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Actualités et analyses sur l’industrie du luxe, mettant en avant ses performances économiques, ses stratégies d’entreprise et son impact sur les marchés en France et dans le monde.
"Dans ce contexte morose, les Français ont envie de se faire plaisir" : le Marché de Rungis en ébullition avant les fêtes

Du rare, de l’exceptionnel... oui, un peu, bien sûr ! Mais surtout de la tradition et de la qualité, quitte à ce que ce soit là des produits plus familiers de nos palais. A l’approche des fêtes, les professionnels de Rungis dressent un état des lieux de la vitalité des marchés et des tendances culinaires avant que vous ne dressiez la table. Premières bonnes nouvelles : le « produit en France » a toujours la cote et il paraît que le fait-maison reviendrait au galop !

Source LogoLe Berry Républicain
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Un pari réussi : ce carré de soie cévenol est le premier 100% français depuis plus d’un siècle !

C’est depuis ce petit village cévenol de 780 habitants, Monoblet (Gard), qu’Alexandre Lourié veut faire renaître une filière de la soie française, disparue depuis plus d’un siècle. « La France fabriquait à l’époque 26 000 tonnes de soie dont la moitié ici, dans les Cévennes. Aujourd’hui, plus rien, tout provient de Chine », signale cet Héraultais âgé de 33 ans. Une absurdité écologique et une grande perte patrimoniale pour les Cévenols qui l’ont décidé il y a quelques mois à lancer la fabrication de 300 carrés de soie 100 % made in France sous la marque Saint Loup.« Cinq hectares de mûriers ont été replantés »Inspirés des « moucadous del col » (mouchoirs de cou en occitan) d’antan, les carrés ont été mis en vente il y a quelques jours sur la plate-forme de financement participatif Ulule. Vendus 295 euros, « les cent premiers exemplaires sont partis en une seule journée. Il nous en reste moins d’une centaine », sourit-il. Qui dit relancer la filière soie française implique la reconstruction de toute la chaîne de production pour obtenir le précieux fil. « Tout part du papillon Bombyx du mûrier qui, avant de mourir, pond 500 œufs qui deviendront ensuite des vers à soie avant d’entreprendre la fabrication de leur cocon, soit un fil ininterrompu de plus d’un kilomètre enroulé autour d’eux », rappelle-t-il.Ces cocons, il va les trouver auprès de Michel Costa, fils et petit-fils de fileuse de soie et devenu grâce à son association le gardien du temple de la tradition séricicole dans les Cévennes. « Le ver à soie se nourrit exclusivement de feuilles de mûriers », explique l’ancien ingénieur agronome âgé de 77 ans. « J’ai d’abord été contacté il y a dix ans par une jeune entrepreneuse, Clara Hardy, qui recherchait des vers à soie pour fabriquer de la soie non tissée pour l’industrie du luxe. Cela a été le déclic. Aujourd’hui, autour de Monoblet, on compte une dizaine d’éleveurs de vers à soie qui se nourrissent des cinq hectares de mûriers qui ont été replantés. »Avec son projet de confection, Alexandre Lourié pousse l’aventure encore un peu plus loin puisqu’il lui faut, une fois le cocon récupéré, en tirer le fil pour fabriquer ses carrés. Moulinage, tissage, décreusage, apprêtage, impression, confection : il ne faut pas moins de six étapes avant d’obtenir la précieuse étoffe. « C’est sans doute ce qui a été le plus difficile à faire car, avec mes 300 unités, je me situe au niveau zéro de l’échelle industriel. J’ai eu la chance de trouver des partenaires qui ont accepté de jouer le jeu sur de si petites quantités ! » Tous sont installés en France, entre Loire, Haute-Loire et Rhône.Mais l’aventure soyeuse d’Alexandre Lourié ne fait que commencer et les machines sont déjà lancées pour fabriquer un deuxième carré de soie. « Pour poursuivre notre projet, il nous faut davantage de fil à soie et donc, côté agricole, changer d’échelle de production. La plantation de mûrier sera le premier poste d’investissement des années à venir », annonce l’entrepreneur qui y fléchera tous les bénéfices de la vente de ses 300 carrés tout en préparant la montée en puissance de sa structure avec l’entrée d’investisseurs conquis par la marque et le projet Saint Loup.

Source LogoLe Parisien
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Joseph Perrier célèbre ses deux cents ans

Fondée par Joseph Perrier en 1825, la maison qui porte toujours son nom deux siècles plus tard est restée dans le giron familial. Mais après avoir été transmise de père en fils, la transmission se fit entre cousins à la fin du XIXe siècle puis d’oncle à neveu dans le dernier quart du vingtième siècle lorsque Jean-Claude Fourmon succéda à Georges Pithois. Et après quarante ans à la tête de l’entreprise, c’est à son fils Benjamin Fourmon, représentant de la sixième génération, qu’il a transmis le flambeau en 2019.

Source Logol'Opinion
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Accord Disney-OpenAI : « Le cauchemar d’Hollywood prend forme même si le studio promet de “respecter et protéger” les artistes »

Par l’accord signé jeudi, les utilisateurs de ChatGPT et Sora, des outils de génération d’images et de vidéos par IA, pourront intégrer des éléments issus de films Disney, Marvel, Pixar et Star Wars. Surtout, le célèbre studio d’animation devient un « client majeur » de la firme de Sam Altman, relève Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».

Source LogoLe Monde
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Les inégalités de patrimoine s’accentuent dans le monde, les 10 % les plus riches possèdent 75 % du patrimoine

Depuis les années 1990, les inégalités de patrimoine se sont accentuées dans le monde. Les ultrariches captent davantage de richesses mondiales, selon un rapport publié ce mardi par un institut de recherche français, renvoyant à un « choix politique » pour réduire ces inégalités.Les 10 % les plus riches dans le monde (556 millions d’adultes) touchent actuellement 53 % des revenus mondiaux et possèdent 75 % du patrimoine. La moitié la plus pauvre de la population (environ 2,8 milliards d’adultes) reçoit 8 % des revenus et détient 2 % du patrimoine.Le contraste s’accentue en considérant les 0,001 % les plus riches, soit 56 000 multimillionnaires « pouvant tenir dans un stade de football ». Ils contrôlent plus de 6 % des richesses mondiales, contre environ 4 % en 1995.Une hausse de 8 % par an moyenne chez les plus riches« Les inégalités extrêmes de patrimoine augmentent rapidement », souligne le « Rapport sur les inégalités mondiales » produit par le Laboratoire sur les inégalités mondiales, institut de recherche rattaché à l’Ecole d’économie de Paris. « Depuis les années 1990, le patrimoine des milliardaires et des centi-millionnaires a augmenté d’environ 8 % par an, soit près du double du taux de croissance enregistré par la moitié la plus pauvre de la population », ajoute ce document piloté les économistes Thomas Piketty, Lucas Chancel, Ricardo Gómez-Carrera et Rowaida Moshrif et rassemblant les travaux de plus de 200 chercheurs.Or les plus aisés paient proportionnellement moins d’impôts que les ménages aux revenus plus faibles, selon les auteurs. Ils défendent donc un impôt minimum sur la fortune, à l’instar de la taxe Zucman rejetée par le Parlement français lors de l’examen du projet de budget, suscitant un débat sur la justice fiscale.« Même des taux modestes d’impôt minimum mondial sur les milliardaires et les centi-millionnaires pourraient rapporter entre 0,45 % et 1,11 % du PIB mondial », est-il écrit. Cela représenterait 503 à 1256 millions de dollars (430 à 1030 milliards d’euros environ), avec un taux allant de 2 % à 5 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions de dollars (85 millions d’euros).

Source LogoLe Parisien
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« Un cadeau avant l’heure » : des billets de train Paris-Normandie à moins de 11 euros

« Franchement, c’est un vrai petit cadeau de Noël avant l’heure pour nous ! On va économiser plusieurs dizaines d’euros sur des trajets que nous aurions faits de toute façon. Donc, c’est autant de gagné sur notre pouvoir d’achat, notamment pour les fêtes. C’est un peu comme si la SNCF nous avait offert un bon d’achat », sourit Joséphine, 36 ans, qui voyage régulièrement entre Caen (Calvados) et Rouen pour rendre visite à ses parents, avec son mari et leurs deux enfants. Elle a déjà acheté deux allers-retours « mini-tempo » pour toute la famille.« Mini-tempo », c’est le nom donné aux 300 000 billets mis en vente par la SNCF à moins de… 10 euros, jusqu’au 31 décembre ! Ces billets concernent toutes les lignes normandes.Des jours de faible affluence« Ces billets à bas coûts sont mis en vente sur des jours de plus faible affluence. La différence de tarif correspond à la distance parcourue. Vous pouvez ainsi trouver des billets « aller simple » à 6 euros pour moins de 100 km, 8 euros entre 100 et 200 km et enfin 10 euros au-delà de 200 km », explique la direction de la SNCF, avant d’ajouter : « Les premiers arrivés sont les premiers servis. D’où l’intérêt d’anticiper son voyage. »À titre d’exemple, un aller entre Valognes (Manche) et Caen (Calvados) peut revenir à seulement 8 euros, de même qu’un aller Caen (Calvados)- Évreux (Eure), alors qu’habituellement il faut compter entre 12 et 16 euros pour ces mêmes trajets.

Source LogoLe Parisien
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Provenance floue, paquet un quart vide… Gare à ces produits de Noël aux emballages trompeurs

Les produits de Noël sont bien installés en rayon. Emballages festifs ou noirs pour faire plus chic, les repas de fête se préparent. Mais comme chaque année, l’organisation de défense des consommateurs Foodwatch a décrypté les étiquettes et regardé au-delà des emballages ce qui est proposé aux Français. Résultat : elle épingle plusieurs produits « trompeurs » dans une campagne de name and shame (nommer et couvrir de honte).Premier problème soulevé par l’association, « l’arnaque » à la provenance. En exemple, les Escargots de Bourgogne, L’Origine du goût, E. Leclerc, pour lesquels la liste des ingrédients indique « Europe », assure-t-elle. « Que la production soit délocalisée, d’accord, mais n’appelons pas cela des escargots de Bourgogne. Le consommateur peut être déçu en rentrant chez lui. Et à l’heure où il y a des discussions sur consommer français, il n’y a pas assez de transparence des industriels », souligne Audrey Morice, chargée de campagnes chez Foodwatch.

Source LogoLe Parisien
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Marché du livre : Amazon évalue à 100 millions d’euros les frais de port payés par les Français

Le géant du commerce en ligne Amazon a évalué lundi à « plus de 100 millions d’euros » l’impact pour les Français de la loi qui impose depuis deux ans des frais de port de trois euros pour les achats de livres en ligne en dessous de 35 euros.« Cette mesure qui devait soutenir les libraires laisse une addition salée aux Français, qui ont déjà déboursé à ce titre plus de 100 millions d’euros auprès des différents détaillants de livres en ligne », a affirmé Frédéric Duval, le directeur général d’Amazon.fr, dans une tribune. « Pour quel résultat ? Les ventes de livres continuent de baisser fortement en France, y compris en librairie », a-t-il ajouté.Le patron de la filiale française du géant américain fait référence à une loi portée par la sénatrice Laure Darcos et entrée en vigueur en octobre 2023 pour tenter de rééquilibrer le jeu concurrentiel entre le commerce en ligne et les commerces physiques de ventes de livres (librairies indépendantes, FNAC, Cultura…).Contournement de la loiDepuis, les tensions sont vives entre les deux parties. Leur dernier différend remonte à début 2025, autour de l’interprétation de la loi, Amazon estimant qu’une de ses dispositions lui permet de livrer gratuitement dans ses casiers (« lockers ») installés dans un commerce de vente au détail de livres. Le Médiateur du livre, autorité publique indépendante, a jugé en mai que le groupe américain contournait la loi.Dans sa tribune, le directeur général d’Amazon estime que « les plus de 100 millions d’euros dépensés par les lecteurs en frais de port obligatoires auraient pu financer davantage de lectures, au bénéfice des éditeurs, des auteurs et de la filière ».« Cent millions d’euros, cela représente 12 millions de livres de poche, et 3 % du chiffre d’affaires annuel de l’édition en France », évalue Frédéric Duval. Le chiffre de 100 millions a été calculé « en utilisant des données sectorielles et des données internes d’Amazon », selon l’entreprise.

Source LogoLe Parisien
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« Pour produire une bague de 10 g, il faut extraire 1 000 kg de sol » : pourquoi l’or écolo est un bon filon

Sa loupe bien calée sous l’œil, Daniele Kielmanowicz inspecte un pendentif en forme d’hippopotame. « Le poinçon de maître, la signature du joaillier, est parfaitement visible, explique l’experte. Et à côté, le poinçon titre indique, lui, le nombre de carats. » Mais la spécialiste fait la moue, elle a reconnu le cachet international et non la « tête d’aigle » française. « Selon les pays, le contrôle de la densité n’est pas toujours aussi rigoureux, décrypte-t-elle. Nous allons le tester. »Depuis ses bureaux très lumineux dont on a promis de ne pas dévoiler l’adresse, la créatrice de Rebijoux, start-up qui veut faire du recyclage d’or une pratique courante dans la joaillerie, vérifie la qualité d’un lot envoyé par une cliente : 8,1 g précisément. L’entrepreneuse en blouse fuchsia extrait d’une petite boîte blanche une boucle d’oreille orpheline, une flopée de breloques enfantines, l’hippo dodu donc, une ballerine, une clé, et un œil porte-bonheur, de ceux qu’on ramène de vacances en Grèce. Puis un anneau et une bague torsadée.

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« Je ne me suis pas enrichi, j’ai protégé mon pouvoir d’achat » : l’or, un refuge pour les Français face à la crise

La sonnette de la porte sécurisée retentit à intervalles réguliers dans l’agence Godot & Fils du XVIe arrondissement. Dans ce quartier chic et huppé de l’ouest parisien, la succursale de la rue de la Pompe a sa clientèle d’habitués. En ce lundi, l’activité est plutôt rythmée par les échanges de devises étrangères, autre pan de l’activité de cette société quasi centenaire, qui a démarré au cœur de Paris dans les années 1930 non loin de la Bourse et du palais Brongniart. Derrière une vitre sécurisée, Hélène Renard, conseillère en métaux précieux, et ses collègues accueillent les clients. L’un vient se renseigner sur la valorisation de son stock de pièces de 5 francs en argent et de quelques bijoux en or à fondre. Il repart avec en poche quelques centaines d’euros. « Notre cœur de métier reste de vendre de l’or et d’en acheter sous toutes ses formes », précise Hélène Renard. La conseillère s’empresse d’ajouter que « les profils des épargnants attirés par la fièvre de l’or pourraient surprendre ».

Source LogoLe Parisien
Ferrari, un constructeur automobile pas comme les autres et une vraie valeur de luxe

A l'occasion du rendez-vous annuel d' Investir - l'Investir Day -, nos journalistes présentent en détail les 40 actions favorites du journal, celles qui composent nos quatre sélections Investir 10. Ferrari, grâce à son pricing power exceptionnel a le profil d'une valeur de luxe. Toutefois, les prévisions présentées lors de la journée investisseurs d'octobre ont fortement déçu. Elles traduisent sans doute un excès de prudence de la part de la direction.

Source LogoInvestir
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Taxe foncière : finalement, le gouvernement envisage de suspendre la hausse

"Au moment où on est sur le budget, ce n'était pas le moment" pour augmenter la taxe foncière, a estimé mardi le ministre de la Ville et du Logement, Vincent Jeanbrun. Cette mesure, qui doit concerner 7,4 millions de logements, avait déclenché un tollé ces derniers jours. Une réunion est prévue à Bercy avec des élus et parlementaires mercredi, a indiqué la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin.

Source LogoTF1 Info
Immobilier : les factures d'eau et d'électricité suffisent-elles pour prouver l'occupation abusive d'une villa de luxe ?

Une société dont l'activité consistait à permettre la sous-location d'un bien de luxe a été redressée pour acte anormal de gestion. Constatant que la sous-location n'a été déclarée que pour la période estivale, l'administration a en effet suspecté que le bien était en réalité habité gratuitement par l'associé unique. La Cour administrative d'appel de Marseille vient de statuer sur ce contentieux. Quels enseignements en tirer ?

Source LogoLes Echos