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Parti Socialiste

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Actualités et enjeux autour du Parti socialiste, son influence et son rôle dans la politique française.
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Airbnb permet « payer les études de mes enfants », se défend cette propriétaire de Cagnes-sur-Mer

La France fait la part belle à Airbnb. La plateforme d’hébergement est désormais présente dans 80% des communes de l’hexagone. Une inflation des locations de courte durée qui a un impact direct sur la crise du logement. Dans certaines villes, le marché est saturé et le prix des loyers n’a jamais été aussi élevé. Mais pour certains propriétaires qui mettent leur bien en location, c’est aussi un revenu d’appoint utile pour entretenir leur patrimoine comme en témoigne Elodie Fakhfakh, face à trois sénatrices dans l’émission Dialogue Citoyen, présentée par Quentin Calmet.

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Le FigaroLe Figaro
«Trumpisme», «violence», «brutalité»... Raphaël Glucksmann charge les adversaires de la gauche en vue des municipales à Paris
20 Minutes20 Minutes
Municipales 2026 à Paris : Raphaël Glucksmann, soutien d’Emmanuel Grégoire, dénonce « le trumpisme » de ses adversaires
BFMTVBFMTV
Municipales à Paris: Raphaël Glucksmann s'affiche en soutien d'Emmanuel Grégoire et dénonce "le trumpisme" de ses adversaires
FranceinfoFranceinfo
Municipales à Paris : Raphaël Glucksmann, soutien d'Emmanuel Grégoire, dénonce "le trumpisme" de ses adversaires
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Municipales 2026 à Poitiers : la maire écologiste sortante, Léonore Moncond’huy, isolée à gauche

Le champ des alliances à gauche se restreint pour Léonore Moncond’huy en vue des élections municipales de mars prochain. La maire écologiste de Poitiers (Vienne) a échoué à constituer pour le premier tour des municipales une liste avec le Parti communiste (PCF), Place publique et Poitiers populaire, un collectif proche de La France insoumise (LFI).Jeudi soir, le mouvement citoyen Poitiers collectif, qui l’avait portée à la mairie en juin 2020, a acté en réunion plénière l’échec des discussions avec les représentants du PCF, membres de l’actuelle majorité, et de Poitiers populaire.« Nous n’avons pas la même conception du rassemblement ni du pluralisme », déplore Bertrand Geay, coprésident de Poitiers populaire, dans les colonnes de la Nouvelle République. L’intéressé évoque des dissensions sur la répartition des places, mais aussi « sur la gratuité des bus », « le dialogue avec le personnel » ou la « démocratie participative ».Jeudi matin, la direction nationale de Place publique avait pour sa part enterré, dans un communiqué, toute perspective d’alliance avec Poitiers collectif en raison de « l’ambiguïté maintenue par la maire sortante concernant ses relations politiques avec La France insoumise, tant pour le premier que pour le second tour ».Sept listes sur la ligne de départÀ l’échelle locale, le mouvement de Raphaël Glucksmann est tiraillé entre des militants favorables à l’union avec Léonore Moncond’huy et prêts à s’unir avec elle, sans l’étiquette de Place publique, et l’ancien macroniste Sacha Houlién député de la Vienne, qui a un temps caressé l’idée d’une candidature commune avec Alain Claeys, ancien maire socialiste.Le PS, lui, siège dans l’opposition au conseil municipal et a investi son propre candidat, François Blanchard, malgré des appels à faire union avec le centriste Anthony Brottier, qui mène pour l’instant sa propre liste.Avec la candidature attendue du Rassemblement nationale (RN) début janvier, le nombre de listes déclarées va monter à sept, soit une de moins qu’en 2020. Léonore Moncond’huy avait alors été élue à seulement 30 ans à l’issue d’une triangulaire avec le PS et le centre au second tour.

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Le MondeLe Monde
Budget 2026 : Sébastien Lecornu remet la pression sur les parlementaires pour éviter l’enlisement
Le ParisienLe Parisien
Budget 2026 : Sébastien Lecornu contraint de reprendre la main
Le ParisienLe Parisien
Budget 2026 : un Conseil des ministres extraordinaire se tiendra ce lundi soir
Europe 1Europe 1
EXTRAIT - Budget 2026 : après l'échec de la commission mixte paritaire, Sébastien Lecornu demande une loi spéciale
l'Opinionl'Opinion
Marine Le Pen prend la défense de Jordan Bardella
TF1 InfoTF1 Info
Le Pen vole au secours de Bardella face à une campagne de dénigrement "d'une violence absolument inouïe"
Le ParisienLe Parisien
« Il se prépare déjà à fond » : Gabriel Attal pose ses jalons pour 2027
Notre TempsNotre Temps
Lancés vers 2027, Bardella et Mélenchon préparent leur lutte finale
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Municipales 2026 à Paris : la gauche s’affiche unie derrière Emmanuel Grégoire

Pour leur première apparition publique, les membres de l’union de gauche pour les municipales à Paris (15 et 22 mars 2026) n’ont pas choisi un lieu au hasard. C’est sur la place Alice-Guy, là où l’ancien site d’un hôpital a été totalement réaménagé en logements et espaces verts, autour de la petite ceinture, que les candidats (PS, PCF, Écologistes et Place publique) ont été partager un repas dans une cantine solidaire (Cop1). Un premier rassemblement de l’union dans un arrondissement « clin d’œil » puisque la maire du XIVe, Carine Petit, est une ancienne socialiste qui a rejoint les écologistes.Un ensemble de références comme pour annoncer ce qui devrait être les marqueurs de cette candidature commune, une première dans la capitale. « Nous porterons une mission sociale et environnementale, un projet de ville populaire qui protège et est vivante », a résumé Emmanuel Grégoire (PS), le chef de file de cette alliance. Il s’est dit « extrêmement heureux » si cette union « peut incarner un espoir de rassemblement et maximiser nos chances d’avoir le score le plus haut possible au 1er tour ».

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Municipales : « Nous voulons ouvrir une nouvelle page pour Paris », promet Emmanuel Grégoire, candidat de la gauche

Après un dernier vote de validation des familles politiques ce mercredi soir, Emmanuel Grégoire (PS) se retrouve à la tête d’une liste de gauche inédite au premier tour de l’élection municipale à Paris (15 et 22 mars 2026).L’ancien premier adjoint d’Anne Hidalgo a reçu le soutien des écologistes et communistes pour ce qui pourrait être un duel haletant face à la candidate de droite, Rachida Dati. Et toujours sans LFI.

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La CroixLa Croix
Municipales à Paris : alliance historique à gauche derrière Emmanuel Grégoire
l'Opinionl'Opinion
Municipales à Paris : les Ecologistes votent pour une alliance au premier tour derrière le PS, mais sans LFI
TF1 InfoTF1 Info
Municipales à Paris : les Écologistes votent pour une alliance au premier tour derrière le PS, sans LFI
20 Minutes20 Minutes
Municipales 2026 à Paris : Socialistes, écologistes et communistes unis derrière Emmanuel Grégoire… mais sans LFI
TF1 InfoTF1 Info
Budget 2026 : 3 questions sur la commission mixte paritaire, réunie vendredi
La CroixLa Croix
Budget de l’État 2026 : avant une réunion décisive, députés et sénateurs affûtent leurs armes
Le FigaroLe Figaro
Budget 2026: Sébastien Lecornu appelle les ministres à «se plier en six pour faciliter les convergences» entre députés et sénateurs
Le MondeLe Monde
Budget de la « Sécu » : l’accès au dispositif de cumul emploi-retraite rendu plus difficile
L'HumanitéL'Humanité
Municipales 2026 : à Paris, le PS, le PCF et les Écologistes se mettent d’accord et scellent une union historique
l'Opinionl'Opinion
Municipales à Paris : entre PS et Verts, l'union anti-Dati au premier tour, le tabou Chikirou au second
l'Opinionl'Opinion
Municipales à Paris : le PS, le PCF et les Ecologistes prêts à s'unir dès le premier tour
Le MondeLe Monde
Municipales à Paris : vers un accord historique de premier tour entre socialistes, communistes et écologistes
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« Ils veulent 10 milliards » : sur le budget, les socialistes demandent encore une rallonge

Depuis Matignon, au Sénat ou à l’Assemblée, Sébastien Lecornu suit de très près le déroulé des débats budgétaires. Le Premier ministre l’affirme : le pays entre dans des « moments inédits ». Voilà deux mois que l’Assemblée et le Sénat débattent du budget 2026. Sans majorité dans la chambre basse. Sans 49.3. Deux mois que les Français entendent parler de mesures qui, à ce stade, n’ont rien de concret. Le locataire de Matignon s’en inquiète. Il sait trop bien ce que cela peut générer. En espoirs pour les uns, en craintes pour les autres.Ce vendredi 19 décembre, ou ce samedi si les négociations s’étirent, les Français y verront, peut-être, plus clair. Car voici venu le temps de la commission mixte paritaire. Sept députés et sept sénateurs vont s’enfermer à huis clos, à l’Assemblée, et débattre pour tenter de trouver un accord sur le budget de l’État. La mission, sur le papier, s’annonce impossible, ou presque. De nombreux députés n’y croient absolument pas. Mais ils sont tout aussi nombreux à espérer ne pas reprendre en janvier les débats budgétaires.

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Le FigaroLe Figaro
Budget de la « Sécu » : comment votre député a-t-il voté lors de l’adoption finale ?
La TribuneLa Tribune
L'Assemblée nationale adopte la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026
TF1 InfoTF1 Info
Retraites, arrêts de travail... Que contient le budget définitivement adopté de la Sécurité sociale 2026 ?
La CroixLa Croix
Le budget 2026 de la Sécu définitivement adopté par l’Assemblée
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Etienne Allais, ancien dirigeant de SOS Racisme : « En ciblant les demandeurs d’asile, Keir Starmer et Mette Frederiksen reprennent le discours de l’extrême droite »

Dans une tribune au « Monde », le membre du conseil national du Parti socialiste s’inquiète des propositions de réforme de la Convention européenne des droits de l’homme formulées par les premiers ministres britannique et danois, et estime que l’Europe a besoin de l’immigration pour son économie et sa démographie.

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Le ParisienLe Parisien
Municipales 2026 à Toulouse : le candidat qui veut renommer la Ville rose publie des petites annonces pour trouver ses colistiers
Le ParisienLe Parisien
Municipales 2026 à Évry : le maire sortant et la députée, candidate LFI, règlent leurs comptes
France 24France 24
"Les socialistes et LR jouent une partie de leur vie politique sur les municipales"
L'Éveil NormandL'Éveil Normand
Municipales 2026 à Bernay : Max Lemonnier, un samouraï en campagne
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Municipales 2026 à Paris : pourquoi l’union à gauche tarde dans la capitale

Le programme, les places sur la liste centrale, les arrondissements ou même le financement de la campagne… Par petits groupes, les représentants du Parti socialiste et des Écologistes parisiens se retrouvent régulièrement depuis des semaines. Objet des débats : un projet d’union pour une liste de gauche (hors LFI) au premier tour des municipales à Paris. Ces dernières semaines, la demande d’accord s’est même faite plus précise.Selon nos informations, les écologistes ont posé leurs conditions à un ralliement : obtenir la 3e place pour David Belliard sur la liste d’Emmanuel Grégoire, trois mairies d’arrondissement (XI, XII et XIVe arrondissement) et 35 noms en position éligibles contre 28 élus actuellement au Conseil de Paris.

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Budget de l’État : Olivier Faure menace le gouvernement de censure si le 49.3 est utilisé « sans compromis préalable »

Le patron du PS Olivier Faure, qui avait fait du renoncement au 49.3 une de ses conditions pour voter le budget de la Sécurité sociale, menace de nouveau Sébastien Lecornu : si le Premier ministre utilise ce moyen pour faire passer le budget de l’État « sans compromis préalable », les socialistes appliqueront une « censure immédiate » plutôt que de s’abstenir.« Le 49.3 n’est pas une baguette magique, si le gouvernement l’utilise sans compromis préalable, il s’expose à une censure immédiate », déclare le député de Seine-et-Marne dans un entretien à Libération.Les députés PS ont pourtant voté dans leur très grande majorité pour le budget de la Sécu cette semaine. Mais seulement parce qu’« à (leur) demande le gouvernement a accepté que nous légiférions sans 49.3 » et que « c’est avec cette approche que nous avons recherché un compromis » sur le budget de la Sécurité sociale, rappelle-t-il, avec la volonté pour les socialistes de « refuser le musée des horreurs sans laisser filer le déficit ».En revanche, sur le budget de l’État « c’est différent » car « le voter nous ferait entrer dans la majorité ». « Nous sommes ouverts à la recherche de compromis pour éviter le blocage du pays, mais pas de confusion : nous sommes dans l’opposition », insiste Faure qui, « à ce stade, ne (voit) même pas ce qui permettrait une abstention ».Une loi spéciale évitable ?Alors que le Sénat poursuit l’examen du projet de loi de finances, il est assez improbable que le budget de l’État fasse l’objet d’un accord avant le 31 décembre. La droite sénatoriale semble peu disposée à bouger en direction du Parti socialiste qui a obtenu la suspension de la réforme des retraites dans le projet de loi de finances pour la Sécurité sociale.De fait, « je crains que ce ne soit pas possible d’avancer dans les délais et d’éviter une loi spéciale en fin d’année pour faire la jointure et reprendre le débat début 2026 », estime d’ailleurs Olivier Faure, au diapason de plusieurs ministres qui ont évoqué cette possibilité.Pourtant le PS, assure-t-il, va continuer à discuter avec Matignon, sur les services publics, la transition écologique, les moyens accordés aux collectivités locales, et « que les plus jeunes ne soient pas les grands oubliés du débat national ».Une telle loi spéciale permet à l’État de continuer à percevoir les impôts et à faire fonctionner les administrations sur la base du budget de l’année précédente. Elle avait déjà été utilisée en 2024, le temps que le Premier ministre François Bayrou, nommé mi-décembre, fasse voter un budget en février.

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« Nous fabriquons des sans-papiers » : le PS fait adopter le renouvellement automatique des titres de séjour longue durée

L’Assemblée nationale a adopté jeudi soir, lors de la journée réservée aux propositions du groupe socialiste, un texte visant à permettre le renouvellement automatique des titres de séjour de longue durée, contre l’avis du gouvernement. Examinée en première lecture, la proposition devra désormais être inscrite à l’ordre du jour du Sénat. Elle a été adoptée par 98 voix pour, contre 37, grâce à l’union de la gauche et face à un camp gouvernemental et une extrême droite faiblement mobilisés.Portée par la députée socialiste Colette Capdevielle, la mesure entend répondre à une « injustice criante » liée à l’explosion des délais d’instruction pour les renouvellements de titres de séjour de longue durée et des cartes de résident, alors que plus de 99 % des demandes sont accordées.« Nous réussissons l’exploit d’emboliser un système pour moins de 1 % des dossiers », a-t-elle dénoncé, évoquant les files d’attente, les mois pour obtenir un rendez-vous, les plateformes saturées, et, de ce fait, des ruptures de droits entraînant perte d’emploi, impossibilité de louer un logement ou interruption de couverture maladie. « La machine administrative fabrique elle-même la précarité, nous fabriquons des sans-papiers », a-t-elle lancé.Le texte prévoit que les cartes pluriannuelles (jusqu’à quatre ans) et les cartes de résident (dix ans) soient renouvelées automatiquement, sauf si l’administration démontre des motifs juridiques pour s’y opposer.La ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, Marie-Pierre Vedrenne, a reconnu « des délais dégradés », mais a défendu l’opposition du gouvernement, invoquant les risques juridiques et constitutionnels liés à l’automaticité des renouvellements « sans examen individualisé ».Elle a aussi jugé la mesure « inefficace », estimant qu’elle « déplacerait la charge de travail » sans réduire les délais et qu’elle ne permettrait pas de traiter certaines « situations problématiques », citant le cas d’un étranger qui ne remplirait plus les conditions de délivrance, par exemple après « une condamnation pénale » ou « la découverte d’une polygamie », et qui verrait son titre renouvelé automatiquement si l’information n’était pas « remontée à temps ».Les débats ont été houleux de part et d’autre de l’hémicycle. « Vous êtes en train de créer un grave danger », a lancé Laurent Jacobelli (Rassemblement national), accusant le Parti socialiste de « vouloir faire croire qu’il est à nouveau de gauche » après avoir voté mardi le budget de la Sécurité sociale grâce à un compromis trouvé avec le gouvernement de Sébastien Lecornu.« Vous êtes simplement racistes »Colette Capdevielle a répliqué en rappelant que « l’administration conserve la possibilité, notamment en cas d’une condamnation qui trouble gravement l’ordre public, de pouvoir retirer le titre », avant de lancer : « Pas l’un d’entre vous n’a apporté une once de solution, ni humanisme, ni réalisme. En fait, vous êtes tous simplement très, très racistes. »L’Assemblée a adopté toutes les autres propositions de loi défendues par le groupe socialiste lors de cette journée annuelle réservée à l’examen de leurs textes dans l’hémicycle, là encore en grande partie grâce à l’union des groupes de gauche et à une faible mobilisation de leurs opposants.Deux de ces propositions entendent mieux protéger les mineurs. La première, votée à l’unanimité, vise à garantir un avocat à chaque enfant placé ou suivi dans sa famille par des services sociaux. Environ 380 000 jeunes sont concernés par des mesures d’assistance éducative en France. Ces enfants sont, sur décision d’un juge généralement, placés en famille d’accueil ou en foyer, ou bien suivis directement dans leur famille.Le plus souvent, ces enfants ne sont pas assistés d’un avocat, même s’ils peuvent en faire la demande ou s’en voir désigner un par un juge, lorsqu’ils sont capables de discernement. La proposition de loi a été votée alors que la révélation d’une vidéo d’un enfant tondu malgré lui par des éducateurs, dans un foyer d’enfants placés à Paris, a suscité une grande émotion.Dans la foulée, l’Assemblée a adopté une proposition de loi permettant à des jeunes isolés, qu’on évalue majeurs, de conserver l’accès à certaines protections, comme l’hébergement d’urgence, lorsqu’ils formulent un recours. Pile avant minuit, heure de fin d’examen de la « niche » du groupe socialiste, les députés ont voté à l’unanimité un texte pour réguler les prix de plusieurs services en Outre-mer, qui propose notamment de plafonner les prix des billets d’avion.

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Municipales à Strasbourg : Catherine Trautmann bouscule le paysage politique local avec ses 29 % d’intention de vote au premier tour

Le retour de Catherine Trautmann dans la course aux municipales 2026 à Strasbourg est un véritable tremblement de terre localement. À moins de 100 jours du scrutin, la maire sortante de la commune du Bas-Rhin, Jeanne Barseghian (Les Écologistes) accuse 13 points de retard dans les intentions de vote pour ce scrutin.Pour l’heure, les candidatures se multiplient sur fond de clivages idéologiques anciens, à l’instar du PS et la candidature de l’ancienne maire Catherine Trautmann, laissant entrevoir relativement peu de réserves de voix pour l’édile en poste.Selon certains observateurs, le premier tour pourrait même accoucher d’une quadrangulaire. Si Jeanne Barseghian est soutenue par Place publique, Génération. s, Debout !, L’Après et Génération écologie, elle ne rassemble pas toute la gauche.L’avance s’accentue dans les sondagesUn second sondage Ifop relayé par les DNA et commandé par le parti Horizons a été révélé ce mercredi, à moins de 100 jours de l’élection municipale.On y découvre que l’avance au premier tour de Catherine Trautmann (PS) s’accentue (29 %) sur ses concurrents par rapport au sondage réalisé en septembre où sa candidature n’était pas officialisée.En revanche, Jean-Philippe Vetter (LR) perd huit points (16 %) et revient à hauteur de l’écologiste et maire sortante Jeanne Barseghian (16 %). Tandis que Pierre Jakubowicz (Centre) atteint 10 % et revient presque à hauteur des 12 % de Kobryn (LFI) et des 11 % de Joron (RN).L’insécurité et le dossier du Tram au cœur de la campagneL’ancienne maire a pris le pouls de « sa » ville et a enfilé le costume « régalien » comme leitmotiv de campagne. À Strasbourg, quand ce n’est pas l’incontournable marché de Noël qui nourrit la campagne, c’est l’insécurité, terrain favori du RN d’ordinaire.Pour rassurer la population, la candidate défend une « police municipale plus visible » et plus présente. Dans un entretien à Rue 89, publié ce mercredi, elle explique vouloir des antennes de police municipale dans les quartiers, des patrouilles régulières, « des élus qui se rendent sur le terrain avec les agents ». « Il faut créer une dissuasion pacifique », assure-t-elle au magazine en ligne.Parmi les autres dossiers brûlants, celui du Tram nord a particulièrement cristallisé l’opinion locale ces dernières semaines. Ce projet emblématique a essuyé fin 2024 un avis défavorable de la commission d’enquête publique, rappelle le quotidien économique Les Échos. Catherine Trautmann, Jean-Philippe Vetter et Pierre Jakubowicz se sont d’ailleurs unis contre le projet qui tient à cœur à l’édile sortante, Jeanne Barseghian. « Un travail transpartisan sur le tram nord ne détermine pas une alliance électorale », a répondu Catherine Trautmann aux Échos, qui réfute toute alliance avec les candidats à sa droite.Pour mettre en scène sa politique sécuritaire la candidate avait choisi la place d’Austerlitz, symbole de victoire napoléonienne pour celle qui veut réécrire son histoire avec la ville de l’Est de la France.

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Municipales 2026 à Paris : Bertrand Delanoë promet un engagement « total » pour Emmanuel Grégoire et Ariel Weil

Figure tutélaire du socialisme parisien, Bertrand Delanoë confirme son engagement. Lundi soir, l’ancien maire de Paris a réaffirmé qu’il s’engagerait « totalement » dans la bataille des municipales 2026, aux côtés d’Emmanuel Grégoire et d’Ariel Weil. Une prise de position qui vient appuyer les déclarations qu’il avait déjà faites il y a quelques mois.Bertrand Delanoë se fait rare. Mais lundi soir, l’ancien édile de la capitale a répondu présent au lancement du comité de soutien à la réélection d’Ariel Weil, le maire socialiste de Paris Centre, dans un loft niché au cœur du quartier du Sentier. L’ancien maire a assuré qu’il se tiendrait aux côtés du maire de Paris-Centre « autant que ce dernier le lui demandera », et aux côtés « des candidats progressistes ».L’homme de 75 ans, maire de Paris de 2001 à 2014, a également profité de cette occasion pour renouveler son soutien : il compte « s’engager totalement » dans la campagne municipale à Paris. Il sera « aux côtés d’Emmanuel Grégoire », la tête de liste du PS dans la capitale, qu’il « tient à saluer et à encourager dans ce combat très difficile ».Un contraste avec 2020Cette prise de position tranche radicalement avec la précédente campagne parisienne de 2020, pendant laquelle Bertrand Delanoë ne s’était pas particulièrement mobilisé pour soutenir Anne Hidalgo, alors en lice pour un second mandat. Les relations entre les deux anciens complices se sont distendues depuis que l’ex-maire avait apporté son soutien à Emmanuel Macron pour la présidentielle de 2017. En mars dernier, lors de sa soirée annuelle avec ses anciens collaborateurs, Bertrand Delanoë avait déjà déclaré : « Je connais Rémi Féraud, mais toute mon affection, tous mes encouragements vont à Emmanuel Grégoire. »Lundi soir, devant une assemblée réunissant personnalités culturelles et politiques, l’ancien maire a également tenu à rappeler la difficulté de la tâche qui attend les socialistes. « Cette élection municipale à Paris n’est pas gagnée d’avance », a-t-il prévenu, nous rapporte-t-on. Un constat lucide alors que Rachida Dati, la tête de liste LR, est pour l’instant donnée en tête dans les sondages.« Il a tracé une ligne qui est la nôtre »Pour Ariel Weil, cette intervention a une valeur symbolique forte. « Il est d’habitude assez discret depuis plusieurs années, et s’est très peu manifesté jusqu’à maintenant. Il l’a fait par amitié, mais au-delà de l’amitié et du fait qu’il s’agissait d’un soutien individuel et personnel, il a néanmoins tracé une ligne qui est la nôtre. Cette ligne est celle du refus du populisme et de l’extrémisme », explique le maire de Paris Centre.Sur X, Ariel Weil avait notamment affirmé qu’il préférait que « le PS perde Paris plutôt que de s’allier avec LFI » dans l’hypothèse où la liste de l’Insoumise Sophia Chikirou serait en mesure de se maintenir au second tour. Une ligne confirmée lundi soir.La soirée de lancement a également été l’occasion de dévoiler la composition du comité de soutien à Ariel Weil, coprésidé par Fabienne Servan Schreiber et Yves Jeuland. Parmi les personnalités présentes : l’écrivaine Christine Angot, les anciens ministres Christian Sauter et Bernard Cazeneuve, ou encore l’ancien maire de Grenoble Michel Destot.« Ce sont des soutiens de poids qui permettent d’affirmer ma ligne, qui est une ligne sociale-démocrate », explique Ariel Weil. Ce comité rassemble « des gens plus ou moins anonymes, comme des commerçants et des artisans, mais aussi quelques grands noms » qui « incarnent ce que j’appelle la social-démocratie et la cause du gouvernement réformiste ».Parmi les autres soutiens figurent également Eva Illouz, Émilie Freche, le chef d’entreprise Jean-François Rial, Aurélie Filipetti, l’ancienne ministre Marisol Touraine ou encore l’actrice Julie Gayet.Un travail de longue haleineEn parallèle, Ariel Weil, qui n’est pas encore officiellement candidat, a lancé il y a deux mois un mouvement de réflexion citoyenne baptisé « Nous Paris Centre ». Des groupes de travail planchent depuis sur plusieurs thématiques - urbanisme, culture, éducation, sécurité, propreté et espace public.« Nous avons déjà organisé des cafés débats et des déambulations », précise le maire de Paris Centre. « Je préfère que le travail précède les candidatures. » Une démarche qui se veut en rupture avec les campagnes éclair : « Nous avons vu trop de candidats se jeter dans l’élection avec un calendrier inversé, proposant ensuite des mesures mal construites. »Avec le soutien affiché de Bertrand Delanoë, Emmanuel Grégoire et Ariel Weil comptent désormais sur le poids symbolique de l’ancien maire pour mobiliser les électeurs parisiens.

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«La France trop youpine»: le PS exclut un maire pour antisémitisme
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"La France est trop youpine pour boycotter": le maire d'Augignac exclu du PS après avoir tenu des propos antisémites sur l'Eurovision
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"La France est trop youpine pour boycotter" l’Eurovision : un maire exclu du PS après des propos antisémites
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« La France est trop youpine » : un maire de Dordogne accusé d’antisémitisme exclu du PS
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« Ils sont illisibles » : le vote des écologistes sur le budget de la Sécu au centre des attentions

Dans quelques heures, les députés auront la lourde responsabilité de voter, ou non, le budget de la Sécurité sociale. L’incertitude est totale, cela pourrait se jouer à quelques voix près. Si le gouvernement veut croire à une voie de passage, les décisions individuelles des députés peuvent prendre le pas sur les positions de groupe, qui seront entérinées dans la journée.Dans ce grand jeu de poker menteur, certains groupes suscitent davantage l’attention que d’autres. Ainsi, au sein du « socle commun », les députés Horizons et Les Républicains. Mais, depuis ce mardi matin, les regards se tournent surtout vers les écologistes, qui risquent bien de jouer les pivots ce soir lors de la mise au vote du texte.L’annulation de leur traditionnel point presse, ce mardi matin, suffit à comprendre que l’affaire est prise au sérieux en interne. Seraient-ils en train de comprendre qu’ils pourraient être perçus comme ceux qui n’ont pas permis de doter la France d’un budget de la Sécu ?« Je ne sais pas si on n’est pas en train de faire une connerie »Invitée ce mardi matin sur RMC, la présidente du groupe Cyrielle Chatelain a fait savoir que les députés pourraient majoritairement s’acheminer vers l’abstention ce mardi soir. « Nous ne voterons pas pour, puisque ce budget, dans ses fondations, est profondément déséquilibré » mais « l’abstention est une possibilité », a-t-elle expliqué.Une certaine fébrilité semble déjà poindre en interne. Avec, chez certains cadres écologistes, la crainte de voir les députés faire capoter le vote final. « Je ne sais pas si on n’est pas en train de faire une connerie », pointe l’un d’entre eux, alors qu’un autre évoque « des débats permanents depuis hier soir » sur le sujet.Le groupe se retrouve sous la pression des socialistes qui les appellent à la responsabilité, d’une part, et des Insoumis fermement opposés à la politique de Sébastien Lecornu, d’autre part. Pas facile d’avoir une ligne claire, pour un groupe qui apparaît comme très divers, avec quatre sous-groupes. Les réformistes, parmi lesquels figurent l’ancienne ministre Delphine Batho, Éva Sas ou encore Jérémie Iordanoff, qui pourraient voter favorablement. Delphine Batho, qui avait déjà fait cavalier seul chez les écolos en adoptant le volet recettes du PLFSS en seconde lecture, n’en fait d’ailleurs pas mystère. « En responsabilité je voterai pour. Je préfère ce compromis au retour, sous une forme ou sous un autre, à l’austérité pour la santé et la sécu qui était dans le projet initial du gouvernement », justifie-t-elle au Parisien-Aujourd’hui en France.Décisif mais indécisÀ rebours, chez les écolos, il y aussi la gauche la plus radicale, plus proche des Insoumis, capable de s’opposer au texte. Mais également les députés de L’Après, anciens Insoumis, susceptibles de plaider pour l’abstention au même titre que le « ventre mou » du groupe parlementaire.Au gouvernement, on regarde avec attention et prudence ce qui se joue chez les Verts. « Ils font partie de ceux qui n’ont pas totalement fermé la porte à la discussion mais qui ne sont pas non plus entrés dans le jeu des négociations, regrette un ministre. Il y a un doute les concernant parce qu’ils sont illisibles. Ils avaient voté pour la partie recettes en première lecture et contre en deuxième. Et ils ont quand même une frange très radicale, très liée aux Insoumis. »Lors de la conférence de presse du groupe LFI, ce mardi matin, Mathilde Panot ne s’y est d’ailleurs pas trompée. « Je veux redire à tous les députés écologistes et à tous ceux élus avec le NFP que voter ce budget, c’est accepter 3,6 milliards de coupes l’année prochaine. Ceux qui participeraient à faire passer le budget commettraient une faute politique. » La journée promet d’être longue.

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l'Opinionl'Opinion
Jérôme Guedj (PS) : « Une majorité silencieuse est attachée à la loi de 1905 »
l'Opinionl'Opinion
« 120 ans plus tard, pour une laïcité de protection de l’unité nationale » – par Jad Zahab
La CroixLa Croix
120 ans de la loi de 1905 : « La laïcité de liberté ne doit pas céder face à une laïcité de combat »
L'HumanitéL'Humanité
Les 120 ans de la loi de 1905 et la laïcité aujourd’hui (1/5)
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Budget de la Sécu : Olivier Faure souhaite que le PS vote « pour » le texte

Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a annoncé qu’il se présenterait ce mardi devant son groupe et qu’il plaiderait « pour le fait que nous votions pour ce projet de loi de financement de la sécurité sociale », qui est une « copie passable », puisse être adopté en nouvelle lecture à l’Assemblée nationale.« Il y a eu là toute une série d’avancées (…) Le Premier ministre s’est engagé (sur la suspension de la réforme des retraites), il s’est montré fiable dans toute la discussion. Je souhaite que nous puissions à notre tour être fiables et faire en sorte que ce budget soit adopté », a-t-il déclaré sur le plateau de BFMTV/RMC.« Des ingénieurs du chaos »« Je vois bien ce qui se passe à droite. Il y a toute une série de gens qui sont devenus des ingénieurs du chaos, Édouard Philippe en tête. Je pense que nous, nous devons prendre notre responsabilité, accepter l’idée que pour la première fois nous votions un projet de loi parce qu’il est l’objet d’un compromis », ajoute-t-il, sur le plateau de BFMTV/RMC.Olivier Faure espère réussir à convaincre les députés socialistes pour « faire en sorte que tous les votes se joignent au mien ».Concernant la position des Écologistes, le Premier secrétaire du PS indique qu’ils ont « une demande ultime » et qu’ils « ont raison de la poser ». « Sur le budget de l’hôpital, nous avons gagné un milliard en première lecture, ils veulent qu’on aille plus loin sur l’Objectif national des dépenses d’assurance maladie (Ondam) », détaille-t-il.L’annonce d’Olivier Faure a été saluée par Gabriel Attal. « Ça me semble quand même montrer que le travail qui a eu lieu ces dernières semaines et derniers mois a permis de dégager cette forme de compromis », a déclaré sur France inter le président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale.« Il faut maintenant avancer et faire en sorte que ce budget puisse être adopté », dit l’ancien Premier ministre, sans être enthousiasmé par le projet de loi. « Ce n’est pas un budget parfait », résume Gabriel Attal, décrivant un texte « d’attente ». Mais « un budget parfait, en pareilles circonstances, ne peut pas exister », juge le député.

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« Nous sommes le réceptacle de la frustration des gens » : les politiques de plus en plus pris pour cibles ?

Enfarinages, tags et insultes. Le débat démocratique devient-il de plus en plus violent, comme l’affirme Jordan Bardella ? Samedi 29 novembre, le président du Rassemblement national a été visé par un jet d’œuf, lors d’une séance de dédicaces. Mardi, Christelle Morançais, présidente (Horizons) des Pays de la Loire, a, elle, porté plainte pour des intimidations. Et jeudi, Jean-Michel Aulas, candidat (LR) à la mairie de Lyon, a été la cible d’un tag sur les murs de la ville.Au même moment, dans une Assemblée nationale fragmentée, un huissier s’est interposé entre les députés Éric Coquerel (LFI) et Laurent Baumel (PS) pour éviter des débordements.

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Budget de la Sécu : découvrez si votre député a voté le volet « recettes »

Dans un scrutin à suspense, l’Assemblée nationale a adopté de peu ce vendredi la partie « recettes » du projet de budget de la Sécu, un vote crucial qui permet de poursuivre les débats sur la partie dépenses et notamment la « suspension » de la réforme des retraites.La chambre basse a adopté cette partie « recettes » par 166 voix contre 140 avec le soutien des députés Renaissance, MoDem, du Parti socialiste et des indépendants de Liot.L’alliance Rassemblement national-Union des droites pour la République, la France insoumise et les écologistes ont voté contre, quand Les Républicains et Horizons, membres du camp gouvernemental, se sont majoritairement abstenus.Le scrutin a été marqué par une faible affluence pour un vote crucial (239 députés sur 577 n’ont pas participé au scrutin, dont des absents de marque comme Marine Le Pen (RN), Manuel Bompard (LFI), François Hollande (PS) ou encore le LR Michel Barnier).« Logique de compromis »« Vous nous présentez des recettes de Sécurité sociale dans lesquelles il manque des dizaines de milliers d’euros », a justifié le député LFI de la Haute-Garonne Hadrien Clouet, alors que son groupe a intégralement voté contre.« Ce n’est pas un PLFSS, c’est un projet de facturation de vos sauvetages de sièges », a également dénoncé le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy pour son groupe, où les 69 voix présentes ont voté contre.« Le débat parlementaire a porté ses fruits (..) Le débat va pouvoir se poursuivre », a de son côté réagi Bertrand Sorre, député EPR de la Manche. Quand Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, s’est dite « fière que les parlementaires se soient enfin mis dans (la) logique de compromis ».Ce résultat serré est à la fois un avertissement pour le gouvernement (les groupes RN, LFI et UDR fortement opposés peuvent mobiliser beaucoup plus de troupes au prochain vote), mais aussi une forme de succès, même temporaire, après avoir multiplié les gestes d’ouverture en espérant faire passer le texte sans 49.3.

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