mardi 4 novembre. Une auteure reconnue dans le monde littéraire comme l’atteste sa sélection au prestigieux prix Goncourt 2025.Si elle n’a pas eu la chance de remporter le prix, elle a fait part de son expérience aux détenus beauvaisiens avec une rare franchise. Un livre ouvert sur son œuvre que nombre de prisonniers avaient dévoré dans le cadre de l’opération le « Goncourt des détenus ». L’objectif est simple, faire lire un maximum d’ouvrages sélectionnés pour le Goncourt aux volontaires écroués derrière les barreaux. Charge à eux ensuite, de faire leur propre sélection.Objectif, donner le goût de la lecture aux détenusÀ Beauvais, ce sont ainsi 12 détenus, hommes et femmes confondus, qui se sont prêtés de bonne grâce au jeu. « Non seulement ils sont nombreux mais en plus ils sont assidus. Grâce à cette opération, on leur donne le goût de lire. C’est un moyen de s’évader », juge Emmanuelle Baudchon, enseignante au centre pénitentiaire. Et visiblement, ça fonctionne. « Ça nous permet de déconnecter des chaînes d’information en continu et de s’ouvrir à autre chose. Là, j’ai acheté au moins cinq ou six livres. C’est une bonne façon de s’extérioriser », se félicite Omar (les prénoms ont été modifiés).Même son de cloche du coté d’Hakim. « Grâce à ça, j’ai pu découvrir des auteurs que je n’aurais jamais lus. Ça me donne envie de continuer à m’ouvrir à d’autres écrivains », abonde le détenu. En premier lieu desquels, Ghislaine Dunant qui a fait forte impression en présentant son ouvrage « Un amour infini ». Avec une poésie dans ses propos qui a eu le don de séduire les détenus. À l’image d’Hervé. « C’est une rencontre exceptionnelle. Les explications qu’elle apporte viennent éclairer ce qu’on a lu. C’est comme si elle nous racontait un autre livre », juge le prisonnier.Le Goncourt des détenus, c’est la chance de rencontrer des lecteurs singuliersGhislaine Dunant, ÉcrivaineAvec une réciprocité palpable du côté de l’écrivaine. « Le Goncourt des détenus, c’est la chance de rencontrer des lecteurs singuliers. J’ai eu une qualité de questions et d’investissement qui me touche », souligne Ghislaine Dunant. Seule ombre au tableau, l’absence de jeunes prisonniers pour cette opération. Avec une très large majorité de pensionnaires du bâtiment « Respect » qui concentre les détenus les mieux insérés. « Comme c’est la première fois qu’on l’organise, on a fait le choix d’ouvrir le concours à tout le monde et notamment au bâtiment Respect sinon ça aurait été un flop. L’objectif pour l’année prochaine sera d’intéresser les plus jeunes », souligne Pauline Bonnet, directrice de détention.En attendant, un des détenus beauvaisiens sera en charge de défendre les trois ouvrages sélectionnés par les pensionnaires de la prison face aux autres centres pénitentiaires. La cérémonie se tiendra le 16 décembre prochain au Centre national du livre (CNL). Par Yoann Roche Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Beauvais (Oise) Les détenus du centre pénitentiaire de Beauvais ont aussi la parole pour élire leur Goncourt Ce mardi 4 novembre 2025, le centre pénitentiaire de Beauvais a accueilli l’écrivaine Ghislaine Dunant. Elle a échangé avec les prisonniers dans le cadre du Goncourt des détenus.

Source LogoParis Normandie
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LIVRE // Ghibli Room – La plus grande collection Studio Ghibli au monde

Annonce aux passionnés de l’univers Ghibli ! Ce livre risquerait bien de faire des envieux… Depuis sa fondation en 1985 par les maîtres de l’animation japonaise, Hayao Miyazaki et Isao Takahata, le Studio Ghibli a captivé des millions de spectateurs à travers le monde avec des chefs-d’œuvre inoubliables tels que Nausicaä de la Vallée du […] L’article LIVRE // Ghibli Room – La plus grande collection Studio Ghibli au monde est apparu en premier sur Japan Magazine.

Source LogoJapan Magazine
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Margaret Atwood, reine des lettres canadiennes, publie ses "Mémoires écarlates"

Par AFP Par Jérôme RIVET © 2025 AFP L'écrivaine emblématique du Canada anglophone, Margaret Atwood, sort jeudi son autobiographie, dans laquelle elle raconte son enfance dans les bois, ses combats féministes et l'immense succès de son roman culte, "La servante écarlate"."Je traverse le temps qui passe et, lorsque j'écris, le temps qui passe me traverse", écrit Margaret Atwood, 86 ans, en introduisant "Le livre des vies, mémoires écarlates" ("The book of lives" en anglais), publié par Robert Laffont en France.Elle ne cache pas que sa mémoire défaille parfois. "Les souvenirs peuvent être précis mais fantaisistes", écrit-elle.Le livre est épais: près de 600 pages retraçant une vie riche, rythmée par une cinquantaine de romans, d'essais et de recueils de poèmes publiés. Traduite dans de nombreuses langues, elle a remporté de prestigieux prix littéraires, dont le britannique Booker Prize.Forte du succès de ses livres, Margaret Atwood est fréquemment intervenue dans le débat public dans son pays et le monde anglophone.A la fin de son autobiographie, elle exprime sa crainte que prenne fin "l'époque optimiste" qu'elle a connue, "car l'autoritarisme progresse, même au sud de la frontière canadienne", faisant ainsi référence aux États-Unis sous la présidence de Donald Trump. "Pessimiste dynamique" Publié en 1985, "La servante écarlate" ("The handmaid's Tale") est souvent considéré comme un roman prophétique, surtout après être devenu un succès planétaire en étant adapté en série télévisée en 2017. Cette dystopie décrit une Amérique transformée en dictature patriarcale, "Gilead", où des femmes, encore fertiles malgré les ravages de la pollution, deviennent des esclaves sexuelles au service de familles stériles.Le costume des "Servantes", capes rouges et coiffes blanches, s'est imposé comme un signe de ralliement des opposants à Donald Trump, surtout au cours de son premier mandat."Il est certain que cette œuvre a terrifié et ébranlé des générations de jeunes lecteurs", reconnait la romancière dans ses mémoires. Elle attendra 34 ans pour en donner une suite, avec "Les Testaments", publié en 2019.L'œuvre de Margaret Atwood "est tout ce qu'il y a de plus sérieux, profondément ancrée dans les préoccupations d'aujourd'hui – crise climatique, économique, sociale… Mais il y a aussi son humour et son sens de l'intrigue", résume Christine Evain, spécialiste de la romancière, dans un Cahier de l'Herne entièrement consacré à la Canadienne, qui y est qualifiée de "pessimiste dynamique"."C'est en écrivant qu'on devient écrivain. Il n'y a pas d'autre moyen", a affirmé Margaret Atwood, citée dans le Cahier de l'Herne par l'écrivain John Irving.Dans ses mémoires, Margaret Atwood, née à Ottawa le 18 novembre 1939, raconte avec nostalgie sa jeunesse atypique avec des parents originaux, son père étant entomologiste.Elle a connu une grande liberté en grandissant dans une cabane éclairée au kérosène au milieu d'une forêt de l'Ontario. Ce qui a stimulé son imagination et son goût des histoires. Elle a écrit ses premiers contes à six ans, fascinée par ceux de Grimm et n'est entrée véritablement à l'école qu'à l'âge de onze ans.

Source LogoTV5 MONDE
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« Être seule, c’est aussi se libérer »

Avec Enfin seule ! (Allary Éditions), présenté à la librairie Maupetit, Lauren Bastide explore un tabou tenace : la solitude féminine La salle est comble. Des femmes de tous âges sont venues écouter Lauren Bastide. Trois hommes seulement dans le public. Rien d’étonnant pour cette voix du féminisme français, qui, depuis des années, œuvre à rendre […] L’article « Être seule, c’est aussi se libérer » est apparu en premier sur Journal Zebuline.

Source LogoJournal Zebuline
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Le carnet de culture générale, la tendance qui met la fin à la culture du vide ?

Depuis un an et demi, créer son carnet de culture générale est devenu une véritable tendance sur les réseaux sociaux, en particulier sur TikTok. Des utilisateurs partagent leurs méthodes créatives pour compiler et organiser des informations culturelles, historiques, scientifiques et bien d’autres, afin de s'instruire et briller en société. https://www.tiktok.com/@ingrid_vd/video/7418631150400310560 L'idée de tenir un carnet pour compiler des informations n'est pas nouvelle. Depuis des décennies, des passionnés notent dans leurs carnets des faits, des idées, des résumés de lecture ou des réflexions personnelles. Cette pratique, bien qu'ancienne, a pris une ampleur considérable avec l'essor des réseaux sociaux, notamment TikTok, où elle a été propulsée dans le top des vidéos regardées à partir de juillet 2024. C'est Ingrid_vd, créatrice populaire sur TikTok qui se présente comme la “maman des carnets de culture”, qui a popularisé la tendance. À travers ses vidéos, elle montre comment elle choisit et assemble des informations sur différents sujets. Cette approche personnelle a rapidement fait le buzz, de nombreux utilisateurs ont eux aussi commencé à créer leurs propres carnets de culture générale en les agrémentant de dessins ou de collages. Le titre “On glow up ensemble : carnet de culture” publié par Charlotte_sprg sur TikTok est représentatif de cette tendance. Le terme "glow up" souvent utilisé pour parler de la beauté, que l'on peut traduire par "s'embellir" ou "s'améliorer", renvoie à un processus de transformation positif, où l'on se recentre sur soi, ses goûts et ses expériences afin de se développer personnellement. Instagram Instagram L’utilisation d’un carnet de ce type présente de nombreux avantages pour celles et ceux qui souhaitent enrichir leurs connaissances. Histoire, sciences, art, littérature, politique, économie, écologie, pop culture… Les domaines sont aussi variés que les goûts des créateurs. Ce carnet devient un outil de stimulation de la curiosité et de l’esprit critique. Pour les personnes qui sont passionnées par un sujet spécifique ou qui souhaitent explorer de nouveaux thèmes, cette pratique représente un excellent moyen d’organiser ses apprentissages de manière récréative. Le processus de création du carnet aide non seulement à mieux retenir l’information, mais aussi à personnaliser son approche de la culture générale. L’aspect créatif — qu'il s'agisse de dessins, de collages ou de calligraphie — ajoute une dimension supplémentaire à l’apprentissage, rendant le processus plus immersif et ludique. Pour ceux qui préfèrent une approche plus souple et gratuite, il existe aujourd’hui de nombreuses alternatives numériques. Des outils comme Canva ou Google Docs permettent de créer facilement des carnets de culture générale en ligne, tout en offrant une grande liberté créative. Ces solutions sont idéales si l'on souhaite éviter l'achat de matériel ou que l'on recherche une plateforme plus flexible afin d'organiser ses idées et ses connaissances. Créer un carnet en ligne présente également l’avantage de pouvoir facilement le partager et le modifier à tout moment. Quelques suggestions de sujet à aborder dans votre carnet de culture générale : Les Vikings : Plongez dans l'univers de ces navigateurs légendaires : leur culture, leur époque, ce qu'il reste de leur héritage, et comment ils sont représentés dans la pop culture. Un procédé médical : Les transfusions sanguines : d'où vient-elle, comment se déroule-t-elle, et dans quelles conditions est-elle pratiqué ? Le clonage : Un sujet fascinant pour mieux comprendre les avancées scientifiques, les enjeux éthiques et les possibilités offertes par cette technologie. La biodiversité locale : Découvrez les richesses naturelles qui vous entourent et les enjeux de préservation de la faune et de la flore dans votre région. Les grandes œuvres littéraires : Allez au-delà des classiques en approfondissant la vie d’un personnage emblématique de saga, ou en explorant la biographie d’un auteur majeur et ses œuvres marquantes. Les fleurs dans l’art : Un voyage à travers les symboles et significations des fleurs dans les tableaux, sculptures et autres formes artistiques, ainsi que leur origine culturelle. Faits historiques de l'Antiquité : Remontez dans le temps pour étudier les civilisations anciennes, leurs réalisations, et les événements marquants qui ont façonné notre monde. Le bricolage : Familiarisez-vous avec le vocabulaire du bricolage, les différents types d'isolants, les enduits, et d’autres éléments essentiels pour les passionnés de travaux manuels. Mythes et légendes : Ouvrez-vous à des récits fascinants, explorez des figures comme le Krampus ou d'autres créatures légendaires d'autres cultures. La Norvège : Partez à la découverte d'un pays : son histoire, son fonctionnement politique, sa culture et ses lieux emblématiques. Un marché en expansion mais un défi écologique Avec la popularité croissante des carnets de culture générale, des entreprises ont rapidement lancé des carnets à compléter, proposant des sujets à explorer et des mises en pages toutes faites. Ces carnets permettent un gain de temps tout en préservant l’aspect actif de l’apprentissage, en offrant la possibilité de choisir les sujets, de faire ses recherches et d’écrire. carnetdesprit.com Parallèlement, des applications comme GenK ont émergé pour fournir des contenus déjà compilés. Cette alternative pratique offre un accès rapide à des informations sans recherche ni d’écriture, mais elle limite l’engagement intellectuel. L’apprentissage est de ce fait plus passif et moins efficace, car la recherche et l’écriture restent essentielles pour une mémorisation durable. genk.app Toutefois, cette tendance soulève également une question écologique importante. Les carnets, autocollants, feutres et autres accessoires peuvent rapidement conduire à une surconsommation. À une époque où la consommation durable est au cœur des préoccupations, il est essentiel de réfléchir à l'impact environnemental de ces achats. Si l’utilisation régulière de ces carnets est justifiée par la passion, il est important de privilégier des matériaux recyclés ou de réutiliser des fournitures existantes afin d'adopter une approche plus responsable. À l'heure où les outils numériques et la consommation de masse sont toujours plus présents, il est ainsi essentiel de trouver un équilibre entre créativité, apprentissage et respect de l'environnement. Espérons que le carnet de culture générale ne soit pas qu'une mode passagère, mais un moyen créatif de redonner vie à la culture.

Source LogoUnidivers
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"Pour s'en sortir, il faut trouver une passion, une échappatoire...", affirme Zoé Clauzure, après le constat alarmant sur le harcèlement scolaire

Participante de The Voice Kids en 2020, Zoé Clauzure, invitée culture du 23 heures, a commencé à subir du harcèlement scolaire à ce moment phare de sa vie. Après être parvenue à se sortir de cette situation, l'adolescente prend désormais la plume pour aider les enfants qui y sont confrontés aujourd'hui avec ses deux livres "Tout donner !" et "Mon journal". Un guide pratique bienvenu alors que 37 % des 6-18 ans sont victimes de harcèlement à l'école.

Source LogoFranceinfo