
Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il est notamment revenu sur la réforme des retraites.
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Bruno Retailleau, ancien ministre de l’Intérieur et président du parti de droite Les Républicains, était l’invité d’“En Campagne” face à Apolline de Malherbe. Il est notamment revenu sur la réforme des retraites.

Joachim Taïeb, arrivé à la tête de la section locale du PS en juin dernier, quitte déjà ses fonctions en dénonçant divers comportements problématiques. De nouvelles élections internes sont prévues et montrent qu’il existe toujours deux clans au sein du parti à la rose.

Un vote sur un amendement visant à augmenter la CSG sur les revenus du capital, mercredi soir, a révélé les tensions à gauche entre socialistes et insoumis.

Après une campagne d’affichage dénonçant les notes de frais d’Anne Hidalgo, la ville de Paris avait imposé une amende de 210 000 euros à l’association Transparence citoyenne. Selon « Marianne », la personne chargée du dossier est un militant socialiste. De quoi relancer la polémique…

L'ambiance semble de plus en plus tendue entre le Parti socialiste et La France insoumise. Les deux partis, alliés en 2024, n'hésitent plus à s'attaquer sur leurs votes respectifs à l'Assemblée nationale lors des débats sur le budget.

CHRONIQUE - Petites phrases et coulisses de la semaine politique, avec notamment le possible retour du recours au 49.3 sur le projet de budget, à l’Assemblée nationale.

« Franchement, c'est un devoir moral, politique (de voter contre), a déclaré ce jeudi sur RTL la secrétaire nationale des Écologistes, ironisant sur le « triple axel des socialistes ».

« Franchement, c'est un devoir moral, politique (de voter contre), a déclaré ce jeudi sur RTL la secrétaire nationale des Écologistes, ironisant sur le « triple axel des socialistes ».
Il vient de déposer une proposition de loi constitutionnelle : Éric Kerrouche, sénateur socialiste des Landes, est l’invité de #LaMidinale.

« Franchement, c'est un devoir moral, politique (de voter contre), a déclaré ce jeudi sur RTL la secrétaire nationale des Écologistes, ironisant sur le « triple axel des socialistes ».

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Dans la deuxième ville de la métropole nantaise, dirigée par le PS depuis 1977, les écologistes avaient choisi l’opposition en 2020. Jusqu’à ces dernières semaines et leur ralliement (sans LFI) à Bertrand Affilé, fidèle bras droit de Johanna Rolland à Nantes Métropole. Ce qui devrait lui permettre de l’emporter facilement face au centre-droit.

En plein cœur des débats sur le budget de la Sécu, les députés ont adopté ce mercredi soir, sur proposition du Parti socialiste, une augmentation de la CSG (contribution sociale généralisée) sur les revenus du capital. Une grande victoire pour le PS. Les socialistes sont parvenus ce mercredi 5 novembre à faire adopter aux députés la hausse de la CSG sur les revenus du capital dans le cadre du budget de la Sécurité sociale. Cet amendement, porté par le député de Seine-Saint-Denis Jérôme Guedj, a reçu le soutien de la gauche mais également d’une partie du camp gouvernemental et a été adopté par 168 voix contre 140. Dans le détail, la mesure fait monter le taux d'une fraction de la CSG de 9,2% à 10,6%. Cette dernière porte notamment sur certains revenus de l'immobilier, d'épargne et de placements (produits de contrats d'assurance vie, dividendes, épargne salariale, plans épargne logement), ou ...

Suivez avec nous les dernières informations politiques, en particulier celles concernant les débats budgétaires à l'Assemblée, en ce jeudi 6 novembre 2025

Les socialistes ont remporté une victoire mercredi soir dans les débats budgétaires avec l’adoption à l’Assemblée nationale de l’une de leurs propositions phares : une hausse de la CSG sur les revenus du capital,...

Les socialistes ont remporté une victoire, ce mercredi soir, dans les débats budgétaires avec l’adoption à l’Assemblée nationale de l’une de leurs propositions phares : une hausse de la CSG sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites.

Les socialistes ont remporté une victoire mercredi soir dans les débats budgétaires avec l’adoption à l’Assemblée nationale de l’une de leurs propositions phares: une hausse de la CSG sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites.

Paris - Les socialistes ont remporté une victoire mercredi soir dans les débats budgétaires avec l’adoption à l’Assemblée nationale de l’une de leurs propositions phares: une hausse de la CSG sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites. Un premier vote défavorable sur une mesure similaire plus tôt dans la soirée avait révélé des tensions à gauche, mais les socialistes ont finalement réussi à rassembler autour de la mesure. Le groupe du parti à la rose n’a pas censuré le gouvernement de Sébastien Lecornu pour tenter de décrocher des victoires budgétaires, et en premier lieu la suspension de la réforme des retraites. Mais reste la question du financement alors que le gouvernement cherche à réduire le déficit en dessous de 5% du PIB. Or après le rejet la semaine dernière des propositions de la gauche de taxer les hauts patrimoines, dont la taxe Zucman, les socialistes pressaient depuis plusieurs jours l’exécutif de soutenir leurs propositions de nouvelle recette dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Mercredi, c’est donc finalement un amendement de Jérôme Guedj (PS) qui a été adopté, avec le soutien d’une bonne partie du camp gouvernemental, pour faire progresser la Contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus du capital, en escomptant aller chercher en 2026 2,8 milliards d’euros supplémentaires. La mesure monte de 9,2% à 10,6% le taux d’une fraction de la CSG, qui porte notamment sur certains revenus de l’immobilier, d'épargne et de placements (produits de contrats d’assurance vie, dividendes, épargne salariale, plans épargne logement), ou des plus-values immobilières et mobilières (ventes d’actions...). Le PS, qui menace de censure en cas d'échec sur les nouvelles recettes fiscales, a reçu un avis favorable mais particulièrement réservé du gouvernement. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a appelé à voter pour, surtout pour que l’amendement puisse être rediscuté dans la suite de la navette parlementaire, sans approuver ses modalités. «Ce qui a été voté n’est pas une hausse de la fiscalité alors que nous sommes en première lecture. Ce qui a été voté, c’est la possibilité d’en débattre jusqu'à la fin du processus budgétaire», a-t-elle insisté. La mesure a été adoptée par 168 voix contre 140. Les voix de nombreux députés macronistes (de Renaissance et du MoDem) se sont jointes à celles de la gauche. Les députés de la droite (LR et Horizons) ont voté contre, tout comme le Rassemblement national. «Vous ne venez pas de décider de taxer le haut patrimoine, vous avez taxé l’assurance-vie, vous avez taxé les PEL», a regretté le patron des députés LR Laurent Wauquiez. Le député RN Jean-Philippe Tanguy a décrit la mesure comme «le financement des magouilles entre le Parti socialiste et le gouvernement», estimant qu’elle ne protège pas «l'épargne des classes populaires et moyennes». «Magouille de non-censure» Jerôme Guedj a balayé l’argument, son camp soutenant que la mesure concerne essentiellement les dividendes des actionnaires, et qu’avec un PEL dont la moyenne en France est de 25.000 euros, cette hausse représenterait seulement 50 centimes d’euros par mois. La soirée avait pourtant mal commencé pour les socialistes, avec le rejet d’un amendement similaire. Un épisode illustrant les divisions à gauche entre le PS, LFI et les écologistes. Les Insoumis avaient en effet voté contre ce premier amendement, dénonçant une «magouille de non-censure», selon la présidente du groupe Mathilde Panot. Une partie des écologistes s'étaient abstenus. Mme Panot avait alors appelé à voter les amendements suivants pour des taux plus importants, ou sans limite dans le temps. «C’est une politique de la terre brûlée, ils ne veulent pas de recettes, ils ne veulent pas de budget pour la France», avait dénoncé après le premier vote Sandrine Runel (PS), le premier secrétaire Olivier Faure reprochant aux Insoumis de pratiquer le «tout ou rien, et surtout rien». Camille MALPLAT © Agence France-Presse

Les députés ont voté mercredi 5 novembre au soir la hausse de la CSG sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites avec 2,8 milliards d’euros supplémentaires. La mesure, proposée par le socialiste Jérôme Guedj, n’a pas été censurée le gouvernement de Sébastien Lecornu.

Les députés ont adopté, mercredi, une hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) sur les revenus du capital, destinée à financer la suspension de la réforme des retraites.
Les tensions entre le Parti socialiste et La France insoumise ont connu un nouvel épisode ce mercredi à l’Assemblée nationale. Olivier Faure, premier secrétaire du PS, a fustigé les députés LFI pour avoir voté avec le RN, LR et Horizons contre une hausse de la CSG sur les revenus du capital, évaluée à 2,8 milliards... The post Olivier Faure accuse LFI de « politique du pire », Manuel Bompard dénonce des « mensonges » appeared first on Entrevue.

DÉCRYPTAGE - En jouant la stratégie du compromis avec les macronistes, le PS cherche aussi à confirmer sa rupture avec LFI.

RÉCIT - Depuis le début de l’examen budgétaire, la détestation mutuelle entre Insoumis et socialistes se manifeste au grand jour dans l’hémicycle du Palais Bourbon.

Invité de LCI, le député PS Boris Vallaud a dénoncé les discours qui pointent du doigt une prétendue "irresponsabilité" de la gauche en matière budgétaire. "Les deux seules périodes récentes où les déficits ont été réduits", assure-t-il, correspondent à la présence des socialistes au gouvernement. Un constat en partie trompeur, qui nécessite d'être nuancé.

Notre chroniqueur Alain Rémond ironise à propos de l’impôt sur la fortune improductive, adopté le 31 octobre 2025 par les députés via un amendement au projet de loi de finances. Le vote de cette taxe au rendement incertain est le fruit d’une alliance hétéroclite réunissant le MoDem, le PS et le Rassemblement national.

Olivier Faure, premier secrétaire du PS, justifie son choix de négocier avec Sébastien Lecornu. Il estime que d’autres concessions sont possibles malgré le scepticisme de ses partenaires.

En choisissant la non-censure du gouvernement Lecornu pour privilégier les négociations budgétaires, les socialistes irritent leurs partenaires. Ils persistent pourtant dans cette stratégie, estimant pouvoir récolter des « victoires » qu’écologistes et communistes trouvent trop faibles.
Les socialistes cherchent à valoriser les avancées qu'ils ont obtenues sur la première partie du budget. Tout en continuant à mettre la pression sur le Premier ministre.


CHRONIQUE. Comme le RN avec Michel Barnier, les socialistes font monter les encheres. Pour censurer a la fin ? Contrairement au RN, ils le paieraient cher.

ANALYSE - En négociant avec le gouvernement pour arracher quelques victoires, les socialistes se sont isolés de leurs alliés de gauche. Un pari risqué, notamment dans la perspective de 2027.

La Constitution prévoit un délai de soixante-dix jours pour examiner le budget de l’Etat, de cinquante jours pour examiner celui de la Sécurité sociale. Au-delà de ces délais, le gouvernement peut recourir aux ordonnances si la responsabilité du retard incombe au Parlement.

Isolés de leurs alliés écologistes, embourbés dans des débats budgétaires devenus incompréhensibles pour le grand public, les socialistes s’échinent à valoriser les concessions arrachées à Sébastien Lecornu. Mais après l’enterrement de la taxe Zucman et de ses déclinaisons, une part grandissante des troupes d'Olivier Faure s’interroge : le moment n’est-il pas venu d’arrêter les frais ?


« Nous ne participons pas à des réunions de négociation budgétaire avec l’extrême droite », avaient commenté à la mi-journée les socialistes auprès du « Monde », pour expliquer le refus de participer à cette réunion, organisée par le gouvernement.

Ce lundi est le dernier jour d'examen du budget à l'Assemblée avant de s'attaquer au projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Le gouvernement a les yeux rivés sur un groupe : le Parti socialiste, qui maintient la pression, tout en restant ouvert à la suite des débats budgétaires.




Les députés se sont vivement affrontés en fin de semaine concernant la taxe Zucman, finalement rejetée, et une transformation de l’impôt sur la fortune immobilière, qui a séparé le PS du reste de la gauche.

Ils s’embrassent à la télévision, mais en coulisses, chacun trace sa route vers 2027. Depuis que Marine Tondelier a officialisé sa candidature en plein débat budgétaire, une primaire avant l’heure s’est ouverte : à elle le costume vert d’unitaire exemplaire, à lui celui, moins vendeur, d’artisan du compromis avec Sébastien Lecornu


L'abandon intellectuel du Parti socialiste, sa paresse de ne plus avoir d’idées, l’amènent à se contenter de « symboles » comme « la taxation des riches », devenue la solution à tout. Ce PS racorni dans sa pensée et du coup dans le nombre de ses militants, ne gagnera jamais parce qu’il ne veut pas gagner

Les députés se sont prononcés pour le décalage de l’application de la réforme des retraites, vendredi 31 octobre, lors de l’examen du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale en commission. La mesure a divisé la gauche : les socialistes ont voté pour, les communistes et les écologistes se sont abstenus, et les insoumis ont voté contre.


Après le rejet de la taxe Zucman, le député des Landes pose ses conditions à Sébastien Lecornu pour la suite des débats.

ENTRETIEN. Le maire socialiste de Montpellier n'elude aucune question et amorce une candidature a un deuxieme mandat en pronant l'union de la gauche, sans LFI.

Un élu socialiste de 26 ans qui siège dans l'opposition à Thourotte (Oise) a lancé une consultation citoyenne. L'objectif ? Que les habitants choisissent s'il se présente en tant que candidat aux élections municipales 2026.

DÉCRYPTAGE - Les députés ont adopté un amendement qui transforme l’IFI en «impôt sur la fortune improductive», marquant le retour contesté du principe de l’ancien impôt sur la fortune supprimé en 2018.


Les députés ont voté un amendement visant à transformer l'impôt sur la fortune immobilière en "impôt sur la fortune improductive". Il a été adopté avec les voix du Parti socialiste, du MoDem et du Rassemblement national.

Le projet d’impôt sur les plus hauts patrimoines n’a pas trouvé de majorité dans l’Hémicycle, pas plus que sa version allégée, la taxe « Mercier ». Et le déjeuner d’Olivier Faure et Boris Vallaud avec Sébastien Lecornu n’a pas permis de progresser.

L’Assemblée nationale a adopté un amendement transformant l’IFI en « impôt sur la fortune improductive », fruit d’une alliance inattendue entre PS, RN, MoDem et députés centristes.

Attendu comme une journée clé de l'examen budgétaire, ce vendredi à l'Assemblée nationale a en effet marqué une étape nouvelle dans la recherche de compromis entre le gouvernement et les socialistes

Les députés ont rejeté la taxe Zucman sur les hauts patrimoines proposée par la gauche. Le Premier ministre a affirmé son "profond désaccord" avec la gauche, estimant qu'il "n'existe pas d'impôt miracle". Le député socialiste Arthur Delaporte a fait part de son "inquiétude" quant à la "pente prise qui n'est pas la bonne".

C'est la fin d'un long feuilleton, l'Assemblée nationale a voté. La taxe Zucman a été rejetée vendredi par les députés, mais une taxe sur les holdings a été adoptée. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, est venu en personne dans la soirée pour défendre l'idée d'un compromis, notamment avec le Parti socialiste. Les tractations en coulisse devraient se poursuivre dans les prochains jours, autour du budget de la sécurité sociale et de la suspension de la réforme des retraites.

Défendue par la gauche, la taxe Zucman sur les hauts patrimoines a été largement rejetée, ainsi que sa version allégée, vendredi 31 octobre, par l’Assemblée nationale. Mécontents, les socialistes continuent cependant de rechercher un compromis avec le gouvernement sur le budget.
Malgré le rejet en séance de la taxe Zucman et de sa version « light », les pourparlers entre les socialistes et le Premier ministre se sont poursuivis toute la journée, parfois en direct depuis l'hémicycle.

Vendredi, en fin d’après-midi, les députés dont ceux du RN ont largement rejeté la taxe Zucman et toutes ses itérations proposées par la gauche. Toujours pas d'accord en vue pour le Parti socialiste.

Au sommaire : Taxe Zucman, le PS s'avoue vaincu. LR-RN, la première pierre de l'union des droites ? Or, pris en flagrant délit de braquage !


Macronistes et socialistes ne sont pas tombés d’accord sur la fiscalité des plus riches. De quoi relancer la menace d’une motion de censure du groupe PS.

Les différents amendements de la gauche qui souhaitaient l’introduction d’une telle taxe, même dans une version « light » ont été rejetés par les députés. Mathilde Panot, cheffe de file des députés LFI, a appelé, une nouvelle fois à une censure du gouvernement, critiquant « les socialistes, qui ont été négociés [et] n’ont absolument rien obtenu ».

Les députés ont ouvert les débats sur la question sensible de la fiscalité du patrimoine et la taxe Zucman, dont les socialistes ont reconnu qu'elle ne serait "vraisemblablement" pas adoptée mais attendent désormais de Sébastien Lecornu des mesures alternatives de "justice fiscale". Le PS menace de censurer en cas de refus du gouvernement d'imposer les hauts patrimoines. Décryptage avec Roselyne Febvre, cheffe du service politique de France 24

Le PS continue de demander des mesures alternatives de justice fiscale dans le projet de budget.

Pour le candidat socialiste à la mairie de Paris, la droite n’a pas simplement voté une résolution du RN dénonçant l’accord franco-algérien de 1968 : elle a offert une victoire symbolique à tous les nostalgiques l’Algérie française. « Le rêve d’Eric Zemmour s’est réalisé : voir réunies toutes les droites autour d’un imaginaire post-colonial, de Marine Le Pen à Edouard Philippe », écrit l’ex-premier adjoint d’Anne Hidalgo

Par Maryse Dumas, syndicaliste

Journée cruciale à l'Assemblée nationale car les députés de l'hémicycle vont se pencher sur l'examen de la taxe Zucman visant à créer un impôt planché de 2% sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros. Les socialistes ont déjà de nouvelles idées si jamais cette taxe n'est pas votée.

Les députés ont ouvert les débats sur la question sensible de la fiscalité du patrimoine et la taxe Zucman, dont les socialistes ont reconnu qu'elle ne serait "vraisemblablement" pas adoptée mais attendent désormais de Sébastien Lecornu des mesures alternatives de "justice fiscale". Explications de notre journaliste sur place Johan Bodin, et de notre invité Olivier Guyottot, enseignant-chercheur en stratégie et en sciences politiques

Les socialistes réclament l'adoption de la taxe Zucman, ou d'une version allégée. Si les députés PS laissent toujours planer la menace de censure, ils ont revu leurs exigences à la baisse au fil des débats. Les socialistes et la gauche ont toutefois obtenu quelques victoires lors de l'examen de la première partie du budget.



























