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Normandie

Actualités régionales sur la vie locale, la culture, l’économie et le tourisme, reflétant le dynamisme et les enjeux actuels du territoire normand.
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Beatles, « Run for movember », harengade : le « Fil Good » de votre week-end en Normandie

Mis en ligne le 6/11/2025 à 20:30 Lecture zen L’événement incontournable du week-end pour les innombrables fans des Fab Four, c’est le tout premier Beatle Day organisé dans la commune de Pissy-Pôville, au nord de Rouen, samedi 8 novembre 2025 : une journée entière consacrée aux quatre de Liverpool avec conférence et concert. À l’affiche, notamment : les locaux de The Beatles Artifact et The Flaming Shakers, venus d’Espagne, considérés comme l’un des meilleurs tribute au monde.Défis pour tous les âgesDimanche 9 novembre 2025, dans le cadre du Movember, le mois de sensibilisation aux problèmes de santé masculins, Freddy Paillard, coach du club de karaté de Saint-Marcel, organise à Gaillon « Run for movember » , grand événement sportif, caritatif, mais aussi festif et familial. À raison de 5€ minimum par personne, des défis seront proposés pour tous les âges et tous les niveaux au stade Jean-Rives.Coup d’envoi des harengadesAvant Lieurey, Dieppe ou Fécamp, Le Tréport donne le coup d’envoi du cycle normand des harengades ce week-end. Samedi 8 et dimanche 9 novembre 2025, l’odeur du poisson grillé va s’emparer de la ville, mais aussi l’ambiance festive, faite d’animations gratuites (concerts, marché artisanal…). Par Thomas DUBOIS Beatles, « Run for movember », harengade : le « Fil Good » de votre week-end en Normandie Chaque semaine, retrouvez la sélection loisirs-culture de Paris Normandie pour le week-end à venir. Au programme du samedi 8 et dimanche 9 novembre : une journée entière consacrée aux Fab Four à Pissy-Pôville, du sport caritatif à Gaillon et le lancement de la saison des foires au hareng au Tréport. Video

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Le cœur brisé des proches des naufragés du Mylanoh, incertitude chez Renault... le point actu à 20 h

Les familles des trois naufragés du Mylanoh étaient présentes à l’audience du tribunal maritime du Havre, jeudi 6 novembre 2025. - BORIS MASLARD/Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:57 Lecture zen « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé »Comme prévu, le procès après le naufrage du bateau havrais Mylanoh en 2022 s’est tenu en quelques minutes jeudi 6 novembre 2025. Le tribunal maritime du Havre a acté l’extinction de l’action publique, au regard du décès de l’unique prévenu. Une décision dont les familles se doutaient, mais qui engendre colère et frustration.6 M€ de travaux pour ses copropriétaires au Havre : comment cet épineux dossier a-t-il évolué ?Face à des désordres structurels dans leurs immeubles en béton du centre-ville, classés car situés dans la zone du patrimoine de l’Unesco, des dizaines de copropriétaires havrais vont devoir payer de gros travaux. S’il n’est pas arrêté, leur coût devrait être inférieur aux quelque 6 M€ initialement annoncés. À lire aussi Municipales 2026. À Harfleur, Kevin Crochemore souhaite « rallier la gauche la plus large possible » Football – Ligue 1. Une infirmerie totalement vide : le point sur l’effectif du HACÀ 48 heures de la réception du FC Nantes, pour le compte de la 12e journée de Ligue 1, le HAC, invaincu lors des trois dernières journées, dispose, en ce jeudi 6 novembre 2025, d’un groupe au grand complet.Incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ? Renault Sandouville s’apprêterait à mettre fin au contrat en intérim de quelque 300 personnes fin 2025. Le constructeur doit réduire sa production de véhicules utilitaires. Un CSE se tenait jeudi 6 novembre 2025. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Havre (Seine-Maritime) Sandouville (Seine-Maritime) Le cœur brisé des proches des naufragés du Mylanoh, incertitude chez Renault... le point actu à 20 h « Il n’y aura jamais de coupable » : les familles des naufragés du Mylanoh ont le cœur « brisé » ; incertitude pour les intérimaires de Renault Sandouville : 300 contrats non reconduits ?... Le point actu à 20 h. Video

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Spectacle interdit en Seine-Maritime et dans l’Eure : Dieudonné réagit auprès de « Paris Normandie »

Dieudonné (ici lors d’un spectacle donné à Évreux en 2019) est à nouveau interdit de représentation en Seine-Maritime et dans l’Eure. - archives Paris Normandie / VINCENT LE GALLOIS Mis en ligne le 6/11/2025 à 19:34 Lecture zen Les préfectures de la Seine-Maritime et de l’Eure ont pris, jeudi 6 novembre 2025chacune un arrêté préfectoral afin d’interdire l’organisation d’un spectacle de Dieudonné M’Bala M’Bala annoncé, sur son site officiel, dans le secteur de Rouen vendredi 7 novembre 2025. Les services de l’État estiment que « les expressions et spectacles de l’auteur reprennent de façon récurrente des propos faisant l’apologie du terrorisme, ou dépréciant ou tournant en dérision les attentats commis à Paris le 13 novembre 2015 » sont susceptibles de susciter un « trouble à l’ordre public ». À lire aussi Le préfet interdit Dieudonné de spectacle dans la région rouennaise vendredi Une interdiction similaire avait été prise en mars dernier. Contacté par Paris Normandie, Dieudonné réagit.Votre représentation est interdite en Seine-Maritime et dans l’Eure. Surpris ?Dieudonné M’Bala M’Bala : « On devrait aller devant le tribunal administratif pour un référé liberté. Mais il y a une instruction du ministre de l’Intérieur pour que les préfets interdisent mes spectacles. Si c’est interdit ici, nous irons dans un autre département. Et puis il y aura le Conseil d’État, la Cour européenne… Puis, sinon, je reviendrai en Seine-Maritime avec mon exposition. de peinture. Je change d’activité. »Arrêtez-vous la scène ?« J’ai 60 ans, pas encore l’âge de la retraite. Mais si je suis interdit de manière générale par le gouvernement… Je suis sous bracelet électronique depuis un an et demi [Dieudonné a été condamné à de multiples reprises notamment pour des propos jugés antisémites mais aussi pour abus de biens sociaux et fraude fiscale, NDLR]. Je me suis mis à la peinture. J’ai eu une centaine d’arrêtés préfectoraux contre moi, j’ai utilisé cette censure comme matière première pour de l’art pictural. J’appelle ça de l’« art administratif ». Je vais exposer à Paris les 12, 13 et 14 décembre prochains. Et, a priori, rien ne m’interdit d’exposer ailleurs. » À lire aussi « Je croyais faire mon travail d’humoriste… » : l’interview de Dieudonné avant son spectacle près de Rouen « Nous respecterons les arrêtés s’ils sont confirmés »Et quand les préfets évoquent le risque de trouble à l’ordre public et des propos limites sur les attentats du 13 novembre, qu’est-ce que vous répondez ?« Qu’ils parlent d’un spectacle, Vendredi 13, que je jouais l’année dernière, qui n’est pas celui que je veux jouer ce 7 novembre. Que je n’ai été ni poursuivi ni condamné pour ce spectacle, donc qu’ils se basent sur des impressions, des sensations… Nous respecterons les arrêtés s’ils sont confirmés. Peut-être que je ferais alors cette représentation en live sur internet. » Par Propos recueillis par Anthony Quindroit Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) Évreux Seine-Maritime Eure Normandie Spectacle interdit en Seine-Maritime et dans l’Eure : Dieudonné réagit auprès de « Paris Normandie » Alors que son spectacle est, sans grande surprise, sous le coup d’une nouvelle interdiction, Dieudonné M’Bala M’Bala annonce qu’il portera l’affaire devant le tribunal administratif. Et évoque la suite…

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Des aurores boréales inattendues ce soir dans le ciel de Normandie ?

Arriverez-vous à apercevoir des aurores boréales dans le ciel normand ? - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:50 Lecture zen Vous avez raté la « super lune » du castor hier soir ? Les cieux vous offrent une magnifique séance de rattrapage. Dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7 novembre 2025, des aurores boréales pourraient être visibles dans le ciel de France, donc de Normandie. À lire aussi Vol du Louvre : des pompiers le parodient pour leur calendrier et font des centaines de milliers de vues C’est ce que pensent et annoncent les experts de la National Oceanic et Atmospheric Administration (NOAA) en plaçant la terre sous veille de tempête géomagnétique forte (de niveau 3).Loin de toute pollution lumineuse« Seul le bord des éjections nous touchera. Néanmoins, on s’attend à ce que des aurores soient visibles jusqu’en Europe centrale si l’orientation magnétique est favorable », publie le Centre Opérationnel de Météorologie de l’Espace des Alpes sur son compte X (ex-Twitter).C’est donc entre 22h et 2h du matin qu’il faudra, loin de toute pollution lumineuse, observer le ciel et le scruter vers le nord. Le tout à l’œil nu, évidemment sous un ciel dégagé.Pour autant, ce n’est pas gagné. Selon les prévisions de Météo France, la nuit devrait être marquée par des passages nuageux. Par Christophe FREBOU Des aurores boréales inattendues ce soir dans le ciel de Normandie ? Selon un groupe d’experts, à la faveur d’une forte tempête solaire, le ciel de France, notamment de Normandie pourrait être illuminé d’aurores boréales dans la nuit du jeudi 6 novembre 2025.

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TF1 InfoTF1 Info
Météo du 6 novembre 2025 : Prévisions météo à 13h56
FuturaFutura
Les scientifiques confirment un dépassement imminent du seuil climatique mondial
Sud OuestSud Ouest
« Des vagues de chaleur sans précédent » : l’année 2025 devrait être la 2e ou la 3e plus chaude jamais enregistrée, selon l’ONU
La Presse de la MancheLa Presse de la Manche
Météo. Des records de douceur battus pour un mois de novembre dans la Manche
coverageCouverture complète
Eure : les banques coupent court au projet de lancer de haches et de couteaux

Julien Gourc’hant souhaitait ouvrir un espace ludique à Conches-en-Ouche, où il était possible de faire du lancer de haches. - Photo d’archives Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:18 Lecture zen Julien Gourc’hant est « très déçu ». Le projet d’espace familial ludique qu’il portait à Conches-en-Ouche depuis le début de l’année 2025 est tombé à l’eau. Le Skàli ne verra pas le jour… L’endroit aurait dû réunir plusieurs activités dont le lancer de haches et de couteaux, mais aussi un bar 100 % sans alcool. À lire aussi Lancer de haches et de couteaux… dans l’Eure, une cagnotte ouverte pour un projet hachement bien ! 15 banques sollicitéesSon « rêve » a viré au cauchemar lorsqu’il a compris qu’aucune banque ne l’aiderait à financer son projet. Il avait besoin de 22 000€. « J’ai rencontré une quinzaine de banques, à Conches-en-Ouche, à Évreux… Mais aucune n’a voulu me prêter de l’argent », regrette le quadragénaire. Pire, Julien Gourc’hant n’a jamais eu aucune explication quant aux raisons de ces refus. « Ça m’aurait peut-être aidé à revoir le projet », soupire Julien, accompagné dans ses démarches par un comptable, qui lui a établi le business plan et démontré, chiffres à l’appui, que ce genre d’activité cartonne ailleurs, comme à Caen, où Julien a d’ailleurs découvert le lancer de haches. À lire aussi Mettez-en plein les yeux : le plus grand parcours lumineux d’Europe arrive dans l’Eure Julien Gourc’hant avait pourtant réussi à obtenir le soutien du réseau Initiative Eure. « On m’avait dit que ce serait eux les plus difficile à convaincre, mais ça s’est bien passé. Ils ont trouvé que c’était un projet novateur. » L’association lui avait consenti, en mai 2025, un prêt d’honneur de 5 000€ pour « la création d’un bar à activité ludique viking ». && Courant août 2025, Julien Gourc’hant s’est rendu à l’évidence : il n’obtiendrait jamais la somme nécessaire. Il a donc jeté l’éponge, alors même qu’il avait trouvé le local idéal, qu’il avait commencé à recruter, que les premiers éléments de décor étaient créés, et qu’il avait collecté près d’un millier d’euros grâce à sa cagnotte en ligne. À lire aussi Festival Samhain à Bernay : découvrez nos plus belles photos du festival « J’ai tout arrêté, résume le Conchois. Je suis déçu, parce que j’y croyais. J’avais même laissé tomber la boutique que je tenais à Conches pour ça. » Le Conchois se consacre désormais à son autre activité : la forge. Par Catherine Rol Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Conches-en-Ouche (Eure) Évreux (Eure) Caen (Calvados) Eure : les banques coupent court au projet de lancer de haches et de couteaux Le projet d’espace familial ludique où il aurait été possible de pratiquer le lancer de haches à Conches-en-Ouche est tombé à l’eau. Aucune des banques sollicitées n’a voulu suivre… Video

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Ault : il photographiait les petites filles nues sur la plage

Un père de famille a été alerté par l’attitude du septuagénaire, qui se focalisait sur les petites filles. (Photo d’illustration) - CPIPQR Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:20 Lecture zen Le 11 mai 2024, un père de famille alerte les gendarmes : un vieux monsieur multiplie les photos sur une plage d’Ault, et pas vraiment des plans larges. Non, il semble se focaliser sur les petites filles dénudées. L’homme remet sans problème son téléphone aux forces de l’ordre sur lequel se trouvent en effet des clichés de très jeunes enfants. On procède à une perquisition chez lui. Dans son ordinateur, il y a une centaine de photos de petites filles nues, dont 35 en gros plan sur leurs fesses ou leurs sexes.Ce jeudi, Dominique, 75 ans, comparaît pour fixation d’image pédopornographique. Sauf que la lecture du dossier, malgré les apparences, dément toute attirance sexuelle pour les mineurs. Jamais il n’a consulté de sites spécialisés et illégaux. Jamais les personnes qui le côtoient n’ont décelé de traits pervers.Une triste histoireDominique raconte d’une voix fluette une triste histoire : « J’ai été victime de violences quotidiennes de la part de ma mère pendant toute mon enfance. Elle avait été violée, elle voulait une fille, pas un garçon. Elle m’a élevée en fille, j’ai toujours été une fille dans ma tête. Un jour, sur cette même plage, je devais avoir sept ans, j’ai retiré mon maillot de bain pour me changer. Elle m’a battu et m’a traité de « fille dégénérée » » D’où, selon lui, cet attrait pour des photos qu’il qualifie « d’art éphémère » car il les détruit « au bout de deux jours ». Il justifie : « Ma mère m’a dégoûté totalement de toute sexualité. Je retourne au même endroit, dans les mêmes conditions, car j’ai besoin de récupérer des scènes de vie qui m’ont été volées par ma mère. Des photos de vraies petites filles car moi j’étais une fausse petite fille ».« On est face à une crise identitaire, plaide son avocate Me Maureen Pupin. D’accord c’est malsain mais ce n’est pas de la pédopornographie. Il y a zéro plaisir sexuel dans ce dossier. » Le tribunal requalifie en effet l’infraction et condamne Dominique à six mois de prison avec sursis, liés à l’obligation de poursuivre les consultations chez un psychologue. Par Tony Poulain Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Justice Picardie Ault : il photographiait les petites filles nues sur la plage Ce jeudi 6 novembre 2025, le tribunal a condamné un septuagénaire pour atteinte à l’intimité. Une affaire plus complexe qu’il n’y paraît…

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Le premier festival Normandurable

Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:27 Lecture zen Transitions économiques, sociales, environnementales et technologiques : ce sont aussi ces changements qu’explorera le même week-end des 5 et 6 décembre, et au même endroit, avec un angle plus divers, le festival Normandurable, dédié à la découverte « de métiers et formations de demain ou en évolution ». La Région Normandie, la communauté urbaine du Havre et l’association Pluies de juillet en sont les principaux organisateurs. « Un évènement en connexion avec les activités essentielles du bassin havrais », souligne Jean-Baptiste Gastinne. Avec des dizaines d’exposants, des conférences, démonstrations de métiers, rencontres avec des acteurs de l’économie, films… Là aussi les chercheurs d’emploi, lycéens et étudiants sont attendus. « Nous voulons leur faire toucher du doigt les mutations de notre système économique », expose Hubert Dejean de la Batie, vice-président de la Région chargé de la transition environnementale. « Les métiers changent, demandent de nouvelles compétences. Les jeunes cherchent des entreprises qui font des efforts » en matière écologique, insiste-t-il.Le programme sur lenormandurable.comPour faciliter la venue des lycéens et étudiants au Carré des Docks, des bus feront des allers-retours depuis onze villes normandes. Inscriptions sur https://www.destination-metier.fr/articles/normandurable-transport-des-lyceens-et-etudiants Le premier festival Normandurable

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Bacqueville-en-Caux perd son ancien maire, une figure estimée et engagée

Etienne Delarue était très investi dans la vie de la commune. - Photo d’archives Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:55 Lecture zen C’est une profonde tristesse qui touche aujourd’hui Bacqueville-en-Caux. Figure connue et estimée de la commune, l’ancien maire Étienne Delarue s’est éteint à l’âge de 84 ans. Sa disparition laisse un grand vide dans le cœur des habitants, tant il aura marqué la vie locale par son engagement et sa bienveillance. Né à Saint-Martin-le-Vivier, représentant de commerce retraité et père de trois enfants, il avait à cœur de faire de son village une commune accueillante et dynamique. Consultez l’actualité en vidéo Etienne Delarue était très investi dans la vie de la commune. - Photo d’archives Élu maire en 2001, après avoir été conseiller puis adjoint aux côtés de Gérard Savoye, il a conduit la commune durant quatre mandats, avec le souci constant de l’intérêt collectif. « C’était un homme très investi, un grand cœur, très humain, à l’écoute aussi bien des élus que de ses concitoyens, confie avec émotion Aline Morel, qui a siégé à ses côtés pendant trois mandats. Il a toujours veillé à une gestion saine de la commune. » À lire aussi Un service spécialisé de l’hôpital de Dieppe accueille pour la première fois une interne Très attaché à la jeunesse, il s’est battu pour améliorer le cadre de vie des enfants, notamment en soutenant le transfert de la garderie Animômes dans des locaux neufs derrière le groupe scolaire. Il a aussi œuvré pour attirer de nouvelles familles, à travers la création de logements comme les résidences La Croix Mangea-là et Jean Poulain.Un dernier hommage, vendrediAffaibli par la maladie, Étienne Delarue avait dû quitter ses fonctions en 2024 et résidait depuis septembre dernier à l’Ehpad d’Arques-la-Bataille. Le conseil municipal entend poursuivre les projets qu’il a initiés, notamment la réhabilitation de la mairie et la restructuration du centre-bourg, deux dossiers qui lui tenaient à cœur. Ses obsèques seront célébrées le vendredi 14 novembre à 10 h, en l’église Saint-Pierre de Bacqueville-en-Caux, où un hommage lui sera rendu par le maire actuel, Jean-Marie Adam, entouré de nombreux élus et habitants.  Par Sylvie Macquet Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Bacqueville-en-Caux (Seine-Maritime) Bacqueville-en-Caux perd son ancien maire, une figure estimée et engagée Figure connue et estimée de la commune, l’ancien maire Étienne Delarue s’est éteint à l’âge de 84 ans. Sa disparition laisse un grand vide dans le cœur des habitants.

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À La Frénaye, le projet de 44 logements relancé après des mois d’incertitude

Après plusieurs mois d’échanges, la commune et RTE ont finalement trouvé un terrain d’entente. - Photo Coline Poiret-Mellier Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:24 Lecture zen À La Frénaye, la page semble enfin se tourner pour le projet de lotissement situé à l’entrée de la ville. Compromis à cause de deux pylônes électriques situés sur le site, il va finalement pouvoir voir le jour : « Nous avons réussi à obtenir la faisabilité du lotissement et la mise aux normes des pylônes, au prix de deux réunions de négociation avec RTE », se félicite Christophe Tétrel, maire de la commune de 2 100 habitants. Consultez l’actualité en vidéo Un projet longtemps bloqué par deux pylônesL’affaire avait éclaté au printemps 2025. Après trois ans de travail sur un projet de 44 logements (douze en accession à la propriété et trente-deux logements sociaux), la mairie apprend, à la toute fin de l’instruction du permis d’aménager, que la construction est interdite autour de deux pylônes électriques implantés sur le terrain communal, à cause d’un arrêté datant de 2001. À lire aussi Près de Lillebonne, le projet de 44 logements mis à mal par deux pylônes électriques Selon le Réseau de transport d’électricité (RTE), la réglementation interdit tout bâti dans un rayon de 150 mètres autour de ces structures. Une découverte tardive qui avait mis le maire « en colère » et remis en question plusieurs années d’investissement.Un accord trouvé avec RTEAprès plusieurs mois d’échanges, la commune et RTE ont finalement trouvé un terrain d’entente. Une convention d’étude, signée la semaine dernière, prévoit le remplacement des deux pylônes existants par des pylônes non conducteurs, afin d’éliminer les risques liés à la foudre. Après avoir été stoppé net par la présence de deux pylônes électriques jugés dangereux, le projet de 44 logements à La Frénaye repart. - Photo d’archives Selon le Réseau de transport d’électricité (RTE), la réglementation interdit tout bâti dans un rayon de 150 mètres autour de ces structures.  - Photo d’archives « Il faut trouver une solution de délestage conséquent avant d’intervenir », explique le maire car les deux lignes concernées alimentent la zone industrielle de Port-Jérôme. RTE doit revenir vers la commune dans les six prochains mois pour fixer un calendrier précis, avec un objectif de mise aux normes d’ici deux à trois ans.Le projet se fera tel qu’il était prévu, sans participation de la commune. Christophe Tétrel, Maire de La FrenayeBonne surprise pour les finances communales : la participation financière initialement demandée à La Frénaye pour la mise aux normes ne sera finalement pas nécessaire : « Le projet se fera tel qu’il était prévu, sans participation de la commune », se réjouit Christophe Tétrel. À lire aussi Près de Lillebonne, l’expérience de l’orchestre à l’école est un apprentissage pour toute la vie Le permis d’aménager reste valable jusqu’en 2028, et une promesse de vente de quatre ans a été signée avec le promoteur Alteame et le bailleur social Logéal. « Notre objectif est d’entamer les travaux d’ici 2028. Pour cela, il faut que le risque soit effacé et que les pylônes soient remplacés », précise le maire.Pour l’élu, ce lotissement est bien plus qu’un projet immobilier : « C’est une question de richesse fiscale, de vitalité scolaire et de développement des commerces », insiste-t-il.La Frénaye, déjà contrainte par la loi ZAN (Zéro artificialisation nette), a vu disparaître un hectare et demi de foncier constructible ces dernières années. « Heureusement, nous avons encore des terrains privés et communaux à urbaniser », note-t-il. Par Coline Poiret-Mellier Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : La Frénaye (Seine-Maritime) À La Frénaye, le projet de 44 logements relancé après des mois d’incertitude Après avoir été stoppé net par la présence de deux pylônes électriques jugés dangereux, le projet de 44 logements à La Frénaye repart. Une convention signée avec RTE prévoit la mise aux normes de ces pylônes d’ici deux à trois ans.

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Falaise : le Conseil d’État valide définitivement le projet Centrakor

Après huit années de procédures, le Conseil d’État a rejeté les derniers pourvois déposés contre le projet Centrakor à Falaise (Calvados). - Photo d’illustration Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:25 Lecture zen Le long feuilleton judiciaire du projet Centrakor à Falaise vient de s’achever. Le Conseil d’État a rejeté, les 14 octobre et 4 novembre 2025, les deux pourvois déposés par Patrick Machard, dirigeant des enseignes Sport 2000 et Bricomarché, contre l’arrêt rendu en février dernier par la Cour administrative de Nantes, précise le média Les Nouvelles de Falaise.Le feu vert définitif pour le magasin CentrakorCes décisions confirment la légalité du permis de construire délivré en juin 2023 par le maire Hervé Maunoury, autorisant la création du magasin dans la zone commerciale Expansia. « Je regrette le temps perdu dans ce dossier, mais il faut désormais faire de cette implantation une chance pour Falaise et sa zone de chalandise », souligne le maire.La Communauté de communes du Pays de Falaise salue également la fin du contentieux. « Tous les recours sont terminés ! Après huit années d’efforts, le projet peut enfin aboutir », se réjouit Clara Dewaële, vice-présidente chargée du développement économique. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Caen (Calvados) Falaise : le Conseil d’État valide définitivement le projet Centrakor Après huit années de procédures, le Conseil d’État a rejeté les derniers pourvois déposés contre le projet Centrakor à Falaise (Calvados). L’enseigne d’équipement et de décoration peut désormais s’implanter dans la zone Expansia.

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« Pas que des milliardaires » : à Rouen, les retraités dénoncent un « acharnement » du gouvernement

Les retraités rouennais manifestent pour dénoncer l’acharnement du gouvernement sur le Budget 2026. - Paris-Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 17:29 Lecture zen Jeudi 6 novembre 2025, les retraités, ainsi que les associations et les syndicats, étaient appelés à se mobiliser pour lutter contre les projets du budget 2026 et de la Sécurité Sociale qui laissent, selon eux « un grand sentiment d’incertitude ». À Rouen, environ 200 personnes se sont réunies place du Théâtre des Arts, avant de se déplacer vers la préfecture de Rouen pour déposer des pétitions. Consultez l’actualité en vidéo « Un acharnement »Les retraités dénoncent principalement les projets de loi de finance et de budget de la Sécurité sociale. Parmi les mesures contestées, l’abattement fiscal de 10 % qui va passer à un forfait unique de 2000€ et le doublement des franchises médicales. « Je suis retraité depuis le 1er janvier 2025, j’avais placé toutes mes économies dans mon assurance vie et maintenant on va être taxés dessus. Il faut qu’on arrête de se faire taxer comme ça », explique Jérôme Andrieu, un retraité venu manifester. « Quand on voit que le budget veut encore voter des projets qui ne taxent pas que les retraités mais aussi les plus pauvres, on ne peut pas s’en sortir ».«  Je suis ici aujourd’hui car je n’ai pas envie de finir dans la misère (...) Il n’y a pas que des retraités milliardaires. »Ida, Retraité depuis 10 ansCes retraités ressentent un «acharnement constant» de la part du gouvernement : « Je suis ici aujourd’hui car je n’ai pas envie de finir dans la misère, il faut qu’ils comprennent qu’il n’y a pas que des retraités milliardaires », raconte Ida, retraitée depuis 10 ans. Une mobilisation qui est allée de la place du Théâtre des Arts à la préfecture de Rouen. - Paris-Normandie Les récentes déclarations du Premier ministre Sébastien Lecornu – se disant prêt à renoncer au gel des pensions – n’ont pas eu l’air de calmer le jeu : « Les conditions de vie des retraités ne sont pas respectées. Pendant des années les retraites et les pensions avaient été bloquées, elles ont été rattrapées il y a peu », se révolte Annick, retraitée depuis 6 ans. « On peut voir une accumulation des réformes avec l’abattement de 10 %, avec le gel de revalorisation, les mesures budgétaires qui menacent les retraités les plus précaires. C’est inacceptable : de l’argent il y en a ailleurs. » À lire aussi Évreux : les retraités de l’Eure se mobilisent pour plus de justice sociale Par Léna Féron Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rouen (Seine-Maritime) « Pas que des milliardaires » : à Rouen, les retraités dénoncent un « acharnement » du gouvernement Environ 200 retraités rouennais sont descendus dans les rues, jeudi 6 novembre 2025, pour manifester contre les projets de budget 2026 et de la Sécurité Sociale. Ils dénoncent un « acharnement » de la part du gouvernement.

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Travaux sur la RD 982 : circulation alternée jusqu’en décembre à Rives-en-Seine

Piste cyclable, aire de covoiturage et voirie refaite : les travaux se poursuivent sans difficultés, mais la circulation reste perturbée jusqu’à la fin de l’année. - PND Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:23 Lecture zen Le chantier de requalification de la RD 982 à Rives-en-Seine, entre Caudebec-en-Caux et Saint-Wandrille-Rançon se poursuit sans difficultés. Depuis plusieurs mois, la création d’une piste cyclable sécurisée et ses aménagements sont en cours sur la traversée de Rives-en-Seine, afin de relier les tronçons existants et de réduire la circulation sur la RD 982. À lire aussi VIDÉO. Déviations, ralentissements… À Rives-en-Seine, la RD 982 en travaux pour onze mois Stationnements, aire de covoiturage et piste cyclableLes feux tricolores de chantier ont donc fait leur retour quelques jours avant les vacances de la Toussaint. Actuellement, le Département de la Seine-Maritime aménage la future aire de covoiturage, et le chantier de réfection de la voirie a également démarré.De nouveaux stationnements, recouverts de pavés et de graviers perméables, verront bientôt le jour. Une place sera équipée d’une borne de recharge électrique, et un espace réservé aux vélos sera aménagé.Jusqu’au mois de décembre, la circulation sera alternée pour permettre aux engins de créer la nouvelle piste cyclable et de refaire toute la route entre l’aire de covoiturage et le giratoire de Révima. Certaines périodes seront moins contraignantes pour les usagers, avec la remise en circulation des deux voies, tandis que des fermetures ponctuelles interviendront en fin de travaux pour la pose des enrobés. Le suivi de l’avancée du chantier sera annoncé au fur et à mesure. À lire aussi À Rives-en-Seine, les expositions sur Léopoldine font exploser la fréquentation du musée Victor-Hugo Rappelons que ce chantier, qui se poursuivra au premier trimestre 2026 avec notamment la création d’un rond-point au niveau de la rue de l’Oiseau-Bleu, est financé par le Département (2 582 000 €), la commune de Rives-en-Seine (410 000 €), Caux Seine agglo (225 000 €) et France Nation Verte (18 000 €), avec une participation financière du Syndicat départemental d’énergie 76. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Rives-en-Seine (Seine-Maritime) Travaux sur la RD 982 : circulation alternée jusqu’en décembre à Rives-en-Seine Le chantier de requalification de la RD 982, entre les communes déléguées de Caudebec-en-Caux et Saint-Wandrille-Rançon, entre dans une nouvelle phase.

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L’offre de soins en Caux Vallée de Seine sous pression

Mis en ligne le 6/11/2025 à 16:37 Lecture zen La mise en redressement judiciaire de la Clinique Tous Vents intervient dans un contexte local déjà fragilisé, mais où les acteurs de santé et les élus multiplient les initiatives pour maintenir une offre de soins de proximité.Depuis plusieurs mois, le centre hospitalier intercommunal Caux Vallée de Seine (CHICVS) doit composer avec des fermetures ponctuelles, mais répétées, de son service des urgences, faute de médecins. Mais pour désengorger les urgences et de répondre à la pénurie médicale dans le secteur, le CHICVS accueille, depuis janvier 2025, des consultations de SOS Médecins au sein même de ses locaux.Dans la continuité, la Maison de santé intercommunale, ouverte début octobre, devait incarner un nouveau souffle. Mais un seul médecin généraliste, sur les huit espérés, y exerce actuellement. Néanmoins, la structure héberge déjà plusieurs professionnels de santé et paramédicaux.« On développe aussi le Médicaux’bus, nous allons à la rencontre des internes et on travaille avec des médecins retraités pour voir s’ils peuvent venir en renfort… On cherche des solutions ! », assurait Virginie Lutrot, vice-présidente de Caux Seine agglo, lors de l’inauguration de la maison de santé. L’offre de soins en Caux Vallée de Seine sous pression

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Pourquoi mourir coûte encore plus cher en Normandie que dans les autres régions françaises ?

Mourir en Normandie coûte plus cher que dans les autres régions de France. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 15:59 Lecture zen Tout a un prix. Y compris et surtout la mort. Mais concrètement combien cela coûte de « passer l’arme à gauche » et de l’anticiper en finançant ses propres obsèques. Trop cher évidemment. Et plus encore en Normandie. Notre région est effectivement celle où, en France continentale, il est le plus onéreux de financer des funérailles.C’est ce que révèle une étude menée à l’occasion 1er novembre 2025, fête de la Toussaint, par Silver Alliance, un groupement de marques pour le bien-vieillir en partenariat avec Simplifia, fournisseur de solutions logicielles aux pompes funèbres indépendantes. À lire aussi En Normandie, incendies suspects de hangars agricoles : une piste criminelle ? Si en France, donc, ce coût s’élève en moyenne à 4789€, cette somme cache de grandes disparités. Ainsi, mourir dans le grand Ouest coûte plus cher qu’ailleurs. Et particulièrement en Normandie où ce coût moyen s’élève à 5455€. Soit plus qu’en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, la moins chère : 4347€.Le choix entre crémation et inhumation influe bien sur le prix final. Comptez en moyenne 4924€ pour une inhumation, 4528 € pour une crémation.L’effet de la concurrence ?Mais alors pourquoi de tels écarts pouvant être particulièrement mal vécus au moment de traverser cette épreuve ? « D’une région à l’autre, d’un territoire rural ou non, les coûts ne sont pas les mêmes », justifie Kévin Pressaco, directeur commercial chez Simplifia auprès de nos confrères du Parisien. « Il y a une dimension culturelle, cela varie selon les traditions et les infrastructures disponibles, ainsi que le taux de concurrence. Si le cercueil est obligatoire pour tous, des spécificités historiques demeurent. » Le directeur commercial de donner comme exemple l’Alsace où « il n’y a pas de tradition du caveau ».« Plus il y a de pompes funèbres dans une région, plus les prix sont tirés vers le bas », avance pour sa part Benjamin Zimmer, directeur délégué associé de la Silver Alliance. Nos confrères de Ouest-France ont compté 406 pompes funèbres en Normandie, contre 780 en PACA. À lire aussi Doctolib : pourquoi la plateforme a-t-elle été condamnée à 4,6 millions d’euros d’amende ? Une explication qui pourrait tenir la route puisque, selon les statistiques de l’INSEE, on compte 11,4 % de personnes âgées de 75 ans et plus en Normandie. Certes moins qu’en PACA (12,9 %) mais tout de même plus qu’en Pays de la Loire, dans les Hauts-de-France, en Île-de-France ou encore dans le Grand Est. Des régions où « il coûte moins cher de mourir ».Pour autant, les personnes âgées de plus de 75 ans sont plus de deux fois plus nombreuses en PACA qu’en Normandie. La loi de l’offre et de la demande s’applique-t-elle totalement ou les Normands sont-ils victimes d’abus ? Par Christophe FREBOU Pourquoi mourir coûte encore plus cher en Normandie que dans les autres régions françaises ? Selon une enquête publiée par Silver Alliance et Simplifia à l’occasion de la Toussaint 2025, les obsèques en Normandie coûtent plus cher que dans le reste de la France. L’écart peut tout de même atteindre plus de 1000 euros par rapport à certaines régions.

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Près de Mantes-la-Jolie, Normandie et Île-de-France unissent leurs forces pour l’avenir du rail

Au cœur des discussions : la continuité des dessertes TER, l’avenir du projet de ligne Paris-Normandie et le développement du fret ferroviaire. - Photo d’illustration Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:54 Lecture zen Autour de Pierre Bédier, président du Département des Yvelines, et de Patrick Stefanini, conseiller départemental du canton, se sont réunis Hervé Morin, président de la Région Normandie, Florence Portelli, première vice-présidente de la Région Île-de-France, Jean-Baptiste Gastinne, vice-président normand en charge des transports, ainsi que plusieurs maires du Mantois.Des avancées pour la mobilité dans la Vallée de la SeineLes échanges ont permis de confirmer plusieurs engagements essentiels. Première annonce majeure : le maintien des dessertes TER normandes à Mantes-la-Jolie, Bonnières-sur-Seine, Rosny-sur-Seine et Bréval, même après la mise en service du RER E (Eole) à l’horizon 2030. Les deux Régions ont également ouvert la voie à une augmentation de l’offre de trains normands, financée pour la partie francilienne par Île-de-France Mobilités. À lire aussi Ligne nouvelle Paris Normandie : entre les Régions Normandie et Île-de-France, le dialogue est renoué Autre dossier relancé : le projet de Ligne Nouvelle Paris-Normandie (LNPN), qui fera l’objet d’études révisées, avec un tracé repensé et un impact environnemental limité. Enfin, les deux collectivités exigeront de l’État la poursuite d’études sur un contournement fret ferroviaire de l’Île-de-France, inscrit au Contrat de Plan Interrégional État-Région Vallée de la Seine (CPIER). Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Mantes-la-Jolie (Yvelines) Près de Mantes-la-Jolie, Normandie et Île-de-France unissent leurs forces pour l’avenir du rail Mercredi 5 novembre 2025, une réunion de travail interrégionale s’est tenue à Bonnières-sur-Seine (Yvelines) entre les représentants des Régions Normandie et Île-de-France. Au cœur des discussions : la continuité des dessertes TER, l’avenir du projet de ligne Paris-Normandie et le développement du fret ferroviaire.

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Dans le sud de l’Orne, une vaste opération de contrôle routier a eu lieu

Mercredi 5 novembre 2025, les gendarmes de la Compagnie de Domfront-en-Poiraie ont mené une opération de contrôle et de prévention sur les communes de Rives-d’Andaine et Juvigny-Val-d’Andaine. - Photo d’illustration Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 12:36 Lecture zen Entre 14h30 et 16h30, mercredi 5 novembre 2025, 19 militaires issus de toutes les unités de la compagnie Communauté de brigades, brigade de recherches et PSIG ont été déployés sur plusieurs points de contrôle dans le sud de l’Orne vers les communes de Rives-d’Andaine et Juvigny-Val-d’Andaine, rappellent nos confrères du Publicateur Libre.Une centaine de véhicules contrôlésCette opération, menée sous réquisition du Procureur de la République d’Argentan, avait pour objectif principal de prévenir et sanctionner les vols par effraction, que ce soit dans les habitations ou dans les locaux professionnels.Durant ces deux heures, une centaine de véhicules ont été contrôlés et visités, permettant aux forces de l’ordre d’assurer une présence dissuasive sur le territoire et de renforcer la sécurité des habitants. La Compagnie de Domfront-en-Poiraie rappelle que ces opérations ciblées sur la délinquance contre les biens sont renouvelées régulièrement afin de protéger les communes rurales et d’augmenter la vigilance citoyenne. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Argentan (Orne) Dans le sud de l’Orne, une vaste opération de contrôle routier a eu lieu Mercredi 5 novembre 2025, les gendarmes de la Compagnie de Domfront-en-Poiraie ont mené une opération de contrôle et de prévention sur les communes de Rives-d’Andaine et Juvigny-Val-d’Andaine (Orne).

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Pays de Bray : 1 500 coureurs attendus à la tombée de la nuit à Forges-les-Eaux

En 2024, 900 personnes avaient participé à la première édition du trail nocturne des lacs du bois de l’Épinay à Forges-les-Eaux. - Photo SDIS76 Mis en ligne le 6/11/2025 à 13:02 Lecture zen Samedi 8 novembre 2025, à la nuit tombée, les lacs de l’Andelle et de pêche à Forges-les-Eaux vont se parer de lumière. Pas de spectacle pyrotechnique prévu, mais 200 flambeaux et surtout les lampes frontales des 1 500 participants du trail nocturne des lacs du bois de l’Épinay.C’est la deuxième année que les jeunes sapeurs pompiers (JSP) de Forges organisent cet événement. En 2024, ils avaient déjà réussi à attirer 900 coureurs et marcheurs. Pour 2025, la jauge maximale de 1 500 a été atteinte 15 jours avant la course. À lire aussi « Ils travaillaient dans la boue jusqu’au nombril » : la création du lac de l’Andelle à Forges-les-Eaux « On court pour la bonne cause » « C’est énorme, reconnait Steve Richard, l’un des organisateurs et professeur d’EPS au collège forgion. Il y a un gros engouement pour la course à pied en général. Notre force, c’est que ça se passe à Forges-les-Eaux, avec le site super du bois de l’Epinay. En nocturne en plus, ça permet de le découvrir autrement. Et on court pour la bonne cause, pour les JSP. C’est très fédérateur. » À lire aussi La nouvelle piscine booste les chiffres du camping de la Minière à Forges-les-Eaux 45 jeunes pompiers de 13 à 17 ans seront évidemment de la partie pour encadrer les courses. « Ils ont l’habitude, ils le font toute l’année pour l’UNSS et ils sont tous formés au PSC 1 » (premiers secours). Trois parcours sont au programme : deux trails de 21 et 10 km et une randonnée de 8 km. « Il y a un côté aventure dans cette randonnée, en nocturne, mais bien encadré, qui attire les familles. » Les premiers départs seront donnés à 17 h 45, les premières arrivées sont prévues à partir de 19 h 30. Un groupe de musique local, NMS, donnera un concert sur une scène installée pour l’occasion au village départ, au bois de l’Épinay, sans oublier buvette et restauration. « C’est un événement sportif et festif ! » Par Anne BOUCHET Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Running Forges-les-Eaux (Seine-Maritime) Pays de Bray : 1 500 coureurs attendus à la tombée de la nuit à Forges-les-Eaux La deuxième édition du trail nocturne des lacs du bois de l’Épinay à Forges-les-Eaux attend 1 500 participants samedi 8 novembre 2025. Un événement organisé par les jeunes sapeurs pompiers.

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Broyeurs de végétaux : l’Agglo donne un coup de pouce

Mis en ligne le 6/11/2025 à 13:04 Lecture zen Dans le cadre de sa politique de réduction de déchets, l’Agglo Fécamp Caux Littoral vient de mettre en place une aide à l’acquisition de broyeurs de végétaux destinée aux habitants. Le broyage vise « à favoriser la valorisation des déchets verts à domicile et à encourager le paillage ou le compostage directement dans les parcelles », présente l’Agglo. « En 2024, les déchetteries de l’Agglomération ont réceptionné plus de 13000 tonnes de déchets verts, représentant un coût de traitement de près de 500 000 € pour la collectivité. » Pour bénéficier de l’aide, l’appareil doit avoir été acquis à compter du 2 octobre 2025, être neuf ou reconditionné mais d’une valeur minimale de 150€ TTC, avoir une puissance minimale de 2000 W. L’Agglo couvre jusqu’à 50 % du prix d’acquisition, dans la limite de 200€ versés. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Fécamp (Seine-Maritime) Broyeurs de végétaux : l’Agglo donne un coup de pouce

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À Envermeu, le lycée du Bois veut sauver sa formation Technicien scierie

L’atelier scierie est très bien équipé. - Photo Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 13:05 Lecture zen Quel avenir pour le bac professionnel Technicien scierie au lycée du Bois d’Envermeu ? Il serait en effet menacé dans le cadre de la préparation de la future carte régionale des formations. Unique dans le quart nord-ouest de la France, cet enseignement spécialisé dans le sciage du bois ne compte plus aujourd’hui que six élèves, dont trois en apprentissage. Le lycée du Bois propose trois options. - Photo Paris Normandie « La filière est fragilisée à cause de son faible recrutement et de l’annonce de la fermeture en septembre prochain de la seconde Pilotage des machines industrielles automatisées qui permettait de suivre la filière Scierie, explique Francis Deboeuf, enseignant, mais dont la consonance industrielle n’attirait pas les élèves. Les deux autres secondes Construction bois et Forêt n’ont, elles, pas de mal à recruter. »Plus d’un tiers de nos salariés viennent du lycée du Bois.Romain Cuffel, Entreprise LefebvreLa solution serait de rouvrir la seconde indéterminée Métiers du bois, qui regroupait jusqu’en 2018 les trois options. « Elle permettait aux jeunes de découvrir les trois métiers du bois, dont celui de scieur, avant de se spécialiser en fin de seconde ou en première. » L’enseignant rappelle également que les élèves trouvent très facilement un emploi à la sortie de leur formation scierie » et peuvent évoluer dans leur métier. À lire aussi À Dieppe, des jeunes troquent le CV pour la scène dans un job dating pas comme les autres Les professionnels estiment, de leur côté, que les besoins en main-d’œuvre dans les scieries resteront importants dans les années à venir. Le secteur normand du bois compte actuellement environ 60 scieries et près de 400 entreprises forestières. Le lycée accueille 210 élèves. - Photo Paris Normandie Pour Sébastien Jumel, président de l’Agglo Dieppe-Maritime, « ce lycée est né pour répondre aux besoins de cette formation professionnelle. Il est sans équivalent dans le nord de la France et implanté dans une région aux massifs forestiers étendus. Nous ne voulons pas le voir disparaître, car il répond à un besoin économique bien réel ».L’importance du maintien de cette formation est partagée par l’entreprise Lefebvre des Grandes-Ventes. « Plus d’un tiers de nos salariés viennent du lycée du Bois, souligne Romain Cuffel, représentant de la scierie. Nous allons ouvrir une troisième ligne de sciage, avec une dizaine d’emplois à la clé. Nous avons besoin de jeunes bien formés pour accompagner notre développement. » Par Sylvie Macquet Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Envermeu (Seine-Maritime) À Envermeu, le lycée du Bois veut sauver sa formation Technicien scierie Le lycée du Bois d’Envermeu pourrait-il perdre sa filière emblématique ? Le bac professionnel Technicien scierie est aujourd’hui fragilisé par un faible recrutement et une réorganisation régionale des formations.

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Esteban Ocon, monseigneur de Cagny : les indiscrétions de la semaine dans l’Eure

Esteban Ocon, le pilote de F1 natif d’Évreux, fait la Une du magazine Forbes. - Photo Haas F1 team Mis en ligne le 6/11/2025 à 12:12 Lecture zen … de tomber sur la Une du magazine Forbes de l’automne 2025. C’est Esteban Ocon, le pilote de F1 né à Évreux et qui a grandi à Huest, tout de noir vêtu qui a les honneurs de la photo centrale. La publication a tenu à mettre en avant son abnégation et ses performances alors que son milieu familial ne le destinait pas à devenir l’un des 20 pilotes de F1 appelés à disputer des Grands Prix. Consultez l’actualité en vidéo … de se dire qu’Esteban Ocon aimait toujours se ressourcer dans l’Eure. Entre le Grand Prix du Mexique (où il a pris la neuvième place) et le Grand Prix du Brésil qu’il disputera dimanche 9 novembre 2025, il s’est offert une séance running avec Nicolas Autret, un ami proche de la famille. Esteban Ocon fait la Une du Forbes automne 2025. - Capture d’écran … de voir que la commune des Trois Lacs ne manquait pas d’idées. Après la création de la réserve communale qui a montré tout son intérêt après le passage de la tempête Benjamin, il est possible de visiter les cimetières de la commune nouvelle virtuellement. « Avec les deux jardins du souvenir, les cinq cimetières sont désormais connectés », annonce fièrement la commune. Depuis le site Internet de la mairie (ou le lien : https://colorgasoft.com/ColorLINK?ParamLinK=$27W9 ! eZ ! h3L), vous pouvez retrouver l’emplacement de la sépulture d’un proche et la voir en photo. Les cinq cimetières de la commune nouvelle des Trois-Lacs sont connectés. - Capture d’écran … d’apprendre que l’épicerie Milky, située du rue Docteur-Oursel à Évreux, et en proie à des vols réguliers, avait été placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce d’Évreux. La date de cessation des paiements a été fixée au 2 avril 2024. À lire aussi Alain Ducasse, Arkema, Bouge ton coq : les indiscrétions de la semaine dans l’Eure … d’être informé que l’émission La vie des diocèses de la chaîne KTO avait reçu lundi 3 novembre 2025 monseigneur Olivier de Cagny, évêque d’Évreux depuis 2023, pour parler de l’actualité et des enjeux de l’Église catholique dans l’Eure. Un reportage à l’Espace Charles de Foucauld, dans le quartier de La Madeleine à Évreux, a également été diffusé. L’émission sera rediffusée jeudi 6 novembre à 17 heures, samedi 8 novembre à 12 h 20 et dimanche 9 novembre à 11 h 30. Monseigneur de Cagny, l’évêque d’Évreux, était l’invité de l’émission La vie des diocèses diffusée sur KTO lundi 3 novembre 2025. - Photo archives Boris Maslard Quand François Ouzilleau imite Oasis… de saluer l’initiative de la mairie de Château-sur-Epte qui propose de faire des commandes groupées. Il ne s’agit pas de fuel, de bois de chauffage ou de pellets mais de… poulets fermiers de premier choix ou d’œufs plein air. Les habitants ont jusqu’au 10 novembre 2025 pour se faire connaître. À lire aussi Lecornu, Rock in Évreux, Jean Messiha : les indiscrétions de la semaine dans l’Eure … d’apprécier le style de François Ouzilleau, maire de Vernon, au cours d’une soirée réservée aux agents de la Ville et de l’agglomération SNA sur le thème « clash des générations », des années 1960 à 2020. Fidèle à son amour du rock, l’élu a en effet décidé d’arborer son plus beau bob, avec écharpe assortie et lunettes de soleil, en hommage au légendaire groupe Oasis. François Ouzilleau a fait honneur au thème « clash des générations ». - Photo Linkedin François Ouzilleau … de noter que le 21ᵉ Festival international du film d’éducation se tiendra du 2 au 6 décembre 2025 à Évreux. Au programme : plus de 100 films, dont des fictions, documentaires et animations, ainsi que des conférences sur biodiversité, IA et cinéma, et santé mentale des jeunes.… de sourire lors de la présentation du nouveau parcours lumineux du Domaine d’Harcourt, Arbora Lumina. Alors que la présentation touchait à sa fin, le moment du tirage au sort du golden ticket offrant un an d’entrée gratuite est venu. Alexandre Rassaërt, le président du Département de l’Eure, a dû faire quatre tirages au sort pour trouver l’heureux gagnant. Les trois premiers fauteuils, dans une salle du Pathé d’Évreux pourtant presque complète, étant inoccupés. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Huest (Eure) Eure Évreux (Eure) Harcourt (Eure) Esteban Ocon Esteban Ocon, monseigneur de Cagny : les indiscrétions de la semaine dans l’Eure Esteban Ocon à la Une de Forbes, monseigneur de Cagny sur KTO : ce sont les indiscrétions du jeudi 6 novembre 2025, à retrouver dans notre rubrique Ça nous est arrivé.

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Au Tréport, les bénévoles s’activent pour préparer la Harengade 2025 et régaler les visiteurs

Une vingtaine de bénévoles s’attellent à la tâche - Photo Mathis Helie Mis en ligne le 6/11/2025 à 12:17 Lecture zen Une organisation minutieuse. Cinq jours avant le lancement de la Harengade du Tréport, du samedi 8 au dimanche 9 novembre, les bénévoles étaient déjà réquisitionnés mardi 4 novembre 2025 pour préparer les harengs. Une vingtaine de bénévoles s’attellent à la tâche - Photo Mathis Helie « Aujourd’hui, on prépare uniquement ceux pour la marinade. Les autres, ceux qui seront grillés, arriveront samedi matin », nous explique Jean-Pierre Boimare, président du Tréport festif, organisatrice de l’événement. Première étape pour la vingtaine de bénévoles présents sur place : « couper la tête et enlever les breuilles des 400 kg de poisson du jour », indique Matthieu Vallée, secrétaire de l’association. Première étape : couper la tête - Photo Mathis Helie Une fois fait, c’est au tour de Patrice et Jean-Pierre de prendre le relais. Leur objectif ? Laver les harengs « en enlevant, à l’aide de l’eau, le plus d’écailles et de sang possible ». Sinon, « la marinade aura un drôle de goût », glisse avec humour Jean-Pierre entre deux nettoyages. L’objectif de Patrice et Jean-Pierre ? Laver les harengs - Photo Mathis Helie On voit du monde, on discute, c’est fait dans la bonne ambiance.Maryse, BénévoleDe l’autre côté, Maryse et d’autres bénévoles préparent les légumes utilisés pour la marinade. « Ce que j’aime dans toute cette préparation, c’est le côté convivial. On voit du monde, on discute, c’est fait dans la bonne ambiance », explique celle qui sera au débarassage des tables samedi et dimanche « même si tout le monde est polyvalent ».Ensuite, dès que les harengs sont prêts, ils sont placés dans un plat. Avant d’être recouvert de carottes, de citrons, de thym, et autres condiments. Puis d’être imbibés dans du vinaigre. Le tout est, alors, cuit pendant 20 minutes. Une fois enlevés du feu, les bénévoles laissent le vinaigre mariner pendant 5 jours : « le temps idéal pour une bonne marinade » servit dans les assiettes des 500 personnes prévues par repas.Les harengs arrivent au dernier momentPour cette nouvelle édition, pas de panique comme l’année dernière où les harengs étaient arrivés au dernier moment, à cause du dérèglement climatique. Ce qui avait provoqué des mers trop chaudes pour ce poisson. « La tempête a peut-être fait du bien cette année », indique une bénévole sans réelle certitude. Des carottes et des citrons sont également présents dans la marinade - Photo Mathis Helie Tout comme du thym - Photo Mathis Helie À lire aussi Au Tréport, quand les jeunes footballeurs découvrent le rôle crucial des arbitres Mais c’est surtout grâce à l’anticipation de l’association que les harengs ont pu être prêts à temps : « cette année, on a pris les poissons du jour à Dieppe. Au moins, avec leurs gros bateaux on sait que si on commande 5 tonnes, on aura 5 tonnes, parce qu’ils vont pêcher plus loin qu’au Tréport », indique Jean-Pierre Boimare. L’association fait quand même vivre les pêcheurs locaux, avec la livraison de plus de 500 kg de poisson samedi matin.De quoi aborder plus sereinement la fête du week-end, où de nombreuses animations sont prévues au sein de la salle Reggiani comme la présence d’un DJ samedi soir.La vente à emporter est disponible dès 10h30 samedi et dimanche. Quant aux portes, elles seront ouvertes à partir de 11h et jusqu’à environ 15h. Avant de rouvrir pour la soirée à partir de 18h. L’entrée est libre. Il faut compter 15€ pour un repas, comprenant deux harengs, des frites, un fromage et un dessert. Un menu enfant est disponible. Les bénévoles sont les bienvenus. Par Mathis Helie Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Le Tréport (Seine-Maritime) Seine-Maritime Au Tréport, les bénévoles s’activent pour préparer la Harengade 2025 et régaler les visiteurs Avant la Harengade du Tréport, les bénévoles s’affairent déjà à la préparation des harengs. Mais qu’est-ce qui rend cette organisation si minutieuse et essentielle au succès de la fête ?

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Fermeture du golf de la côte d’Albâtre : création d’un groupe de travail en vue d’une potentielle vente

Un groupe de travail a été créé au sein de la communauté de communes de la côte d’Albâtre afin de suivre le processus de vente du golf. - Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 12:21 Lecture zen À l’issue du dernier conseil communautaire de la côte d’Albâtre, en date du 1er octobre 2025, les élus de la communauté de communes ont entériné le report de la date butoir pour les potentiels repreneurs du golf Normandie Côte d’Albâtre. Un complexe sportif fermé depuis le 31 mai suite à des résultats financiers défavorables : « À la demande de certains potentiels investisseurs, on avait fixé au 30 septembre la remise des offres. Dans la mesure où au mois d’août, quelquefois, il ne se passe pas grand-chose et à la demande d’un certain nombre d’investisseurs, on a reporté la date de remise des offres au 20 octobre. », exprimait Jérôme Lheureux, président de la communauté de communes de la Côte d’Albâtre.Par le biais d’une lettre recommandée, l’élu précise qu’« il convient désormais d’attendre la date de remise des offres pour voir si ces contacts se concrétisent et sous quelle forme ». À lire aussi Fermeture du golf de la côte d’Albâtre : où en est-on dans le processus de vente ? Création d’un groupe de travailSi le nombre d’offres reçues par la collectivité ne nous a pas été communiqué, la communauté de communes de la côte d’Albâtre se structure en interne afin d’envisager une potentielle vente. Ainsi, un groupe de travail composé de dix membres s’est officiellement constitué ce lundi 3 novembre 2025 : « Considérant la volonté du président (NDLR : Jérôme Lheureux) de créer un groupe de travail intitulé « Golf Normandie Côte d’Albâtre : Horizon 2030 » chargé notamment de suivre l’analyse des offres, les négociations avec les investisseurs, de formuler un avis sur le(s) dossier(s) à retenir pour arbitrage du Conseil Communautaire, le développement du site pour répondre aux besoins du territoire. » À lire aussi On a testé pour vous, une initiation au golf de la côte d’Albâtre avant sa fermeture définitive Le site de 103 hectares ne pourra pas être vendu avant 2030, le temps d’établir un plan local d’urbanisme. Pour rappel, la création du golf a nécessité l’investissement de 11,58 M€ TTC. Une « subvention exceptionnelle » de 257 590 € a été votée le 25 juin 2025, par la collectivité, afin de le maintenir en bon état de marche avant sa potentielle cession. Par Brice Recotillon Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Saint-Riquier-ès-Plains (Seine-Maritime) Fermeture du golf de la côte d’Albâtre : création d’un groupe de travail en vue d’une potentielle vente Alors que les acheteurs potentiels du golf Normandie Côte d’Albâtre avaient jusqu’au 20 octobre 2025 pour finaliser leur offre, la communauté de communes éponyme vient de créer un groupe de travail en vue d’une potentielle vente. L’horizon 2030 est mentionné.

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Municipales 2026 : le maire de Jussy se représentera… sur la liste de son premier adjoint

À bientôt 80 ans, Jean-Marie Gondry veut prendre du temps pour sa famille. Mis en ligne le 6/11/2025 à 10:41 Lecture zen Très investi pendant ses deux mandats de maire à Jussy, Jean-Marie Gondry n’a pas compté ses heures pendant douze ans. « Il est temps de penser à soi et surtout à mon couple. Mon épouse Sylviane veut me voir plus souvent. De plus, je vais avoir 80 ans, je ne vais pas redémarrer un mandat de maire à cet âge. »Une décision annoncée depuis longtemps au conseil municipal. Passionné, l’élu sera tout de même présent sur la liste de son premier adjoint Pascal Petit, qui est à ses côtés depuis 2014. « Je serai là pour soutenir cette liste, leur apporter mon appui. » Jean-Marie Gondry ne briguera même pas un poste d’adjoint. « Je me connais, si je m’y mets je ne pourrais pas faire les choses à moitié. »Une liste déjà prêteLe boulot, comme il nomme son travail à la mairie, « n’est pas inintéressant ». Une expression empreinte de modestie pour celui qui a à son actif une impressionnante liste de travaux depuis ses débuts. De la transformation de la mairie justement, à la réfection de l’église, en passant par son investissement pour que l’usine Mondelez reste dans la commune après l’incendie de 2020. « J’ai essayé de faire le maximum de choses pour les habitants. »Mais comme dans une commune le travail est permanent, son adjoint a déjà de nombreux projets à finaliser. Sa liste est prête. « Ça ne m’a pas apporté le moindre souci, elle est basée sur 50 % des élus actuels », indique Pascal Petit. À lire aussi L’importance des subventions mise en lumière à Jussy Comme en 2020, une liste d’opposition pourrait être sur la ligne de départ. « L’essentiel, c’est qu’elle soit dirigée par une personne qui n’a rien à se reprocher », conclut Jean-Marie Gondry. Rien n’est officiel mais il affûte déjà ses arguments pour la future campagne. Par Sylvain Duquenne (CLP) Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Municipales Aisne Jussy (Aisne) Municipales 2026 : le maire de Jussy se représentera… sur la liste de son premier adjoint Après deux mandats, Jean-Marie Gondry a annoncé qu’il ne se représenterait pas lors des élections municipales de 2026. En tout cas, pas comme maire. En revanche, il sera présent sur la liste de son premier adjoint, Pascal Petit.

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Près d’Alençon, une exposition pour comprendre l’histoire des fake news

La médiathèque de la Vallée du Sarthon, à Saint-Denis-sur-Sarthon (Orne), accueille jusqu’au 19 décembre 2025 l’exposition « Histoires de fausses nouvelles ». - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 10:58 Lecture zen Proposée par le réseau des médiathèques de la Communauté urbaine d’Alençon, en partenariat avec la médiathèque départementale de l’Orne, cette exposition revient sur l’évolution des fausses nouvelles, des rumeurs antiques aux infox numériques. Elle montre comment la désinformation, le mensonge et la propagande ont toujours accompagné l’histoire humaine, avant d’être amplifiés par Internet et les réseaux sociaux, explique l’Orne hebdo.Des siècles de fausses nouvellesÀ travers des affiches pédagogiques, le Clemi (Centre pour l’éducation aux médias et à l’information) et la BnF offrent des outils concrets pour apprendre à identifier les sources, trier l’information et développer un esprit critique. L’objectif : donner à chaque visiteur les clés pour devenir un citoyen éclairé, capable d’exercer un doute méthodique face à la surabondance d’informations.Depuis sa création en 1983, le Clemi forme enseignants et élèves à la lecture critique des médias. Avec cette exposition, il poursuit sa mission d’éducation à l’information, essentielle pour préserver le débat démocratique à l’ère du numérique. À Saint-Denis-sur-Sarthon, « Histoires de fausses nouvelles » invite chacun à questionner ses sources et à redécouvrir que la fake news n’est pas née d’hier. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Alençon (Orne) Près d’Alençon, une exposition pour comprendre l’histoire des fake news La médiathèque de la Vallée du Sarthon, à Saint-Denis-sur-Sarthon (Orne), accueille jusqu’au 19 décembre 2025 l’exposition « Histoires de fausses nouvelles », conçue par le Clemi et la Bibliothèque nationale de France.

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Dans le sud de l’Orne, un marché de Noël solidaire se prépare

La résidence Neyret, à Ceton (Orne), organise samedi 15 novembre 2025 son deuxième marché de Noël. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 09:46 Lecture zen Installée dans les anciens ateliers de la manufacture de gants Neyret, la résidence Neyret, Ehpad et pôle d’activités et de soins adaptés, se transformera le temps d’une journée en véritable village de Noël. Une quinzaine de stands animés par des artisans locaux et créateurs proposeront décorations, confitures, miel, bonbons, crochet et idées cadeaux. Une buvette gourmande offrira crêpes et gâteaux maison pour prolonger la convivialité, précise Le Perche.Un moment festif et intergénérationnelMais au-delà de l’ambiance, c’est avant tout la solidarité qui sera au cœur de cette manifestation. Les bénéfices seront reversés à « Ensemble pour Océane », association qui soutient une jeune habitante de Saint-Cosme-en-Vairais atteinte d’une maladie rare. Les résidents eux-mêmes participent activement : fabrication d’objets artisanaux, couture, décorations… une manière de se sentir utiles et solidaires.« Les personnes âgées sont très sensibles à la souffrance des autres », souligne Marion, animatrice à la résidence. L’histoire d’Océane les a profondément touchés. Les exposants locaux contribueront eux aussi à la collecte en reversant une partie de leurs ventes. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Alençon (Orne) Dans le sud de l’Orne, un marché de Noël solidaire se prépare La résidence Neyret, à Ceton (Orne), organise samedi 15 novembre 2025 son deuxième marché de Noël. L’événement, à la fois festif et solidaire, soutiendra l’association « Ensemble pour Océane », qui vient en aide à une jeune fille atteinte de dystrophie musculaire congénitale.

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Près de Cherbourg, un centre de santé ouvrira au printemps 2026 pour renforcer l’accès aux soins

Le centre de santé communautaire de Saint-Pierre-Église (Manche) ouvrira ses portes au printemps 2026 dans les locaux de la Maison du Cotentin. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 10:03 Lecture zen Mercredi 5 novembre 2025, les élus du Val de Saire ont visité le chantier du futur centre de santé, en présence de Christèle Castelein, présidente de l’Agglomération du Cotentin, et de Jacques Coquelin, vice-président en charge des politiques de santé. L’objectif de ce projet : faciliter l’accès aux soins pour les habitants d’un territoire où la démographie médicale est en tension, explique La Presse de la Manche.Un maillon essentiel du maillage territorialLe centre de Saint-Pierre-Église viendra compléter le réseau de structures publiques de santé déjà déployé par l’Agglo, après le centre Brès-Croizat à Cherbourg-en-Cotentin et le futur pôle du Quesnay à Valognes. Les médecins y seront salariés de la collectivité, un modèle qui vise à attirer de nouveaux praticiens tout en garantissant un suivi régulier aux habitants dépourvus de médecin traitant.À terme, des consultations spécialisées (cardiologie, gynécologie, ophtalmologie ou diabétologie) pourraient s’y ajouter. Pour Christèle Castelein, cette politique volontariste porte ses fruits : « Nous commençons à inverser la tendance en matière d’accès aux soins. » Grâce à cette nouvelle structure, le Val de Saire bénéficiera d’une offre de soins de proximité renforcée Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Cherbourg-en-Cotentin (Manche) Près de Cherbourg, un centre de santé ouvrira au printemps 2026 pour renforcer l’accès aux soins Le centre de santé communautaire de Saint-Pierre-Église (Manche) ouvrira ses portes au printemps 2026 dans les locaux de la Maison du Cotentin. Ce nouvel équipement porté par l’Agglomération du Cotentin proposera des consultations de médecine générale.

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Dans cette commune de l’Eure, le conseil municipal n’a encore pas pu se tenir, faute de quorum

Le quorum n'était pas réuni ce 4 novembre à Mesnil-en-Ouche Mis en ligne le 6/11/2025 à 09:30 Lecture zen L'ordre du jour du conseil municipal de Mesnil-en-Ouche, mardi 4 novembre 2025, était dense. A-t-il découragé les élus ? Ou faut-il chercher les causes de leur désertion du côté des problématiques soulevées dans un précédent article : durée des séances, modes de gouvernance, rôle des maires-délégués ? Enfin, les frimas de l'automne peuvent-ils être invoqués ? Consultez l’actualité en vidéo Toujours est-il que la réunion n'a pas pu se tenir, en raison de l'absence de quorum, et malgré l'importance des sujets à l'ordre du jour ; en particulier la revitalisation des centres-bourgs À lire aussi Près de Bernay, l’absence répétée d’élus au conseil municipal pose de sérieuses difficultés ! .Les conseillers seront à nouveau convoqués dans les tous prochains jours. La réunion a permis quoi qu'il en soit à France Poulain, architecte des Bâtiments de France et cheffe de l'Unité Départementale de l'Architecture et du Patrimoine, et à Frédéric Épaud, directeur de recherche au CNRS et sauveteur de l'église de Pierre-Ronde, d'évoquer la possibilité d'une inscription de l'édifice au titre des Monuments Historiques. La délibération sur le sujet sera à l'ordre du jour lors de la séance de rattrapage... Dans cette commune de l’Eure, le conseil municipal n’a encore pas pu se tenir, faute de quorum Le conseil municipal de Mesnil-en-Ouche n'a pu se tenir ce 4 novembre, faute de réunir le quorum. Une situation qui se présente assez souvent…

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Harcèlement scolaire en Normandie : « Le nombre de faits ne réduit pas, mais le personnel est mieux formé »

Chaque premier jeudi de novembre a lieu la journée de lutte contre le harcèlement à l’école. - Freepik Chaque premier jeudi de novembre a lieu la journée de lutte contre le harcèlement à l’école. - Archive Paris Normandie / BORIS MASLARD Mis en ligne le 6/11/2025 à 08:32 Lecture zen Selon l’étude du ministère de la Justice et de l’Éducation nationale, il y a eu 530 signalements pour harcèlement scolaire enregistrés par les parquets en 2022, 3 500 en 2023 et 6 100 en 2024. Qu’en est-il en Normandie ? Et comment expliquer cette hausse ?Michaël Merlin, référent harcèlement pour l’académie de Normandie : « Nous ne diffusons pas de chiffres régionaux. Il y a eu une importante augmentation entre 2022 et 2023 [280 signalements sur l’année 2022 dans la région, NDLR], liée au travail mené pour développer la formation et la prise en charge des situations, qui sont donc de plus en plus connues. Depuis, nous sommes sur une ligne constante. Nous restons sur un chiffre très important de traitement de situations sur l’année 2024-2025. Le programme Phare est bien implanté dans les établissements. Les remontées d’informations sont donc beaucoup plus fluides et rapides. »Qu’est-ce que le programme Phare ?« Il s’agit du dispositif national de lutte contre le harcèlement à l’école. C’est un plan global de prévention et de traitement des situations de harcèlement – donc de faits répétés – qui existe depuis quatre ans. Aujourd’hui, toutes les écoles (à partir du CP), collèges et lycées sont concernés. Du personnel a été formé pour pouvoir prendre en charge et détecter les situations. Le nombre de faits ne réduit pas, parce qu’il y en a toujours, malheureusement, beaucoup, mais nous avons des personnels de mieux en mieux formés. »Des « copains vigilants »Comment les élèves sont-ils associés à ce dispositif ?« Dans les collèges et lycées, il y a ce que l’on appelle les ‘‘élèves ambassadeurs’‘. Et dans le premier degré, certains directeurs d’école ont mis en place soit des ambassadeurs également, soit des ‘‘copains vigilants’‘. L’idée étant que les élèves travaillent autour de la prévention, fassent des campagnes de sensibilisation, participent à la Journée de lutte contre le harcèlement. On développe ces ambassadeurs pour aider au repérage et à la prise en charge. On ne demande évidemment pas aux jeunes de gérer les situations, mais d’accompagner les élèves victimes. Nous avons aussi mis en place un concours annuel sur la lutte contre le harcèlement, au niveau national et académique. » À lire aussi Harcèlement scolaire : trois conseils pour réagir si votre enfant est concerné Y a-t-il d’autres postes que le vôtre dédié au harcèlement au sein de l’académie ?« Je suis le référent académique pour le pilotage sur la question du harcèlement. Autour de moi, il y a des responsables académiques. Des personnes, à temps plein, qui suivent en permanence les situations, répondent aux questions, etc. Et dans chaque département, nous avons également des référents départementaux qui accompagnent les chefs d’établissement, les directeurs d’école, répondent aux questions des familles, aident à la gestion des cas les plus complexes. »Estimez-vous que ce maillage est suffisant ?« Nous avons un système qui fonctionne bien. Même si nous sommes toujours très prudents, car certaines situations sont extrêmement difficiles. Nous avons suffisamment de moyens pour pouvoir couvrir la totalité du territoire de l’académie. Nos processus sont bien identifiés, opérationnels. À partir du moment où nous sommes informés, nous sommes, normalement, performants pour accompagner, traiter au mieux. Maintenant, des situations nous échappent encore car elles ne sont pas signalées. »« Des élèves qui ont été harcelés deviennent harceleurs, d’autres ne l’ont jamais été… Tout ça est extrêmement délicat. »Comment les enseignants peuvent-ils identifier les harceleurs ?« Des élèves qui ont été harcelés deviennent à leur tour harceleurs, d’autres ne l’ont jamais été… Tout ça est extrêmement délicat. Il y a une multitude de cas. Pour les enseignants, la difficulté est de repérer et de pouvoir, non pas traiter les situations, mais orienter les élèves. Depuis l’an dernier, ils suivent une formation axée sur le repérage, l’attitude, la conduite à tenir quand on repère un élève victime de harcèlement ou un harceleur. Nous avons jusqu’à 2027 pour terminer l’ensemble de ces formations au niveau académique. » À lire aussi Suicide d’un élève dans l’Eure : « Le collège semble vouloir étouffer l’affaire » Recevez-vous des signalements qui visent le corps enseignant ou du personnel d’établissement ?« Nous avons, effectivement quelquefois, des parents qui nous écrivent pour se plaindre de l’attitude du personnel. Dans ces cas-là, c’est un autre mode de prise en charge, puisque nous, notre cœur d’activité c’est le harcèlement entre élèves. Pour toutes les questions en rapport avec les adultes, nous transmettons soit aux directions académiques, soit aux directions des personnels. » Par Propos recueillis par Barbara HUET Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Caen (Calvados) Normandie Harcèlement scolaire en Normandie : « Le nombre de faits ne réduit pas, mais le personnel est mieux formé » Une étude conjointe du ministère de la Justice et de l’Éducation nationale, publiée mardi 4 novembre 2025, révèle qu’entre mars 2022 et fin 2024, 10 100 affaires de harcèlement scolaire ont été recensées par les parquets. À l’occasion de la Journée de lutte contre le harcèlement à l’école, jeudi 6 novembre 2025, l’académie de Normandie explique comment elle s’empare de ce sujet. Video

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Une soirée pour tout savoir sur le temple et les protestants de Dieppe

L’entrée du temple, dans la rue de la Barre. - Photo d’archives Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 07:15 Lecture zen Tout l’été dernier, le temple protestant de Dieppe a été ouvert au public. « De nombreuses questions nous ont été posées sur le protestantisme », remarque le pasteur Richard Taufer. Aussi, il a été décidé d’organiser une soirée d’information et d’échanges, le vendredi 7 novembre dès 20 h à l’espace Théodore-Monod, situé au 74 bis de la rue de la Barre. À lire aussi Statue de Duquesne à Dieppe : de l’inauguration en 1844 au classement Monument historique Cette soirée permettra d’en savoir plus sur l’Église protestante unie : son histoire, ses convictions et ses valeurs, son organisation, ses liens au sein de la fédération protestante et du conseil œcuménique. Un large temps sera prévu pour répondre aux questions de l’assemblée.Une histoire dieppoiseLe temple, situé lui au milieu de la rue de la Barre (non loin de l’espace Monod), est en fait l’ancien couvent des carmélites investi depuis 1835 par les fidèles de l’Église protestante. La paroisse, elle, est rattachée à l’Église protestante unie de France. Le marin Abraham Duquesne et Jean Ribault sont des figures dieppoises importantes de ce culte, ainsi, bien plus tard au XIXe siècle, que le pasteur Jean Réville… Des éléments historiques qui seront peut-être au cœur des échanges de vendredi soir… Par Anne-Sophie Groué-Ruaudel Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Dieppe Une soirée pour tout savoir sur le temple et les protestants de Dieppe L’espace Monod accueille, ce vendredi soir dès 20 h, une soirée ouverte à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur le temple et sur les protestants dieppois, réunis dans la paroisse membre de l’Église protestante unie de France.

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Municipales 2026. À Harfleur, Kevin Crochemore souhaite « rallier la gauche la plus large possible »

Permanence, liste en cours de finalisation et axes programmatiques : Kevin Crochemore entre plus en avant dans la campagne municipale. - Paris Normandie Mis en ligne le 6/11/2025 à 07:15 Lecture zen Kevin Crochemore, ex-directeur de cabinet de la maire d’Harfleur Christine Morel (PCF) et dauphin de cette dernière pour éventuellement lui succéder en mars 2026, entre plus en avant dans la campagne pour les municipales. Depuis le 18 octobre 2025, il dispose d’une permanence, place Victor-Hugo, « pour faire connaître la liste et pouvoir échanger avec les Harfleurais sur le programme, que nous voulons travailler avec eux. Notre porte est ouverte et la parole aussi », pose le candidat. Consultez l’actualité en vidéo « Assurer l’égalité dans la manière dont les Harfleurais vivent la ville au quotidien »Kevin Crochemore, Tête de la liste « Harfleur ensemble ! »Celui-ci est à la tête d’une liste en cours de finalisation, et qui vise à « rallier la gauche la plus large possible, écologiste et républicaine ». Nécessitant 31 personnes, elle compte une soixantaine de sympathisants. Elle s’appuie déjà sur neuf actuels élus, dont les adjoints Sylvie Burel, Dominique Bellenger, Justine Duchemin et Sabrina Lefebvre. La liste se veut principalement citoyenne, ne comptant pour l’instant que quatre membres du PCF. Son slogan est « Humaine, populaire, audacieuse, Harfleur ensemble ! »Recréer du lien socialQuatre grands axes du programme se dégagent. Le premier est de recréer du lien social entre les habitants, mais aussi entre les habitants et la chose publique. « La part de personnes isolées est assez forte à Harfleur. Par ailleurs, on observe un retrait de la vie publique, par exemple dans la participation à certaines animations », déplore Kevin Crochemore. Les propositions incluent de mettre en place, avec le tissu associatif, des lieux de vie communs « neutres », non liés à la municipalité.Autre fil directeur, la protection des Harfleurais, notamment en leur assurant « l’égalité dans la manière dont ils vivent la ville au quotidien ». Cela se traduit notamment par l’accès à la culture pour un coût modique, et le renforcement d’une politique assurant l’accès à tous à une alimentation de qualité. L’équipe entend par ailleurs continuer à s’impliquer contre les violences intrafamiliales et veut promouvoir des « approches urbaines des questions de sécurité : verdir des cours d’école, apaiser un peu la circulation, travailler sur la tranquillité publique ».« valoriser l’identité d’Harfleur »Les deux derniers axes sont de « donner envie de vivre à Harfleur » en valorisant l’identité et le patrimoine de la ville ; et de concevoir cette dernière comme « un espace de résistance et de lutte contre toutes les inégalités, sociales, de genre, ethniques ». Ce combat passe aussi par la défense de la décentralisation et le fait de redonner des moyens aux villes, considérées comme « le cœur de la démocratie participative ». À lire aussi Municipales 2026 au Havre Seine Métropole : votre maire se représente-t-il ? Pour l’instant, aucune autre liste ne s’est fait connaître à Harfleur. « Ce sera soit le RN, soit Les Patriotes », pronostique Kevin Crochemore, tout en doutant de la capacité de ces formations à constituer une liste. À lire aussi Municipales 2026. Qui est Kevin Crochemore, Harfleurais qui pourrait succéder à la maire Christine Morel ? Par Nicolas Le Jean Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Élections municipales Harfleur (Seine-Maritime) Municipales 2026. À Harfleur, Kevin Crochemore souhaite « rallier la gauche la plus large possible » Depuis la mi-octobre 2025, Kevin Crochemore, ex-directeur de cabinet de la maire d’Harfleur Christine Morel, entre plus en avant dans la campagne pour les élections municipales 2026. Il a ouvert une permanence, ébauche sa liste et dégage des axes de programme.

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Incendie d’une mairie : les suspects voulaient se venger de la police municipale

Quatre jeunes de seize à 21 ans, soupçonnés d’avoir incendié le hall de la mairie de Grand-Couronne, près de Rouen, ont été mis en examen dimanche. Ils auraient agi par vengeance après la mise en fourrière d’une moto par la police municipale pour un défaut d’immatriculation, le 16 septembre. Les travaux de réhabilitation coûteront au minimum 1,2 million d’euros. Trois ont été placés en détention provisoire. Ils encourent une peine de 20 ans d’emprisonnement.

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